Éducation Sociable - suite

- Par l'auteur HDS Tamalou -
Récit érotique écrit par Tamalou [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Éducation Sociable - suite Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-02-2021 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Éducation Sociable - suite
Frustration :
Malheureusement, la récréation était terminée, j'étais de retour à mon monde habituel, fait de masturbation agrémentée par mes fantasmes sexuels sur mes élèves. Dès le deuxième jour, je m’imaginais kidnappée par mes élèves qui me violaient à tour de rôle. Le soir, j’avais la chatte en feu à cause d’une masturbation acharnée et destructrice.

C'était l’anniversaire de Jason, 18 ans. J’ai surpris une conversation entre plusieurs filles de sa classe. Elles ont compris que je les avais entendues, m’ont fait promettre le secret, elles lui avaient préparé une surprise. J’ai promis. Jason faisait partie de ces étudiants qui nourrissaient mes fantasmes.

18 ans ! Il n’était plus mineur ! Je pourrais baiser avec lui, ce serait légal. Je voulais qu'il me prenne, me ligote, me viole. Je serais sa chienne lubrique ...

Jason s'asseyait au premier rang. Jambes écartées. Je pouvais voir le renflement de son entrejambe. Vaguement ... je devinais ... une forme ... imprécise … le contour de sa bite … si volumineuse ? J'ai croisé son regard, il souriait, s’étant parfaitement rendu compte que je matais le contour de sa bite. Il savait que je le matais ! Je craignais qu’il me rapine au surveillant général. Je serais virée. Enfin, la raison a pris le dessus. Les adolescents ne courent pas vers la direction en se plaignant qu'une femme mate le renflement de leur entrejambe.

Il a vu que je le matais, et ce sournois me provoquait. Il était assis, les jambes écartées, et sa main caressait sa protubérance. Et ça grossissait ... merde, j’étais trempée. Il savait que je le voulais ... Je bafouillais, m’embrouillais dans mon cours, brûlante de désir, et il gardait son petit sourire narquois en se caressant la bite. Salaud !

Je n'avais pas été baisée depuis plusieurs mois, depuis la formation, à l’hôtel. J'avais désespérément besoin d’une bite. Jason, du haut de ses 18 ans, ferait très bien l'affaire. Si sa bite n’était pas un leurre, une chaussette roulée en boule, un attrape-nigaud que les garçons dissimulent dans leur slip pour appâter les filles naïves. J'essayais de regarder ailleurs, mais il levait sa main, posait une question, pour que je le regarde ... dessus ... encore.

À la fin du cours, j'étais épuisée ... mes seins étaient douloureux, ma chatte ruisselante, et j’étais pantelante. Si Jason avait eu un peu d'expérience avec les femmes en chaleur, il aurait pu me pencher sur mon bureau, remonter ma robe, écarter ma culotte et me baiser. J'aurais joui des dizaines de fois s'il m’avait fait ça.

La journée était terminée, tous les élèves étaient partis. Je restais assise à mon bureau, en proie à mes fantasmes. La bite de Jason, son attitude moqueuse, et ce que j’aurais aimé lui faire. Ma chatte s’humidifiait et se crispait. J'avais besoin d'être baisée, j'avais besoin d’une bite ! Ma main sous ma jupe, j’envisageais Jason, mon clitoris se redressait.

Assise à mon bureau, les mains sous ma jupe, toutes ces sensations qui déferlaient dans mon ventre. Je savais que je devais pas rester là, je devais aller dans les toilettes des dames, mais mon fantasme commençais. J'avais hâte.

Penchée en arrière sur ma chaise, j'ai soulevé mes fesses pour enlever ma culotte. J'ai allongé mes jambes devant moi, sur le bureau, grandes ouvertes, en troussant ma robe. Je n’avais pas de gode, mes doigts suffisaient. J'ai commencé lentement ... une simple caresse de mon index dans la longueur de ma fente.

Ma chatte était en attente, désireuse, mes lèvres étaient congestionnées, gorgées de sang, de mon fantasme sauvage de baiser Jason. J’ai ouvert ma chatte pour révéler mon clitoris palpitant. Ma chatte suintait, prête à être baisée. Chaque fois que mon doigt se glissait à l'intérieur, un spasme contractait mon périnée. Si je tripotais mon clitoris, des ondes de désir dansaient dans mon ventre. 
Je ne devais pas faire cela ici, je devais cesser pour me réfugier dans l’intimité des toilettes pour dames. Quelques caresses sur mon clitoris, et un orgasme tremblant déferla dans ma chatte qui giclait de plaisir. Impossible d’arrêter, c’était trop bon. Jason me violait, je ressentais chacun de ses coups de bite au fond de ma vulve.

J'étais déjà en train de monter au ciel pour la deuxième fois, quand j'ai entendu la porte s’ouvrir. Je n'ai pas eu le temps de réagir. Un homme est entré. Il m’a trouvée vautrée sur le bureau, les pattes écartées, les doigts dans ma chatte. C'était le gars de l’entretien, Chérif, un maghrébin, qui faisait le tour des salles de cours pour nettoyer.

Je l'ai regardé, tétanisée. Je l'ai laissé me regarder. Je savais que je devais m’arrêter, reprendre une position plus conforme à mon rang, et sermonner l’intrus qui aurait dû frapper avant d’entrer. Chérif s’est approché, lentement, de son pas lourd, en sortant sa bite, et en se caressant distraitement.

Parvenu tout proche de moi, il a tendu la main pour tâter ma chatte survoltée. Son doigt a parcouru ma fente, est entré à l’intérieur de moi pour sonder ma vulve ruisselante. Il n’a pas cesser de se tripoter d’une main pendant qu’il me fouillait de l’autre. J’adore voir un homme se branler devant moi, cela me fait frissonner.

Il m’a dit : «Branle-toi pendant que je me branle. Quand tu jouiras, je jouirai sur ton ventre !»
Interloquée mais docile, mes doigts volaient littéralement sur ma chatte séduite. Je suis venue, gémissante, et il a inondé mon ventre de sa laitance.

«Merci, Madame. À votre disposition» il souriait en rangeant sa bite dans son pantalon.

«Mais … tu ne vas pas me baiser ?»
«Peut-être une autre fois ... Ce soir, je dois rentrer tôt. Ma femme m'attend. Si elle sent ton parfum sur moi …»
L’appel de Denis:
Désormais, le jeudi soir, j’appartenais à Chérif. Il avait dit à sa femme qu'il devait rester tard pour préparer le gymnase. Et tous les jeudis soirs, il était entre mes jambes écartées, s’occupant de ma chatte affamée de bite. Il tremblait de peur, devant le risque que son infidélité soit découverte, et sa nervosité le rendait adorable.

Un vendredi soir, j’ai reçu un appel téléphonique. Une voix d’homme que je ne connaissais pas :
«Bonsoir, Nina. Je suis un ami de Ralph. Vous vous souvenez de Ralph ?»
«Je me souviens très bien de Ralph. Que me voulez-vous ?»
«Ralph et moi, nous sommes des amis très proches. Je m'appelle Denis.»
« ... »
«Ralph m’a dit que vous êtes une femme très sensuelle, pulpeuse, et qui aime être dominée. Il m’a dit aussi que votre mari vous délaisse, ce qui vous rend très malheureuse.»
«Ralph vous a dit tout ça ?»
«Pas immédiatement. C’est quand je lui ai raconté que j'étais muté dans votre ville, il m'a donné vos coordonnées. Et précisant que ce serait vous rendre service, si je voulais vous baiser. Je serai en bas de chez vous ce soir à 20 heures. Nous ferons plus ample connaissance ...»
«Je ne sais pas si je pourrai me libérer ... mon mari ...»
«Ton mari, on s’en fiche. Je serai là à 20 heures. Habille-toi sexy !»
Et il a raccroché son téléphone. J’étais déjà émoustillée. Une voix mâle, ce ton autoritaire, la promesse d’une baise, tout cela suffisait à m’exciter. J’ai pris un bain, et je me suis pomponnée. Trouver un prétexte pour Max, mon mari, n’a pas été difficile. Il s’en fichait, obnubilé par sa télé.

À 20 heures, j’attendais dans le hall de l’immeuble. La porte s’est ouverte, un type dans la trentaine, viril, se tenait sur le seuil :
«Bonsoir, Nina. Je suis Denis. Tu es ravissante. Très sexy. Ralph a dit que tu étais une affaire. On va prendre un verre pour faire connaissance ?»
Denis m'a offert son bras et m’a emmenée dans un bar sportif. À peine installés, il m'a posé plein de questions. Toutes ses questions portaient sur le sexe, mes préférences, la fréquence de mes rapports, qui je voyais … Il voulait tout savoir, et moi je fondais sous son regard de braise. Après, il m’a demandé de me tourner face à lui, d’écarter mes jambes en troussant ma robe, pour lui montrer ma culotte.

«Merde, alors ! Il suffit de te parler de sexe, et tu es déjà mouillée, prête pour la saillie. Ralph a eu raison de me parler de toi. Ta période d’abstinence est finie, Nina. Tu vas t’éclater. Pas seulement avec ma bite. Mais avec plein de bites !»
«Quelle bite ?»
«Celle que je choisirais. Ralph m'a dit que tu aimais être dominée ... alors, on va essayer … maintenant ... ôte ta culotte, tourne-toi, et expose ta chatte !»
«Oh, non ... s'il vous plaît»
«Non ? Tu ne veux pas ? Tu veux que je te ramène chez toi, maintenant ?»
«Oh, non ... s'il vous plaît ! Je ferais tout ce que vous voudrez !»
En soulevant mes fesses, j'ai enlevé ma culotte et je l'ai donnée à Denis. J’ai troussé ma robe avant de me rasseoir, mes fesses nues sur la moleskine du siège. Je suis tournée face aux autres consommateurs, et j’ai écarté mes jambes, m’offrant à la vue des hommes. Plusieurs se sont approchés, incrédules. Denis m’attrapa brusquement par un bras, me mit debout sur mes pieds, et me ramena à sa voiture. 
Sur le parking, à côté de l’auto, il m’a ordonné : «Déshabille-toi. Enlève ta robe ! Vite !»
J'ai dézippé ma robe, je l'ai laissée glisser au sol et je l’ai enjambée. Je n’avais plus sur moi que mon balconnet, mon porte-jarretelles, mes nylons et mes talons. Plusieurs consommateurs nous avaient suivi, et commentaient. Tout au long du trajet, je me suis restées les jambes ouvertes.

Denis m’a raccompagnée chez moi. Je pensais qu’il allait me baiser dans l’auto. Mais il avait une autre idée en tête. Il voulait me baiser chez moi. Dans le salon, Max ronflait devant la télé. Denis a sorti sa bite et m'a dit de le sucer.

«Prends-moi dans ta gorge, Nina. Non ... ne te masturbe pas !»
Agenouillée devant Max, mon mari impuissant, j'ai sucé la bite de Denis. Lentement, il a poussé sur ma nuque pour forcer sa bite de plus en plus profondément. Le gland a sauté dans ma gorge et Denis a pu rentrer toute sa longueur dans ma bouche, faisant gonfler mon cou pendant qu’il me pompait. Il était vraiment très excité par ma gorge profonde, et je n’ai pas mis longtemps avant de lui faire tirer sa semence.

«Ah, t’es bonne. Ralph me l'avait bien dit, que tu étais formidable !»
Une fois soulagé, il a remballé sa bite et, dans l'embrasure de la porte, m’a dit :
«Demain soir, je t'emmène faire la tournée des lieux de débauche. Sexe et perversion. Mets ta tenue de chienne.» 
Et il est parti, me laissant frustrée, ma chatte pleurait, mon clitoris palpitait, avec l’interdiction de me masturber. Je n'ai presque pas dormi de la nuit.

Le lendemain soir, Denis est venu me chercher à 20 heures pétantes. Max, mon mari, ronflait déjà devant la télé. En prévision des lubies de Denis, j’avais pris mes précautions en droguant son apéro.Il a pris le contrôle dès son entrée.

«Tourne-toi et soulève ta robe. Fais-moi voir ton cul.»
L’attente m’avait mise dans un état d'excitation, son ordre était presque suffisant pour me faire jouir. Tournant le dos, je me suis troussée jusqu’à la taille pour lui obéir.

«Penche-toi en avant. Bien. Assieds-toi sur le canapé, à côté de ton mari, et ouvre tes jambes. Fais voir»
Obéissante, je me suis assise du bout des fesses. Denis s’est penché sur moi pour faire courir ses doigts sur ma culotte. Quand ses doigts ont frôlé mon clitoris, je me suis penchée en arrière en levant mes jambes, persuadée qu’il allait me faire minette. Mais il s'est arrêté, m'a tirée sur mes pieds et m'a conduite vers la porte d'entrée. J'étais frustrée.

J'ai été surprise de voir une luxueuse limousine garée devant le trottoir, avec un chauffeur en habit tenant la porte arrière ouverte pour moi. Je suis monté dans la limousine, et Denis m’a suivie. Dès que la limousine a démarré, Denis m'a ordonné de tenir mes jambes bien écartées. Denis a sorti sa queue, et il a enroulé ma main autour. Mon alliance brillait dans la pénombre, je me suis sentie vraiment salope.

Ensuite, Denis a mis en marche une caméra dissimulée entre les sièges avant. Sur le tableau de bord, un écran de télévision s’est allumé. Le chauffeur avait une vue imprenable sur mes cuisses écartées. Denis m’a demandé d’écarter ma culotte pour montrer ma chatte rasée au chauffeur. Je l’ai fait en glissant le bout de ma langue sur mes lèvres.

«Masturbe-toi pour lui, Nina, mais ne jouis pas.»
J'ai commencé à frotter ma chatte, mais pas longtemps. Je devais m'arrêter souvent pour laisser mon excitation retomber avant de pouvoir recommencer. J'étais si proche de jouir, il m’a fallu beaucoup de volonté pour arrêter.

Denis a demandé au chauffeur de se garer. Quand il l'a fait, ils ont échangé leurs places. Le chauffeur a sorti sa bite et Denis m’a dit de le sucer. Le chauffeur a ouvert ma robe, et il a sorti mes seins. Je me suis penchée sur lui pour le sucer pendant qu’il me tripotait les mamelons. Je suçais un type que je ne connaissais pas dix minutes avant, et avec qui je n’avais pas échangé trois mots.

Je m’appliquais à faire glisser la grosse bite du chauffeur dans ma gorge. Chaque fois qu’il pinçait ou qu’il tirait sur mes tétons, mon clitoris palpitait et ça me coupait le souffle. Je n’ai pas pu résister longtemps à ce traitement, j’ai cambré mes reins avant d’éclater dans une jouissance intense.

En me voyant euphorique, il m’a allongée sur la banquette et il a plongé son visage entre mes cuisses. Quand ses lèvres ont capturé mon clitoris, j’ai exulté de nouveau instantanément.

«Monte sur lui, Nina. Chevauche-le et baise-le !»
Je suis montée sur lui, face à face, et je l'ai baisé. Je me suis empalée sur sa tige dure qui me remplissais toute. Mais Denis avait d’autres exigences :
«Tourne-la, mec, mets-la face à moi pour que je voie ta bite pénétrer sa chatte.»
Le chauffeur m'a fait faire volte-face pour que mon dos repose contre sa poitrine. Il m’a prise sous les genoux pour les remonter contre mes seins. Il m’a baisée comme une poupée sexuelle. Je n’avais plus aucun contrôle. Il me soulevait et me laissait retomber sur son poteau dressé. Il me baisait, encore et encore, sa bite percutait le fond de ma chatte et Denis me regardait gigoter sur son écran. J'ai frissonné dans un autre orgasme intense.

Quand le chauffeur a senti ses couilles se contracter, il a demandé à Denis:
«Je vais jouir. Puis-je éjaculer dans sa chatte ?»
«Bien sûr ! Cette pute est là pour ça !»
J’ai frissonné en les entendant parler de moi ainsi. Comme si je n’étais pas là. J’étais leur esclave, à leur disposition, juste un vide-couille. Cet homme que je ne connaissais pas allait juter dans ma chatte. Je tremblais d’excitation, sachant que j’allais jouir quand il éjaculerait en moi.

Le chauffeur a soulevé ses fesses du siège pour me percuter plus rapidement et plus durement. Ma chatte âprement baisée émettait un bruit de piston. Il me baisait comme un sauvage, me faisant crier et hoqueter. Denis s’est garé pour caresser sa bite en regardant le chauffeur m’ouvrir la chatte. Le chauffeur s’est soulagé en moi, plusieurs jets puissants qui m’ont inondée et fait crier.

Il s’est retiré, et les deux hommes ont de nouveau échangé leur place. Denis m’a embrassé langoureusement pendant que le chauffeur redémarrait la limousine. Denis m'a demandé de mettre mes doigts dans ma chatte pour récupérer du sperme et de le sucer. J’ai recommencé plusieurs fois la manœuvre, puis il m'a attiré contre lui et nous nous sommes embrassés à pleine bouche. 
«Vas-tu me baiser ?» Ai-je demandé, surprise.

«Pas maintenant. Plus tard. Quand nous te raccompagnerons chez toi. Nous allons te baiser dans ton lit, le chauffeur et moi. Devant ton mari.»
Mon corps tout entier tremblait de désir et d'anticipation.

Le chauffeur nous a emmené dans un très bon restaurant. Après le dîner, nous sommes allés assister à un concert. Pendant le récital, Denis voulait jouer avec ma chatte. Il m’a obligé à lui donner ma culotte. Ses doigts battaient la mesure à l’intérieur de moi. Denis a proposé au vieux monsieur assis à côté de moi de partager ma chatte car elle était "assez grande pour deux". Avant la fin du concert, leurs doigts luttaient à l’entrée de ma vulve.

Sur le chemin du retour, nous nous sommes arrêtés dans une supérette ouverte 24/24 heures.

«Va voir l'employé, Nina, et séduis-le. Montre-lui tes charmes et demande-lui de te baiser ... gratis. Invente-lui un bobard, dis-lui que ton amant a fini trop tôt, ou que ton mec te délaisse, enfin peu importe, trouve un truc pour qu’il ne baise. Si tu n’y arrive pas, tu rentres à pied. Allez, file !»
Séduire le jeune commis était facile. Il s’ennuyait ferme, et il était heureux d’avoir un peu de distraction. J’ai sorti mes seins, troussé ma robe pour lui montrer ma chatte rasée, il a mis sa pancarte "Reviens dans 10 minutes" sur la porte, et il m'a emmené dans les toilettes. Debout, jambes écartées, agrippée au lavabo, il m’a prise en levrette comme une pute pas chère. Il s’est enfoncé en moi sans ménagement, il a tambouriné ma chatte comme un marteau-piqueur, cramponné à mes hanches, en m’insultant. Il n’a pas tenu longtemps et m’a claqué les fesses pour faire bonne mesure. C’est dommage, j’étais sur le point de jouir et ça m’a coupé tous mes effets. J'ai quitté le magasin avec mes seins à l’air.

Arrivés chez moi, Max, mon mari, ronflait sur le canapé. J’avais mis la dose de somnifère. J’ai appris que le chauffeur s’appelait Martin lorsque Denis lui a demandé s’il voulait "baiser la pétasse en premier" ? Ils m’ont installé sur le canapé, à côté de mon mari. Agenouillée sur le canapé, les reins cambrés, je gémissais tandis que leurs doigts impudiques sondaient mes orifices et mes replis.

«Baisons-la ensemble. Elle va adorer, pas vrai, Nina ?» proposa Martin.

Sitôt dit, sitôt fait, Martin s’est assis sur le canapé, à ma place. Je l’ai chevauché, face-à-face, et je me suis empalée sur sa bite triomphante. Denis s’est collé contre mes reins pour utiliser l’entrée de secours. J’ai atteint mon point culminant en quelques minutes, tandis que les deux bites me pilonnaient. Ils sont partis peu de temps après, alors que je leur demandais encore un tour gratuit, et Denis ne m’a pas rendu ma culotte.

Bons voisins: 
Mon voisin de palier et son jeune fils de 17 ans essayaient de mater mes fesses chaque fois qu'ils en avaient l'occasion. En montant les escaliers, ma courte jupe dévoilait mes cuisses, ou sur le balcon, si je faisais un peu de ménage. Je n'y prêtais aucune attention. Mais, j’ai toujours aimé taquiner les hommes qui me regardent.

Maladroitement, je pouvais accrocher l’ourlet de ma jupe qui se soulevait, dévoilant … oups, j’avais oublié de mettre une culotte ! Ou alors, c’est mon décolleté qui baillait, dévoilant un mamelon dodu. Qu’est-ce qu’il a ce chemisier, pourquoi il s’ouvre constamment ? Le père et le fils étaient vraiment moches, mais quand je suis chaude, ça peut passer. Il faudrait que je voie leur bite, pour savoir s’ils m’intéressent. S’ils avaient de grosses bites, ma foi …
Des fois, j’aurais aimé savoir si le fils du voisin était encore puceau. J’aimerais bien déniaiser un gamin. Un soir, je tenais l’occasion. Il maintenait ouverte la porte de l’allée, galamment, pour me laisser passer. Je l’ai remercié et j’ai engagé la conversation. Je lui ai posé des questions sur sa scolarité, c’est normal pour une professeure. En discutant, j’ai dédaigné l’ascenseur et j’ai emprunté l’escalier.

La montée durera plus longtemps. L’escalier était étroit, je suis passée devant, et j’ai dis en riant que monter les escaliers, cela fait de belles fesses. Il me suivait de près, je savais qu’il matais mon cul. Sur le palier, j’ai fais une pause. Je me suis tournée vers lui, je lui ai dis que j’avais chaud, et pour le prouver, j’ai passé mon index entre mes seins. Le gars était rouge pivoine et très à l’étroit dans son pantalon. J’ai tendu mon index trempé de sueur vers lui en disant :
«Tiens, Suce ! Je sais que tu veux me baiser !» 
J’ai cru qu’il allait se trouver mal. S’il n’avait pas été puceau, il m’aurait sauté dessus. Il était tétanisé. J’ai tendu la main pour caresser la protubérance dans son entrejambe. Il a émit un drôle de grognement et il s’est mis à trembler. Je savais que je ne pouvais pas m’attarder dans l’escalier. J’ai sorti mes seins de mon chemisier et je me suis agenouillée devant lui. J’ai ouvert sa braguette, sorti sa bite, et je l’ai sucé. Je l'ai senti vaciller, il a gémit, ses hanches se sont projetées en avant et j’ai reçu une giclée de sperme sur le visage. J’étais frustrée.

Maintenant, il fallait que je me venge sur son père. J’étais seule à la maison. J'ai vu le voisin sur son balcon avec ses jumelles autour du cou. Bonne occasion de le faire mariner. J'ai enfilé un déshabillé rouge ultra-transparent, des bas assortis, et un string noir. Dans la pièce principale, j’ai allumé toutes les lumières. Devant le grand miroir sur pied, je prenais des poses, toutes plus polissonnes et sensuelles les unes que les autres.

Je prenais mes seins en coupe, dénudait un sein, puis l’autre. Cambrée à la limite de me briser les reins, je tortillais mon cul comme une pute qui appelle le client. Penchée en avant, je secouais mes fesses et mes seins dans un twerk endiablé.

Ensuite, je me suis vautrée sur le canapé, croisant et décroisant mes jambes. Le déshabillé s’était ouvert, exposant plus la chair tendre de mes cuisses. Pas besoin de vérifier, j’étais certaine qu’il avait sorti sa bite pour se branler d’une main, tandis que l’autre maintenait ses jumelles devant ses yeux pervers. J’étais certaine qu'il voulait juste que j'écarte mes jambes pour qu'il puisse voir ma chatte.

Mais pendant que je le faisais languir, j’ai esquissé un pas de danse digne de l’opéra. Dans le même mouvement, j’ai éteint les lumières et je me suis accroupie derrière la plante verte. Le crépuscule commençait à tomber, je l’ai vu chercher désespérément où j’avais pu disparaître.

La bite sortie, les deux mains sur les jumelles pour essayer d’apercevoir ma silhouette dans la pièce envahie par l’obscurité. Arrêté en plein élan, comme je l’avais été plus tôt avec son puceau de fils, je pouvais deviner la frustration et la détresse sur son visage. Sans me relever, j’ai rampé jusqu’à ma chambre, où je me suis habillée pour la nuit, pyjama et robe de chambre.

Revenue dans la pièce principale, j’ai rallumé les lumières et j’ai commencé à aller et venir pour préparer mon repas du soir. Pas besoin de regarder le voisin dépité sur son balcon, je pouvais sentir sa déception.

Rencontres fortuites:
Malgré les amants qui me baisaient plus ou moins régulièrement, j’avais toujours un fort attrait pour le sexe et, parfois, lorsqu’une opportunité se présentait, je m’offrais à un mâle de passage. Mes élèves nourrissaient mes fantasmes, Chérif ou Denis me baisaient avec une régularité routinière, mes voisins, père et fils, n’étaient pas très performants, Max restait désespérément impuissant, il me fallait casser la monotonie de la routine avec des rencontres sans lendemain.

Je ne connais rien à l’entretien des voitures. Déjà, pour faire le plein de carburant, je trouve cela répugnant. Le lavage, le nettoyage, ça me gave. Le niveau d’huile, la pression des pneus, pas question. Je connais une station-service ou le jeune mécano est suffisamment sympa pour faire tout cela à ma place. En plus, il est beau gosse, ce qui ne gâche rien.

La première fois qu’il m’a baisée, j'étais allée à la station vêtue d'une courte robe qui laissait voir mes jarretelles à mi-cuisse. Lors de ma précédente visite, j’avais vu sa jeune épouse, qui tenait la caisse, et qui était toute proche d’accoucher. Elle avait un ventre énorme, et j’avais pensé que le jeune homme devait être un peu privé de sexe.

Pendant que le gars nettoyait mon pare-brise, j'écartais suffisamment mes genoux pour qu'il puisse voir mes jambes jusqu'à ma culotte. J'ai baissé ma vitre pour lui demander de vérifier mon niveau d'huile. Naturellement, il m'a dit d'ouvrir le capot, mais j'ai répondu que je ne savais pas faire. Il s'est approché et j'ai ouvert ma portière. 
J’ai posé mon pied par-terre, comme pour lui laisser ma place, mais il m’a dit de ne pas bouger. Je me suis statufiée avec les jambes largement écartées. Il s'est glissé à côté de moi, et il a plongé sa main sous le tableau de bord pour tirer sur le déverrouillage du capot. En même temps, il avait une vue magnifique sur mes cuisses et ma culotte. Comme il regardait ma culotte, j'ai demandé :
«J'aimerais aussi que vous constatiez mon niveau de liquide. Savez-vous vérifier le niveau de liquide d'une femme ?»
Il n'avait pas besoin du mode d’emploi. Juste un regard sur mon visage de chatte en chaleur, les mi-clos, la bouche gourmande, avec la pointe de la langue qui humidifie les lèvres, il a compris qu’il allait me baiser.

Sans hésiter, sa main s’est posée sur ma jambe, caressante, en remontant sous ma culotte. Il a constaté mon humidité en doigtant ma chatte. Ses doigts qui me pompaient m’ont fait gémir.

«Il me semble que votre niveau de liquide est correct, Madame»
«Je pense que votre inspection a été beaucoup trop rapide et pas assez profonde pour le vérifier correctement. Auriez-vous un outil plus adapté à mon conduit, et que vous pourriez utiliser de manière plus approfondie ?»
Il m’a emmenée dans les toilettes des femmes. J'ai troussée ma robe à la taille, et je suis penchée sur le lavabo, jambes écartées. Son outil était déjà parfaitement opérationnel. Il a vérifié consciencieusement tous mes niveaux. À deux reprises, il a rajouté quelques gouttes de liquide dans ma jauge. J’ai été très satisfaite de son instrument, à plusieurs reprises, et je suis devenue une fidèle cliente de son établissement.

Lorsque Max et moi nous sommes invités à une soirée, une fête, il n’y a généralement pas de possibilité pour le sexe. Mon mari étant présent, les autres femmes surveillent leur conjoint, c’est rare qu’un homme tente sa chance.

Cela s’est produit il y a deux ans. Je portais une robe de cocktail évasée, des talons, j’étais ravissante. Je sirotais une coupe de champagne lorsqu’un homme m’a caressé les fesses. Souvent, lorsqu’un type touche mon cul, c’est agressif. Une tape, un pinçon, une main lourde qui palpe et qui incite au rejet. Là, c’était charmant, et j'ai immédiatement frissonné de désir.

Devinant mon consentement, il m'entraîna dans une pièce sombre, probablement un bureau. Ses mains ont facilement retroussé ma robe ample, écarté ma culotte, et ses doigts ont commencé à jouer avec mes orifices. Il me doigtait la chatte, mouillait ses doigts, et utilisait mes jus pour me sonder le cul. Je résistais à l’envie de gémir et de geindre qui montait de mon ventre, et je me penchais en avant, sur le bureau, jambes écartées.

J'ai senti sa bite sonder ma fente pour récolter mes jus. Il m’a ordonné de me cambrer. Je me suis penchée encore plus sur le bureau en haussant mes fesses, reins creusés. Il m’a pénétrée d’une seule poussée rectiligne, jusqu’au fond, étirant ma chatte autour de sa tige épaisse. J’ai crié et mes genoux sont devenus faibles. Sans le soutien du bureau, je serais tombée.

Il m’a attrapée par les cheveux pour me tirer la tête en arrière, et il m’a baisée sauvagement, durement, à grands coups de reins puissants. Je pantelais sous son assaut furieux. On aurait cru qu’il voulait se venger de quelque chose. Je fondais de plaisir. Il a éjaculé en moi, brusquement, sans prévenir.

Immédiatement, sans débander, il a changé de trou, pour s’introduire dans mon cul. Toujours avec la même absence de délicatesse, il m’a violé le cul, avec une autorité toute masculine, et mon corps tremblait de bonheur. Ses couilles giflaient ma chatte à chaque pénétration. À plusieurs reprises, il m’a claqué les fesses cruellement.

J’ai joui encore une fois lorsqu’il a giclé dans mon cul. Il s’est retiré, s’est rajusté, et il est parti sans un merci. Ma chatte et mon cul dégoulinaient de son sperme, et je suis partie à la recherche d’un lavabo, avec ma robe autour de la taille
Sa baise avait duré moins de vingt minutes, mon cul et mon vagin étaient douloureux, mais ma libido était satisfaite. Je l’ai croisé plus tard, dans la soirée, au bras d’une femme magnifique. Je me suis demandé s’il lui avait dit qu’il venait de baiser une salope. Cette nuit-là dans mon lit, je n’arrivais pas à m’endormir, et je me suis masturbée en pensant à lui.

Un jour, seule à la maison, je m’ennuyais ferme. Max était parti avec ses potes, à la pêche, ou un truc comme ça. J’avais vu, en passant devant, qu’ils avaient ouvert un sex-shop sur le boulevard. Sur un coup de tête, j’ai décidé d’aller visiter ce magasin, pour voir s’il y avait quelque chose d’intéressant.

Je me suis amusée à porter une tenue affriolante, décolleté plongeant, et jupe courte à frous-frous. Des bottines cloutées complétaient ma tenue. J’exposais la moitié de mes seins et mes jambes gainées de nylon. Je ressemblais à ce que j’étais, une chatte en chaleur.

Quand je suis entrée, les hommes qui étaient dans le magasin me regardaient, mais aucun ne s'est approché. Les hommes semblent toujours en quête de sexe, mais quand il y a une femme sexy dans les parages, ils ne font que regarder. C'est incroyablement frustrant, quand ma chatte a besoin d’un coup de bite.

J'ai me suis promenée dans les rayons, feuilletant des magazines, surtout ceux de l'étagère du bas, qui m’obligeait à me pencher, et à montrer mon cul mal dissimulé par ma courte jupe. J'avais capté l'attention de plusieurs hommes dans le magasin, mais aucun ne se décidait à m’aborder.

Je suis passée dans le rayon des godes vibrants. Certains étaient en exposition, j’en ai profité pour essayer. Je mettais en marche la vibration, et je me caressais le visage avec, pour voir la réaction des mâles présents. Chaque fois que je croyais avoir capturé un regard, il se détournait pour fuir toute conversation.

J'étais sur le point de partir en chasse ailleurs, lorsqu'un groupe de quatre jeunes noirs est entré. Ils m'ont remarquée très vite. Mais eux, ils n'étaient pas timides. Ils se sont approchés :
«Bonjour, Mme Novelle. Vous n’allez pas acheter une de ces fausses bites ?»
J'étais étonnée que ce gars me connaisse, mais aussi excitée : «Vous me connaissez ? D’où ?»
«Max… Maxime Larron. J'étais dans votre cours d'histoire il y a trois ou quatre ans. Impossible de vous oublier, avec vos tenues sexy qui faisaient bander tous les mecs du lycée ! Alors, vous voulez une fausse bite ?»
«Peut-être ! Pourquoi pas ?»
«Une grosse ?» demanda un autre mec.

«La plupart des femmes aiment les grosses bites. Celle-ci m’intéresse» je désignais un gros gode noir.

Un autre coquin est intervenu : «Merde! Quel châssis !» Il soupesait et pressait mon sein.

Sans lâcher ma poitrine, ses doigts s’emparèrent de mon mamelon durci, le broyant et triturant le bouton sensible. Une main passait sous ma courte jupe pour cajoler mes fesses. Je ne savais même pas à qui j’avais à faire. En même temps, ma respiration haletante, et ma bouche grande ouverte ne pouvaient pas les convaincre d’arrêter leur invasion.

«Oh, doucement … tout le monde nous regarde. Et vous, qui êtes-vous ? Ah … Ouche … Waouh !»
Le coquin qui jouait avec ma poitrine a répondu : «Moi ? Habib ! Bien sûr que tout le monde te regarde. T’es une vraie bombe ! Avec une poulette comme ça, je pourrais m’amuser pendant des heures ! De la dynamite ! Bon sang, j’ai la queue toute raide, rien que de te regarder. Sors tes gros nichons !» Il a déballé mes loches et m’a tripoté partout.

«Ah ! Mais elle a un string ! Je l’avais pas vu ! Mignon ! Transparent … Oh putain… elle est trempée, la salope !» 
«Enlève-lui ! Tu la doigtes ?»
«Ouais ! Trois doigts dans la chatte, et elle n’a même pas frémi !»
Les quatre salopards m’entouraient et mettaient leurs mains partout.

«Oh, arrêtez, s'il vous plaît ! Ah, je vais jouir !» je gémissais, impuissante et docile.

«Occupe-toi de son clito, Malik !»
Je ne pouvais plus réprimer mes gémissements excités. Les doigts de Malik malmenaient mon clitoris sensible. Les doigts de Harry baisaient ma chatte. Les mains de Habib pétrissaient mes seins. Je sentais que la situation commençait à m’échapper.

«Préfère-tu une fausse bite en plastique, ou quatre vraies en chair ?» Demanda Habib.

«Oh, oui … oui !»
«Oui quoi ?»
«Quatre ... quatre grosses bites noires ... !»
Max prenait la direction des opérations : «Tu nous as toujours donné des devoirs difficiles en classe, Mme Novelle. Maintenant, c'est à ton tour de faire tes devoirs … des devoir difficiles !»
Quelques minutes plus tard, j'étais à l'arrière de leur gros 4x4, en train de faire mes premiers devoirs. La bite de Harry enfoncée dans ma gorge, Malik, entre mes cuisses, baisait ma chatte, et Max tripotait mes tétons pendant que Habib pilotait le truck. Les occupants des voitures qui roulaient à côté de nous sur le périphérique regardaient une salope en train de se faire baiser.

Accroupie en travers de la large banquette arrière, Malik, cramponné à mes hanches, me baisait en levrette. Harry appuyait de toutes ses forces sur ma tête pour voir jusqu’où poussait s’enfoncer son énorme bite noire dans ma gorge. Max, assis sur le passage de la transmission, entre les sièges, maltraitait mes mamelons. Et Habib commentait les ouvrages de ses potes en nous surveillant dans le rétroviseur.

«Assure-toi de bien faire tes devoirs, Nina ! Surtout ne sèche pas les cours, ou tu auras une punition ! Et c’est moi qui distribue les punitions, ici !» Rigolait Habib depuis le siège du conducteur.

Je ne pouvais pas répondre, Harry bâillonnait ma bouche. Je ne pouvais que gémir pendant que ces trois taureaux fougueux utilisaient mon corps. Ma chatte commençait à convulser.

«Cette salope jouit déjà» annonçait Malik à ses potes. «Sa chatte tremble et palpite sur ma bite.»
Quelques minutes plus tard, nous étions chez Habib, un squat abandonné en banlieue. Nous étions tous entièrement nus, agglutinés sur un vieux matelas crasseux au milieu de la pièce. Les quatre baiseurs étaient montés comme des étalons de concours. Je n’avais jamais vu de bites aussi grosses.

Je chevauchais Malik allongé sur le dos, pendant que Harry, accroupi derrière moi, me perçait le cul. Habib utilisait ma bouche, et Max continuait d’astiquer mes nichons. J’avais les mains occupées sur les bites qui passaient à ma portée.

J'ai perdu le compte de mes orgasmes. Je jouissais presque à flot continu. Les bites échangeaient leurs places. J’évoluais dans un univers parallèle où les mâles qui me baisaient n’étaient que des bites géantes. Après plusieurs heures de baise violente, chacun des membres avait joui plusieurs fois dans mes orifices. J'étais épuisée et pantelante. Le sperme qui s’écoulait de mes orifices dilatés tachaient un peu plus le vieux matelas crasseux.

Après avoir récupéré un peu mes esprits, je suis partie en quête d’un lavabo, afin d’effectuer une toilette sommaire. Miracle, j’ai découvert une salle de bain en état de marche. J’en ai profité pour prendre une douche. Propre et requinquée, je suis allée à la recherche de mes vêtements. Les gars s’étaient rhabillés, pomponnés, prêts à partir, et ils avaient fait chauffer un barbecue dans la cour arrière.

Après avoir fouillé toutes les pièces à la recherche de mes vêtements, je n'ai pu trouver que mes talons. Tout le reste était introuvable ! J’ai rejoint les quatre voyous pour leur demander s’ils savaient où étaient mes fringues.

«Tu es très bien comme ça, Nina ! Reste comme tu es, tu n’as pas besoin de vêtements !» m’a dit Max avec un sourire narquois.

«Mais je ne peux pas rentrer chez moi à poil !»
«Tu n’as pas besoin d’aller chez toi ! Tu peux rester ici, avec nous ! On va faire à manger, des potes vont se joindre à nous, et on va te baiser !»
Un frisson parcourut ma colonne vertébrale, de mon cerveau malade jusqu’à ma chatte, qui s’humidifiait à la pensée d’être encore baisée. J’ai essayer de garder une voix calme.

«D’autres gars vont venir me baiser ? Oh putain… je ne sais pas si je vais être capable ...!»
«Ça n'a pas d'importance. Eux seront capables. On va te baiser toute la nuit. Maintenant, viens manger, Nina, tu as besoin de reprendre des forces !»
Max s'est approché de moi pour caresser mon corps. Il a palpé mes seins, l'un après l'autre, puis sa main a massé mon cul nu. On aurait dit un gamin dans un magasin de jouets, ses yeux brillaient d’excitation :
«J’en ai rêvé pendant mes années de lycée. Je me branlais en pensant à toi, Nina. La prof d’histoire sexy, jamais ne n’aurais pu imaginer t’avoir nue entre mes mains. Une femme mariée, respectable … qui se transforme en chienne dès qu’elle a une bite dans sa chatte gourmande !»
Sa main bougeait entre mes cuisses : «Écarte, salope !» ordonna Max.

J'ai obéi, et trois doigts agressifs se sont enfoncés brutalement dans ma chatte. J’ai poussé un cri de surprise et d’inconfort. Mais je ne pouvais pas m’empêcher d’onduler des hanches sur ces doigts impertinents, gémissante et pantelante. Sans ôter ses doigts de ma chatte, Max m’a entraînée vers le matelas crasseux, avec les trois autres qui suivaient le mouvement en reluquant mes fesses.

Deux gars sont arrivés au crépuscule, Tony et Kevin, deux jeunes noirs. Sur le matelas crasseux, je chevauchais Harry pendant que Malik me prenait cul. Max était dans ma bouche.

«Dis bonjour à mes potes, Tony et Kevin, Nina !» ordonna Habib.

«…»
«C’est qui cette pute, d’où sort-elle ?»
«C'est pas une pute ! C’était notre prof d'histoire … Du temps où on allait au lycée. Mme Nina Novelle. Une bourgeoise respectable et mariée. Et un bon coup … !»
«C’est pas possible ! Vous me faites marcher ! Vous la baisez depuis longtemps ? À quelle fréquence ?»
«On la baise quand on veut, elle est à notre disposition !»
«Des conneries ... Vraiment?»
«Demande-lui. Max, libère sa bouche, qu’elle réponde à Tony»
«Tu baises sur commande, salope?»
Harry et Malik ont accéléré leur rythme, heurtant leurs grosses bites en moi. Je haletais, gémissante et geignante, incapable de parler, secouée par le tempo forcené des deux abrutis qui me mitraillaient.

«Tu baises avec tout le monde ? Sur commande ? Nina ?» répéta Tony.

«OUI ! OUI ! OUI ! Ah… OUI !»
Ces individus virils m'ont gardée deux jours, nue, à leur disposition. Je n’ai pas eu beaucoup de repos. Ma chatte, mon cul et ma bouche étaient à leur service. Je n’ai pas eu l’honneur d’utiliser une chambre où j’aurais pu m’isoler un peu. Je n’ai fréquenté que le vieux matelas crasseux.

Ils étaient tous montés comme des pur-sang, vigoureux et fertiles. Ils n’ont pas utilisé de préservatif, et j’étais contente d’être ménopausée. D’autres gars ont rejoint les six premiers. J’étais devenue une bête de concours, mais je me demandais si je pourrais encore marcher quand ils en auront fini avec moi.

Quand ils prenaient une pause, les gars racontaient des histoires sur les salopes qu'ils avaient baisées. Ils ont tous dit que j’étais la meilleure, et ils recommençaient à me baiser.

Quand ils m’ont ramenée chez moi, ils étaient obligés de me soutenir parce que je ne pouvais plus tenir sur mes jambes. Ils m’ont ramenée de nuit. À la maison, Max ronflait sur le divan, devant sa télé allumée. Je l’ai laissé là.

Mon gendre :
Ma fille Charlène est mariée à un très bel homme, Philippe, qui travaille dans le bâtiment. Max et moi, nous les voyons souvent, car nous sommes très proches. Parfois, lorsque j’ai des congés, je passe quelques jours chez eux, parce qu’ils ont une petite villa en banlieue.

Lors d'un séjour chez eux, sans raison particulière, je me suis réveillée tôt, à l’aurore. J'ai enfilé mon peignoir et mes pantoufles, et je suis allée à la cuisine pour me faire un café. Je suis passée devant la chambre de Philippe et Charlène. Leur porte étant entrebâillée, j'ai juste jeté un coup d’œil à l'intérieur, et j'ai vu ma fille Charlène, entièrement nue, en train de chevaucher sauvagement son mari allongé sur le dos. 
Elle rebondissait sur sa bite, telle une walkyrie chevauchant son fidèle destrier. Penchée en avant, elle lui offrait ses gros seins à sucer. Je pouvais clairement voir la chatte étirée de ma fille coulissant sur la grosse bite de son mari.

C'était la première fois que je les voyais en pleine action. Philippe était fort, grand et épais, et il était évident que Charlène prenait beaucoup de plaisir. Ma fille tournait le dos à la porte, elle n'y avait aucune chance pour elle de s’apercevoir de ma présence. Mais quand mon gendre a levé les yeux, il m'a vue dans l’entrebâillement, avec ma main entre mes cuisses, en train de m’astiquer la chatte.

Il m'a souri, et il a baisé Charlène encore plus fort. Elle est venue très vite en s’effondrant sur le torse de son mari. Sa jouissance a déclenché l’orgasme de Philippe. Leurs grognements et leurs gémissements m'ont fait gicler presque en même temps. Je me suis sauvée très rapidement, mais je savais que Philippe m'avait vu jouir.

Je suis allée me servir un café, puis je suis retourné dans la chambre, mais impossible de retrouver le sommeil. Je me suis branlée longuement, en pensant à ma fille et à mon gendre, à mes élèves, à mes amants, ils ont tous défilé dans mon esprit pervers, avant que je me rendorme, épuisée. Je n'ai aucune idée de la durée de mon sommeil sans rêve, avant de me sentir retournée sur le dos et montée par un mâle en rut. 
Un arbre tendu m’a ouverte et pénétrée froidement. J’ai couiné en me sentant étirée et remplie. Machinalement, j’ai ouvert mes jambes et je les ai repliées pour faciliter la saillie. J’ai entrebâillé mes yeux et, dans le petit jour qui filtrait entre les volets clos, j’ai reconnu mon gendre, Philippe. J’ai essayé de le repousser, mais il m’a dominée facilement et m’a murmuré, avec une autorité toute masculine : «Ouvre tes jambes, salope !»
Quand un mâle me parle ainsi, je n’ai plus aucune volonté, je me soumets instantanément en obéissant à ses désirs. C’est Philippe qui m’a fourni les explications nécessaires :
«Charlène est partie tôt parce qu’elle va à la salle de sport avant d’aller travailler. Moi, j’ai encore 1/2 heure avant de partir, alors je ne vais pas perdre mon temps à discuter. Je rêve de toi depuis longtemps, Nina. Tu chauffes tous les mâles avec tes tenues sexy, et ta fille m’a suffisamment parlé de ta façon de beugler quand ton mari te baise, ça m’a rendu fou quand je t’ai vu te masturber ce matin, pendant que tu nous regardais baiser, ta fille et moi.»
Sans plus de discours, Philippe a glissé ses mains sous mes fesses pour me soulever le bassin, et il a heurté ma chatte comme s’il voulait la démolir. Sous ses furieuses poussées, ma vulve s’est contractée, mon clitoris s’est mis à danser, je me cramponnais à ses épaules pour ne pas sombrer trop tôt dans un orgasme intense.

Ma chatte me faisait mal, mais j’ai découvert qu'il savait utiliser sa grosse bite pour faire plaisir à une femme, mon gendre était en fait un étalon tout en maîtrise et insatiable. Mes cris ont augmenté en volume et en fréquence pendant qu'il me labourait mon vagin. J’ai joui, mes jambes tremblaient, et lui imperturbable, continuait sur le même rythme.

J’ai découvert que mon gendre était beaucoup plus costaud qu'il n'en avait l'air. Il m’a soulevée sans effort, comme une poupée gonflable, tout en gardant sa queue plantée dans ma chatte. Il m’a promenée autour de la chambre en me faisant rebondir sur son arbre profondément encastré. Je ne pouvais plus m'arrêter de couiner. 
Il a appuyé mon dos contre le mur en soulevant mes jambes plus haut, m'a écartelée comme une grenouille, ouvrant ma chatte à son intrusion implacable. Il m’a perforée … farouchement ! J’ai hurlé en le sentant heurter mon col. Ses grognements masculins se mélangeaient à mes plaintes féminines lorsque sa bite plongeait et fouillait ma chatte douloureuse. J’ai giclé en jouissant.

Il s'est assis sur une chaise avec moi le chevauchant, et il m’a serrée dans ses bras, tendrement. Fini la violence, la baise sauvage, il m’a câlinée, en m’embrassant et en me pelotant. Je ne pouvais pas m'empêcher de soupirer de plaisir pendant qu'il suçait et pressait mes mamelons. Avant de partir travailler, il m’a fait nettoyer sa bite avec ma bouche. Mon trouble mouillait ma chatte quand il m'a ordonné de le sucer. 
Une autre fois, j’étais venue passer quelques jours chez ma fille Charlène et mon gendre Philippe. Il y avait son jeune frère, Simon, qui était là pour une semaine. Avec Charlène, nous nous sommes installées sur la terrasse, en maillot de bain, pour profiter du soleil. Quand je suis chez ma fille, je ne me gêne pas, et je mets un maillot minimaliste.

En bas, un string, une ficelle à la taille, une autre dans la raie des fesses et un triangle qui dissimule ma chatte. En haut, les bonnets ne cachent que les tétons, pas les aréoles. Les garçons jouaient au ballon, mais Philippe envoyait le ballon de notre côté et, quand Simon venait le chercher, il avait les yeux qui lui sortaient de la tête.

Simon n’avait pas encore 18 ans, il est de la fin de l’année, et il était probablement puceau. Avec Charlène, on riait sous cape de voir son embarras. Sur nos transats, le regard dissimulé sous nos lunettes de soleil, nous surveillions la bosse qui déformait progressivement le devant de son short.

On repliait nos jambes, les talons près des fesses, en agitant élégamment nos genoux comme pour nous rafraîchir. Bien évidement, le mince tissu du maillot soulignait les formes charnues et fendues de nos chattes. Et le gamin n’en perdait pas une miette.

Ma fille et mon gendre ayant dû s’absenter, ils m’avaient laissée seule avec le gamin. Fini la rigolade, je m’étais prestement allongée à plat ventre sur le transat. J’ai demandé à Simon de me passer de la crème solaire sur le dos. Il avait les mains douces. Il ne descendait pas sous les reins, j’ai dû insister pour qu’il m’enduise les fesses, en lui disant que c’était là que je redoutais le plus les coups de soleil.

Puis, j’ai écarté les jambes pour qu’il me badigeonne l’intérieur des cuisses. Ses mains frôleuses mouillaient ma chatte, et il fallait vraiment que le gamin soit inexpérimenté pour ne pas s’apercevoir de mon état de faiblesse. En tournant la tête, j’ai vu le devant de son short déformé par un piquet de tente. Je me suis assise sur le transat, il restait debout à côté de moi, les bras ballants, rouge de honte :
«Ne reste pas comme ça, tu vas attraper du mal ! Aide-moi à t’ôter ton short !»
J’ai dû me pencher et tendre le bras pour l’attirer vers moi, il était tétanisé. J’ai fait glisser son short, et sa bite m’a sautée au visage. Elle oscillait dans le vent, au grand désarroi de son propriétaire, rouge d’humiliation. Il possédait un sexe d’une taille tout à fait honorable et, quand je l’ai pris en bouche, c’était très agréable, pour une fois, de ne pas avoir à faire à un pervers qui voulait absolument me l’enfoncer dans la gorge.

Après plusieurs minutes à jouer avec sa bite et ses testicules, suçant, léchant, j’ai déplié un tapis de gym au sol et je lui ai demandé de s’allonger dessus. Aussitôt, je l’ai enfourché et je me suis assise sur sa bite tendue. Après quelques mouvements du bassin, destinés à trouver la position la plus confortable et à s’ajuster, j’ai commencé à monter et descendre sur son pieu de chair. Progressivement, j’ai augmenté mon rythme en heurtant mes fesses sur lui.

Encore quelques minutes de baise furieuse, il a grogné, a attrapé mes hanches et s’est encastré profondément dans ma chatte ruisselante. Son geyser de sperme au fond de ma vulve a provoqué ma volupté. Je me suis effondrée sur lui, et j’ai pris sa bouche pour le remercier du vertige qu’il venait de me donner.

Après s’être vidé les couilles dans ma chatte, je m'attendais à ce qu'il disparaisse dans sa chambre, mais j'avais oublié que c'était un gamin de 17 ans, au faîte de sa vitalité sexuelle. Nous sommes restés sur la terrasse jusqu’au crépuscule, et il m’a baisée presque continuellement dans ma chatte, dans mon cul, et dans ma bouche. 
Le lendemain matin, je m’étais levée tôt, en pleine forme suite à la bonne baise de la veille. Je pensais être seule avec Simon, et je projetais d’aller le réveiller dès que j’aurais pris mon café, mais Philippe était encore là, en train de siroter une tasse de café, quand je suis entrée.

«Bonjour Nina. Je t'attendais. Aimerais-tu visiter le chantier sur lequel je travaille actuellement ?»
«Les visites sont autorisées sur le site ?»
«Normalement, non. Mais je suis le chef de chantier. Alors ?» Il me souriait.

«J'adorerais.»
En chemin, il m'a caressée la jambe en remontant sa main sous ma courte robe.

Quand nous sommes arrivés sur le site, un bâtiment en cours d’achèvement, Philippe a fait signe à l'un des gars de son équipe lorsque nous commencions la visite. Nous n'étions pas allés très loin lorsque j'ai senti sa présence contre moi. J'ai baissé mon regard, j’ai vu que sa bite était sortie, et qu’il la poussait dans ma main.

«Tu veux me ...» ai-je commencé à dire, mais je me suis tue lorsque Philippe m'a courbée sur une table, a soulevé ma robe pour m’enfourner sa grosse bite épaisse dans ma chatte voluptueuse. Il n'y a pas eu de préliminaires. Je n'en avais pas besoin. Ma chatte était déjà marécageuse. Il a commencé à me baiser, puis il l'a ressortie.

Il s’est positionné devant mon anus et il l'a enfoncé. J'ai gémi et il m’a enculée. Durement, profondément. Mes cris étaient couverts par les bruits du chantier. Il m’a dit que j’étais une salope. La pire salope qu’il n’avait jamais baisée.

Je le suppliais de me baiser plus fort, je lui criais ma jouissance imminente, je me cambrais pour sentir ses couilles heurter ma chatte. Il est venu rapidement et s'est retiré. Je me suis redressée et j'ai commencé à ajuster ma tenue.

Il m'a attrapé par le bras, et m'a fait pivoter face à lui. Il a ouvert mon chemisier, et il a sorti mes seins. Il m'a poussé à genoux et j'ai vu qu'il n’avait pas débandé. Il était naturel pour moi d'ouvrir la bouche et de le sucer.

Absorbée par ma tâche, je n’ai pas vu entrer le type. Philippe a sorti sa bite de ma bouche, et m'a aidée à me relever. Il m’a montrée le grand noir qui se tenait là, silencieux, et m’a dit d'aller l’embrasser. Je me dirigeais vers le gars, en ondulant des hanches, mes seins nus se balançaient librement.

Je lui ai offert ma bouche, il m’a embrassée profondément, nos langues luttaient ensemble. En même temps, il a sorti un long serpent noir. Il m’a soulevée une jambe et m'a prise debout. J’ai enroulé mes jambes autour de sa taille. Philippe s’est introduit derrière moi pendant que le black mamba dévastait ma chatte. J'étais empalée sur deux bites monstrueuses, et j'ai aimé chaque seconde.

Je suis bien malheureuse d’avoir un mari impuissant. Je suppose que je devrais me contenter d’étalons de passage pour soulager ma misère. Je ne refuse jamais de rendre service. Après tout, un professeur doit faire ses devoirs.

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Texte coquin : Éducation Sociable - suite
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