Femme BCBG, escorte, non, pute…. (12)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-06-2015 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Femme BCBG, escorte, non, pute…. (12)
Dans mes songes, j’entends le bruit de sonnerie. Et non je ne rêve pas, il est l’heure de se lever, je regarde ma montre, huit heures c’est inhumain de me réveiller après la nuit que nous venons de passer.
Toujours actives Valérie saute du lit, par sous la douche, je la suis et reçois l’eau salvatrice après nos agapes.
Une soubrette nous apporte un petit déjeuner que nous avalons rapidement.
Nous avons enfin repris notre aspect très féminin.
Nous réunissons nos affaires.
• Peux-tu, me donner tout l’argent gagné pendant ces trois jours !
Elle sort ses enveloppes, y compris les vingt-cinq mille roubles donnés par Vladimir au restaurant.
Pas la peine de recompter la valise qui contient les dix mille euros.
Elle veut compter les enveloppes gagnées par chacune.
• Non, calcul le total et fait cinquante, cinquante !
Nous avons gagné cet argent toute les deux. En appelant Igor pour monnayer mon pucelage dix mille euros. Je l’aurais certainement perdu un jour gratuitement comme j’ai perdu ma virginité avec ma petite bite, ce qui m’a rapporté d’être cocu.
• Je te remercie, mais mon compte en banque n’a pas besoin de grossir. J’ai de quoi vivre deux vies !
Elle met tout dans la mallette, calcul le total, remplit la fiche qu’elle a sortie de l’enveloppe donnée par le coursier casqué au départ. Elle note la somme pour chacune et la referme.
Nous prenons, le chemin d’une adresse fournit au départ dans l’enveloppe.
• Je vais remettre cette mallette à un ou une responsable de l’organisation qui va se charger de nous faire rapatrier cet argent sur le compte que je t’ai fait ouvrir au moment où je t’ai proposé de devenir une escorte girl. Cet argent sera viré petit à petit, venant de nombreux correspondants à travers le monde.
L’argent venant d’un pays comme la Russie sent mauvais pour les services du ministère des Finances. Ils surveillent tous les mouvements financiers importants entre les deux pays. Ce contrôle s’appelle « TRACFIN », il est chargé d’empêcher l’argent venant de divers trafics dans ce pays d’être blanchi.
Nous prenons un taxi, Valérie donne l’adresse et nous déposons notre mallette.
Nous reprenons la route de l’aéroport et nous embarquons sans aucun problème.
Arrivées à nos places, Virginie et Christine retrouvent leur identité.
Virginie tient encore une fois à me remercier pour tous ce que j’ai accepté.
• Tu vois lorsque j’ai fait les deux jeux avec les hommes, je savais jusqu’où je pouvais aller avec Igor. Dans le futur, si tu te trouves dans une même situation, tu dois bien démarrer ces jeux avec avant préalablement contrôler que le client a le répondant en liquide.
Si j’ai accepté qu’Igor nous paye après, c’est que j’ai déjà joué avec lui lors de mes derniers passages, je sais qu’il adore ces initiatives et qu’à la fin, il téléphone et les enveloppes arrivent.
Dans ma valise, tu as pu constater que j’ai tout le matériel me servant dans ces jeux.
Je te monterai tout.
• Je serai, une bonne élève mon cœur.
• Lorsque tu joues avec les clients, jamais tu ne dois tricher, car s’il le remarque et qu’il téléphone à l’organisation, tu seras renvoyé.
• Je ferais très attention, tu seras fier de moi.
• J’ai connu deux filles qui se sont fait virer. Le respect du client est une des valeurs fondamentales de l’organisation.
En mission, tu dois toujours avoir la tête sur les épaules, tu dois tout maîtriser, si tu sens que tes sentiments risquent de te submerger, tu dois penser que ce sont des queues, que des queues auxquelles tu dois soutirer le maximum de devises.
Cela vient très vite avec le temps, tu pratiqueras l’ensemble des jeux de l’amour en évitant de mêler tes sentiments à ce que fait ton sexe et celui du client. Une bite, rien qu’une bite aussi bonne que celle de ton amant de cœur si tu en as un ou pour certaines d’entre nous celle de leur mari car elle se prostitue sans leur dire.
J’ai vu pendant ces trois jours que tes sentiments pour Igor t'ont submergés. J’ai laissé faire, car c’était ta première grande mission. Je sais qu’Igor est un grand séducteur. Je sais pour y être passée, la première fois que je suis venue et que je l’ai rencontré, que s’il m’avait dit de rester, je l’aurais fait.
La deuxième et troisième fois que je l’ai revu, j’ai eu l’impression qu’il m’aimait. Et la fois suivante alors que j’étais accompagné par une bombe sexuelle, c’était elle qu’il regardait. Il a toujours été prévenant avec moi.
Nous baisons encore comme de bons amis qui aiment le sexe.
• Virginie, je te remercie pour tous ses bons conseils.
Il est vrai que je mouille pour lui, mais ce que tu m’expliques me ramène les pieds sur terre même si dans quelques instants on va s’envoyer en l’air dans cet avion.
Fatiguée, je m’endors ayant besoin de récupérer de ces trois journées exaltantes.
De retour à Paris, nous récupérons la voiture et reprenons la route pour Chennevières. Nous entrons et constatons la présence de quelqu’un. Nous posons nos affaires dans nos chambres, nous nous mettons nues. Je constate que la porte donnant sur le jardin est ouverte. Nous la franchissons et un magnifique tableau se présente à nous, Aline est allongée nue dans un transat.
Elle dort. Nous l’approchons, Virginie se penche doucement pour éviter de lui faire peur. Elle lui susurre.
• On est là !
Malgré nos précautions, elle sursaute. Elle veut prendre une serviette pour se couvrir. Hélas, elle est trop loin. Elle met une main sur son sexe et son bras devant ses petits seins aussi mignons que ceux de sa jumelle ma petite Anne.
• Je vous attendais, j’ai tout préparé et j’ai voulu me faire bronzer. Je me suis mise nue et je suis tellement bien que j’aie dormi.
• Rien fait de grave, tu es si belle.
• Excusez-moi madame, c’est la dernière fois.
Virginie éclate de rire, elle lui caresse tendrement la joue.
• Tu peux recommencer chaque fois que tu le voudras, lorsque ton travail est terminé, tu pourras profiter de tous les avantages de la maison. Tu as constaté que nous adorons être nues dès que nous entrons ici. Si toi aussi tu aimes enlever tes vêtements même lorsque tu travailles, nous ne voyons aucun inconvénient à ce que tu le fasses.
Mon téléphone sonne, c’est Véronique qui m’appelle.
• Vous êtes rentré.
• Oui, il y a quelques minutes.
• Ta laisse t’attend !
Elle raccroche.
• Virginie, je vais rejoindre Véronique et j’en profiterais pour savoir si elle accepte la proposition que nous voulons lui faire.
En lui proposant de m’absenter, j’ai l’impression que mon départ lui plait, lorsque je vois la façon dont négligemment, elle caresse le front de la petite allongée.
J’embrasse Valérie et fais un petit signe à Aline.
Je vais dans ma chambre me douche, me pomponne, mets mon collier. Je m’habille, prends le cadeau acheté à Moscou et je prends ma voiture pour rejoindre Paris.
Ce dimanche soir, peu de voiture sur la route, j’arrive rapidement devant l’appartement où mon amie m’attend. J’ai du mal à me garer, je trouve enfin. Je remonte l’avenue et passe devant une boutique ouverte même un dimanche.
C’est un sex-shop. La porte ne laisse rien voir de ce qui se passe à l’intérieur. Je pousse la porte et entre.
J’ai un jour avec Pierre vu à la télé un reportage sur ces boutiques.
• Regarde ces lieux de perdition m’avaient dit Pierre.
Lieu de débauche et, pourtant j’entre. À l’intérieur je retrouve ce que j’avais vu, des rayonnages couverts de cassettes pornos.
• Bonjour madame que cherchez-vous ?
• Deux choses une cassette avec l’acteur « Tof » l’homme à une couille et l’emplacement des sex-toys ?
Il prend une cassette.
• Prenez celle-là c’est son meilleur.
Il me conduit devant un rayon où des dizaines de sexes Toys sont présentés. Il me fait l’article sur les particularités de chacun d’une façon bien directe.
• Ceux-là servent pour votre chatte. Ceux-là, pour votre cul. Il y en a même qui peuvent servir entre deux femmes.
• J’en veux un.
J’en choisis deux autres, paye et repars avec un des godes mis dans un paquet que je fais faire cadeau à ma maîtresse.
Je pense que cette boutique aura prochainement ma visite certainement avec Véronique. Je vais être cliente de ce lieu que j’ai juste commencé à explorer.
Virginie m’a ouvert le monde du sexe et je suis bien décidé à l’explorer de la lettre A comme amour mais aussi amour en passant par L comme libido ou lesbienne sans oublier le P comme pénétrer ou pornographie et Z comme Zoé la jeune femme que je rencontrerais certainement un jour.
J’arrive et monte à son étage. Je sonne. La porte s’ouvre, je vois une main tenant une laisse sortir et chercher mon cou. Elle trouve l’anneau et accroche le mousqueton.
Entre !
Dans la salle à manger la table est mise avec un repas aux chandelles.
Tenant délicatement la laisse, elle me déshabille et me donne l’ordre de m’installer.
Elle a le collier que je lui ai offert, mais sans sa laisse.
• À partir de ce jour, suivant nos envies, nous porterons la laisse de l’une ou de l’autre. Elle sera à son service mais surtout sans aucune contrainte imposée !
Nous prenons un cocktail de fruit en apéritif.
• Votre voyage s’est passé comment ?
J’ai du mal à lui mentir. Je lui sers une belle histoire de réunion dans notre congrès. De travail dans des commissions et de visite au Musée Pouchkine de Moscou en point d’orgue.
Je peux ainsi lui expliquer la visite des salles d’art contemporain avec les magnifiques tableaux de Picasso et autres peintres contemporains. Pour cette partie, je sais que je dis la vérité.
Je sors les cadeaux que je lui ai amenés.
Celui de Russie, une « boîte laquée collection Kholouï » cette boîte, lui servira à mettre ma laisse lorsque je m’absente.
Elle est aux anges, ma boîte pour ma laisse lui va droit au cœur.
Elle ouvre le deuxième cadeau et découvre le gode pouvant servir à deux femmes pour se donner du plaisir.
• Viens.
Elle me le dit en me tirant légèrement par la laisse, nous allons l’essayer.
Nous-nous jetons ensemble sur le lit. Elle saisit le godemiché et introduit un des côtés dans ma vulve. Il pénètre sans problème, car depuis que je suis arrivée, je suis toute mouillée de l’avoir retrouvé.
Elle saisit la partie opposée et l’entre au fond de sa grotte. Nous bougeons nos basins en rythme, ce qui nous permet d’arriver à un plaisir plein d’amour sincère. Nos mains se retrouvent sur nos seins et nos bouches se dévorent.
Nous repartons faire honneur au repas que mon cœur nous à préparer avec un soin plein de délicate.
Après le dessert, je lui dis que Virginie et moi avons discuté de son avenir professionnel. Pierre lui a fait perdre son travail et donc ses revenues et nous nous sommes interrogés sur ce qu’elle souhaite faire.
• Je peux tenir encore quelques semaines avec les économies que j’ai faite dans les derniers mois. J’ai commencé à prendre contact avec d’anciennes collègues afin d’être prévenu si une place se libère dans une compagnie.
• Virginie et moi allons nous associer afin de développer l’institue. Dans cette optique, elle vient d’acheter l’étage au-dessus de la boutique pour installer des activités nouvelles. Je vais investir dans les travaux et ainsi prendre une part des actifs qu’elle possède.
Elle est très souvent obligée de s’absenter et sera amenée à m’emmener. Nous te proposons de t’embaucher. Odile sera chargée de te montrer la totalité des soins à apporter à ces dames.
Un moment interloqué, dans un souffle.
• J’accepte. Je suis heureuse d’être utile à l’ensemble du groupe que vous formez.
Il fait encore jour quand nous finissons de souper. Je propose à Véronique d’appelée Odile pour lui demander des nouvelles d’Anne. Elle accepte immédiatement.
Je décroche et mets le haut-parleur.
• Où es-tu ?
• Chez Véronique !
• Je pense que vous êtes nues.
Habillez-vous et venez nous rejoindre, tu nous raconteras ton voyage !
• Véronique, tu es partante.
• Plus que cela enthousiaste !
Habillée, je l’emmène vers ma mini. Lorsque nous passons devant la boutique à godes, je lui signale que c’est là que j’ai acheté celui que je lui ai offert tous à l’heure.
Nous viendrons voir un de ces jours ce qu’il y a d’intéressant dans ce lieu de perdition. J’ai juste eu le temps tout à l’heure de tout survoler impatiente de la retrouver.
Nous prenons le chemin de Montrouge.
Arrivé chez Alain et Odile, je retrouve ma poupée qui me saute au cou.
À l’oreille, elle me dit.
• J’ai beaucoup de choses à te dire.
• Oui, bébé moi aussi mais tu peux attend que nous soyons seules toutes les deux. Je t’expliquerai pourquoi plus tard.
Pendant que Véronique, discute avec Odile, j’arrive à parler discrètement avec Alain.
• As-tu pu avec Odile faire à Anne, ce que vous m’avez fait avec le bandeau ?
• Oui, ça a très bien marché.
• Tu es en forme ce soir.
• Partant pour faire l’expérience avec Véronique ?
• Plutôt deux fois qu’une, elle est tellement bandante avec sa crinière rouge. J’espère que sa toison est identique.
• Je l’ai encore vue de très près, il y a deux heures, tu seras conquise.
• Banco me dit-il, s’est parti.
Nous rejoignons le séjour. Personne n’a vu notre manège. Je sors de mon sac la laisse que j’ai pris soin d’emportée. Je m’approche de Véronique et attache, le mousqueton à l’anneau dore de son collier.
• Véronique, acceptes-tu de devenir notre esclave ?
Légèrement étonné, elle me regard et me dit, oui maîtresse, je suis à vous.
• Odile, prépare-la?
• Véronique acceptes-tu qu’Alain te prenne en levrette dans la chambre ?
• Oui, je l’attends en moi.
• Anne prépare Alain pour qu’il soit en état de la prendre.
Je conduis mon amie doucement par la laisse. Odile enlève lui ses vêtements et fait là mettre en position demandée.
• Odile prépare lui la chatte.
Elle commence à lécher le sexe de notre esclave qui commence à se tortiller.
Pendant ce temps, Anne a sorti le sexe de notre ami pour le sucer. Je constate que sa technique a fortement évolué en quatre jours. Il bande.
• Bien jouée bébé avec ta bouche, tu es aussi douée que moi. J’ai bien fait de te confier à mes amis pendant mon absence.
• Odile, tu t’enlèves, Alain enfile là.
Aussitôt dit aussitôt fait, il lui prend les hanches et s’enfonce en elle.
• Oh!
Il y a bien longtemps qu’un bel homme m’a défoncé depuis que j'ai viré mon ex.
Eh! Odile, merci, de me prêter ton mari, tu as de la chance, il doit bien s’occuper de toi.
• Anne va donner ta chatte à notre amie pour qu’elle te nettoie la minette.
Ma petite est rasée de près, Odile a dû s’occuper d’elle. Véronique répond au grand coup de verge que lui donne Alain par des mouvements du bassin.
Après cinq minutes, je demande au sexe de la quitter, elle se plaint, car elle allait prendre son pied.
Je tire légèrement sur la laisse pour lui rappeler qu’une esclave a l’interdiction de se plaindre.
• C’est vrai, maîtresse, excuse-moi ?
• C’est bien, Anne voilà une corde en soie, attache-lui une main au montant du lit.
Elle s’exécute.
• Odile met lui un bandeau afin que sa vision soit obturée.
Elle pose le foulard noir.
Véronique est persuadée que parce que je mène les opérations, elle peut avoir confiance.
• Odile et Anne, descendez dans la rue, trouvez un homme susceptible de prendre notre amie.
Véronique, tu es d’accord.
• Je veux bien, mais, essayez de trouver un homme bien de sa personne.
Je tire sur la laisse.
• Tu viens de me dire que tu serais docile. Odile et Anne, remonté le premier homme que vous croiserez. Même si les gros et laid pour nous le principal, c’est qu’il est une queue qui fonctionne.
Notre femelle recevra dans son sexe cette bite qui la fera jouir j’en suis certaine.
La porte du palier claque.
• Véronique, ça y est, elles sont en chemin !
Alain en attendant prend là, cela la fera patienter.
Il retourne en elle et la lime pendant un bon moment.
Le bruit de la porte d’entrée se fait entendre.
• Très bien, les filles, je vois que vous avez trouvé un bel étalon et que vous l’avez fait bander en montant dans l’ascenseur afin qu’il pourfende notre esclave.
• Elle est belle, Monsieur, mes copines vous ont bien vendu notre salope qui attend que votre pieu entre dans sa chatte.
Alain s’est retiré, il bouge comme si quelqu’un arrivait sur le lit.
• Allez-y, mettez-lui tous !
Alain lui reprend les hanches et comme avec moi entre et sors sur un rythme différent de celui qu’il lui infligeait quelques minutes avant.
• Alors Véro, tu apprécies cette bite toute neuve en toi.
• Au oui, mon cœur, jamais ma chatte en a senti une aussi vigoureuse.
Elle jouit plusieurs fois.
• Véronique, acceptes-tu que ce monsieur t’encule ?
• Oh! J’ai un doute, seul ton ex me la mise là, tu te souviens de la petite bite qu’il avait, je la sentais à peine. Mais j’ai promis d’être votre esclave. Il peut me prendre par ma rosette.
Alain à un moment d’hésitation, il était loin d’imaginer que j’imposerais une sodomie à notre ami. Content de l’aubaine, il regarde Odile qui l’encourage sort de sa chatte et présente son dard à l’œillet de ma jolie esclave.
• Chérie est ce qu’Alain peut venir dans ma bouche pour que je le suce, il m’a tellement fait de bien que j’aie envie de le récompenser.
Un moment déboussolé. Odile vient à notre secours.
• Il est sorti, je l’ai vu aller satisfaire un besoin naturel.
• Dommage, qu’il compte sur moi plus tard.
Délicatement Alain fait pénétrer, son vit dans l’anus de Véronique.
• Oh! Monsieur, que vous êtes gros, mais continué j’aime ça.
Alain est au fond du cul de la grande. Il lui donne des grands coups avec sa verge.
Anne présente sa chatte à la bouche de Véro qui se met à la lécher.
Odile se couche sous son ventre et peut ainsi être bien placée pour admirer l’étreinte.
Elle lui lèche la chatte, ce qui augmente le plaisir de notre esclave de jeu érotique.
Malgré sa bouche sur le sexe de mon petit bouchon, de petits cris de plaisir sortent.
Je sens qu’Alain va partir.
• Anne laisse ta place.
• Monsieur, remplissez-lui, la bouche de votre sperme. Je la connais, c’est une grande cochonne qui va finir de vous nettoyer la bite.
Alain se déplace et présente son dard devant la bouche de notre bacchanal. Il luit envoi de longs jets dont elle avale tout ne perdant aucune goutte.
• Véronique ne bouge surtout pas. Odile raccompagne ce monsieur que nous remercions de sa participation.
La porte claque, il est parti.
Alain enlève le bandeau de Véronique. Comme moi, elle met quelques minutes à rétablir sa vue.
• Dommage que vous l’ayez laissé partir, j’aurais bien voulu le remercier.
Elle remarque que nous sommes tous hilare.
• Véronique bien venue au club d’Alain et Odile !
Anne pleine de compassion pour la grande lui prend la figure entre les mains et la regarde avec amour.
• Tu sais, chacune de nous a reçu la verge de l’inconnu que nous avons été chercher dans la rue et comme nous aujourd’hui elle a subi le seul homme présent dans cette pièce Alain, notre étalon.
Je l’embrasse avec plein d’amour.
Véronique nous embrasse les uns après les autres.
• Ce qui est dommage, c’est que l’inconnu peut nous baiser qu’une seule fois dans notre vie !
Bravo à tous, votre scénario est bien ficelé, j’ai marché tout le long. Je m’en souviendrai toute ma vie.
Je détache la laisse de Véronique du mousqueton. Je sors ma laisse et la donne à Véronique.
• Mets-moi mon lien d’amour et après je vous donne ordre de faire de moi tout ce que vous voulez, je suis à vous, je suis votre chienne !
Elle m’attache comme j’aime. Pendant un grand moment, je suis baisée, enfilée par notre mâle, je lui demande de m’enculer pendant que sa femme me broute la chatte.
Qu’Anne me met sa foune sur les lèvres pour que je la boive !
Véronique me tète un sein, car c’est le seul endroit où il y a de la place.
Épuisés nous tombons tous après ce feu d’artifice qui s’est déclenché en moi. Au matin, je me réveille. Je suis la première à émerger. La lumière est restée allumée. Je vais dans la cuisine préparer le petit déjeuner.
Heureusement, nous sommes lundi, nous avons la journée pour nous remettre avant de retourner travailler.
Odile me rejoint, rapidement l’odeur du café, du thé et du chocolat emplit la pièce.
Ils se réveillent et nous sommes tous les cinq réunis, où six si l’on compte l’homme invisible de Véronique !
Nous sommes nus autour de la table. Nous prenons ce petit déjeuner réparateur. J’en profite pour annoncer à Anne et Odile toutes les décisions mises au point avec Virginie, notre grande absente.
Les filles sautent au cou de Véro pour lui témoigner le plaisir qu’elles vont avoir à travailler ensemble.
Alain, quant à, lui veut être de la partie, il me propose de participer aux travaux d’aménagement.
Je l’en remercie, l’avenir me semble d’un bleu azur.
Toujours actives Valérie saute du lit, par sous la douche, je la suis et reçois l’eau salvatrice après nos agapes.
Une soubrette nous apporte un petit déjeuner que nous avalons rapidement.
Nous avons enfin repris notre aspect très féminin.
Nous réunissons nos affaires.
• Peux-tu, me donner tout l’argent gagné pendant ces trois jours !
Elle sort ses enveloppes, y compris les vingt-cinq mille roubles donnés par Vladimir au restaurant.
Pas la peine de recompter la valise qui contient les dix mille euros.
Elle veut compter les enveloppes gagnées par chacune.
• Non, calcul le total et fait cinquante, cinquante !
Nous avons gagné cet argent toute les deux. En appelant Igor pour monnayer mon pucelage dix mille euros. Je l’aurais certainement perdu un jour gratuitement comme j’ai perdu ma virginité avec ma petite bite, ce qui m’a rapporté d’être cocu.
• Je te remercie, mais mon compte en banque n’a pas besoin de grossir. J’ai de quoi vivre deux vies !
Elle met tout dans la mallette, calcul le total, remplit la fiche qu’elle a sortie de l’enveloppe donnée par le coursier casqué au départ. Elle note la somme pour chacune et la referme.
Nous prenons, le chemin d’une adresse fournit au départ dans l’enveloppe.
• Je vais remettre cette mallette à un ou une responsable de l’organisation qui va se charger de nous faire rapatrier cet argent sur le compte que je t’ai fait ouvrir au moment où je t’ai proposé de devenir une escorte girl. Cet argent sera viré petit à petit, venant de nombreux correspondants à travers le monde.
L’argent venant d’un pays comme la Russie sent mauvais pour les services du ministère des Finances. Ils surveillent tous les mouvements financiers importants entre les deux pays. Ce contrôle s’appelle « TRACFIN », il est chargé d’empêcher l’argent venant de divers trafics dans ce pays d’être blanchi.
Nous prenons un taxi, Valérie donne l’adresse et nous déposons notre mallette.
Nous reprenons la route de l’aéroport et nous embarquons sans aucun problème.
Arrivées à nos places, Virginie et Christine retrouvent leur identité.
Virginie tient encore une fois à me remercier pour tous ce que j’ai accepté.
• Tu vois lorsque j’ai fait les deux jeux avec les hommes, je savais jusqu’où je pouvais aller avec Igor. Dans le futur, si tu te trouves dans une même situation, tu dois bien démarrer ces jeux avec avant préalablement contrôler que le client a le répondant en liquide.
Si j’ai accepté qu’Igor nous paye après, c’est que j’ai déjà joué avec lui lors de mes derniers passages, je sais qu’il adore ces initiatives et qu’à la fin, il téléphone et les enveloppes arrivent.
Dans ma valise, tu as pu constater que j’ai tout le matériel me servant dans ces jeux.
Je te monterai tout.
• Je serai, une bonne élève mon cœur.
• Lorsque tu joues avec les clients, jamais tu ne dois tricher, car s’il le remarque et qu’il téléphone à l’organisation, tu seras renvoyé.
• Je ferais très attention, tu seras fier de moi.
• J’ai connu deux filles qui se sont fait virer. Le respect du client est une des valeurs fondamentales de l’organisation.
En mission, tu dois toujours avoir la tête sur les épaules, tu dois tout maîtriser, si tu sens que tes sentiments risquent de te submerger, tu dois penser que ce sont des queues, que des queues auxquelles tu dois soutirer le maximum de devises.
Cela vient très vite avec le temps, tu pratiqueras l’ensemble des jeux de l’amour en évitant de mêler tes sentiments à ce que fait ton sexe et celui du client. Une bite, rien qu’une bite aussi bonne que celle de ton amant de cœur si tu en as un ou pour certaines d’entre nous celle de leur mari car elle se prostitue sans leur dire.
J’ai vu pendant ces trois jours que tes sentiments pour Igor t'ont submergés. J’ai laissé faire, car c’était ta première grande mission. Je sais qu’Igor est un grand séducteur. Je sais pour y être passée, la première fois que je suis venue et que je l’ai rencontré, que s’il m’avait dit de rester, je l’aurais fait.
La deuxième et troisième fois que je l’ai revu, j’ai eu l’impression qu’il m’aimait. Et la fois suivante alors que j’étais accompagné par une bombe sexuelle, c’était elle qu’il regardait. Il a toujours été prévenant avec moi.
Nous baisons encore comme de bons amis qui aiment le sexe.
• Virginie, je te remercie pour tous ses bons conseils.
Il est vrai que je mouille pour lui, mais ce que tu m’expliques me ramène les pieds sur terre même si dans quelques instants on va s’envoyer en l’air dans cet avion.
Fatiguée, je m’endors ayant besoin de récupérer de ces trois journées exaltantes.
De retour à Paris, nous récupérons la voiture et reprenons la route pour Chennevières. Nous entrons et constatons la présence de quelqu’un. Nous posons nos affaires dans nos chambres, nous nous mettons nues. Je constate que la porte donnant sur le jardin est ouverte. Nous la franchissons et un magnifique tableau se présente à nous, Aline est allongée nue dans un transat.
Elle dort. Nous l’approchons, Virginie se penche doucement pour éviter de lui faire peur. Elle lui susurre.
• On est là !
Malgré nos précautions, elle sursaute. Elle veut prendre une serviette pour se couvrir. Hélas, elle est trop loin. Elle met une main sur son sexe et son bras devant ses petits seins aussi mignons que ceux de sa jumelle ma petite Anne.
• Je vous attendais, j’ai tout préparé et j’ai voulu me faire bronzer. Je me suis mise nue et je suis tellement bien que j’aie dormi.
• Rien fait de grave, tu es si belle.
• Excusez-moi madame, c’est la dernière fois.
Virginie éclate de rire, elle lui caresse tendrement la joue.
• Tu peux recommencer chaque fois que tu le voudras, lorsque ton travail est terminé, tu pourras profiter de tous les avantages de la maison. Tu as constaté que nous adorons être nues dès que nous entrons ici. Si toi aussi tu aimes enlever tes vêtements même lorsque tu travailles, nous ne voyons aucun inconvénient à ce que tu le fasses.
Mon téléphone sonne, c’est Véronique qui m’appelle.
• Vous êtes rentré.
• Oui, il y a quelques minutes.
• Ta laisse t’attend !
Elle raccroche.
• Virginie, je vais rejoindre Véronique et j’en profiterais pour savoir si elle accepte la proposition que nous voulons lui faire.
En lui proposant de m’absenter, j’ai l’impression que mon départ lui plait, lorsque je vois la façon dont négligemment, elle caresse le front de la petite allongée.
J’embrasse Valérie et fais un petit signe à Aline.
Je vais dans ma chambre me douche, me pomponne, mets mon collier. Je m’habille, prends le cadeau acheté à Moscou et je prends ma voiture pour rejoindre Paris.
Ce dimanche soir, peu de voiture sur la route, j’arrive rapidement devant l’appartement où mon amie m’attend. J’ai du mal à me garer, je trouve enfin. Je remonte l’avenue et passe devant une boutique ouverte même un dimanche.
C’est un sex-shop. La porte ne laisse rien voir de ce qui se passe à l’intérieur. Je pousse la porte et entre.
J’ai un jour avec Pierre vu à la télé un reportage sur ces boutiques.
• Regarde ces lieux de perdition m’avaient dit Pierre.
Lieu de débauche et, pourtant j’entre. À l’intérieur je retrouve ce que j’avais vu, des rayonnages couverts de cassettes pornos.
• Bonjour madame que cherchez-vous ?
• Deux choses une cassette avec l’acteur « Tof » l’homme à une couille et l’emplacement des sex-toys ?
Il prend une cassette.
• Prenez celle-là c’est son meilleur.
Il me conduit devant un rayon où des dizaines de sexes Toys sont présentés. Il me fait l’article sur les particularités de chacun d’une façon bien directe.
• Ceux-là servent pour votre chatte. Ceux-là, pour votre cul. Il y en a même qui peuvent servir entre deux femmes.
• J’en veux un.
J’en choisis deux autres, paye et repars avec un des godes mis dans un paquet que je fais faire cadeau à ma maîtresse.
Je pense que cette boutique aura prochainement ma visite certainement avec Véronique. Je vais être cliente de ce lieu que j’ai juste commencé à explorer.
Virginie m’a ouvert le monde du sexe et je suis bien décidé à l’explorer de la lettre A comme amour mais aussi amour en passant par L comme libido ou lesbienne sans oublier le P comme pénétrer ou pornographie et Z comme Zoé la jeune femme que je rencontrerais certainement un jour.
J’arrive et monte à son étage. Je sonne. La porte s’ouvre, je vois une main tenant une laisse sortir et chercher mon cou. Elle trouve l’anneau et accroche le mousqueton.
Entre !
Dans la salle à manger la table est mise avec un repas aux chandelles.
Tenant délicatement la laisse, elle me déshabille et me donne l’ordre de m’installer.
Elle a le collier que je lui ai offert, mais sans sa laisse.
• À partir de ce jour, suivant nos envies, nous porterons la laisse de l’une ou de l’autre. Elle sera à son service mais surtout sans aucune contrainte imposée !
Nous prenons un cocktail de fruit en apéritif.
• Votre voyage s’est passé comment ?
J’ai du mal à lui mentir. Je lui sers une belle histoire de réunion dans notre congrès. De travail dans des commissions et de visite au Musée Pouchkine de Moscou en point d’orgue.
Je peux ainsi lui expliquer la visite des salles d’art contemporain avec les magnifiques tableaux de Picasso et autres peintres contemporains. Pour cette partie, je sais que je dis la vérité.
Je sors les cadeaux que je lui ai amenés.
Celui de Russie, une « boîte laquée collection Kholouï » cette boîte, lui servira à mettre ma laisse lorsque je m’absente.
Elle est aux anges, ma boîte pour ma laisse lui va droit au cœur.
Elle ouvre le deuxième cadeau et découvre le gode pouvant servir à deux femmes pour se donner du plaisir.
• Viens.
Elle me le dit en me tirant légèrement par la laisse, nous allons l’essayer.
Nous-nous jetons ensemble sur le lit. Elle saisit le godemiché et introduit un des côtés dans ma vulve. Il pénètre sans problème, car depuis que je suis arrivée, je suis toute mouillée de l’avoir retrouvé.
Elle saisit la partie opposée et l’entre au fond de sa grotte. Nous bougeons nos basins en rythme, ce qui nous permet d’arriver à un plaisir plein d’amour sincère. Nos mains se retrouvent sur nos seins et nos bouches se dévorent.
Nous repartons faire honneur au repas que mon cœur nous à préparer avec un soin plein de délicate.
Après le dessert, je lui dis que Virginie et moi avons discuté de son avenir professionnel. Pierre lui a fait perdre son travail et donc ses revenues et nous nous sommes interrogés sur ce qu’elle souhaite faire.
• Je peux tenir encore quelques semaines avec les économies que j’ai faite dans les derniers mois. J’ai commencé à prendre contact avec d’anciennes collègues afin d’être prévenu si une place se libère dans une compagnie.
• Virginie et moi allons nous associer afin de développer l’institue. Dans cette optique, elle vient d’acheter l’étage au-dessus de la boutique pour installer des activités nouvelles. Je vais investir dans les travaux et ainsi prendre une part des actifs qu’elle possède.
Elle est très souvent obligée de s’absenter et sera amenée à m’emmener. Nous te proposons de t’embaucher. Odile sera chargée de te montrer la totalité des soins à apporter à ces dames.
Un moment interloqué, dans un souffle.
• J’accepte. Je suis heureuse d’être utile à l’ensemble du groupe que vous formez.
Il fait encore jour quand nous finissons de souper. Je propose à Véronique d’appelée Odile pour lui demander des nouvelles d’Anne. Elle accepte immédiatement.
Je décroche et mets le haut-parleur.
• Où es-tu ?
• Chez Véronique !
• Je pense que vous êtes nues.
Habillez-vous et venez nous rejoindre, tu nous raconteras ton voyage !
• Véronique, tu es partante.
• Plus que cela enthousiaste !
Habillée, je l’emmène vers ma mini. Lorsque nous passons devant la boutique à godes, je lui signale que c’est là que j’ai acheté celui que je lui ai offert tous à l’heure.
Nous viendrons voir un de ces jours ce qu’il y a d’intéressant dans ce lieu de perdition. J’ai juste eu le temps tout à l’heure de tout survoler impatiente de la retrouver.
Nous prenons le chemin de Montrouge.
Arrivé chez Alain et Odile, je retrouve ma poupée qui me saute au cou.
À l’oreille, elle me dit.
• J’ai beaucoup de choses à te dire.
• Oui, bébé moi aussi mais tu peux attend que nous soyons seules toutes les deux. Je t’expliquerai pourquoi plus tard.
Pendant que Véronique, discute avec Odile, j’arrive à parler discrètement avec Alain.
• As-tu pu avec Odile faire à Anne, ce que vous m’avez fait avec le bandeau ?
• Oui, ça a très bien marché.
• Tu es en forme ce soir.
• Partant pour faire l’expérience avec Véronique ?
• Plutôt deux fois qu’une, elle est tellement bandante avec sa crinière rouge. J’espère que sa toison est identique.
• Je l’ai encore vue de très près, il y a deux heures, tu seras conquise.
• Banco me dit-il, s’est parti.
Nous rejoignons le séjour. Personne n’a vu notre manège. Je sors de mon sac la laisse que j’ai pris soin d’emportée. Je m’approche de Véronique et attache, le mousqueton à l’anneau dore de son collier.
• Véronique, acceptes-tu de devenir notre esclave ?
Légèrement étonné, elle me regard et me dit, oui maîtresse, je suis à vous.
• Odile, prépare-la?
• Véronique acceptes-tu qu’Alain te prenne en levrette dans la chambre ?
• Oui, je l’attends en moi.
• Anne prépare Alain pour qu’il soit en état de la prendre.
Je conduis mon amie doucement par la laisse. Odile enlève lui ses vêtements et fait là mettre en position demandée.
• Odile prépare lui la chatte.
Elle commence à lécher le sexe de notre esclave qui commence à se tortiller.
Pendant ce temps, Anne a sorti le sexe de notre ami pour le sucer. Je constate que sa technique a fortement évolué en quatre jours. Il bande.
• Bien jouée bébé avec ta bouche, tu es aussi douée que moi. J’ai bien fait de te confier à mes amis pendant mon absence.
• Odile, tu t’enlèves, Alain enfile là.
Aussitôt dit aussitôt fait, il lui prend les hanches et s’enfonce en elle.
• Oh!
Il y a bien longtemps qu’un bel homme m’a défoncé depuis que j'ai viré mon ex.
Eh! Odile, merci, de me prêter ton mari, tu as de la chance, il doit bien s’occuper de toi.
• Anne va donner ta chatte à notre amie pour qu’elle te nettoie la minette.
Ma petite est rasée de près, Odile a dû s’occuper d’elle. Véronique répond au grand coup de verge que lui donne Alain par des mouvements du bassin.
Après cinq minutes, je demande au sexe de la quitter, elle se plaint, car elle allait prendre son pied.
Je tire légèrement sur la laisse pour lui rappeler qu’une esclave a l’interdiction de se plaindre.
• C’est vrai, maîtresse, excuse-moi ?
• C’est bien, Anne voilà une corde en soie, attache-lui une main au montant du lit.
Elle s’exécute.
• Odile met lui un bandeau afin que sa vision soit obturée.
Elle pose le foulard noir.
Véronique est persuadée que parce que je mène les opérations, elle peut avoir confiance.
• Odile et Anne, descendez dans la rue, trouvez un homme susceptible de prendre notre amie.
Véronique, tu es d’accord.
• Je veux bien, mais, essayez de trouver un homme bien de sa personne.
Je tire sur la laisse.
• Tu viens de me dire que tu serais docile. Odile et Anne, remonté le premier homme que vous croiserez. Même si les gros et laid pour nous le principal, c’est qu’il est une queue qui fonctionne.
Notre femelle recevra dans son sexe cette bite qui la fera jouir j’en suis certaine.
La porte du palier claque.
• Véronique, ça y est, elles sont en chemin !
Alain en attendant prend là, cela la fera patienter.
Il retourne en elle et la lime pendant un bon moment.
Le bruit de la porte d’entrée se fait entendre.
• Très bien, les filles, je vois que vous avez trouvé un bel étalon et que vous l’avez fait bander en montant dans l’ascenseur afin qu’il pourfende notre esclave.
• Elle est belle, Monsieur, mes copines vous ont bien vendu notre salope qui attend que votre pieu entre dans sa chatte.
Alain s’est retiré, il bouge comme si quelqu’un arrivait sur le lit.
• Allez-y, mettez-lui tous !
Alain lui reprend les hanches et comme avec moi entre et sors sur un rythme différent de celui qu’il lui infligeait quelques minutes avant.
• Alors Véro, tu apprécies cette bite toute neuve en toi.
• Au oui, mon cœur, jamais ma chatte en a senti une aussi vigoureuse.
Elle jouit plusieurs fois.
• Véronique, acceptes-tu que ce monsieur t’encule ?
• Oh! J’ai un doute, seul ton ex me la mise là, tu te souviens de la petite bite qu’il avait, je la sentais à peine. Mais j’ai promis d’être votre esclave. Il peut me prendre par ma rosette.
Alain à un moment d’hésitation, il était loin d’imaginer que j’imposerais une sodomie à notre ami. Content de l’aubaine, il regarde Odile qui l’encourage sort de sa chatte et présente son dard à l’œillet de ma jolie esclave.
• Chérie est ce qu’Alain peut venir dans ma bouche pour que je le suce, il m’a tellement fait de bien que j’aie envie de le récompenser.
Un moment déboussolé. Odile vient à notre secours.
• Il est sorti, je l’ai vu aller satisfaire un besoin naturel.
• Dommage, qu’il compte sur moi plus tard.
Délicatement Alain fait pénétrer, son vit dans l’anus de Véronique.
• Oh! Monsieur, que vous êtes gros, mais continué j’aime ça.
Alain est au fond du cul de la grande. Il lui donne des grands coups avec sa verge.
Anne présente sa chatte à la bouche de Véro qui se met à la lécher.
Odile se couche sous son ventre et peut ainsi être bien placée pour admirer l’étreinte.
Elle lui lèche la chatte, ce qui augmente le plaisir de notre esclave de jeu érotique.
Malgré sa bouche sur le sexe de mon petit bouchon, de petits cris de plaisir sortent.
Je sens qu’Alain va partir.
• Anne laisse ta place.
• Monsieur, remplissez-lui, la bouche de votre sperme. Je la connais, c’est une grande cochonne qui va finir de vous nettoyer la bite.
Alain se déplace et présente son dard devant la bouche de notre bacchanal. Il luit envoi de longs jets dont elle avale tout ne perdant aucune goutte.
• Véronique ne bouge surtout pas. Odile raccompagne ce monsieur que nous remercions de sa participation.
La porte claque, il est parti.
Alain enlève le bandeau de Véronique. Comme moi, elle met quelques minutes à rétablir sa vue.
• Dommage que vous l’ayez laissé partir, j’aurais bien voulu le remercier.
Elle remarque que nous sommes tous hilare.
• Véronique bien venue au club d’Alain et Odile !
Anne pleine de compassion pour la grande lui prend la figure entre les mains et la regarde avec amour.
• Tu sais, chacune de nous a reçu la verge de l’inconnu que nous avons été chercher dans la rue et comme nous aujourd’hui elle a subi le seul homme présent dans cette pièce Alain, notre étalon.
Je l’embrasse avec plein d’amour.
Véronique nous embrasse les uns après les autres.
• Ce qui est dommage, c’est que l’inconnu peut nous baiser qu’une seule fois dans notre vie !
Bravo à tous, votre scénario est bien ficelé, j’ai marché tout le long. Je m’en souviendrai toute ma vie.
Je détache la laisse de Véronique du mousqueton. Je sors ma laisse et la donne à Véronique.
• Mets-moi mon lien d’amour et après je vous donne ordre de faire de moi tout ce que vous voulez, je suis à vous, je suis votre chienne !
Elle m’attache comme j’aime. Pendant un grand moment, je suis baisée, enfilée par notre mâle, je lui demande de m’enculer pendant que sa femme me broute la chatte.
Qu’Anne me met sa foune sur les lèvres pour que je la boive !
Véronique me tète un sein, car c’est le seul endroit où il y a de la place.
Épuisés nous tombons tous après ce feu d’artifice qui s’est déclenché en moi. Au matin, je me réveille. Je suis la première à émerger. La lumière est restée allumée. Je vais dans la cuisine préparer le petit déjeuner.
Heureusement, nous sommes lundi, nous avons la journée pour nous remettre avant de retourner travailler.
Odile me rejoint, rapidement l’odeur du café, du thé et du chocolat emplit la pièce.
Ils se réveillent et nous sommes tous les cinq réunis, où six si l’on compte l’homme invisible de Véronique !
Nous sommes nus autour de la table. Nous prenons ce petit déjeuner réparateur. J’en profite pour annoncer à Anne et Odile toutes les décisions mises au point avec Virginie, notre grande absente.
Les filles sautent au cou de Véro pour lui témoigner le plaisir qu’elles vont avoir à travailler ensemble.
Alain, quant à, lui veut être de la partie, il me propose de participer aux travaux d’aménagement.
Je l’en remercie, l’avenir me semble d’un bleu azur.
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