Monique se libère 7 - Après l'orage le beau temps

- Par l'auteur HDS John62 -
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Récit libertin : Monique se libère 7 - Après l'orage le beau temps Histoire érotique Publiée sur HDS le 18-11-2025 dans la catégorie Plus on est
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Monique se libère 7 - Après l'orage le beau temps
JOURNEES D'ORAGE....

Au lendemain de la soirée au ''Sodome beach'', nous naviguions vers Delos, il faisait gris et même pleuvait quelques gouttes.
Les hommes étaient à la barre, avec Monique on restait à l'abri dans le carré et on discutait tranquillement. Je n'en revenais pas de son comportement de la veille, de ses relations avec le blondinet et cette gamine qui fêtait ses 20 ans « Ah ouais j'ai beaucoup aimé ces moments » me confessait-elle et je restais étonnée « Baiser avec des petits jeunes ?... Ouais, j'ai beaucoup aimé la fougue d'Hélios ... Et cette petite main dans ma chatte comme elle m'a fait jouir.... »
Emportée par je ne sais quelle folie, confidence pour confidence je lui déclarais sans précaution que moi aussi j'aimais les petits jeunes, que moi aussi j'avais des rapports avec ma belle-fille Mélina et son copain John, des relations à trois.... Et là, elle explosa.

— Tu es l'amante de mon fils !!! ... Rouge de colère elle cria : SALOPE ! et sortit en furie sur le pont, injuria Yanis quand il lui demanda ce qui se passait et alla se réfugier sur la plage avant.

Elle refusait d'entendre toute excuse, toute explication et se ferma comme une huître.
L 'ambiance devint pesante d'autant plus que le mauvais temps s'était levé. Durant deux jours, nous avons eu de la pluie, du vent force 5 et même une nuit un gros orage. La navigation était difficile avec Yanis et Olivier occupés à la barre et à tirer des bords, je restais cloîtrée avec Monique dans le carré, chacune de son coin. On se parlait peu, Monique restait distante. J'avais beau tenter de l'amadouer, lui demander pardon. Rien n'y faisait. Dès que je la touchais, elle se retirait vivement en maugréant « Fous-moi la paix ! ».
Cette situation me rendait triste et même jalouse quand je l'écoutais avec Olivier. Entre fatigue et mauvaise humeur on se couchait tôt. La nuit j'épiais le moindre bruit, le moindre soupir. Hier soir elle sanglotait et j'entendais son mari par bribes plaider ma cause :

« John a 22 ans, c'est normal qu'il ait une vie sexuelle... Elle n'a que dix ans de plus que lui.
« Mais cette pute se tape mon fils, elle baise avec le fils et la mère... Avec moi c'est fini !
« Ooooh ! Elle doit surtout être une délicieuse amante pour t'avoir amenée là où tu en est
« Que veux-tu dire ?
« Que pas plus tard qu'avant hier, tu t'es envoyée en l'air avec deux p'tits jeunes de l'âge de ton fils !
Je l'écoute renifler, ronchonner.... Puis longtemps après, j'entends des baisers, des gémissements « Oh ouiii Oli... Doucement, doucement j'ai encore mal. »

Le lendemain on met les voiles sur Folégandros avec moins de vent, nos hommes sur le pont, nous deux dans le carré où l'ambiance se détend également, Monique échange quelques paroles, nos mains se touchent, je lui demande une nouvelle fois pardon, elle continue de me traiter de "vraie salope" mais d'un ton coquin. On se regarde, on se rapproche, finalement on se fait un bisou du bout des lèvres.

On ne se quitte plus, on s'assied l'une à côté de l'autre dans le cockpit. Après ces deux jours de galère, le meltem se calme, la navigation est plus tranquille. En milieu d'après-midi on distingue les maisons de Folégandros.

La calanque où on jette l'ancre est blottie entre de hautes falaises ocre rouge qui prennent des couleurs sublimes avec le soleil couchant.
Après ces journées de melten, après le bruit du vent dans les voiles, le tap-tap assourdissant du bateau sur les vagues et le malaise lié au tangage et roulis, le calme de l'abri est un vrai bonheur. On respire, on soupire, on se détend. On entend juste le clic-clic du vent dans les haubans et le clapotis de la mer contre la coque. Yanis fatigué va se reposer dans la cabine, Olivier met de l'ordre dans les cordages, range les voiles.

Monique saute dans l'eau, qu'elle est belle dans cette nuée d'éclats dorés pareille à une trainée d'étoiles, d'une beauté diaphane, semblable à une sirène, au corps souple et allongé, aux cheveux blonds qui s'étalent en surface, je la rejoins en sautant à pieds joints. On se sourit, on est heureuses de se retrouver, sans se parler, on nage tranquillement. Elle plonge, remonte, fait la planche jambes et bras en croix. J'avance dans le ciseau de ses cuisses jusqu'à embrasser son ventre. Surprise, elle se redresse brusquement, me prend par le cou et m'embrasse pour la première fois depuis trois jours. Elle me tient serrée par ses bras et les jambes et braille avec force

— Nadiiine t'es une salope... Nadiiiiine je t'aiiiiime !

Son cri fait écho contre les falaises qui nous entourent et semble provoquer le tonnerre. On nage encore, ses reproches se mêlent à ses mots d'amour. Nous entendons à nouveau l'orage se rapprocher, on file vers le bateau, Olivier a mis la table et préparé une salade de tomates, olives, féta, un morceau de fromage et ça ira.
Yanis revient avec nous, il est éteint.Après avoir avalé son repas il nous demande d'être prudent face au risque de grain cette nuit. On range tout, Olivier nous propose d'aller nous installer dans la cabine, qu'il restera dans le carré avec le capitaine.
Une demi-heure plus tard, tout est calme, pour la première fois depuis trois nuits je suis dans le lit avec Monique pelotonnée dans mes bras, l'animal est blessé, je le protège. Notre nuit n'est que douceur et tendresse.

... PUIS REVIENT LE BEAU TEMPS.

Au petit matin, les mouettes me réveillent, il fait grand beau, Monique me regarde, me sourit :
— Bonjour, Nadine, !
— Bonjour ma chérie ! Je l'embrasse du bout des lèvres, ses yeux brillent de bonheur...

On entend du bruit dans le carré, des pas au dessus de nos têtes,Yanis s'occupe du départ, Olivier du p'tit dèj. On reste allongées tranquillement, la brise venant du Velux nous fait frissonner. On se rapproche, les yeux tournés au ciel, on voit Yanis, la barbe hirsute de 4 jours
— Coucou les filles !... Je préfère vous voir comme ça. On va y aller, allez, montez !.

Après le petit déjeuner nous mettons les voiles. Le meltem s'est calmé, la navigation redevient agréable.
Par contre un nouveau vent de panique surgit chez Monique quand Yanis nous annonce avoir reçu un message des enfants "Avançons nos vacances, arrivons demain" Autant je me réjouis de la nouvelle que je la vois blêmir.
— Mais tu te rends compte avoir John avec nous !!! Toi et moi !!! Toi et lui !!! 

Après l'avoir tranquillisée, lui assurer que nous le connaissons bien, qu'il travaille avec Yanis depuis un an, qu'avec Mélina il fait déjà parti de la famille et que tout se passera bien, je reçois une nouvelle bourrasque de vent.
— Mais tu te rends compte, nous tous ensemble à poil !!! Nous tous ensemble à faire l'amour !!! »

Là encore je la tranquillise, rien de mal à vivre nu en famille par contre relations libertines ne signifient pas relations incestueuses.

A l'horizon la silhouette de Santorin grossit rapidement. Nous sommes toutes les deux assises à l'avant du bateau, Olivier tient la barre sous la conduite de Yanis.

Monique reste tout contre moi, tétanisée, inquiète. Je la dorlote, la rassure, lui répète « John n'est plus un enfant, nous le connaissons beaucoup mieux que tu ne l'imagines, depuis deux ans il est en couple avec Mélina, ils se sont bien trouvés, ils sont heureux et libres à la fois... ». Je lui dit aussi combien il sera heureux de découvrir sa maman autrement que "grenouille de bénitier", femme, amoureuse et libérée.
Enfin elle termine le voyage dans mes bras et finit par me sourire, on s'embrasse du bout des lèvres avant qu'elle me prenne par le cou et m'embrasse à pleine bouche en murmurant « Il faut que j'en profite. ».
Nous arrivons en fin d'après-midi à la pointe nord de l'île dans le port de Oia. On rejoint en taxi la villa qui se trouve à cinq kilomètres de l'autre côté de la pointe.

...ooOoo...

La propriété, le "Jardin d’Éden" est tournée vers la mer. Le gardien Nikos nous accueille. Devant la maison, une piscine avec trois palmiers et un jardin, une grande pelouse en pente légère et des bouquets d'arbres disséminés. La vue est exceptionnelle. La maison est simple, blanchie à la chaux, de plain pied, un très grand séjour et une cuisine attenante, de l'autre côté trois chambres identiques, ouvertes sur la terrasse face à la mer : un grand lit, deux fauteuils en rotin et un espace de rangement avec son coin douche. Chaque couple s'installe dans sa chambre.

Nikos a tout préparé pour nous recevoir. Après l'apéritif, il nous présente un superbe mérou nous est présenté. On trinque, on mange, on parle du plaisir de retrouver les enfants demain.

Je m'installe sur la balancelle à côté d'Olivier, je veux le remercier, je lui dois une fière chandelle pour m'être rabibochée avec sa femme. Depuis la terrasse nous admirons le lever de lune qui illumine la mer et découpe la silhouette des arbres. On parle un peu, on écoute les grillons. Je le câline et ne tarde pas à l'inviter à me suivre :
— Allons voir si rien ne manque dans ta chambre.

Nous voilà tous les deux pour la première fois ensemble. J'ai une folle envie de lui, j'ouvre mon chemisier, lui arrache son tee-shirt. C'est tout de suite une relation torride, des baisers à pleine bouche, un déshabillage mutuel. Sur le lit on roule l'un sur l'autre en terminant en travers de la couche. Allongée sur lui, mes genoux à l'extérieur, appuyée sur mes coudes et mes mains au dessus de sa tête, je m'emmanche sur sa queue bien dure. Mes seins se balancent sur lui, mon bassin bouge en tous sens, mon ventre se contracte, masse comme une main, suce comme une bouche. Il se laisse faire cloué au lit.

C'est à ce moment que Yanis et Monique entrent dans la chambre. Debout à nos têtes, ils nous observent, elle se penche sur le lit jusqu'à embrasser son mari et lui murmure :
— Regarde mon chéri comme il va me prendre !.

Yanis est déjà derrière elle, il la touche à plusieurs reprises en mouillant ses doigts sous ses miaulements, puis il la saisit aux hanches et d'un coup puissant la pénètre. Il commence à la bousculer quand elle tend les bras et dresse fièrement sa poitrine. Elle subit les assauts à grand renfort de soupirs... puis grogne entre ses dents « Prends-moi le cul ! »
— Dis-donc p'tite salope... T'es comme les aauuuutres !... T'aime ça ! Heiiiin ???

Pour la première fois, je l'entends grossier avec elle. Je sens Olivier se contracter, je crois même l'entendre se plaindre ou gémir, je le bise sur la bouche en demandant « T'aime la voir. ?... » sans recevoir de réponse.

Pour les deux, tout va très vite, elle bascule le bassin, il la doigte un moment et la sentant prête avec précaution il l'encule et l'usine. Il la fourrage depuis un moment et d'un coup perd tout contrôle et explose au fond de ses intestins. Il nous abandonne sur le coup et sort vers la salle de bains.

Au contraire je m'applique à faire durer le plaisir avec Olivier, sous le regard de sa femme. Alors elle grimpe à genoux sur le lit et se met à califourchon sur son mari
« Tiens mon chéri, t'aime le jus d'homme... Goûte-moi celui-ci ! » (nota, ceci se fait sans aucun risque Monique ayant sur mon conseil une hygiène irréprochable.)
L'homme est comblé par nous deux et nous courrons vers l'extase en nous trémoussant et nous câlinant. Même après avoir joui, nous continuons à gesticuler jusqu'à son épuisement. Alors on le libère en le laissant anéanti au milieu du lit.

Je prends Monique par la main et allons dans la dernière chambre libre. La baie vitrée est grande ouverte. Monique m'enserre dans ses bras, ses mains plongent dans mes cheveux, les ébouriffent, on s'embrasse passionnément, :
— Nadine, c'est notre dernière nuit ensemble !
— Mais NON ! Pourquoi ?
— Demain John sera ici, et face à mon fils, je ne pourrai pas.
— T'inquiète nous nous arrangerons.
— Ouaiiiis … Bien sûr, tu vas retrouver ton amant ! Elle me fixe tristement, bougonne : Nadine t'es qu'une salope !... Je pâlis, merde elle ne m'a pas pardonnée, je tente de balbutier et là... Elle éclate de rire en criant : ET JE VAIS TE TRAITER COMME TELLE !!! Elle me renverse sur le lit, se couche sur moi.

D'une main elle me tient fermement les poignets au dessus de ma tête, de l'autre elle empoigne mon sein, ses genoux s'imposent entre mes cuisses. Son désir devient furie, son ventre se frotte au mien elle me fait un suçon dans le cou, descend sur ma poitrine tout en tenant mes poignets. Elle m'embrasse le sein, me triture l'autre de sa main, elle me tète, me mord tellement fort, me fait mal, j'étouffe un cri de douleur. Puis elle va sur l'autre mamelon, lui fait pareillement mal. Elle grogne comme un animal de colère ou de satisfaction.

Ses deux mains s'en prennent à ma poitrine à présent. Elle rampe sur mon ventre, arrive entre mes cuisses. Je m'abandonne à elle, bras et jambes en croix.

Sa bouche fait ventouse sur ma vulve, aspire la mouille, mordille lèvres et bouton. Elle ouvre mes chairs, ses doigts plongent dans mon intimité, vibrent, vont, viennent. Putain je pars !!! . Un jet de cyprine fuse puis un deuxième mélangé à de l'urine. Pour éviter une catastrophe elle plaque sa bouche sur ma fente. lèche, avale tout ce que je lui donne.

Un moment après elle s'allonge contre moi, sa bouche maculée de mouille, on s'embrasse longuement en échangeant nos salives.
La chambre est baignée de la lumière de la lune, par la baie on entend le concert donné par les milliers d'insectes.

On reste longtemps ainsi à se dire des mots d'amour avant qu'elle ne se tourne pour se lover contre mon ventre. On s'endort heureuses de s'être retrouvées.

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