Femme BCBG, escorte, non, pute… (87)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-07-2016 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Femme BCBG, escorte, non, pute… (87)
Océane après m’avoir fait voir qu’elle avait une certaine expérience des rapports féminins me dévoile qu’elle a été son parcours.
Il est surprenant mais fort intéressant à apprendre qu’à un moment de sa vie elle s’est retrouvée dans des situations ambiguës.
Dans le même temps où j’ai été mise à la porte par ma colocataire, j’ai arrêté mes études qui devaient m’amener à être professeur d’anglais.
Près de la boutique, un bar de nuit m’intriguait, il était toujours fermé à mes heures de travail, sauf une femme de ménage qui entrait et fermait derrière elle. Un soir, n’y tenant plus je suis venu traîner dans le secteur.
Je suis passée devant une fois, deux fois.
Je me suis assise sur un banc à quelques mètres ayant la vision des mouvements qui se passait dans ce lieu plein de mystère.
Plusieurs hommes sont entrés mais aussi deux ou trois couples.
J’ai même vu entrer même une magnifique femme noire perchée sur des hauts talons.
Je décidais de voir de mes propres yeux ce qui se passait dans ce lieu, j’ai poussé cette porte qui m’attirait tant.
• Tu avais peur.
Peur mais attirée à la fois.
• Laissez ouvert.
Je me suis retournée, un homme d’une trentaine d’années voulait entrer.
J’avance et je me retrouve dans un sas avec des tentures m’empêchant de voir la salle.
L’homme me prend le bras et m’oblige à avancer, il me fait entrer dans une salle constituée principalement d’un bar, sur plusieurs murs des télévisions grand écran diffuse des images de clip vidéo assez hot, les positions des acteurs ou des chanteurs ne souffraient d’aucune ambiguïté.
Au bar les couples et les hommes que j’ai vus entrer boivent leurs consommations.
Un des couples danse sur la piste centrale.
• Puis-je vous offrir un verre ?
C’est l’homme qui est entré qui me fait cette proposition.
J’accepte et nous passons un bon moment à converser.
Il m’apprend qu’il est de passage à Poitiers et qu’il est dans un hôtel à quelques mètres du bar.
Il nous commande une autre tournée.
J’avais pris le cocktail de la maison à base d’orange comme me la dit la barmaid qui n’était autre que la femme perchée sur ces hauts talons que j’avais vus entrés.
Il y avait bien de l’orange mais avec du rhum antillais très doux aux effets secondaires insoupçonnable pour moi.
L’erreur a été d’accepter le deuxième, il m’a assommé, rapidement mais jambes ont eu du mal à me porter.
• Mademoiselle, voulez-vous prendre un peu l’air ?
Il me prend par le bras et après avoir réglé me fait sortir de l’établissement, m’entraîne vers l’hôtel voisin et dans sa chambre.
J’étais sans réaction, mes vêtements se sont envolés et j’ai rapidement senti sa verge dans ma bouche.
C’était la première fois que cela m’arrivait, il m’avait fait mettre à genoux devant lui et se servait de mes oreilles qu’il avait agrippées pour donner le rythme de la fellation qu’il m’imposait.
J’ignore le temps qu’il s’est servi de ma bouche comme d’un réceptacle car j’étais dans un brouillard qui obstruait mon cerveau et ma vision.
D’un coup il m’a relevé et poussé sur le lit où je suis tombé les quatre fers en l’air, il m’a déchiré ma petite culotte et j’ai vu sa bite approcher de ma chatte et la pénétrer jusqu’au fond cette fois.
Il m’a enfilé sa verge dans la position du missionnaire et ma bourré avec des mouvements très rapides.
Je l’ai senti se retourner et sans sortir de mon sexe je me suis retrouvé sur lui, je me suis mise sur les genoux les jambes de chaque côté de son corps.
Mes mains posées sur sa poitrine j’étais maître du jeu et pouvais m’empaler sur sa tige à la vitesse que je souhaitais.
J’avais pris du plaisir avec Carla ou avec mes doigts quand mon bas-ventre me démangeait, mais je dois reconnaître que la pression de ma grotte et de mes grandes lèvres sur son sexe me procurait un plaisir multiplié par cent.
J’ai senti l’excitation montée dans sa verge et après un dernier orgasme, il a arrosé ma vulve.
Je me suis couché à ses côtés, il est allé dans la salle de bain et est ressorti pour aller au mini-bar.
Il a débouché une demi-bouteille de champagne que nous avons bu tranquillement.
Quand elle a été terminée il m’a demandé de lui redonner de la vigueur.
J’étais assise sur le pied du lit, il s’est levé et m’a présenté une nouvelle fois sa verge devant ma bouche.
• Recommence comme tout à l’heure tu suces divinement bien.
Rapidement il était dur.
• Viens sur le lit et mais toi en levrette.
C’est comment ?
• Tu ignores comment on se met en levrette, je t’explique !
Quelques secondes après je me plaçais dans la position demandée pour la première fois de ma vie avec un homme.
J’avais déjà été dans cette position avec Carla qui me léchait la chatte sans savoir que dans cette position on parlait de levrette.
Je l’ai senti venir derrière moi et me prendre par les hanches.
J’ai senti son gland se présenter un peu haut pour entrer dans ma chatte.
Son but était tout autre.
Un mouvement et sa verge a perforé mon anus.
Directement dans la cible sans fioritures.
J’ai poussé un cri de douleur et de surprise.
• Tu étais vierge de ta rosette.
• Oui, c’était ma première pénétration anale puisque j’étais vierge il y a peu.
Là encore ma maîtresse avait mis la langue mais sans pouvoir aller trop loin.
Prévenant après coup, il s’est arrêté de bouger et lorsqu’il a senti que je me décontractais il s’est remis à me labourer.
J’ai fini par sentir que ce qu’il me faisait m’était assez agréable.
Ce que j’aurais pensé impossible les minutes précédentes c’est produit, mes terminaisons nerveuses qui entourent mon anus ont commencé à se contracter et j’ai joui par le cul.
Mon anus se dilatait tout seul et a procuré à l’homme qui me sodomisait un plaisir qui la fait décharger à l’intérieur de ma rosette.
Je suis tombé épuisé sur le lit.
J’espérais pouvoir dormir mais ce monsieur ayant pris son plaisir avec moi m’a fait savoir qu’il avait un rendez-vous important le matin et qu’il souhaitait dormir seul pour récupérer.
J’ai juste eu le temps de remettre mes affaires avant qu’il m’ouvre la porte et me pousse sur le palier.
• Pour une première expérience sexuelle complète avec un homme il t’a fait la totale.
• Oui, mais ce qui est le plus marrant c’est que j’ai aimé cela.
Je suis retourné au moins une fois par semaine dans le bar.
Neuf fois sur dix des hommes m’ont emmené dans leur chambre, souvent dans l’hôtel proche du bar.
J’ai tout connu avec eux.
J’étais devenu ce que l’on appelle une salope, plus ils me bourraient plus j’avais envie qu’ils me bourrent, j’étais devenu accro aux sexes de ces inconnus.
J’ai tout connu comme je te le dis même des couples, la première fois c’est la femme qui m’a dragué avant qu’il m’emmène chez eux à l’autre bout de la ville.
C’était un couple d’une quarantaine d’années qui avait des mœurs très libres.
La femme m’a dénudé et m’a repris la bouche comme dans le bar osant même me mettre une main sur ma chatte ce qui m’a fait mouiller.
Souvent j’oubliais ma culotte en descendant de chez moi car plusieurs hommes trouvaient toujours le moyen de me l’arracher et comme j’avais pris l’habitude de mettre des dessous affriolants cela finissait par me coûter cher.
Chez elle quand j’ai été nue elle m’a carrément mis trois doigts dans la chatte pendant que je sentais son mari venir se coller dans mon dos.
La femme m’a fait tourner la tête et c’est le mari qui m’a embrassé.
Contrairement à la première fois avec l’homme dont j’ignore le nom comme tous ceux que j’ai eus comme amant après cette première expérience, les noms avaient peu d’importance.
Je montais simplement pour me servir de leurs sexes et qu’ils me baisent, j’avais pris l’habitude de boire le cocktail antillais qu’ils m’avaient offert et j’étais parfaitement lucide quand nous nous sommes mis à danser tous les trois langoureusement.
Je sentais la queue du mari toute dur se frayer un chemin entre mes cuisses et bien sûr je faisais tout pour qu’il se sente le mieux possible.
La femme c’est baisser écartant ses cuisses, elle est venue me lécher la fente du moins mon clitoris et le gland de son homme qui ressortait assez pour qu’elle puisse l’attraper avec ses lèvres.
Elle s’est allongée sur la moquette et c’est moi qui me suis mise à quatre pattes pour lui lécher entièrement la vulve écartant ses grandes lèvres aussi grandes qu’une paire d’oreilles.
Son mari est venu par-derrière et ma prise la chatte avant que sa femme pivote et qu’elle puisse me lécher le clitoris qui au fil du temps et de mes partis de baise semblait être la source de mes débordements sexuels.
J’aimais que l’on me pénètre surtout par le cul mais mon clito était toujours en feu et j’en arrivais même à me masturber en attendant l’heure d’ouverture.
Être entreprise de tous les côtés à la fois a été une source de plaisir incommensurable et qui a été la cause de plus en plus de mes tourments.
Plus je baisais et plus j’avais envie de baiser, avec cette femme et cet homme pendant les deux jours où je suis resté chez eux j’ai joui encore plus fort qu’avec mes simples amants hommes mais l’occasion de trouver des couples était assez limiter dans cette boîte de nuit plus fréquentée par les hommes.
Le lundi soir il mont déposé à deux pas de chez moi ayant tellement eu de plaisir que je suis directement monté me coucher car le lendemain la boutique ouvrait.
En ce qui concerne les couples j’en ai connu d’eux le deuxième étant venu avec un homme de leurs amis.
C’est chez lui que nous sommes allées car ils étaient de passage.
Ce jour-là j’ai appris à aimer à me faire prendre en double pénétration moment privilégié car la femme a refusé d’avoir des rapports lesbiens.
• Dommage pour elle, elle ignore ce qu’elle perdait…
Il est surprenant mais fort intéressant à apprendre qu’à un moment de sa vie elle s’est retrouvée dans des situations ambiguës.
Dans le même temps où j’ai été mise à la porte par ma colocataire, j’ai arrêté mes études qui devaient m’amener à être professeur d’anglais.
Près de la boutique, un bar de nuit m’intriguait, il était toujours fermé à mes heures de travail, sauf une femme de ménage qui entrait et fermait derrière elle. Un soir, n’y tenant plus je suis venu traîner dans le secteur.
Je suis passée devant une fois, deux fois.
Je me suis assise sur un banc à quelques mètres ayant la vision des mouvements qui se passait dans ce lieu plein de mystère.
Plusieurs hommes sont entrés mais aussi deux ou trois couples.
J’ai même vu entrer même une magnifique femme noire perchée sur des hauts talons.
Je décidais de voir de mes propres yeux ce qui se passait dans ce lieu, j’ai poussé cette porte qui m’attirait tant.
• Tu avais peur.
Peur mais attirée à la fois.
• Laissez ouvert.
Je me suis retournée, un homme d’une trentaine d’années voulait entrer.
J’avance et je me retrouve dans un sas avec des tentures m’empêchant de voir la salle.
L’homme me prend le bras et m’oblige à avancer, il me fait entrer dans une salle constituée principalement d’un bar, sur plusieurs murs des télévisions grand écran diffuse des images de clip vidéo assez hot, les positions des acteurs ou des chanteurs ne souffraient d’aucune ambiguïté.
Au bar les couples et les hommes que j’ai vus entrer boivent leurs consommations.
Un des couples danse sur la piste centrale.
• Puis-je vous offrir un verre ?
C’est l’homme qui est entré qui me fait cette proposition.
J’accepte et nous passons un bon moment à converser.
Il m’apprend qu’il est de passage à Poitiers et qu’il est dans un hôtel à quelques mètres du bar.
Il nous commande une autre tournée.
J’avais pris le cocktail de la maison à base d’orange comme me la dit la barmaid qui n’était autre que la femme perchée sur ces hauts talons que j’avais vus entrés.
Il y avait bien de l’orange mais avec du rhum antillais très doux aux effets secondaires insoupçonnable pour moi.
L’erreur a été d’accepter le deuxième, il m’a assommé, rapidement mais jambes ont eu du mal à me porter.
• Mademoiselle, voulez-vous prendre un peu l’air ?
Il me prend par le bras et après avoir réglé me fait sortir de l’établissement, m’entraîne vers l’hôtel voisin et dans sa chambre.
J’étais sans réaction, mes vêtements se sont envolés et j’ai rapidement senti sa verge dans ma bouche.
C’était la première fois que cela m’arrivait, il m’avait fait mettre à genoux devant lui et se servait de mes oreilles qu’il avait agrippées pour donner le rythme de la fellation qu’il m’imposait.
J’ignore le temps qu’il s’est servi de ma bouche comme d’un réceptacle car j’étais dans un brouillard qui obstruait mon cerveau et ma vision.
D’un coup il m’a relevé et poussé sur le lit où je suis tombé les quatre fers en l’air, il m’a déchiré ma petite culotte et j’ai vu sa bite approcher de ma chatte et la pénétrer jusqu’au fond cette fois.
Il m’a enfilé sa verge dans la position du missionnaire et ma bourré avec des mouvements très rapides.
Je l’ai senti se retourner et sans sortir de mon sexe je me suis retrouvé sur lui, je me suis mise sur les genoux les jambes de chaque côté de son corps.
Mes mains posées sur sa poitrine j’étais maître du jeu et pouvais m’empaler sur sa tige à la vitesse que je souhaitais.
J’avais pris du plaisir avec Carla ou avec mes doigts quand mon bas-ventre me démangeait, mais je dois reconnaître que la pression de ma grotte et de mes grandes lèvres sur son sexe me procurait un plaisir multiplié par cent.
J’ai senti l’excitation montée dans sa verge et après un dernier orgasme, il a arrosé ma vulve.
Je me suis couché à ses côtés, il est allé dans la salle de bain et est ressorti pour aller au mini-bar.
Il a débouché une demi-bouteille de champagne que nous avons bu tranquillement.
Quand elle a été terminée il m’a demandé de lui redonner de la vigueur.
J’étais assise sur le pied du lit, il s’est levé et m’a présenté une nouvelle fois sa verge devant ma bouche.
• Recommence comme tout à l’heure tu suces divinement bien.
Rapidement il était dur.
• Viens sur le lit et mais toi en levrette.
C’est comment ?
• Tu ignores comment on se met en levrette, je t’explique !
Quelques secondes après je me plaçais dans la position demandée pour la première fois de ma vie avec un homme.
J’avais déjà été dans cette position avec Carla qui me léchait la chatte sans savoir que dans cette position on parlait de levrette.
Je l’ai senti venir derrière moi et me prendre par les hanches.
J’ai senti son gland se présenter un peu haut pour entrer dans ma chatte.
Son but était tout autre.
Un mouvement et sa verge a perforé mon anus.
Directement dans la cible sans fioritures.
J’ai poussé un cri de douleur et de surprise.
• Tu étais vierge de ta rosette.
• Oui, c’était ma première pénétration anale puisque j’étais vierge il y a peu.
Là encore ma maîtresse avait mis la langue mais sans pouvoir aller trop loin.
Prévenant après coup, il s’est arrêté de bouger et lorsqu’il a senti que je me décontractais il s’est remis à me labourer.
J’ai fini par sentir que ce qu’il me faisait m’était assez agréable.
Ce que j’aurais pensé impossible les minutes précédentes c’est produit, mes terminaisons nerveuses qui entourent mon anus ont commencé à se contracter et j’ai joui par le cul.
Mon anus se dilatait tout seul et a procuré à l’homme qui me sodomisait un plaisir qui la fait décharger à l’intérieur de ma rosette.
Je suis tombé épuisé sur le lit.
J’espérais pouvoir dormir mais ce monsieur ayant pris son plaisir avec moi m’a fait savoir qu’il avait un rendez-vous important le matin et qu’il souhaitait dormir seul pour récupérer.
J’ai juste eu le temps de remettre mes affaires avant qu’il m’ouvre la porte et me pousse sur le palier.
• Pour une première expérience sexuelle complète avec un homme il t’a fait la totale.
• Oui, mais ce qui est le plus marrant c’est que j’ai aimé cela.
Je suis retourné au moins une fois par semaine dans le bar.
Neuf fois sur dix des hommes m’ont emmené dans leur chambre, souvent dans l’hôtel proche du bar.
J’ai tout connu avec eux.
J’étais devenu ce que l’on appelle une salope, plus ils me bourraient plus j’avais envie qu’ils me bourrent, j’étais devenu accro aux sexes de ces inconnus.
J’ai tout connu comme je te le dis même des couples, la première fois c’est la femme qui m’a dragué avant qu’il m’emmène chez eux à l’autre bout de la ville.
C’était un couple d’une quarantaine d’années qui avait des mœurs très libres.
La femme m’a dénudé et m’a repris la bouche comme dans le bar osant même me mettre une main sur ma chatte ce qui m’a fait mouiller.
Souvent j’oubliais ma culotte en descendant de chez moi car plusieurs hommes trouvaient toujours le moyen de me l’arracher et comme j’avais pris l’habitude de mettre des dessous affriolants cela finissait par me coûter cher.
Chez elle quand j’ai été nue elle m’a carrément mis trois doigts dans la chatte pendant que je sentais son mari venir se coller dans mon dos.
La femme m’a fait tourner la tête et c’est le mari qui m’a embrassé.
Contrairement à la première fois avec l’homme dont j’ignore le nom comme tous ceux que j’ai eus comme amant après cette première expérience, les noms avaient peu d’importance.
Je montais simplement pour me servir de leurs sexes et qu’ils me baisent, j’avais pris l’habitude de boire le cocktail antillais qu’ils m’avaient offert et j’étais parfaitement lucide quand nous nous sommes mis à danser tous les trois langoureusement.
Je sentais la queue du mari toute dur se frayer un chemin entre mes cuisses et bien sûr je faisais tout pour qu’il se sente le mieux possible.
La femme c’est baisser écartant ses cuisses, elle est venue me lécher la fente du moins mon clitoris et le gland de son homme qui ressortait assez pour qu’elle puisse l’attraper avec ses lèvres.
Elle s’est allongée sur la moquette et c’est moi qui me suis mise à quatre pattes pour lui lécher entièrement la vulve écartant ses grandes lèvres aussi grandes qu’une paire d’oreilles.
Son mari est venu par-derrière et ma prise la chatte avant que sa femme pivote et qu’elle puisse me lécher le clitoris qui au fil du temps et de mes partis de baise semblait être la source de mes débordements sexuels.
J’aimais que l’on me pénètre surtout par le cul mais mon clito était toujours en feu et j’en arrivais même à me masturber en attendant l’heure d’ouverture.
Être entreprise de tous les côtés à la fois a été une source de plaisir incommensurable et qui a été la cause de plus en plus de mes tourments.
Plus je baisais et plus j’avais envie de baiser, avec cette femme et cet homme pendant les deux jours où je suis resté chez eux j’ai joui encore plus fort qu’avec mes simples amants hommes mais l’occasion de trouver des couples était assez limiter dans cette boîte de nuit plus fréquentée par les hommes.
Le lundi soir il mont déposé à deux pas de chez moi ayant tellement eu de plaisir que je suis directement monté me coucher car le lendemain la boutique ouvrait.
En ce qui concerne les couples j’en ai connu d’eux le deuxième étant venu avec un homme de leurs amis.
C’est chez lui que nous sommes allées car ils étaient de passage.
Ce jour-là j’ai appris à aimer à me faire prendre en double pénétration moment privilégié car la femme a refusé d’avoir des rapports lesbiens.
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