Famille d'accueil 2 - histoire érotique

Malgré les nombreux baisers, les traces restent, il n'y a pas eu de miracle. La langue de Marthe voyage dans le large sillon qui sépare les deux lobes fessiers. Taquine un instant l'œillet boursoufflé, Louisette, pas habituée à ce genre d'attouchement, se raidit légèrement. Louisette se laisse faire, peut-être par reconnaissance ou par manque de sexe, elle seule le sait.
Marthe se redresse, Louisette en profite pour se mettre sur le dos, elle regarde la verge de Charles qui lentement se met en érection. Ses yeux ne peuvent se détacher du manche qui ne cesse de grossir. Marthe en souriant dit :


-Il a une bonne queue hein mon mari, tu verras, ma chérie, il sait s'en servir, tu vas être comblée !


Marthe s'allonge sur Louisette, frotte ses seins lourds contre les seins, les chattes sont en contact, par une douce ondulation, les toisons humides se frottent l'une contre l'autre. Charles regarde les bassins qui s'agitent en faisant geindre doucement les deux amantes. La verge de Charles est de plus en plus dure. Il la cramponne fermement, en soufflant comme un bœuf. Les deux femmes sont brûlantes de désir, les caresses de Marthe deviennent plus précises, elle se place à côté de sa proie et avec des gestes bien dosés, commence à lui palper les lobes mammaires. Elle les malaxe profondément avec ses doigts agiles. Elle veut que le plaisir de sa protégée, soit total. Avec de l'expérience, elle sait y faire, elle attrape les tétons, qu'elle roule entre ses longs noueux de campagnarde. De temps en temps, elle les étire le plus qu'elle peut, en regardant Louisette, qui geint, en ouvrant grandement la bouche.




Charles caresse son boa, sa verge tendue est impressionnante. Tout en se triturant le mat, il caresse le ventre plat de Louisette. Bien que Marthe et Charles ne sont pas de toute jeunesse, les deux semblent avoir beaucoup de ressources pour l'acte sexuel. La chatte de Louisette, lâche un filet continu de cyprine, elle gémit sous les attouchements de plus en plus actifs de ses hôtes. Charles pose ses doigts sur la fente en feu, et la caresse en appuyant de plus en plus fort sur le clito. Louisette se cabre, sa boule de chair sensible devient énorme, elle gémit comme une bête blessée. Marthe regarde Louisette, avec un sourire qui en dit long, elle aspire un mamelon et le tète comme une vorace. Les succions que pratique Marthe sur les mamelons sont dévastatrices, elle les mordille, les étire avec ses dents à la limite du supportable.




Louisette défaille, les longs râles rauques qu'elle pousse, stimulent ses deux amants impatients de la faire exploser. Charles lui écrase le clito tout en le branlant. Louisette Disjoncte, elle hurle, ses cris très bruyants résonnent dans la chambre. Une première jouissance la fait cambrer comme un pont, son corps s'agite, Louisette trésaille fortement. Marthe repousse son mari, elle se met à quatre pattes entre les jambes de la jouisseuse, et plaque sa bouche sur le fruit trop mûr, elle aspire tout ce que la vulve rejette. Marthe est une femme mûre d'une expérience certaine, elle fouille de sa langue habile la gaine débordante de cyprine. Charles n'en peut plus, sa queue est douloureuse. Il se place derrière sa femme, frotte son gland monstrueux contre les grandes lèvres qui pendent fortement. Il pousse, en se cramponnant aux hanches larges de sa femme. Marthe est en ébullition, elle est aussi excitée que Louisette. Elle pousse un grognement, lorsque le gland épais de son mari, s'engage dans son fourreau de chair. Bien qu'elle soit habitée au calibre de la queue de Charles, elle grimace en serrant les dents. Charles donne un coup de reins, sa queue s'enfonce jusqu'aux couilles dans le ventre de sa femme, qui pousse un râle de bête blessée. L'homme en rut commence un va-et-vient qui fait gémir Marthe, le membre colossal, qui lui laboure le vagin sans relâche, lui dilate fortement la gaine vaginale. Marthe s'agrippe aux cuisses de Louisette, en grognant. Charles est en vitesse de croisière, il fait durer le plaisir. Marthe reprend en bouche le clito de Louisette, qui se cabre en soufflant fortement. Elle suce et tète la perle jusqu'à ce que Louisette re-jouisse encore une fois.


Charles accélère, ses coups de boutoir deviennent de plus en plus violents, il rugit comme un lion qui s'acharne sur sa proie. Marthe ne tient pas la distance, elle délaisse le clito, se tend comme un arc et explose en grognant comme une agonisante. Charles lui pilonne la chatte un long moment avant de la lui remplir de sperme. Il se retire de ventre si accueillant en exhibant sa queue gluante sous le nez de Louisette qui, encore sous le coup de la jouissance, délire :


Mon Dieu Marthe, tu me fais mourir de plaisir, c'est fabuleux, la puissance de mes jouissances est fantastique, oh comme je voudrais que cela ne s'arrête jamais !


En soufflant comme un dragon, Marthe, entre deux souffles, répond :


-Tu vas encore jouir ma chérie, Charles va bien te défoncer, regarde son gros braquemart, il va être en toi ma chérie !


Louisette, en reprenant un peu de poil de la bête, regarde le phallus monstrueux, elle déglutit et tend la main pour s'en emparer. Elle le presse plusieurs fois, ne quitte pas des yeux le gland pharaonique qui chapeaute la hampe épaisse. Marthe l'encourage :


-Suce la bite de notre chéri, il n'attend que cela ce pervers d'amour, vas-y ma chérie !


Louisette regarde encore l'engin avant de donner quelques coups de langue sur la hampe et le gland visqueux. Elle ouvre la bouche, c'est avec un effort presque surhumain, en se déboitant presque la mâchoire, qu'elle arrive à gober le gland. Elle suce tant bien que mal, mais la douleur est la plus forte, elle recrache le gland et se met à branler la queue. Charles grogne de bonheur, il stoppe Louisette dans son action et prend place entre ses cuisses. Marthe saisit la queue de son mari et la place contre la chatte dégoulinante de la femme inquiète. Charles pousse, les lèvres s'ouvrent sous la poussée, le gland s'enfonce dans la gaine qu'il distend fortement. Louisette croit que sa chatte va s'ouvrir en deux, elle serre les dents en grimaçant. Elle se cramponne à son amant en soufflant comme un taureau, lentement la verge puissante s'enfonce dans le ventre de la soumise. La progression cesse que lorsque que les couilles du puissant pourfendeur entre en contact avec la chatte dilatée.