Etre John et Jane 15 - Orgie en famille - histoire érotique

Pour la fin de mes vacances ma tante organise une soirée avec un couple mystère et nous offre pour l'occasion avec Valérie (une relation fusionnelle nous unit), le grand jeu, esthéticienne, manucure et coiffeur pour nous remettre en beauté après ces deux semaines de bains de mer.

Le soir venu, j'enfile mon pantalon à plastron noir et mon maillot de coton blanc mettant en valeur mes formes avec mes sandales compensées à talons alors que Valérie endosse une tunique blanche et des nu-pieds comme les vestales. On retrouve sur la terrasse Jade nonchalamment installée jambes croisées, le genou et le haut de la cuisse dégagés de sa robe longue de crêpe de chine noir tenue à la taille par une large ceinture qui souligne la poitrine et la taille, tandis que Théo est en chemise et jean blancs .

A 19 heures arrive le couple mystère. C'est Joyce et Polo, deux amis libertins que j'ai rencontrés l'année passée. La surprise et le plaisir de se revoir sont réciproques, Joyce me saute au cou en s'exclamant « Jane ! Je te vois plus féminine que jamais ! »

Ils nous parlent de leur croisière dans le sud de l'Italie et je leur dévoile les secrets ma vie parisienne. Joyce à mon côté est très entreprenante, ce sont bisous appuyés et caresses sans retenue, après un moment elle me susurre à l'oreille « Ton pantalon te fait un p'tit cul et le côtelé de ton maillot sculpte ta poitrine. Mummm... Un vrai pousse au crime »

On discute, on boit, d'un coup la musique change de rythme, le piano fait place aux percussions et la musique d'ambiance au tempo brésilien. Jade me sort des griffes de Joyce en s'écriant : «  Pardon ma chérie !... Jane veux-tu ouvrir le bal avec moi ? »

Tout de suite elle m'entraîne sur la piste dans une lambada déchaînée. Les deux autres couples nous rejoignent, se sont alors des explosions de rires et de cris. Je me sens particulièrement bien, parfaitement dans le rythme, elle face à moi, les yeux dans les yeux, me confie « Jane, ma chérie, tu es superbe ! Tu as remarqué ? Polo n'a d'yeux que pour toi... Et moi je suis si triste de te savoir sur le point de partir. » Collées par nos ventres, juste retenue par ses mains sur mes fesses, elle me sourit avec la larme à l’œil, il y a nous et les autres. Le changement de musique nous fait revenir au présent, on passe des rythmes brésiliens endiablés à la sensualité des slows et Valérie en profite pour m'arracher des bras de ma tante. A peine reprenons nous la danse, elle accrochée à mon cou, moi l'enserrant à la taille, qu'elle murmure en me mordillant l'oreille, « N'oublies pas que tu es à moi, que tu m'es soumise ! » Elle ne cesse de se dandiner en frottant son pubis au mien, mon sexe plaqué par la gaine est incrusté dans mon ventre. Elle s'amuse, ajoute « J'aime te sentir si féminine ! » On danse deux, trois morceaux quand, à son tour, Polo m'enlève et s'impose collé-serré, ses mains crispées sur mes fesses. Sa tête plongée dans ma chevelure je sens sa respiration, sa langue suivre le contour de mon oreille « T'es superbe... J'ai envie de toi !... ». Il bande dur et ne se gêne pas pour me faire sentir sa virilité. Heureusement, Jade met fin à son "rentre dedans" en nous invitant à passer à table.

Une jolie table de fête est dressée sur l'arrière du jardin. Un traiteur nous a préparé un dîner froid qui permet à tous de profiter de la soirée : Pâté en croûte, Poisson mayonnaise, Fromages et Bombe glacée. Le rosé est frais et coule à flot... Jade en bonne maîtresse de maison a tout bien organisé et nous propose à la fin du repas :

— Les amis, je vous propose de vérifier nos connaissances et pour ce de faire un Trivial poursuit.
— Euh, tu crois, Y a pas mieux à faire ?… C'est nul ton truc... Bronca générale qui ne la démonte pas
— Attendez ! Attendez !... Pour pimenter la suite de notre soirée, les vainqueurs puniront les vaincus.

A ce moment, sous une pluie d'applaudissements et de rires, il y a adhésion à l'idée et le jeu commence, s'anime avec beaucoup de rigolades et d'injures ou d'exclamations de joie, les questions fusent, les réponses se font parfois attendre. Rapidement Joyce et Valérie se montrent les meilleures alors qu'avec Jade nous sommes les perdantes. Pour terminer le jeu, tous reconnaissent Théo et Polo à égalité et observateurs de la punition.

Les deux gagnantes se concertent. Joyce me prend à part tandis que Valérie disparaît dans la maison avant de revenir en tendant à sa compagne un large paddle de cuir noir puis elle prend la main de ma tante en disant « Toi, tu viens avec moi ! » Les deux vont jusqu'à une chaise près de la table.

Joyce m'amène à une chaise voisine, défait mon pantalon en tirant d'un coup la fermeture Éclair latérale et le descend sous mes fesses avec ma gaine-culotte avant de me coucher au travers de ses genoux, tête en bas son bras bloquant mes épaules. Avec beaucoup de douceur, elle me caresse le derrière « Elle est toute mignonne la petite avec un beau p'tit cul tout rond et bien ferme. » J'aime comme sa main tourne lentement sur chacun de mes globes, je respire calmement, je frisonne sous la caresse, contracte mon fessier quand elle me donne une petite tape qui me surprend, elle continue à me masser et brutalement....

"Vlan" elle me frappe du plat de la main et me caresse tout de suite comme pour effacer une marque, recommence. Ça me chauffe un peu, malgré tout je relève instinctivement mon postérieur, elle grogne entre ses dents « Hum... T'aime ça ?... Tu en veux encore ?... » "Vlan" la main s'abat violemment sur l'autre fesse et m'arrache un petit cri. C'est alors une succession de caresses et de gifles de plus en plus rapprochées, de plus en plus fortes, la chaleur irradie bientôt toute ma croupe. Les claques s'enchaînent du plat de la main ou en glissant de bas en haut sur la peau. "Vlan ! Vlan !"
La main se fait de plus en plus rapide, mes fesses deviennent brûlantes, mes cris s'étouffent en de longs gémissements.

D'un coup tout s'arrête et je sens une main fraîche couvrir mon derrière. Je n'ai pas le temps de profiter du bien-être qu'on abaisse brutalement ma culotte sur les chevilles. On continue à s'amuser au dessus de moi « Oh qu'il est rouge... Il est tout chaud ». Je reconnais la voix de mon oncle qui plaisante, je me trémousse de plaisir sous sa main toute douce et il ajoute d'un ton moqueur. « Regarde comme elle aime ça ! » Puis la caresse fait place à des petites tapes très rapides, différentes des précédentes, elles couvrent les deux fesses à la fois. C'est le paddle qui rebondit, qui me tapote si vite. La frappe s'accentue, me pique, me brûle à nouveau et bien malgré moi je creuse les reins, tend mes fesses.

Mes gémissements deviennent un râle continu. Je ne perçois plus les coups mais une avalanche permanente de tapes, mes jambes s'écartent jusqu'à ce qu'un de mes genoux glisse au sol. La fessée s'arrête soudainement, à nouveau on me caresse avec douceur, un doigt suit la raie du cul, me touche le petit trou, puis c'est une bouche humide, on m'embrasse, la langue lèche les fesses, calme la brûlure, me fait du bien. A ce moment, on me tire les cheveux vers le haut, ce qui me fait tourner la tête, Polo est là, face à moi « Tu sais que tu es encore plus mignonne que l'année dernière et dis-moi... Tu suces aussi bien ??? Il met son sexe bandé sur mes lèvres en maugréant. Ouvre mieux que ça !»

Je me redresse en m'accrochant à ses hanches et commence à le pomper. Rapidement il s'impose et me baise la bouche quand mon oncle qui me suçait le petit trou, me plante sa queue dans les reins. Les deux me besognent en rythme, je suis comme prise entre le marteau et l'enclume. Ils s'en donnent à cœur joie, plaisantent sur mes disponibilités.

Après un moment, Polo me lâche dans un long soupir de plaisir « Ouaiiis... » et va vers Jade toujours couchée sur les genoux de Valie. Il la saisit par les hanches et l'enfile direct. Nous voilà toutes les deux face à face à subir les assauts de nos amants.

Mon oncle, profite de ma position, pour bien me défoncer, son membre sort de mes fesses, glisse vers mes couilles et par une simple poussée remonte sur le périnée et s'enfonce à nouveau dans mes tripes. Puis à l'exemple de son pote avec Jade, il me relève des genoux de Joyce, fait voler mon maillot par dessus tête, dégrafe ma brassière et me plaque contre son torse. Valérie, libérée de Jade, se met à genoux face à moi et s'empare de mon sexe pas vraiment bandé, « John, je t'ai demandé quelque chose... Alors donne-le moi ! »

Sans retenue elle me branle et me redonne la trique tandis que Théo m'encule. Entre les deux, soutenue par les aisselles, tenue aux hanches, je m'abandonne, offrant mon jus à l'une et recevant la jouissance de l'autre.

Un peu tourneboulée, le temps de retrouver mon équilibre je passe des bras de mon oncle à ceux de ma tante qui me conduit à la douche

— Ça va mon chéri ??? Joyce en a profité... Tu sais le paddle c'est son truc, elle m'y fait régulièrement goûter.
— C'est plus souple que la main... mais qu'est-ce qu'elle tape fort ! Et en même temps, je t'avoue quand la peau est chaude, les coups ne sont pas si désagréables que ça !
— Ben dis-donc, serais-tu maso pour aimer la fessée ???... On rigole de concert puis on se lave, un peu chacun pour soi avant de le faire à l'autre et de finir enlacés l'un à l'autre. Viens, on va manger quelque chose, la soirée va être longue..

Après avoir grignoté quelques sandwichs, on voit Valérie partir vers les chambres avec Polo. Jade me murmure « Tu ne veux pas voir comment ta "sœur de cœur" se débrouille ? » (je rappelle que Valérie a subi une vaginoplastie et a repris ses relations sexuelles depuis à peine deux semaines). En pouffant de rire on se précipite sans bruit à l'entrée de la chambre. La tête de lit est face à nous. Le couple se fait un 69, on ne voit que les deux genoux écartés de Valérie et le crâne rasé de Polo plongé dans l'entrejambe. Tout de suite ça s'agite, entre deux succions gourmandes, on entend une petite plainte « Doucement, doucement Polo... Je suis une toute jeune femme. » Les deux continuent à se sucer, à se bouffer quand à nouveau entre des grognements on entend un soupir d'abandon « OK, viens... Mais fais attention ! » L'homme fait volte-face, nous offre son postérieur et les deux jambes de la fille sur ses épaules « Doucement ! Doucement, j't'ai dit... Putain que t'es gros... Tu'm déchires !... Ouais lentement, comme ça... OUFFF, ne bouge plus !

Avec Jade nous sommes focalisés de ce gros cul immobile et les deux pieds qui sortent des épaules, lentement l'homme commence à lui faire l'amour... quand un grognement « Attends, tu es lourd, laisse-moi venir sur toi ! » met fin au coït.

Avec souplesse le couple tourne jusqu'à ce qu'elle le chevauche. Le spectacle qu'elle nous offre est fantastique. Cette silhouette gracile à la carnation diaphane sur ce corps puissant à la peau tannée, cette taille fragile enserrée entre deux paluches, ces hanches qui s'étalent et ces petites fesses rondes qui rebondissent sur ce ventre bedonnant. La chevauchée a commencé, la cavalière se couche sur son pur-sang, accélère sa course. La croupe relevée découvre le tronc de chair noir sur lequel elle s'enfile et exhibe son anus profondément creusé.

A ma surprise la fille grogne « John !... Viens ! » et Jade me sort de mon état d'hypnose par un coup de coude en même temps qu'elle bondit à la tête du lit et me laisse au pied. Avec une infinie douceur je caresse les cuisses à la peau translucide, mon doigt remonte sur la raie des fesses. Valie arrête sa course, cambre les reins, sous mes yeux son anus se développe, devient un gros bourgeon violacé, Je me place à genoux entre les jambes de Polo et pointe ma verge sur le bouton percé. « Oh ! Oui John, prends-moi ! »

Je balade ma queue dans le vallon de ses fesses et d'un petit coup, la pénètre sans difficulté même si le conduit est réduit, je sens tout contre le sexe de Polo si épais sur lequel je patine en ouvrant les chairs rectales. Progressivement je m'enfonce, mes couilles touchent les autres. Le couple sous moi reste immobile, bien en place à genoux et en appui sur les reins de la fille, je commence à aller et venir, le sphincter étroit se façonne, je laboure lentement le fourreau... pas plus qu'une dizaine de fois. Je jouis plus vite que je ne le voudrais, dans un long râle je l'inonde en saccades avant de me retirer laissant une coulée de sperme s'échapper.

Valérie retrouve sa liberté et reprend sa course penchée sur l'homme en s'appuyant sur ses épaules et son postérieur saute au point de libérer la verge avant de la reprendre dans le vagin. Polo beugle, Valie n'en fait rien, la chevauchée fantastique continue et d'un coup stoppe. Essoufflée, elle reste assise sur la bedaine pour recevoir la semence. «  Oh, je sens comme tu jouis, comme tu me combles ». Haletante, en sueur, elle se repose sur la poitrine de Polo qui la caresse comme une enfant.

A ce moment on entend Joyce entrer en furie dans la chambre et gueuler à son mari « Dis donc mon cochon quand t'auras fini de baiser les petites filles, Théo t'attend sur la terrasse pour l'apéro »

La queue pendante et dégoulinante, il file de la chambre et je me retrouve avec les trois nanas assis en tailleur au milieu du lit.

— Après cette double pénétration, te voilà devenue une vraie femme, s'exclame Jade en serrant sa protégée contre elle
— Crois-tu ? Répond-elle dubitative... Même si je ne connais rien de l'amour au féminin ?.
— Tu es une coquine ! Ajoute ma tante offusquée. N'avons-nous rien fait ensemble ?
— Avec toi ?... Si un peu... Mais rien avec Joyce !
— Ah ouais !!! S'écrie la femme. Attends ! Je vais t'apprendre à baiser entre filles. Elle bondit sur la jeune femme et la renverse sur le dos... Oh que t'es mignonne, une vraie petite chatte de vierge, un bel abricot fendu, mais déjà une sale cochonne. T'en as partout !!!

Avec des grognements de truie on voit la tête s'activer dans la fourche des cuisses, puis une jambe se lever à la verticale puis s'écarter sur le côté. Les grondements se font plus perçants, s'accompagnent de soupirs. A deux mains Valérie plaque la tête de la femme contre elle mais d'un coup l'autre se relève dans une grande inspiration

— Aaaah, laisse-moi respirer tout de même. Tu vois comme on se gougnotte entre femmes... T'es une vrai hermaphrodite avec ton clito, il a tout d'une bistouquette ! Viens Jade on va lui faire voir maintenant comment on baise. Équipe-toi du sénégalais et donne-moi le dong.

Le trio s'installe. Joyce chevauche la jeune femme couchée sur le dos et lui enfile dans le cul aussi facilement qu'un suppositoire au moins 20 centimètres du gros boudin puis se fout l'autre tête dans la chatte, les jambes s'enlacent, les bassins se rapprochent autant que possible et les deux filles ondulent l'une sur l'autre. Joyce un peu grassouillette écrase à peine Valérie, les lourdes mamelles s’étalent et débordent sur les côtés. Les corps se fondent et entrent en résonance

— Tu me sens bien ma chérie ?
— Oh oui ! C'est bon, jamais un homme ne m'a enveloppée comme ça !
— Tu sens tout le plaisir qu'on peut se donner, et tu vas voir maintenant à trois... Jade !

Ma tante équipée du gode ceinture tient l'olisbos tellement il semble lourd, un truc long comme deux mains et large d'au moins cinq centimètres, elle se met à la tête des deux lesbiennes. Tout de suite le machin circule entre les deux bouches et se couvre de salive, les mâchoires s'écartent, la bave déborde, l'énorme phallus réapparaît luisant de bave. Jade toujours soutenant le gode par les burnes se met entre les jambes, trifouille les fesses de sa vieille copine, lui crache dessus, les deux sont habituées à ces jeux saphiques.

Elle est à genoux entre les jambes des deux filles, un petit ajustement de position, Joyce cambre les reins, relève les fesses et se présente au sénégalais elle dirige le gode, une poussée de Jade, elle exulte :

— Waouuh !... je ne me rappelais pas qu'il était si gros... Attends laisse venir !

L'objet en place, Jade pousse jusqu'à ce que le pieu soit totalement digéré. Les trois ajustent les positions pour que les sextoys s'harmonisent. Les trois parfaitement assemblées, c'est Jade qui donne le rythme. Lentement elle recule un peu pour repartir de l'avant violemment, puis recommence en amplifiant le mouvement, la danse se répercute dans les fesses de Valérie. Tout coulisse bien :

— Tu sens Valie comme Jade t'encule par mon intermédiaire, ce sont ses coups de reins que tu reçois.

Les deux s'embrassent à pleine bouche, les gémissements s'amplifient, deviennent râles grossiers :

— Ah, OUAIIIS... Cogne fort... Défonce moi le cul... Qu'est-ce qu'il est long. Qu'est-ce qu'il est gros.

Les voix se confondent, se doublent. Jade est à la manœuvre, le sénégalais va et vient sur toute la longueur. Je le vois circuler luisant de mouille jusqu'à la base.
Je recommence à avoir une trique d'enfer et sur le lit, face au trio, assis sur mes talons je commence à me masturber en de lents et amples mouvements. A ce moment Théo et Polo réapparaissent dans la chambre, la queue au repos mais dès qu'ils voient le spectacle ils se touchent, se pelotent les couilles, ils retrouvent une petite forme en se paluchant, moi j'ai la banane-macho grosse et longue. A genoux sur le lit je place ma verge entre les deux bouches qui s'embrassent, Valérie et Joyce me lèchent avant que Joyce se redresse pour me la bouffer. Théo et Polo, à genoux à mon exemple, de chaque côté de Valérie, se branlent sur les seins de la jeune femme. Ce sont eux deux les premiers qui malgré les burnes vides giclent quatre, cinq gouttes laiteuses. Je ne résiste pas longtemps à Joyce et lui crache tout ce que mes couilles peuvent. Alors la fatigue prend le dessus, elle bouscule tout le monde et démonte la pyramide de chair que nous formons.

Nous nous écroulons, tous épuisés autour de Valérie couverte de sperme, de salive, de sueur, bras en croix et jambes écartées entre lesquelles reste fiché le dong dont la partie émergée dégouline de mouille.

Lentement nous récupérons. Valie se libère du dong, l'immense saucisse gît sur le lit, Jade détache le gode ceinture. Allongé près de ma "sœur de coeur" je lèche les quelques gouttes de sperme sur sa poitrine. La jeune fille inconsciente, me prend par les épaules, son autre main sur son pubis... Par pudeur ?... Non ! Son majeur circule en lents va et vient entre ses lèvres comme pour s'assurer ou apprécier sa féminité.

On perd alors la notion du temps et on s'endort.

Bien plus tard , au milieu de la nuit, je me réveille, le silence est total, la porte-fenêtre qui donne sur le jardin est grande ouverte, les voilages frémissent avec la brise extérieure, la lune illumine la chambre. Nous sommes quatre sur le lit, il y a Jade allongée sur mon côté et Théo tient Valérie dans ses bras. L'autre couple a disparu... Tout à l'heure je prendrai le train pour Paris