Femme BCBG, escorte, non, pute… (75) - histoire érotique

Nous avons tourné la dernière scène et nous avons pu sans encombre traverser la rue pour retourner chez moi.
Nous nous retrouvons sur la terrasse.
Katia et Sindy vont manger avec nous, nous restons sagement habillés.
Les bonnes pattes se dévouent pour placer les tables et mettre le couvert.
Je donne le coup de téléphone prévu avec la charcuterie afin qu’il me livre le repas que j’ai commandé.

Johnny demande la parole.

• Merci encore à tous, Christine Tof a été fou avec ses copains de te promette le tournage d’un film pour ton anniversaire.
Bref c’est dans la boîte, Audrey et moi pourrons faire le montage à Paris.

On sonne, l’équipe qui doit nous préparer et servir le repas est arrivée.
Ils nous servent un panel de produits régionaux.
Ils nous ont servi à l’apéritif un pineau des Charente blanc ou rouge.
En entrée, le vrai melon charentais.
Suivi de Coquilles Saint-Jacques à la fondue de poireaux.
Une Chaudrée royannaise.
Un chevreau à l’ail et aux aromates.
Le célèbre chabichou du Poitou.
Et en dessert une glace au melon Charentais.
Le tout arrosé d’un vin rouge de la région.
Café et un petit verre de Cognac pour ceux qui restent ici.

Repas dans la bonne humeur.
Je vois Véronique se rendre vers l’étage et se dirige vers les petits coins.
J’attends qu’elle sorte de son isolement et nous entrons dans ma chambre.

• Comment se fait-il que Johnny a ton collier autour du cou ?

Je lui narre les péripéties de la nuit sur la terrasse et je lui demande de me rendre un service.
Elle accepte, nous redescendons près de nos amis bien que ma chatte me démange et de goûter à celle de ma copine.
En fin d’après-midi, je demande à tous de se préparer et de se répartir dans les voitures sans prendre la camionnette.

Je les emmène dans un endroit incontournable pour les habitués de la région. J’ai téléphoné pour réserver et nous pouvons nous installer à Saint Georges-de-Didonne pour déguster les célèbres tartes aux Prunes.
Bonne journée pour notre ligne mais il est normal de reprendre des forces après ce que nous avons subi et allons subir ce soir dans notre dernière soirée tous ensemble.
Au moment de repartir, la plupart des membres du groupe souhaitent s’arrêter au casino.
Katia et Sindy ont interdiction d’entrer, je me propose de les ramener.
Nous arrivons à la villa et Katia place la petite dans son parc sur la terrasse.
Nous nous allongeons et j’entame une discussion.
Assez banale au début, rapidement, elle oriente la conversation vers les plaisirs que la femme peut se procurer.
J’ai beau essayer de lui faire comprendre qu’à son âge elle avait le temps d’attendre, inlassablement elle me relance sur des sujets scabreux.
Je trouve une porte de sortie.

• Katia, Anne m’a dit que tu as eu dix-sept ans le 8 septembre dernier.
• Oui.
• Es-tu toujours pucelle ?
• Oui, j’ai flirté avec un copain de classe.
Un jour il est venu à la maison mes parents étaient absents.
Nous étions sur mon lit, il a voulu enlever ma culotte, j’ai refusé.
Il est parti et jusqu’à la fin de l’année j’ai eu droit à leurs quolibets.
Pour eux j’étais la pucelle du lycée.
J’ai peur que la force ne me manque et que cela continue à la rentrée j’envisage de le faire avec le premier mâle qui souhaitera me le retirer.
• Katia, dans moins d’un mois, le jour de tes dix-huit ans je t’emmènerais dans un lieu que je connais et où j’aurais tout organisé pour te faire connaître l’amour physique, ainsi l’an prochain, pendant les vacances, si tu le décides, tu seras de toutes nos soirées.
• Merci Christine, je te promets d’être sage.

Il est l’heure de faire manger Sindy et que Katia l’emmène se coucher.
Je l’aide à la préparer.
Elle vient de partir lorsque la smala arrive.
Choux blancs, aucun ou aucune n’a gagné mais ils ont passé un bon moment de franche rigolade.

La première chose que je remarque c’est que Véronique a réussi le pari que je lui aie lancé. Audrey porte fièrement son collier.
Le repas de ce midi plus la tarte aux prunes aucun de nos amis ne désire manger, un simple rafraîchissement leur suffit.
Je lance un jeu.

• Qui veut jouer aux chaises musicales ?

Tous sont partants.

• L’enjeu, lorsqu’il restera les deux finalistes, c’est que le gagnant pourra disposer du perdant ou perdante pendant une heure.
Claude et Willy démarrez la sono.
Les filles mettez les chaises en place.

Un à un les joueurs sont éliminés.

• Stop on s’arrête, il reste deux chaises pour trois joueurs. Yann, Tof et Jacqueline.

J’avais tout prévu sauf le scénario qui risque de nous laisser les deux hommes entre eux.

• Modification du règlement, nous allons faire un tour préliminaire pour éliminer un des deux hommes à moins qu’ils souhaitent nous présenter un spectacle homosexuel.
• Attendez, moi je suis partant.

C’est Tof qui vient de parler nous montrant son ouverture d’esprit.

• Moi celui qui me bourrera le fion doit venir au monde dans plusieurs années, alors faisons un tour préliminaire.
• Claude musique.

C’est Yann qui gagne me frustrant de voir ces deux hardeurs s’enculer.

• La finale va donc opposer la belle Jacqueline à Yann le hardeur, musique.

Quand elle s’arrête, Yann est le mieux placé pour s’asseoir, Jacqueline donne un coup de pied dans la chaise. Yann tombe lourdement sur son séant, elle ramasse la chaise et pose le sien.

• Jacqueline, que décides-tu pour Yann.

Elle le fait monter sur le podium.

• Si toutes les femmes sont d’accord, tu les honoreras pendant cinq minutes l’une après l’autre.

Nous tirons au sort l’ordre de passage.
Jaqueline ayant gagné demande un avantage, elle veut passer deux fois la première et la dernière et faire coup double.
Demande acceptée.
Jacqueline enlève le maillot de Yann et lui prend résolution la bite en bouche. Comme à son habitude sa hampe se déploie.
Elle le suce, l’aspire, donne de petits coups de dents qui ont l’air de le surprendre. Top.

• À toi Aline.

La petite veut monter sur le podium, il lui prend la main, la saisie à la taille et vient directement l’asseoir sur sa verge.
Elle le prend par le cou.
Simplement en lui soulevant les fesses sous ses mains, il la fait descendre et monter comme s’il soulevait un sac de plume.
Aline dans les cinq minutes arrive même à jouir une fois.
Cinquante minutes qu’il nous prend chacune à notre tour.
En levrette, couchée sur le dos, dans nos chattes, nos culs, nos bouches et pourtant si la moitié d’entre nous à démarrer au moins une fois, il bande toujours tout cela sans décharger.
J’ai tiré le dernier numéro avant Jacqueline.
Il souhaite me prendre en levrette, je m’installe, je pause mes avants bras sur le tourniquet pour bien creuser mes reins.
Il s’approche et entre directement dans ma foune.
Bien, exactement ce que j’espérais.
Il est resté debout jambes légèrement fléchies. Position difficile même pour un hardeur.
Je me fais bourrer deux minutes et d’un seul coup je mets en pratique ce que Frédérique m’a appris, je mets en marche mes muscles vaginaux jusqu'à arriver à les serrer tellement fort que j’arrive à le coincer.
Il est tellement surpris, qu’il se déverse dans ma chatte.
Un deux je suis dans l’incapacité de compter le nombre de jets qu’il propulse en moi car un frisson montent le long de ma colonne vertébrale qui déclenche ma jouissance.
Je reprends mon souffle la tête dans mes bras et la croupe en l’air.
Le plateau tourne, je passe dans l’axe de Jacky qui a pris Aurélie.
Elle est comme hier assise sur sa verge.
Sur la chaise d’a coté, Adonis dans la même position s’occupe d’Anne.
Virginie les seins posés sur la table se sodomiser par Sébastian.
Chantal est honorée par Phil.
Véronique sur un transat comme à son habitude depuis qu’elles se sont trouvées est embrassée par Marie-Ange avec la participation de Madeleine qui pour une fois a posé son livre et s’occupe de ses seinsBref ma terrasse est le lieu d’une partouze géante.
Je croise le regard de Jacqueline contemplant le sexe de Yann qui sera incapable dans les moments présents de la satisfaire comme elle l’avait prévu de le faire comme gagnante de notre jeu.
Louis s’est placé derrière elle et je vois nettement que ces doigts sont dans sa chatte.
Elle va avoir une grosse compensation maritale.
Elle tourne la tête vers sa convoitise et prend la bouche de son mari.
De plus elle ignore la surprise qui l’attend.
Eh bien, sur, Johnny et Audrey caméra en main ne manque aucune image intéressante…