Femme BCBG, escorte, non, pute… (37)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-11-2015 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Femme BCBG, escorte, non, pute… (37)
Nous avons installé dans la villa un couple de vacanciers qui commence comme nous à accepter le libertinage.
Ce soir nous attendons un couple d’amis à eux que j’ai eu la bêtise d’accepter qu’ils viennent, la femme Fabienne semble une vraie teigne.
Pour partir à Royan, nous nous répartissons dans les voitures.
Arrivées dans la ville, les femmes font du lèche-vitrine.
Les hommes sont partis chercher un restaurant et réserver sur le front de mer.
Nous passons devant un centre où il est indiqué « épilation Laser ».
• Qui parmi vous désire se faire épiler pour de longs mois ?
Plusieurs mains se lèvent.
On entre. Une jeune femme nous reçoit derrière son guichet.
Pouvez-vous nous donner des rendez-vous pour une épilation laser.
• Anne ?
• Je suis d’accord, j’en ai assez de ces poils qui piquent lorsqu’ils repoussent.
• Aline ?
• Non, si un jour j’ai un mari, s’il aime les poils, cela peut le contrarier.
• Madeleine ?
• Non, je verrai ce que cela donne sur vous avant de me décider.
• Véronique ?
• Oui.
• Non-non ma biche, tu gardes ta toison rouge si jolie. J’ai regardé la brochure et il est possible d’enlever qu’une partie du maillot.
• Marie-Ange ?
• Oui, comme Anne, j‘ai les mêmes soucis de plus poils noirs sur peaux noires. Alors autant les enlever.
• Odile, il me faut l’accord d’Alain donc non.
• Virginie, c’est fait.
• Chantal, tu seras vers tes enfants, c’est donc non.
• Bien sûr, moi, je souhaite ressembler à ma marraine et je dis oui.
La secrétaire s’étonne de nous donner un aussi grand nombre de rendez-vous qu’elle enregistre pour la semaine prochaine.
Nous entrons dans des boutiques de fringues et certaines font flamber nos cartes bleues surtout que comme à mon habitude, je prends à mon compte quelques jeunes coquines.
Nous repassons par les voitures pour déposer nos emplettes.
Je me suis acheté une petite robe, qui me va très bien et qui plait à toutes mes maîtresses.
Les hommes nous attendent devant un restaurant italien, le repas se passe dans la bonne humeur.
Chantal veut savoir comment j’ai pu avoir une si belle propriété aussi bien placée.
• Mes parents l’ont achetée dans les années soixante aux moments où Saint-Palais était une station balnéaire méconnue.
Leur salaire leur a permis de l’entretenir jusqu’à leurs décès.
• Comment son t-il mort ?
• Écrasés sur un passage clouté de Paris.
J’ai pu l’entretenir grâce à la prime d’assurance payée par le chauffard qui leur a ôté la vie.
• C’est dommage pour tes parents,mais tu as fait un bel héritage.
Le repas terminé, nous rentrons coucher la pépette.
La Petite et la plupart des amis qui ont une digestion difficile s’allongent sur les transats.
Comme la veille, nous descendons sur la plage vers seize heures.
Nous, nous baignons, bronzons et bavardons.
Puis vers dix-huit heures nous remontons pour nous préparer.
Comme hier Katia vient chercher le bébé qu’Anne a préparé.
Après la douche, nous sommes descendus prendre un verre sur la terrasse.
Nous sommes toutes en maillot de bain certains seins nus.
Les deux hommes portent un maillot de bain string.
Alain en peau de léopard.
C’est dans ce climat qu’Adrien et Chantal sont allés accueillir leurs amis.
Fabienne arrive avec Christian sur la terrasse et salue l’ensemble du groupe.
• Bonjour.
Bonjour très sec.
Robe stricte et impersonnelle, grosses lunettes noires et chignon.
Voilà le tableau qu’elle nous présente.
Christian est bel homme, mais à des vêtements passe partout le rendant transparent.
Elle a fait le tour du groupe et nous avons tous de suite sentie par son regard glacial qu’elle désapprouvait notre façon d’être.
Le slip léopard a l’air de la choquer au plus haut point surtout que le slip est très moulé et qu’Alain est bien pourvu, il est vrai que, lorsque l’on est auprès de lui, sa bite semble nous agresser.
Nous nous aimons cela. Elle ?
J’aide Chantal à leur offrir un rafraîchissement et leur propose de monter prendre une douche avant l’apéritif.
• Merci pour la douche mais notre motor-home est très bien équipé et nous nous sommes arrêtés avant d’arriver pour nous rafraîchir.
• Eh bien, d’accord, Christian, vous voulez boire.
Whisky, Ricard ou un rosé avec du pamplemousse.
Avant qu’il n'ait eu le temps de dire un mot, elle lui assène.
• Tu sais que tu es allergique à l’alcool.
Sur un ton à glaciale.
• Prends un jus de fruits.
Depuis que Fabienne est arrivée, nous ressentons, un froid glacial tombé sur la maison, nous qui sommes tous enjoué d’habitude semblons pétrifié par cette femme revêche.
Les filles ont mis la table et nous nous installons.
Je place Fabienne entre Alain et Adrien.
Je mets Christian entre Véronique et Marie-Ange.
Elles sont toutes les deux en topless. Le repas est principalement composé de crudité.
Les deux filles lors de la conversation mettent leurs seins sous le nez du malheureux qui ne sait à quel saint se vouer. Il faut dire que les poignards que les yeux de sa femme lui lancent refroidiraient les ardeurs du plus téméraire des hommes.
Je suis placé à côté d’Alain, d’un seul coup sans qu’il y paraisse, je le vois approcher sa main de la cuisse de la dame, plutôt, du cerbère.
Lorsqu’elle prend conscience que son voisin se permet de lui poser une main sur sa cuisse, j’ai l’impression qu’une pelote d’épingles vient de la toucher et repoussant sa chaise pour se dégager nous lance en hurlant.
• Christian suit moi dans le motor-home, il est hors de question que je reste une seconde de plus dans ce lupanar.
Elle tour les talons et parts de notre terrasse.
Christian cherche à repousser sa chaise pour la suivre.
Véronique et Marie-Ange l’en empêchent.
Je me lève pose ma main sur l’épaule d’Alain comme pour le remercier.
Je vais dans mon sac et pars vers le motor-home.
La porte est fermée.
Je frappe en me signalant.
• Fabienne, c’est moi, ouvre-moi !
Il faut que nous discutions.
Un grognement mais rien ne bouge.
• Fabienne, je t’en supplie, ouvre, je te comprends et je voudrais que l’on s’explique.
Toujours rien.
D’un seul coup, directement j’entends.
• Où est Christian ?
• Tu n’as rien à craindre, il va bien, mais ouvre, il faut que l’on parle. Après tu jugeras et tu comprendras, je l’espère.
Un bruit de verrous, la porte s’entrouvre. Fabienne est là toujours aussi hautaine.
• Je peux entrer.
Elle s’efface.
Le camping-car est très spacieux et bien agencé. Une banquette avec une petite table est face au plan de travail de la cuisine.
Sans attendre son autorisation, je m’assieds et je la regarde sans baisser les yeux.
Elle ne sait quelle posture prendre debout devant moi.
Elle finit par s’asseoir à mes côtés. Nous-nous faisons face tournée chacune l’une vers l’autre.
Fabienne, je voulais te raconter mon histoire.
Et me voilà parti dans l’épopée de ma vie, j’appuie sur les côtés sombres qui pourraient faire pleurer les plus endurcies.
Je lui parle de mon divorce contraint et tous les autres plaisirs que je transforme en atmosphère glauque.
Je lui parle de mes parents qui ont été enlevés à mon amour par ce chauffard qui n’a ressenti, aucun remords au tribunal où il est passé pour délit de fuite.
À son regard, je vois que mon histoire la touche.
Placé comme je suis, j’arrive à lui prendre une main que je sers doucement entre les miennes. Je vais même jusqu'à lui caresser le dessus comme si je l’effleurais avec une plume.
Et pour finir je lui explique pourquoi j’ai un collier avec un anneau.
Anneau de plaisir et pas anneau de honte.
Anneau qui fait de moi l’esclave de ceux qui m’attachent la laisse récupérée dans mon sac voire la donzelle et que j’ai posée à mes côtés.
En même temps, je fais sortir toutes les larmes possibles de mon corps.
Je penche la tête et viens-la poser sur l’épaule de celle qui se sent protectrice de la pauvre fille qui a tant souffert.
Elle me console, me cajole, passe sa main derrière ma tête et me caresse tendrement les cheveux.
D’une toute petite voix, je lui demande.
• Toi qui es si belle pourquoi es-tu si agressive avec tout le monde ?
Et le miracle se fait, elle craque.
• Ma pauvre comme tu as souffert, si je suis si hargneuse, c’est depuis que je suis devenu professeur d’anglais, j’étais une jeune fille assez timide. Ma première classe dirigée était composée de garçons et de filles de seize ans et plus. Lorsque je suis entrée, j’ai eu l’impression d’être dans la fosse au lion.
Pour éviter d’être mangée, je les ai agressés directement. Je me suis mise à jouer un jeu qui au fil du temps m’a amené à être celle que je suis devenue aujourd’hui.
À partir de ce moment la femme caressant mes cheveux est devenue la femme à qui je caresse les siens.
La femme qui souffrait et qui posait sa tête sur l’épaule de l’autre, s’inverse.
Sa tête est posée sur mon épaule et ma main caresse tendrement ses cheveux montés en chignon.
• Pourtant en moi, je suis très tendre surtout pour Christian qui a subi cette transformation, car nous venions de nous marier quand nous avons pris nos postes dans le même lycée la même année.
Je sens bien en moi que je suis injuste lorsque je le traite comme un toutou.
Quand nous nous sommes rencontrés, lui qui était que vigueur et joie de vivre, il est devenu timide et renfermé.
En me disant cela, je sens son corps se détendre entre mes bras.
Sa tête se redresse légèrement et me regarde dans les yeux. Comme elle est placée, je la domine un peu.
Je penche aussi la tête et nos bouches se trouvent. Sa langue tourne en moi comme si elle voulait rattraper les années perdues.
Je l’aide à se redresser, je passe mes mains dans ses cheveux et lui enlève son chignon.
Ces magnifiques cheveux tombent comme une vague sur ses épaules.
Je reprends sa bouche et gardant l’avantage, je la fais se lever, l’entraîne sur le lit conjugal placé au fond et au centre du véhicule.
Nous chutons sur le lit enlacé.
Je lui déboutonne le chemisier très strict. Mes mains voltigent sur tout son corps.
Pour mes vêtements, il lui est facile de les enlever, j’ai juste mis mon maillot de bain large comme un timbre-poste.
Je la relève et là mets nue. Ayant dégrafé son soutien-gorge directement venu des années trente, ma bouche se pose sur ses seins qui sont à ma hauteur et qui sont majestueux. Des seins en forme de poire. Les mamelons sont très développés et couvrent la moitié de la surface des globes.
Je la couche sur sa couche et lui mets ma main dans la vulve.
J’ai rarement trouvé une femme qui mouille autant hormis ma maîtresse qui est une femme fontaine.
J’investis sa bouche jusqu'à ce que je reçoive sur mes lèvres son cri de jouissance.
Je m’allonge la tête sur son oreiller. Je lui tends la main.
• Viens...
Ce soir nous attendons un couple d’amis à eux que j’ai eu la bêtise d’accepter qu’ils viennent, la femme Fabienne semble une vraie teigne.
Pour partir à Royan, nous nous répartissons dans les voitures.
Arrivées dans la ville, les femmes font du lèche-vitrine.
Les hommes sont partis chercher un restaurant et réserver sur le front de mer.
Nous passons devant un centre où il est indiqué « épilation Laser ».
• Qui parmi vous désire se faire épiler pour de longs mois ?
Plusieurs mains se lèvent.
On entre. Une jeune femme nous reçoit derrière son guichet.
Pouvez-vous nous donner des rendez-vous pour une épilation laser.
• Anne ?
• Je suis d’accord, j’en ai assez de ces poils qui piquent lorsqu’ils repoussent.
• Aline ?
• Non, si un jour j’ai un mari, s’il aime les poils, cela peut le contrarier.
• Madeleine ?
• Non, je verrai ce que cela donne sur vous avant de me décider.
• Véronique ?
• Oui.
• Non-non ma biche, tu gardes ta toison rouge si jolie. J’ai regardé la brochure et il est possible d’enlever qu’une partie du maillot.
• Marie-Ange ?
• Oui, comme Anne, j‘ai les mêmes soucis de plus poils noirs sur peaux noires. Alors autant les enlever.
• Odile, il me faut l’accord d’Alain donc non.
• Virginie, c’est fait.
• Chantal, tu seras vers tes enfants, c’est donc non.
• Bien sûr, moi, je souhaite ressembler à ma marraine et je dis oui.
La secrétaire s’étonne de nous donner un aussi grand nombre de rendez-vous qu’elle enregistre pour la semaine prochaine.
Nous entrons dans des boutiques de fringues et certaines font flamber nos cartes bleues surtout que comme à mon habitude, je prends à mon compte quelques jeunes coquines.
Nous repassons par les voitures pour déposer nos emplettes.
Je me suis acheté une petite robe, qui me va très bien et qui plait à toutes mes maîtresses.
Les hommes nous attendent devant un restaurant italien, le repas se passe dans la bonne humeur.
Chantal veut savoir comment j’ai pu avoir une si belle propriété aussi bien placée.
• Mes parents l’ont achetée dans les années soixante aux moments où Saint-Palais était une station balnéaire méconnue.
Leur salaire leur a permis de l’entretenir jusqu’à leurs décès.
• Comment son t-il mort ?
• Écrasés sur un passage clouté de Paris.
J’ai pu l’entretenir grâce à la prime d’assurance payée par le chauffard qui leur a ôté la vie.
• C’est dommage pour tes parents,mais tu as fait un bel héritage.
Le repas terminé, nous rentrons coucher la pépette.
La Petite et la plupart des amis qui ont une digestion difficile s’allongent sur les transats.
Comme la veille, nous descendons sur la plage vers seize heures.
Nous, nous baignons, bronzons et bavardons.
Puis vers dix-huit heures nous remontons pour nous préparer.
Comme hier Katia vient chercher le bébé qu’Anne a préparé.
Après la douche, nous sommes descendus prendre un verre sur la terrasse.
Nous sommes toutes en maillot de bain certains seins nus.
Les deux hommes portent un maillot de bain string.
Alain en peau de léopard.
C’est dans ce climat qu’Adrien et Chantal sont allés accueillir leurs amis.
Fabienne arrive avec Christian sur la terrasse et salue l’ensemble du groupe.
• Bonjour.
Bonjour très sec.
Robe stricte et impersonnelle, grosses lunettes noires et chignon.
Voilà le tableau qu’elle nous présente.
Christian est bel homme, mais à des vêtements passe partout le rendant transparent.
Elle a fait le tour du groupe et nous avons tous de suite sentie par son regard glacial qu’elle désapprouvait notre façon d’être.
Le slip léopard a l’air de la choquer au plus haut point surtout que le slip est très moulé et qu’Alain est bien pourvu, il est vrai que, lorsque l’on est auprès de lui, sa bite semble nous agresser.
Nous nous aimons cela. Elle ?
J’aide Chantal à leur offrir un rafraîchissement et leur propose de monter prendre une douche avant l’apéritif.
• Merci pour la douche mais notre motor-home est très bien équipé et nous nous sommes arrêtés avant d’arriver pour nous rafraîchir.
• Eh bien, d’accord, Christian, vous voulez boire.
Whisky, Ricard ou un rosé avec du pamplemousse.
Avant qu’il n'ait eu le temps de dire un mot, elle lui assène.
• Tu sais que tu es allergique à l’alcool.
Sur un ton à glaciale.
• Prends un jus de fruits.
Depuis que Fabienne est arrivée, nous ressentons, un froid glacial tombé sur la maison, nous qui sommes tous enjoué d’habitude semblons pétrifié par cette femme revêche.
Les filles ont mis la table et nous nous installons.
Je place Fabienne entre Alain et Adrien.
Je mets Christian entre Véronique et Marie-Ange.
Elles sont toutes les deux en topless. Le repas est principalement composé de crudité.
Les deux filles lors de la conversation mettent leurs seins sous le nez du malheureux qui ne sait à quel saint se vouer. Il faut dire que les poignards que les yeux de sa femme lui lancent refroidiraient les ardeurs du plus téméraire des hommes.
Je suis placé à côté d’Alain, d’un seul coup sans qu’il y paraisse, je le vois approcher sa main de la cuisse de la dame, plutôt, du cerbère.
Lorsqu’elle prend conscience que son voisin se permet de lui poser une main sur sa cuisse, j’ai l’impression qu’une pelote d’épingles vient de la toucher et repoussant sa chaise pour se dégager nous lance en hurlant.
• Christian suit moi dans le motor-home, il est hors de question que je reste une seconde de plus dans ce lupanar.
Elle tour les talons et parts de notre terrasse.
Christian cherche à repousser sa chaise pour la suivre.
Véronique et Marie-Ange l’en empêchent.
Je me lève pose ma main sur l’épaule d’Alain comme pour le remercier.
Je vais dans mon sac et pars vers le motor-home.
La porte est fermée.
Je frappe en me signalant.
• Fabienne, c’est moi, ouvre-moi !
Il faut que nous discutions.
Un grognement mais rien ne bouge.
• Fabienne, je t’en supplie, ouvre, je te comprends et je voudrais que l’on s’explique.
Toujours rien.
D’un seul coup, directement j’entends.
• Où est Christian ?
• Tu n’as rien à craindre, il va bien, mais ouvre, il faut que l’on parle. Après tu jugeras et tu comprendras, je l’espère.
Un bruit de verrous, la porte s’entrouvre. Fabienne est là toujours aussi hautaine.
• Je peux entrer.
Elle s’efface.
Le camping-car est très spacieux et bien agencé. Une banquette avec une petite table est face au plan de travail de la cuisine.
Sans attendre son autorisation, je m’assieds et je la regarde sans baisser les yeux.
Elle ne sait quelle posture prendre debout devant moi.
Elle finit par s’asseoir à mes côtés. Nous-nous faisons face tournée chacune l’une vers l’autre.
Fabienne, je voulais te raconter mon histoire.
Et me voilà parti dans l’épopée de ma vie, j’appuie sur les côtés sombres qui pourraient faire pleurer les plus endurcies.
Je lui parle de mon divorce contraint et tous les autres plaisirs que je transforme en atmosphère glauque.
Je lui parle de mes parents qui ont été enlevés à mon amour par ce chauffard qui n’a ressenti, aucun remords au tribunal où il est passé pour délit de fuite.
À son regard, je vois que mon histoire la touche.
Placé comme je suis, j’arrive à lui prendre une main que je sers doucement entre les miennes. Je vais même jusqu'à lui caresser le dessus comme si je l’effleurais avec une plume.
Et pour finir je lui explique pourquoi j’ai un collier avec un anneau.
Anneau de plaisir et pas anneau de honte.
Anneau qui fait de moi l’esclave de ceux qui m’attachent la laisse récupérée dans mon sac voire la donzelle et que j’ai posée à mes côtés.
En même temps, je fais sortir toutes les larmes possibles de mon corps.
Je penche la tête et viens-la poser sur l’épaule de celle qui se sent protectrice de la pauvre fille qui a tant souffert.
Elle me console, me cajole, passe sa main derrière ma tête et me caresse tendrement les cheveux.
D’une toute petite voix, je lui demande.
• Toi qui es si belle pourquoi es-tu si agressive avec tout le monde ?
Et le miracle se fait, elle craque.
• Ma pauvre comme tu as souffert, si je suis si hargneuse, c’est depuis que je suis devenu professeur d’anglais, j’étais une jeune fille assez timide. Ma première classe dirigée était composée de garçons et de filles de seize ans et plus. Lorsque je suis entrée, j’ai eu l’impression d’être dans la fosse au lion.
Pour éviter d’être mangée, je les ai agressés directement. Je me suis mise à jouer un jeu qui au fil du temps m’a amené à être celle que je suis devenue aujourd’hui.
À partir de ce moment la femme caressant mes cheveux est devenue la femme à qui je caresse les siens.
La femme qui souffrait et qui posait sa tête sur l’épaule de l’autre, s’inverse.
Sa tête est posée sur mon épaule et ma main caresse tendrement ses cheveux montés en chignon.
• Pourtant en moi, je suis très tendre surtout pour Christian qui a subi cette transformation, car nous venions de nous marier quand nous avons pris nos postes dans le même lycée la même année.
Je sens bien en moi que je suis injuste lorsque je le traite comme un toutou.
Quand nous nous sommes rencontrés, lui qui était que vigueur et joie de vivre, il est devenu timide et renfermé.
En me disant cela, je sens son corps se détendre entre mes bras.
Sa tête se redresse légèrement et me regarde dans les yeux. Comme elle est placée, je la domine un peu.
Je penche aussi la tête et nos bouches se trouvent. Sa langue tourne en moi comme si elle voulait rattraper les années perdues.
Je l’aide à se redresser, je passe mes mains dans ses cheveux et lui enlève son chignon.
Ces magnifiques cheveux tombent comme une vague sur ses épaules.
Je reprends sa bouche et gardant l’avantage, je la fais se lever, l’entraîne sur le lit conjugal placé au fond et au centre du véhicule.
Nous chutons sur le lit enlacé.
Je lui déboutonne le chemisier très strict. Mes mains voltigent sur tout son corps.
Pour mes vêtements, il lui est facile de les enlever, j’ai juste mis mon maillot de bain large comme un timbre-poste.
Je la relève et là mets nue. Ayant dégrafé son soutien-gorge directement venu des années trente, ma bouche se pose sur ses seins qui sont à ma hauteur et qui sont majestueux. Des seins en forme de poire. Les mamelons sont très développés et couvrent la moitié de la surface des globes.
Je la couche sur sa couche et lui mets ma main dans la vulve.
J’ai rarement trouvé une femme qui mouille autant hormis ma maîtresse qui est une femme fontaine.
J’investis sa bouche jusqu'à ce que je reçoive sur mes lèvres son cri de jouissance.
Je m’allonge la tête sur son oreiller. Je lui tends la main.
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