EVELYNE persiste...
Récit érotique écrit par Renifleur [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 30-01-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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EVELYNE persiste...
Le lendemain, Evelyne est de nouveau au rendez-vous. Pourtant je n’aurai pas misé un centime qu’elle revienne. Cela pousse mon vice d’aller plus loin.
L’œil rivé derrière le trou, je lui propose alors si elle veut bien de se branler devant moi. Et alors, que je m’attends à son refus, la voilà qu’avec des gestes nerveux, elle ôte son pantalon et par la suite son pull. Complètement nue, elle s’affale sur son siège, les cuisses ouvertes en grand. Elle plaque une main contre sa vulve et frotte sur toute la longueur de sa fente, en fixant l’ouverture.
-Cela vous va ? Me fait-elle d’une voix éraillée.
-Vous êtes sûr que j’ai bien affaire là à l’Evelyne de hier.
-La nuit porte conseille !
-Je vois ça…
-Je me suis dit : pourquoi ne pas profiter de l’occasion qui m’est donné.
-Vous m’en voyez ravi, Evelyne !
-C’est moi qui vous remercie. Je ne sais pas si je devais vous le dire, mais je vivais ces derniers temps, des moments où je me posais des tas de question.
-Comme quoi ?
-Je préfère garder cela pour moi, si vous voulez bien ! Je préfère m’amuser avec vous !
Et elle reprend sa caresse.
-J’ai toujours adoré voir les femmes obéir à mes exigences, surtout quand elle m’offre le spectacle d’une masturbation. A chaque fois cela me mets dans un incroyable état d’excitation.
-Alors gavez vos yeux !
Au sommet de sa vulve, son clitoris darde entre deux plis de chair rose. Elle le prend entre son pouce et son index et le fait rouler entre ses deux doigts. De sa main libre, elle s’empare d’un sein et triture sans ménagement sa longue tétine pourpre. Ses larges aréoles sombres s’enflent de désir. Ça ma plaît beaucoup de voir sa lourde poitrine balloter. Les yeux brillants, et d’une voix enrouée par l’émotion, laisse tomber :
-Ça vous plaît ?
-Merci Evelyne, je crois rêver là !
Encourager, elle se met sur le côté, me présente ses fesse et les écarte en roulant des hanches. Elle halète d’un souffle rauque.
-Je veux être baisé par vous ! J’ai envie de votre queue partout !
Elle me prend au dépourvus là ! Je m’entends lui dire :
-En voilà des manières !
-Vous oubliez que je suis une salope !
-Je pense là, que vous le prouver !
-Vous ne savez peut-être pas, mais je suis en manque ! Allez… soyez gentil, donnez votre queue !
-Je préférerais avant tout, faire connaissance avec votre corps avant !
-C’est-à-dire ?
-Vous touchez !
-On fait comment ? Lâche-t-elle.
-Je vous propose de vous approchez du trou…
Elle le fait sans hésiter, collant son ventre contre la cloison. S’arrangeant même pour que son sexe soit à hauteur de la cavité. Mon premier réflexe est de prendre la décision d’humer son sexe. Le nez plein de ses fragrances intimes, j’enfonce le majeur et l’index réunis dans son vagin dilaté. Elle est comme folle. Je fouille avec des gestes fiévreux ses muqueuses. J’entreprenants un mouvement de bielle à mes doigts aller à toute vitesse.
-Je pense que je ne pourrais plus me passer de vous ! Me souffle-t-elle.
-Vous m’en voyez ravi, ma chère Evelyne !
Au bout de plusieurs rendez-vous, voilà qu’Evelyne souhaite me rencontrer en chair et en os, au lieu et place de notre confessionnal. Bien sûr que ce n’est pas pour me déplaire. Mais je préfère avec elle, sur l’instant, garder mon anonymat. Alors je lui fais part d’une idée à moi.
-C’est ça où c’est fini entre nous !
- Vous ne me donnez pas trop le choix, là. Il faut reconnaître que de couvrir le visage d’une cagoule, c’est loin d’être agréable.
-Il faut prendre cela comme si c’était un jeu.
Elle ne répond pas tout de suite. Prenant un temps de réflexion. Puis elle laisse tomber :
-Et si… je dis bien si j’accepte on commence quand ?
-Je ne suis pas contre de débuter là !
-Là… tout de suite… mais…mais vous avez le nécessaire ?
-Bien sûr ! Lui tendant par le trou la cagoule de mon père, dont j’ai pris la précaution de coudre les yeux.
-Eh bien ! On appelle ça de la clairvoyance. Lâche-t-elle en faisant disparaître sa tête dans la poche de laine. Et, ajoute-t-elle, vous me proposer quoi à présent ?
-J’arrive.
Quand je pénètre son local, elle se trouve au milieu de ce dernier.
-Surtout ! Je l’avertis, ne vous amusez pas à vous le retirer sinon c’est fini…
-Pas une seule fois, cette idée m’a traversé l’esprit. Cela vous réconforte ?
-Merci Evelyne…
Pour lui prouver ma sympathie, je me jette à genoux devant son derrière. Elle a vraiment un derrière pommelé. Elle se laisse dénuder le cul. Chaque fesse bien ronde et collée à sa jumelle. Je distingue encore la marque des coutures de sa culotte au-dessus du coccyx et sous le pli des fesses.
Elle se penche en avant, mettant ses deux mains en appuie sur son siège. M’offrant par cette posture son fessier. Je rive mes yeux dessus, sous les poils mouillés dont une odeur de faune s‘en dégage. Je suis loin de me griser pas de cette odeur.
J’écarte la toison et passe et repasse ma langue sur son sexe mouillé. Tout cela me chauffe le ventre. Elle pousse son vagin contre mes lèvres. Je lèche le pourtour gluant. Donne des petits coups à l’intérieur, m’y retire et m’y enfonce tour à tour. Evelyne se met à râler. Cela m’excite et m’encourage aussi à poursuivre. J’évase l’entrée avec mes pouces et je plonge ma langue à l’intérieur, et cela, jusqu’à ce que mes lèvres se collent sur les bords. Je suis déchaîné. Je mâchouille ses grandes lèvres, lèche longuement le fond de sa fente.
- C’est bon ! Vous êtes un génie ! Sa voix grimpe dans les aigüe.
Je la sens proche de la crise d’hystérie. Sans doute ce genre de relation devait la poursuivre depuis belle lurette.
Je lui sépare les fesses, lèche son anus et j’y enfonce la pointe de ma langue. Les poils au fond de sa raie me chatouillèrent les narines. Les cris rauques d’Evelyne retentirent dans mon ventre et dans mon sexe bandé.
Je suce son clitoris. Je le balaye de ma langue en l’écrasant. Les cuisses s’écartent autant qu’elle le peut, elle cambre les reins. Vibrante d’attente. Elle pousse un long soupir quand mes lèvres impérieuses, prennent possession de son clitoris.
- Oui, oui, plus fort ! Implore-t-elle, d’une voix mourante. Oh ! C’est trop bon ! La jouissance l’ébranle.
Elle ne peut continuer à recevoir l’hommage de mes caresses buccales. Son con devenant trop sensible au toucher, qu’elle éloigne son sexe de ma bouche.
-Eh bien si je m’attendais à cela !
-Je vais vous laissez ! Bien sûr, je compte sur vous pour vous retirez la cagoule après mon départ !
-On se revoit demain ? Me lâche-t-elle.
-Pourquoi pas !
L’œil rivé derrière le trou, je lui propose alors si elle veut bien de se branler devant moi. Et alors, que je m’attends à son refus, la voilà qu’avec des gestes nerveux, elle ôte son pantalon et par la suite son pull. Complètement nue, elle s’affale sur son siège, les cuisses ouvertes en grand. Elle plaque une main contre sa vulve et frotte sur toute la longueur de sa fente, en fixant l’ouverture.
-Cela vous va ? Me fait-elle d’une voix éraillée.
-Vous êtes sûr que j’ai bien affaire là à l’Evelyne de hier.
-La nuit porte conseille !
-Je vois ça…
-Je me suis dit : pourquoi ne pas profiter de l’occasion qui m’est donné.
-Vous m’en voyez ravi, Evelyne !
-C’est moi qui vous remercie. Je ne sais pas si je devais vous le dire, mais je vivais ces derniers temps, des moments où je me posais des tas de question.
-Comme quoi ?
-Je préfère garder cela pour moi, si vous voulez bien ! Je préfère m’amuser avec vous !
Et elle reprend sa caresse.
-J’ai toujours adoré voir les femmes obéir à mes exigences, surtout quand elle m’offre le spectacle d’une masturbation. A chaque fois cela me mets dans un incroyable état d’excitation.
-Alors gavez vos yeux !
Au sommet de sa vulve, son clitoris darde entre deux plis de chair rose. Elle le prend entre son pouce et son index et le fait rouler entre ses deux doigts. De sa main libre, elle s’empare d’un sein et triture sans ménagement sa longue tétine pourpre. Ses larges aréoles sombres s’enflent de désir. Ça ma plaît beaucoup de voir sa lourde poitrine balloter. Les yeux brillants, et d’une voix enrouée par l’émotion, laisse tomber :
-Ça vous plaît ?
-Merci Evelyne, je crois rêver là !
Encourager, elle se met sur le côté, me présente ses fesse et les écarte en roulant des hanches. Elle halète d’un souffle rauque.
-Je veux être baisé par vous ! J’ai envie de votre queue partout !
Elle me prend au dépourvus là ! Je m’entends lui dire :
-En voilà des manières !
-Vous oubliez que je suis une salope !
-Je pense là, que vous le prouver !
-Vous ne savez peut-être pas, mais je suis en manque ! Allez… soyez gentil, donnez votre queue !
-Je préférerais avant tout, faire connaissance avec votre corps avant !
-C’est-à-dire ?
-Vous touchez !
-On fait comment ? Lâche-t-elle.
-Je vous propose de vous approchez du trou…
Elle le fait sans hésiter, collant son ventre contre la cloison. S’arrangeant même pour que son sexe soit à hauteur de la cavité. Mon premier réflexe est de prendre la décision d’humer son sexe. Le nez plein de ses fragrances intimes, j’enfonce le majeur et l’index réunis dans son vagin dilaté. Elle est comme folle. Je fouille avec des gestes fiévreux ses muqueuses. J’entreprenants un mouvement de bielle à mes doigts aller à toute vitesse.
-Je pense que je ne pourrais plus me passer de vous ! Me souffle-t-elle.
-Vous m’en voyez ravi, ma chère Evelyne !
Au bout de plusieurs rendez-vous, voilà qu’Evelyne souhaite me rencontrer en chair et en os, au lieu et place de notre confessionnal. Bien sûr que ce n’est pas pour me déplaire. Mais je préfère avec elle, sur l’instant, garder mon anonymat. Alors je lui fais part d’une idée à moi.
-C’est ça où c’est fini entre nous !
- Vous ne me donnez pas trop le choix, là. Il faut reconnaître que de couvrir le visage d’une cagoule, c’est loin d’être agréable.
-Il faut prendre cela comme si c’était un jeu.
Elle ne répond pas tout de suite. Prenant un temps de réflexion. Puis elle laisse tomber :
-Et si… je dis bien si j’accepte on commence quand ?
-Je ne suis pas contre de débuter là !
-Là… tout de suite… mais…mais vous avez le nécessaire ?
-Bien sûr ! Lui tendant par le trou la cagoule de mon père, dont j’ai pris la précaution de coudre les yeux.
-Eh bien ! On appelle ça de la clairvoyance. Lâche-t-elle en faisant disparaître sa tête dans la poche de laine. Et, ajoute-t-elle, vous me proposer quoi à présent ?
-J’arrive.
Quand je pénètre son local, elle se trouve au milieu de ce dernier.
-Surtout ! Je l’avertis, ne vous amusez pas à vous le retirer sinon c’est fini…
-Pas une seule fois, cette idée m’a traversé l’esprit. Cela vous réconforte ?
-Merci Evelyne…
Pour lui prouver ma sympathie, je me jette à genoux devant son derrière. Elle a vraiment un derrière pommelé. Elle se laisse dénuder le cul. Chaque fesse bien ronde et collée à sa jumelle. Je distingue encore la marque des coutures de sa culotte au-dessus du coccyx et sous le pli des fesses.
Elle se penche en avant, mettant ses deux mains en appuie sur son siège. M’offrant par cette posture son fessier. Je rive mes yeux dessus, sous les poils mouillés dont une odeur de faune s‘en dégage. Je suis loin de me griser pas de cette odeur.
J’écarte la toison et passe et repasse ma langue sur son sexe mouillé. Tout cela me chauffe le ventre. Elle pousse son vagin contre mes lèvres. Je lèche le pourtour gluant. Donne des petits coups à l’intérieur, m’y retire et m’y enfonce tour à tour. Evelyne se met à râler. Cela m’excite et m’encourage aussi à poursuivre. J’évase l’entrée avec mes pouces et je plonge ma langue à l’intérieur, et cela, jusqu’à ce que mes lèvres se collent sur les bords. Je suis déchaîné. Je mâchouille ses grandes lèvres, lèche longuement le fond de sa fente.
- C’est bon ! Vous êtes un génie ! Sa voix grimpe dans les aigüe.
Je la sens proche de la crise d’hystérie. Sans doute ce genre de relation devait la poursuivre depuis belle lurette.
Je lui sépare les fesses, lèche son anus et j’y enfonce la pointe de ma langue. Les poils au fond de sa raie me chatouillèrent les narines. Les cris rauques d’Evelyne retentirent dans mon ventre et dans mon sexe bandé.
Je suce son clitoris. Je le balaye de ma langue en l’écrasant. Les cuisses s’écartent autant qu’elle le peut, elle cambre les reins. Vibrante d’attente. Elle pousse un long soupir quand mes lèvres impérieuses, prennent possession de son clitoris.
- Oui, oui, plus fort ! Implore-t-elle, d’une voix mourante. Oh ! C’est trop bon ! La jouissance l’ébranle.
Elle ne peut continuer à recevoir l’hommage de mes caresses buccales. Son con devenant trop sensible au toucher, qu’elle éloigne son sexe de ma bouche.
-Eh bien si je m’attendais à cela !
-Je vais vous laissez ! Bien sûr, je compte sur vous pour vous retirez la cagoule après mon départ !
-On se revoit demain ? Me lâche-t-elle.
-Pourquoi pas !
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