Femme BCBG, escorte, non, pute… (41)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-11-2015 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Femme BCBG, escorte, non, pute… (41)
Pour la première fois, Juan mon jeune torero puceau la perdu en me prenant par la chatte et en me sodomisant sans me demander mon autorisation avec un sexe dépassant tous ce que j’ai vu.
Entre les taureaux et le toréador, je peux difficilement dire qui a la plus grosse.
Je le branle d'une main, le pompe comme je peux vue la taille tous en tenant le préservatif dans ma main derrière le dos.
Je le sors de ma bouche et lui fait comprendre que je vais à la salle de bains. Je contrôle qu’aucune fuite n’est survenue. R.A.S., je souffle, je suis tranquille.
Lorsque je reviens, Juan est assis sur le lit. Il se masturbe avec deux doigts et présente une tige plus qu’honorable.
J’ai depuis bien longtemps un fantasme pas encore réalisé et qui m’est revenu lorsque j’ai vu Miguel.
C’est la vision de voir Miguel assis sur une chaise et Séverine empalée sur sa bite.
Pourquoi avec Juan perdre du temps et le faire sur-le-champ ?
Je lui fais signe de venir me rejoindre et je le fais asseoir sur la chaise près de la table.
Je m’agenouille devant le mâle dans toute sa splendeur.
Sa position assise redresse sa tige à quatre-vingt-dix degrés de ses boules.
Je le lèche, du haut en bas en m’attardant sur les couilles, je les mets dans ma bouche. Une part une, car le volume est si grand qu’une seule à du mal à entrer sans que je force.
Lorsqu’elle est entrée, j’ai immédiatement peur qu’elle refuse de ressortir.
Je comprends pourquoi il a rempli la capote et qu’il est prêt à recommencer.
J’en attrape une et je l’introduis comme la première fois en la plaçant avec mes doigts.
Enfin, je vais littéralement m’empaler la chatte sur un pieu qui va me transpercer vue la longueur qui doit me pénétrer.
Je le chevauche, il tient sa tige dans l’axe de ma foune et me laisse entrer simplement par le poids de mon corps.
J’ai vraiment l’impression qu’une barre entre dans mes entrailles et va ressortir par ma bouche. C’est tellement jouissif que je suis prêt à ce sacrifice sur l’hôtel du plaisir.
Je sens la tige toucher le fond de mon vagin et certainement mon utérus.
Vu sa taille, ma bouche est juste à hauteur de la sienne.
Nous, nous embrassons fougueusement.
Je commence à me soulever pour mieux m’emmancher de nouveau.
Il place ses mains sous mes fesses, avec sa force, il me soulève et me laisse retomber lourdement. Chaque fois, mon ventre se tend et chaque fois un éclair de jouissance traverse mes reins.
Une fois, x fois, il recommence à me manœuvrer. Je monte, je descends, je jouis, je monte, je descends, je jouis.
Il a beau me faire monter ou descendre la jouissance est toujours là.
Un moment, l’envie de me faire sodomiser dans cette position m’effleure, mais au dernier instant, je renonce.
La peur de ce qui peut m’arriver quand la barre s’enfoncera dans mon fondement me ramène à la raison.
La peur qu’elle entre sans pouvoir s’arrêter m’éclatant les entrailles même si j’en ai envie se mesure différemment devant la réalité.
J’ai beau faire mon maximum, il semble refuser de décharger.
Est-ce un homme ou une machine à baiser, je suis prête à aller chercher Marilyne mais comment faire empalée comme je le suis.
Est-ce que nous avons fait de la transmission de pensée, la porte de communication entre nos deux chambres s’ouvre et Miguel et mon amie entrent.
Juan fait un geste envers son copain, il met son pouce en l’air.
Pour lui ça va, pour moi aux secours.
• Marilyne vient m’aider. Cela fait bientôt deux heures qu’il me baisse par tous les côtés. Il a déchargé une foi et rebandé immédiatement.
J’ai beau tout faire, il me lime et je suis épuisée.
Tu peux prendre le relais.
J’arrive à me sortir de ma situation dangereuse, Marilyne vient au-dessus de la bite de Juan.
Il l’a saisie sous les fesses comme il a fait pour moi et la chevauchée continue.
Je vais m’écrouler sur le lit, Miguel me rejoint se place derrière moi et me prend les seins tendrement.
Voir cet homme limer la chatte de ma compagne, sans qu’à aucun moment il présente des signes de fatigue, est surnaturelle.
Marilyne fait rapidement entendre son chant venu du tréfonds de son être.
Est-elle fatiguée ?
Elle aussi, elle se désaccouple et vient vers le lit en lui faisant signe de la suivre.
Il se relève la verge flamboyante et se place derrière la gazelle qui s’est mise en levrette.
Il se présente et comme moi tout à l’heure, il lui enfonce le petit.
À un mètre de la scène, je vois ma biche hoqueter.
Comme moi, elle avait pensé à tous sauf à ce qu’il l’encule.
Comme moi, elle accepte la situation et je vois les grosses burnes de Juan taper son clitoris.
Ce qui doit arriver arrive, elle jouit, il décharge.
Miguel lui parle en espagnol, ce qu’ils se disent nous échappent, mais Juan a l’air d’être content.
Il s’écroule près de nous.
Miguel me dit à l’oreille, nous allons aller bientôt nous coucher, mais avant je lui ai promis de faire l’amour à ta copine tous les deux en même temps. Puis de finir en inversant de finir avec toi.
• D’accord mais arrange-toi pour que ce soit toi qui m’encules ?
Il est impossible que je supports son gourdin dans mon cul ce soir.
Je l’embrasse tendrement comme il aime.
• Mais crois-tu que ton copain arrive encore à bander ?
• Les jeunes toreros font des concours de l’impossible en se masturbant, je l’ai vus décharger cinq fois de suite et toujours les gagner.
La chance, notre chance, ils doivent aller se coucher.
Je me retourne vers Juan, il bande, mais qu’est-ce que sait que cette machine à bander.
Miguel s’allonge sur le dos, Marilyne lui suce la verge et le fait rebander, prend une capote et se couvre. Elle s’empale par la chatte sur cette verge tendue.
Juan s’est préparé et vient derrière notre amie. Délicatement pour une fois, il la plante en plein cœur de sa rosette. Pendant dix minutes au moins ils travaillent ses orifices. Elle en profite pour avoir un ou des orgasmes avec ces deux bites qui la travaillent.
Je m’assois à côté d’elle et lui prends la main.
• Tu sais, c’est la première fois que j’ai deux bites dans mon corps.
Tu sais déjà l’impression que l’on ressent lorsque l’on est une salope.
Car je suis une salope et j’aiiime çàààààà…
L’ayant fait jouir, ils se retirent.
• À toi ma grande pour notre grand final.
Juan se met sur le dos toujours bandé.
Je m’approche pour le mettre dans ma chatte. Il m’attrape par les deux bras et me poignard là où j’avais demandé à Miguel de m’épargner.
Par mon poids, il me pénètre jusqu'à ce que mes fesses touchent ses cuisses.
Il est donc bien entré à fond, même tréfonds de mon fondement.
Miguel vient devant moi.
• Excuse-le, je crois que c’est la partie de toi qu’il préfère.
Il me lèche la chatte et s’attarde sur mon clitoris qui si bien stimulé me fait crier mon plaisir.
Il se présente et doucement rempli ma fente.
À travers les parois vaginales si fines, je sens aller et venir ces deux hommes dans mes intimités.
La fois où en Russie, j’ai eu trois hommes dans mes orifices, les deux qui étaient dans ma chatte restait sans bouger au risque de sortir et c’est Igor qui me labourait le séant.
En ce moment, tout est très différent, Juan qui est en dessous, comme il l’a fait sur la chaise me soulève par les fesses, me fait redescendre par mon poids et recommencer.
Lorsqu’il me manœuvre ainsi, il doit soulever Miguel en même temps.
Je fais comme je l’ai fait tout à leur avec Juan, fonctionner mes muscles autour de la bite de mon petit protégé.
Lui aussi semble étonné que sa verge soit aspirée par mon vagin.
Marilyne pour m’aider vient aux jointures de nos sexes et lèche à tour de rôle les couilles de l’un et de l’autre.
Grâce à elle, les deux mâles éjaculent plus rapidement et m’évitent une prolongation de plusieurs minutes.
Ils se retirent, Juan me soulève comme une plume et me pose à côté de lui.
Ils se lèvent et vont prendre une douche.
Marilyne me rejoint et nous blottissons dans les bras l’une l’autre.
Lorsqu’ils sortent de la douche, nous prenons leur place.
Nous revenons dans la chambre, ils se sont rhabillés.
Ils nous embrassent comme savent le faire des amants qui se quittent et Miguel sort entraînant Juan avec lui.
La porte fermée, Marilyne me saute au cou pour me remercier.
Elle court dans l’autre chambre et ramène l’enveloppe que Miguel m’a donnée.
Elle sort les billets, les écarte comme un jeu de cartes.
Elle répète inlassablement.
• C’est pas vrai, c’est pas vrai, c’est…
Elle se tourne vers moi.
• Autant de billets en une seule fois. Merci, merci, merci…
Je vais vers la table de nuit ou j’ai posé ma montre quand mon regard se pose sur deux liasses de billets avec un mot rapidement griffonné sur une des feuilles de courrier à l’adresse de l’hôtel.
• Magali, voici trois mille euros pour Marilyne de ma part pour la bonne soirée que j’ai passée et pour avoir été son premier client en tant qu’escorte girl et trois milles pour toi de la part de Juan pour lui avoir enlevée son pucelage.
Voici mon numéro de portable 06 00 00… Bon retour. Nous vous aimons. Miguel.
• Regarde.
La gazelle me regarde incrédule.
Je lui fais lire le papier, elle pousse, un cri de joie me prend les billets et les jets au-dessus de sa tête.
Trente billets de cent euros qui volent son agréable à voir.
Elle relie la feuille.
• Premier client en tant qu’escorte, il aurait dû écrire.
Premier client en tant que pute.
Nous éclatons de rire et nous allongeons.
• Comment cela c’est passé avec Miguel ?
• Lorsque tu m’as raconté tes aventures espagnoles et principalement les scènes où un jeune matador se fait dépuceler par la belle-de-nuit, tu m’avais parlé d’un jeune homme timide, j’ai eu dès que l’on a été dans la chambre un vrai mâle en rut qui s’avait ce qu’il voulait.
Mes affaires et ses affaires ont volé à travers la pièce, il m’a directement couché sur le lit et mangé la chatte. Je dis bien mangé. Il m’a embrassé, je sentais sur son visage mes sécrétions que tu le sais comme toutes les femmes de couleur sentent les épices de nos pays.
Il a pris le latex que je lui ai donné et je lui ai placé.
Tu te rends compte, depuis mon dépucelage, j’ai toujours baisé avec des hommes couverts, mais c’était la première fois que je la plaçais moi-même.
J’ai eu peur de la déchirer.
Il s’est redressé ma carrément mis sa verge dans la bouche.
Puis il est venu sur moi et en moi.
Autant de position, c’était incroyable.
J’ai eu l’impression qu’il avait lu tous le Kama Soutra et qu’il essayait toutes les positions.
Je l’ai calmé, et je l’ai forcé à me faire l’amour sans pour cela me pendre par les pieds la tête en bas.
Il a été très doux à partir de ce moment-là et j’ai pris mon plaisir comme un vieux couple doit le prendre.
Je lui ai enlevé sa protection.
On s’est reposé, il a voulu que je le suce pour rebander.
Il s’est recouvert et ma mis en levrette.
Pendant au moins une demi-heure, il est entré dans ma chatte, puis mon cul, et ainsi de suite jusqu'à ce qu’il vienne devant moi et me fasse boire son foutre.
Je lui raconte mes aventures avec mon puceau jusqu'à ce qu’ils arrivent et me sauve.
Je suis frustré, pas une goutte de sperme ce soir, car comme c’était sa première fois, je voulais qu’il décharge dans une chatte, ma chatte.
Lorsqu’ils m’ont pris en double pénétration et que j’ai fait marché mes muscles vaginaux, ils ont déchargé là encore, ils ont déchargé dans leurs capotes.
• Encore une chance que mon numéro de téléphone était noté sur ta fiche à votre institut de beauté, je n’aurais rien connu de tous çà et continué a baiser avec des gars qui m’auraient fait la même chose avec le pognons en moins et surtout bien moins doué.
En disant cela, elle relance la soixantaine de billets qu’elle avait enfin réussi à réunir.
Sans les ramasser, nous nous endormons…
Entre les taureaux et le toréador, je peux difficilement dire qui a la plus grosse.
Je le branle d'une main, le pompe comme je peux vue la taille tous en tenant le préservatif dans ma main derrière le dos.
Je le sors de ma bouche et lui fait comprendre que je vais à la salle de bains. Je contrôle qu’aucune fuite n’est survenue. R.A.S., je souffle, je suis tranquille.
Lorsque je reviens, Juan est assis sur le lit. Il se masturbe avec deux doigts et présente une tige plus qu’honorable.
J’ai depuis bien longtemps un fantasme pas encore réalisé et qui m’est revenu lorsque j’ai vu Miguel.
C’est la vision de voir Miguel assis sur une chaise et Séverine empalée sur sa bite.
Pourquoi avec Juan perdre du temps et le faire sur-le-champ ?
Je lui fais signe de venir me rejoindre et je le fais asseoir sur la chaise près de la table.
Je m’agenouille devant le mâle dans toute sa splendeur.
Sa position assise redresse sa tige à quatre-vingt-dix degrés de ses boules.
Je le lèche, du haut en bas en m’attardant sur les couilles, je les mets dans ma bouche. Une part une, car le volume est si grand qu’une seule à du mal à entrer sans que je force.
Lorsqu’elle est entrée, j’ai immédiatement peur qu’elle refuse de ressortir.
Je comprends pourquoi il a rempli la capote et qu’il est prêt à recommencer.
J’en attrape une et je l’introduis comme la première fois en la plaçant avec mes doigts.
Enfin, je vais littéralement m’empaler la chatte sur un pieu qui va me transpercer vue la longueur qui doit me pénétrer.
Je le chevauche, il tient sa tige dans l’axe de ma foune et me laisse entrer simplement par le poids de mon corps.
J’ai vraiment l’impression qu’une barre entre dans mes entrailles et va ressortir par ma bouche. C’est tellement jouissif que je suis prêt à ce sacrifice sur l’hôtel du plaisir.
Je sens la tige toucher le fond de mon vagin et certainement mon utérus.
Vu sa taille, ma bouche est juste à hauteur de la sienne.
Nous, nous embrassons fougueusement.
Je commence à me soulever pour mieux m’emmancher de nouveau.
Il place ses mains sous mes fesses, avec sa force, il me soulève et me laisse retomber lourdement. Chaque fois, mon ventre se tend et chaque fois un éclair de jouissance traverse mes reins.
Une fois, x fois, il recommence à me manœuvrer. Je monte, je descends, je jouis, je monte, je descends, je jouis.
Il a beau me faire monter ou descendre la jouissance est toujours là.
Un moment, l’envie de me faire sodomiser dans cette position m’effleure, mais au dernier instant, je renonce.
La peur de ce qui peut m’arriver quand la barre s’enfoncera dans mon fondement me ramène à la raison.
La peur qu’elle entre sans pouvoir s’arrêter m’éclatant les entrailles même si j’en ai envie se mesure différemment devant la réalité.
J’ai beau faire mon maximum, il semble refuser de décharger.
Est-ce un homme ou une machine à baiser, je suis prête à aller chercher Marilyne mais comment faire empalée comme je le suis.
Est-ce que nous avons fait de la transmission de pensée, la porte de communication entre nos deux chambres s’ouvre et Miguel et mon amie entrent.
Juan fait un geste envers son copain, il met son pouce en l’air.
Pour lui ça va, pour moi aux secours.
• Marilyne vient m’aider. Cela fait bientôt deux heures qu’il me baisse par tous les côtés. Il a déchargé une foi et rebandé immédiatement.
J’ai beau tout faire, il me lime et je suis épuisée.
Tu peux prendre le relais.
J’arrive à me sortir de ma situation dangereuse, Marilyne vient au-dessus de la bite de Juan.
Il l’a saisie sous les fesses comme il a fait pour moi et la chevauchée continue.
Je vais m’écrouler sur le lit, Miguel me rejoint se place derrière moi et me prend les seins tendrement.
Voir cet homme limer la chatte de ma compagne, sans qu’à aucun moment il présente des signes de fatigue, est surnaturelle.
Marilyne fait rapidement entendre son chant venu du tréfonds de son être.
Est-elle fatiguée ?
Elle aussi, elle se désaccouple et vient vers le lit en lui faisant signe de la suivre.
Il se relève la verge flamboyante et se place derrière la gazelle qui s’est mise en levrette.
Il se présente et comme moi tout à l’heure, il lui enfonce le petit.
À un mètre de la scène, je vois ma biche hoqueter.
Comme moi, elle avait pensé à tous sauf à ce qu’il l’encule.
Comme moi, elle accepte la situation et je vois les grosses burnes de Juan taper son clitoris.
Ce qui doit arriver arrive, elle jouit, il décharge.
Miguel lui parle en espagnol, ce qu’ils se disent nous échappent, mais Juan a l’air d’être content.
Il s’écroule près de nous.
Miguel me dit à l’oreille, nous allons aller bientôt nous coucher, mais avant je lui ai promis de faire l’amour à ta copine tous les deux en même temps. Puis de finir en inversant de finir avec toi.
• D’accord mais arrange-toi pour que ce soit toi qui m’encules ?
Il est impossible que je supports son gourdin dans mon cul ce soir.
Je l’embrasse tendrement comme il aime.
• Mais crois-tu que ton copain arrive encore à bander ?
• Les jeunes toreros font des concours de l’impossible en se masturbant, je l’ai vus décharger cinq fois de suite et toujours les gagner.
La chance, notre chance, ils doivent aller se coucher.
Je me retourne vers Juan, il bande, mais qu’est-ce que sait que cette machine à bander.
Miguel s’allonge sur le dos, Marilyne lui suce la verge et le fait rebander, prend une capote et se couvre. Elle s’empale par la chatte sur cette verge tendue.
Juan s’est préparé et vient derrière notre amie. Délicatement pour une fois, il la plante en plein cœur de sa rosette. Pendant dix minutes au moins ils travaillent ses orifices. Elle en profite pour avoir un ou des orgasmes avec ces deux bites qui la travaillent.
Je m’assois à côté d’elle et lui prends la main.
• Tu sais, c’est la première fois que j’ai deux bites dans mon corps.
Tu sais déjà l’impression que l’on ressent lorsque l’on est une salope.
Car je suis une salope et j’aiiime çàààààà…
L’ayant fait jouir, ils se retirent.
• À toi ma grande pour notre grand final.
Juan se met sur le dos toujours bandé.
Je m’approche pour le mettre dans ma chatte. Il m’attrape par les deux bras et me poignard là où j’avais demandé à Miguel de m’épargner.
Par mon poids, il me pénètre jusqu'à ce que mes fesses touchent ses cuisses.
Il est donc bien entré à fond, même tréfonds de mon fondement.
Miguel vient devant moi.
• Excuse-le, je crois que c’est la partie de toi qu’il préfère.
Il me lèche la chatte et s’attarde sur mon clitoris qui si bien stimulé me fait crier mon plaisir.
Il se présente et doucement rempli ma fente.
À travers les parois vaginales si fines, je sens aller et venir ces deux hommes dans mes intimités.
La fois où en Russie, j’ai eu trois hommes dans mes orifices, les deux qui étaient dans ma chatte restait sans bouger au risque de sortir et c’est Igor qui me labourait le séant.
En ce moment, tout est très différent, Juan qui est en dessous, comme il l’a fait sur la chaise me soulève par les fesses, me fait redescendre par mon poids et recommencer.
Lorsqu’il me manœuvre ainsi, il doit soulever Miguel en même temps.
Je fais comme je l’ai fait tout à leur avec Juan, fonctionner mes muscles autour de la bite de mon petit protégé.
Lui aussi semble étonné que sa verge soit aspirée par mon vagin.
Marilyne pour m’aider vient aux jointures de nos sexes et lèche à tour de rôle les couilles de l’un et de l’autre.
Grâce à elle, les deux mâles éjaculent plus rapidement et m’évitent une prolongation de plusieurs minutes.
Ils se retirent, Juan me soulève comme une plume et me pose à côté de lui.
Ils se lèvent et vont prendre une douche.
Marilyne me rejoint et nous blottissons dans les bras l’une l’autre.
Lorsqu’ils sortent de la douche, nous prenons leur place.
Nous revenons dans la chambre, ils se sont rhabillés.
Ils nous embrassent comme savent le faire des amants qui se quittent et Miguel sort entraînant Juan avec lui.
La porte fermée, Marilyne me saute au cou pour me remercier.
Elle court dans l’autre chambre et ramène l’enveloppe que Miguel m’a donnée.
Elle sort les billets, les écarte comme un jeu de cartes.
Elle répète inlassablement.
• C’est pas vrai, c’est pas vrai, c’est…
Elle se tourne vers moi.
• Autant de billets en une seule fois. Merci, merci, merci…
Je vais vers la table de nuit ou j’ai posé ma montre quand mon regard se pose sur deux liasses de billets avec un mot rapidement griffonné sur une des feuilles de courrier à l’adresse de l’hôtel.
• Magali, voici trois mille euros pour Marilyne de ma part pour la bonne soirée que j’ai passée et pour avoir été son premier client en tant qu’escorte girl et trois milles pour toi de la part de Juan pour lui avoir enlevée son pucelage.
Voici mon numéro de portable 06 00 00… Bon retour. Nous vous aimons. Miguel.
• Regarde.
La gazelle me regarde incrédule.
Je lui fais lire le papier, elle pousse, un cri de joie me prend les billets et les jets au-dessus de sa tête.
Trente billets de cent euros qui volent son agréable à voir.
Elle relie la feuille.
• Premier client en tant qu’escorte, il aurait dû écrire.
Premier client en tant que pute.
Nous éclatons de rire et nous allongeons.
• Comment cela c’est passé avec Miguel ?
• Lorsque tu m’as raconté tes aventures espagnoles et principalement les scènes où un jeune matador se fait dépuceler par la belle-de-nuit, tu m’avais parlé d’un jeune homme timide, j’ai eu dès que l’on a été dans la chambre un vrai mâle en rut qui s’avait ce qu’il voulait.
Mes affaires et ses affaires ont volé à travers la pièce, il m’a directement couché sur le lit et mangé la chatte. Je dis bien mangé. Il m’a embrassé, je sentais sur son visage mes sécrétions que tu le sais comme toutes les femmes de couleur sentent les épices de nos pays.
Il a pris le latex que je lui ai donné et je lui ai placé.
Tu te rends compte, depuis mon dépucelage, j’ai toujours baisé avec des hommes couverts, mais c’était la première fois que je la plaçais moi-même.
J’ai eu peur de la déchirer.
Il s’est redressé ma carrément mis sa verge dans la bouche.
Puis il est venu sur moi et en moi.
Autant de position, c’était incroyable.
J’ai eu l’impression qu’il avait lu tous le Kama Soutra et qu’il essayait toutes les positions.
Je l’ai calmé, et je l’ai forcé à me faire l’amour sans pour cela me pendre par les pieds la tête en bas.
Il a été très doux à partir de ce moment-là et j’ai pris mon plaisir comme un vieux couple doit le prendre.
Je lui ai enlevé sa protection.
On s’est reposé, il a voulu que je le suce pour rebander.
Il s’est recouvert et ma mis en levrette.
Pendant au moins une demi-heure, il est entré dans ma chatte, puis mon cul, et ainsi de suite jusqu'à ce qu’il vienne devant moi et me fasse boire son foutre.
Je lui raconte mes aventures avec mon puceau jusqu'à ce qu’ils arrivent et me sauve.
Je suis frustré, pas une goutte de sperme ce soir, car comme c’était sa première fois, je voulais qu’il décharge dans une chatte, ma chatte.
Lorsqu’ils m’ont pris en double pénétration et que j’ai fait marché mes muscles vaginaux, ils ont déchargé là encore, ils ont déchargé dans leurs capotes.
• Encore une chance que mon numéro de téléphone était noté sur ta fiche à votre institut de beauté, je n’aurais rien connu de tous çà et continué a baiser avec des gars qui m’auraient fait la même chose avec le pognons en moins et surtout bien moins doué.
En disant cela, elle relance la soixantaine de billets qu’elle avait enfin réussi à réunir.
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