Élodie, voyeuse malgrè elle.

- Par l'auteur HDS linsee -
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Récit libertin : Élodie, voyeuse malgrè elle. Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-02-2024 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Élodie, voyeuse malgrè elle.
C'est l'été, les journées sont caniculaires. Jean-Paul attend la visite de son meilleur ami François, qui vient passer, avec sa femme, quelques jours de vacances chez lui. Ils ne se sont pas revus depuis de nombreuses années, chacun, c'est marié de son côté. François et sa femme, Estelle, vivent au Canada. François a hâte de revoir son ami, les deux n'ont gardé contact que part téléphone. Estelle, François et Élodie ne se connaissent pas encore. Jean-Paul est impatient, il fait les cents pas dans la maison. Quant à Élodie, après avoir préparé, le repas et la chambre des invités, elle se pomponne longuement devant sa coiffeuse, elle stresse un peu, car elle ne connait aucune des deux personnes. Elle change plusieurs fois de vêtements, rien ne lui convient. Enfin, elle opte pour une jupe et un corsage léger, qui mettent en valeur ses formes. Malgré ses quarante-cinq ans, elle est toujours coquette et sexy.



Enfin les amis sont devant la porte, Jean-Paul les reçoit, et les fait entrer au salon, ou Élodie prépare l'apéro. Les embrassades, de François et Jean-Paul, sont interminables. Élodie et Estelle se dévisagent longuement avant de s'embrasser, Estelle porte une robe d'été qui lui arrive à mi-cuisses, à laquelle, les premiers boutons ne sont pas fermés, donc on peut voir une partie du large sillon qui sépare les seins, c'est un régal pour les yeux. Les deux hommes complimentent les deux femmes sur leur beauté, les éloges pleuvent. Les femmes se regardent en souriant, elles haussent les épaules et, éclatent de rire. Déjà l'ambiance est bonne. L'apéro s'éternise, les hommes, bons buveurs, n'ont en jamais assez. Les femmes sont vite grisées, elles refusent de consommer plus d'alcool. Pendant que les hommes se racontent leurs souvenirs, Élodie fait visiter la maison. Elles arrivent dans la chambre, pose les valises. Estelle demande si elle peut prendre une douche, car la sueur du voyage la dérange. Élodie, lui montre la salle de bain, qui se trouve à l'étage, non loin de la chambre. Sans attendre qu'Élodie s'éloigne, Estelle fait tomber sa robe et son soutien-gorge. Sans aucune gêne, elle se trémousse en culotte devant elle. Souriante, elle s'approche de la salle d'eau.




Élodie regarde le corps presque parfait d'Estelle, la coquine en culotte, se déhanche comme un félin en approchant de la salle de bain. Élodie écarquille les yeux en voyant, le fessier se balancer avec souplesse devant elle. Estelle disparait enfin dans ma pièce d'eau. En prenant sa douche, elle chantonne. Cela laisse le temps à Élodie de faire le lit. On peut dire qu'Estelle est rapide, elle ressort de la salle de bain, nue et entre dans la chambre, Élodie surprise sursaute, ses yeux se posent sur la fine toison bien taillée. Elle, si prude, rougit de honte, gênée, elle tourne les talons et rejoint les hommes au salon. Les hommes ont bien consommé, ils sont euphotiques. Élodie ne dit pas un mot, elle est encore sous le choc. Estelle réapparaît, elle porte une jupe qui lui arrive à mi-cuisses, et un top qui lui moule parfaitement la poitrine.



Les deux hommes sifflent d'admiration en voyant Estelle. Élodie, elle, ne voit que ses longues jambes bien galbées, à chaque descente des marches de l'escalier, on peut apercevoir sa culotte. Élodie a les yeux rivés sur cette femme qui est encore une inconnue pour elle. Elle ne comprend pas pourquoi, que cette femme la trouble autant. Une fois assise, Estelle est Élodie, ne se quittent pas des yeux, elles ne cessent de se sourire. Enfin, il est temps de passer à table. Une fois le repas terminé, Jean-Paul propose de prendre le café sur la terrasse. Une fois avoir bu, les deux hommes s'étendent sur un transat. Les deux femmes papotent en faisant la vaisselle. Elle décide une fois la digestion faite de piquer une tête dans la piscine.




Élodie et Estelle, montent dans leur chambre, enfiler un maillot de bain. Les deux apparaissent en deux pièces, elles sont magnifiques vêtues ainsi. Elles et jettent dans l'eau et s'ébattent comme des enfants. Leurs jeux réveillent les deux hommes, qui prennent appuie sur leurs coudes pour regarder les deux joueuses, qui ne cessent de rire, en s'éclaboussant et se faisant couler. La fatigue a vite raison de leurs forces, elles sortent du bain et s'étendent sur l'herbe. Elles récupèrent en offrant leurs corps aux rayons du soleil. François se libère de son transat, il s'avance vers les deux femmes, et trouve place entre les deux. Avec douceur, il caresse le dos recouvert de gouttelettes d'eau de sa femme. Dès les premières caressent, Estelle se met à ronronner. La main s'avance vers le bas du dos en faisant de petits cercles sur la peau humide. Les doigts passent sous l'élastique, et s'enfoncent dans le maillot. On voit les mains s'agiter sous le tissu, le bougre palpe les lobes charnus de sa femme qui soupire.


Les doigts agiles glissent dans le sillon qui sépare les fesses, Estelle se cabre lorsqu'un doigt appuie sur sa rosette. Élodie est rouge comme une pivoine, elle se lève et va rejoindre son mari sur le transat. Les deux regardent le couple s'échauffer sans dire un mot. Un gémissement fait sursauter Élodie, François vient d'enfoncer son majeur dans l'anus d'Estelle. Il le doigte un petit moment avant de retirer avec regret, l'intrus profondément ancré dans la gaine étroite. Estelle se retourne et enlace son mari, elle l'embrasse goulument, les deux corps roulent sur la pelouse, ils se frottent comme deux reptiles qui veulent s'accoupler. Pendant la lutte amicale, Estelle, a les seins hors du soutien-gorge, son mari pose sa bouche dessus et les embrasse férocement, avant d'aspirer un à un les mamelons et de les sucer bruyamment. Élodie frissonne, Jean-Paul se redresse encore plus. Le couple d'amis semble les ignorer, les soupirs d'Estelle sont démonstratifs, la coquine plaque son torse contre la tête de son mari en l'incitant à lui faire encore plus de violences sur ses seins.


Soudain François reprend la lutte, il s'agrippe si fort la culotte qu'elle se déchire. Il envoie valser les lambeaux de tissu, sa femme en riant se redresse rapidement et s'enfuit. Estelle nue court dans tous les sens pour échapper à François qui lui dit :


-Oh ma salope, si je t'attrape, tu vas dérouiller, je te le promets !

Estelle telle une anguille glisse entre les mains de son mari, qui commence à rager un peu de son impuissance à saisir sa femme, qui ne cesse de rire en le provocant et en lui tirant la langue :

-Tu ne m'attraperas pas, tu ne m'attraperas pas !

François souffle comme un dragon, mais sa femme et bien plus agile que lui. François appel Jean-Paul en renfort :

-Jean-Paul, aide-moi, putain, elle va me le payer, tu as vu comme elle me nargue la salope !

Les hommes emploient une technique imparable, a chacun leur tour, ils courent après la fugitive. À bout se souffle, Jean-Paul la saisit à bras-le-corps et roule sur la pelouse avec. François lui dit :


-Tiens-la bien, je vais la corriger !

Jean-Paul l'immobilise, François en riant s'agenouille à côté de sa femme et commence à lui claquer les fesses. Estelle s'agite pour éviter les coups, mais en vain, Jean-Paul la maintient fermement. En écarquillant les yeux, Élodie regarde Estelle se tortiller sous les coups. François ne fait pas semblant, ses coups sont violents. Les fesses de sa femme changent rapidement de couleur. Estelle à chaque coup pousse un gémissement. Jean-Paul sent sur sa jambe un liquide couler, il dit :

-Oh putain, elle mouille ta femme François !



François éclate de rire et réplique :

-Oui, je le sais, elle va aussi jouir, soit patient !



François caresse les fesses de sa femme puis reprend la fessée avec encore plus d'ardeur, il dit :

-Vas-y ma chérie jouit, tu es au bout du rouleau, ne te retiens pas !


Estelle pousse un long râle et explose de jouissance. Élodie n'en revient pas qu'une femme puisse jouir en se faisant fesser. Sa chatte commence à bouillir. François sort de son pantalon sa queue qui est raide comme du bois. Il dit en souriant :

-Jean-Paul, écarte-lui les fesses le plus que tu peux, après une fessée, je me fais un plaisir de l'enculer, elle adore ça, elle jouit comme une dingue, tu vas voir !

Élodie ravale sa salive, elle ne veut pas rater ça.

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
La suite va être excitante !!
Bravo Linsee
Lolo

Merci de vos commentaires

Histoire Libertine
Hmmm

Histoire Libertine
Hmmm

Histoire Erotique
dites donc Vous êtes en forme en ce moment!!!félicitations!!



Texte coquin : Élodie, voyeuse malgrè elle.
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