Femme BCBG, escorte, non, pute…. (24)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-08-2015 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Femme BCBG, escorte, non, pute…. (24)
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --
Il est quatre heures trente, mon téléphone m’appelle. C’est vrai, j’ai mis mon réveil en marche, nous avons un avion à prendre.
Dur la vie d’escorte.
Celui de Véronique sonne aussi. Il valait mieux en prévoir deux.
Véronique à plus de mal que moi a émerger.
Je pense que des baisers vont la stimuler.
Nenni, rien ne bouge, des grognements rien de plus.
Dois-je aller chercher une bassine d’eau ?
Non, j’ai une idée.
Nous couchons nues sans aucun drap, la fourrure rouge de son sexe m’appelle.
J’approche ma bouche et commence à y mettre la langue, la coquine écarte les cuisses pour que ma langue la pénètre.
Deux coups de langue, mieux même, je gobe son clitoris et le saisi entre mes dents.
Je ferme mes mâchoires. À cette morsure, sa petite bite, très développée chez elle lui entraîne un départ de plaisir, je relâche, je resserre, je relâche et resserre une dernière fois. T’as assez pris de plaisir ma garce, avec tes turpitudes, on va finir par rater l’avion.
Aussitôt dit, Véronique me, double et va prendre sa douche.
Je vais à la cuisine et prépare le café.
Elle a fini et commence à s’habiller. Je prends le relais sous la douche.
Bref, il est six heures moins le quart quand mon phone sonne.
C’est le chauffeur de taxi qui me prévient qu’il sera là dans moins de cinq minutes.
Nous sommes prêtes et nous descendons.
Nous avons mis nos colliers. Vert pour elle rouge pour moi.
Le taxi nous dépose avec un quart d’heure d’avance à la porte des départs.
Séverine et Magali viennent d’entrer dans l’aérogare en mode escortes.
Nous remontons le hall sous le regard appuyé des hommes surtout seuls.
Nos talons aiguilles martèlent le sol en cadence.
Un homme casqué, je récupère l’enveloppe.
Nous nous asseyons près du comptoir pour Malaga.
Je récupère les billets.
Il nous reste du temps avant l’embarquement. Allons boire un café.
Nous sommes installées devant notre tasse, quand un pilote entre avec sa valise à roulette.
En même temps que, nous le voyons, il nous aperçoit.
Difficiles pour Pierre, notre exe de faire comme si nous étions transparentes.
• Bonjours les filles, comment, allez-vous ?
• Bien. Tu pars pour où.
• Vol vers Berlin.
• Dommage, ça aurait été drôle que tu sois notre pilote.
• Où allez-vous ?
• Nous partons en Andalousie.
• En vacances ?
• Non, pour notre travail.
• Que faites-vous ?
J’ouvre mon sac, sort une carte de l’organisation que m’a donnée Virginie.
Il la regarde, j’enfonce le clou.
• C’est l’adresse E-mail d’un site ou tu peux si tu le désir nous invité pour une nuit, une semaine ou plus.
Tu y trouveras les tarifs pour notre participation. Je te préviens ces tarifs ne prennent pas en compte les heures supplémentaires que nous serions amené à faire.
Si tu es intéressé, tu demandes Séverine pour Véronique, Magali pour moi. Ou les deux si tu le désir.
• Si je comprends bien, vous êtes devenues des putes.
• Pierre, on t’aime bien, mais réfléchie un peu quand nous étions mariés où Véro était ta légitime, que tu nous baisais mal pour moi avec ta petite bite.
Là, je suis méchante.
• Que tu nous empêchais de travailler pour que tu nous aies sous la main lorsque monsieur daignait nous honorer, J’ai l’impression d’avoir été ta pute à domicile avec juste le gîte et couvert.
Maintenant, nous nous nous assumons, mais avec des paquets de billets qui nous permettent d’avoir une vie exceptionnelle.
De plus, j’ai appris à sucer, me faire baiser par un deux, voire trois hommes, avec des femmes.
Je reçois des bites dans ma chatte, ma bouche et sommet de mon plaisir, j’adore me faire enculer.
Ça me change des petits coups rapides que tu daignais me donner lors de tes passages à la maison. Pour clore le tout, tu m’as trompé avec une hôtesse de l’air pour me jeter comme une malpropre.
Si un jour j’ai levé ta salope baisée dans mon dos qui ignorait que tu étais marié. Lorsque au tribunal, je l’ai vu à tes côtés, j’ai immédiatement ressenti la bête de sexe qu’elle était.
Je ne me suis pas trompé, tu as vu lorsque nous avons ouvert la porte de l’appartement que nos jeux sont loin des petits coups à la pépère que tu nous consentais.
Il faut que l’on embarque, pour nos nouvelles aventures. Bye.
Tu as notre carte, si un jour tu as envie de t’envoyer en l’air avec deux belles garces, appelle, je te rappelle Séverine et Magali.
Nous le plantons là, dans une glace placée face à nous, nous le voyons nous regarder partir bouche bée.
À peine dans l’avion Séverine me dit qu’elle a énormément apprécié la charge que j’ai menée contre Pierre.
Je suis cent pour cent d’accord avec toi quand tu déclares que nous sommes deux belles salope……
Les hôtesses nous installent et Véronique reconnaît une ancienne collègue.
Elle se fond la bise et elle commence les consignes de sécurité obligatoire avant chaque départ.
• Mesdames et monsieur, c’est votre pilote qui vous parle, nous allons décoller, attacher vos ceintures.
Nous décollons, deux minutes et nous entendons le pilote redonner des consignes.
• Mesdames et messieurs restés attachés, nous allons traverser une zone de turbulences.
• Séverine, Véronique, non Séverine, que va-t-il nous arriver.
La peur me fait perdre le prénom de ma copine surtout devant son ancienne collègue.
• Tu as peur.
• Oui, je sens que j’ai le mal de l’air.
• Zoé, tu as des bananes.
C’est sa copine qui passe près de nous.
• Elle a le mal de l’air.
• Oui.
• Tu sais que nous en prévoyant toujours pour les cas comme ceux de ta copine.
Je reviens.
C’est la banane dans la main que Zoé l’apporte.
• Il faut que je la mange.
• Non, mets là dans ta chatte, tu verras tout vas disparaître.
Je regarde que personne me remarque et je me place la banane bien à fond dans la vulve.
• Mesdames et messieurs la zone de turbulences est terminée, vous pouvez détacher vos ceintures.
• Je peux enlever la banane.
• Surtout pas, garde là jusqu’à Malaga.
Le vol se déroule sans encombre.
La descente vers Malaga est impressionnante, le pilote nous prévient que nous allons survoler les montagnes de la sierra Nevada avant de descendre par paliers à l’aéroport de Malaga Costa del sol et que nous nous poserons vers dix heures.
Attention cela risque de secouer.
Séverine est déjà venue à Malaga en escale.
Elle connaît l’effet produit par les vents au-dessus de cette chaîne de montagnes et ne les craints pas.
Je me blottis dans ses bras, je suis loin d’être rassurée malgré la banane qui a tendance à m’exciter chaque fois que je bouge.
Malgré quelques secousses nous nous posons sans encombre.
Comme le veut la tradition tout le monde applaudi.
Au moment de quitter l’avion, Zoé nous prévient que le commandant de bord a reçu un message de la tour de contrôle lui signalant qu’une personne nous attend au pied de la passerelle.
• Véronique.
• Oui.
• Et la banane ?
• Zoé, crois-tu quelle dois-la retirer ?
• Oui, je pense, elle doit être cuite à point.
• Bien joué, les filles, vous m’avez bien eux.
Zoé, tu remercieras le commandant de bord qui semblait être de la farce contre moi.
• C’est une bague que l’on fait aux jeunes hôtesses qui embarquent pour leur premier vol, avant de décoller nous avons vu notre collègue et dès que Véro a enclenché la blague, nous avons tous suivi.
Je sors la banane, la pèle et la mange.
• Vous avez raison, c’est une merveille, elle a énormément de goût.
Je vous embrasse tous.
Nous descendons et un pilote s’avance vers nous.
• Vous êtes bien Magali et Séverine.
Et oui c’est nous, en chair et en os.
• Pouvez-vous me suivre s’il vous plait ?
Avec sa casquette sous le bras, cet Andalou a fort belle allure.
Nous le suivons avec envie.
Nous contournons l’avion et face à nous un hélicoptère est posé.
Des bagagistes chargent nos valises.
• Avez-vous déjà volé en hélicoptère ?
Je regarde Séverine qui me fait non de la tête.
• Non, ni l’une ni l’autre, j’espère que vous avez des bananes.
Il nous regarde interrogatif et nous aide à monter.
Je monte sur le siège à côté du pilote.
Ma jupe remonte et une fois de plus le personnel a le temps d’admirer mon intimité.
Le pilote aide Séverine, re belote, une paire de fesses leur apparaît dans toute sa splendeur.
• Quel est votre prénom, vous connaissez les nôtres et vous nous avez pas dit le vôtre.
• Eduardo pour vous servire.
Nous sommes tous les trois à l’avant de l’appareil. La bulle de Plexiglas se termine presque sous nos pieds, nous allons avoir une vision très dégagée du paysage.
Je suis tout excitée. Je dois mouiller.
Je me tourne vers Séverine et oubliant qu’Eduardo parle français,
• Je mouille et toi.
Elle me regarde et tout de go me dit, moi aussi. Je vais prendre mon pied.
Eduardo me demande.
• Prendre mon pied. Qu’est-ce que veut dire cette phrase ?
Dans mon français, aucun prof ne m’a appris « à prendre mon pied ».
Comment expliquer à un homme la signification de cette phrase. Bien embarrassé.
Que dire ?
Je cherche et aux lumières pour nous Française « prendre mon pied » veut dire que nous aimons, nous envoyer en l’air.
Envoyer en l’air nous, dit-il, vous allez, être servi.
Ouf, je m’en sors bien.
Il tourne des boutons et les palles se mettent à tourner. Puis de plus en plus vite.
Il parle dans le micro placé devant sa bouche à la tour de contrôle.
En anglais, j’ai un bon niveau d’anglais, je suis même bilingue.
• Hélicoptère pour tour de contrôle, « demandons autorisation de décoller, ces dames veulent prendre leurs pieds, elles veulent s’envoyer en l’air ». All right.
A-t-il compris le sens de la phrase envoyer à la tour de contrôle où nous prend-il pour des nunuches ?
J’espère bien me venger dès que je le peux.
Il tire sur le manche, nous décollons.
L’hélico se soulève de l’arrière et commence à avancer.
Dans un même temps, il prend de l’altitude. Nous sommes au-dessus de l’aéroport.
Il entame un large virage à droite, l’hélico se penche. Je suis projeté sur Séverine malgré la ceinture de sécurité. Impressionnant quand sous vos pieds, vous voyez le vide.
Eduardo stabilise l’appareil.
Enclenche un bouton placé sur le manche placé devant lui.
Il le lâche.
Voyant notre anxiété, il rigole et nous dit qu’il a enclenché le pilote automatique.
• Alors mesdames, vous prenez votre pied, vous vous envoyez en l’air et est-ce que vous mouiller avec vos petits minous à l’air.
Je suis outré, non seulement il nous a pris pour des pucelles mais en plus, il a vu nos chattes lorsque nous sommes monté dans son engin.
Engin……
Lorsqu’il nous demande si nous mouillons, il prend sa main gauche et la glisse sous ma jupe avant que je réagisse.
Ses doigts sont sur ma vulve, il introduit deux doigts dedans.
• Oui, tu mouilles.
C’est comme cela qu’avec Séverine, j’ai fait mon baptême de l’air en attendant de survoler les orangés…
Il est quatre heures trente, mon téléphone m’appelle. C’est vrai, j’ai mis mon réveil en marche, nous avons un avion à prendre.
Dur la vie d’escorte.
Celui de Véronique sonne aussi. Il valait mieux en prévoir deux.
Véronique à plus de mal que moi a émerger.
Je pense que des baisers vont la stimuler.
Nenni, rien ne bouge, des grognements rien de plus.
Dois-je aller chercher une bassine d’eau ?
Non, j’ai une idée.
Nous couchons nues sans aucun drap, la fourrure rouge de son sexe m’appelle.
J’approche ma bouche et commence à y mettre la langue, la coquine écarte les cuisses pour que ma langue la pénètre.
Deux coups de langue, mieux même, je gobe son clitoris et le saisi entre mes dents.
Je ferme mes mâchoires. À cette morsure, sa petite bite, très développée chez elle lui entraîne un départ de plaisir, je relâche, je resserre, je relâche et resserre une dernière fois. T’as assez pris de plaisir ma garce, avec tes turpitudes, on va finir par rater l’avion.
Aussitôt dit, Véronique me, double et va prendre sa douche.
Je vais à la cuisine et prépare le café.
Elle a fini et commence à s’habiller. Je prends le relais sous la douche.
Bref, il est six heures moins le quart quand mon phone sonne.
C’est le chauffeur de taxi qui me prévient qu’il sera là dans moins de cinq minutes.
Nous sommes prêtes et nous descendons.
Nous avons mis nos colliers. Vert pour elle rouge pour moi.
Le taxi nous dépose avec un quart d’heure d’avance à la porte des départs.
Séverine et Magali viennent d’entrer dans l’aérogare en mode escortes.
Nous remontons le hall sous le regard appuyé des hommes surtout seuls.
Nos talons aiguilles martèlent le sol en cadence.
Un homme casqué, je récupère l’enveloppe.
Nous nous asseyons près du comptoir pour Malaga.
Je récupère les billets.
Il nous reste du temps avant l’embarquement. Allons boire un café.
Nous sommes installées devant notre tasse, quand un pilote entre avec sa valise à roulette.
En même temps que, nous le voyons, il nous aperçoit.
Difficiles pour Pierre, notre exe de faire comme si nous étions transparentes.
• Bonjours les filles, comment, allez-vous ?
• Bien. Tu pars pour où.
• Vol vers Berlin.
• Dommage, ça aurait été drôle que tu sois notre pilote.
• Où allez-vous ?
• Nous partons en Andalousie.
• En vacances ?
• Non, pour notre travail.
• Que faites-vous ?
J’ouvre mon sac, sort une carte de l’organisation que m’a donnée Virginie.
Il la regarde, j’enfonce le clou.
• C’est l’adresse E-mail d’un site ou tu peux si tu le désir nous invité pour une nuit, une semaine ou plus.
Tu y trouveras les tarifs pour notre participation. Je te préviens ces tarifs ne prennent pas en compte les heures supplémentaires que nous serions amené à faire.
Si tu es intéressé, tu demandes Séverine pour Véronique, Magali pour moi. Ou les deux si tu le désir.
• Si je comprends bien, vous êtes devenues des putes.
• Pierre, on t’aime bien, mais réfléchie un peu quand nous étions mariés où Véro était ta légitime, que tu nous baisais mal pour moi avec ta petite bite.
Là, je suis méchante.
• Que tu nous empêchais de travailler pour que tu nous aies sous la main lorsque monsieur daignait nous honorer, J’ai l’impression d’avoir été ta pute à domicile avec juste le gîte et couvert.
Maintenant, nous nous nous assumons, mais avec des paquets de billets qui nous permettent d’avoir une vie exceptionnelle.
De plus, j’ai appris à sucer, me faire baiser par un deux, voire trois hommes, avec des femmes.
Je reçois des bites dans ma chatte, ma bouche et sommet de mon plaisir, j’adore me faire enculer.
Ça me change des petits coups rapides que tu daignais me donner lors de tes passages à la maison. Pour clore le tout, tu m’as trompé avec une hôtesse de l’air pour me jeter comme une malpropre.
Si un jour j’ai levé ta salope baisée dans mon dos qui ignorait que tu étais marié. Lorsque au tribunal, je l’ai vu à tes côtés, j’ai immédiatement ressenti la bête de sexe qu’elle était.
Je ne me suis pas trompé, tu as vu lorsque nous avons ouvert la porte de l’appartement que nos jeux sont loin des petits coups à la pépère que tu nous consentais.
Il faut que l’on embarque, pour nos nouvelles aventures. Bye.
Tu as notre carte, si un jour tu as envie de t’envoyer en l’air avec deux belles garces, appelle, je te rappelle Séverine et Magali.
Nous le plantons là, dans une glace placée face à nous, nous le voyons nous regarder partir bouche bée.
À peine dans l’avion Séverine me dit qu’elle a énormément apprécié la charge que j’ai menée contre Pierre.
Je suis cent pour cent d’accord avec toi quand tu déclares que nous sommes deux belles salope……
Les hôtesses nous installent et Véronique reconnaît une ancienne collègue.
Elle se fond la bise et elle commence les consignes de sécurité obligatoire avant chaque départ.
• Mesdames et monsieur, c’est votre pilote qui vous parle, nous allons décoller, attacher vos ceintures.
Nous décollons, deux minutes et nous entendons le pilote redonner des consignes.
• Mesdames et messieurs restés attachés, nous allons traverser une zone de turbulences.
• Séverine, Véronique, non Séverine, que va-t-il nous arriver.
La peur me fait perdre le prénom de ma copine surtout devant son ancienne collègue.
• Tu as peur.
• Oui, je sens que j’ai le mal de l’air.
• Zoé, tu as des bananes.
C’est sa copine qui passe près de nous.
• Elle a le mal de l’air.
• Oui.
• Tu sais que nous en prévoyant toujours pour les cas comme ceux de ta copine.
Je reviens.
C’est la banane dans la main que Zoé l’apporte.
• Il faut que je la mange.
• Non, mets là dans ta chatte, tu verras tout vas disparaître.
Je regarde que personne me remarque et je me place la banane bien à fond dans la vulve.
• Mesdames et messieurs la zone de turbulences est terminée, vous pouvez détacher vos ceintures.
• Je peux enlever la banane.
• Surtout pas, garde là jusqu’à Malaga.
Le vol se déroule sans encombre.
La descente vers Malaga est impressionnante, le pilote nous prévient que nous allons survoler les montagnes de la sierra Nevada avant de descendre par paliers à l’aéroport de Malaga Costa del sol et que nous nous poserons vers dix heures.
Attention cela risque de secouer.
Séverine est déjà venue à Malaga en escale.
Elle connaît l’effet produit par les vents au-dessus de cette chaîne de montagnes et ne les craints pas.
Je me blottis dans ses bras, je suis loin d’être rassurée malgré la banane qui a tendance à m’exciter chaque fois que je bouge.
Malgré quelques secousses nous nous posons sans encombre.
Comme le veut la tradition tout le monde applaudi.
Au moment de quitter l’avion, Zoé nous prévient que le commandant de bord a reçu un message de la tour de contrôle lui signalant qu’une personne nous attend au pied de la passerelle.
• Véronique.
• Oui.
• Et la banane ?
• Zoé, crois-tu quelle dois-la retirer ?
• Oui, je pense, elle doit être cuite à point.
• Bien joué, les filles, vous m’avez bien eux.
Zoé, tu remercieras le commandant de bord qui semblait être de la farce contre moi.
• C’est une bague que l’on fait aux jeunes hôtesses qui embarquent pour leur premier vol, avant de décoller nous avons vu notre collègue et dès que Véro a enclenché la blague, nous avons tous suivi.
Je sors la banane, la pèle et la mange.
• Vous avez raison, c’est une merveille, elle a énormément de goût.
Je vous embrasse tous.
Nous descendons et un pilote s’avance vers nous.
• Vous êtes bien Magali et Séverine.
Et oui c’est nous, en chair et en os.
• Pouvez-vous me suivre s’il vous plait ?
Avec sa casquette sous le bras, cet Andalou a fort belle allure.
Nous le suivons avec envie.
Nous contournons l’avion et face à nous un hélicoptère est posé.
Des bagagistes chargent nos valises.
• Avez-vous déjà volé en hélicoptère ?
Je regarde Séverine qui me fait non de la tête.
• Non, ni l’une ni l’autre, j’espère que vous avez des bananes.
Il nous regarde interrogatif et nous aide à monter.
Je monte sur le siège à côté du pilote.
Ma jupe remonte et une fois de plus le personnel a le temps d’admirer mon intimité.
Le pilote aide Séverine, re belote, une paire de fesses leur apparaît dans toute sa splendeur.
• Quel est votre prénom, vous connaissez les nôtres et vous nous avez pas dit le vôtre.
• Eduardo pour vous servire.
Nous sommes tous les trois à l’avant de l’appareil. La bulle de Plexiglas se termine presque sous nos pieds, nous allons avoir une vision très dégagée du paysage.
Je suis tout excitée. Je dois mouiller.
Je me tourne vers Séverine et oubliant qu’Eduardo parle français,
• Je mouille et toi.
Elle me regarde et tout de go me dit, moi aussi. Je vais prendre mon pied.
Eduardo me demande.
• Prendre mon pied. Qu’est-ce que veut dire cette phrase ?
Dans mon français, aucun prof ne m’a appris « à prendre mon pied ».
Comment expliquer à un homme la signification de cette phrase. Bien embarrassé.
Que dire ?
Je cherche et aux lumières pour nous Française « prendre mon pied » veut dire que nous aimons, nous envoyer en l’air.
Envoyer en l’air nous, dit-il, vous allez, être servi.
Ouf, je m’en sors bien.
Il tourne des boutons et les palles se mettent à tourner. Puis de plus en plus vite.
Il parle dans le micro placé devant sa bouche à la tour de contrôle.
En anglais, j’ai un bon niveau d’anglais, je suis même bilingue.
• Hélicoptère pour tour de contrôle, « demandons autorisation de décoller, ces dames veulent prendre leurs pieds, elles veulent s’envoyer en l’air ». All right.
A-t-il compris le sens de la phrase envoyer à la tour de contrôle où nous prend-il pour des nunuches ?
J’espère bien me venger dès que je le peux.
Il tire sur le manche, nous décollons.
L’hélico se soulève de l’arrière et commence à avancer.
Dans un même temps, il prend de l’altitude. Nous sommes au-dessus de l’aéroport.
Il entame un large virage à droite, l’hélico se penche. Je suis projeté sur Séverine malgré la ceinture de sécurité. Impressionnant quand sous vos pieds, vous voyez le vide.
Eduardo stabilise l’appareil.
Enclenche un bouton placé sur le manche placé devant lui.
Il le lâche.
Voyant notre anxiété, il rigole et nous dit qu’il a enclenché le pilote automatique.
• Alors mesdames, vous prenez votre pied, vous vous envoyez en l’air et est-ce que vous mouiller avec vos petits minous à l’air.
Je suis outré, non seulement il nous a pris pour des pucelles mais en plus, il a vu nos chattes lorsque nous sommes monté dans son engin.
Engin……
Lorsqu’il nous demande si nous mouillons, il prend sa main gauche et la glisse sous ma jupe avant que je réagisse.
Ses doigts sont sur ma vulve, il introduit deux doigts dedans.
• Oui, tu mouilles.
C’est comme cela qu’avec Séverine, j’ai fait mon baptême de l’air en attendant de survoler les orangés…
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