Femme BCBG, escorte, non, pute… (52)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-01-2016 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Femme BCBG, escorte, non, pute… (52)
Ayant fait venir Jacky, mon amour de jeunesse chez nous, je l’entraîne à l’étage et j’entre avec lui dans ma chambre fermant la porte pour bien nous isoler.
Je lui parle comme on peut parler à un enfant.
• Tu m’as enfin retrouvé, veux-tu que nous jouions au papa et à la maman comme nos parents nous l’avaient prédit.
Il est tétanisé comme si des images défilaient devant ses yeux.
• Redonne-moi un baiser !
Je tends mes lèvres, il pose les siennes comme le fait des enfants simplement par mimétisme de ce qu’ils ont vu faire par leurs parents.
• Jacky, veux-tu devenir mon mari ?
Aucune réponse mais il se laisse prendre la main.
• C’est bien, je veux être ta femme.
Je nous déclare mari et femme.
Je m’approche de lui et je l’entraîne vers le lit en lui demandant de faire l’amour à sa femme par ces mots.
• Je suis, ta femme fait moi l’amour.
Je caresse sa queue qui durcit.
Le problème, comment, lui mettre une capuche sans casser le fil ténu que j’ai tendu avec lui.
Une idée.
• Chérie, j’ai oublié de prendre ma pilule, nous sommes trop jeunes pour avoir un enfant.
Viens que je te mette cette capote.
Coup de chance, il y en a toujours dans le tiroir de nos tables de nuit.
Je m’agenouille et lui enlevant son slip de bain, je lui enfile la capote avec ma bouche.
• C’est bien mon amour, tu vas venir en moi.
Son trouble est évident car depuis le début ou la porte s’est fermée sur notre couple, il est resté muet réagissant simplement à mes commandements.
Je m’allonge sur le lit et ouvre mes cuisses.
• Viens en moi mon amour, mais j’espère que tu sauras me donner le plaisir que tout homme doit à sa petite épouse chérie.
• Oui, je vais te satisfaire.
Ce sont les premiers mots qu’il prononce semblant revenir sur terre.
Pardon sur notre lit.
• Fais attention, tu es le premier, évite de me prendre trop rapidement, je veux que tu me donnes du plaisir dès notre première fois.
Il est bien placé, je saisis sa queue bien bandée dans ma main et la présente à ma vulve.
• Entre doucement.
Oui, là c’est bien, tout doucement.
Petit à petit, je le laisse pénétrer en moi.
Je lâche sa queue que je tiens dans ma main petit à petit.
• Oui, c’est bien, ton petit cœur commence à sentir le plaisir monté en elle par la simple présence de ton sexe en moi.
C’est bien mon amour, tu peux commencer à bouger, très lentement, oui c’est bien.
Tu me prends bien, je sens que je vais jouir et que ton sexe va me donner un plaisir immense.
Oui, je pars, je jouiiiis.
Non, je ne fais pas semblant, il a réussi à me faire partir.
• Maintenant que tu m’as fait jouir, je veux que tu sois heureux toi aussi donne moi de grand coup de bite, je suis pleinement à toi et je veux que tu exploses en moi.
Il accélère les entrées et sorties.
Il semble être revenu parmi nous.
• J’aimerais te faire l’amour en levrette Christine, tu verras-tu, me sentiras mieux.
• Sans problème, ta petite chérie veut être entièrement à toi.
Je me dégage et je me mets en position.
Il se met en place et sans ménagement, il me plante son vit.
Tout ce que je peux vous dire, c’est qu’un étalon pilonne ma chatte.
Ses bourses viennent taper mon clitoris qui apprécie et tous les deux en osmoses, nous jouissons.
Épuisé par cette fornication, je le prends dans mes bras et nous échangeons des baisers loin du baiser de notre jeunesse.
J’attends qu’il émerge.
• Merci Jacky, je te remercie du plaisir que tu m’as donné et tu vois que tu es arrivé à me faire jouir et d’éclater seulement après.
• Christine, je te promets que tout c’est effacé dans mon crane et qu’à partir de maintenant je vais vivre ma sexualité pour le plaisir des femmes.
Consciente que le fait de me faire l’amour sans décharger immuablement est un progrès pour Jacky, j’attends qu’il récupère pour vérifier que la guérison est pérenne.
Pour vérifier, je me glisse jusqu'à son sexe, j’enlève sa protection et je commence à nettoyer sa verge qui a débandé à moitié avec ma bouche retrouvant le goût de son sperme que j’ai appris à avaler au fil de mes rencontres.
Il serait bête qu’un joli morceau comme celui que j’ai devant mes yeux ait comme fonction que d’uriner ou remplir son rôle de procréateur puisque mon amant s’il éjacule précocement à engendrer deux enfants.
Lorsque sa tension est suffisante, je le fais mettre sur le dos et je l’enfourche afin de présenter ma chatte à sa tige.
Cette position a l’avantage que c’est moi qui dirige le jeu et que c’est moi qui rythme le coït.
J’ai rapidement la sensation que mon traitement a fait son effet.
Son blocage, je devrais dire son déblocage lorsqu’il pénétrait une de ses amies ou sa femme, c’est que notre séparation sans un au revoir dans la fuite que son père lui a fait subir après, il est vrai le cocufiage de sa mère avec mon père a développé une frustration dans son cerveau d’enfant.
On nous avait trop dit que nous serions faits l’un pour l’autre et la première fois qu’il a dû faire l’amour à une fille, c’est mon vagin que son sexe pénétrait sans que sa queue le reconnaisse et il envoyait ses jets de sperme par frustration.
Mon explication vaut ce qu’elle vaut, mais pourquoi moi indirectement mon subconscient a été aussi imprégné de cette époque et que ma vie de none vécut avec Pierre outre l’insistance de mon père à ce que j’épouse cet homme qu »il m’avait présenté pour lui entrait en droite ligne de ses principes qu’il devait être contrit d’avoir bafoué.
A-t-il su que sa maîtresse s’était suicidée et a-t-il voulu par mon intermédiaire et mon mariage qu’il voulait irréprochable laver ce moment d’égarement qui l’a vu sodomiser sa voisine sur la table de leur cuisine de vacances.
Certe, c’est beaucoup de philo que j’ai pratiquée à petites doses lors de mes études, mais il est temps que je revienne au morceau qui est en moi et qui me pilonne sans faiblir.
Je décide de lui rendre sa liberté d’action et je le sors de moi attendant son initiative.
Il semble comprendre le message, car à partir de là, j’ai l’amant parfait aussi bon baiseur que mon premier client dans cet hôtel qui m’a fait franchir le pas de ma liberté grâce à Valérie, je dois le reconnaître.
• Mets-toi en levrette, j’adore cette position qui m’était interdite, car à voir le dos de la fille, je partais deux fois plus vite.
Tu vas voir ce que je vais te mettre.
Pour m’en mettre, il m’en met, j’ai eux bien souvent des amants meilleurs que lui voire beaucoup plus comme Boris l’homme qui m’a placé mon collier autour du cou et qui m’a promis ma laisse lorsque j’irai le rejoindre à Moscou dès le mois de septembre.
En attendant de retrouver celui qui a dépucelé mon petit trou me remplissant en même temps qu’il remplissait la valise de nombreux billets, je passe ma main derrière moi, sort la verge de Jacky et je la positionne face à ma rosette.
• Encule-moi, je veux que ta petite femme t’ait apporté dans ce moment que nous passons la totalité de son corps.
• Arrête Christine, je suis bien Jacky, tu m’as fait ouvrir les yeux sur les dérives que les tromperais de nos parents ont déclenché en nous à notre puberté, mais là je suis en train d’entrer dans ton cul que je pense a dû perdre son innocence depuis plus longtemps que moi car chaque fois que j’ai voulu enculer ma femme qui le désirait je déchargeais.
Pour décharger, il va décharger, mais après que mon anus et surtout mes sphincters est fonctionnés lui enserrant la verge lui faisant sentir les sensations qu’un homme ressent lorsque sa chienne de partenaire, c’est s’en servir.
Lui, au contraire, ressent les petites masturbations, mais reste en moi jusqu’à ce que je jouisse par cette partie si sensible de mon anatomie.
Je reçois son foutre chaud en moi persuader que je viens de faire naître un homme pour le plaisir des femmes.
Nous restons enlacés reprenant nos baisers bien plus profonds que ceux de nos cinq ans.
Ce qui est sûr, c’est que si je suis fière d’avoir trouvé la porte de sortie du problème de Jacky, mon cœur comme nos parents nous le promettaient même si j’aime la façon dont nous avons fait l’amour restera qu’un moment de sexe.
Nous redescendons nues, tous les deux tenant son slip de bain dans ma main.
Arrivés sur la terrasse, voyant que Jacky a adopté les habitudes de la maison, ceux qui étaient restés sagement couverts nous imitent.
Je dois partir ce soir avec Fabienne et Christian, je suis dans l’impossibilité de surveiller les progrès de mon poulain.
Je prends à part Véronique et Marie-Ange.
Rapidement je leur explique le blocage de Jacky que je pense avoir fait disparaître.
• Les filles, je vous demande, de vous occupiez de Jacky lorsque je serai partie et continuez à faire de lui le beau mâle que j’ai commencé à façonner.
• Tu peux partir tranquille, nous chouchouterons, ton nouveau protégé, tu nous connais, il est inutile que tu nous forces à nous occuper de cette jolie bite que tu nous présentes et que nous espérions bien nous en occuper, car je te signale qu’ici on partage tout.
• J’étais sûr que les grandes salopes que vous êtes sauraient me renvoyer l’ascenseur depuis que nous avons découvert ensemble le pouvoir que nous avons nous les femmes sur ces petits êtres fragiles…
Je lui parle comme on peut parler à un enfant.
• Tu m’as enfin retrouvé, veux-tu que nous jouions au papa et à la maman comme nos parents nous l’avaient prédit.
Il est tétanisé comme si des images défilaient devant ses yeux.
• Redonne-moi un baiser !
Je tends mes lèvres, il pose les siennes comme le fait des enfants simplement par mimétisme de ce qu’ils ont vu faire par leurs parents.
• Jacky, veux-tu devenir mon mari ?
Aucune réponse mais il se laisse prendre la main.
• C’est bien, je veux être ta femme.
Je nous déclare mari et femme.
Je m’approche de lui et je l’entraîne vers le lit en lui demandant de faire l’amour à sa femme par ces mots.
• Je suis, ta femme fait moi l’amour.
Je caresse sa queue qui durcit.
Le problème, comment, lui mettre une capuche sans casser le fil ténu que j’ai tendu avec lui.
Une idée.
• Chérie, j’ai oublié de prendre ma pilule, nous sommes trop jeunes pour avoir un enfant.
Viens que je te mette cette capote.
Coup de chance, il y en a toujours dans le tiroir de nos tables de nuit.
Je m’agenouille et lui enlevant son slip de bain, je lui enfile la capote avec ma bouche.
• C’est bien mon amour, tu vas venir en moi.
Son trouble est évident car depuis le début ou la porte s’est fermée sur notre couple, il est resté muet réagissant simplement à mes commandements.
Je m’allonge sur le lit et ouvre mes cuisses.
• Viens en moi mon amour, mais j’espère que tu sauras me donner le plaisir que tout homme doit à sa petite épouse chérie.
• Oui, je vais te satisfaire.
Ce sont les premiers mots qu’il prononce semblant revenir sur terre.
Pardon sur notre lit.
• Fais attention, tu es le premier, évite de me prendre trop rapidement, je veux que tu me donnes du plaisir dès notre première fois.
Il est bien placé, je saisis sa queue bien bandée dans ma main et la présente à ma vulve.
• Entre doucement.
Oui, là c’est bien, tout doucement.
Petit à petit, je le laisse pénétrer en moi.
Je lâche sa queue que je tiens dans ma main petit à petit.
• Oui, c’est bien, ton petit cœur commence à sentir le plaisir monté en elle par la simple présence de ton sexe en moi.
C’est bien mon amour, tu peux commencer à bouger, très lentement, oui c’est bien.
Tu me prends bien, je sens que je vais jouir et que ton sexe va me donner un plaisir immense.
Oui, je pars, je jouiiiis.
Non, je ne fais pas semblant, il a réussi à me faire partir.
• Maintenant que tu m’as fait jouir, je veux que tu sois heureux toi aussi donne moi de grand coup de bite, je suis pleinement à toi et je veux que tu exploses en moi.
Il accélère les entrées et sorties.
Il semble être revenu parmi nous.
• J’aimerais te faire l’amour en levrette Christine, tu verras-tu, me sentiras mieux.
• Sans problème, ta petite chérie veut être entièrement à toi.
Je me dégage et je me mets en position.
Il se met en place et sans ménagement, il me plante son vit.
Tout ce que je peux vous dire, c’est qu’un étalon pilonne ma chatte.
Ses bourses viennent taper mon clitoris qui apprécie et tous les deux en osmoses, nous jouissons.
Épuisé par cette fornication, je le prends dans mes bras et nous échangeons des baisers loin du baiser de notre jeunesse.
J’attends qu’il émerge.
• Merci Jacky, je te remercie du plaisir que tu m’as donné et tu vois que tu es arrivé à me faire jouir et d’éclater seulement après.
• Christine, je te promets que tout c’est effacé dans mon crane et qu’à partir de maintenant je vais vivre ma sexualité pour le plaisir des femmes.
Consciente que le fait de me faire l’amour sans décharger immuablement est un progrès pour Jacky, j’attends qu’il récupère pour vérifier que la guérison est pérenne.
Pour vérifier, je me glisse jusqu'à son sexe, j’enlève sa protection et je commence à nettoyer sa verge qui a débandé à moitié avec ma bouche retrouvant le goût de son sperme que j’ai appris à avaler au fil de mes rencontres.
Il serait bête qu’un joli morceau comme celui que j’ai devant mes yeux ait comme fonction que d’uriner ou remplir son rôle de procréateur puisque mon amant s’il éjacule précocement à engendrer deux enfants.
Lorsque sa tension est suffisante, je le fais mettre sur le dos et je l’enfourche afin de présenter ma chatte à sa tige.
Cette position a l’avantage que c’est moi qui dirige le jeu et que c’est moi qui rythme le coït.
J’ai rapidement la sensation que mon traitement a fait son effet.
Son blocage, je devrais dire son déblocage lorsqu’il pénétrait une de ses amies ou sa femme, c’est que notre séparation sans un au revoir dans la fuite que son père lui a fait subir après, il est vrai le cocufiage de sa mère avec mon père a développé une frustration dans son cerveau d’enfant.
On nous avait trop dit que nous serions faits l’un pour l’autre et la première fois qu’il a dû faire l’amour à une fille, c’est mon vagin que son sexe pénétrait sans que sa queue le reconnaisse et il envoyait ses jets de sperme par frustration.
Mon explication vaut ce qu’elle vaut, mais pourquoi moi indirectement mon subconscient a été aussi imprégné de cette époque et que ma vie de none vécut avec Pierre outre l’insistance de mon père à ce que j’épouse cet homme qu »il m’avait présenté pour lui entrait en droite ligne de ses principes qu’il devait être contrit d’avoir bafoué.
A-t-il su que sa maîtresse s’était suicidée et a-t-il voulu par mon intermédiaire et mon mariage qu’il voulait irréprochable laver ce moment d’égarement qui l’a vu sodomiser sa voisine sur la table de leur cuisine de vacances.
Certe, c’est beaucoup de philo que j’ai pratiquée à petites doses lors de mes études, mais il est temps que je revienne au morceau qui est en moi et qui me pilonne sans faiblir.
Je décide de lui rendre sa liberté d’action et je le sors de moi attendant son initiative.
Il semble comprendre le message, car à partir de là, j’ai l’amant parfait aussi bon baiseur que mon premier client dans cet hôtel qui m’a fait franchir le pas de ma liberté grâce à Valérie, je dois le reconnaître.
• Mets-toi en levrette, j’adore cette position qui m’était interdite, car à voir le dos de la fille, je partais deux fois plus vite.
Tu vas voir ce que je vais te mettre.
Pour m’en mettre, il m’en met, j’ai eux bien souvent des amants meilleurs que lui voire beaucoup plus comme Boris l’homme qui m’a placé mon collier autour du cou et qui m’a promis ma laisse lorsque j’irai le rejoindre à Moscou dès le mois de septembre.
En attendant de retrouver celui qui a dépucelé mon petit trou me remplissant en même temps qu’il remplissait la valise de nombreux billets, je passe ma main derrière moi, sort la verge de Jacky et je la positionne face à ma rosette.
• Encule-moi, je veux que ta petite femme t’ait apporté dans ce moment que nous passons la totalité de son corps.
• Arrête Christine, je suis bien Jacky, tu m’as fait ouvrir les yeux sur les dérives que les tromperais de nos parents ont déclenché en nous à notre puberté, mais là je suis en train d’entrer dans ton cul que je pense a dû perdre son innocence depuis plus longtemps que moi car chaque fois que j’ai voulu enculer ma femme qui le désirait je déchargeais.
Pour décharger, il va décharger, mais après que mon anus et surtout mes sphincters est fonctionnés lui enserrant la verge lui faisant sentir les sensations qu’un homme ressent lorsque sa chienne de partenaire, c’est s’en servir.
Lui, au contraire, ressent les petites masturbations, mais reste en moi jusqu’à ce que je jouisse par cette partie si sensible de mon anatomie.
Je reçois son foutre chaud en moi persuader que je viens de faire naître un homme pour le plaisir des femmes.
Nous restons enlacés reprenant nos baisers bien plus profonds que ceux de nos cinq ans.
Ce qui est sûr, c’est que si je suis fière d’avoir trouvé la porte de sortie du problème de Jacky, mon cœur comme nos parents nous le promettaient même si j’aime la façon dont nous avons fait l’amour restera qu’un moment de sexe.
Nous redescendons nues, tous les deux tenant son slip de bain dans ma main.
Arrivés sur la terrasse, voyant que Jacky a adopté les habitudes de la maison, ceux qui étaient restés sagement couverts nous imitent.
Je dois partir ce soir avec Fabienne et Christian, je suis dans l’impossibilité de surveiller les progrès de mon poulain.
Je prends à part Véronique et Marie-Ange.
Rapidement je leur explique le blocage de Jacky que je pense avoir fait disparaître.
• Les filles, je vous demande, de vous occupiez de Jacky lorsque je serai partie et continuez à faire de lui le beau mâle que j’ai commencé à façonner.
• Tu peux partir tranquille, nous chouchouterons, ton nouveau protégé, tu nous connais, il est inutile que tu nous forces à nous occuper de cette jolie bite que tu nous présentes et que nous espérions bien nous en occuper, car je te signale qu’ici on partage tout.
• J’étais sûr que les grandes salopes que vous êtes sauraient me renvoyer l’ascenseur depuis que nous avons découvert ensemble le pouvoir que nous avons nous les femmes sur ces petits êtres fragiles…
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