Monique se libère 9 - Révélation de secrets de famille (fin)
Récit érotique écrit par John62 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Monique se libère 9 - Révélation de secrets de famille (fin)
Le soleil inonde la chambre, malgré la baie ouverte et le ventilateur, il fait chaud, je sens la sueur perler entre mes seins, au creux de mon ventre et pourtant je me sens légère, comblée par cette nuit d'amour. Je sens le sexe bien dur de mon amant, j'ouvre les yeux, face à moi Olivier (le mari de ma copine) me sourit. Je suis sur le point de l'embrasser quand son « Bonjour... Madame ! » me ramène dans son jeu d'hier. Ah, si tu veux jouer à ça, tu vas sentir de quel bois je me chauffe
— Dis-moi... C'est comme ça que ta Maîtresse t'as éduqué ? En lui foutant sur le ventre ta quéquette toute dégueulasse, en lui faisant sentir tes envies !!!. Je lui presse les couilles, les lui arrache jusqu'à entendre un petit cri plaintif. NON !... Alors comment la réveilles-tu ?.
Je m'amuse à le voir tout penaud, s'agenouiller et ouvrir mes cuisses toutes collantes. L'air frais circule sur mon ventre et m'apporte une forte odeur de foutre. Par instinct je passe ma main sur ma vulve toute poisseuse, je sens des plaques séchées sur mes cuisses et mon ventre, j'ai honte mais déjà il me lèche consciencieusement de partout, sans aucun dégoût et même avec gourmandise. Ses mains sont douces, sa langue de velours est bien souple. Il aspire ma vulve, mes lèvres s'allongent dans sa bouche, toujours avec souplesse sa langue, fouille, nettoie tout. Il me lèche, suce, titille, mon ventre se crispe. Waouh, waouh, le salaud va déjà me faire jouir, instinctivement mes fesses se contractent, mon bassin se soulève et tout de suite il me tripote le fion, alors je préfère prendre mes précautions et le repousse en disant « Viens te doucher ! »
Face à lui, je m'assieds sur les toilettes, pisse et me fais un petit lavement. Je connais l'érotisme qu'offre une femme qui fait pipi et se lave, il regarde discrètement tout en se savonnant.
Assurée de ma propreté je le rejoins. Punaise, il bande dur, il a une de ces bananes. L'eau est délicieusement fraîche, je me laisse aller, je m'accroupis, lui masse les couilles, astique le manche, suce le gland violacé, je taquine le méat bien large, une petite bouche dilatée aux bords ourlés, j'y enfonce l'ongle, la pointe de l'auriculaire, va et vient en tentant de l'enfoncer encore plus sous ses gémissements, c'est presque toute la première phalange qui le pénètre, mon ongle fouille profondément le canal urinaire, je le suce et reviens y mettre le doigt. Il grogne « Non ! Non !... S'il vous plait madame... Arrêtez !!! » En fait je n'imagine pas son problème... Et là ! Il me pisse dessus, me lâche une miction abondante, le jet doré traverse la pluie de la douche et me frappe au visage. Par instinct je gueule « SALOPE !!! », me relève furibonde, le saisis au cou et le gifle deux, trois fois. Le pauvret se lamente « Excusez-moi madame !!! ». Je le fusille du regard, le pousse vers le sol en maugréant « Lèche-moi, sale cabot ! »
Comme pour se faire pardonner, il reprend le cunni encore plus gourmand qu'il le faisait au lit. Il le fait si bien que je vais défaillir, je m'appuie au carrelage du mur, pose un pied sur son épaule, je le tiens par les cheveux et peu m'importe ce qui arrive, je jouis et lui pisse dessus. Mais le cochon plutôt que de se retirer, colle sa bouche à mon ventre, fait ventouse sur ma vulve et boit mon urine à grandes gorgées, je suis sidérée de son obéissance et de son dévergondage.
Je l'aide à se relever, il me sourit, il bande dur, l'urètre est gonflée, les veines saillantes, le membre arqué, je me colle à lui, agrippée à son cou, une jambe relevée autour de sa taille, je jette aux oubliettes le minet, le soumis... C'est l'homme que je veux maintenant
— Fais-moi voir, ce que tu sais faire comme ça !
Bien guidé de ma main, d'un coup de reins il me transperce. Il me lime une dizaine de fois puis m'appuyant contre le mur il me soulève à deux mains par les fesses tout en continuant à me buriner, à trifouiller mon petit trou. Dans cette position mon anus est étiré et s'ouvre facilement à la sollicitude des doigts.
Ça y est me revoilà partie, je vocalise. Olivier prend en main l'affaire, me dépose et me tourne, je m'appuie au mur bien offerte, les fesses relevées. Pas besoin de préparation, la lame est fine, l'étui est large et le voilà qu'il le fourrage en m'agrippant les hanches. Ses coups sont puissants, mes seins se ballottent comme des mamelles, arc-boutée, les mains au mur, à chaque fois ma tête frôle le mur. Et là me sentant asservie, il me claque les fesses. Je grogne de plaisir et il redouble ses coups. J'aime être prise sauvagement. C'est la chevauchée fantastique jusqu'au coup final où je me cogne la tête. Je le sens se contracter, se raidir, m'asperger les entrailles. On n'entend plus que l'eau couler, il se vide avant de "déculer" et de me redresser. Face à face on s'embrasse tendrement. A peine essuyés, on sort directement sur la terrasse où les enfants, Monique et Yanis nous attendent. En souriant, mon mari me demande si j'ai bien dormi ?
Aujourd'hui c'est dimanche, Nikos est de repos, et un brunch est sur la table, les quatre convives l'ont déjà bien entamé. Avec Olivier on rattrape le retard. Monique est assise à mon côté, nous voyons Mélina et John se promener comme Adam et Eve au Jardin d'Éden, elle m'interpelle en les voyant de dos :
— Regarde Nadine !... on croirait deux sœurs.
— C'est vrai que de dos John est très féminin, la taille bien marquée et le fessier bien rond et puis ses cheveux longs... Tu sais il y a deux ans en jouant à colin-maillard dans une piscine je l'ai confondu avec Mélina, je ne te dis pas, la honte !
On termine le petit déjeuner lorsque Yanis nous annonce qu'il a loué un Zodiac pour se balader autour de l'île et qu'il faudrait s'activer.
Une heure plus tard, les filles en robes légères, les mecs en bermudas et chargés de victuailles nous voilà au port d'Oia où nous trouvons le bateau équipé de deux puissants moteurs. Yanis s'installe à l'arrière avec Olivier pour piloter et nous quatre à l'avant, deux de chaque côté. Dès que la digue du port est dépassée nous abandonnons nos robes et restons en micro-maillot rouge, les tétons sont juste cachés et le slip enfoncé dans la fente, à regarder Monique et Mélina je trouve que c'est encore plus indécent que la nudité.
On admire le paysage, les falaises sont impressionnantes, vestige du volcan qui explosa il y a 2000 ans et créa un tsunami qui détruisit la flotte crétoise. Les villages perchés au sommet sont tout petits, au centre de la caldéra renaît un volcan et de l'autre côté une autre petite île Thirasia subsiste du volcan initial.
Assise sur un bord avec Monique, elle me dit m'avoir entendue la nuit dernière. Je lui parle alors de cette nuit, de ce matin avec son mec, le bruit des moteurs couvre notre conversation. J'élève la voix « Ma chérie, Olivier est un coquin qui aime être puni ! »
Yanis met plein gaz, le bateau bondit de vague en vague, on saute et retombe lourdement sur les bancs, on éclate de rire, les embruns nous mouillent. Sur l'autre bord du zodiac, face au vent, Mélina s'arrime aux épaules de John tandis que Monique tombe dans mes bras, une jambe allongée sur le banc et un pied au sol. Puis la navigation redevient tranquille mais on reste dans les bras de l'autre. John couché contre Mélanie, elle lui caresse la poitrine et plonge délibérément dans le slip, le cochon bande comme un beau diable et elle, sans gêne, lui sort le morceau. (Pourquoi se gênerait-elle face à sa belle-mère, son amante, d'à peine dix ans sont aînée qui folâtre avec la mère de son copain ?)
Monique regarde sans réagir, je la câline, l'embrasse dans le cou, elle se caresse sans embarras, le minuscule bout de tissus est avalé par son sexe.
Il m'a fallu un an pour la conduire de sa vie d'ascète au triolisme et en dix jours elle est devenue une dévergondée sans limite, s'offrant au regard de son fils, elle qui il y a deux jours craignais d'être traitée pour une moins que rien.
Un coup d’œil à l'arrière et je vois Olivier à la barre, Yanis dans son dos. Ils coupent le moteur, le bateau avance maintenant sans bruit, on entend juste le clapotis des vague.
C'est Mélina qui fixe le tempo, qui retire son maillot et face à John le chevauche à genoux.
Ballotté au grès des courants le bateau dérive. Je vois Yanis se frotter outrageusement à Olivier avant de le faire plier à ses exigences.
Alors nous sentant seules au monde je me couche avec Monique au fond du bateau. Je ne vois maintenant que sa chatte glabre. Ce n'est plus l'abricot fendu que j'ai connu quand je l'ai rencontrée mais une large vulve aux lèvres épaisses et humides. Je m'approche de la fleur, pointe la langue, goûte le nectar légèrement acre puis lèche la tige jusqu'au bouton que je suce comme un pénis. Je reviens entre les pétales et m'enfonce au cœur de la fleur recueillir son jus. Je vais, je viens, je fouille, j'excite, un flot de cyprine inonde ma bouche, les cuisses se crispent, tremblent comme sous l'effet du vent glacé.
Monique me renverse, me sourit, grogne « C'est trop bon ! ». Allongée sur moi, elle m'embrasse à pleine bouche, écarte les bouts de tissus de mes tétons et fond sur eux comme un bébé affamé. Elle lèche mes aréoles en ronds concentriques, la langue virevolte, la bouche englobe le mamelon, l'aspire comme pour l'avaler, le mord et le tire en déformant la mamelle. Elle fait délicieusement mal, je la retiens à deux mains, sa morsure se termine en un doux baiser.
On vire sur le côté, face à face les jambes entremêlées, on se regarde, on est bien. On se parle en secret de ces dix derniers jours en mer, du prochain mariage des enfants et du départ le lendemain matin. On allait tomber dans la mélancolie quand un violent bruit de chaîne nous ramène au moment présent.
Yanis m'arrache par surprise Monique de mes bras et la jette par dessus bord en criant « AU BAIN ! » Tout de suite John bondit de son banc et saute pour la retrouver, dès qu'il réapparaît, il l'enserre dans ses bras et l'embrasse tendrement. « Oh Maman que je suis heureux de te voir ainsi...Si belle... Et liiiiibre !!! ».
Tous les quatre, les parents, sautons dans l'eau d'un même élan, heureux de notre harmonie, d'être ce que nous sommes, de nous être dévoilés.
Le bain en pleine mer est un pur bonheur. Il crée une sensation de liberté, d'espace, de légèreté, de bien être. Il y a au moins 15 mètres de fond, on voit clairement les bancs de poissons argentés filer, les coquillages et l'ancre du zodiac se détacher sur le sable blanc. On joue comme des gamins, on s'éclabousse, on se taquine, on se surprend... Ce sont des bisous, des caresses, des rires. J'aime voir les corps nus plonger dans l'infini et revenir en surface en surprenant l'un ou l'autre. Le temps passe, le soleil baisse, Yanis donne le signal du retour.
Les deux pilotes reprennent leurs places à l'arrière, je m'assieds à l'avant sur un bord du zodiac à côté de John et face à Mélina et Monique. Je suis heureuse de retrouver mon jeune amant, demain ses parents seront partis et je pourrai être avec lui, aujourd'hui je préfère rester distante et ne pas rallumer la colère.
A son tour il me fait des confidences, il me dit combien il est heureux de voir sa maman aussi belle, aussi câline, aussi coquine. Bien sûr depuis un an il avait observé son évolution d'apparence, d'habillement, de coiffure mais découvre ici sa métamorphose en libertine. Alors je lui raconte ce qui s'est passé en un an depuis notre rencontre à sa remise de diplôme, notre relation d'amie à amante, un cheminement qui s'est fait à son rythme, la découverte de sa sexualité puis sa rencontre avec Yanis et au cours de cette croisière sa libération totale.
Face à nous Mélina et Monique se font d'autres confidences et la jeune fille se montre plus que tendre. On entre au port, on mange rapidement une pizza avant de revenir à la maison.
Même le soleil couché, il fait encore chaud. A peine descendus de la Méhari nous courrons à la piscine. Je suis avec Monique la première dans l'eau, mais il manque quelque chose, il n'y a plus cette gaieté, cette insouciance, une ombre plane, on pense au lendemain, à la séparation. Monique se colle à moi et me susurre tristement « Allons nous coucher ! ». On sort de l'eau et entraînons nos maris, je fais signe aux enfants que nous allons nous coucher. Ils nous rejoignent et tous les six sur la terrasse nous nous souhaitons « Bonne nuit ! » :
— Bon les enfants, dit Monique des trémolos dans la voix, demain nous avons l'avion à sept heures alors on va se reposer un peu. On se dit au revoir maintenant, on a été très heureux de passer ces deux jours ensemble, on s'est découvert. Demain sera différent d'hier. On vous souhaite de très bonnes vacances et on se reverra tous dès votre retour à Paris.
Ce sont des embrassades, des souhaits et des promesses puis nous rentrons dans nos chambres, Monique vient avec moi et nous laissons les hommes dans l'autre chambre. Rapidement le calme s'installe, la lune illumine la pièce, le ronronnement du ventilateur, les hululements de la chouette et le grésillement des grillons troublent le silence de la nuit.
Trop tristes, nous n'avons pas le cœur à faire l'amour, notre nuit n'est que douceur, caresses, bisous et promesses pour le futur.
— Dis-moi... C'est comme ça que ta Maîtresse t'as éduqué ? En lui foutant sur le ventre ta quéquette toute dégueulasse, en lui faisant sentir tes envies !!!. Je lui presse les couilles, les lui arrache jusqu'à entendre un petit cri plaintif. NON !... Alors comment la réveilles-tu ?.
Je m'amuse à le voir tout penaud, s'agenouiller et ouvrir mes cuisses toutes collantes. L'air frais circule sur mon ventre et m'apporte une forte odeur de foutre. Par instinct je passe ma main sur ma vulve toute poisseuse, je sens des plaques séchées sur mes cuisses et mon ventre, j'ai honte mais déjà il me lèche consciencieusement de partout, sans aucun dégoût et même avec gourmandise. Ses mains sont douces, sa langue de velours est bien souple. Il aspire ma vulve, mes lèvres s'allongent dans sa bouche, toujours avec souplesse sa langue, fouille, nettoie tout. Il me lèche, suce, titille, mon ventre se crispe. Waouh, waouh, le salaud va déjà me faire jouir, instinctivement mes fesses se contractent, mon bassin se soulève et tout de suite il me tripote le fion, alors je préfère prendre mes précautions et le repousse en disant « Viens te doucher ! »
Face à lui, je m'assieds sur les toilettes, pisse et me fais un petit lavement. Je connais l'érotisme qu'offre une femme qui fait pipi et se lave, il regarde discrètement tout en se savonnant.
Assurée de ma propreté je le rejoins. Punaise, il bande dur, il a une de ces bananes. L'eau est délicieusement fraîche, je me laisse aller, je m'accroupis, lui masse les couilles, astique le manche, suce le gland violacé, je taquine le méat bien large, une petite bouche dilatée aux bords ourlés, j'y enfonce l'ongle, la pointe de l'auriculaire, va et vient en tentant de l'enfoncer encore plus sous ses gémissements, c'est presque toute la première phalange qui le pénètre, mon ongle fouille profondément le canal urinaire, je le suce et reviens y mettre le doigt. Il grogne « Non ! Non !... S'il vous plait madame... Arrêtez !!! » En fait je n'imagine pas son problème... Et là ! Il me pisse dessus, me lâche une miction abondante, le jet doré traverse la pluie de la douche et me frappe au visage. Par instinct je gueule « SALOPE !!! », me relève furibonde, le saisis au cou et le gifle deux, trois fois. Le pauvret se lamente « Excusez-moi madame !!! ». Je le fusille du regard, le pousse vers le sol en maugréant « Lèche-moi, sale cabot ! »
Comme pour se faire pardonner, il reprend le cunni encore plus gourmand qu'il le faisait au lit. Il le fait si bien que je vais défaillir, je m'appuie au carrelage du mur, pose un pied sur son épaule, je le tiens par les cheveux et peu m'importe ce qui arrive, je jouis et lui pisse dessus. Mais le cochon plutôt que de se retirer, colle sa bouche à mon ventre, fait ventouse sur ma vulve et boit mon urine à grandes gorgées, je suis sidérée de son obéissance et de son dévergondage.
Je l'aide à se relever, il me sourit, il bande dur, l'urètre est gonflée, les veines saillantes, le membre arqué, je me colle à lui, agrippée à son cou, une jambe relevée autour de sa taille, je jette aux oubliettes le minet, le soumis... C'est l'homme que je veux maintenant
— Fais-moi voir, ce que tu sais faire comme ça !
Bien guidé de ma main, d'un coup de reins il me transperce. Il me lime une dizaine de fois puis m'appuyant contre le mur il me soulève à deux mains par les fesses tout en continuant à me buriner, à trifouiller mon petit trou. Dans cette position mon anus est étiré et s'ouvre facilement à la sollicitude des doigts.
Ça y est me revoilà partie, je vocalise. Olivier prend en main l'affaire, me dépose et me tourne, je m'appuie au mur bien offerte, les fesses relevées. Pas besoin de préparation, la lame est fine, l'étui est large et le voilà qu'il le fourrage en m'agrippant les hanches. Ses coups sont puissants, mes seins se ballottent comme des mamelles, arc-boutée, les mains au mur, à chaque fois ma tête frôle le mur. Et là me sentant asservie, il me claque les fesses. Je grogne de plaisir et il redouble ses coups. J'aime être prise sauvagement. C'est la chevauchée fantastique jusqu'au coup final où je me cogne la tête. Je le sens se contracter, se raidir, m'asperger les entrailles. On n'entend plus que l'eau couler, il se vide avant de "déculer" et de me redresser. Face à face on s'embrasse tendrement. A peine essuyés, on sort directement sur la terrasse où les enfants, Monique et Yanis nous attendent. En souriant, mon mari me demande si j'ai bien dormi ?
Aujourd'hui c'est dimanche, Nikos est de repos, et un brunch est sur la table, les quatre convives l'ont déjà bien entamé. Avec Olivier on rattrape le retard. Monique est assise à mon côté, nous voyons Mélina et John se promener comme Adam et Eve au Jardin d'Éden, elle m'interpelle en les voyant de dos :
— Regarde Nadine !... on croirait deux sœurs.
— C'est vrai que de dos John est très féminin, la taille bien marquée et le fessier bien rond et puis ses cheveux longs... Tu sais il y a deux ans en jouant à colin-maillard dans une piscine je l'ai confondu avec Mélina, je ne te dis pas, la honte !
On termine le petit déjeuner lorsque Yanis nous annonce qu'il a loué un Zodiac pour se balader autour de l'île et qu'il faudrait s'activer.
Une heure plus tard, les filles en robes légères, les mecs en bermudas et chargés de victuailles nous voilà au port d'Oia où nous trouvons le bateau équipé de deux puissants moteurs. Yanis s'installe à l'arrière avec Olivier pour piloter et nous quatre à l'avant, deux de chaque côté. Dès que la digue du port est dépassée nous abandonnons nos robes et restons en micro-maillot rouge, les tétons sont juste cachés et le slip enfoncé dans la fente, à regarder Monique et Mélina je trouve que c'est encore plus indécent que la nudité.
On admire le paysage, les falaises sont impressionnantes, vestige du volcan qui explosa il y a 2000 ans et créa un tsunami qui détruisit la flotte crétoise. Les villages perchés au sommet sont tout petits, au centre de la caldéra renaît un volcan et de l'autre côté une autre petite île Thirasia subsiste du volcan initial.
Assise sur un bord avec Monique, elle me dit m'avoir entendue la nuit dernière. Je lui parle alors de cette nuit, de ce matin avec son mec, le bruit des moteurs couvre notre conversation. J'élève la voix « Ma chérie, Olivier est un coquin qui aime être puni ! »
Yanis met plein gaz, le bateau bondit de vague en vague, on saute et retombe lourdement sur les bancs, on éclate de rire, les embruns nous mouillent. Sur l'autre bord du zodiac, face au vent, Mélina s'arrime aux épaules de John tandis que Monique tombe dans mes bras, une jambe allongée sur le banc et un pied au sol. Puis la navigation redevient tranquille mais on reste dans les bras de l'autre. John couché contre Mélanie, elle lui caresse la poitrine et plonge délibérément dans le slip, le cochon bande comme un beau diable et elle, sans gêne, lui sort le morceau. (Pourquoi se gênerait-elle face à sa belle-mère, son amante, d'à peine dix ans sont aînée qui folâtre avec la mère de son copain ?)
Monique regarde sans réagir, je la câline, l'embrasse dans le cou, elle se caresse sans embarras, le minuscule bout de tissus est avalé par son sexe.
Il m'a fallu un an pour la conduire de sa vie d'ascète au triolisme et en dix jours elle est devenue une dévergondée sans limite, s'offrant au regard de son fils, elle qui il y a deux jours craignais d'être traitée pour une moins que rien.
Un coup d’œil à l'arrière et je vois Olivier à la barre, Yanis dans son dos. Ils coupent le moteur, le bateau avance maintenant sans bruit, on entend juste le clapotis des vague.
C'est Mélina qui fixe le tempo, qui retire son maillot et face à John le chevauche à genoux.
Ballotté au grès des courants le bateau dérive. Je vois Yanis se frotter outrageusement à Olivier avant de le faire plier à ses exigences.
Alors nous sentant seules au monde je me couche avec Monique au fond du bateau. Je ne vois maintenant que sa chatte glabre. Ce n'est plus l'abricot fendu que j'ai connu quand je l'ai rencontrée mais une large vulve aux lèvres épaisses et humides. Je m'approche de la fleur, pointe la langue, goûte le nectar légèrement acre puis lèche la tige jusqu'au bouton que je suce comme un pénis. Je reviens entre les pétales et m'enfonce au cœur de la fleur recueillir son jus. Je vais, je viens, je fouille, j'excite, un flot de cyprine inonde ma bouche, les cuisses se crispent, tremblent comme sous l'effet du vent glacé.
Monique me renverse, me sourit, grogne « C'est trop bon ! ». Allongée sur moi, elle m'embrasse à pleine bouche, écarte les bouts de tissus de mes tétons et fond sur eux comme un bébé affamé. Elle lèche mes aréoles en ronds concentriques, la langue virevolte, la bouche englobe le mamelon, l'aspire comme pour l'avaler, le mord et le tire en déformant la mamelle. Elle fait délicieusement mal, je la retiens à deux mains, sa morsure se termine en un doux baiser.
On vire sur le côté, face à face les jambes entremêlées, on se regarde, on est bien. On se parle en secret de ces dix derniers jours en mer, du prochain mariage des enfants et du départ le lendemain matin. On allait tomber dans la mélancolie quand un violent bruit de chaîne nous ramène au moment présent.
Yanis m'arrache par surprise Monique de mes bras et la jette par dessus bord en criant « AU BAIN ! » Tout de suite John bondit de son banc et saute pour la retrouver, dès qu'il réapparaît, il l'enserre dans ses bras et l'embrasse tendrement. « Oh Maman que je suis heureux de te voir ainsi...Si belle... Et liiiiibre !!! ».
Tous les quatre, les parents, sautons dans l'eau d'un même élan, heureux de notre harmonie, d'être ce que nous sommes, de nous être dévoilés.
Le bain en pleine mer est un pur bonheur. Il crée une sensation de liberté, d'espace, de légèreté, de bien être. Il y a au moins 15 mètres de fond, on voit clairement les bancs de poissons argentés filer, les coquillages et l'ancre du zodiac se détacher sur le sable blanc. On joue comme des gamins, on s'éclabousse, on se taquine, on se surprend... Ce sont des bisous, des caresses, des rires. J'aime voir les corps nus plonger dans l'infini et revenir en surface en surprenant l'un ou l'autre. Le temps passe, le soleil baisse, Yanis donne le signal du retour.
Les deux pilotes reprennent leurs places à l'arrière, je m'assieds à l'avant sur un bord du zodiac à côté de John et face à Mélina et Monique. Je suis heureuse de retrouver mon jeune amant, demain ses parents seront partis et je pourrai être avec lui, aujourd'hui je préfère rester distante et ne pas rallumer la colère.
A son tour il me fait des confidences, il me dit combien il est heureux de voir sa maman aussi belle, aussi câline, aussi coquine. Bien sûr depuis un an il avait observé son évolution d'apparence, d'habillement, de coiffure mais découvre ici sa métamorphose en libertine. Alors je lui raconte ce qui s'est passé en un an depuis notre rencontre à sa remise de diplôme, notre relation d'amie à amante, un cheminement qui s'est fait à son rythme, la découverte de sa sexualité puis sa rencontre avec Yanis et au cours de cette croisière sa libération totale.
Face à nous Mélina et Monique se font d'autres confidences et la jeune fille se montre plus que tendre. On entre au port, on mange rapidement une pizza avant de revenir à la maison.
Même le soleil couché, il fait encore chaud. A peine descendus de la Méhari nous courrons à la piscine. Je suis avec Monique la première dans l'eau, mais il manque quelque chose, il n'y a plus cette gaieté, cette insouciance, une ombre plane, on pense au lendemain, à la séparation. Monique se colle à moi et me susurre tristement « Allons nous coucher ! ». On sort de l'eau et entraînons nos maris, je fais signe aux enfants que nous allons nous coucher. Ils nous rejoignent et tous les six sur la terrasse nous nous souhaitons « Bonne nuit ! » :
— Bon les enfants, dit Monique des trémolos dans la voix, demain nous avons l'avion à sept heures alors on va se reposer un peu. On se dit au revoir maintenant, on a été très heureux de passer ces deux jours ensemble, on s'est découvert. Demain sera différent d'hier. On vous souhaite de très bonnes vacances et on se reverra tous dès votre retour à Paris.
Ce sont des embrassades, des souhaits et des promesses puis nous rentrons dans nos chambres, Monique vient avec moi et nous laissons les hommes dans l'autre chambre. Rapidement le calme s'installe, la lune illumine la pièce, le ronronnement du ventilateur, les hululements de la chouette et le grésillement des grillons troublent le silence de la nuit.
Trop tristes, nous n'avons pas le cœur à faire l'amour, notre nuit n'est que douceur, caresses, bisous et promesses pour le futur.
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