Eléonore 4 et fin

- Par l'auteur HDS linsee -
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Récit libertin : Eléonore 4 et fin Histoire érotique Publiée sur HDS le 29-07-2025 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Eléonore 4 et fin
Eléonore 4 fin



Après lui avoir partagé avec son mari, son désir d'explorer le BDSM, elle l'invite, à la demande de son amant Victor, à assister aux séances organisées par lui et sa complice Camille, un couple expérimenté dans ce domaine.

Dès leur première rencontre, Armand ressent une tension palpable dans l'air. Éléonore, vêtue d'un corset noir qui épouse parfaitement ses courbes, rayonne de confiance. Victor, avec son air autoritaire, sait comment instaurer une ambiance, tandis que Camille, à la fois douce et provocante, joue le rôle de la complicité parfaite.

Au début, Armand se contente d'observer, son cœur bat la chamade, tandis qu'Éléonore se laisse emporter par les instructions précises de Victor. La soumission est totale, chaque coup de fouet marque la peau d'Eléonore qui se cabre. Armand, malgré l'appréhension, il ne peut s'empêcher d’admirer la transformation de sa femme. Son corset lui est retiré, c'est entièrement nue que Victor veut sa proie. A chaque coup, Eléonore offre encore plus son corps à la morsure du cuir.


Armand est captivé par le côté sauvage de sa femme qu'il ne connaissait pas. Il se surprend à ressentir une montée d’excitation chaque fois qu'elle reçoit un coup. Un mélange troublant de jalousie et de désir monte en lui, mais sa verge ne peut répondre à son désir.

Victor, est témoin de l'abandon total de sa femme, il l'entend souffler, geindre. Mais Lorsque Victor commence à utiliser, un gode monstrueux, Éléonore se laisse aller.

Il enfonce la verge factice profondément dans la chatte de sa soumise, qui pousse un long râle. Il passe le relai à Camille, comme une experte elle fouille la vulve, en faisant tourner le gode. Son amie geint, se tend comme un art, un rictus affreuse marque son visage. Le ramonage qu'entreprend Camille et de plus en plus violent. La gaine fortement dilatée, qui reçoit la bite de silicone, lâche son jus.
Le va-et-vient est soutenu. Eléonore agite son bassin en grognant. Victor décide de faire intervenir un autre outil de plaisir.

Il fait glisser entement sur le corps de son amante, une lanière de cuir, Camille cesse de manœuvrer le gode, mais le maintient bien planté dans le vagin. Le premier coup s'abat. Eléonore grimace elle se cambre davantage, Victor vise particulièrement les mamelons qui à chaque coups s'agitent en prenant du volume. Les mamelons deviennent vite violacés, des stries rouges marquent les lobes mammaires.

La soumise souffle comme un dragon, geint à chaque coup qui s'abat sur sa poitrine. Sa chatte laisse échapper un filet de cyprine. Armand est estomaqué, sa femme prend du plaisir en se faisant flageller.

Camille reprend la direction du gode. Les allers et retours de l'engin dans la gaine dilatée, sont violents. la jouissance n'est pas loin. Quelques pressions sur le gode pour l'enfoncer au maximum, provoque la jouissance. Eléonore se cambre et en hurlant explose.
Armand ressent chaque frisson qui parcourt son corps. Il se surprend à envisager de rejoindre le jeu. Éléonore, encore tremblante d’excitation, se tourne vers Armand avec un regard pétillant. Ils échangent des mots chargés de tension.


Camille retire le large gode, caresse la vulve dégoulinante et y enfonce un à un ses doigts. Armand regarde en écarquillant les yeux la main disparaitre dans le ventre de sa femme. Mais dès que Camille commence un va-et-vient terrible, Eléonore hurle :

-Oui, oui Camille, Camille !

La main fouille le conduit en arrachant à Eléonore des gémissements monstrueux. Camille semble s'acharner, elle ramone comme une dératée la vulve débordante de cyprine. Victor en surchauffe, offre aux lèvres d'Eléonore sa verge gorgée de sang. Tout en geignant, elle suce tant bien que mal la bite qui voyage dans sa bouche.


Soudain Victor la saisit par les cheveux et tire fortement. Sa queue s'enfonce jusqu'aux couilles dans la bouche de son amante, qui pousse un râle étouffé d'agonisante. Avec la tête d'Eléonore il fait un va-et-vient, terrible. Elle subit une gorge profond démentielle. Une écume de bave s'échappe de sa bouche martyrisée, ses yeux sont remplis de larmes, des hauts le cœur la font sursauter.
A chaque fois qu'il tire sur les cheveux de son amante, ses couilles frappent violemment sa bouche.

Camille grince les dents. Excitée par le spectacle, elle ferme le poing et accélère le ramonage. Victor en grognant envoie dans la gorge d'Eléonore plusieurs jets de sperme, elle le repousse brutalement, et avec difficulté avale la semence en grimaçant. Camille ne lâche pas sa proie, elle enfonce au maximum sa main dans le ventre de son amie, qui pousse un hurlement inhumain, et jouit comme une damnée.

Armand se trouve dans une tensions extrême. Il attend que Camille retrie sa main de la vulve béante d'Eléonore pour la repousser, il plonge sa tête entre les cuisses de sa femme et lui aspire le clito, il le suce, le mordille avec rage. La soumise se cabre, geint comme une bête malade, et jouit encore une fois. Armand avale avec gourmandise le jus que le fruit trop mûr ne peut retenir. Une fois gavé, il se retire en souriant, et dit :

-Elle est bonne ma femme, oh purain ce qu'elle est bonne !

Victor pose sur l'anus de son amante, un monstrueux vibro, il le fait tourner sur la rondelle ridée, un instant avant de l'enfonce profondément. Eléonore défaille, elle geint. Victor, n'en reste pas là, il enfonce aussi dans le vagin de son amante un œuf vibrant télécommander, et augmente la vibration du vibro au maximum. Il offre à Camille la télécommande. Et place sur les mamelons des pinces et une, également sur clito.

Vicieusement Camille, appuie sur le bouton, une violente décharge électrique secoue le ventre de son amie, qui serre les dents, en gémissant. Plusieurs fois la coquine utilise le bouton, à chaque fois Eléonore se cabre. Entre chaque secousse, Victor resserre les pinces. Cette une procédure qui fait hurler Eléonore.

Une jouissance terrible la fait cambrer, ses yeux sont presque révulsés, une moue affreuse marque son visage. Eléonore halète, elle, qui semblait s’épanouir dans les séances de BDSM, commence à montrer des signes de fatigue. Ses yeux, autrefois brillants d’excitation, semblent maintenant s’éteindre.

On retire le vibro ,l'œuf et la pince. Le clito violacé, est méconnaissable. Éléonore se tourne vers Armand avec un air sérieux et dit en recherchant son souffle :

- Je ne suis plus sûre de vouloir continuer ces séances !


Armand est déstabilisé. Elle, qui avait embrassé cette part d’elle-même avec tant de vigueur, semble maintenant tiraillée entre ses désirs et ses limites. Il lui demande

-Est-ce que c’est à cause de Victor et Camille ?

-Non, ce n’est pas eux. C’est… moi. Je pense que j’ai exploré une partie de moi que je ne suis pas prête à affronter complètement !

Il sait à quel point cette expérience était important pour elle, mais il réalise aussi que le BDSM peut être un terrain délicat, où le plaisir peut rapidement se mêler à la douleur, non seulement physique mais aussi émotionnelle.

Armand prend la main d’Éléonore, et il lui dit :

- Je veux que tu sois heureuse. Nous pouvons toujours explorer d’autres genres de plaisirs sexuels !

Éléonore épuisée, lui sourit faiblement, reconnaissante de sa compréhension. Victor la regarde, et lui demande :

-Je ne peux te laisser partir sans t'avoir offert une double !

bien qu'à bout de souffle, Eléonore acquiesce. Camille s'harnache d'un gode ceinture imposant, et, s'allonge sur le banc. Elle invite son amie à venir s'empaler sur sa bite factice. Eléonore, avec l'aide indispensable de son mari, s'empale sur le gode. Victor se place derrière elle, et lui enfonce sa bite dans le rectum, qui immédiatement emprisonne la visiteuse.


Les deux amants, s'agitent en elle en la faisant geindre comme une bête. Eléonore ondule du bassin en gémissant, les coups de reins de ses amants la font sursauter à chaque pénétration. Sa chatte est en feu, l'anus semble faire une fellation à la bite de Victor, tellement il est secoué de contractions. Victor donne de violents coups de reins en s'accrochant aux hanches d'Eléonore. Camille ne ménage pas son amie, elle dit :

-Joui, joui, ma chérie c'est la dernière fois aujourd'hui, joui !

Après de longues minutes de pilonnage, Eléonore explose de jouissance. Pour la récompenser, Victor lui remplit l'intestin de sa de sa semence. Enfin, on la libère.


Une fois à la maison, Armand est déçu. Il a vu Éléonore s'épanouir dans ce monde de soumission et de plaisir, alors pourquoi ce revirement, il revient à la charge :

- Que se passe-t-il, pourquoi que tu ne veux plus de BDSM.!

Eléonore répond :

- Au début, c’était excitant, mais maintenant, ça me fait peur. J’ai l’impression d’aller trop loin. J’aime la passion, mais tout ça… ça commence à me peser !

Armand lui prend la main, ressentant une vague d’empathie. Il sait que ce qu'ils ont vécu a éveillé en elle des désirs cachés, mais il comprend aussi que chaque exploration a ses limites. Il dit :

-Écoute, je ne veux pas que tu te sentes forcée à quelque chose. Nous pouvons arrêter !

Éléonore frissonne, ses pensées tourbillonnent. Les souvenirs des séances avec Victor, les moments de douleur mêlés à l'extase, la hantent. Elle a goûté à une intensité qui l’a fait vibrer, mais elle se rend maintenant compte qu'elle ne peut pas ignorer ses propres limites. Avec le temps, elle réalise qu’il n’est pas nécessaire d’explorer les limites de la douleur pour ressentir le plaisir. Et elle sait qu’elle peut toujours revenir à des explorations plus audacieuses si elle le désire.


Pour Armand, la compréhension de ses désirs devient une priorité :

- Alors, dis-moi ce que tu veux vraiment. Nous pouvons continuer à explorer sans aller trop loin. »

Éléonore hésite, puis propose :

-Que dirais-tu de garder l’intensité, mais de jouer sur le contrôle de manière différente ? Peut-être explorer plus. Je veux ressentir le frisson sans la peur !

Armand acquiesce, soulagé. Ils décident d’adapter leurs séances. Ils commencent à intégrer davantage de caresses, de jeux de rôle plus doux, tout en maintenant une tension érotique. Ils redécouvrent la passion d'être ensemble, se concentrant sur ce qui les excite sans aller jusqu’à la douleur.



Eléonore, accepte une nouvelle séance, mais à condition qu'elle soit raisonnable.
Armand assiste, le cœur battant, à la scène qui se déroule devant lui. Éléonore, sa femme, est à la fois belle et vulnérable, allongée sur le banc matelassé. La lumière tamisée de la pièce crée une ambiance à la fois intime et électrique.

Victor, avec maîtrise, manie la lanière de cuir avec une précision qui fait vibrer l'air. A chaque coup, Éléonore qui aime la lanière, se tortille sous l'impact, ses muscles se contractent alors qu'elle retient un soupir de plaisir et de douleur mêlés. Armand, bien qu'un peu nerveux, ne peut s'empêcher d'être captivé par la force et la grâce de sa femme à ce moment précis.

Les premiers coups sont légers, une introduction pour la préparer à ce qui va suivre. Éléonore se laisse emporter par la sensation, ses hanches se balancent légèrement, comme si elle cherchait à s'accrocher à chaque coup, à chaque vague d'émotion qui la traverse. Sa respiration devient plus rapide, et Armand peut voir le plaisir se mêler à l'adrénaline sur le visage de sa femme.

Victor, attentif aux réactions d'Éléonore, ajuste son intensité, en augmentant la force des coups. Éléonore se perd, son corps réagit à chaque impact, chaque caresse de la lanière évoque des frissons qui partent de son dos pour se répandre dans tout son être.

Armand admire la façon dont sa femme s’abandonne à l’expérience. À mesure que la séance progresse, Éléonore se laisse aller complètement, se tortillant avec une grâce sauvage sous les coups de lanière. Les sons qu'elle émet, entre soupirs et gémissements, lui font comprendre qu'elle est pleinement immergée dans cette expérience, jouant avec les limites de la douleur et du plaisir.

Victor, observe attentivement, il sait quand ralentir et quand intensifier le jeu. .
Finalement, Éléonore hurle :

-Prends-moi, prends-moi

Armand, ressent une vague de fierté et d’amour pour sa femme. Victor qui bande comme un poney, va combler le désir de son amante. Il plaque sa bouche sur la protubérance que forme le clito, il l'aspire et le suce voracement. le boule de chair triple de volume. Eléonore, gémit les succions sont féroces. Son mari émerveillé assiste à, sa jouissance. Eléonore se cambre et envoie dans la bouche de son amant un jet de cyprine. Victor surprit par ce mini geyser, se redresse. Il place sa bite contre la fente bouillonnante et l'enfonce jusqu'aux couilles. Un long gémissement sort de la gorge d'Eléonore. La bite vigoureuse, lui laboure le col de l'utérus, en la faisant geindre. Le va-et-vient de Victor, et de plus en plus rapide. Sa verge voyage dans la gaine brulante en arrachant des sons bruyants à la soumise.


Eléonore donne elle aussi des coups de reins violents, elle veut que l'empalement soit total. Une jouissance terrible la fait hurler. Victor déverse dans le ventre de son amante sa semence épaisse avant de se retirer. Comme une furie Eléonore se jette sur la verge gluante et la gobe, ses succions sont magistrales, ses aspirations violentes. La bouche vorace s'acharne sur le gland en le faisant perler. C'est en grognant comme un fauve, que Victor remplit la bouche de son amante qui avale la décharge sans rechigner. Armand et éblouit par la vigueur de sa femme, il la félicite.

Lorsque la séance se termine, Éléonore se redresse, le visage illuminé par un sourire radieux. Armand est assis sur une chaise en cuir, observe Éléonore qui se prépare pour une séance de sodomie. Armand, à côté d’Éléonore, lui murmure :

- Éléonore, Laisse-t-il aller, respire profondément !

Victor présente à l'anus son braquemard, et l'enfonce jusqu'aux couilles dans le rectum gourmand. Eléonore serre les dents en grimaçant, à chaque fois, la pénétration et douloureuse. Une bien en elle, la douleur disparait, la sodomie peut enfin. commencer

Victor défonce sans ménager son amante, qui aime être prise brutalement. La verge voyage dans la gaine étroite en arrachant à la soumise des gémissements rauques. Les muqueuses sensibles raclées par le gland puissant, produisent sur Eléonore un effet terrible. Une jouissance anale exceptionnelle, la fait hurler. Victor se soulage dans l'intestin de son amante. Son sperme épais glisse doucement dans le rectum, en faisant geindre Eléonore.

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Très belle fin Eleonore a appris et connaît ses limites de douleurs/plaisirs c’est un bon point
Daniel

Histoire Libertine
Enfin la fin...



Texte coquin : Eléonore 4 et fin
Histoire sexe : Une rose rouge
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