Etonnante rencontre ! 3
Récit érotique écrit par Passud [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur .
- • 350 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 0.0 • Cote moyenne attribuée par HDS : 0.0
- • L'ensemble des récits érotiques de Passud ont reçu un total de 1 533 968 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-05-2024 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
Cette histoire de sexe a été affichée 2 020 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
Etonnante rencontre ! 3
Lorsqu'il rentre, il arbore un sourire de soulagement.
"J'avais peur que tu ne reviennes pas ! Merci, mon chéri !".
"C'est normal ! C'était pas trop dur de bosser après... euh... m'avoir... enculé ?".
"Tu plaisantes ! Ca m'a donné une pêche d'enfer !".
Il me prend contre lui, je sens encore son désir.
"Hummm, j'ai pas arrêté de repenser à ta p'tite chatte ! Mon chéri !".
"Georges ! Ca me gêne tous ces petits mots, que tu me dis ! J'suis pas encore à l'aise avec tout ça !".
"Faut pas ! Moi j'en ai besoin ! Tu vas t'habituer ! Tu verras ! Mais, ça te plait pas d'avoir une relation avec moi ? Tu préfères les coups d'un soir ?".
"Non ! Je préfère les longues relations aussi ! C'est plus discret et meilleur ! Mais je suis pas encore prêt pour les sentiments entre hommes !".
"Bon, je comprends ! On est d'accord ! Mais laisses-moi te donner des petits noms, ça me plait !".
"Ok !".
"Tu restes avec moi cette nuit ?".
"Si tu veux !".
"Super ! Alors, je t'emmène manger dehors, et je te ferai l'amour en rentrant !".
Cette expression est un choc, pour moi, elle me tétanise, puis, je repense à notre rapport de la veille.
C'est une évidence, il m'a fait l'amour, et j'ai adoré ça !
Ca me renvoie aux rares échanges tendres, que j'ai eu avec mon amant militaire, ceux qui ont révélés nos sentiments.
Tout ça me fait peur encore !
"Euh, par contre, si on va manger à l'extérieur, il faut être discret ! Je veux pas qu'on se doute de notre relation !".
"On risque rien ! On a qu'a dire que t'es mon neveu, ou un copain de boulot, comme tout les autres !".
"Je te fais confiance !".
"Au fait ! François m'a reparlé de toi, cet après-midi ! Il m'a dit qu'il fantasmait sur toi, à l'époque, mais qu'à son avis, c'est moi qui t'intéressai, il a raison ?".
"Euh... oui, j'avoue ! Tu fais partie des hommes qui me troublaient, je t'imaginai en train de me baiser, je l'avoue ! Mais tu m'aidais pas non plus, avec tes regards lubriques !".
"Putain, c'est fou qu'on ai perdu tout ce temps ! Je peux te le dire maintenant ! Mais je me suis branlé quelques fois aux chiottes de l'entreprise, en pensant à toi !".
"Ah ! Je pensais pas te plaire autant ! Désolé ! Si j'avais su !".
Je me fait "chatte" en me serrant contre lui pour un long baiser, tout en caressant sa grosse verge.
Son érection est compréhensive, on parle trop de sexe !
"Mon p'tit chat ! Prends-moi dans ta bouche ! Juste un peu, ça va me faire du bien !".
"D'accord, je comprends ! Ohhh ! J'aime la caresser, elle est tellement dure !".
Je baisse les yeux pour voir ce que je fais, en ouvrant son pantalon, qu'il baisse pour dégager sa verge épaisse.
Elle tombe sous son propre poids, dure et courbée sur le coté, avec son gland énorme.
"Je l'adore ! Même ses défauts m'excitent ! C'est encore meilleur quand tu m'encules !".
Je glisse le long de son ventre, puis ouvre mes lèvres pour les refermer sur sa grosse bite.
"Arhhhhhhhh ! Oui, chéri ! Pompes moi la queue ! Maintenant !".
"Mmmmm ! Putain, j'aime trop te sucer, Georges ! Mmmmm ! Glllllrp ! Mmmmmmmmm!".
Il saisit mon visage pour me prendre la gorge, en même temps que j'utilise ma langue et mes lèvres pour le sucer.
Je devine qu'il se contrôle, pour ne pas me défoncer la bouche en gorge profonde.
Mais à chaque fois qu'il me garde longuement, enfoncé profondément ,contre son gros gland, je régurgite un énorme reflux de salive.
On prend plaisir à ce jeu, mutuellement, mais après de longues minutes, il faut se rendre à l'évidence !
On est entrain de s'exciter !
"Putain ! Pascal ! Arrêtes, sinon, je t'encule ! J'ai trop envie ! Maintenant !".
"Arhh ! Oui ! T'as raison ! Moi aussi ! J'en ai envie ! Bon, il faut faire un choix ! On va manger ou tu me baises ?".
"Je sais pas, je sais plus ! Si je te baise, dans l'état, ou je suis, je te défonce !".
"Alors, fais-le ! Je préfère me faire défoncer maintenant, plutôt que ce soir !".
"Oui ! Du coup ! On fera l'amour quand même ! Je serai calmé !".
Il me voit me dénuder les fesses, et me placer en levrette sur son canapé.
Il vient me dévorer l'anus, puis très vite se colle à ma rosette, et pousse fortement avec sa bite couverte de salive.
En quelques assauts, il m'investit entièrement.
Ensuite, il entame sa saillie destructrice, je crie mon plaisir encore !
"Orhhhhhhh ! Putain ! Georges, c'est trop bon ! tu m'encules comme un dieu ! Arghhhh ! Arghhhh ! Arghhhh !...".
"Tu aimes que j't'encules comme une pute ? Ca fait pas trop ? Deux fois dans la journée ?".
" Arghhhh ! Arghhhh ! Arghhhh ! Non, tu peux le faire autant de fois que tu veux ! Arghhhh ! Arghhhh !...".
"Orhhhhhhhhh ! Je t'adore ! T'es à moi ! T'es ma p'tite salope ! Maintenant ! Dis-moi que t'iras plus voir Antoine !".
"Non, j'irai plus ! Arghhhh ! Arghhhh ! Arghhhh ! J'suis à toi ! Arghhhh ! Arghhhh !...".
Je mord le coussin, sous mon visage, pour jouir, pendant qu'il continue de se déchainer.
Mon anus dégouline comme une chatte, avec un bruit de claquement humide à chaque enfoncée.
Il me fait pivoter, puis revient entre mes cuisses, qu'il maintient en s'acharnant dans mon trou béant, et poisseux.
"Arhhh ! Mon bébé, j'aime trop ta chatte ! Tiens salope ! Tiens !".
C'est plus rapide que d'habitude, mais je me mets à bander pendant qu'il m'encule.
Mon plaisir est énorme !
Je m'asperge le tee-shirt et le bas ventre, en râlant que j'aime jouir avec lui.
Il me procure deux autres orgasmes, puis sort et m'attrape par la nuque pour m'enfourner la gorge.
J'avale son éjaculation en gémissant de plaisir cérébral, c'est tellement jouissif !
Tout se superpose, le sperme dans ma bouche, ses cris de jouissance, mes gémissements de plaisir buccal.
Ses mots d'amour ensuite, quand je lui lèche amoureusement la bite.
Nos regards se fixent longuement, personne n'ose dire un mot.
Mais l'intensité de ce plaisir nous remplit de bonheur, c'est évident !
Il s'éloigne, puis revient avec une serviette de bain, et m'essuie les fesses.
"Voilà, t'es tout propre ! Mon chéri !".
"Merci ! J'espère que ça va pas me gêner tout à l'heure ! T'y es allé fort !".
"C'était bon ? Non ?".
"Super ! J'ai pas à me plaindre ! Tu m'encules bien à chaque fois !".
On se rend dans une petite pizzéria, puis on rentre vers 22h30.
J'ai encore un trouble suite à cette sortie, il n'a cessé de poser sa main sur ma cuisse, dès qu'il le pouvait dans l'auto.
Puis me caressait la main au restaurant, avec des yeux amoureux.
C'est pas la première fois que je subis cet élan d'amour, mais ma courte expérience avec les hommes et ma jeunesse, font que je ne sais pas quoi faire avec ça !
Toutefois, en jeune égoïste, je prend ce qu'il me donne ! C'est tellement agréable !
En passant sa porte, il me demande:
"Tu veux aller te coucher maintenant ?".
"Si c'est pas pour dormir, je veux bien !".
"Alors ! Viens, je t'emmène !".
Il me porte comme une jeune mariée, puis me dépose sur mes pieds devant son lit.
Il m'effeuille en me couvrant de baisers, sur tout mon petit corps.
Il se dénude en même temps.
Il me couche sur le dos, me tient les jambes en les pliant, afin de me dévorer l'anus.
"Hummm ! J'aime te manger le cul ! Il est encore humide et un peu ouvert, ça m'excite, mon p'tit chat !".
"Ahhhhh ! C'est bon, encore ! J'aime ta langue !".
"Tu sais que je vais y remettre ma queue ! Tu le sais ?".
"Oui, mais tu vas pas me baiser, tu vas me prendre moins fort, j'espère !".
"Oui, chéri ! C'est ça que je veux !".
"Mmmmm ! J'en ai envie ! Prends-moi !".
Il remonte vers ma bouche, et glisse sa langue dans ma gorge.
Il prend rapidement sa place dans mon anus.
Je le serre fortement contre moi, en gémissant dans sa gorge.
Il se dresse et demande:
"Tu jouis encore ? C'est ça ?".
"Arhhhhh ! Non ! Ca fait trop longtemps que tu m'as enculé, mais c'est encore trop sensible ! Oh putain, c'est trop bon ! J'arriverai pas à t'expliquer ce que ça me fait !".
"Essaies !".
"C'est comme un puzzle qui trouve sa pièce manquante ! A cause de ta défonce, mon cul est comme blessé , et le paradoxe, c'est que c'est ta queue qui le répare ! Orhhhhhhh ! Laisses moi m'habituer, avant de bouger ! S'il te plait !".
Il me sourit, approche ses lèvres, notre baiser n'est que tendresse.
Puis, je ferme mes jambes autour de lui.
Il sait qu'il peut coulisser en moi, désormais.
Je gémis de plus en plus fort, au gré de ses enfoncements.
Il quitte enfin ma bouche, je pousse un très long râle, pendant qu'il me déplace vers le haut, à chaque coup de queue puissant.
Il aime me faire haleter en criant, à chaque fois qu'il bute au fond de moi !
"Haan ! Haan ! Haan ! Arghhhhhhhhhhhh ! Arghhhhhhhhhhhh ! Je jouiiiiii ! Arghhhhhhhhhhhh ! Hannnnnnn !".
Il me relève les jambes pour me pilonner avec puissance encore.
"Tiens mon chéri ! Tu l'aimes ma queue ! C'est comme ça que tu la veux ! Bien profond ! Pas vrai !".
" Arghhhhhhhhhhhh ! Ouiiiiiiiiiiii ! Ohhrrrrrrrrrhhh ! Putain ! Ce que j'aime me faire enculer ! Tu me rend fou ! Arghhhhhhhhhhhh !".
"T'es une vrai petite pédale, tu le sais ?".
"Ouiiiiiii ! J'ai honte, mais je dois l'accepter ! Arghhhhhhhhhhhh ! C'est trop booooon ! Je suis une salope !".
"Non, chéri, tu es "MA" ! Salope !".
"Ouiiiiiiiiiiii !".
J'aime ce mélange de passion sexuelle, et de tendresse.
Ce mix de puissants assauts sauvages, lents et profonds, mêlés de paroles à la fois tendres et perverses.
"Dis-moi encore que t'es à moi ! Pascal ! J'me fous de ta copine ! T'es à moi !".
" Arghhhhhhhhhhhh ! Je suis à toi ! Arghhhhhhhhhhhh !".
"Tu sais que je t'aime déjà, tu le sais ?".
"Ouiiiiiiiiii ! Je le ressens tellement fort ! Arghhhhhhhhhhhh !".
Il fait pivoter mes jambes, s'appuie de ses mains sur ma fesse supérieure et me besogne aussi profondément que possible.
Mes orgasmes se suivent au gré de sa puissante possession.
Il se couche ensuite sur mon dos, en me mordant les épaules et le cou, pendant qu'il me fouille l'anus inlassablement avec sa grosse verge.
"Arghhhhhhhhhhhh ! Georges ! Tu me fait trop jouir ! Arghhhhhhhhhhhh ! Je sens plus mon cul !".
"Si tu voyais comme tu me trempes la bite avec ta chatte ! Tu me rends dingue, Pascal !".
"Orghhhhhhh ! Putain, c'est trop fort ! Arghhhhhhhhhhhh !".
Il m'arrache encore une montée de plaisir anal, puis se retire.
"Allez ! Viens sur moi ! Montres moi comme t'aimes ma queue !".
"Oufffffffff ! Georges ! T'es en train de me tuer !".
"Allez bébé ! Empales toi sur ma bite !".
"Arghhhhhhhhhhhh ! Putain ! Je l'aime ! C'est trop bon !".
Je prend la décision d'augmenter le rythme, je me fais presque mal, en cognant son gros gland au fond de moi.
Mais, je suis surexcité, je veux le faire jouir !
Je me lâche verbalement:
"Orghhhhhh ! Chéri ! Laisses toi aller ! J'veux que tu me remplisses la chatte !".
"Orghhhhhhhhhhh ! Tu veux mon foutre ? C'est ça ?".
"Oui ! C'est ça, je veux ton plaisir, ton sperme ! Je veux voir ta jouissance sur ton visage !".
"Orhhhhh ! Ca vient chéri, regardes ! Encore ! Encules toi plus fort ! Plus vite !".
" Arghhhhhhhhhhhh ! Arghhhhhhhhhhhh ! Arghhhhhhhhhhhh !".
"Oui, comme ça ! Mmmmm ! Mmmmm ! Arggggggggggggggggggggrrrrrrrrrr ! Je... Je... Je joui dans ta chatte ! Argggggggrrr !".
Je colle ma bouche à la sienne.
Notre mélange de langues est goulu et pervers, couverts par nos gémissements vicieux.
Je ressens ses derniers spasmes dans sa verge.
On est collés l'un à l'autre, il me susurre:
"Putain, ce que c'était bon !... Je t'aime !".
Il me tient le visage, en me déposant un baiser.
"J't'aime ! Va falloir faire avec mon p'tit chat !".
"Je sais ! Je vais devoir m'y faire !".
Je me redresse et regarde son ventre maculé de mon sperme.
"T'as joui ? J'avais pas remarqué, j'étais parti dans mon plaisir ! Mais c'est super ! J'adore quand tu éjacules, toi aussi !".
Je m'écroule à ses cotés.
"J'en peux plus ! Tu m'as tout pris ! Putain, t'étais comment, plus jeune ? Parce que là, tu me démontes !".
"Ben, ça dépendait du, ou de la partenaire ! Mais les mecs m'excitent plus, c'est sur !".
"Pourquoi, c'est moins beau ! Pourtant !".
"Pas à mes yeux ! Tu crois qu'une femme de mon âge pourrai me plaire ?".
"Vu comme ça, je comprend !".
"Tu restes avec moi, demain ?".
"Non, je peux pas ! C'est samedi ! J'vois ma copine ! Je passerai Lundi ! J'peux pas avant !".
"Mais ? Demain soir, t'es libre !".
"Oui, mais !... Bon ! Ok ! Je passerai vers 20h ! Tu vas encore me tuer !".
"J'peux plus me passer de toi !".
"Je vois !".
"Tu veux pas me prendre encore dans ta bouche ?".
"Georges !".
"Allez, juste un peu, ça me détend, après avoir éjaculé !".
"Bon... Mmmmmm, mmmmm, glllllllllllrp ! Mmmmmmmmm !".
"Orhhhhhhhh ! Merci, mon p'tit chat, hummm ! Oouhhhh ! j'aime trop ça !".
Je me laisse aller à flatuler plusieurs fois lors de ma longue et douce fellation.
Il est fier de penser que c'est sa faute, il adore se dire que "ma chatte" subit les effets de sa défonce anale.
"Hummm ! Elle en veux encore, à mon avis !".
"Non, c'est fini ! Tu la laisses tranquille ! S'il te plait ! T'as pas sommeil ?".
"Si, un peu, embrasses-moi ! Mon p'tit chéri !".
"C'est parce que je suis très jeune que tu m'aimes ?".
"Oui, aussi ! Mais aussi parce que t'es adorable et très beau !".
"Bon, j'arrête, je veux plus entendre ça ! On m'a tellement dis le contraire, toute mon enfance !".
Je lui tourne le dos, en m'entourant de son bras.
"Je peux ?".
Je comprends qu'il parle de son sexe et de mon anus.
"Oui ! Reprends ta place ! J'aime bien moi aussi !".
J'ai sombré presque aussitôt, ensuite, me suis réveillé en pleine nuit.
La lune éclairait nos corps nus, sur le lit, il arborait une magnifique érection nocturne.
Mais avec tout ce que j'avais déjà joui, je l'ai laissé dormir.
C'est le contact de ses doigts dans mes cheveux qui m'ont fait sortir de mes songes, vers 8 h du matin.
Je mets quelques secondes à réaliser que je suis avec Georges, un homme avec qui j'adore baiser depuis peu.
Je me sens pervers d'avoir passé la nuit avec un homme de son âge ! Plus vieux que mon père ! C'est dire !
"J't'ai fait du café ! Tu en veux ?".
"Oui, j'veux bien ! Merci !".
"Merci qui ?".
"Merci !... Chéri ! J'ai du mal encore, désolé, tu vas trop vite !".
"J't'aurai à la longue ! Je vais tellement te faire jouir, que tu vas plus pouvoir t'en passer ! Tu verras !".
"On verra !".
Pendant l'attente du café, je remarque les nombreuses tâches dans le lit, résultat de deux nuits de baises avec lui.
Il revient, je lui dis:
"Désolé pour tes draps !".
"Je m'en fous, ça se lave ! Mais c'est vrai qu'entre mon sperme, le tien et ce que tu mouilles du cul ! Ca fait des dégâts !".
"Et encore, j'ai pas eu d'accidents avec toi ! Sinon, c'est pire !".
"Quels accidents ?".
"Euh, ça m'arrive de... de vider ma vessie quand on m'encule trop fort ! J'ai failli le faire deux fois avec toi !".
"Ah, ouais ! Tu fais partie de ces mecs là ! Ca me gênerai pas ! Au contraire !".
"Euh, moi ça me gêne !".
"Tu te laissera aller la prochaine fois ? S'il te plait ?".
"On verra ! Laisses-moi boire mon café !".
Il fait tomber son peignoir, et vient s'allonger à mes cotés.
Je le vois caresser sa verge en me regardant avaler ma boisson chaude.
"Arrêtes de te toucher ! Tu me perturbes !".
"Pourquoi, elle te plait plus !".
"Si ! Même si elle était bien plus raide, cette nuit !".
"Ah Bon ? Pourquoi tu dis ça ?".
"Je me suis réveillé ! Tu bandais comme un taureau ! J'ai eu envie de la dévorer !".
"Il fallait le faire ! J'aime bien jouir comme ça !".
"On en fait assez ! Non ?".
Quand j'ai fini ma grosse tasse, je lui fait part de mon besoin d'aller aux toilettes, me doucher et me faire une lavement anal.
"C'est pour ça que t'es toujours propre !".
"Oui, ça aide !".
On passe ainsi, les deux premières heures, sans sexe.
Mais avec des attouchements très incessants de deux cotés.
Viens alors le moment, ou c'est trop difficile de résister à notre attraction commune.
Un baiser plus fougueux et passionné que les autres !
"Putain, Pascal ! Déshabilles toi encore ! Je veux te mettre ma queue ! Je bande trop fort, elle me fait mal !".
"Oui, moi aussi ! J'ai envie ! Mets la moi ! Comment tu veux me prendre ?".
"Là ! Sur la table !".
Je quitte mes vêtements à la hâte, pendant qu'il a du mal à se sortir les pieds de son pantalon.
Quand il relève son pull, je suis déjà planté sur sa grosse verge, m'étouffant sur sa bite comme un affamé.
Il s'adosse à sa table, me regardant avec vice, en train de lui pomper la queue.
Il pose sa main sur ma tête, pour m'accompagner dans mes enfoncements.
Il commente son plaisir à chaque changement de caresse, sur son gland, sa hampe, ses couilles.
Il m'arrête après une longue séance buccale, je m'attend à me faire prendre sur la table.
"Non, viens là !".
Il me fait agenouiller sur un fauteuil, avec les fesses tendues, et le dos cambré.
Il me titille l'anus avec son gros gland, se baisse en crachant au centre, se redresse.
Sa grosse protubérance lui sert de masturbateur anal.
Avec ce traitement, mon œillet s'ouvre lentement, il en profite pour gagner en profondeur !
Et ainsi de suite, jusqu'à s'insérer d'une traite en moi.
"Arghhhhhhhhhhhh ! Georges ! Mmmmmmmmmmmmm ! C'est bon encore !".
"Orhhhhhhhhh ! Chéri ! J'suis trop bien dans ta chatte !".
Il me bloque par les épaules et m'assène des assauts lents, profonds et puissants.
" Arghhhhhhhhhhhh ! Putain ! Ca te plait de me prendre comme ça ! Arghhhhhhhhhhhh !".
"Ouais ! C'est comme ça que j'aime t'enculer ! T'aimes ça aussi ! Non ?".
" Arghhhhhhhhhhhh ! Ouiiiii !".
"Putain ! Georges, t'es encore en train de me démonter ! Je vais être en sale état avec ma copine ! Arghhhhhhhhhhhh !".
"C'est pas mon problème ! J'vais te lâcher juste avant ton rendez vous ! Tu sentiras encore l'odeur de ma queue et mon foutre ! Salope !".
" Arghhhhhhhhhhhh ! T'es jaloux ?".
"Oui, T'es à moi ! J'vais t'épuiser la chatte et après tu m'avalera ! Comme ça, je te mettrai toute ma crème !".
Et c'est ce qu'il a fait ! Il m'a enculé comme une bête, sur le sol, la table, j'ai dégouliné du cul comme jamais.
Il a fini en s'acharnant dans mon anus, jusqu'à ce que je vide ma vessie.
Il en a subi l'effet excitant, et m'a fait agenouiller pour l'avaler complètement, ensuite.
Il s'est amusé à me retenir pour lui lécher la verge quelques minutes encore.
"C'est bon, va voir ta copine ! J'ai eu mon compte ! Chéri !".
"Merci ... Chéri ! Putain, je suis en retard ! Elle a horreur de ça !".
Je m'essuie vite les fesses et les cuisses, de mes écoulements anaux.
Je me rhabille précipitamment, puis sors en disant:
"Bisous, chéri ! A ce soir !".
Je ne le sais pas encore, mais il est fier de lui, il a terminé d'assoir sa domination sur moi ! Je lui appartiens !
Moins de dix minutes plus tard, ma copine mélange sa langue avec la mienne.
"Qu'est ce que tu as mangé ? Tu as un drôle de gout ! Tu sens la transpiration aussi !".
"Euh, j'ai couru, c'est surement pour ça !".
Je m'affole intérieurement, pourvu qu'elle ne reconnaisse pas le gout du sperme ! Elle qui avale le mien, depuis plus d'un an !
Je pense que ma jeunesse fait que le mien doit être plus doux et moins poivré que celui de Georges !
En marchant, je la tiens par la taille, je ressens encore les douleurs anales que sa grosse verge m'a provoqué.
Je bloque mes besoins de rejets en suppliant la terre, de tenir jusqu'aux toilettes du bar.
On croise trois garçons exubérants, un peu folles !
"Je peux pas me les voir, ces pédales !". Me dit elle !
Aujourd'hui, je pense avoir eu de la chance, que notre histoire n'ai pas duré ! Elle n'aurait jamais accepté mon homosexualité comme Corinne l'a fait !
On use de nos deux dernières heures, pour nous aimer dans une mansarde, au dessus de l'appartement de mes parents.
Elle m'a bloqué la bouche, lorsque j'ai explosé, en éjaculant dans son anus, face à elle (je l'enculais depuis quelques mois seulement !).
On pratiquait la sodomie, de plus en plus souvent ! Comme elle ne prenait pas de contraception, c'était un moyen de me laisser jouir avec, et en elle !
Ensuite vers 20 h, j'ai retrouvé Georges !
Il m'a demandé de lui faire confiance, et m'a emmené dans un club privé.
Qui s'est révélé être un club gay !
Il était fier de montrer son nouveau petit copain !
Je n'étais pas dans mon élément, ca me gênait de l'embrasser devant tous ces hommes !
Ces connaissances me touchaient, en le complimentant.
Ajoutant au passage:
"Si t'en as marre ! Tu penses à moi ! Mon mignon !".
On s'est déplacé, vers les "coins câlins", ou se mélangeaient d'autres hommes.
Ils étaient tous pris, j'ai pensé y échapper ! Mais il m'a attire vers une série de canapé dans un coin sombre.
Il m'a enculé sans se presser, empalé sur lui, en lui tournant le dos.
Quand un homme s'est présenté devant ma bouche, il m'a dit:
"Vas-y ! Tu peux, mon chéri ! Suces-le !".
Deux autres nous ont rejoint, puis d'autres !
J'ai joui énormément malgré mes réticences envers les vrais homos.
A un moment, j'avais la gorge profondément enfoncée, sur la grosse verge de mon amant Georges, pendant qu'un inconnu m'enculait sans retenue.
Puis, l'homme s'est enfoncé entièrement, en éjaculant tout son foutre en moi.
Je l'entend jouir et j'aime ça, sans cesser de pomper la verge de Georges.
Il approche sa bouche de mes oreilles, et chuchote:
"Merci, petit Pascal ! J'avais raison ! Finalement !".
"Fran... Francois ?".
Je questionne Georges !
" Arghhhhh ! Tu savais qu'il viendrai ?".
"Non ! Mon chéri ! Je sais qu'il fréquente l'endroit ! C'est tout ! C'est une coïncidence !".
François me parle crument:
"Qu'est ce qu'il y a ? Tu l'as pas aimée ma bite ! Je t'ai entendu jouir du cul, pourtant ! Je savais que t'étais une petite salope ! Elle est pas bonne ma queue ?".
"Orhhhh ! Si ! Je m'y attendais pas ! C'est tout !".
Il profite encore de ma béance anale, pendant que je reprend ma fellation sur Georges.
Ensuite, et sous l'impulsion de Georges, qui m'encule à son tour, je le suce longuement, puis, il nous laisse à nos ébats pervers.
Je reste mal à l'aise et demande à Georges de "me finir" chez lui.
On sort rapidement, sous les regards envieux sur moi, et on rentre vite chez lui.
Dans son lit, je m'abandonne complètement à ses assauts.
Il est encore excité par ce qu'il m'a fait faire au club.
Je tache encore ses draps de jus anal et du sperme des inconnus + François.
Je me macule le ventre à nouveau, il me dit qu'il m'aime.
Je ne comprend plus pourquoi !
J'apprendrai que c'est possible, malgré tout ! Mais bien après !
Il explose en se plaçant au dessus de mon torse, son foutre gicle sur ma face, mon cou.
Il s'avance pour me maculer encore le visage, puis glisse son énorme gland dans ma gorge.
C'est alors avec amour, que je le suce longuement.
Il use de ses doigts, pour m'abreuver de son jus, entre chaque léchage vicieux.
Il se couche derrière moi, me plante sa grosse verge dans le cul et ajoute:
"Hummm ! J'me suis régalé encore, mon p'tit chat ! Merci ! Dors maintenant ! Il faut reprendre des forces pour demain !".
Je sombre assez vite, le visage couvert de foutre, l'anus rempli et poisseux, je ne m'attendais pas à cette soirée !
Je vais garder pour moi, la fin de notre histoire, qui a duré quelques mois.
Disons qu'il était devenu envahissant, mais malgré cela, je continuais de baiser avec lui, puis la vie a fait qu'un drame nous a séparé.
Je n'y pouvais rien, il m'a fallu vivre avec et l'accepter, mais ça reste dur, et cela n'a pas sa place ici !
"J'avais peur que tu ne reviennes pas ! Merci, mon chéri !".
"C'est normal ! C'était pas trop dur de bosser après... euh... m'avoir... enculé ?".
"Tu plaisantes ! Ca m'a donné une pêche d'enfer !".
Il me prend contre lui, je sens encore son désir.
"Hummm, j'ai pas arrêté de repenser à ta p'tite chatte ! Mon chéri !".
"Georges ! Ca me gêne tous ces petits mots, que tu me dis ! J'suis pas encore à l'aise avec tout ça !".
"Faut pas ! Moi j'en ai besoin ! Tu vas t'habituer ! Tu verras ! Mais, ça te plait pas d'avoir une relation avec moi ? Tu préfères les coups d'un soir ?".
"Non ! Je préfère les longues relations aussi ! C'est plus discret et meilleur ! Mais je suis pas encore prêt pour les sentiments entre hommes !".
"Bon, je comprends ! On est d'accord ! Mais laisses-moi te donner des petits noms, ça me plait !".
"Ok !".
"Tu restes avec moi cette nuit ?".
"Si tu veux !".
"Super ! Alors, je t'emmène manger dehors, et je te ferai l'amour en rentrant !".
Cette expression est un choc, pour moi, elle me tétanise, puis, je repense à notre rapport de la veille.
C'est une évidence, il m'a fait l'amour, et j'ai adoré ça !
Ca me renvoie aux rares échanges tendres, que j'ai eu avec mon amant militaire, ceux qui ont révélés nos sentiments.
Tout ça me fait peur encore !
"Euh, par contre, si on va manger à l'extérieur, il faut être discret ! Je veux pas qu'on se doute de notre relation !".
"On risque rien ! On a qu'a dire que t'es mon neveu, ou un copain de boulot, comme tout les autres !".
"Je te fais confiance !".
"Au fait ! François m'a reparlé de toi, cet après-midi ! Il m'a dit qu'il fantasmait sur toi, à l'époque, mais qu'à son avis, c'est moi qui t'intéressai, il a raison ?".
"Euh... oui, j'avoue ! Tu fais partie des hommes qui me troublaient, je t'imaginai en train de me baiser, je l'avoue ! Mais tu m'aidais pas non plus, avec tes regards lubriques !".
"Putain, c'est fou qu'on ai perdu tout ce temps ! Je peux te le dire maintenant ! Mais je me suis branlé quelques fois aux chiottes de l'entreprise, en pensant à toi !".
"Ah ! Je pensais pas te plaire autant ! Désolé ! Si j'avais su !".
Je me fait "chatte" en me serrant contre lui pour un long baiser, tout en caressant sa grosse verge.
Son érection est compréhensive, on parle trop de sexe !
"Mon p'tit chat ! Prends-moi dans ta bouche ! Juste un peu, ça va me faire du bien !".
"D'accord, je comprends ! Ohhh ! J'aime la caresser, elle est tellement dure !".
Je baisse les yeux pour voir ce que je fais, en ouvrant son pantalon, qu'il baisse pour dégager sa verge épaisse.
Elle tombe sous son propre poids, dure et courbée sur le coté, avec son gland énorme.
"Je l'adore ! Même ses défauts m'excitent ! C'est encore meilleur quand tu m'encules !".
Je glisse le long de son ventre, puis ouvre mes lèvres pour les refermer sur sa grosse bite.
"Arhhhhhhhh ! Oui, chéri ! Pompes moi la queue ! Maintenant !".
"Mmmmm ! Putain, j'aime trop te sucer, Georges ! Mmmmm ! Glllllrp ! Mmmmmmmmm!".
Il saisit mon visage pour me prendre la gorge, en même temps que j'utilise ma langue et mes lèvres pour le sucer.
Je devine qu'il se contrôle, pour ne pas me défoncer la bouche en gorge profonde.
Mais à chaque fois qu'il me garde longuement, enfoncé profondément ,contre son gros gland, je régurgite un énorme reflux de salive.
On prend plaisir à ce jeu, mutuellement, mais après de longues minutes, il faut se rendre à l'évidence !
On est entrain de s'exciter !
"Putain ! Pascal ! Arrêtes, sinon, je t'encule ! J'ai trop envie ! Maintenant !".
"Arhh ! Oui ! T'as raison ! Moi aussi ! J'en ai envie ! Bon, il faut faire un choix ! On va manger ou tu me baises ?".
"Je sais pas, je sais plus ! Si je te baise, dans l'état, ou je suis, je te défonce !".
"Alors, fais-le ! Je préfère me faire défoncer maintenant, plutôt que ce soir !".
"Oui ! Du coup ! On fera l'amour quand même ! Je serai calmé !".
Il me voit me dénuder les fesses, et me placer en levrette sur son canapé.
Il vient me dévorer l'anus, puis très vite se colle à ma rosette, et pousse fortement avec sa bite couverte de salive.
En quelques assauts, il m'investit entièrement.
Ensuite, il entame sa saillie destructrice, je crie mon plaisir encore !
"Orhhhhhhh ! Putain ! Georges, c'est trop bon ! tu m'encules comme un dieu ! Arghhhh ! Arghhhh ! Arghhhh !...".
"Tu aimes que j't'encules comme une pute ? Ca fait pas trop ? Deux fois dans la journée ?".
" Arghhhh ! Arghhhh ! Arghhhh ! Non, tu peux le faire autant de fois que tu veux ! Arghhhh ! Arghhhh !...".
"Orhhhhhhhhh ! Je t'adore ! T'es à moi ! T'es ma p'tite salope ! Maintenant ! Dis-moi que t'iras plus voir Antoine !".
"Non, j'irai plus ! Arghhhh ! Arghhhh ! Arghhhh ! J'suis à toi ! Arghhhh ! Arghhhh !...".
Je mord le coussin, sous mon visage, pour jouir, pendant qu'il continue de se déchainer.
Mon anus dégouline comme une chatte, avec un bruit de claquement humide à chaque enfoncée.
Il me fait pivoter, puis revient entre mes cuisses, qu'il maintient en s'acharnant dans mon trou béant, et poisseux.
"Arhhh ! Mon bébé, j'aime trop ta chatte ! Tiens salope ! Tiens !".
C'est plus rapide que d'habitude, mais je me mets à bander pendant qu'il m'encule.
Mon plaisir est énorme !
Je m'asperge le tee-shirt et le bas ventre, en râlant que j'aime jouir avec lui.
Il me procure deux autres orgasmes, puis sort et m'attrape par la nuque pour m'enfourner la gorge.
J'avale son éjaculation en gémissant de plaisir cérébral, c'est tellement jouissif !
Tout se superpose, le sperme dans ma bouche, ses cris de jouissance, mes gémissements de plaisir buccal.
Ses mots d'amour ensuite, quand je lui lèche amoureusement la bite.
Nos regards se fixent longuement, personne n'ose dire un mot.
Mais l'intensité de ce plaisir nous remplit de bonheur, c'est évident !
Il s'éloigne, puis revient avec une serviette de bain, et m'essuie les fesses.
"Voilà, t'es tout propre ! Mon chéri !".
"Merci ! J'espère que ça va pas me gêner tout à l'heure ! T'y es allé fort !".
"C'était bon ? Non ?".
"Super ! J'ai pas à me plaindre ! Tu m'encules bien à chaque fois !".
On se rend dans une petite pizzéria, puis on rentre vers 22h30.
J'ai encore un trouble suite à cette sortie, il n'a cessé de poser sa main sur ma cuisse, dès qu'il le pouvait dans l'auto.
Puis me caressait la main au restaurant, avec des yeux amoureux.
C'est pas la première fois que je subis cet élan d'amour, mais ma courte expérience avec les hommes et ma jeunesse, font que je ne sais pas quoi faire avec ça !
Toutefois, en jeune égoïste, je prend ce qu'il me donne ! C'est tellement agréable !
En passant sa porte, il me demande:
"Tu veux aller te coucher maintenant ?".
"Si c'est pas pour dormir, je veux bien !".
"Alors ! Viens, je t'emmène !".
Il me porte comme une jeune mariée, puis me dépose sur mes pieds devant son lit.
Il m'effeuille en me couvrant de baisers, sur tout mon petit corps.
Il se dénude en même temps.
Il me couche sur le dos, me tient les jambes en les pliant, afin de me dévorer l'anus.
"Hummm ! J'aime te manger le cul ! Il est encore humide et un peu ouvert, ça m'excite, mon p'tit chat !".
"Ahhhhh ! C'est bon, encore ! J'aime ta langue !".
"Tu sais que je vais y remettre ma queue ! Tu le sais ?".
"Oui, mais tu vas pas me baiser, tu vas me prendre moins fort, j'espère !".
"Oui, chéri ! C'est ça que je veux !".
"Mmmmm ! J'en ai envie ! Prends-moi !".
Il remonte vers ma bouche, et glisse sa langue dans ma gorge.
Il prend rapidement sa place dans mon anus.
Je le serre fortement contre moi, en gémissant dans sa gorge.
Il se dresse et demande:
"Tu jouis encore ? C'est ça ?".
"Arhhhhh ! Non ! Ca fait trop longtemps que tu m'as enculé, mais c'est encore trop sensible ! Oh putain, c'est trop bon ! J'arriverai pas à t'expliquer ce que ça me fait !".
"Essaies !".
"C'est comme un puzzle qui trouve sa pièce manquante ! A cause de ta défonce, mon cul est comme blessé , et le paradoxe, c'est que c'est ta queue qui le répare ! Orhhhhhhh ! Laisses moi m'habituer, avant de bouger ! S'il te plait !".
Il me sourit, approche ses lèvres, notre baiser n'est que tendresse.
Puis, je ferme mes jambes autour de lui.
Il sait qu'il peut coulisser en moi, désormais.
Je gémis de plus en plus fort, au gré de ses enfoncements.
Il quitte enfin ma bouche, je pousse un très long râle, pendant qu'il me déplace vers le haut, à chaque coup de queue puissant.
Il aime me faire haleter en criant, à chaque fois qu'il bute au fond de moi !
"Haan ! Haan ! Haan ! Arghhhhhhhhhhhh ! Arghhhhhhhhhhhh ! Je jouiiiiii ! Arghhhhhhhhhhhh ! Hannnnnnn !".
Il me relève les jambes pour me pilonner avec puissance encore.
"Tiens mon chéri ! Tu l'aimes ma queue ! C'est comme ça que tu la veux ! Bien profond ! Pas vrai !".
" Arghhhhhhhhhhhh ! Ouiiiiiiiiiiii ! Ohhrrrrrrrrrhhh ! Putain ! Ce que j'aime me faire enculer ! Tu me rend fou ! Arghhhhhhhhhhhh !".
"T'es une vrai petite pédale, tu le sais ?".
"Ouiiiiiii ! J'ai honte, mais je dois l'accepter ! Arghhhhhhhhhhhh ! C'est trop booooon ! Je suis une salope !".
"Non, chéri, tu es "MA" ! Salope !".
"Ouiiiiiiiiiiii !".
J'aime ce mélange de passion sexuelle, et de tendresse.
Ce mix de puissants assauts sauvages, lents et profonds, mêlés de paroles à la fois tendres et perverses.
"Dis-moi encore que t'es à moi ! Pascal ! J'me fous de ta copine ! T'es à moi !".
" Arghhhhhhhhhhhh ! Je suis à toi ! Arghhhhhhhhhhhh !".
"Tu sais que je t'aime déjà, tu le sais ?".
"Ouiiiiiiiiii ! Je le ressens tellement fort ! Arghhhhhhhhhhhh !".
Il fait pivoter mes jambes, s'appuie de ses mains sur ma fesse supérieure et me besogne aussi profondément que possible.
Mes orgasmes se suivent au gré de sa puissante possession.
Il se couche ensuite sur mon dos, en me mordant les épaules et le cou, pendant qu'il me fouille l'anus inlassablement avec sa grosse verge.
"Arghhhhhhhhhhhh ! Georges ! Tu me fait trop jouir ! Arghhhhhhhhhhhh ! Je sens plus mon cul !".
"Si tu voyais comme tu me trempes la bite avec ta chatte ! Tu me rends dingue, Pascal !".
"Orghhhhhhh ! Putain, c'est trop fort ! Arghhhhhhhhhhhh !".
Il m'arrache encore une montée de plaisir anal, puis se retire.
"Allez ! Viens sur moi ! Montres moi comme t'aimes ma queue !".
"Oufffffffff ! Georges ! T'es en train de me tuer !".
"Allez bébé ! Empales toi sur ma bite !".
"Arghhhhhhhhhhhh ! Putain ! Je l'aime ! C'est trop bon !".
Je prend la décision d'augmenter le rythme, je me fais presque mal, en cognant son gros gland au fond de moi.
Mais, je suis surexcité, je veux le faire jouir !
Je me lâche verbalement:
"Orghhhhhh ! Chéri ! Laisses toi aller ! J'veux que tu me remplisses la chatte !".
"Orghhhhhhhhhhh ! Tu veux mon foutre ? C'est ça ?".
"Oui ! C'est ça, je veux ton plaisir, ton sperme ! Je veux voir ta jouissance sur ton visage !".
"Orhhhhh ! Ca vient chéri, regardes ! Encore ! Encules toi plus fort ! Plus vite !".
" Arghhhhhhhhhhhh ! Arghhhhhhhhhhhh ! Arghhhhhhhhhhhh !".
"Oui, comme ça ! Mmmmm ! Mmmmm ! Arggggggggggggggggggggrrrrrrrrrr ! Je... Je... Je joui dans ta chatte ! Argggggggrrr !".
Je colle ma bouche à la sienne.
Notre mélange de langues est goulu et pervers, couverts par nos gémissements vicieux.
Je ressens ses derniers spasmes dans sa verge.
On est collés l'un à l'autre, il me susurre:
"Putain, ce que c'était bon !... Je t'aime !".
Il me tient le visage, en me déposant un baiser.
"J't'aime ! Va falloir faire avec mon p'tit chat !".
"Je sais ! Je vais devoir m'y faire !".
Je me redresse et regarde son ventre maculé de mon sperme.
"T'as joui ? J'avais pas remarqué, j'étais parti dans mon plaisir ! Mais c'est super ! J'adore quand tu éjacules, toi aussi !".
Je m'écroule à ses cotés.
"J'en peux plus ! Tu m'as tout pris ! Putain, t'étais comment, plus jeune ? Parce que là, tu me démontes !".
"Ben, ça dépendait du, ou de la partenaire ! Mais les mecs m'excitent plus, c'est sur !".
"Pourquoi, c'est moins beau ! Pourtant !".
"Pas à mes yeux ! Tu crois qu'une femme de mon âge pourrai me plaire ?".
"Vu comme ça, je comprend !".
"Tu restes avec moi, demain ?".
"Non, je peux pas ! C'est samedi ! J'vois ma copine ! Je passerai Lundi ! J'peux pas avant !".
"Mais ? Demain soir, t'es libre !".
"Oui, mais !... Bon ! Ok ! Je passerai vers 20h ! Tu vas encore me tuer !".
"J'peux plus me passer de toi !".
"Je vois !".
"Tu veux pas me prendre encore dans ta bouche ?".
"Georges !".
"Allez, juste un peu, ça me détend, après avoir éjaculé !".
"Bon... Mmmmmm, mmmmm, glllllllllllrp ! Mmmmmmmmm !".
"Orhhhhhhhh ! Merci, mon p'tit chat, hummm ! Oouhhhh ! j'aime trop ça !".
Je me laisse aller à flatuler plusieurs fois lors de ma longue et douce fellation.
Il est fier de penser que c'est sa faute, il adore se dire que "ma chatte" subit les effets de sa défonce anale.
"Hummm ! Elle en veux encore, à mon avis !".
"Non, c'est fini ! Tu la laisses tranquille ! S'il te plait ! T'as pas sommeil ?".
"Si, un peu, embrasses-moi ! Mon p'tit chéri !".
"C'est parce que je suis très jeune que tu m'aimes ?".
"Oui, aussi ! Mais aussi parce que t'es adorable et très beau !".
"Bon, j'arrête, je veux plus entendre ça ! On m'a tellement dis le contraire, toute mon enfance !".
Je lui tourne le dos, en m'entourant de son bras.
"Je peux ?".
Je comprends qu'il parle de son sexe et de mon anus.
"Oui ! Reprends ta place ! J'aime bien moi aussi !".
J'ai sombré presque aussitôt, ensuite, me suis réveillé en pleine nuit.
La lune éclairait nos corps nus, sur le lit, il arborait une magnifique érection nocturne.
Mais avec tout ce que j'avais déjà joui, je l'ai laissé dormir.
C'est le contact de ses doigts dans mes cheveux qui m'ont fait sortir de mes songes, vers 8 h du matin.
Je mets quelques secondes à réaliser que je suis avec Georges, un homme avec qui j'adore baiser depuis peu.
Je me sens pervers d'avoir passé la nuit avec un homme de son âge ! Plus vieux que mon père ! C'est dire !
"J't'ai fait du café ! Tu en veux ?".
"Oui, j'veux bien ! Merci !".
"Merci qui ?".
"Merci !... Chéri ! J'ai du mal encore, désolé, tu vas trop vite !".
"J't'aurai à la longue ! Je vais tellement te faire jouir, que tu vas plus pouvoir t'en passer ! Tu verras !".
"On verra !".
Pendant l'attente du café, je remarque les nombreuses tâches dans le lit, résultat de deux nuits de baises avec lui.
Il revient, je lui dis:
"Désolé pour tes draps !".
"Je m'en fous, ça se lave ! Mais c'est vrai qu'entre mon sperme, le tien et ce que tu mouilles du cul ! Ca fait des dégâts !".
"Et encore, j'ai pas eu d'accidents avec toi ! Sinon, c'est pire !".
"Quels accidents ?".
"Euh, ça m'arrive de... de vider ma vessie quand on m'encule trop fort ! J'ai failli le faire deux fois avec toi !".
"Ah, ouais ! Tu fais partie de ces mecs là ! Ca me gênerai pas ! Au contraire !".
"Euh, moi ça me gêne !".
"Tu te laissera aller la prochaine fois ? S'il te plait ?".
"On verra ! Laisses-moi boire mon café !".
Il fait tomber son peignoir, et vient s'allonger à mes cotés.
Je le vois caresser sa verge en me regardant avaler ma boisson chaude.
"Arrêtes de te toucher ! Tu me perturbes !".
"Pourquoi, elle te plait plus !".
"Si ! Même si elle était bien plus raide, cette nuit !".
"Ah Bon ? Pourquoi tu dis ça ?".
"Je me suis réveillé ! Tu bandais comme un taureau ! J'ai eu envie de la dévorer !".
"Il fallait le faire ! J'aime bien jouir comme ça !".
"On en fait assez ! Non ?".
Quand j'ai fini ma grosse tasse, je lui fait part de mon besoin d'aller aux toilettes, me doucher et me faire une lavement anal.
"C'est pour ça que t'es toujours propre !".
"Oui, ça aide !".
On passe ainsi, les deux premières heures, sans sexe.
Mais avec des attouchements très incessants de deux cotés.
Viens alors le moment, ou c'est trop difficile de résister à notre attraction commune.
Un baiser plus fougueux et passionné que les autres !
"Putain, Pascal ! Déshabilles toi encore ! Je veux te mettre ma queue ! Je bande trop fort, elle me fait mal !".
"Oui, moi aussi ! J'ai envie ! Mets la moi ! Comment tu veux me prendre ?".
"Là ! Sur la table !".
Je quitte mes vêtements à la hâte, pendant qu'il a du mal à se sortir les pieds de son pantalon.
Quand il relève son pull, je suis déjà planté sur sa grosse verge, m'étouffant sur sa bite comme un affamé.
Il s'adosse à sa table, me regardant avec vice, en train de lui pomper la queue.
Il pose sa main sur ma tête, pour m'accompagner dans mes enfoncements.
Il commente son plaisir à chaque changement de caresse, sur son gland, sa hampe, ses couilles.
Il m'arrête après une longue séance buccale, je m'attend à me faire prendre sur la table.
"Non, viens là !".
Il me fait agenouiller sur un fauteuil, avec les fesses tendues, et le dos cambré.
Il me titille l'anus avec son gros gland, se baisse en crachant au centre, se redresse.
Sa grosse protubérance lui sert de masturbateur anal.
Avec ce traitement, mon œillet s'ouvre lentement, il en profite pour gagner en profondeur !
Et ainsi de suite, jusqu'à s'insérer d'une traite en moi.
"Arghhhhhhhhhhhh ! Georges ! Mmmmmmmmmmmmm ! C'est bon encore !".
"Orhhhhhhhhh ! Chéri ! J'suis trop bien dans ta chatte !".
Il me bloque par les épaules et m'assène des assauts lents, profonds et puissants.
" Arghhhhhhhhhhhh ! Putain ! Ca te plait de me prendre comme ça ! Arghhhhhhhhhhhh !".
"Ouais ! C'est comme ça que j'aime t'enculer ! T'aimes ça aussi ! Non ?".
" Arghhhhhhhhhhhh ! Ouiiiii !".
"Putain ! Georges, t'es encore en train de me démonter ! Je vais être en sale état avec ma copine ! Arghhhhhhhhhhhh !".
"C'est pas mon problème ! J'vais te lâcher juste avant ton rendez vous ! Tu sentiras encore l'odeur de ma queue et mon foutre ! Salope !".
" Arghhhhhhhhhhhh ! T'es jaloux ?".
"Oui, T'es à moi ! J'vais t'épuiser la chatte et après tu m'avalera ! Comme ça, je te mettrai toute ma crème !".
Et c'est ce qu'il a fait ! Il m'a enculé comme une bête, sur le sol, la table, j'ai dégouliné du cul comme jamais.
Il a fini en s'acharnant dans mon anus, jusqu'à ce que je vide ma vessie.
Il en a subi l'effet excitant, et m'a fait agenouiller pour l'avaler complètement, ensuite.
Il s'est amusé à me retenir pour lui lécher la verge quelques minutes encore.
"C'est bon, va voir ta copine ! J'ai eu mon compte ! Chéri !".
"Merci ... Chéri ! Putain, je suis en retard ! Elle a horreur de ça !".
Je m'essuie vite les fesses et les cuisses, de mes écoulements anaux.
Je me rhabille précipitamment, puis sors en disant:
"Bisous, chéri ! A ce soir !".
Je ne le sais pas encore, mais il est fier de lui, il a terminé d'assoir sa domination sur moi ! Je lui appartiens !
Moins de dix minutes plus tard, ma copine mélange sa langue avec la mienne.
"Qu'est ce que tu as mangé ? Tu as un drôle de gout ! Tu sens la transpiration aussi !".
"Euh, j'ai couru, c'est surement pour ça !".
Je m'affole intérieurement, pourvu qu'elle ne reconnaisse pas le gout du sperme ! Elle qui avale le mien, depuis plus d'un an !
Je pense que ma jeunesse fait que le mien doit être plus doux et moins poivré que celui de Georges !
En marchant, je la tiens par la taille, je ressens encore les douleurs anales que sa grosse verge m'a provoqué.
Je bloque mes besoins de rejets en suppliant la terre, de tenir jusqu'aux toilettes du bar.
On croise trois garçons exubérants, un peu folles !
"Je peux pas me les voir, ces pédales !". Me dit elle !
Aujourd'hui, je pense avoir eu de la chance, que notre histoire n'ai pas duré ! Elle n'aurait jamais accepté mon homosexualité comme Corinne l'a fait !
On use de nos deux dernières heures, pour nous aimer dans une mansarde, au dessus de l'appartement de mes parents.
Elle m'a bloqué la bouche, lorsque j'ai explosé, en éjaculant dans son anus, face à elle (je l'enculais depuis quelques mois seulement !).
On pratiquait la sodomie, de plus en plus souvent ! Comme elle ne prenait pas de contraception, c'était un moyen de me laisser jouir avec, et en elle !
Ensuite vers 20 h, j'ai retrouvé Georges !
Il m'a demandé de lui faire confiance, et m'a emmené dans un club privé.
Qui s'est révélé être un club gay !
Il était fier de montrer son nouveau petit copain !
Je n'étais pas dans mon élément, ca me gênait de l'embrasser devant tous ces hommes !
Ces connaissances me touchaient, en le complimentant.
Ajoutant au passage:
"Si t'en as marre ! Tu penses à moi ! Mon mignon !".
On s'est déplacé, vers les "coins câlins", ou se mélangeaient d'autres hommes.
Ils étaient tous pris, j'ai pensé y échapper ! Mais il m'a attire vers une série de canapé dans un coin sombre.
Il m'a enculé sans se presser, empalé sur lui, en lui tournant le dos.
Quand un homme s'est présenté devant ma bouche, il m'a dit:
"Vas-y ! Tu peux, mon chéri ! Suces-le !".
Deux autres nous ont rejoint, puis d'autres !
J'ai joui énormément malgré mes réticences envers les vrais homos.
A un moment, j'avais la gorge profondément enfoncée, sur la grosse verge de mon amant Georges, pendant qu'un inconnu m'enculait sans retenue.
Puis, l'homme s'est enfoncé entièrement, en éjaculant tout son foutre en moi.
Je l'entend jouir et j'aime ça, sans cesser de pomper la verge de Georges.
Il approche sa bouche de mes oreilles, et chuchote:
"Merci, petit Pascal ! J'avais raison ! Finalement !".
"Fran... Francois ?".
Je questionne Georges !
" Arghhhhh ! Tu savais qu'il viendrai ?".
"Non ! Mon chéri ! Je sais qu'il fréquente l'endroit ! C'est tout ! C'est une coïncidence !".
François me parle crument:
"Qu'est ce qu'il y a ? Tu l'as pas aimée ma bite ! Je t'ai entendu jouir du cul, pourtant ! Je savais que t'étais une petite salope ! Elle est pas bonne ma queue ?".
"Orhhhh ! Si ! Je m'y attendais pas ! C'est tout !".
Il profite encore de ma béance anale, pendant que je reprend ma fellation sur Georges.
Ensuite, et sous l'impulsion de Georges, qui m'encule à son tour, je le suce longuement, puis, il nous laisse à nos ébats pervers.
Je reste mal à l'aise et demande à Georges de "me finir" chez lui.
On sort rapidement, sous les regards envieux sur moi, et on rentre vite chez lui.
Dans son lit, je m'abandonne complètement à ses assauts.
Il est encore excité par ce qu'il m'a fait faire au club.
Je tache encore ses draps de jus anal et du sperme des inconnus + François.
Je me macule le ventre à nouveau, il me dit qu'il m'aime.
Je ne comprend plus pourquoi !
J'apprendrai que c'est possible, malgré tout ! Mais bien après !
Il explose en se plaçant au dessus de mon torse, son foutre gicle sur ma face, mon cou.
Il s'avance pour me maculer encore le visage, puis glisse son énorme gland dans ma gorge.
C'est alors avec amour, que je le suce longuement.
Il use de ses doigts, pour m'abreuver de son jus, entre chaque léchage vicieux.
Il se couche derrière moi, me plante sa grosse verge dans le cul et ajoute:
"Hummm ! J'me suis régalé encore, mon p'tit chat ! Merci ! Dors maintenant ! Il faut reprendre des forces pour demain !".
Je sombre assez vite, le visage couvert de foutre, l'anus rempli et poisseux, je ne m'attendais pas à cette soirée !
Je vais garder pour moi, la fin de notre histoire, qui a duré quelques mois.
Disons qu'il était devenu envahissant, mais malgré cela, je continuais de baiser avec lui, puis la vie a fait qu'un drame nous a séparé.
Je n'y pouvais rien, il m'a fallu vivre avec et l'accepter, mais ça reste dur, et cela n'a pas sa place ici !
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Passud
1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Superbe histoire. Comme j'aurais voulu lorsque j'étais jeune connaître ses ébats sexuels comme ça et jouir du cul avec un homme plus âgé que moi et hyper actif. Mais malheureusement je ne l'ai pas trouvé. Maintenant c'est trop tard