Femme BCBG, escorte, non, pute… (76)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 21-06-2016 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Femme BCBG, escorte, non, pute… (76)
Je pourrais dire qu’enfin le tournage de mon CD cadeau d’anniversaire est terminé mais ce serait reconnaître que bientôt Tof et ses copains vont nous quitter.
Avant ce moment je souhaite que la fête qui débute sur la terrasse laisse des souvenirs impérissables à tous ceux qui vont y participer.
Comme chaque fois que nous nous dépensons, nous prenons un rafraîchissement.
Lorsque tous ont bien récupéré, je monte sur le podium et demande à Johnny de me rejoindre. Il monte très confiant. Il a gardé lui aussi son slip de bain sur sa virilité que j’ai aimé avoir en moi.
• Écoutez-moi, je voulais te faire monter sur ce tourniquet pour que l’ensemble des participants à nos deux jours de tournage te fasse une ovation.
Tous applaudissent.
• Pour te récompenser d’avoir accepté de réaliser mon CD nous allons te faire un cadeau.
Je déplie sa laisse que je gardais au creux de ma main. J’attache le mousqueton à son anneau.
• Voilà ton cadeau !
Véronique arrive de la salle tenant Audrey avec la laisse du collier aux émeraudes vert.
Elles sont nues toutes les deux et le contraste de la rousse incandescente et de la brune aux seins comme des flotteurs sont saisissants.
Les deux femmes approchent du tourniquet.
Véronique fait monter notre amie.
• Johnny, acceptes-tu de faire l’amour à ton amie Audrey ?
• Je t’ai promis hier au soir de te suivre aujourd’hui quand tu me mettras ma laisse.
Comme Audrey semble tributaire de la laisse que Véronique lui a passée autour de son cou, j’accepte votre cadeau à la seule condition qu’Audrey me donne son accord !
• Au oui, Johnny il y a si longtemps que je t’attends.
Je défais les deux laisses et je descends de l’estrade.
Je leur ai enlevé les laisses pour qu’ils choisissent librement de s’accoupler.
Johnny prend la tête d’Audrey dans ses mains, avance ses lèvres vers celles de notre amie.
Leur bouche se trouve.
Je sens sa langue prendre sa langue.
Johnny est aussi doux avec Audrey qu’il a été avec moi.
Le futur amant fait descendre le corps de sa future maîtresse à hauteur de son sexe.
Elle accepte sans se faire prier pour l’avaler le plus qu’elle peut car il se redresse au maximum de ses possibilités qui sont très grandes et grosses je le sais bien.
Nul doute que la coquine va rapidement chanter lorsque cette épée va la pourfendre.
Cela arrive rapidement, Johnny avec son l’épée la fait se coucher consentante sur le podium, s’agenouille et entre directement dans son fourreau.
Malgré tous les gens qui les regardent, au visage qu’ils nous montrent les deux amants sont seules au monde.
Audrey l’aide à aller plus loin en elle en avançant violemment son bassin vers l’épée de son chevalier.
Dans de grands cris très démonstratifs, ils atteignent l’orgasme en même temps.
Johnny s’effondre sur sa belle damoiselle.
• Couper !
Alain toujours plein d’humour vient de lancer ces mots très présents entre nous depuis deux jours.
Il a raison, Audrey sur ma demande m’a confié sa caméra et j’ai filmé l’intégralité de la scène.
Je me rapproche du couple avec Véronique chacune récupère son collier.
Nous nous approchons de Jacqueline et Louis et leur attachons à leur cou.
Johnny et Audrey émergent de leurs plaisirs, je les vois partir s’isoler dans les bras l’un de l’autre dans un coin de la terrasse.
Je saute sur le tourniquet.
• Louis et Jacqueline rejoignez-moi.
Ils arrivent le visage un peu angoisser.
La présence des colliers que je leur aie passée doit être la cause de leur angoisse.
Je mets ma laisse au collier de Louis, Véronique à celui de Jacqueline.
• Mes amies, hier lorsque vous êtes arrivé, Jacqueline m’a dit qu’elle ignorait les amours féminins.
J’ai immédiatement remédié à ce manque lorsque je l’ai emmené se doucher après qu’elle se soit fait prendre par son mari et Sébastian.
Mais avant je lui avais promis que je vous la livrerais mesdames.
Je tiens toujours mes promesses, mais je vous livre le couple messieurs, mesdames. Ils sont à vous selon votre bon vouloir, s’ils sont d’accord bien sûr !
Jacqueline ?
• Avec Véronique tu nous pièges, quand vous nous avez passé vos colliers nous avions compris ce qu’ils engendraient.
Nous avons accepté, nous acceptons mais dite vous bien que nous soyons enchantés d’accepter tout ce que vous allez nous faire.
Es-tu d’accord Louis ?
• Si cela te fait plaisir bien sûr mon amour !
La plupart de nos amis s’étant rassemblés autour de l’estrade, elle saute directement dans les bras de Sébastian qui est le plus proche.
Louis fait monter Odile près de lui et lui prend la bouche qu’elle lui abandonne.
Tout en gardant Audrey dans ses bras, j’aperçois Johnny qui indécrottable a pris sa caméra et film ce qu’il peut saisir d’intéressants.
Je suis moi-même pris dans le tourbillon que j’ai déclenché.
Alors que je viens de quitter le sexe d’Adrien qui était venu se ficher dans ma bouche, je sens une main qui prend la mienne.
• Viens !
Je suis la main qui m’entraîne à l’intérieur me fait monter dans notre chambre car c’est Virginie qui veut m’avoir pour elle seule.
Nous roulons directement sur le lit.
Elle me prend la chatte.
Je me retourne et croque la sienne.
En moins de trois minutes son corps m’expulse ses longs jets qui deviennent indispensables à chacun de nos ébats.
Je la bois énormément mais j’en veux plus, je reprends le sexe de ma meilleure amie dans ma bouche.
Je mordille délicatement ses grandes lèvres entre mes dents.
Je suis une deuxième fois récompensée la grande injecte sa cyprine de sa chatte à ma bouche et une nouvelle fois j’aspire tout voulant éviter d’en perdre la moindre goutte.
Nous nous retrouvons enlacées et nous passons un grand moment les yeux dans les yeux sans émettre la moindre parole.
Quand nous sentons notre tension redescendre, Virginie me donne une bonne nouvelle mais je savais que si elle nous a isolés c’est pour me dire qu’une mission m’attend.
• Tu dois te douter qu’un coup de téléphone de l’organisation ma prévenue que Carl organise un congrès avec beaucoup de participants et participantes.
Il souhaite le maximum de filles à l’hôtel Mercure de Bordeaux ainsi que deux, trois ou quatre couples pour vendredi soir Vingt heures.
Pour te rassurer et surtout Fabienne, nous n’avons perdu aucun contrat.
Peux-tu faire le tour de ceux qui sont partants au tarif habituel ?
Aucun problème, tu auras la réponse avant midi.
En peu de temps elle dort.
Je me lève et je fais le tour de la terrasse Véronique et Marie-Ange ont récupéré Adonis, Phil et Madeleine.
Alain et Odile ont évité à Jacqueline et Louis de repartir au pont du diable.
Fabienne et Christian sont avec Valériane.
Je monte voir les petites.
Aucun bruit, j’ouvre discrètement la porte.
Katia est là couchée avec Anne, Sindy entre elles.
Anne a gardé son string et Katia est en pyjamas.
Il faudra demain que je lui demande comment elles ont atterri là.
Je redescends le rez-de-chaussée est vide, sur la terrasse Johnny et Audrey sont toujours couchées mais sur le même transat.
Je m’approche et m’installe à leurs côtés.
Johnny ouvre les yeux et me vois.
• Merci Christine de ce que tu viens de nous apporter.
J’avais envie de provoquer un rapprochement avec Audrey mais moi qui filme du cul du matin au soir j’hésitais.
J’ai secrètement espéré lui faire subir les derniers outrages avec son consentement et tu nous as permis de réaliser ce qui depuis des mois pouvait être un fantasme.
Si Audrey me le permet et malgré la fatigue qui commence à monter en moi, veux-tu faire une dernière fois l’amour avant notre départ.
Tu as remarqué comment j’aime me faire baiser, si dans de nombreuses années je me retourne sur ma vie pouvoir dire que cette année au mois d’août j’ai pu me prendre un bon coup et que je l’ai refusé, souvent toi qu’il y a peu et surtout l’année dernière j’ignorais ce que pouvait supporter mon corps.
Johnny regarde Audrey qui d’un battement de ses cils lui donne son accord.
Il se glisse au pied de son transat, viens à la hauteur de mon intimité et y dépose sa langue.
J’écarte d’une manière impudique, mes jambes au plus grand de mon compas et la fait tourner comme une toupie ce que personne ne m’avait fait.
Il me fait tendre le corps et fait monter un orgasme si rapide que je suis moi-même surprise.
Pendant ce temps Audrey est venue à hauteur de son sexe et le gobe goulûment.
Quand il est au paroxysme de sa turgescence et est en état de me pénétrer, elle le fait entrer en moi.
• Comme hier Johnny fait moi l’amour avec une pénétration lente comme tu me la fais hier, je veux que nous profitions au maximum de la quiétude de cette nuit étoilée, Audrey vient me donner ta bouche, tu sais que j’ai appris à aimer aussi bien les hommes que les femmes.
• Tu vas voir ma belle cochonne de quoi je suis capable.
Ainsi pénétré, il entre, sort, entre, sort très lentement.
Audrey tient sa bite en main et aide à rythmer sa pénétration.
• Audrey, il faudra qu’il te fasse ce qu’il me fait.
Sexe rempli, sexe vide, rempli, vide, il me sexe comme le clignotant de ma voiture.
Ce petit jeu produit ses effets et la jouissance tant espérée quand je fais l’amour sort de sa cachette et vient titiller mes reins.
Audrey enjambe nos corps et vient poser son clito sur mes lèvres.
Alors que le plaisir continue à monter en moi, le sien démarre rapidement.
Dans un dernier feu d’artifice, nous explosons tous les trois et nous retombons pour récupérer…
Avant ce moment je souhaite que la fête qui débute sur la terrasse laisse des souvenirs impérissables à tous ceux qui vont y participer.
Comme chaque fois que nous nous dépensons, nous prenons un rafraîchissement.
Lorsque tous ont bien récupéré, je monte sur le podium et demande à Johnny de me rejoindre. Il monte très confiant. Il a gardé lui aussi son slip de bain sur sa virilité que j’ai aimé avoir en moi.
• Écoutez-moi, je voulais te faire monter sur ce tourniquet pour que l’ensemble des participants à nos deux jours de tournage te fasse une ovation.
Tous applaudissent.
• Pour te récompenser d’avoir accepté de réaliser mon CD nous allons te faire un cadeau.
Je déplie sa laisse que je gardais au creux de ma main. J’attache le mousqueton à son anneau.
• Voilà ton cadeau !
Véronique arrive de la salle tenant Audrey avec la laisse du collier aux émeraudes vert.
Elles sont nues toutes les deux et le contraste de la rousse incandescente et de la brune aux seins comme des flotteurs sont saisissants.
Les deux femmes approchent du tourniquet.
Véronique fait monter notre amie.
• Johnny, acceptes-tu de faire l’amour à ton amie Audrey ?
• Je t’ai promis hier au soir de te suivre aujourd’hui quand tu me mettras ma laisse.
Comme Audrey semble tributaire de la laisse que Véronique lui a passée autour de son cou, j’accepte votre cadeau à la seule condition qu’Audrey me donne son accord !
• Au oui, Johnny il y a si longtemps que je t’attends.
Je défais les deux laisses et je descends de l’estrade.
Je leur ai enlevé les laisses pour qu’ils choisissent librement de s’accoupler.
Johnny prend la tête d’Audrey dans ses mains, avance ses lèvres vers celles de notre amie.
Leur bouche se trouve.
Je sens sa langue prendre sa langue.
Johnny est aussi doux avec Audrey qu’il a été avec moi.
Le futur amant fait descendre le corps de sa future maîtresse à hauteur de son sexe.
Elle accepte sans se faire prier pour l’avaler le plus qu’elle peut car il se redresse au maximum de ses possibilités qui sont très grandes et grosses je le sais bien.
Nul doute que la coquine va rapidement chanter lorsque cette épée va la pourfendre.
Cela arrive rapidement, Johnny avec son l’épée la fait se coucher consentante sur le podium, s’agenouille et entre directement dans son fourreau.
Malgré tous les gens qui les regardent, au visage qu’ils nous montrent les deux amants sont seules au monde.
Audrey l’aide à aller plus loin en elle en avançant violemment son bassin vers l’épée de son chevalier.
Dans de grands cris très démonstratifs, ils atteignent l’orgasme en même temps.
Johnny s’effondre sur sa belle damoiselle.
• Couper !
Alain toujours plein d’humour vient de lancer ces mots très présents entre nous depuis deux jours.
Il a raison, Audrey sur ma demande m’a confié sa caméra et j’ai filmé l’intégralité de la scène.
Je me rapproche du couple avec Véronique chacune récupère son collier.
Nous nous approchons de Jacqueline et Louis et leur attachons à leur cou.
Johnny et Audrey émergent de leurs plaisirs, je les vois partir s’isoler dans les bras l’un de l’autre dans un coin de la terrasse.
Je saute sur le tourniquet.
• Louis et Jacqueline rejoignez-moi.
Ils arrivent le visage un peu angoisser.
La présence des colliers que je leur aie passée doit être la cause de leur angoisse.
Je mets ma laisse au collier de Louis, Véronique à celui de Jacqueline.
• Mes amies, hier lorsque vous êtes arrivé, Jacqueline m’a dit qu’elle ignorait les amours féminins.
J’ai immédiatement remédié à ce manque lorsque je l’ai emmené se doucher après qu’elle se soit fait prendre par son mari et Sébastian.
Mais avant je lui avais promis que je vous la livrerais mesdames.
Je tiens toujours mes promesses, mais je vous livre le couple messieurs, mesdames. Ils sont à vous selon votre bon vouloir, s’ils sont d’accord bien sûr !
Jacqueline ?
• Avec Véronique tu nous pièges, quand vous nous avez passé vos colliers nous avions compris ce qu’ils engendraient.
Nous avons accepté, nous acceptons mais dite vous bien que nous soyons enchantés d’accepter tout ce que vous allez nous faire.
Es-tu d’accord Louis ?
• Si cela te fait plaisir bien sûr mon amour !
La plupart de nos amis s’étant rassemblés autour de l’estrade, elle saute directement dans les bras de Sébastian qui est le plus proche.
Louis fait monter Odile près de lui et lui prend la bouche qu’elle lui abandonne.
Tout en gardant Audrey dans ses bras, j’aperçois Johnny qui indécrottable a pris sa caméra et film ce qu’il peut saisir d’intéressants.
Je suis moi-même pris dans le tourbillon que j’ai déclenché.
Alors que je viens de quitter le sexe d’Adrien qui était venu se ficher dans ma bouche, je sens une main qui prend la mienne.
• Viens !
Je suis la main qui m’entraîne à l’intérieur me fait monter dans notre chambre car c’est Virginie qui veut m’avoir pour elle seule.
Nous roulons directement sur le lit.
Elle me prend la chatte.
Je me retourne et croque la sienne.
En moins de trois minutes son corps m’expulse ses longs jets qui deviennent indispensables à chacun de nos ébats.
Je la bois énormément mais j’en veux plus, je reprends le sexe de ma meilleure amie dans ma bouche.
Je mordille délicatement ses grandes lèvres entre mes dents.
Je suis une deuxième fois récompensée la grande injecte sa cyprine de sa chatte à ma bouche et une nouvelle fois j’aspire tout voulant éviter d’en perdre la moindre goutte.
Nous nous retrouvons enlacées et nous passons un grand moment les yeux dans les yeux sans émettre la moindre parole.
Quand nous sentons notre tension redescendre, Virginie me donne une bonne nouvelle mais je savais que si elle nous a isolés c’est pour me dire qu’une mission m’attend.
• Tu dois te douter qu’un coup de téléphone de l’organisation ma prévenue que Carl organise un congrès avec beaucoup de participants et participantes.
Il souhaite le maximum de filles à l’hôtel Mercure de Bordeaux ainsi que deux, trois ou quatre couples pour vendredi soir Vingt heures.
Pour te rassurer et surtout Fabienne, nous n’avons perdu aucun contrat.
Peux-tu faire le tour de ceux qui sont partants au tarif habituel ?
Aucun problème, tu auras la réponse avant midi.
En peu de temps elle dort.
Je me lève et je fais le tour de la terrasse Véronique et Marie-Ange ont récupéré Adonis, Phil et Madeleine.
Alain et Odile ont évité à Jacqueline et Louis de repartir au pont du diable.
Fabienne et Christian sont avec Valériane.
Je monte voir les petites.
Aucun bruit, j’ouvre discrètement la porte.
Katia est là couchée avec Anne, Sindy entre elles.
Anne a gardé son string et Katia est en pyjamas.
Il faudra demain que je lui demande comment elles ont atterri là.
Je redescends le rez-de-chaussée est vide, sur la terrasse Johnny et Audrey sont toujours couchées mais sur le même transat.
Je m’approche et m’installe à leurs côtés.
Johnny ouvre les yeux et me vois.
• Merci Christine de ce que tu viens de nous apporter.
J’avais envie de provoquer un rapprochement avec Audrey mais moi qui filme du cul du matin au soir j’hésitais.
J’ai secrètement espéré lui faire subir les derniers outrages avec son consentement et tu nous as permis de réaliser ce qui depuis des mois pouvait être un fantasme.
Si Audrey me le permet et malgré la fatigue qui commence à monter en moi, veux-tu faire une dernière fois l’amour avant notre départ.
Tu as remarqué comment j’aime me faire baiser, si dans de nombreuses années je me retourne sur ma vie pouvoir dire que cette année au mois d’août j’ai pu me prendre un bon coup et que je l’ai refusé, souvent toi qu’il y a peu et surtout l’année dernière j’ignorais ce que pouvait supporter mon corps.
Johnny regarde Audrey qui d’un battement de ses cils lui donne son accord.
Il se glisse au pied de son transat, viens à la hauteur de mon intimité et y dépose sa langue.
J’écarte d’une manière impudique, mes jambes au plus grand de mon compas et la fait tourner comme une toupie ce que personne ne m’avait fait.
Il me fait tendre le corps et fait monter un orgasme si rapide que je suis moi-même surprise.
Pendant ce temps Audrey est venue à hauteur de son sexe et le gobe goulûment.
Quand il est au paroxysme de sa turgescence et est en état de me pénétrer, elle le fait entrer en moi.
• Comme hier Johnny fait moi l’amour avec une pénétration lente comme tu me la fais hier, je veux que nous profitions au maximum de la quiétude de cette nuit étoilée, Audrey vient me donner ta bouche, tu sais que j’ai appris à aimer aussi bien les hommes que les femmes.
• Tu vas voir ma belle cochonne de quoi je suis capable.
Ainsi pénétré, il entre, sort, entre, sort très lentement.
Audrey tient sa bite en main et aide à rythmer sa pénétration.
• Audrey, il faudra qu’il te fasse ce qu’il me fait.
Sexe rempli, sexe vide, rempli, vide, il me sexe comme le clignotant de ma voiture.
Ce petit jeu produit ses effets et la jouissance tant espérée quand je fais l’amour sort de sa cachette et vient titiller mes reins.
Audrey enjambe nos corps et vient poser son clito sur mes lèvres.
Alors que le plaisir continue à monter en moi, le sien démarre rapidement.
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