John, employé dévoué 1 - Entretien d'embauche

- Par l'auteur HDS John62 -
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Récit libertin : John, employé dévoué 1 - Entretien d'embauche Histoire érotique Publiée sur HDS le 31-12-2025 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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John, employé dévoué 1 - Entretien d'embauche
Monique libérée, revenons un an en arrière quand elle rencontre Nadine lors de la remise de licence à son fils pour voir ce qu'il devient.

Je suis John, aujourd'hui j'ai 22 ans et je viens de terminer ma licence de Sciences économiques.
Depuis un an, je vis en compagnie de Mélina. A côté de nos études, nous avons une sexualité débridée jusqu'à intervertir nos rôles, il est vrai qu'elle a de la poigne et que je suis mignon comme disent certains.
Tandis que ma copine souhaite poursuivre des études de Droit, son père que j'ai rencontré récemment à une soirée dans une ferme désire m'embaucher.

...ooOoo...

Je rencontre ce matin Yanis, le père de Mélina, patron d'une boîte de lingerie féminine,
J'ai rendez-vous à 9 heures dans ses bureaux à Vincennes où se situent ses ateliers de confection. Pour l'occasion j'ai mis costume cravate. C'est sa secrétaire qui me reçoit et me fait entrer dans son bureau.
— Bonjour John, entrez s'il vous plaît, je suis à vous tout de suite.
— Bonjour... Monsieur ! 
— Denise, en s'adressant à sa secrétaire, apportez-nous deux cafés et on se revoit dans un quart d'heure !

Le café servi, la porte fermée :
— Salut John, mettons tout de suite les choses au clair, entre nous c'est « Tu » avec les autres c'est « Vous ». Bien, que je t'explique qui nous sommes et ce que j'attends de toi.
Lebaudy ce sont 20 personnes qui produisent et commercialisent des sous-vêtements féminins de haut de gamme. La vente se fait dans notre magasin place Blanche, pas loin de Pigalle, où nous captons la clientèle des sex-shop et à domicile par notre réseau de conseillères pour la clientèle bourgeoise. Pourquoi j'ai besoin de toi dans mon affaire ? Pour la comptabilité et toutes les relations administratives, banques, assurances, administrations publiques. Qu'en dis-tu ?... J'ai également une autre petite idée en tête mais il est trop tôt pour en parler.
— Vous savez je n'ai aucune expérience !
— Oui, oui, je sais, mais tu as avec toi une employée Fifine qui connaît l'affaire et Maurice, l'expert comptable. Ne t'inquiète pas. Il s'arrête de parler, m'examine de pieds en cape puis reprends, je te félicite pour ta tenue, tu as parfaitement anticipé la fonction de... Cadre ! J'entends que ma fille soit fière de son compagnon.
— Oui bien sûr.
— Alors si on est d'accord, j'appelle Fifine et je prépare le contrat de travail. Cette après-midi je t'ai prévu une visite de nos ateliers avec le chef de production et nous nous retrouvons à 18 heures dans mon bureau.
— D'accord, merci monsieur.
— Je te souhaite une bonne journée et à ce soir.

… Le soir à 18 heures ...

Plus personne, ni dans les bureaux, ni à l'atelier, je frappe à la porte de ''Yanis Andropoulos P.D.G.''
— Oui, entrez !

Yanis a quitté sa veste et sa cravate, en bras de chemise il range les papiers qu'il a sur le bureau.
— Salut John, fais comme moi, mets-toi à l'aise et ferme la porte à clé, on sera plus tranquille au cas où la femme de ménage ait idée de faire du zèle... Voilà, c'est mieux ainsi. Assieds-toi et parle-moi de ta première journée. Tiens un petit whisky.

L'attitude de Yanis n'est plus celle du patron mais celle de l'homme que j'ai rencontré l'autre soir, aussi tactile, aussi attentionné. Assis côte-côte dans le canapé il me sourit, d'un sourire carnassier, me caresse le cou et me prend par les épaules, ses yeux brillent de mille feux :

— Bon, John ! Je vais être franc et direct avec toi. Tu m'intéresses beaucoup pour ton savoir, tes connaissances et... Tes dispositions, ton libertinage. Je souhaite profiter des deux faces de ta personnalité... Après un long silence il reprend, T'as aimé le moment passé à la ferme ?

Je reste silencieux, buvant une petite gorgée de whisky, mes yeux répondent pour moi. Lui est déterminé, sûr de lui, la chemise découvre son poitrail d’athlète. Il me tire contre lui, son front cogne mon crâne. Pour éviter qu'il m'embrasse sur la bouche, je baisse la tête sur ses pectoraux rebondis, je hume son parfum frais dans ses poils soyeux et en même temps je sens sur mon cou au travers de mes cheveux, son souffle chaud « Tu sens bon ! ».
Peu après il me relève gentiment la tête d'un doigt sous mon menton, dégage délicatement mes cheveux, me lèche le cou, me mordille le lobe d'oreille, sa langue suit les contours du pavillon de mon oreille créant un bruit sourd qui me fait frisonner, peu à peu je me détends, je miaule des ''Mmmmh'' de bien être.

— Tu te rappelles je t'ai dit « On se retrouvera ! »
Il défait d'un coup sec ma chemise et relève mon débardeur. Ma poitrine glabre est mise à nu. Je me redresse, les épaules en arrière, la tête sur le dossier, je bombe le torse, Il roule mon téton entre ses doigts, le tire, le tournicote, me fait mal, je gémis et il tire d'autant plus. « J'aime ta peau lisse, tes p'tits seins, tu es toute chaude... T'en as envie petite coquine ?. »

Les mots qu'il me susurre, me transcendent, ma respiration s'accélère. Pour toute réponse, j'écarte les jambes, m'offre à lui. Sa main se plaque sur mon pantalon, me prend le paquet, le presse, le pétrit. Il me semble tellement petit dans sa pogne. Je ferme les yeux, pantelant, je m'abandonne. Et là, je sens sa barbe sur mes joues, mon menton, ses lèvres sur les miennes, je ne peux m'échapper, sa langue force le passage de mes dents, glisse dans ma bouche et pour la première fois un homme m'embrasse, sa langue est plus épaisse, s'impose plus forte, sa salive est plus grasse, plus collante, avec ce goût d'alcool, en même temps sa main me broie les couilles, les fait fondre. Brusquement il me tire par le pantalon et me pousse par l'épaule, d'une voix rauque il grogne «  Déshabille-toi ! »

Debout, je le regarde droit dans les yeux, sans sourire. Je défais lentement la ceinture et laisse tomber le pantalon sur les chevilles tout en rejetant la chemise en arrière. Je suis en sous-vêtements de coton blanc, fébrile sous son regard moqueur
« Tu portes ça ?... Sans réponse de ma part, il continue fâché, je ne veux plus jamais te voir comme ça... Fous-toi à poil !... Chose faite, je me sens ridicule dans mon corps si peu musclé, avec mon vermisseau endormi de dix centimètres, pas plus gros que deux doigts, il bondit du canapé en criant, Tourne-toi ! tout en me prenant par le bras... Putain t'as un vrai cul de gonzesse. D'un doigt il part du milieu du dos, suit la colonne vertébrale s'enfonce entre mes fesses jusqu'à l'anus qu'il transperce d'un coup sans difficulté, il me doigte nerveusement avant de me donner une grande tape sur le cul et de me remettre face à lui.

Il a un regard de feu, son pantalon sur les chevilles, la chemise complètement ouverte, son sexe étire le boxer blanc dans tous les sens à l'en déchirer, je caresse l'urètre parfaitement visible au travers du coton blanc sur plus de 20 centimètres du bout des doigts. L'homme est plus trapu, plus costaud mais pas plus grand que moi. Il a le poil noir, la peau basanée, je l'ai presque translucide et suis châtain très clair. Sans me coller à lui, je l'embrasse au cou, à l'épaule, mes lèvres glissent sur sa peau, arrivent sur le mamelon granulé et très sombre, je le lèche, tète la pointe, elle est grosse et bien dure... Je la suce encore plus fort, la mord. Il grogne un peu, me repousse, m'appuie fermement sur l'épaule et je tombe à ses genoux, j'embrasse son ventre au poil soyeux, ma langue s'attarde sur le nombril le temps que mes doigts prennent les côtés du boxer et l'abaissent.

Mes lèvres suivent la ceinture du vêtement et trouvent la broussaille odorante du pubis. D'un coup le slip tombe sur les chevilles et libère un sexe épais, ferme sans être dur. Là tout va très vite, aidé de ma langue, j'embouche le membre, mes lèvres décalottent le gland grenat, violacé, à deux mains je m'empare des bourses velues et du tronc. En deux pressions de la main, deux aspirations de la bouche et deux, trois allers-retours, le sexe se couvre de salive et double de volume, il s'élève, arqué comme une banane, les veines prêtent à éclater, ma main en fait à peine le tour.

Je le suce gourmand, la bave coule des commissures de mes lèvres, je masse le canal urinaire du pouce, malaxe les bourses bien pleines. Il ne me laisse pas le plaisir de goûter plus longtemps le fruit qu'il me met debout et me penche sur sa table de travail. Étalé, les bras allongés sur ses papiers, lentement il me caresse le dos, les flancs, les cuisses de ses doigts ou du dos de sa main. Je sens sa barbe sur mes fesses, sa main plonger entre mes cuisses et saisir ma queue. Il la tire très en arrière, elle s'allonge, grossit, devient du béton. Le nez dans mon cul, il me suce et me branle en plaquant mes couilles contre mes fesses.
Je le supplie «  Arrête, je vais jouir ! » mais lui m'astique de plus belle « Tais-toi salope et donne-moi tout... Tu aimes te faire traire ainsi ? » Oui c'est vrai je n'en ai pas l'habitude de cette manière et je me rends compte combien il est gourmand. Je relève le postérieur, me dégage autant que possible en geignant « Oh ouais c'est bon... » Finalement je lui gicle cinq fois dans la bouche comme à la régalade avant qu'il ne me tète le gland.

Toujours accroupi à mon popotin, il laisse ma queue se flétrir, perdre encore quelques gouttes de semence, pour éclater mes fesses comme une pastèque. Il continue en étirant avec les pouces la rosette puis me suce le cul, sa langue est dure et pointue, elle pousse le petit trou, couvre mes chairs de salive, je sens sa bave couler sur le périnée, les couilles jusqu'à la pointe de ma queue devenue toute flasque.

L'homme s'impose à moi, ses pieds écartent les miens, son gland est sur l'œillet, il me tient fermement à deux mains par les hanches. Je retiens ma respiration, il me tire à lui, je l'accompagne dans sa poussée, un « HAN » bref et strident signale sa victoire, la conquête de la place... Il est en moi ! Presque immédiatement je me détends et il glisse au fond de mes entrailles :
— Tu en avais envie... Hein, tu aimes ça, la bite.
— ...
— Tiens, prends la que je te défonce bien !

Et ce n'est pas une dizaine de petits coups comme la première fois, il fait durer le plaisir, me laisse avachi les bras sur le bureau, il continue de me fesser tout en me sodomisant... ça chauffe, ça me brûle.

Il me redresse en me prenant par les épaules. Les reins creusés, mes omoplates touchent son torse. Il m'embrasse dans le cou, gémit de plaisir, sa barbe me caresse le cou, sa langue me lèche l'oreille, le mâle s'impose à moi. Je suis comme Éromène avec Éraste, le petit jeune qui se fait mettre par l'homme ayant le double de son âge.

— Putain que c'est bon avec toi ! Ce n'est pas stipulé dans ton contrat mais on est d'accord, ça fait partie de ta prestation.
— Ui !... Ui !...(que je gémis au rythme de la sodomie)
— Tiens prends-la bien à fond !

Appuyé à son torse, j'ai repris en main ma queue, je me caresse doucement, sans vraiment bander quand il s'en mêle et m'astique sérieusement en me faisant retrouver ma virilité, quelques gouttes de sperme giclent en tous sens. Un coup de reins me pousse contre le bureau et lui reste fiché au plus profond de moi, je le sens vibrer, se contracter, gicler. Yanis est couché sur mon dos, je sens sa barbe me caresser. Il se relève et se retire en me donnant une tape amicale sur les fesses, son sperme s'échappe, coule sur mes cuisses mais déjà il se rhabille pressé.

— Tiens, me dit-il en me tendant un carton, c'est pour toi, choisis et rhabille-toi !

Le carton est marqué ''Lebaudy'' contient une multitude de serre-tailles, de culottes de tous genres, de toutes couleurs, des bas, des nuisettes.

Je choisis rapidement un shorty et un serre-taille de dentelle blanche, des bas nylon, une petite combinaison de soie blanche avec deux losanges en dentelle au lieu des seins.
Son regard me laisse penser qu'il est satisfait de mon choix

— Jane, je dois partir. Tu jettes tes frusques et tu emportes ce carton. Essuie aussi tes cochonneries sur le carrelage sinon la femme de ménage ne va pas comprendre.
Bon, tu prends ton contrat tu me le rapporteras signé. Demain tu retrouves directement Fifine et le soir on se retrouve dans mon bureau à 18 heures. On fera le point des affaires autour d'un verre. Allez, salut John, embrasse Mél (sa fille) pour moi et à demain. Il me quitte en me tendant la main.

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Texte coquin : John, employé dévoué 1 - Entretien d'embauche
Histoire sexe : Une rose rouge
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