Femme BCBG, escorte, non, pute… (68)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Récit libertin : Femme BCBG, escorte, non, pute… (68) Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-05-2016 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Femme BCBG, escorte, non, pute… (68)
Après avoir tourné les scènes au bord de la plage des cadavres découverts par Fabienne qui a été la vedette de la matinée j’ai moi aussi découvert que la grande cochonne que je pensais être devenu, avais encore des choses à apprendre dans les jeux du sexe en subissant un double anal par Sébastian et Phil.

C’est sur la plage naturiste près de La Palmyre que toutes les équipes viennent tourner des scènes profitant de la relative tranquillité que les kilomètres de sable nous apportent.
En ce moment Adrien et Odile commence une scène dans l’eau en s’aspergeant.

Ils roulent enlacés dans les vagues en s’embrassant sans aucune retenue.
Au moment où elle se trouve au-dessus d’Adrien, elle lui empoigne la queue qui est bien tendue et se la met dans la chatte.
Tien Jacky qui était derrière moi au début de la scène est parti, bizarrement Aurélie brille aussi par son absence.
Connaissant la rapidité avec laquelle notre tombeur arrive à faire tomber les filles depuis que je lui ai appris à éviter d’être un éjaculateur précoce et vu que la plage est déserte, le seul endroit où les tourtereaux ont pu se réfugier est sous les arbres qui longent la plage.
Je recule discrètement à mon tour profitant que l’ensemble des personnes présentes sont les yeux rivés sur la jolie naïade qui apprécie la pénétration qu’Adrien lui fait subir ce qui me permet d’arriver à l’orée de la forêt.
Je m’enfonce et à quelques mètres, Jacky a coincé la belle, dos à un arbre.
Ils s’embrassent fougueusement comme un couple subissant un coup de foudre foudroyant.
Ils s’embrassent comme si la fin du monde pouvait arriver dans la minute et qu’ils veulent la vivre intensément.
Je pense être seul mais je sens sans le voir celui qui se colle à moi, passe un bras autour de mon corps et me caresse les seins.
J’ignore à qui appartient cette queue bien bandée qui prétend prendre ma vulve. Ce que je vois c’est Jacky qui a pénétré sa compagne et lui procure un plaisir qu’elle semble énormément apprécier.
De mon côté mes affaires avances, le sexe de mon inconnu a réussi à franchir l’entrée de ma chatte évitant mon anus pourtant à plus à sa portée.
Peut-être que je l’ai un peu aidé inconsciemment en écartant légèrement les jambes ouvrant mes cuisses.
Du côté de Jacky et Aurélie, les affaires progressent dans le bon sens, la belle commence à gémir, pire la forêt commence à entendre son brame comme les cerfs au moment du rut.
Moi aussi ce sexe qui a réussi à pénétrer entièrement ma grotte intime commence à faire monter mon plaisir.
Je passe ma main entre nous et je sais qui me pénètre pour mon plus grand bonheur, ma vulve se souvenant des pénétrations qu’elle m’a fait subir près de la piscine de chez Valérie le jour de mon anniversaire.
Aurélie arrive au paroxysme de son bonheur, sa vulve semble chaude comme la braise, Jacky lui aussi va exploser.
Au moment fatidique, où tous les quatre nous allons faire exploser nos corps, un cri de rage nous coupe tous nos effets.

• Salope, je savais bien que tu étais une pute.

Je vois Jean-Marie se précipiter sans ménagement sur la pauvre Aurélie qui valse au sol, il commence à empoigner Jacky qui a ce qu’il faut comme muscle pour répliquer.
Avec autant de soudaineté ma chatte est désertée.
Mon inconnu qui est loin de l’être pour moi vient les séparer, Tof tire le bras de l’un, le bras de l’autre et finit par se prendre une baffe qui l’envoie sur les fesses.
Aurélie s’est relevée et vient se blottir le long de ma poitrine.
Les deux mâles se battent pour leur femelle et et étant de force égal ont du mal à se départager.
Une fusée passe près de moi et vient empoigner les deux belligérants.
Deux grands bras les prennent par le cou et arrivent à les maintenir assez éloigner l’un de l’autre pour arrêter le combat. Yann vient d’entrer dans la danse.
Jean-Marie se dégage d’un mouvement brusque et recule dans le chemin par où il est arrivé venant du camion.
Jacky fait un mouvement pour le ressaisir. Yann arrive à l’arrêter et lui casse son élan.

• Aurélie vient, on s’en va !

Ce sentant protéger, elle lui balance quelques vérités.

• Pas question, j’en ai marre de ta jalousie maladive.
Depuis que je t’ai cédé sur le dernier tournage avec Johnny aux Seychelles tu me pourris la vie !
Tu te colles toujours à mes basques et je ne peux même plus m’amuser.

Jean-Marie tourne les talons et part vers les voitures.
En quinze secondes les cris qui ont ponctué la bagarre ont rameuté tout le groupe.
Tous nous entourent cherchant à savoir ce qui vient de se passer.
Johnny est là, je lui raconte ce que nous venons de vivre.
Il réfléchit.

• Il doit être au camion à ruminer ce qu’Aurélie vient de lui dire et il sera calmé quand nous repartirons.
Allons filmer les deux trois scènes qu’il me reste à faire pour avoir une bonne partie du film tourné dès le premier jour.
• Lâche-moi ?

Jacky se rappelle au bon vouloir de Yann qui le tient toujours par le col.
Il s’approche d’Aurélie et la récupère dans ses bras.
Comme une enfant elle pleure sur son épaule.

• Tient regardez, on a gagné le ballon de volley qu’il a ramené et laissé !

Nous repartons sur la plage et nous jouons au volley dans deux terrains tracer dans le sable.
Sous deux angles différents, les deux caméras nous film.
Johnny insiste sur les seins des filles partant dans tous les sens chaque fois que nous sautons étant en extension pour renvoyer le ballon.
D’un seul coup, Anne le prend dans ces bras comme pourrait le faire un gardien de but de football et le lance sur Aline placé dans le terrain adverse.
Sa jumelle attrape le ballon sans qu’il tombe au sol.
Elle le renvoie sur Adrien qui ne peut la saisir.
La partie de volley tourne en balle au prisonnier.
Un à un mon équipe élimine celle d’Alain.
Épuisé nous tombons tous sur le sable chaud.

Bizarrement, est-ce l’altercation à l’orée de la forêt qui faut son effet, mais les couples légitimes se reforment, d’autres illégitimes mais complémentaires aussi.
Alain retrouve Odile, il est déjà dans son sexe. Ma copine semble apprécier.
Chantal se fait prendre en levrette par Adrien lui aussi retrouvant sa légitime.
Fabienne se fait prendre la rondelle par Christian.
Ils se sont positionnés l’un derrière l’autre sur les serviettes de bain que nous avons apporté, Fabienne relevant sa jambe pour qu’il la pénètre mieux.
Adonis est couché sur le dos et Anne est empalée par la chatte de son étalon.
Yann a l’air d’apprécier la vulve de Virginie qui lui suce la queue dans un très beau 69.
Aline et Madeleine se caressent les seins et la vulve.
Pour une fois notre amie a oublié d’apporter un livre et de s’isoler comme elle sait très bien le faire.
Véronique a invité Sébastian à la prendre par-derrière. Il la laboure et ma grande cochonne semble énormément apprécier.
Marie-Ange en bonne copine lui prend les lèvres tout en recevant Phil dans sa chatte.
Je reçois Valériane dans mes bras et je suis en ce moment en train de lui nettoyer la minette tout en me faisant une fois de plus enfiler par ma seule couille Tof.
Sans oublier ceux par qui tout ceci est arrivé, Jacky tient Aurélie dans ses bras. Ils sont assis à se regarder les yeux de l’un dans les yeux de l’autre. Je peux vous assurer qu’ils sont seuls au monde.
Et autour de cette partouze gigantesque Johnny et Audrey film à tous va ces diverses copulations aidées par les deux techniciens restants.
Les uns après les autres les couples finissent par prendre leur plaisir.
Les chattes, les culs ou les bouches se remplissent de foutre qui coule à flots sur cette plage magnifique mais hélas trop dangereuse pour la baignade.
L’un après l’autre, nous nous allongeons au bord de l’eau appréciant les vagues qui viennent refroidir nos corps.
Il est l’heure de prendre le chemin du retour et d’aller retrouver le cocu jaloux aux voitures.
Nous refermons les caisses des techniciens et nous remontons le chemin.
Yann ouvre la marche et nous avons pris le soin de placer le nouveau couple à l’arrière de la colonne.
Lorsque nous arrivons le camion est parti, Jean-Marie au sommet de sa colère à du retourné à Saint Palais.
Nous arrivons à caser matériel et personnes dans les voitures restantes.
Nous remontons à travers la forêt et à la grande côte, nous nous arrêtons pour prendre un rafraîchissement bien mérité.
Vingt-cinq personnes qui prennent place à la terrasse, le barman seul à cette heure de l’après-midi est épuisé lorsqu’il nous sert la dernière boisson.
Nous repartons, arrivé à la villa le camion est là, les clefs sont au volant. Alain, Adrien et Adonis entre dans ma villa et Yann, Christian et Sébastian vont visiter celle de Jacky.
Tous retournent bredouilles sauf Yann qui donne un papier trouvé sur la table de nuit où Jean-Marie a dormi avec Aurélie la nuit dernière.
Sur ce papier deux mots. « Je démissionne »
• Bon vent, nous assurerons le reste du tournage avec les trois autres techniciens, il commençait à me courir avec son éternelle jalousie.

C’est Johnny qui vient de s’exprimer semblant bien connaître le personnage qui lui a donné souci sur plusieurs tournages.
Très fort pour séduire les filles présente mais incapable de se contrôler alors qu’ils tournent des films X et que souvent tous sont assez libertins.
Il est dix-neuf heures, dans une heure nous aurons peut-être la chance de voir arriver Jacqueline et Louis nos joggeurs matinaux.

Alors que nous sommes sur la terrasse à prendre l’apéritif, les hommes entrent en transportant un objet volumineux. Ils déposent un podium tournant qu’ils ont construit dans le garage de la villa de Jacky pour nous faire la surprise. Il est de même dimension que celui qu’ils avaient installée pour mon anniversaire.
Les techniciens de Johnny viennent de l’aider à poser le système mécanique lui permettant de tourner.

• Qui veut l’essayer avec moi ?

Moi, moi, moi, moi crie en cœur toutes les femmes présentes.

• Et ! Mesdames, vous allez tous casser, le plateau peut supporter quatre personnes maxi.
• En tant que constructeur, je désigne. Christine maîtresse de maison, Virginie celle sans qui aucuns d’entre nous n’aurions connu de si divins moments et bien sûr Odile mon épouse grande spécialiste des plateaux tournants.

Je m’installe en levrette imitée par mes deux comparses qui se partagent en trois tiers le plateau.
Alain branche le courant, la vitesse est lente.
Je le vois jouer avec une boîte, le plateau s’accélère, il tourne dans l’autre sens il ralentit.

• Tu vois Christine, les deux techniciens nous ont aidés.
Ils ont eu l’idée de perfectionner le système en ajoutant un variateur qui augmente ou ralentit les rotations.
À vous, mesdames préparer les chattes de nos bacchanales toujours prêtes à se faire enfoncer une bite dans le vagin…

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