Monique se libère 8 - Révélation de secrets de famille
Récit érotique écrit par John62 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Monique se libère 8 - Révélation de secrets de famille
Le soleil illumine la chambre, le ventilateur au dessus du lit rend la chaleur supportable. J'ouvre un œil, Monique dort encore profondément. J'entends qu'on s'active sur la terrasse probablement que Nikos, le gardien, prépare le petit déjeuner.
Il faut se lever, dans moins de deux heures les enfants arrivent à l'aéroport.
Tout s'accélère après le petit-dèj, Douchées, habillées nous prenons toutes les deux la Méhari pour rejoindre en une demi-heure l'aéroport pendant que Yanis et Olivier vont s'occuper de la maison avec Nikos.
Nous arrivons à temps. Monique est stressée et inquiète :
— Me montrer ainsi ! John ne va pas me reconnaître ! Ça fait plus de deux mois que je ne l'ai pas vu.
— T'inquiète pas ma chérie, que je lui réponds, tu es ravissante et il va adorer.
C'est vrai qu'elle s'est transformée physiquement durant cette année et psychologiquement au cours de cette croisière, le soleil, les amours au pluriel ont fait d'elle une femme libérée. Elle est radieuse avec sa chevelure blonde au vent et sa peau bronzée. En nu-pieds à talon, jupette blanche et blouse nouée à la taille, elle est vraiment sensuelle. Adieu la Monique au chignon, aux jupes à mi-mollet et blouses col Claudine .
A 11 heures sous un soleil harassant, l'avion Air France s'arrête face à l'aérogare, on voit les enfants traverser le tarmac, ils nous cherchent du regard, un geste, non ils ne nous voient pas. Monique me prend par le bras, se presse contre moi, je sens son sein nu, elle me murmure « Tu vois, ils ne nous reconnaissent pas ! ».
Un quart d'heure plus tard ils sortent de la salle de débarquement, Mélina est la première à me voir, elle court, me saute au cou et me fait la bise. Je ne quitte pas Monique de la main, John arrive face à nous, reste perplexe, dubitatif puis murmure :
— Maaaman ?...
— Oui John ! mon chéri, dit-elle à peine audible.
Comment va-t-il réagir ? Bien, mal ? Elle est suspendue à son attitude. Il lâche son bagage, reste bouche bée d'admiration, les deux se regardent, font un pas l'un vers l'autre et finalement tombent dans les bras de l'autre et se serrent fort :
— Ooooh maman !... Tu es magnifique !... Oh maman, je t'aiiiime !!!
— C'est vrai ??? chuchote-t-elle puis dans un soupir elle ajoute, ça fait si longtemps mon chéri qu'on s'est vu.
Ils s'étreignent, ils s'embrassent longuement. Mélina les rejoint, les deux femmes se découvrent, se regardent puis s'embrassent et tous les trois se tiennent par les épaules, les baisers se perdent, se font sur les joues, dans le cou, les oreilles, la bouche. Enfin je m'associe à eux pour les embrasser à mon tour. C'est tellement émouvant que les larmes montent aux yeux. Après plus de cinq minutes d'embrassade, nous quittons l'aéroport tous émus pour rejoindre la voiture, moi au bras de Monique, nos enfants à nos côtés.
Sur le chemin du retour, nous laissons les enfants à l'arrière. Je les regarde dans le rétroviseur, leur demande des nouvelles de Paris mais leurs paroles s'envolent avec le vent.
En arrivant au "Jardin d'Éden", John saute de la voiture et s'écrie en voyant son père en petit short, les cheveux teints « Ouais Pa'... T'es top, t'as rajeuni de dix ans ! ». Ce sont de nouvelles effusions de joie, toutes les craintes s'envolent. On se retrouve trop contents d'être ensemble.
Assis sur la terrasse, on reprend contact en buvant une citronnade, on parle de Paris, de la croisière. John parle peu, regarde sa mère puis vient derrière son fauteuil, se penche sur elle, croise ses bras sur sa poitrine et l'embrasse longuement dans le cou. Elle se prête à ce tendre baiser en baissant la tête sur le côté, on peut entendre « Que tu es belle maman ! Que tu sens bon ! ».
Il fait chaud, il est presque midi quand Mélina demande à se baigner.
« Allez, tous au bain » crie Yanis en la conduisant dans la chambre qui leur est réservée, celle à côté du séjour.De mon côté avec beaucoup de difficultés je convaincs Monique de mettre le bikini du "Sodome bath"
— Nadine, tu n'y penses pas devant mon fils ! (il faut dire que c'est osé, trois petits triangles qui couvrent juste les tétons et la vulve)
— Ma chérie il est temps de te dévoiler... Et à mon exemple, elle enfile le maillot sans trop rechigner.
En sortant sur la terrasse, on a un choc en voyant de dos le père et le fils, deux carrures presque identiques, deux petits culs tout pareils étriqués dans leurs slips blancs taille basse, les même cuisses lisses et galbées, les mêmes jambes élancées.
La surprise est aussi grande pour eux en nous voyant, Monique se présentant quasiment nue à son fils qui se montre homme avec une banane que le maillot a du mal à contenir.
C'est alors qu'on entend Mélina crier derrière nous, on la voit courir avec le même bikini rouge que les nôtres, suivi de Yanis. Dans le même élan nous sautons tous les six dans la piscine
Les deux pères partent en crawl au travers du bassin, alors qu'avec Mélina, toutes les trois on se prend par les épaules et on s'entrecroise les jambes et elle embrasse tendrement Monique dans l'oreille. « Tu es splendide ! »
A ce moment, John jaillit du fond de la piscine, dans le dos de sa mère, en s'appuyant sur ses épaules « Coucou maman... Oh que je suis content de te voir... Tu es si belle, et ce maillot, waouh ! » Elle se tourne vers lui et l'embrasse tendrement comme une maman « C'est vrai mon chéri ???... Je suis heureuse »
Avec Mélina, nous les laissons ensemble et je lui explique comment celle qu'elle avait entendu être "grenouille de bénitier" est en réalité cette femme libérée.
Nikos nous annonce que l'apéritif est servi. Monique est la première à sortir sous les sifflets d'admiration des enfants. Je ne sais alors quel cupidon l'a piquée mais la voici qu'elle s'éloigne en tortillant du croupion.
C'est une fois tous réunis, les maillots mouillés qu'elle se rend vraiment compte de sa tenue, les bikinis ne cachent rien. Yanis bougonne « Quelle saloperie ! » en se débarrassant de son slip suivi par Olivier habitué à la nudité et finalement John qui nous montre quatre zébrures bleutées sur ses fesses. Monique s'épouvante :
— John, mon chéri, on t'a battu ? Le garçon regarde sa mère, rouge de honte et après un silence c'est Mélina qui répond.
— Oui ! Mais rien de grave Monique, un invité à une "Soirée privée" l'a puni pour avoir été en retard !. Autre temps de silence, autre surprise, puis...
— Tel père, tel fils ! Crie-t-elle en rigolant alors que Olivier devient rouge tomate comprenant que sa femme n'était pas dupe des marques qu'il portait de temps en temps.
Après avoir laissé passer un ange, les conversations et la bonne humeur reprennent de plus belle.
Tout en parlant, Mélina retire son haut avant d'aller jusqu'à Monique, lui parler à l'oreille, la faire sourire et lui détacher le sien, le mien est déjà passé par dessus tête. On termine l'apéro dans une franche et joyeuse ambiance naturiste avant que j'invite tout le monde à passer passer à table.
Nikos apporte un plateau de crudités suivi d'une magnifique daurade au sel. Yanis porte un toast aux enfants et félicite Monique et Olivier pour leur participation à la croisière et à ces moments de rencontre et de partage, chacun entendra ce qu'il voudra de ces moments. Le repas est convivial, on plaisante, arrivé au dessert une grande complicité règne autour de la table.
La chaleur est accablante, John et Mélina s'excusent pour aller se reposer. Nous autres allons à l'ombre dans un coin du jardin. La chaleur est telle qu'on a l'impression que même la nature fait la sieste.
...ooOoo...
Deux heures plus tard je suis réveillée par le soleil qui a tourné et me fait de l’œil. Je m'essuie l'entrejambe et le dessous des seins baignant dans la sueur. Monique me voit faire et me chuchote « On va se baigner ? Les hommes dorment. »
Peu après nous entrons sans bruit dans l'eau qui paraît délicieusement fraîche. Nous faisons deux, trois longueurs puis appuyées à un mur nous nous bécotons tendrement quand soudain nous entendons « Coucou » juste au dessus de nos têtes. Effrayée Monique me repousse, heureusement ce n'est que Mélina. Elle se glisse sans bruit dans l'eau. Avec malice elle nous serre, nue, dans ses bras et embrasse Monique du bout des lèvres.
— Que tu es belle Monique, on ne croirait jamais que tu es la mère d'un grand garçon... C'est maman qui t'a amenée à t'épiler (La garce s'amuse à m'appeler "maman" pour me vieillir)
— Pas que ma chérie... Elle m'a amenée à faire bien d'autres choses, et la coquine lui fait un bisou.
Nous nageons tranquillement toutes les trois en plongeant la tête à chaque brasse quand John saute dans la piscine comme un éléphant dans un magasin de porcelaine. Cris et éclaboussures alertent les papas et nous voilà tous les six à nouveau réunis, à jouer au ballon comme toute famille avec leurs enfants.
Après le bain nous nous restons à l'ombre du parasol. L'ambiance est détendue, familiale, on parle beaucoup de la croisière, Mélina cherche à en savoir plus mais nous restons très discrets quant à nos rencontres. Le soleil baisse derrière la maison, Yanis rappelle qu'il a réservé un restaurant de Fira et qu'il faudrait se préparer.
Avec Monique, comme deux sœurs, on se met d'accord pour notre robe blanche de Mykonos et un string. On se retrouve tous de blanc vêtus sauf Mélina en robe de cocktail bleu-ciel au décolleté vertigineux. Et là à notre surprise, Nikos nous sert le champagne avant que les enfants nous annoncent leur projet de se marier.
Applaudissement, félicitations, embrassades. Après le baiser rituel, les fiancés échangent les "presque" traditionnels cadeaux. Il lui passe au doigt un épais anneau d'or blanc gravé "John's mistress" ; elle lui attache au cou une chaîne avec un médaillon marqué "I'm Mél's property" en lui disant « Tu es à moi ! » et lui de répondre « Je suis à toi ! » paroles et cadeaux bien surprenants et en même temps significatifs. Dans un petit discours John déclare son double bonheur d'être "attaché" à Mélina et de voir nos familles unies dans l'harmonie de l'amour. A nouveau embrassades, vœux de bonheur, félicitations, une petite larme par-ci par-là.
Inutile de parler de la joie qui anima la soirée et le dîner. Le restaurant était superbe, le repas raffiné et la vue sur les vestiges de la caldeira et la mer, inoubliable. On ne s'attarde pas au milieu des noctambules,
Dès notre retour, les fiancés nous abandonnent en prétextant un coup de fatigue, nous abandonnons nos vêtement sur le gazon et nous nous retrouvons tous les quatre dans la piscine
On se prélasse, on parle du mariage des enfants. On discute de leurs relations particulières, de ces soirées privées, ces marques sur les fesses de John, l'originalité des cadeaux de fiançailles et cette déclaration "Tu es à moi !"
Yanis s'énerve de nos interrogations, de nos critiques « Ce que je sais c'est qu'ils sont heureux comme ça et qu'ils s'aiment ! » C'est évident le patron de John et le père de Mélina en sait plus qu'il n'en dit et pour mettre fin à la conversation, il prend la main de Monique et l'emmène dans la maison.
Je reste un instant dans l'eau avec Olivier, on parle un peu mais les paroles de Monique "Tel père, tel fils" résonne dans ma tête et j'ai envie de m'amuser avec lui...
On file directement dans ma chambre, je le tiens fermement, les ongles plantés dans son bras. Inutile d'allumer la lumière ni de fermer les rideaux, la lune nous éclaire, je mets juste en route le ventilateur en grognant « Vas te laver le cul et en position ! ». Son murmure de petit garçon « Oui Madame » m'assure qu'il est prêt à jouer.
Il ne tarde pas à revenir et me trouve allongée au milieu du lit. Un simple échange de regard suffit à le mettre à genoux. Il me fait un truc nouveau, il me fait découvrir la sensibilité de mes pieds, ce sont des caresses, des baisers des léchouilles de la plante, chaque orteil est longuement sucé. D'un geste, il vient sur le lit, plus je suis exigeante, plus il est inventif, il pousse au paroxysme mes réceptivités. Il enflamme mes seins, mon sexe Il me fouille, me fait jouir je ne sais combien de fois.
Pour l'en remercier, je le fesse, le gifle, je le pince, le griffe, je le mords.
Il est amant, chevalier servant, il est esclave, sex-toy.
Ce connard de mari que je croyais novice, couille molle, se montre le plus docile des soumis, le plus ardent des amants. On a fait longtemps l'amour debout, assis, couché, il m'a fait gémir, crier et il m'a comblé deux fois.
Le calme est revenu, on est couché sur le dos l'un à côté de l'autre sans le drap, on entend les stridulations des insectes
— Dis-moi, Oli... Toi et Monique êtes des amants impétueux. Alors... Pourquoi cette incompréhension entre vous ?... Comment en êtes-vous arrivés là ?... Pourquoi te soumettre à une autre ?... Et pourquoi les hommes ?
— Tu sais...
« Je suis né dans une famille noble et traditionaliste, élevé par les religieux. J'étais un petit garçon bien sage, à quinze ans j'ai quitté le collège avec mon brevet mais en ayant perdu ma virginité.
« Mon père, considérant "La paresse mère de tous les vices" me mit immédiatement en apprentissage chez un charpentier... J'appris le maniement de la scie et du rabot mais pas que. Le patron me prit à la bonne, ses mains guidèrent les miennes, je retrouvais certaines sensations du collège quand le religieux guidait mon geste, rapidement nous sommes devenus amants.
« En même temps mon père prenait soin de mon devenir. Ami d'une famille de pasteur qui avait une jeune fille de 17 ans, ils ont convenu de nous marier. Le temps de nous présenter, de faire connaissance, de passer le bac et de nous fiancer, dès ses 18 ans, j'en avais 21, le mariage fut célébré.
Monique, pas particulièrement jolie et réservée, n'avait rien pour retenir mon attention ; timide de nature je ne me sentais pas à l'aise avec les filles. Séduire, je ne savais pas, on me prenait ! De plus que ce soit au collège ou en apprentissage, je n'avais vécu qu'avec des hommes.
« Au mariage, elle était vierge et je n'avais aucune expérience des femmes... La nuit de noce j'ai voulu la prendre comme un homme, elle s'est refusée. La deuxième nuit, nous sommes partis sur de bonnes bases et ensuite avons rempli régulièrement notre devoir conjugal jusqu'à ce que Monique s'est retrouvée enceinte. De ce jour il n'y avait plus de raison d'avoir de relation selon elle. Un an après la noce, un petit bonhomme est venu troubler la paix du château.
« Monique sous la tutelle de son père, fréquentait plus les confessionnaux que le lit conjugal. Elle comme moi ne trouvions aucun plaisir dans nos relations. Je la croyais frigide et la responsabilisais de la faillite de notre couple.
« Les difficultés financières du charpentier nous obligèrent à quitter la région et nous installer à Paris.
« Monique veillait à l'éducation du petit John et participait aux œuvres caritatives de la paroisse
« Par contre je n'étais pas celui qu'on croyait, même si j'étais toujours un garçon obéissant.
Je multipliais les rencontres avec les hommes jusqu'au jour où je devins l'amant de la femme de mon patron. Elle m'apprit l'amour pour de vrai et finalement je devins l'amoureux des deux.
« Longtemps après, au hasard d'une rencontre, Monique me présenta sa cheffe de bureau... C'était une femme charmante et les circonstances faisaient que je la croisais régulièrement presque toujours à l'insu de ma femme et je devins naturellement son amant. Ses besoins grandissaient, j'y répondais autant que possible à défaut de quoi elle menaçait de sanctionner au bureau mon épouse, peu à peu je devenais son objet, son esclave. Un jour, elle me présenta à une amie, Élisabeth. Elle était autoritaire, sadique et me soumit à tous ses désirs... Je restais bien sage et obéissant ».
Je l'écoute sans l'interrompre... Sidérée de son histoire... Je garde sa main dans la mienne, on ne bouge plus, on entend juste le ronronnement du ventilateur. Dehors tout est calme.
Quelle journée ! Que de révélations, que de nouvelles, que de surprises, d'abord se retrouver différemment après une longue absence, se montrer nus, se découvrir tel qu'on est vraiment, puis cette annonce de mariage, cette relation singulière de nos enfants et finalement Olivier, cet amant, son secret, sa soumission...
Il faut se lever, dans moins de deux heures les enfants arrivent à l'aéroport.
Tout s'accélère après le petit-dèj, Douchées, habillées nous prenons toutes les deux la Méhari pour rejoindre en une demi-heure l'aéroport pendant que Yanis et Olivier vont s'occuper de la maison avec Nikos.
Nous arrivons à temps. Monique est stressée et inquiète :
— Me montrer ainsi ! John ne va pas me reconnaître ! Ça fait plus de deux mois que je ne l'ai pas vu.
— T'inquiète pas ma chérie, que je lui réponds, tu es ravissante et il va adorer.
C'est vrai qu'elle s'est transformée physiquement durant cette année et psychologiquement au cours de cette croisière, le soleil, les amours au pluriel ont fait d'elle une femme libérée. Elle est radieuse avec sa chevelure blonde au vent et sa peau bronzée. En nu-pieds à talon, jupette blanche et blouse nouée à la taille, elle est vraiment sensuelle. Adieu la Monique au chignon, aux jupes à mi-mollet et blouses col Claudine .
A 11 heures sous un soleil harassant, l'avion Air France s'arrête face à l'aérogare, on voit les enfants traverser le tarmac, ils nous cherchent du regard, un geste, non ils ne nous voient pas. Monique me prend par le bras, se presse contre moi, je sens son sein nu, elle me murmure « Tu vois, ils ne nous reconnaissent pas ! ».
Un quart d'heure plus tard ils sortent de la salle de débarquement, Mélina est la première à me voir, elle court, me saute au cou et me fait la bise. Je ne quitte pas Monique de la main, John arrive face à nous, reste perplexe, dubitatif puis murmure :
— Maaaman ?...
— Oui John ! mon chéri, dit-elle à peine audible.
Comment va-t-il réagir ? Bien, mal ? Elle est suspendue à son attitude. Il lâche son bagage, reste bouche bée d'admiration, les deux se regardent, font un pas l'un vers l'autre et finalement tombent dans les bras de l'autre et se serrent fort :
— Ooooh maman !... Tu es magnifique !... Oh maman, je t'aiiiime !!!
— C'est vrai ??? chuchote-t-elle puis dans un soupir elle ajoute, ça fait si longtemps mon chéri qu'on s'est vu.
Ils s'étreignent, ils s'embrassent longuement. Mélina les rejoint, les deux femmes se découvrent, se regardent puis s'embrassent et tous les trois se tiennent par les épaules, les baisers se perdent, se font sur les joues, dans le cou, les oreilles, la bouche. Enfin je m'associe à eux pour les embrasser à mon tour. C'est tellement émouvant que les larmes montent aux yeux. Après plus de cinq minutes d'embrassade, nous quittons l'aéroport tous émus pour rejoindre la voiture, moi au bras de Monique, nos enfants à nos côtés.
Sur le chemin du retour, nous laissons les enfants à l'arrière. Je les regarde dans le rétroviseur, leur demande des nouvelles de Paris mais leurs paroles s'envolent avec le vent.
En arrivant au "Jardin d'Éden", John saute de la voiture et s'écrie en voyant son père en petit short, les cheveux teints « Ouais Pa'... T'es top, t'as rajeuni de dix ans ! ». Ce sont de nouvelles effusions de joie, toutes les craintes s'envolent. On se retrouve trop contents d'être ensemble.
Assis sur la terrasse, on reprend contact en buvant une citronnade, on parle de Paris, de la croisière. John parle peu, regarde sa mère puis vient derrière son fauteuil, se penche sur elle, croise ses bras sur sa poitrine et l'embrasse longuement dans le cou. Elle se prête à ce tendre baiser en baissant la tête sur le côté, on peut entendre « Que tu es belle maman ! Que tu sens bon ! ».
Il fait chaud, il est presque midi quand Mélina demande à se baigner.
« Allez, tous au bain » crie Yanis en la conduisant dans la chambre qui leur est réservée, celle à côté du séjour.De mon côté avec beaucoup de difficultés je convaincs Monique de mettre le bikini du "Sodome bath"
— Nadine, tu n'y penses pas devant mon fils ! (il faut dire que c'est osé, trois petits triangles qui couvrent juste les tétons et la vulve)
— Ma chérie il est temps de te dévoiler... Et à mon exemple, elle enfile le maillot sans trop rechigner.
En sortant sur la terrasse, on a un choc en voyant de dos le père et le fils, deux carrures presque identiques, deux petits culs tout pareils étriqués dans leurs slips blancs taille basse, les même cuisses lisses et galbées, les mêmes jambes élancées.
La surprise est aussi grande pour eux en nous voyant, Monique se présentant quasiment nue à son fils qui se montre homme avec une banane que le maillot a du mal à contenir.
C'est alors qu'on entend Mélina crier derrière nous, on la voit courir avec le même bikini rouge que les nôtres, suivi de Yanis. Dans le même élan nous sautons tous les six dans la piscine
Les deux pères partent en crawl au travers du bassin, alors qu'avec Mélina, toutes les trois on se prend par les épaules et on s'entrecroise les jambes et elle embrasse tendrement Monique dans l'oreille. « Tu es splendide ! »
A ce moment, John jaillit du fond de la piscine, dans le dos de sa mère, en s'appuyant sur ses épaules « Coucou maman... Oh que je suis content de te voir... Tu es si belle, et ce maillot, waouh ! » Elle se tourne vers lui et l'embrasse tendrement comme une maman « C'est vrai mon chéri ???... Je suis heureuse »
Avec Mélina, nous les laissons ensemble et je lui explique comment celle qu'elle avait entendu être "grenouille de bénitier" est en réalité cette femme libérée.
Nikos nous annonce que l'apéritif est servi. Monique est la première à sortir sous les sifflets d'admiration des enfants. Je ne sais alors quel cupidon l'a piquée mais la voici qu'elle s'éloigne en tortillant du croupion.
C'est une fois tous réunis, les maillots mouillés qu'elle se rend vraiment compte de sa tenue, les bikinis ne cachent rien. Yanis bougonne « Quelle saloperie ! » en se débarrassant de son slip suivi par Olivier habitué à la nudité et finalement John qui nous montre quatre zébrures bleutées sur ses fesses. Monique s'épouvante :
— John, mon chéri, on t'a battu ? Le garçon regarde sa mère, rouge de honte et après un silence c'est Mélina qui répond.
— Oui ! Mais rien de grave Monique, un invité à une "Soirée privée" l'a puni pour avoir été en retard !. Autre temps de silence, autre surprise, puis...
— Tel père, tel fils ! Crie-t-elle en rigolant alors que Olivier devient rouge tomate comprenant que sa femme n'était pas dupe des marques qu'il portait de temps en temps.
Après avoir laissé passer un ange, les conversations et la bonne humeur reprennent de plus belle.
Tout en parlant, Mélina retire son haut avant d'aller jusqu'à Monique, lui parler à l'oreille, la faire sourire et lui détacher le sien, le mien est déjà passé par dessus tête. On termine l'apéro dans une franche et joyeuse ambiance naturiste avant que j'invite tout le monde à passer passer à table.
Nikos apporte un plateau de crudités suivi d'une magnifique daurade au sel. Yanis porte un toast aux enfants et félicite Monique et Olivier pour leur participation à la croisière et à ces moments de rencontre et de partage, chacun entendra ce qu'il voudra de ces moments. Le repas est convivial, on plaisante, arrivé au dessert une grande complicité règne autour de la table.
La chaleur est accablante, John et Mélina s'excusent pour aller se reposer. Nous autres allons à l'ombre dans un coin du jardin. La chaleur est telle qu'on a l'impression que même la nature fait la sieste.
...ooOoo...
Deux heures plus tard je suis réveillée par le soleil qui a tourné et me fait de l’œil. Je m'essuie l'entrejambe et le dessous des seins baignant dans la sueur. Monique me voit faire et me chuchote « On va se baigner ? Les hommes dorment. »
Peu après nous entrons sans bruit dans l'eau qui paraît délicieusement fraîche. Nous faisons deux, trois longueurs puis appuyées à un mur nous nous bécotons tendrement quand soudain nous entendons « Coucou » juste au dessus de nos têtes. Effrayée Monique me repousse, heureusement ce n'est que Mélina. Elle se glisse sans bruit dans l'eau. Avec malice elle nous serre, nue, dans ses bras et embrasse Monique du bout des lèvres.
— Que tu es belle Monique, on ne croirait jamais que tu es la mère d'un grand garçon... C'est maman qui t'a amenée à t'épiler (La garce s'amuse à m'appeler "maman" pour me vieillir)
— Pas que ma chérie... Elle m'a amenée à faire bien d'autres choses, et la coquine lui fait un bisou.
Nous nageons tranquillement toutes les trois en plongeant la tête à chaque brasse quand John saute dans la piscine comme un éléphant dans un magasin de porcelaine. Cris et éclaboussures alertent les papas et nous voilà tous les six à nouveau réunis, à jouer au ballon comme toute famille avec leurs enfants.
Après le bain nous nous restons à l'ombre du parasol. L'ambiance est détendue, familiale, on parle beaucoup de la croisière, Mélina cherche à en savoir plus mais nous restons très discrets quant à nos rencontres. Le soleil baisse derrière la maison, Yanis rappelle qu'il a réservé un restaurant de Fira et qu'il faudrait se préparer.
Avec Monique, comme deux sœurs, on se met d'accord pour notre robe blanche de Mykonos et un string. On se retrouve tous de blanc vêtus sauf Mélina en robe de cocktail bleu-ciel au décolleté vertigineux. Et là à notre surprise, Nikos nous sert le champagne avant que les enfants nous annoncent leur projet de se marier.
Applaudissement, félicitations, embrassades. Après le baiser rituel, les fiancés échangent les "presque" traditionnels cadeaux. Il lui passe au doigt un épais anneau d'or blanc gravé "John's mistress" ; elle lui attache au cou une chaîne avec un médaillon marqué "I'm Mél's property" en lui disant « Tu es à moi ! » et lui de répondre « Je suis à toi ! » paroles et cadeaux bien surprenants et en même temps significatifs. Dans un petit discours John déclare son double bonheur d'être "attaché" à Mélina et de voir nos familles unies dans l'harmonie de l'amour. A nouveau embrassades, vœux de bonheur, félicitations, une petite larme par-ci par-là.
Inutile de parler de la joie qui anima la soirée et le dîner. Le restaurant était superbe, le repas raffiné et la vue sur les vestiges de la caldeira et la mer, inoubliable. On ne s'attarde pas au milieu des noctambules,
Dès notre retour, les fiancés nous abandonnent en prétextant un coup de fatigue, nous abandonnons nos vêtement sur le gazon et nous nous retrouvons tous les quatre dans la piscine
On se prélasse, on parle du mariage des enfants. On discute de leurs relations particulières, de ces soirées privées, ces marques sur les fesses de John, l'originalité des cadeaux de fiançailles et cette déclaration "Tu es à moi !"
Yanis s'énerve de nos interrogations, de nos critiques « Ce que je sais c'est qu'ils sont heureux comme ça et qu'ils s'aiment ! » C'est évident le patron de John et le père de Mélina en sait plus qu'il n'en dit et pour mettre fin à la conversation, il prend la main de Monique et l'emmène dans la maison.
Je reste un instant dans l'eau avec Olivier, on parle un peu mais les paroles de Monique "Tel père, tel fils" résonne dans ma tête et j'ai envie de m'amuser avec lui...
On file directement dans ma chambre, je le tiens fermement, les ongles plantés dans son bras. Inutile d'allumer la lumière ni de fermer les rideaux, la lune nous éclaire, je mets juste en route le ventilateur en grognant « Vas te laver le cul et en position ! ». Son murmure de petit garçon « Oui Madame » m'assure qu'il est prêt à jouer.
Il ne tarde pas à revenir et me trouve allongée au milieu du lit. Un simple échange de regard suffit à le mettre à genoux. Il me fait un truc nouveau, il me fait découvrir la sensibilité de mes pieds, ce sont des caresses, des baisers des léchouilles de la plante, chaque orteil est longuement sucé. D'un geste, il vient sur le lit, plus je suis exigeante, plus il est inventif, il pousse au paroxysme mes réceptivités. Il enflamme mes seins, mon sexe Il me fouille, me fait jouir je ne sais combien de fois.
Pour l'en remercier, je le fesse, le gifle, je le pince, le griffe, je le mords.
Il est amant, chevalier servant, il est esclave, sex-toy.
Ce connard de mari que je croyais novice, couille molle, se montre le plus docile des soumis, le plus ardent des amants. On a fait longtemps l'amour debout, assis, couché, il m'a fait gémir, crier et il m'a comblé deux fois.
Le calme est revenu, on est couché sur le dos l'un à côté de l'autre sans le drap, on entend les stridulations des insectes
— Dis-moi, Oli... Toi et Monique êtes des amants impétueux. Alors... Pourquoi cette incompréhension entre vous ?... Comment en êtes-vous arrivés là ?... Pourquoi te soumettre à une autre ?... Et pourquoi les hommes ?
— Tu sais...
« Je suis né dans une famille noble et traditionaliste, élevé par les religieux. J'étais un petit garçon bien sage, à quinze ans j'ai quitté le collège avec mon brevet mais en ayant perdu ma virginité.
« Mon père, considérant "La paresse mère de tous les vices" me mit immédiatement en apprentissage chez un charpentier... J'appris le maniement de la scie et du rabot mais pas que. Le patron me prit à la bonne, ses mains guidèrent les miennes, je retrouvais certaines sensations du collège quand le religieux guidait mon geste, rapidement nous sommes devenus amants.
« En même temps mon père prenait soin de mon devenir. Ami d'une famille de pasteur qui avait une jeune fille de 17 ans, ils ont convenu de nous marier. Le temps de nous présenter, de faire connaissance, de passer le bac et de nous fiancer, dès ses 18 ans, j'en avais 21, le mariage fut célébré.
Monique, pas particulièrement jolie et réservée, n'avait rien pour retenir mon attention ; timide de nature je ne me sentais pas à l'aise avec les filles. Séduire, je ne savais pas, on me prenait ! De plus que ce soit au collège ou en apprentissage, je n'avais vécu qu'avec des hommes.
« Au mariage, elle était vierge et je n'avais aucune expérience des femmes... La nuit de noce j'ai voulu la prendre comme un homme, elle s'est refusée. La deuxième nuit, nous sommes partis sur de bonnes bases et ensuite avons rempli régulièrement notre devoir conjugal jusqu'à ce que Monique s'est retrouvée enceinte. De ce jour il n'y avait plus de raison d'avoir de relation selon elle. Un an après la noce, un petit bonhomme est venu troubler la paix du château.
« Monique sous la tutelle de son père, fréquentait plus les confessionnaux que le lit conjugal. Elle comme moi ne trouvions aucun plaisir dans nos relations. Je la croyais frigide et la responsabilisais de la faillite de notre couple.
« Les difficultés financières du charpentier nous obligèrent à quitter la région et nous installer à Paris.
« Monique veillait à l'éducation du petit John et participait aux œuvres caritatives de la paroisse
« Par contre je n'étais pas celui qu'on croyait, même si j'étais toujours un garçon obéissant.
Je multipliais les rencontres avec les hommes jusqu'au jour où je devins l'amant de la femme de mon patron. Elle m'apprit l'amour pour de vrai et finalement je devins l'amoureux des deux.
« Longtemps après, au hasard d'une rencontre, Monique me présenta sa cheffe de bureau... C'était une femme charmante et les circonstances faisaient que je la croisais régulièrement presque toujours à l'insu de ma femme et je devins naturellement son amant. Ses besoins grandissaient, j'y répondais autant que possible à défaut de quoi elle menaçait de sanctionner au bureau mon épouse, peu à peu je devenais son objet, son esclave. Un jour, elle me présenta à une amie, Élisabeth. Elle était autoritaire, sadique et me soumit à tous ses désirs... Je restais bien sage et obéissant ».
Je l'écoute sans l'interrompre... Sidérée de son histoire... Je garde sa main dans la mienne, on ne bouge plus, on entend juste le ronronnement du ventilateur. Dehors tout est calme.
Quelle journée ! Que de révélations, que de nouvelles, que de surprises, d'abord se retrouver différemment après une longue absence, se montrer nus, se découvrir tel qu'on est vraiment, puis cette annonce de mariage, cette relation singulière de nos enfants et finalement Olivier, cet amant, son secret, sa soumission...
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