Femme BCBG, escorte, non, pute… (118)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-01-2017 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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Femme BCBG, escorte, non, pute… (118)
Je deviens folle, pour échapper à un tatouage satanique qui pourrait faire fuir certains de mes clients, j’accepte que ce soit une Libellule.
Au départ j’aurais aimé qu’elle soit sur ma fesse mais là encore j’opte pour un classicisme et c’est l’épaule qui la reçoit.
Je viens de sortir de chez Démoniaque mais la boîte aux lettres montre qu’à son étage c’est Suzy qui y habite.
Je récupère le taxi qui me dépose à Chennevières mais il est déjà 9 heures et la maison est vide, sur la table de la salle un paquet avec mon nom écrit par la main de Valérie.
« Nous sommes parties à l’institut, j’ignore où Madeleine est partie et c’est Vladimir qui a préparé le café, évite d’en boire, c’est une vraie purge, il est plus doué à d’autres moments mais la cuisine il faut qu’il oublie.
Il s’occupe du voyage pour nos filles à Moscou, tes protégés sont partis à Paris pour leurs études, j’ai discuté avec Ophélie votre projet est superbe et va booster nos affaires.
À ce soir si tu es là, avec toi je ne sais plus mais c’est toujours positif pour nous toutes. »
J’ouvre le paquet et à l’intérieur je trouve une autre lettre signée de Démone.
« Merci Christine, grâce à toi je viens de rentrer d’une soirée qui m’a rajeuni de plusieurs années, ma pudeur de femmes me fait taire les nombreux mois que cela représente.
Puisque tu sembles me porter chance j’aimerais que nous nous voyions chez moi à la même adresse, voici le numéro à appeler pour que mon chauffeur vienne te prendre demain soir si tu es libre, tu me diras ce que tu voudras pour ta soirée je n’ai nulle envie que tu perdes de l’argent. »
Mon portable se déclenche, c’est Livia.
• Ma chérie, es-tu libre à 14 heures, j’ai pris contact avec une amie faisant des formations au permis de conduire moto et elle te donnera ta première leçon.
• C’est faisable mais je dois appeler Valérie car toutes ont repris le chemin de l’institut.
• Pas besoin, je suis sous ses doigts allongés sur une table dans uns des boxes, j’ai mis en haut-parleur.
J’entends des bruits sourds, tu as rentré ta moto dans la salle.
• Non c’est Alain qui a commencé les travaux, les ouvriers sont là ce matin pour couper le plafond où se trouvera l’ascenseur car pour le reste ils travailleront de nuit mais ce trou doit être fait dans la journée pour éviter de réveiller les voisins.
• Christine, j’ai des nouvelles de Madeleine, la vie s’accélère pour elle.
• Illy a mis le grappin dessus.
• Pour sur mais l’organisation a mis la photo des deux filles sur le site en individuelle ou en couple et les formes généreuses de Madeleine semblent au goût des clients car je les ai appelées trois fois pour qu’elles aillent à des rendez-vous.
Il semble qu’Illy lui ait trouvé sa librairie, elle a signé un compromis, nous allons visiter ce soir après le travail.
Et toi tu as quelque chose en vue.
Oui mais cours de moto, mon deuxième épilage laser à 11 heures tout à l’heure.
Après si elle le veut je pourrais monter faire un tour chez toi Livia, toutes ces opérations nécessiteront un bon Jacuzzi sur ta terrasse.
• Attention, aujourd’hui tu vas faire des passages de quille avec la moto, les courses rapides ce sera pour les jours prochains.
• Ok ma biche, à quatorze heures avec ma tenue noire et mon casque, j’ai hâte que tu me fasses descendre la côte de Champigny comme tu sais si bien le faire.
• À tout à l’heure grande cochonne.
Je me douche, passe une tenue facile à défaire et je prends ma mini pour me rendre à mon rendez-vous pour ma deuxième séance laser pris pour moi par Frédérique.
Tout se passe comme la première fois mais il me demande de venir une troisième fois car je me fais faire une intégrale et c’est plus long.
14 heures j’entends la moto qui arrive et après avoir embrassé Livia discrètement car nous sommes dans la rue je monte sur sa moto retrouvant la sensation déjà éprouvée dès que je monte dessus, malgré ma combinaison de motarde noire.
• Accroche-toi, ça va décoiffer.
• Aucun problème j’ai mon casque.
Nous rigolons comme deux fofolles insouciantes, et après avoir enfourché la bête elle démarre sans faire pneu arrière qui aurait pu me désarçonner.
Nous regagnons l’ancienne nationale 4 et là encore elle accélère la circulation étant fluide elle faufile sa moto entre les voitures, nous roulons vite, très vite, autant que sur l’autoroute au retour de l’aéroport le jour où j’ai joui sur sa machine.
Nous attaquons la descente de la côte de Champigny et nous sommes en bas avant que j’aie eu le temps de me rendre compte de quoi que ce soit.
J’enserre sa taille ma tête posée sur son dos quand arrivé à la hauteur de l’ancienne société vendant des faillances j’ai le temps de crier.
• Merde.
Une fraction de seconde j’ai vu le policier qui tenait le radar ayant obligatoirement relevé la vitesse où nous roulons, avec un peu de chance nous sommes en moto sans plaque avant et nous échapperons à la suspension pour Livia.
• Merde.
Ce coup-ci c’est Livia qui a échappé le mot de Cambronne, car à hauteur des feux un autre policier nous arrête et nous demande de rejoindre le bas-côté.
• Bonjour messieurs, police nationale, vous venez d’être radarisé à combien pensiez-vous rouler.
• Pas trop vite monsieur l’agent je fais toujours attention.
Nous enlevons nos casques faisant apparaître notre chevelure tombant sur nos épaules.
Ce faisant nous avons deux fois le même mouvement, nous secouons notre chevelure et nous ouvrons la fermeture de nos combis laissant voir une bonne partie de nos seins.
• Excusez mesdames je vous avais pris pour des motards.
Je m’écarte et je sors mon portable de mon sac que j’ai mis dans la boîte de rangement.
Le policier me regarde mais je suis passager et c’est avec Livia qu’il parle.
J’ai un coup de chance.
• Allo pouvez-vous me passer Marie-Christine je suis une amie intime.
Je viens de faire le numéro donné par Démone ce matin dans la lettre qu’elle m’a écrite.
• Monsieur l’agent une personne souhaite vous parler.
Il accepte de prendre le combiné et écoute.
• Qui me dit que vous êtes celle que vous prétendez être.
Il raccroche et refait un numéro.
• Bien madame, excusez-nous de vous avoir dérangé, je les laisse repartir car j’ignorais qu’elles étaient en mission pour vous et qu’elle vous apporte des renseignements importants.
Je vous la repasse, à votre service.
Je reprends mon portable et je vais pour remercier Marie-Christine la Démone.
• Ce soir pour dîner chez toi avec ma copine, sans problème, on pourra faire amende honorable, à 20 heures, oui nous allons faire attention.
Ça a marché, nous repartons sous le regard du policier qui nous fait un salut militaire à notre départ.
Je prends ma leçon de conduite avec un gilet jaune le long du champ de courses de Vincennes.
Après être retourné à Chennevières pour que je me change, je récupère ma mini et nous retournons chez Livia dans le Jacuzzi et pour se vêtir en femme elle aussi.
Nous arrivons chez ma nouvelle amie, ou son attaché nous ouvre la porte.
• Venez, madame nous attend dans la salle pour prendre l’apéritif.
Le nous m’interpelle et je profite pour regarder la chute de rein de cette femme qui semble jouer un personnage.
À partir de ce moment je cherche à découvrir la réalité de cette femme.
• Alors les filles, vous me faites jouer un jeu que je réprouve, je déteste de me servir de ma fonction pour couvrir mes amis mais je l’ai fait pour éviter que vous couchiez en prison, je vous préfère ici.
Annabelle peux-tu venir m’aider à apporter les petits fours.
Comment s’appelle cette jeune fille ?
• Livia, Marie-Christine, laisse je vais l’aider.
J’ai envie de me retrouver seule avec cette fille pleine de mystère et si elle en à les découvrir et les lever.
Je suis Annabelle vers la cuisine où elle se rend vers le four qui est placé en réchauffement.
• C’est chaud, je vais les sortir.
• Donne-moi les gants, je vais le faire.
Je les sors, ce sont des feuilletés, je pose la plaque sur le plan de travail et dans le mouvement je saisis ses seins.
Elle est surprise.
• Regarde comme c’est chaud.
• C’est agréable.
Je les frotte sur sa poitrine et son regard se trouble.
• Enlève cet affreux chignon, je suis sûr que tu es une jeune femme magnifique pourquoi t’enlaidir ?
En lui disant cela j’enlève les gants et je défais la broche qui les maintienne les faisans tombés sur ses épaules.
• C’est mieux ainsi, regarde comme nous formons un beau couple, toi la brune et moi la blonde.
En même temps je la fais se retourner pour qu’elle nous voie dans la glace placée fortuitement au mur et je lui ceinture les seins en plaçant ma main sur celui opposé.
Je glisse mes doigts dans son décolleté et je l’enserre sans sentir la moindre réticence.
Elle tourne sa tête ce qui me permet de lui prendre la bouche dans un baiser plein de retenue, je laisse le temps passer évitant de rompre le charme que j’ai réussi à installer entre nous…
Au départ j’aurais aimé qu’elle soit sur ma fesse mais là encore j’opte pour un classicisme et c’est l’épaule qui la reçoit.
Je viens de sortir de chez Démoniaque mais la boîte aux lettres montre qu’à son étage c’est Suzy qui y habite.
Je récupère le taxi qui me dépose à Chennevières mais il est déjà 9 heures et la maison est vide, sur la table de la salle un paquet avec mon nom écrit par la main de Valérie.
« Nous sommes parties à l’institut, j’ignore où Madeleine est partie et c’est Vladimir qui a préparé le café, évite d’en boire, c’est une vraie purge, il est plus doué à d’autres moments mais la cuisine il faut qu’il oublie.
Il s’occupe du voyage pour nos filles à Moscou, tes protégés sont partis à Paris pour leurs études, j’ai discuté avec Ophélie votre projet est superbe et va booster nos affaires.
À ce soir si tu es là, avec toi je ne sais plus mais c’est toujours positif pour nous toutes. »
J’ouvre le paquet et à l’intérieur je trouve une autre lettre signée de Démone.
« Merci Christine, grâce à toi je viens de rentrer d’une soirée qui m’a rajeuni de plusieurs années, ma pudeur de femmes me fait taire les nombreux mois que cela représente.
Puisque tu sembles me porter chance j’aimerais que nous nous voyions chez moi à la même adresse, voici le numéro à appeler pour que mon chauffeur vienne te prendre demain soir si tu es libre, tu me diras ce que tu voudras pour ta soirée je n’ai nulle envie que tu perdes de l’argent. »
Mon portable se déclenche, c’est Livia.
• Ma chérie, es-tu libre à 14 heures, j’ai pris contact avec une amie faisant des formations au permis de conduire moto et elle te donnera ta première leçon.
• C’est faisable mais je dois appeler Valérie car toutes ont repris le chemin de l’institut.
• Pas besoin, je suis sous ses doigts allongés sur une table dans uns des boxes, j’ai mis en haut-parleur.
J’entends des bruits sourds, tu as rentré ta moto dans la salle.
• Non c’est Alain qui a commencé les travaux, les ouvriers sont là ce matin pour couper le plafond où se trouvera l’ascenseur car pour le reste ils travailleront de nuit mais ce trou doit être fait dans la journée pour éviter de réveiller les voisins.
• Christine, j’ai des nouvelles de Madeleine, la vie s’accélère pour elle.
• Illy a mis le grappin dessus.
• Pour sur mais l’organisation a mis la photo des deux filles sur le site en individuelle ou en couple et les formes généreuses de Madeleine semblent au goût des clients car je les ai appelées trois fois pour qu’elles aillent à des rendez-vous.
Il semble qu’Illy lui ait trouvé sa librairie, elle a signé un compromis, nous allons visiter ce soir après le travail.
Et toi tu as quelque chose en vue.
Oui mais cours de moto, mon deuxième épilage laser à 11 heures tout à l’heure.
Après si elle le veut je pourrais monter faire un tour chez toi Livia, toutes ces opérations nécessiteront un bon Jacuzzi sur ta terrasse.
• Attention, aujourd’hui tu vas faire des passages de quille avec la moto, les courses rapides ce sera pour les jours prochains.
• Ok ma biche, à quatorze heures avec ma tenue noire et mon casque, j’ai hâte que tu me fasses descendre la côte de Champigny comme tu sais si bien le faire.
• À tout à l’heure grande cochonne.
Je me douche, passe une tenue facile à défaire et je prends ma mini pour me rendre à mon rendez-vous pour ma deuxième séance laser pris pour moi par Frédérique.
Tout se passe comme la première fois mais il me demande de venir une troisième fois car je me fais faire une intégrale et c’est plus long.
14 heures j’entends la moto qui arrive et après avoir embrassé Livia discrètement car nous sommes dans la rue je monte sur sa moto retrouvant la sensation déjà éprouvée dès que je monte dessus, malgré ma combinaison de motarde noire.
• Accroche-toi, ça va décoiffer.
• Aucun problème j’ai mon casque.
Nous rigolons comme deux fofolles insouciantes, et après avoir enfourché la bête elle démarre sans faire pneu arrière qui aurait pu me désarçonner.
Nous regagnons l’ancienne nationale 4 et là encore elle accélère la circulation étant fluide elle faufile sa moto entre les voitures, nous roulons vite, très vite, autant que sur l’autoroute au retour de l’aéroport le jour où j’ai joui sur sa machine.
Nous attaquons la descente de la côte de Champigny et nous sommes en bas avant que j’aie eu le temps de me rendre compte de quoi que ce soit.
J’enserre sa taille ma tête posée sur son dos quand arrivé à la hauteur de l’ancienne société vendant des faillances j’ai le temps de crier.
• Merde.
Une fraction de seconde j’ai vu le policier qui tenait le radar ayant obligatoirement relevé la vitesse où nous roulons, avec un peu de chance nous sommes en moto sans plaque avant et nous échapperons à la suspension pour Livia.
• Merde.
Ce coup-ci c’est Livia qui a échappé le mot de Cambronne, car à hauteur des feux un autre policier nous arrête et nous demande de rejoindre le bas-côté.
• Bonjour messieurs, police nationale, vous venez d’être radarisé à combien pensiez-vous rouler.
• Pas trop vite monsieur l’agent je fais toujours attention.
Nous enlevons nos casques faisant apparaître notre chevelure tombant sur nos épaules.
Ce faisant nous avons deux fois le même mouvement, nous secouons notre chevelure et nous ouvrons la fermeture de nos combis laissant voir une bonne partie de nos seins.
• Excusez mesdames je vous avais pris pour des motards.
Je m’écarte et je sors mon portable de mon sac que j’ai mis dans la boîte de rangement.
Le policier me regarde mais je suis passager et c’est avec Livia qu’il parle.
J’ai un coup de chance.
• Allo pouvez-vous me passer Marie-Christine je suis une amie intime.
Je viens de faire le numéro donné par Démone ce matin dans la lettre qu’elle m’a écrite.
• Monsieur l’agent une personne souhaite vous parler.
Il accepte de prendre le combiné et écoute.
• Qui me dit que vous êtes celle que vous prétendez être.
Il raccroche et refait un numéro.
• Bien madame, excusez-nous de vous avoir dérangé, je les laisse repartir car j’ignorais qu’elles étaient en mission pour vous et qu’elle vous apporte des renseignements importants.
Je vous la repasse, à votre service.
Je reprends mon portable et je vais pour remercier Marie-Christine la Démone.
• Ce soir pour dîner chez toi avec ma copine, sans problème, on pourra faire amende honorable, à 20 heures, oui nous allons faire attention.
Ça a marché, nous repartons sous le regard du policier qui nous fait un salut militaire à notre départ.
Je prends ma leçon de conduite avec un gilet jaune le long du champ de courses de Vincennes.
Après être retourné à Chennevières pour que je me change, je récupère ma mini et nous retournons chez Livia dans le Jacuzzi et pour se vêtir en femme elle aussi.
Nous arrivons chez ma nouvelle amie, ou son attaché nous ouvre la porte.
• Venez, madame nous attend dans la salle pour prendre l’apéritif.
Le nous m’interpelle et je profite pour regarder la chute de rein de cette femme qui semble jouer un personnage.
À partir de ce moment je cherche à découvrir la réalité de cette femme.
• Alors les filles, vous me faites jouer un jeu que je réprouve, je déteste de me servir de ma fonction pour couvrir mes amis mais je l’ai fait pour éviter que vous couchiez en prison, je vous préfère ici.
Annabelle peux-tu venir m’aider à apporter les petits fours.
Comment s’appelle cette jeune fille ?
• Livia, Marie-Christine, laisse je vais l’aider.
J’ai envie de me retrouver seule avec cette fille pleine de mystère et si elle en à les découvrir et les lever.
Je suis Annabelle vers la cuisine où elle se rend vers le four qui est placé en réchauffement.
• C’est chaud, je vais les sortir.
• Donne-moi les gants, je vais le faire.
Je les sors, ce sont des feuilletés, je pose la plaque sur le plan de travail et dans le mouvement je saisis ses seins.
Elle est surprise.
• Regarde comme c’est chaud.
• C’est agréable.
Je les frotte sur sa poitrine et son regard se trouble.
• Enlève cet affreux chignon, je suis sûr que tu es une jeune femme magnifique pourquoi t’enlaidir ?
En lui disant cela j’enlève les gants et je défais la broche qui les maintienne les faisans tombés sur ses épaules.
• C’est mieux ainsi, regarde comme nous formons un beau couple, toi la brune et moi la blonde.
En même temps je la fais se retourner pour qu’elle nous voie dans la glace placée fortuitement au mur et je lui ceinture les seins en plaçant ma main sur celui opposé.
Je glisse mes doigts dans son décolleté et je l’enserre sans sentir la moindre réticence.
Elle tourne sa tête ce qui me permet de lui prendre la bouche dans un baiser plein de retenue, je laisse le temps passer évitant de rompre le charme que j’ai réussi à installer entre nous…
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