Evelyne me prête...

- Par l'auteur HDS Renifleur -
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Récit libertin : Evelyne me prête... Histoire érotique Publiée sur HDS le 31-01-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Evelyne me prête...
Comme convenue la veille, Evelyne est au rendez-vous. Mais cette fois-ci elle me propose de mettre de la musique. Pour ça, elle allume son poste de radio. Et très vite l’espace est envahie de musique.
-Les chansons ne vous inspirent pas ?
-Pas plus que ça !
-Moi oui… jusqu’à me donner une envie de faire un strip-tease.
Ravie de l’offrande qui s’offre à moi, je lui réponds :
-Vous ne vous gênez pas pour moi !
-C’est bien mon intention ! Me lâche-t-elle en haussant les épaules.
Et la voilà qui enlève son chandail. A la suite elle dégrafe son corsage, exhibant ses mamelles serrées dans les balconnets. Puis elle se met à se trémousser au rythme de la musique lancinante tout en se séparant, lentement, du reste de ses vêtements.
-Je me sens très chienne aujourd'hui ! Je vais vous faire bander !
Une fois nue, Evelyne prend des poses d’entraîneuses. Aguichante comme jamais, la voilà qu’elle passe sa langue sur ses lèvres et m’envoi même des œillades incendiaires. Dans son élan, elle m’exhibe ses seins et aussi son cul, sans que je lui demande. Elle se penche pour ça en avant, pose les mains sur le sol battue pour que je puisse admirer ses fesses. Mon regard s’aimante sur sa raie ouverte où se détache la rondelle brune de son anus. Puis elle se retourne, m’envoie des baisers avant de prendre place sur son siège, cuisses écartées, bien sûr. Confortablement installée, elle aplatit les poils de son pubis sur le côté, dégage sa vulve dont les grosses lèvres bâillent.
Vicieusement elle se met à se caresser, tirant sur ses lèvres vaginales, enfonçant ses doigts dans son con, triturant son clitoris. Mon regard se fige sur ses doigts, qui entrent et sortent de son con avec un bruit visqueux. Puis elle pose ses jambes sur les accoudoirs. La mère de famille s’ouvre en grand à ma vision. Je distingue nettement entre ses fesses écartées, le trou sombre de son cul. De temps en temps, la coquine porte ses doigts à sa bouche et les suce en arrondissant les lèvres en une moue obscène.
-J’espère que tout cela te plaît ? Me fit-elle.
-Je bande comme un taureau.
-C’est mon but ! Dis-moi, ajoute-t-elle, et si vous veniez me rejoindre ?
-Je veux bien, mais je désire garder anonymat !
-Et pourquoi ça ? Je vous connais ?
-Peut-être oui, ou peut-être non !
-Enfin je m’en fou ! J’adore ce jeu, et c’est bien pourquoi que je suis là !
Elle attend encore quelques instants et se passe la cagoule.
-Tu peux venir maintenant !
Et c’est seulement dans cette condition que je la rejoins. Sans perdre de temps je me mets à palper son derrière rebondi à la peau chaude et douce. Je lui pétris les seins et les fesses à pleines mains. Toute cette chair élastique me rend fou. Me prenant par le cou, elle m’attire contre elle. Elle frotte ses tétons contre mes lèvres.
- Sucez-moi les tétons !
Très vite j’ai en bouche le goût fade de ses mamelons. Elle gémit quand je les lèche.
Impatient je glisse ma bouche au centre de son corps. Je dépose des baisers sur la peau veloutée de sa chatte, faisant sursauter Evelyne. Je la lèche de bas en haut et de haut en bas, M’attardant sur le moindre centimètre de son intimité, la goûtant comme la plus délicieuse des friandises.
- Oui… murmure-t-elle. Oui…
Elle saisit mes cheveux, que j’avais à l’époque très long, et appuie ma tête plus fort contre son sexe odorant. J’enfonce ma langue dans un tunnel poisseux. Et je lui fais l’amour. Ses halètements vont crescendo, et soudain elle pousse un grand cri, qui dure aussi longtemps que les spasmes de son corps. Elle repousse ma tête d’entre ses cuisses et me demande un peu essoufflé.
-Putain! Vous êtes un bon à ce jeu ? Je suis toute drôle !
-Vous désirez vous assoir?
-Je veux plus tôt que tu me prennes, oui que tu me baises, tu sais faire ça? Où alors, tu es encore puceau?
Sans répondre je la guide jusqu’à la chaise. Mais alors que je m’apprête à l’installer, elle me dit:
-J’aimerai que tu prennes place sur la chaise!
Alors je me laisse tomber sur le siège, et elle vient s’installée à califourchon sur moi.
-C’est moi qui dirige! Me prévient-elle.
Elle prend mon pénis bandé d’une main, et le dresse à la vertical pour le glisser dans son vagin. La douceur ainsi que la chaleur de celui-ci augmentent encore mon érection.
- Caresse-moi les seins.
Je commence par rouler ses pointes de seins entre mes pouces et mes index. Tout en me chevauchant d’un mouvement rythmique elle se caresse le sexe d’une main. Elle est comme possédée. Son souffle court siffle sous la cagoule. Elle est dans un tel état d’excitation qu’elle ne met pas longtemps à jouir. Il est temps pour moi de pensée à mon plaisir. Pour ça, je l’écarte doucement, pour la faire basculé sur un vieux bureau poussiéreux.
-Hou ! C’est froid!
Je me place à genoux, bien à hauteur de l’intersection de ses cuisses, et là, je plonge de nouveau ma tête entre ses cuisses et lèche, suce goulûment sa vulve dilaté ainsi que son anus. Elle ne met pas longtemps par être rattraper par un second orgasme.
- Viens… viens ! Fit-elle. Je veux encore ta queue…
Je me place entre ses cuisses et la pénètre d’un coups de reins. Je la pilonne à un rythme effréné. Très vite, je sens me venir, les préludes d’un orgasme. Et je l'innonde de ma semence.
- Waouh… quelle baise. Me lâche-t-elle. J’ai du mal à reprendre mon souffle.
-Je vais m’éloigner ! Lui fais je.
-Attends j’ai à te parler sérieusement.
-D’accords mais je retourne derrière la cloison.
Derrière mon trou, je lui dis :
-Je vous écoute !
-Et bien, fit-elle en se séparant de sa cagoule, j’ai une copine qui ne serait pas contre de jouer avec nous.
-Je croyais qu’il fallait garder ça entre-nous.
-Oui, je sais, mais tes performances font que j’ai voulu partager cette expérience avec Barbara, ma copine.
-Elle est mariée ?
-Mariée et mère de trois enfants.
-Et son mari ?
-Pas intéressant ! Alors, tu en dis quoi ?
-Je ne sais pas ! Elle a quel âge ?
-Le même que moi. Nous avons toute deux fait notre scolarité ensemble, si cela peut t’intéresser. Alors ? Ta réponse ?
A cette époque je fréquentais Bernadette et surtout Brigitte, que je voyais chez elle plusieurs fois dans la semaine, quand son mari était absent. Et la Brigitte je la baisais à mort. Surtout que la coquine à défaut des autres maîtresses, aimé ce faire enculer. Un exercice qu’elle n’osait pas imposer à son époux, trop bien élevée. Alors elle profite de moi, enfin de ma queue, pour satisfaire son appétit sexuel.
-Je suis d’accords mais comme vous elle portera la cagoule.
-Je pense que cela ne lui posera aucune difficulté, si tu la porte aussi.
-Bon dans ces conditions, c’est oui.
Evelyne ne mit pas longtemps pour prendre contact avec moi. Un simple message épinglé sur une latte de bois de son local, m’invitant à venir ce jour-là, à cette heure là !
Comme d’habitude je suis en avance. J’entend la fameuse Barbara arrivée, ouvrir le local d’Evelyne et de pénétrer le lieu.
-Barbara ! Fais-je.
-Ouf ! Vous m’avez fait peur !
-Je m’excuse de vous avoir fait peur.
-Vous êtes tout excuser !
-Bon ! Vous désirez quoi de ma part ?
-Evelyne m’a dit que du bien sur vous, vous savez !
-Elle vous a dit que vous deviez vous passer la cagoule ?
-Oui, elle me la dit, aussi ! Elle me la même donné. Je l’es là, dans mon sac à main ! Comment pouvez-vous faire des choses pareilles ? Vous savez que c’est mal ! C'est mal. Il ne faudrait pas quand nous surprenne de la sorte.
Parfaite comédienne !
-Alors faisant vite. Fais-je en prenant le chemin pour la rejoindre.
Une fois avec elle, je lui demande de faire tomber son jean.
- C’est incroyable, ce que vous me faite faire… murmure-t-elle alors qu’elle s’affaire sur son pantalon.
-Aidez-moi !
Je me saisis de la jambière par les ourlets et je l’aide à s’en débarrasser.
- Je ne sais pas si c’est bien !
- Il fallait réfléchir avant.
-Oui… peut-être, mais quelle honte…
-Comptez sur moi pour garder le silence ! Je suis une tombe ! D’ailleurs je ne vois pas votre visage !
-Encore heureux !
Alors qu’elle joue l’innocente offensée. Me projetant à chaque instant d'arrêter, alors qu’elle ne fait rien pour m’écarter. Mais je suis tellement surexcité par le spectacle qu'elle m'offre grâce à la transparence du nylon. Je peux sans mal apercevoir les grandes lèvres pleines, tapissée de poils et renflées, entrouvertes, sur une mince fente d'un rose vif, presque rouge, toute baveuse de mouille. Mon cœur s’emballe brusquement dans ma poitrine.
Je plonge ma main aussitôt entre ses cuisses gainées. Elle tressaillie sous le toucher de ses lèvres par mon index. De sentir son sexe s’entrouvrir à travers la minceur du filet du collant, m’électrise. Je fais monter et descendre mon doigt, enfonçant parfois, les mailles dans la fente. Ils s’imprègnent de mouille. J’immerge mon autre index, directement dans son rectum.
-Oh ! Lâche-t-elle si je m’attendais à ça ! Evelyne ne m’avait pas mentit sur votre compte, vous êtes vraiment incroyable ! Mais voyez-vous, je ne sais pas si c’est sérieux tout ça !
Mais surprise ! Pas un moment, elle esquisse un comportement de repli. Tout au contraire, une animation de son bassin me fait pénétrer plus profondément en elle, et ça malgré le collant, et cela jusqu'à la deuxième phalange. J’exerce alors, un doux va-et-vient qui lui arrache un léger râle de plaisir.
-Mais c’est que c’est bon, ce que vous me faite là ! Vous êtes la faute de ma légèreté
Très vite, le nylon s’imbibe de jus. Hors de moi, je lacère le dernier rempart qui me sépare du sexe.
- Mais que faites-vous…en voilà des manières ? Je compte sur vous pour me le rembourser.
Le nylon est trempé comme si elle s’était pissée dessus. J’enfonce mon index dans son antre.
-Ne vous gênez surtout pas ! Lâche-t-elle en ondulant du bassin.
Elle pousse des cris de souris. Je retire mon doigt luisant de mouille pour l’envoyer jusqu'à son anus. J’enduis la couronne plissée de suc, plaquant les poils blonds sur le pourtour.
- Vous êtes vraiment irrécupérable ! Je ne sais pas ce qui me retient de partir !
Son anus se contracte, ses plis se resserrer, pour mieux s’évaser l’instant d’après, transformant l'orifice froncée en une petite galerie plus sombre.
J’uni deux doigts et les fais disparaître dans son trou du cul. Je le branle, et après quelque aller et retour son cul s’évase.
-Oh… le cochon, faire ça à une femme respectable !
Sans perdre de temps, je guide ma langue sur la cible. Elle commence à gémir dès que ma langue commence à taquiner son anus. Je n'ai pas à pousser fort pour violer son sphincter. L'orifice brutalement déplissé s'arrondit comme une bague mauve poilu autour de ma langue.
Elle se cambre encore plus. Levant son cul autant qu’elle le peut pour m’offrir son fion.
- Oh oui… oh oui… gémit-elle.
Je lui fouille l’oignon un bon moment. Jusqu’au moment où je décide d’y mettre à la place mon sexe. J’ouvre ma braguette du pantalon. Tout de suite mon membre s’érige. Avec docilité elle se laisse faire. Je suis tellement dur de ce côté-là, que l’anneau du muscle se dilate pour permettre l’accès. Je fais sans hâte disparaître ma verge dans son entier dans son trou.
-Mais…mais c’est qu’il m’encule le salaud ! Je me plaindrai à Evelyne ! Hoquète-t-elle.
Les mains crispées sur ses cuisses, dans une position surélevée et par de furieux assauts, je lui défonce le fondement à coups redoublés.
Elle crie de plus en plus fort, mais point pour demander grâce.
- Oui ! Éructe-t-elle, enfonce-toi loin, plus loin ! C’est bon… tu me fais du bien !
Passant à son tour au tutoiement. Je prends l’initiative de lui claquer les fesses. Ce qui la fait piailler et se tordre de plus belle. Ses seins mous et vergetures bringuebalent lourdement. Elle porte une main à son clitoris, se met à se masturber. Elle dégouline littéralement de plaisir. Je la laboure plus généreusement que jamais le postérieur, retirant ma verge presque tout entier pour aussitôt la réintroduire jusqu’à la garde dans le fourreau étroit et palpitant.
Je la sodomise de la sorte, pendant un long moment. Elle halète et frétille et se masturbe à tour de bras.
- Continue comme ça, crie-t-elle. Je suis près de jouir…
Je grogne de ravissement. Sous moi Barbara a des spasmes. Je ne quitte pas des yeux mon pénis encerclé par l’anneau rougi de l’anus. Celui-ci se rétracte, se relâche au rythme des couinements qui résonnent dans le local.
- Oh oui c’est bon ! Oh oui c’est bon !…Salaud ! Salaud !
Les petits cris de Barbara se murent en gémissements rauques, obscènes. Elle pousse ses fesses en avant. Sa main la masturbe toujours. Elle prend son plaisir avant que je prenne le mien. Je vois Barbara sursauter à chaque jet de sperme que je lui envois. Hors d’haleine, je reste cramponné quelques instants aux cuisses de Barbara, je prends même la peine d’embrasser ses pieds. De sucer ses orteils un à un, à travers le nylon parfumé par sa propre sudation.
Sagement, Barbara attend que je sois derrière le trou pour se retirer la cagoule et de lâcher :
-Eh bien si je m’attendais à ça ? Evelyne avait raison, tu es un pervers !
-Et fière de l’être !
-Dis-moi de toi à moi, on pourrait peut-être ce revoir, non, qu’est-ce que tu en penses.
-Je ne dirais pas non.
-Mais sans qu’Evelyne le sache.
-C’est que…
-C’est que quoi ? Je ne te plais pas ?
-Au contraire !
-Alors affaire conclus. J’ai à partir de cet instant un amant. Vient par ici que je te vois.
Après Brigitte et Bernadette me voilà à présent avec Barbara.

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