Femme BCBG, escorte, non, pute… (81)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-07-2016 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Femme BCBG, escorte, non, pute… (81)
J’ai rejoint mon client dans la chambre dans laquelle il m’attend.
Je sens qu’il réfléchit et qu’il est en soif de confidences.
• Ou est-elle ce soir ?
• Chez nous.
Demain je repasse à la maison changer mes affaires et vers dix-huit heures je repars pour Limoges où je dormirais pour être chez mes clients le lendemain matin.
• Donc tu n’as rien à craindre, je peux te mettre ma main sur ton sexe.
• Oui bien sur.
Petit à petit, je réussis à le décontracter.
Sa verge finit par réagir, j’écarte mes cuisses.
• Viens me sucer ma petite minette.
Je prends un ton doux pour le rassurer.
Comme s’il prenait son élan, il vient et aspire ma chatte dans sa bouche comme un mort de faim.
• Regarde George en haut de mes grandes lèvres il y a un joli bouton, suce-le délicatement, c’est mon clitoris.
La plupart des femmes prennent un grand plaisir lorsque l’on sait le stimuler.
Vas-y, ait confiance en toi !
En bon élève, il arrive facilement à trouver la vitesse et les gestes de sa langue pour me faire monter un frisson le long de ma colonne vertébrale.
Je lui demande de se retourner et de venir au-dessus de moi, je l’embouche jusqu’aux couilles.
J’arrive même à lui faire passer ma glotte.
• C’est bon Magali, pourquoi suis-je privé de ce plaisir avec Océane ?
Dans l’impossibilité de lui répondre et la vitesse où il se masturbe dans ma bouche j’ai peur qu’il ne décharge trop vite, je lui redonne sa liberté.
• Calme-toi on a tout notre temps, viens sur moi, tu vas venir en moi.
Il fait ce que je lui demande et après que je l’ai saisi pour le mettre à l’entrée de ma vulve car seul il avait du mal à mettre sa dague dans ma grotte je sens qu’il va trop vite et qu’il risque de m’inonder avant que je prenne mon plaisir.
Je fais marcher mes muscles et le bloque pour qu’il reste inerte.
Je le regarde dans les yeux, il a l’air d’être étonné des sensations que lui procure mon vagin.
Je relâche la pression lorsque sa tension est retombée, je suis obligée de répéter l’opération jusqu’au moment où la boule éclate en moi.
• Oui mon cœur lâche ton sperme au fond de mon corps.
Je sens partir son plaisir, je lui prends la bouche pour un premier baiser depuis que nous sommes ensemble.
Il me quitte et retombe sur mon côté.
• Tu vois c’est facile de faire plaisir à une femme.
Tu es très doué.
• Oui mais pourquoi Océane refuse-t-elle de me faire tout cela ?
• Tu sais les femmes ont quelquefois des comportements avec les hommes irrationnels, surtout ceux qu’elles aiment.
Veux-tu que l’on recommence avant de prendre un peu de repos ?
• Oui, je regarde des films sur mon portable lorsque je suis seul et certaine position que prennent les acteurs me font envi.
• Essayons, dirige notre jeu, que veux-tu que je fasse ?
• Fait moi bander en me suçant la bite.
• C’est bien, dit des mots osés tu vas décoincer ta libido.
Je le reprends en bouche et arrive à lui redonner de la vigueur.
• Maintenant que je rebande, fais passer tes jambes par-dessus ta tête comme si tu faisais un poirier renversé.
Il prend de l’assurance ce cher Georges, bientôt il va me faire tourner un film porno comme avec Tof ce week-end.
Je fais ce qu’il me demande, l’exercice est périlleux, je suis dans cette situation pour la première fois.
Il m’aura appris une nouvelle position malgré son inexpérience.
Il vient au-dessus de moi, prend son sexe en main et le fait descendre dans ma chatte.
• Océane, je te l’ai enfin mise comme j’avais envie, tu es ma belle salope.
Je peux t’enculer.
• Oui George ton Océane t’aime tellement qu’elle attend que tu entres dans son cul, mets-la-moi bien profonde.
Il sort de ma chatte et plonge dans mon anus, la position lui permet de s’enfoncer facilement.
• Tu vois Océane, toi qui refusais toujours que je te remplisse ta rosette, je vois que tu apprécies.
• Tu sais que c’est bon mon salop, tu me traites comme une chienne et j’aime beaucoup cela, continu, je vais jouir.
Que faut-il faire pour gagner deux mille euros, oui bon trois mille, s’il veut que je m’appelle, Océane cela est loin de me déranger !
Mon dos me tire, mes lombaires en extensions me demandent « stop ».
Océane crie, pas très fort car il continue à faire manœuvrer son sexe dans mon fondement.
Il revient dans ma chatte, profitons-en, j’essaye dans cette position de le masturber avec mes muscles intimes.
Merci Frédérique et Anne de m’avoir appris à faire fonctionner m on vagin autour d’une bite qui me taraude.
Il s’affole, je le laisse aller et enfin il éjacule.
Aussitôt qu’il est sorti, je laisse retomber mes jambes et je m’étire.
• Tu vois mon Océane, tu m’as fait bien jouir, tu es mon amour.
Dans son délire il s’allonge à mon côté et lumière éteinte, je m’endors rapidement.
Au matin, il a envie de remettre ça, je sens qu’il bande sans mon aide, j’ai déclenché en lui son instinct animal que son Océane avait bridé.
Bien sûr j’accepte, il me paye pour ce moment-là.
Je me place d’office en position de levrette et lui laisse tout le temps nécessaire pour se donner et me donner du plaisir, ce petit coup dès le matin me met en joie, c’est drôle dans son isolement dû à sa femme, cet homme me donne envie de l’aider.
Il est neuf heures quand je quitte l’hôtel.
Je retrouve la voiture de Virginie que je tourne face à la porte de l’hôtel prêt à partir.
Une demi-heure plus tard, Georges apparaît une petite valise à roulette derrière lui et se dirige vers sa voiture, il monte et démarre.
Il passe devant moi, les vitres fumées permettre que je reste cachée.
Comme je l’ai vu dans les rares films de détectives que j’ai eu l’occasion de regarder quand j’étais mariée et où je traînais ma paresse devant la télé, je lui laisse prendre un peu d’avance et je le suis.
Nous parcourons les quatre-vingts kilomètres qui nous séparent de Saujon assez rapidement.
Pas de limitations de vitesse pour lui, coup de chance aucun contrôle par un radar tout le long dû parcourt.
Au faubourg de Saujon, je ressers les distances.
J’ai descendu le protège soleil placé devant moi pour mettre mon visage dans l’ombre.
Il traverse la ville et prend la direction de Royan.
Après deux kilomètres, il met son clignotant et entre dans un lotissement.
Je m’arrête évitant de le suivre, un panneau « route sans issus » est placé sur le trottoir à son début.
Une station essence définitivement fermée placée en face me permet de me garer.
Dans le rétro, je vois sa voiture attendre l’ouverture d’un portail automatique.
La Polo entre et il descend.
Une femme, sa femme sort sur le perron, je vois nettement qu’il se fait enguirlander.
De ce que j’en voie, elle a bien la tête qu’il m’a décrite.
On dirait Fabienne quand elle est arrivée les premiers jours de ses vacances. Devant la maison une Clio blanche est garée.
J’en ai assez vu, je sais ce qu’il me reste à faire.
Je parcours les vingt kilomètres qui séparent Saujon de Saint-Palais où je retrouve tout mon petit monde.
Les initiés me demandent discrètement si tous ces biens passés.
À part une légère douleur au dos tout va bien.
Le midi nous profitons du soleil revenu pour manger sur la terrasse.
L’après-midi je vais voir Jacky.
• Jacky possèdes-tu un Caméscope.
• Non mais je sais que Louis et Jacqueline en ont un.
Je vais les voir, je trouve Jacqueline qui est en train de lire dans la chambre.
• Jacky vient de me dire que vous aviez un Caméscope, pourriez-vous me le prêter.
• Aucun problème, Louis est sur la plage et dès qu’il remonte je lui dis de te le préparer.
J’ignore ce que tu veux faire, c’est ton problème mais je lui dirais de te préparer plusieurs cassettes.
• Merci, j’ai besoin de cela en fin de journée.
En redescendant Virginie est dans la salle de bain à se doucher me montrant sa plastique.
Si je m’écoutais je me dénuderais pour la rejoindre. Je lui rapporte ma soirée d’hier et ce qui s’est passé et lui signal que je repars vers dix-sept heures ayant une affaire à régler.
• Je peux reprendre ta voiture, les vitres fumées vont m’aider.
Je vais voir Anne en retraversant la rue, les deux maisons sont utiles mais c’est fatigant.
• J’ai quelque chose à faire ce soir, je peux être en difficulté, acceptes-tu qu’Adonis m’accompagne.
• Dans quelle galère vas-tu encore te fourrer, mais bien sûr qu’Adonis va t’accompagner, il joue au volley.
• Je sais sur la plage, il semble qu’il soit avec Louis.
• Tous les hommes et quelques filles.
Grâce à son accord je suis prête à repartir ce soir.
Comme prévu je descends jusqu’au portail, tenu pantalon veste de survêtement avec capuche et lunette noire, Adonis se tient prêt et monter à mon côté, Anne l’embrasse et une nouvelle fois la différence de gabarit manque de me faire pouffer de rire.
En route, je lui explique ce que j’attends de lui et ce que j’ai vécu la veille avec mon client.
J’arrête la voiture prête à partir comme hier devant le garage désaffecté.
Comme il me la dit, Georges monte dans son véhicule à dix-huit heures.
Il est seul son cerbère reste invisible.
Je le vois passer devant moi sans qu’il ne nous aperçoive.
La radio nous aide à passer le temps dix-neuf heures rien ne se passe, Vingt heures rien ne bougent, Vingt heures vingt-cinq, la porte du perron s’ouvre et Océane sort, à cinq minutes près nous allions repartir.
La jeune femme a mis une tenue moins austère que celle que je lui ai vue hier quand elle est sortie pour accueillir son mari, mais a gardé son chignon.
Elle a des hauts tallons rouges qu’elle enlève pour conduire.
J’avais analysé quand Georges m’a raconté son histoire, que madame pouvait avoir une vie parallèle…
Je sens qu’il réfléchit et qu’il est en soif de confidences.
• Ou est-elle ce soir ?
• Chez nous.
Demain je repasse à la maison changer mes affaires et vers dix-huit heures je repars pour Limoges où je dormirais pour être chez mes clients le lendemain matin.
• Donc tu n’as rien à craindre, je peux te mettre ma main sur ton sexe.
• Oui bien sur.
Petit à petit, je réussis à le décontracter.
Sa verge finit par réagir, j’écarte mes cuisses.
• Viens me sucer ma petite minette.
Je prends un ton doux pour le rassurer.
Comme s’il prenait son élan, il vient et aspire ma chatte dans sa bouche comme un mort de faim.
• Regarde George en haut de mes grandes lèvres il y a un joli bouton, suce-le délicatement, c’est mon clitoris.
La plupart des femmes prennent un grand plaisir lorsque l’on sait le stimuler.
Vas-y, ait confiance en toi !
En bon élève, il arrive facilement à trouver la vitesse et les gestes de sa langue pour me faire monter un frisson le long de ma colonne vertébrale.
Je lui demande de se retourner et de venir au-dessus de moi, je l’embouche jusqu’aux couilles.
J’arrive même à lui faire passer ma glotte.
• C’est bon Magali, pourquoi suis-je privé de ce plaisir avec Océane ?
Dans l’impossibilité de lui répondre et la vitesse où il se masturbe dans ma bouche j’ai peur qu’il ne décharge trop vite, je lui redonne sa liberté.
• Calme-toi on a tout notre temps, viens sur moi, tu vas venir en moi.
Il fait ce que je lui demande et après que je l’ai saisi pour le mettre à l’entrée de ma vulve car seul il avait du mal à mettre sa dague dans ma grotte je sens qu’il va trop vite et qu’il risque de m’inonder avant que je prenne mon plaisir.
Je fais marcher mes muscles et le bloque pour qu’il reste inerte.
Je le regarde dans les yeux, il a l’air d’être étonné des sensations que lui procure mon vagin.
Je relâche la pression lorsque sa tension est retombée, je suis obligée de répéter l’opération jusqu’au moment où la boule éclate en moi.
• Oui mon cœur lâche ton sperme au fond de mon corps.
Je sens partir son plaisir, je lui prends la bouche pour un premier baiser depuis que nous sommes ensemble.
Il me quitte et retombe sur mon côté.
• Tu vois c’est facile de faire plaisir à une femme.
Tu es très doué.
• Oui mais pourquoi Océane refuse-t-elle de me faire tout cela ?
• Tu sais les femmes ont quelquefois des comportements avec les hommes irrationnels, surtout ceux qu’elles aiment.
Veux-tu que l’on recommence avant de prendre un peu de repos ?
• Oui, je regarde des films sur mon portable lorsque je suis seul et certaine position que prennent les acteurs me font envi.
• Essayons, dirige notre jeu, que veux-tu que je fasse ?
• Fait moi bander en me suçant la bite.
• C’est bien, dit des mots osés tu vas décoincer ta libido.
Je le reprends en bouche et arrive à lui redonner de la vigueur.
• Maintenant que je rebande, fais passer tes jambes par-dessus ta tête comme si tu faisais un poirier renversé.
Il prend de l’assurance ce cher Georges, bientôt il va me faire tourner un film porno comme avec Tof ce week-end.
Je fais ce qu’il me demande, l’exercice est périlleux, je suis dans cette situation pour la première fois.
Il m’aura appris une nouvelle position malgré son inexpérience.
Il vient au-dessus de moi, prend son sexe en main et le fait descendre dans ma chatte.
• Océane, je te l’ai enfin mise comme j’avais envie, tu es ma belle salope.
Je peux t’enculer.
• Oui George ton Océane t’aime tellement qu’elle attend que tu entres dans son cul, mets-la-moi bien profonde.
Il sort de ma chatte et plonge dans mon anus, la position lui permet de s’enfoncer facilement.
• Tu vois Océane, toi qui refusais toujours que je te remplisse ta rosette, je vois que tu apprécies.
• Tu sais que c’est bon mon salop, tu me traites comme une chienne et j’aime beaucoup cela, continu, je vais jouir.
Que faut-il faire pour gagner deux mille euros, oui bon trois mille, s’il veut que je m’appelle, Océane cela est loin de me déranger !
Mon dos me tire, mes lombaires en extensions me demandent « stop ».
Océane crie, pas très fort car il continue à faire manœuvrer son sexe dans mon fondement.
Il revient dans ma chatte, profitons-en, j’essaye dans cette position de le masturber avec mes muscles intimes.
Merci Frédérique et Anne de m’avoir appris à faire fonctionner m on vagin autour d’une bite qui me taraude.
Il s’affole, je le laisse aller et enfin il éjacule.
Aussitôt qu’il est sorti, je laisse retomber mes jambes et je m’étire.
• Tu vois mon Océane, tu m’as fait bien jouir, tu es mon amour.
Dans son délire il s’allonge à mon côté et lumière éteinte, je m’endors rapidement.
Au matin, il a envie de remettre ça, je sens qu’il bande sans mon aide, j’ai déclenché en lui son instinct animal que son Océane avait bridé.
Bien sûr j’accepte, il me paye pour ce moment-là.
Je me place d’office en position de levrette et lui laisse tout le temps nécessaire pour se donner et me donner du plaisir, ce petit coup dès le matin me met en joie, c’est drôle dans son isolement dû à sa femme, cet homme me donne envie de l’aider.
Il est neuf heures quand je quitte l’hôtel.
Je retrouve la voiture de Virginie que je tourne face à la porte de l’hôtel prêt à partir.
Une demi-heure plus tard, Georges apparaît une petite valise à roulette derrière lui et se dirige vers sa voiture, il monte et démarre.
Il passe devant moi, les vitres fumées permettre que je reste cachée.
Comme je l’ai vu dans les rares films de détectives que j’ai eu l’occasion de regarder quand j’étais mariée et où je traînais ma paresse devant la télé, je lui laisse prendre un peu d’avance et je le suis.
Nous parcourons les quatre-vingts kilomètres qui nous séparent de Saujon assez rapidement.
Pas de limitations de vitesse pour lui, coup de chance aucun contrôle par un radar tout le long dû parcourt.
Au faubourg de Saujon, je ressers les distances.
J’ai descendu le protège soleil placé devant moi pour mettre mon visage dans l’ombre.
Il traverse la ville et prend la direction de Royan.
Après deux kilomètres, il met son clignotant et entre dans un lotissement.
Je m’arrête évitant de le suivre, un panneau « route sans issus » est placé sur le trottoir à son début.
Une station essence définitivement fermée placée en face me permet de me garer.
Dans le rétro, je vois sa voiture attendre l’ouverture d’un portail automatique.
La Polo entre et il descend.
Une femme, sa femme sort sur le perron, je vois nettement qu’il se fait enguirlander.
De ce que j’en voie, elle a bien la tête qu’il m’a décrite.
On dirait Fabienne quand elle est arrivée les premiers jours de ses vacances. Devant la maison une Clio blanche est garée.
J’en ai assez vu, je sais ce qu’il me reste à faire.
Je parcours les vingt kilomètres qui séparent Saujon de Saint-Palais où je retrouve tout mon petit monde.
Les initiés me demandent discrètement si tous ces biens passés.
À part une légère douleur au dos tout va bien.
Le midi nous profitons du soleil revenu pour manger sur la terrasse.
L’après-midi je vais voir Jacky.
• Jacky possèdes-tu un Caméscope.
• Non mais je sais que Louis et Jacqueline en ont un.
Je vais les voir, je trouve Jacqueline qui est en train de lire dans la chambre.
• Jacky vient de me dire que vous aviez un Caméscope, pourriez-vous me le prêter.
• Aucun problème, Louis est sur la plage et dès qu’il remonte je lui dis de te le préparer.
J’ignore ce que tu veux faire, c’est ton problème mais je lui dirais de te préparer plusieurs cassettes.
• Merci, j’ai besoin de cela en fin de journée.
En redescendant Virginie est dans la salle de bain à se doucher me montrant sa plastique.
Si je m’écoutais je me dénuderais pour la rejoindre. Je lui rapporte ma soirée d’hier et ce qui s’est passé et lui signal que je repars vers dix-sept heures ayant une affaire à régler.
• Je peux reprendre ta voiture, les vitres fumées vont m’aider.
Je vais voir Anne en retraversant la rue, les deux maisons sont utiles mais c’est fatigant.
• J’ai quelque chose à faire ce soir, je peux être en difficulté, acceptes-tu qu’Adonis m’accompagne.
• Dans quelle galère vas-tu encore te fourrer, mais bien sûr qu’Adonis va t’accompagner, il joue au volley.
• Je sais sur la plage, il semble qu’il soit avec Louis.
• Tous les hommes et quelques filles.
Grâce à son accord je suis prête à repartir ce soir.
Comme prévu je descends jusqu’au portail, tenu pantalon veste de survêtement avec capuche et lunette noire, Adonis se tient prêt et monter à mon côté, Anne l’embrasse et une nouvelle fois la différence de gabarit manque de me faire pouffer de rire.
En route, je lui explique ce que j’attends de lui et ce que j’ai vécu la veille avec mon client.
J’arrête la voiture prête à partir comme hier devant le garage désaffecté.
Comme il me la dit, Georges monte dans son véhicule à dix-huit heures.
Il est seul son cerbère reste invisible.
Je le vois passer devant moi sans qu’il ne nous aperçoive.
La radio nous aide à passer le temps dix-neuf heures rien ne se passe, Vingt heures rien ne bougent, Vingt heures vingt-cinq, la porte du perron s’ouvre et Océane sort, à cinq minutes près nous allions repartir.
La jeune femme a mis une tenue moins austère que celle que je lui ai vue hier quand elle est sortie pour accueillir son mari, mais a gardé son chignon.
Elle a des hauts tallons rouges qu’elle enlève pour conduire.
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