Monique se libère 6 - Orgie à Mikonos (fin) - histoire érotique

Après un bain à la piscine et quelques sandwiches nous terminons la bouteille de rosé et retournons au club-house. Nous voici tous les six dans une alcôve déjà occupée par deux couples qui nous accueillent chaleureusement, la soirée ne fait que commencer.

J'ai envie de Monique mais Hélios n'a d'yeux que pour elle tandis qu'Achille me couvre de baisers, nos maris se mélangent déjà avec les deux autres couples.

Achille est un amant très doux qui aime les préliminaires autant que moi. Lorsqu'on me parle de sex-machine, de mandrin monté sur piston qui te laboure la chatte, moi je rêve de langues montées sur une roue qui plongent dans un bain de sperme et te reluisent le clito et...

Achille est une machine montée d'une langue infatigable ! Il ne cesse de me butiner. Sa langue s'étale sur les pétales de ma rose, titille le pistil de mon lys, laboure ma fente tel un socle de charrue et transperce mon puits d'amour, en revenant cent fois sur l'ouvrage.

Achille est un virtuose ! Il me fait vibrer tel un harpiste. Sa main se déplace sur mon corps, ses doigts caressent, griffent ou pincent en pizzicato. Il enjambe son instrument, d'un coup de reins il s'installe correctement, il fait corps avec lui, lui impose son balancement au rythme de sa mélodie, de son boléro.

Une chatouille sur le visage, une chevelure m'encadre le visage, des lèvres au goût sucré se posent sur ma bouche, c'est Monique « Que tu es belle quand tu fais l'amour ». Je voudrais... mais déjà elle s'évapore et me laisse livrée à celui qui me possède.

Achille est sur moi, est en moi. Il aspire ma lèvre inférieure, la suçote, je m'abandonne, je suis à lui et il commence seulement à me baiser... Je le sens léger, appuyé sur ses coudes il me caresse les seins, appuyé sur ses genoux il me pilonne le ventre. Il est doux et vigoureux, il maîtrise sa partition, crescendo il me conduit au plaisir.

Satisfait du premier mouvement "andante", il relève mes jambes, les écarte et les amène en V vers mes épaules. Lui et moi voyons la verge couverte de mouille me pourfendre. Quel érotisme ! L'attaque est plus vive, plus profonde, en tempo "allegro" je miaule. Il s'arrête un moment mais la partition n'est pas terminée, il se concentre, reprend "moderato" pour ensuite tout donner, "vivace" c'est profond, puissant, rapide, c'est l'apothéose, je pousse un cri aigu qui couvre toutes les rumeurs. A présent il tressaille en moi, il explose, il rugit. Un moment plus tard, le calme revenu, il vire sur le côté et s'allonge près de moi.

Une femme appuyée à l'entrée de notre alcôve nous regarde. Elle vient à mes pieds, me sourit, me caresse une jambe, remonte sur le ventre, m'embrasse le sexe, le lèche. Je lui offre mon fruit débordant de mouille, ses mains l'ouvre, elle s'en régale.

De l'autre côté du lit je vois Monique prise en levrette, la tête plongée dans l'oreiller, les fesses relevées, les deux vibrent du même orgasme, alors le jeune éphèbe décule, elle relève la tête, me regarde. Entre nous il y a les deux couples avec nos maris. On se désire, on se fait signe. Je repousse gentiment la gourmande vers Achille. Monique embrasse tendrement son jeune amant et se lève.

On se retrouve, on quitte l'alcôve en se tenant par la taille, nos serviettes à la main, nos ventres et nos fesses nus. Je la pousse vers les toilettes « Allons nous rafraîchir d'abord ma chérie ! »

Je la conduis dans la chambre ''Lesbos''. L'organisation est identique à celle de ''Mykonos'', quatre lits dans les angles et une scène centrale éclairée de spots où trois filles sacrifient à Saphos. L'ambiance est toute autre, plus zen, plus nature avec le murmure d'une rivière, les gazouillis d'oiseaux, un parfum citronné, une pénombre verdâtre.

Tous les lits sont occupés, l'un d'eux par un seul couple. Nous nous en approchons et comme pour demander la permission nous nous asseyons au bord. Nous regardons un moment les deux femmes se gougnotter. Une jeune blonde, au visage de madone chevauchée par une femme filiforme, aux cheveux blancs presque rasés qui pourrait être sa mère. La petite jeune nous regarde, tend la main, nous murmure « Venez avec nous ! » .

On lui sourit, heureuses de la comprendre, je lui envoie un baiser du bout des lèvres et on s'allonge à son côté. Enfin on se retrouve toutes les deux, ce sont des bisous amoureux, de tendres caresses :
— Ça te dit de faire l'amour avec la p'tite jeune ?
— Elle est mignonne !
— Coquine, après le jeunot !!! Ma parole tu te sens l'âme d'une cougar ?
— Pourquoi pas !!! Je lui roule un patin, en pensant bien sûr à mes amours avec son fils.

Elle se couche sur moi, ses jambes entre mes cuisses. Je l'enlace de mes pieds et de mes bras. Notre baiser s'accompagne de soupirs de bien-être, son bassin ondule, je sens son pubis nu s'appuyer sur le mien, me mettre le feu au ventre, nos corps s'embrasent, on tourne l'une sur l'autre, je me retrouve au dessus tout contre l'autre couple.

La femme aux cheveux blancs me regarde droit dans les yeux, en fait elle n'est pas plus âgée que moi ! Elle me caresse les fesses, ses doigts en suivent le vallon, atteignent l'anus. Je creuse les reins, écarte les genoux, les doigts pressent le petit trou, glissent sur le périnée et touchent la vulve. Deux doigts me pénètrent profondément et elle me prend par l'épaule, me tire à elle en grognant « Komm ! Ich bin Birgit ». Je roule finalement termine allongée sous elle. .
Son visage est surprenant, livide, non maquillé, sans sourcils, le nez aquilin, seules trois tâches de couleur, les yeux verts et la pointe de la langue d'autant plus rouge.

Dans le mouvement la petite jeune est montée sur Monique. Les deux se bouffent le museau dans un concert de miaulements. Je n'entends que des brides « ... suis Violetta... vingt ans ce soir... envie de toi... » La gamine n'a pas de seins mais un cul d'enfer, deux melons bronzés qui ne cessent de se trémousser. Les deux continuent de se bécoter, je ne vois qu'une main de Monique sur le dos de la fille, les autres ont disparu, les bassins ondulent, les jambes se croisent et se décroisent, les corps se raidissent dans de petits cris étouffés. La jeunette mène la danse, descend sur la poitrine, tète le sein maternel puis d'un coup fait un tête-à-queue et devient une vraie cochonne. Sa tête d'ange picore le ventre de la mère avant de fondre au creux des cuisses. Brusquement Monique s'arc-boute en appui sur un pied et s'offre sans retenue.

Birgit s'impose à moi, elle m'embrasse avec fougue, sa langue est percée d'une boule de métal me fait découvrir des sensations étranges. Elle pèse de tout son poids sur moi, elle est plate comme une limande mais là aussi elle est percée d'une barrette placée au sommet d'un petit cône d'acier qui étire le mamelon. Un peu plus petite que moi je sens sur mon ventre son pubis glabre, également annelé.

Elle est dominatrice, alors que je veux la renverser sur le côté elle me bloque, grogne gentiment « Nein ! » et rampe sur moi jusqu'à me sucer les nichons puis descend sur mon ventre. Elle écarte mes jambes, ses mains déchirent ma vulve. Sa langue avec sa bille d'acier me fouille comme jamais je ne l'ai été. Je ne me retiens pas et lui crache mon jus à la gueule, obtenant un grognement « Sehr gut ! » de satisfaction.
Mes contractions s'accélèrent, ma chatte expulse des jets de cyprine en même temps que ma pissette libère un jet d'urine. Elle avale, elle lape tout, je me sens mourir de honte.

A côté j'entends Monique gémir, je vois la gamine lui bouffer la chatte, lui cracher dessus. Ses doigts écartent les lèvres, s'activent avec frénésie jusqu'à la faire crier. Quatre doigts sont profondément plantés en elle. La salope miaule au rythme de la main qui bat la mouille. Le chuintement est indécent de plus la gamine susurre «  Oh ! Maman qu'est-ce que tu mouilles » et elle de répondre « Et toi donc, tu mouilles comme une grande ! ». Les deux coquines jouent un drôle de jeu. Violetta encouragée, enserre son pouce dans sa paume et c'est toute sa menotte qui disparaît dans la vulve de Monique


Mais Birgit n'en a pas fini avec moi, elle vient à califourchon me montrer son ventre glabre, son sexe aux lèvres distendues par les deux gros anneaux et au clito transpercé d'une petite barre d'acier. C'est tellement indécent et excitant à la fois. Elle s'amuse avec, ses doigts plongent dans le vagin puis agitent le bourgeon comme une breloque, elle étire les anneaux et plaque son vagin à vif sur ma bouche. Je sens les anneaux du piercing aux commissures des lèvres, je lèche, lèche ses chairs au plus profond, j'ai l'impression d'avoir un goût de sang, je n'ai que la pulpe du fruit, je reçois directement l'élixir salé qui sourd du cœur.

En même temps, elle relève mes jambes sous ses aisselles, mes pieds partent en arrière, mes seins s'écrasent contre mes cuisses et comme sa jeune amie avec Monique, elle plonge trois puis quatre doigts dans mon sexe et agite la mouille en produisant un "Clap clap" obscène. Puis elle étale le mélange des sécrétions sur mon petit trou, y ajoute un filet de bave, ses doigts vont et viennent. Mon œillet est lubrifié, massé. Une autre partie commence, ses mains sur mes fesses, elle me met deux doigts dans l'anus et l'étire avec force, il s'élargit. Sa bouche se colle à la rosace, je sens la langue puis la bille d'acier sur le bord du sphincter. Maintenant c'est à deux mains qu'elle me fouille « öffne dich !!! Scheiss !!! ». J'ai quatre doigts de part et d'autre, toute mon intimité est en feu, je ne sais plus d'où je jouis du vagin ou du cul. Mon orgasme est continu, je n'ai plus de force, je m'abandonne.« Please, stop, stop »... elle me lâche avec un gros rire gras de victoire.

A côté de nous, c'est le bras de la gamine qui s'active comme une bielle dans le ventre de Monique, je n'en reviens pas, je n'aurais jamais imaginé ça. Le poing sort dans un grand flop quand Monique grogne un « Oh oui ! » déjà étouffé par Birgit qui repousse brutalement la gamine. Monique est à la merci de l'allemande dont les bras, les jambes l'enveloppent, agissent comme des tentacules, les corps roulent.

Violetta se tourne vers moi implorante et je la prends dans mes bras comme une enfant. Elle se love contre ma poitrine, s'empare d'un sein, le tète à grand bruit, elle aspire le téton jusqu'à avoir tout le mamelon en bouche. Une de ses mains passe de mon sein à mon ventre et se fiche entre mes cuisses, tout de suite un doigt s'insinue jusqu'au clito, le taquine tel un bouton de sonnette et la porte s'ouvre. J'écarte mes genoux sur la couche laissant libre accès à mon sexe. La menotte devient une bestiole pleine de vie, elle a vite fait de découvrir mes chairs intimes baignant dans la mouille. Les doigts glissent vers le fond et sans coup férir traversent le vagin. Comme avant avec Monique ce sont quatre doigts qui m'investissent avant que la main entière s'enfonce et agisse pareille à une tête de bélier.

Je tombe en pâmoison quand les jambes de Monique me prennent en ciseau et son ventre remplace les lèvres de la petite. Prise ainsi entre les deux, je suce mon amante et me fais bourrer la chatte par la gamine.

Je trouve le sexe de Monique dévasté, ses lèvres gonflées, la fente du vagin ourlée presque violacée, tout s'y mêle, la bave, la cyprine et même la pisse... Un cocktail écœurant, un cocktail enivrant... Je l'enserre par la taille, mes mains sur ses fesses et je me colle à elle, jusqu'à m'étouffer, alors que dans mon ventre une main me masse savamment l'utérus.

Toutes le quatre baignons dans la débauche, dans le jus de moule, dans le stupre.
Nous nous abandonnons totalement comme des dévergondées. Violetta ferme le cercle en prenant sa Maîtresse au sexe, toutes les quatre célébrons Saphos. J'ai le ventre liquéfié, mes organes en feu. Monique ne cesse de juter, les orgasmes se succèdent de plus en plus vite, je ne contrôle plus rien... Putain je mouille... Putain je pisse dans un éclat de rire de Violetta. Rien de grave juste une giclée mais qui a raison de nous et nous sépare.

Il est tard, nous sortons du salon pour arriver dans la grande salle presque vide, on retrouve sans difficulté nos maris au bar, les deux autres compagnons sont déjà rentrés.

On passe par la douche qui a le bénéfice de me réveiller totalement et de me laisser pisser. En sortant Yanis achète un petit souvenir, 3 micro-bikinis rouge, habit officiel du ''Sodome bath'', il nous en offre un à chacune et s'en garde un.

Dans le taxi du retour on parle peu. En arrivant au port, le ciel s'éclaircit dans moins d'une demie heure il fera jour. Avec Yanis nous laissons la cabine à Monique et Olivier et nous nous partageons les banquettes du carré.

Demain nous reprendrons la mer pour Delos et Folegandros.