Monique se libère 3 - Une première avec un inconnu (fin)

- Par l'auteur HDS John62 -
Récit érotique écrit par John62 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur .
  • • 61 récits publiés.
  • • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 0.0 • Cote moyenne attribuée par HDS : 0.0
  • • L'ensemble des récits érotiques de John62 ont reçu un total de 249 218 visites.
Récit libertin : Monique se libère 3 - Une première avec un inconnu (fin) Histoire érotique Publiée sur HDS le 27-10-2025 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
Cette histoire de sexe a été affichée 1 418 fois depuis sa publication.

Couleur du fond :
Monique se libère 3 - Une première avec un inconnu (fin)
Monique se baigne après avoir fait l'amour, pour la première fois avec un inconnu, Gregorios, rencontré ce matin au mouillage de Skyros dans les Cyclades.

Je saute dans l'eau quand elle remonte du fond telle une sirène dans une trainée de bulles étincellantes. Je la prends dans mes bras, elle me sourit, et m'embrasse goulument. Nous nous éloignons du bateau en nageant derrière elle L'eau est transparente, nos ombres se projettent sur le sable. Son corps se magnifie, s'allonge, ses jambes fouettent l'eau, ses seins se balancent au rythme de sa brasse. Elle plonge à nouveau, il y a au moins six mètres de fond, sans difficulté elle touche le sable et prend une étoile de mer qu'elle remonte jusqu'à moi, son visage rayonne de joie, disparues toutes ses marques de fatigue à la sortie de la cabine. Elle s'accroche à moi et m'offre l'étoile en criant « Je suis heureuse ! ».

— Alors ma chérie, c'était comment ?
— Oh si tu savais... C'est une bête ! Il m'a prise de partout... Je n'ai jamais connu ça.
— Ainsi, tu t'es fait mettre par un inconnu, que je lui dis la main sur son ventre.
— Oui... Et pas que là. Une bête j'te dis ! La coquine se colle à moi en me prenant par une fesse.
— Hummm... Tu me le prêteras ? et sans précaution je lui fous un doigt dans le cul largement dilaté. C'est vrai ma chérie que t'es bien souple, toute dispo pour nos prochaines soirées... Tu verras comme c'est bon d'être prise par cinq, six mecs à la suite... Pour l'instant rentrons, regarde on nous fait signe.

Monique part en crawl vers le bateau, c'est une très bonne nageuse. Je suis vraiment surprise de voir comme elle s'est libérée d'Olivier son mari, on ne parle pas de cocufiage mais de libertinage, on ne parle pas d'amour mais de sexe pur. Je la trouve épanouie.

Pendant notre bain, nos maris, son amant et Lina, sa copine, ont préparé l'apéro, rangé le taud ce qui donne plus d'air et d'espace au cockpit. Tout de suite Gregorios accueille Monique à l'échelle de coupé, l'embrasse amoureusement et l'enveloppe d'un drap de bain en la gardant contre lui.

Yanis sert le vin rosé et lève son verre :
— Aux vacances à l'amour !... Bon les filles, avec Greg nous avons décidé de passer la soirée ensemble et demain matin à 5 heures chacun partira vers sa destination, nous vers Mykonos et eux vers Siphnos. Dans deux semaines, nous nous reverrons à Santorin, malheureusement sans vous deux, (en regardant Monique et Olivier) vous aurez déjà repris l'avion... Mais maintenant nous avons toute la nuit devant nous.

Le soleil passe derrière l'île ce qui crée immédiatement une pénombre. Au mouillage le repas est souvent frugal, fonction de la pêche ou des provisions, par contre au port c'est plus gourmand. Ce soir on se contentera de pâtes au thon et câpres et nous saurons offrir à nos hommes des desserts beaucoup plus savoureux.

On dîne dans le cockpit sur les 3 banquettes disposées en U. Je force un peu les choses et finalement m'installe à côté de Greg tandis que Monique est emmené par mon mari sur la banquette du fond, enfin Lina et Olivier s'installent face à moi.

Pour nous éclairer, Yanis a accroché une lampe tempête à la baume au-dessus de la table. Avec le crépuscule se réveillent les grillons, nos conversations deviennent murmures. Le choc des couverts dans les assiettes cessent.

Les couples sont formés, les premiers bisous s'échangent et je suis la première à plonger sous la table pour faire une gâterie à mon nouvel amant. Un bel homme au ventre musclé, un pubis au poil ras. Il ne bande pas vraiment, il se caresse doucement de trois doigts en faisant aller et venir le prépuce sur le gland. Ma bouche repousse les doigts en avalant la moitié du manche. Je pense à Monique, je veux être meilleure qu'elle. Je le suce avec application, je suis gourmande, masse doucement les couilles, titille la cicatrice du frein. Il aime, son bassin s'anime, ses deux mains pressent ma tête contre son ventre... Je l'avale jusqu'à la glotte, il grogne de satisfaction.

Au niveau de la table ça bouge, je vois Yanis et Monique partir. Greg me relève. Je retrouve Lina couchée sur la banquette arrière avec Olivier entre ses jambes, Mon mari et ma copine ont disparu dans la cabine, personne sur la plage avant du voilier, un grand matelas nous y attend. Je m'y allonge avec Gregorios, tous les deux les yeux fixés au firmament, la voûte céleste est magnifique en cette nuit de nouvelle lune. Une légère brise nous caresse et nous rafraîchit. Les grillons au loin s'en donnent à cœur joie.

La douceur des doigts qui me caressent me font frémir. Les étoiles sont éclipsées par la tête de Greg qui m'embrasse à pleine bouche. A la douceur des doigts succède la fermeté d'une main qui presse mon sein à sa base, ma mamelle déborde de tous les côtés. L'homme me couvre entièrement, ses genoux ouvrent mes cuisses, guidé par une main le gland glisse plusieurs fois entre mes lèvres, agite la mouille jusqu'à trouver l'ouverture du vagin et plonge jusqu'à ce que nos corps se soudent, en même temps sa langue m'envahit la bouche. Bien fiché en moi son bassin se soulève puis revient, tous mes muscles vaginaux se contractent et massent la verge qui me besogne. Mes seins sont écrasés, seul mon ventre respire entre deux chocs.

Gregorios me fait l'amour à la papa, ainsi plaqué à moi avant de se relever pour mettre mes jambes sur ses épaules. J'aime comme il me plie en deux et m'usine le ventre. Le crépuscule fait place à la nuit sans lune. Ses mains palpent mes seins dans leur masse, les pétrissent avant de s'en prendre aux tétons. Deux doigts les roulent, les échauffent, puis les pincent et les tirent vers le haut, mes deux melons s'allongent, deviennent obus. Mes tétons grandissent, grossissent, mon visage se crispe sous la douleur. Son regard me fixe, m'interroge, "ça, va ?" En réponse, je m'arc-boute, lui offre ma poitrine, il me sourit. Sa force s'accentue, devient violente. Trois doigts triturent, allongent les pointes, les tordent. Un « AIE ! » vibrant trouble la quiétude nocturne. Il calme la douleur d'un baiser gourmand, d'un puissant suçon. Il reprend sa copulation, le piston accélère progressivement la marche.

Je suis liquéfiée, le chuintement de notre coït, le claquement de nos corps sont audibles par tous, sa verge me ramone de toute sa longueur, elle sort et revient. Ma jouissance vient du plus profond de mon ventre, elle me traverse, puis explose en un long feulement, mon ventre se contracte, fait un saut de carpe incontrôlable alors que l'homme jouit abondamment en moi.

A bout de souffle comme moi, il s'écroule sur le côté. On reprend notre respiration, on entend Lina couiner, on entend le choc de leurs corps, mon amant pouffe de rire en m'embrassant. Je pense à Olivier "serait-il capable de baiser correctement ?".

Avec Gregorios on se retrouve côte-à-côte, je caresse son ventre, j'aime sentir sa musculature, je touche la pointe de son sexe qui baigne dans une mare de sperme au creux de son nombril. Immédiatement j'en ai envie et me penche sur lui. Je lape la flaque avant d'emboucher le gland sur lequel je retrouve le mélange de nos jouissances. Le manche est trop long pour que je l'avale entièrement, je joue alors de la flûte traversière et trouve à sa base le goût de ma mouille. Je continue à briquer son service trois pièces en léchant les fruits rasés de près.

Telle que je suis, j'entends des râles provenant du velux juste devant moi. Je me déplace en rampant pour voir ce qui se passe dans la cabine sous le pont.

A peine deux mètres sous moi j'ai le visage de Monique, ses deux mains dans sa chevelure hirsute, les yeux fermés, la bouche grande ouverte en recherche d'air, elle a ses jambes relevées en arrière, ouvertes en grand écart. Je vois son sexe glabre semblable à une grande plaie ouverte. L'homme à genoux la sodomise à grands coups de reins, ses coudes sur les cuisses, ses mains rivées aux seins.

Gregorios m'a rejoint et regarde appuyé sur le pont. Il me commente à voix basse :
— J't'assure, celle-là, elle aime la bite et le cul !
— !!!!!

Qui peut imaginer qu'en moins d'un an Monique "la pudibonde, la grenouille de bénitier" soit devenue une telle "licencieuse", une telle "gourgandine" ! Le spectacle redonne la trique à mon amant. Le coquin me met en levrette sans me faire perdre de vue Monique. Il me lèche le cul, me doigte et sans tarder avec ma participation il me prend, couché sur mon dos, ses mains me tripotent du clito aux mamelons.

L'image que me renvoie le couple à deux mètres sous moi, mon mari avec la femme que j'ai déniaisée, est incroyable. Tout comme moi cette femme se fait prendre, se fait peloter les nichons, les coups de reins qu'elle reçoit, sont les miens, aussi puissants, aussi profonds, elle a les yeux mi-clos et elle me voit comme je la vois, je ahane comme elle, un filet de salive tombe de ma bouche sur elle, elle me sourit et me lance un baiser, j'y réponds de la même manière. Nous sommes en communion. Mais tout change. Yanis bouscule Monique, la met en levrette, elle est docile, s'offre bien, je vois la queue de mon mari disparaître dans le fondement alors qu'il commence à la fesser au rythme de son labour.

Comme si Gregorios avait compris lui aussi me bouscule, me couche sur le dos mes jambes sur ses épaules, il me prend comme Yanis prenait Monique. J'ai au-dessus de moi la voûte céleste et le visage de mon amant sans que nos bouches puissent se rejoindre. Son visage porte successivement les marques du plaisir et de la souffrance si proche puis de la jouissance et enfin d'un sourire comme un remerciement. Sa verge ne cesse de me pilonner, les coups s'accélèrent deviennent plus puissants, frappent plus profondément, mon anneau est détruit, ne réagit plus, l'homme s'immobilise, se vide puis se retire, mon cul reste béant :
— Oh ! Greg remplit-moi encore !

Resté à genoux, sa bouche se colle à mes fesses, je sens sa langue me pénétrer, la salive glisse sur les parois. Mes jambes restent très en arrière, je les rabats moi-même jusqu'à ce que mes orteils touchent le matelas, le bassin relevé, toutes mes lombaires sont détachées du matelas mes genoux écartés à la hauteur de mes épaules. Greg regarde ma pastille, trois doigts me pénètrent facilement, un quatrième m'ouvre mieux, la main plonge jusqu'à la jonction du pouce. Elle me fouille, va et vient en faisant un bruit sourd, un clapotis. Je suis béate.

L'homme va et vient, me lèche à nouveau, ses doigts se mettent en pointe, le pouce dans la paume... C'est énorme ce qui se passe, comme si deux queues me défonçaient. La partie la plus large de la pointe bloque, tourne sur elle-même comme pour forer l'anus avec une poussée régulière.

Je bloque ma respiration, pousse fort... encore, encore, encore ! Les chairs se distendent, se déchirent, ça y est, elles cèdent, la main est dans mon sphincter,elle baigne dans la jouissance, ne bouge plus, puis tourne sur elle-même, s'enfonce encore. Mon anneau se contracte sur le poignet, le tient prisonnier le poing qui se referme avant de se détendre. Comme un énorme sexe, il bouge, le poignet est le tronc, la main est le gland, un mouvement de piston débute lentement, s'intensifie régulièrement. Après quelques tentatives, la main sort de mes fesses et replonge. Greg joue un moment, à chaque sortie un flot de jute, de mouille, de sperme s'étale sur l'œillet, le sillon et les fesses. Il me quitte. Je n'en peux plus, mon dos se déroule, mon postérieur est sur le matelas, mes pieds retrouvent le sol.

Greg contre moi m'embrasse à pleine bouche, sa main étale notre jouissance sur mon ventre, mes seins. On se calme, on se sourit, encore un bisou du bout des lèvres.

Le silence est total, un coup d'œil à l'arrière, Olivier et Lina tendrement enlacés semblent dormir, un autre par le vasistas dans la cabine, Yanis et Monique couchés se bécotent... Les libertins sont fatigués.

Les avis des lecteurs

Très content
J'espère que ça t'encouragera à lire d'autres histoires
Elles sont présentées en ordre chronologique sur le site

Histoire Erotique
J'aime bien cette ecriture. Première fois q'un fist-fucking me fait bander !



Texte coquin : Monique se libère 3 - Une première avec un inconnu (fin)
Histoire sexe : Une rose rouge
Vous êtes :
Indiquez votre adresse mail si vous souhaitez la communiquer à l'auteur de l'histoire.

Dernières histoires érotiques publiées par John62

Monique se libère 3 - Une première avec un inconnu (fin) - Récit érotique publié le 27-10-2025
Monique se libère 2 - Une première avec un inconnu. - Récit érotique publié le 25-10-2025
Monique se libère 1 - Embarquement pour Cythère - Récit érotique publié le 18-10-2025
Monique se révèle 5 - L'amour à trois. - Récit érotique publié le 15-10-2025
Monique se révèle 4 - La rencontre avec Yanis - Récit érotique publié le 12-10-2025
Monique se révèle 3 - De la confidence à l'amour - Récit érotique publié le 10-10-2025
Monique se révèle 2 - De l'amitié à la confidence - Récit érotique publié le 01-10-2025
Monique se révèle 1 - La rencontre avec Nadine - Récit érotique publié le 28-09-2025
Etre étudiant et libertine 13 - Avec les parents de ma copine 3/3 - Récit érotique publié le 20-09-2025
Etre étudiant et libertine 12 - Avec les parents de ma copine 2/3 - Récit érotique publié le 09-09-2025