Etonnante rencontre ! 4
Récit érotique écrit par Passud [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 21-05-2024 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Etonnante rencontre ! 4
Le dimanche matin, je suis encore victime des effets de notre soirée au club.
Georges s'est réveillé , toujours excité par ses souvenirs de mon plaisir avec les autres hommes.
Mes orgasmes avec François, qui m'enculait sans que je devine que c'était lui, tant la salle était sombre !
L'envie est trop forte ! Il glisse sa verge entre mes fesses et pousse fortement en me bloquant de ses mains puissantes.
Ca me réveille d'un coup, la présence de sperme liquéfié dans mon anus, l'aide à s'enfoncer en moi.
J'aimerai dire que j'ai "encore la tête dans le cul", puisqu'il me faut toujours du temps pour émerger, mais là, c'est sa grosse bite que j'ai dans le cul !
Je suis entre le plaisir, et une gêne étrange, mes fesses sont poisseuses de la veille, la peau de mon visage me tire un peu, à cause du foutre séché de Georges.
Mais au gré du plaisir que je prend, au fil de ses assauts, la situation devient excitante.
En fait, j'aime le sexe pervers avec Georges !
C'est ainsi que de bon matin, je me fais éclater l'anus une heure durant, dans de multiples positions !
Je le suis ensuite, sous la douche, avec les intestins encore remplis de son éjaculation.
Il redevient tendre en me lavant entièrement le corps.
J'ai adoré cette si agréable attention ! Sentir sa puissante et grosse main, au travers du gant savonné sur moi.
Quelle délicieuse caresse !
Après le petit déjeuner, j'ai retrouvé ma petite amie.
C'est à peu près à cette époque, que ma relation avec elle, devient plus difficile.
Son caractère change, elle devient plus dure, critique sans cesse mes amis, ma famille.
Est-ce que tout ça m'a conditionné, à me laisser aller, à l'amour de Georges ? Je sais pas !
Mais c'est plus fort que moi, j'ai besoin de lui ! Comme de ma copine !
Je ne me rends pas encore compte, que je suis sous leurs emprises.
L'un me domine, et l'autre cherche à me modeler.
Comment faire, j'ai un besoin viscéral du plaisir que les deux m'apportent !
Avec elle, je m'épanoui dans la passion amoureuse, et avec lui, dans l'abandon de la tendre et perverse soumission sexuelle.
Malgré tout, j'essaie de mettre de la distance entre mon amant et moi.
Mes parents s'inquiètent de mes absences nocturnes.
Je tente d'espacer les jours de mes venues, puis je reviens toujours, peu de temps après.
Aujourd'hui, je pense que j'étais perdu, entre ces deux sentiments; aimer ou me faire aimer !
Il y avait un peu d'autodestruction aussi, autant avec lui, qu'avec elle !
J'ai reparlé du soir du club gay, avec Georges !
"Je veux plus y retourner ! C'est pas mon monde ! Je préfère le cinéma porno, ou le Mourillon (bord de mer!) ! C'est des hommes mariés, pas des homos ! Ca m'excite plus !".
C'est ainsi, j'ai eu souvent des rapports avec des homosexuels assumés, et je sais pas pourquoi, j'ai un blocage mental !
Je me sens plus dominé, par un pseudo hétéro marié, bien mûr et viril !
Et puis, par expérience, je sais que les homos aiment se vanter et dévoiler la bisexualité de certains hétéros.
Je ne veux pas en être victime !
Pourtant, on partage les mêmes plaisirs ! Mais souvent, au lieu de ça, on ne se comprends pas !
Combien d'homos, qui ont craqué sur moi, m'ont reproché ma lâcheté de ne pas assumer !
Pour eux, on ne peut pas aimer les deux ! C'est ou l'un, ou l'autre !
Ce n'est pas mon cas ! Malgré tout le plaisir que je prend, en me faisant sodomiser, je ne peux me passer d'aimer le corps d'une belle femme !
Par contre, je suis désolé d'avouer, que si une femme n'entre pas dans mes critères physiques, j'au du mal a ressentir du désir pour elle !
On se refait pas !
Au fil de notre histoire, Georges a gagné du terrain avec moi.
Parallèlement aux disputes avec ma copine, je m'entendais toujours, de mieux en mieux avec lui.
Un fait marquant, s'est déroulé en pleine nuit.
Je me suis réveillé, comme cela m'arrive souvent, au beau milieu de la nuit.
J'avais encore des sensations anales, je gardais naturellement mon anus fermé, il était plein du sperme de mon amant.
J'admire encore sa verge en érection nocturne, avec son défaut de courbure sur le coté, et son gros gland, qui à l'air de me fixer.
Instinctivement, je l'entoure de mes doigts.
Il se met à gémir, sans s'éveiller.
J'ose faire glisser mes doigts, doucement.
Il parle entre ses lèvres, en dormant:
"Mmmm, chéri, laisses toi faire ! J'ai envie, personne nous voit !".
Je souris, il rêve de nous, à mon avis !
Je remplace mes doigts, par ma bouche, en le recouvrant délicatement.
"Mmmm ! Oui, elle est bonne ta chatte ! Merci chéri !".
S'il savait qu'il est dans ma bouche !
Mais cela me donne une idée !
Je me masturbe l'anus, qui s'ouvre rapidement pour se lubrifier de sperme.
Tout cela sans quitter sa verge, de ma gorge chaude.
Je me place ensuite au dessus de ses cuisses, en lui tournant le dos, puis saisit sa grosse verge pour la guider dans mon anus, déjà prêt à le recevoir.
Je glisse lentement sur lui, qui gémit de plaisir dans son sommeil.
J'aime tellement ce moment ! Il murmure encore:
"Orhhh ! Oui, c'est bon, mon amour, je t'aime !".
Je me laisse aller, le plaisir de sa verge qui coulisse en moi, me comble de bonheur, et je parle enfin:
"Moi aussi ! Je t'aime Georges ! je peux plus me passer de toi, Orhhhhhh ! C'est bon !".
Sa voix devient plus claire, il est réveillé:
"C'est vrai Pascal ? Tu m'aimes ? Dis-le moi encore !".
Je suis piégé ! A quoi bon résister !
Je me penche en arrière, en collant mon dos sur son torse, toujours empalé analement.
"Oui, t'as gagné, je t'aime ! Je peux plus me passer de toi ! Je suis trop bien dans tes bras !".
"Pourquoi, tu as mis autant de temps, à me le dire !".
"Parce que je l'accepte pas ! c'est comme ça !".
"Tu le sais depuis longtemps ! Pas vrai ?".
"Oui ! Pardon, mon amour ! Je... je voulais pas te faire souffrir ! Excuses-moi !".
Je sanglote, pendant qu'il coulisse dans mon cul tendrement et profondément, comme il aime le faire.
"C'est rien, mon bébé ! Je vais te faire l'amour encore, ça va te faire du bien !".
"Merci ! Georges ! Je m'en veux d'être comme ça ! Je dois pas être normal ! Au fait ! Tu m'en veux pas de t'avoir réveillé ?".
"Au contraire ! C'était le bon moment ! Je rêvais que je te prenais au bord de la plage ! Avec des gens, pas loin !".
"Arghhhhhh ! Je comprends maintenant ! Orhhhhhhh ! Encore !".
Il nous couche sur le coté, me penche en avant, afin de me saisir par les hanches.
"Cambres toi ! J'aime ça !".
"Arhhhhhh ! Oui ! Chéri ! Orhh ! C'est bon !".
Je saisi ma tête entre mes mains, pour me laisser au plaisir anal qu'il me donne.
"Orhhhh ! Putain... Georges ! Je t'aime ! J'ai besoin de ça !".
"Je savais que je t'aurai ! Tu m'appartiens ! Tu le sais ?".
"Ouuuu...oui ! Arhhhhhhhhh !".
"Avec toute la volonté du monde, elle peut pas t'apporter ça, ta copine ! T'en es conscient ?".
"Arrêtes de parler de ça ! Je le sais tout ça ! T'es pas content d'avoir ce pouvoir sur moi ? Alors, prends-moi ! Fais moi jouir ! Arghhhhhhhh !".
"Oui, je suis content ! T'es mon amour à moi, ma salope aussi ! J'aime quand tu viens me voir, pour que je t'encules ! Mon amour ! T'es ma tendre, petite salope vicieuse !".
"Argggggggggggggg ! Je jouiiiiiiiiiiiiiiiii ! Ne t'arrêtes pas chéri ! Je... je... t'aimmmmmmmmmmmmmmme !".
Il me couche sur le ventre et termine sa possession amoureuse de mon corps juvénile.
Il explose en moi sans s'arrêter de me transpercer l'anus.
Sa grosse verge me creuse les fesses, en faisant éclabousser ses couilles contre mon œillet, débordant de foutre.
Je ressens sa verge plus profondément qu'à l'accoutumée, il m'a dilaté le fond de l'anus, me provoquant un plaisir énorme et rare.
Il nous recouche sur le coté, épuisé par sa jouissance.
Je me tiens le bas ventre, je quitte sa verge précipitamment.
"Tu vas ou ?".
"Je reviens !".
Une fois aux toilettes, je vide ma vessie en un déversement interminable, en même temps, que je laisse mon anus rejeter les excès de nos sodomies.
Je gémis pour supporter tout ça, mais je sais que cela fait partie des conséquences de ce plaisir divin.
Si je m'étais contenté de sexes de tailles dites "normales", je n'aurai pas tous ces effets dus aux pénétrations extrêmes, leurs fréquences, et leurs durées !
Je rejoins Georges.
"Qu'est ce que t'as ?".
"J'ai failli me pisser dessus ! Sans parler de "ma chatte" qui avait besoin de se vider !".
"Hummm ! C'est excitant, ma p'tite salope ! Ca m'excite tout ça !".
Je sombre encore sous ses caresses tendres.
Le drame qui est survenu m'a libéré de sa délicieuse emprise.
Sachez que lorsque j'ai, une énième fois tenté de le retrouver chez lui, en voulant utiliser mon jeu de clefs.
J'ai trouvé la porte ouverte, une femme de 35 ans était là !
"Bonjour ! Georges est là ?".
"Non ! Papa n'est plus là ! Il a eu un AVC ! Vous le connaissiez bien ? Jeune homme ?".
"Euh, oui ! Je pense ! On se connaissait depuis un peu moins d'un an, mais j'avais travaillé avec lui aussi !".
"Vous pourriez me renseigner alors ! Il prononçait sans cesse un prénom, avant de partir ! Pascale ! Pascale, je t'aime ! Qui c'est ? Cette femme ?".
"Ah! Euh, je... je vois pas ! Désolé !".
"Tant pis, mais j'aimerai la rencontrer, pour la mettre au courant ! Et lui dire qu'elle l'a rendu heureux avant qu'il nous quitte ! Merci quand même ! Monsieur ?".
"Euh... Michel ! Je.. je vous laisse, madame !".
Inutile de préciser que je me sentais honteux, et malheureux en même temps !
Le fait d'avoir plus de dix ans de moins que sa fille, m'a choqué aussi !
Quelques temps plus tard, j'ai rencontré André (dans la douche de l'entreprise, en intérim) que j'ai aimé, mais moins longtemps ! Et ma copine m'a quitté, suite à une tromperie salvatrice de ma part.
Deux semaines plus tard, je rencontre Corinne qui me stabilise beaucoup, malgré les retours fréquents de mon ex.
En étant avec son nouveau petit ami, elle venait me voir pour refaire l'amour, apparemment, il n'était pas aussi passionné et doué que moi !
C'était trop perturbant pour moi ! Au bout d'un mois, je l'ai virée définitivement pour me consacrer à Corinne.
Inconsciemment, Georges a préparé le terrain pour les autres ! Surtout Pierre !
Il m'a permis d'accepter ce besoin d'amour masculin qui était en moi ! Me faire posséder tendrement.
Grâce à lui, j'ai vécu l'amour parfait avec Pierre ! Même si j'avais toujours cette ambiguïté, d'aimer aussi Corinne !
J'ai même imaginé que si Georges avait vécu plus longtemps, il aurait accepté Corinne !
Qui a elle-même, accepté ma différence, et donc aurait dit oui, à ma relation avec Georges !
Qui sait ? On aurait pu vivre une relation à trois ! En autorisant ma belle à jouir de son coté !
Moi, c'est sur, j'avais assez d'amour pour ça !
Georges s'est réveillé , toujours excité par ses souvenirs de mon plaisir avec les autres hommes.
Mes orgasmes avec François, qui m'enculait sans que je devine que c'était lui, tant la salle était sombre !
L'envie est trop forte ! Il glisse sa verge entre mes fesses et pousse fortement en me bloquant de ses mains puissantes.
Ca me réveille d'un coup, la présence de sperme liquéfié dans mon anus, l'aide à s'enfoncer en moi.
J'aimerai dire que j'ai "encore la tête dans le cul", puisqu'il me faut toujours du temps pour émerger, mais là, c'est sa grosse bite que j'ai dans le cul !
Je suis entre le plaisir, et une gêne étrange, mes fesses sont poisseuses de la veille, la peau de mon visage me tire un peu, à cause du foutre séché de Georges.
Mais au gré du plaisir que je prend, au fil de ses assauts, la situation devient excitante.
En fait, j'aime le sexe pervers avec Georges !
C'est ainsi que de bon matin, je me fais éclater l'anus une heure durant, dans de multiples positions !
Je le suis ensuite, sous la douche, avec les intestins encore remplis de son éjaculation.
Il redevient tendre en me lavant entièrement le corps.
J'ai adoré cette si agréable attention ! Sentir sa puissante et grosse main, au travers du gant savonné sur moi.
Quelle délicieuse caresse !
Après le petit déjeuner, j'ai retrouvé ma petite amie.
C'est à peu près à cette époque, que ma relation avec elle, devient plus difficile.
Son caractère change, elle devient plus dure, critique sans cesse mes amis, ma famille.
Est-ce que tout ça m'a conditionné, à me laisser aller, à l'amour de Georges ? Je sais pas !
Mais c'est plus fort que moi, j'ai besoin de lui ! Comme de ma copine !
Je ne me rends pas encore compte, que je suis sous leurs emprises.
L'un me domine, et l'autre cherche à me modeler.
Comment faire, j'ai un besoin viscéral du plaisir que les deux m'apportent !
Avec elle, je m'épanoui dans la passion amoureuse, et avec lui, dans l'abandon de la tendre et perverse soumission sexuelle.
Malgré tout, j'essaie de mettre de la distance entre mon amant et moi.
Mes parents s'inquiètent de mes absences nocturnes.
Je tente d'espacer les jours de mes venues, puis je reviens toujours, peu de temps après.
Aujourd'hui, je pense que j'étais perdu, entre ces deux sentiments; aimer ou me faire aimer !
Il y avait un peu d'autodestruction aussi, autant avec lui, qu'avec elle !
J'ai reparlé du soir du club gay, avec Georges !
"Je veux plus y retourner ! C'est pas mon monde ! Je préfère le cinéma porno, ou le Mourillon (bord de mer!) ! C'est des hommes mariés, pas des homos ! Ca m'excite plus !".
C'est ainsi, j'ai eu souvent des rapports avec des homosexuels assumés, et je sais pas pourquoi, j'ai un blocage mental !
Je me sens plus dominé, par un pseudo hétéro marié, bien mûr et viril !
Et puis, par expérience, je sais que les homos aiment se vanter et dévoiler la bisexualité de certains hétéros.
Je ne veux pas en être victime !
Pourtant, on partage les mêmes plaisirs ! Mais souvent, au lieu de ça, on ne se comprends pas !
Combien d'homos, qui ont craqué sur moi, m'ont reproché ma lâcheté de ne pas assumer !
Pour eux, on ne peut pas aimer les deux ! C'est ou l'un, ou l'autre !
Ce n'est pas mon cas ! Malgré tout le plaisir que je prend, en me faisant sodomiser, je ne peux me passer d'aimer le corps d'une belle femme !
Par contre, je suis désolé d'avouer, que si une femme n'entre pas dans mes critères physiques, j'au du mal a ressentir du désir pour elle !
On se refait pas !
Au fil de notre histoire, Georges a gagné du terrain avec moi.
Parallèlement aux disputes avec ma copine, je m'entendais toujours, de mieux en mieux avec lui.
Un fait marquant, s'est déroulé en pleine nuit.
Je me suis réveillé, comme cela m'arrive souvent, au beau milieu de la nuit.
J'avais encore des sensations anales, je gardais naturellement mon anus fermé, il était plein du sperme de mon amant.
J'admire encore sa verge en érection nocturne, avec son défaut de courbure sur le coté, et son gros gland, qui à l'air de me fixer.
Instinctivement, je l'entoure de mes doigts.
Il se met à gémir, sans s'éveiller.
J'ose faire glisser mes doigts, doucement.
Il parle entre ses lèvres, en dormant:
"Mmmm, chéri, laisses toi faire ! J'ai envie, personne nous voit !".
Je souris, il rêve de nous, à mon avis !
Je remplace mes doigts, par ma bouche, en le recouvrant délicatement.
"Mmmm ! Oui, elle est bonne ta chatte ! Merci chéri !".
S'il savait qu'il est dans ma bouche !
Mais cela me donne une idée !
Je me masturbe l'anus, qui s'ouvre rapidement pour se lubrifier de sperme.
Tout cela sans quitter sa verge, de ma gorge chaude.
Je me place ensuite au dessus de ses cuisses, en lui tournant le dos, puis saisit sa grosse verge pour la guider dans mon anus, déjà prêt à le recevoir.
Je glisse lentement sur lui, qui gémit de plaisir dans son sommeil.
J'aime tellement ce moment ! Il murmure encore:
"Orhhh ! Oui, c'est bon, mon amour, je t'aime !".
Je me laisse aller, le plaisir de sa verge qui coulisse en moi, me comble de bonheur, et je parle enfin:
"Moi aussi ! Je t'aime Georges ! je peux plus me passer de toi, Orhhhhhh ! C'est bon !".
Sa voix devient plus claire, il est réveillé:
"C'est vrai Pascal ? Tu m'aimes ? Dis-le moi encore !".
Je suis piégé ! A quoi bon résister !
Je me penche en arrière, en collant mon dos sur son torse, toujours empalé analement.
"Oui, t'as gagné, je t'aime ! Je peux plus me passer de toi ! Je suis trop bien dans tes bras !".
"Pourquoi, tu as mis autant de temps, à me le dire !".
"Parce que je l'accepte pas ! c'est comme ça !".
"Tu le sais depuis longtemps ! Pas vrai ?".
"Oui ! Pardon, mon amour ! Je... je voulais pas te faire souffrir ! Excuses-moi !".
Je sanglote, pendant qu'il coulisse dans mon cul tendrement et profondément, comme il aime le faire.
"C'est rien, mon bébé ! Je vais te faire l'amour encore, ça va te faire du bien !".
"Merci ! Georges ! Je m'en veux d'être comme ça ! Je dois pas être normal ! Au fait ! Tu m'en veux pas de t'avoir réveillé ?".
"Au contraire ! C'était le bon moment ! Je rêvais que je te prenais au bord de la plage ! Avec des gens, pas loin !".
"Arghhhhhh ! Je comprends maintenant ! Orhhhhhhh ! Encore !".
Il nous couche sur le coté, me penche en avant, afin de me saisir par les hanches.
"Cambres toi ! J'aime ça !".
"Arhhhhhh ! Oui ! Chéri ! Orhh ! C'est bon !".
Je saisi ma tête entre mes mains, pour me laisser au plaisir anal qu'il me donne.
"Orhhhh ! Putain... Georges ! Je t'aime ! J'ai besoin de ça !".
"Je savais que je t'aurai ! Tu m'appartiens ! Tu le sais ?".
"Ouuuu...oui ! Arhhhhhhhhh !".
"Avec toute la volonté du monde, elle peut pas t'apporter ça, ta copine ! T'en es conscient ?".
"Arrêtes de parler de ça ! Je le sais tout ça ! T'es pas content d'avoir ce pouvoir sur moi ? Alors, prends-moi ! Fais moi jouir ! Arghhhhhhhh !".
"Oui, je suis content ! T'es mon amour à moi, ma salope aussi ! J'aime quand tu viens me voir, pour que je t'encules ! Mon amour ! T'es ma tendre, petite salope vicieuse !".
"Argggggggggggggg ! Je jouiiiiiiiiiiiiiiiii ! Ne t'arrêtes pas chéri ! Je... je... t'aimmmmmmmmmmmmmmme !".
Il me couche sur le ventre et termine sa possession amoureuse de mon corps juvénile.
Il explose en moi sans s'arrêter de me transpercer l'anus.
Sa grosse verge me creuse les fesses, en faisant éclabousser ses couilles contre mon œillet, débordant de foutre.
Je ressens sa verge plus profondément qu'à l'accoutumée, il m'a dilaté le fond de l'anus, me provoquant un plaisir énorme et rare.
Il nous recouche sur le coté, épuisé par sa jouissance.
Je me tiens le bas ventre, je quitte sa verge précipitamment.
"Tu vas ou ?".
"Je reviens !".
Une fois aux toilettes, je vide ma vessie en un déversement interminable, en même temps, que je laisse mon anus rejeter les excès de nos sodomies.
Je gémis pour supporter tout ça, mais je sais que cela fait partie des conséquences de ce plaisir divin.
Si je m'étais contenté de sexes de tailles dites "normales", je n'aurai pas tous ces effets dus aux pénétrations extrêmes, leurs fréquences, et leurs durées !
Je rejoins Georges.
"Qu'est ce que t'as ?".
"J'ai failli me pisser dessus ! Sans parler de "ma chatte" qui avait besoin de se vider !".
"Hummm ! C'est excitant, ma p'tite salope ! Ca m'excite tout ça !".
Je sombre encore sous ses caresses tendres.
Le drame qui est survenu m'a libéré de sa délicieuse emprise.
Sachez que lorsque j'ai, une énième fois tenté de le retrouver chez lui, en voulant utiliser mon jeu de clefs.
J'ai trouvé la porte ouverte, une femme de 35 ans était là !
"Bonjour ! Georges est là ?".
"Non ! Papa n'est plus là ! Il a eu un AVC ! Vous le connaissiez bien ? Jeune homme ?".
"Euh, oui ! Je pense ! On se connaissait depuis un peu moins d'un an, mais j'avais travaillé avec lui aussi !".
"Vous pourriez me renseigner alors ! Il prononçait sans cesse un prénom, avant de partir ! Pascale ! Pascale, je t'aime ! Qui c'est ? Cette femme ?".
"Ah! Euh, je... je vois pas ! Désolé !".
"Tant pis, mais j'aimerai la rencontrer, pour la mettre au courant ! Et lui dire qu'elle l'a rendu heureux avant qu'il nous quitte ! Merci quand même ! Monsieur ?".
"Euh... Michel ! Je.. je vous laisse, madame !".
Inutile de préciser que je me sentais honteux, et malheureux en même temps !
Le fait d'avoir plus de dix ans de moins que sa fille, m'a choqué aussi !
Quelques temps plus tard, j'ai rencontré André (dans la douche de l'entreprise, en intérim) que j'ai aimé, mais moins longtemps ! Et ma copine m'a quitté, suite à une tromperie salvatrice de ma part.
Deux semaines plus tard, je rencontre Corinne qui me stabilise beaucoup, malgré les retours fréquents de mon ex.
En étant avec son nouveau petit ami, elle venait me voir pour refaire l'amour, apparemment, il n'était pas aussi passionné et doué que moi !
C'était trop perturbant pour moi ! Au bout d'un mois, je l'ai virée définitivement pour me consacrer à Corinne.
Inconsciemment, Georges a préparé le terrain pour les autres ! Surtout Pierre !
Il m'a permis d'accepter ce besoin d'amour masculin qui était en moi ! Me faire posséder tendrement.
Grâce à lui, j'ai vécu l'amour parfait avec Pierre ! Même si j'avais toujours cette ambiguïté, d'aimer aussi Corinne !
J'ai même imaginé que si Georges avait vécu plus longtemps, il aurait accepté Corinne !
Qui a elle-même, accepté ma différence, et donc aurait dit oui, à ma relation avec Georges !
Qui sait ? On aurait pu vivre une relation à trois ! En autorisant ma belle à jouir de son coté !
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