Femme BCBG, escorte, non, pute… (89)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
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Récit libertin : Femme BCBG, escorte, non, pute… (89) Histoire érotique Publiée sur HDS le 31-07-2016 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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Femme BCBG, escorte, non, pute… (89)
C’est incroyable ce que m’apprend Océane, comment une femme peut passer d’une sexualité débridée à une femme frustrée et retournée à sa débauche.
Je suis contente que Georges ait fait appel à mes services et que j’aie pu faire découvrir à ce couple que la luxure peut être belle quand elle est partagée à deux.

Je me lève, nous nous douchons en nous savonnant l’une l’autre sagement.
Je m’habile avec une tenue légère et nous descendons Océane magnifique dans sa nudité.
Georges est là papillonnant au milieu des trois femmes qui l’entourent.

• Viens ma chérie, je veux t’embrasse, j’ai passé une nuit fantastique avec nos trois amies.
Ce sont des femmes comme toi qui sont fantastiques.
Vous êtes merveilleuses.
Marie-Ange, peux-tu t’occuper des ongles d’Océane ?
• Un café et je m’y mets.
• Georges chéri peux-tu aller me chercher ma valise, il faut que j’évite de sortir nue devant la maison ?
• Et ton maillot de bain ?
• Il a disparu, je viens de regarder sur la terrasse.

Odile sort de la cuisine avec la cafetière et nous sert un bon réconfortant.

• Océane, pendant que tu déjeunes et que Marie-Ange te fait tes ongles, j’aimerais m’occuper de tes cheveux.
• Incroyable cette villa, vous arrivez au bout de la laisse tenue par votre mari.
Vous vous retrouvez le corps vendu aux enchères.
Christine la maîtresse de maison vous console d’avoir déclenché tout ce bazar et au matin, on vous coiffe, on vous fait vos ongles, tout cela dans une bonne humeur permanente.
Je vous aime tous.

Tout le monde se retrouve autour du café et de la brioche que Madeleine a dû préparer comme à son habitude pour que chaque matin la journée commence agréablement pour tous.
J’embrasse à tour de bras, ils sont si nombreux.
Dire que lorsque nous sommes arrivés nous étions dix avec Sindy.
Fabienne s’assoit à côté de moi et me susurre à l’oreille.

• Tu me délaisses.

Je lui prends les lèvres.

• Non, je te le prouve, j’emmène Katia faire du shoping avec Océane, veux-tu nous accompagner.

Un baiser la langue venant chercher ma langue me rassure sur mon amie.
Elle a compris qu’entre nous tout est en osmose.

• Va te préparer.

Virginie arrive et me fait signe de la rejoindre à l’étage.
Je la suis dans notre chambre.

• Où en es-tu avec Océane et Georges ?
• C’est bon on les emmène.
• Bravo ma chérie, tu es la meilleure pour nous dénicher des talents.
• Jacqueline et Louis sont venus me voir, ils ont discuté après ton départ avec Fabienne.
Elle s’est coupée, tu sais qu’elle a toujours beaucoup de bagout et ils ont compris que nous étions des escortes.
Ils voudraient eux aussi vivre cette expérience.
J’ai réglé le problème.
J’ai appelé Carl, personne n’a fait de demande supplémentaire, alors j’ai trouvé la solution, j’ai appelé Frédéric et Frédérique qui sont enchantés de venir jouer les congressistes.
Ils seront à notre arrivée à l’hôtel, j’ai de nouveau contacté Carl qui s’occupe de leurs hébergements.

J’en profite pour la mettre au courant de ce que j’ai promis à Katia pour le jour de ses dix-huit ans et le scénario envisagé pour lui enlever son pucelage et qu’elle sent rappel jusqu'à la fin de ses jours.
Elle trouve mon idée sensationnelle et va tout mettre en place comme je le souhaite.
Comme moi elle pense au passeport qu’elle doit m’amener tout à l’heure.
Enfin je lui demande d’intervenir avec ses relations pour que dès la rentrée elle puisse travailler et être formée dans la recherche sur les maladies orphelines et si elle peut vivre chez nous à Chennevières.

• Aucun problème, je connais un responsable haut placé parmi mes clients de longue date.
Cela me prendra une nuit à notre hôtel habituel mais comme il a une belle et grosse queue, j’y trouverais mon plaisir.

Elle l’appelle mais met le numéro en attente.

• Pour le logement, tu peux rassurer les parents nous veilleront sur leur fille comme sur notre propre fille.

Nous redescendons, Katia est arrivée et Marie-Anne est en train de lui peindre les ongles.
Odile la coiffe aussi, la coupe qu’elle lui fait est plus jeune et plus sexy.
Océane vient me faire voir l’idée que notre amie a eue.
Elle a raccourci ses cheveux de dix centimètres et les a tressés sur le côté de son visage.
Fini le chignon austère comme celui de Fabienne et place à la nouvelle Océane.
Katia me donne son passeport, Jacqueline tient à venir aussi, je suis obligé de demander à Jacky qu’il me prête son véhicule Mercedes pour qu’elles soient dans un certain confort, ma mini étant trop exiguë.
Nous voilà parti, l’ambiance est bon enfant, Katia se trouve à l’arrière entre Jaqueline et Fabienne.
Océane a mis une petite robe à fleurs très fraîches.
Je gare la voiture et nous commençons à remonter le front de mer.
Les boutiques présentent principalement des tenues d’été.
Je cherche plutôt des tenues habillées et très jeunes.
Nous finissons par trouver notre bonheur, surtout le bonheur de Katia. Je lui offre un ensemble à la limite provocante.
La deuxième beaucoup plus sage la fait ressembler à une jeune écolière anglaise. Océane trouve deux ensembles affriolent qui vont faire bander Georges. Jacqueline souhaite parfaire sa garde-robe et trouve un ensemble aussi joli qu’elle.
Fabienne n’a rien trouver à son goût.
Je suis allé sur Internet où j’avais trouvé l’adresse de la boutique où nous nous rendons.
La pancarte lumineuse est explicite « Sexe shop »
Comme à Paris, la porte est doublée d’un rideau évitant de voir l’intérieur.
Je l’écarte et fais entrer les filles.
Elles sont étonnées d’entrer dans ce genre de lieu plus souvent visité par les hommes bien qu’un grand nombre d’objets nous soient réservés.
Le patron s’avance vers nous

• Bonjour, puis-je vous demandez si mademoiselle à plus de dix-huit ans.
• Bien sûr !
• Mademoiselle, puis-je vous demandez votre carte d’identité.

Je prends l’affaire en main.
Son passeport est dans les mains de Valérie et bien sûr à part son téléphone les jeunes filles de son âge ont rarement leur portefeuille avec elle.

• Monsieur, la carte d’identité est non obligatoire en France.
• Une autre pièce avec photo suffira.
• Monsieur, nous sommes client à Paris dans la boutique de monsieur Albert.
Le connaissez-vous ?
• À vous connaissez mon ami Albert et ils vous laissent entrer !
Mesdames, que cherchez-vous ?
• Je voudrais voir vos guêpières.

Il nous dirige vers un coin de la boutique et nous présente un échantillon des pièces qu’il peut nous fournir.
Toutes trouvent un modèle à leur envie.
Les quatre se relaient dans la cabine d’essayage.
Jacqueline, Océane et Fabienne en sorte et font admirer leur chatte car aucune n’a mis de culotte.
Katia quand elle sort l’a toujours et ses petits seins dans le soutien sein à bal-connais sont mis en valeur.
Je sens que nos amies croqueraient bien la petite mais pendant deux mois, je suis garant de sa morale même je l’ai emmenée dans un lieu sulfureux.
Pendant que j’y suis, je complète ma garde-robe et je choisis moi aussi une guêpière noire qui me met en valeur et qui va plaire lorsque je la porterai dans certains clubs échangistes et avec mes clients.
Je passe aux rayons des CD et j’en achète un que nous regarderons à la villa en même temps que des cassettes de plusieurs de nos amis hardeurs.
Je règle l’ensemble de la note et nous quittons la boutique.

• Je peux te poser une question.
• Oui Fabienne !
• Depuis quand connais-tu monsieur Albert ?

J’éclate de rire.

• Dans les dernières semaines que je viens de vivre, j’ai compris qu’un homme veut toujours apparaître comme plus intelligeant qu’une femme et surtout avoir autant voire plus de relations importantes.
Pourquoi connaîtrai-je messieurs Albert et pas lui ?
Mon bluff a fonctionné et nous avons pu entrer et servi.

De retour sur le front de mer, nous cherchons un restaurant.
Ils s’alignent côte à côte et le choix est difficile.
Katia qui est mon invité à des goûts simples et choisit une pizzeria.
Ouf Océane a échappé à Mic Picsou.
Le repas se déroule dans la bonne humeur.
Nos amies oublient la présence de la petite et profitent de notre table isolée, nous avons des propos assez équivoques.
À un moment Fabienne ayant légèrement abusé du rosé de Provence lance un défi à Jacqueline.

• Pas capable de te lever un sexe et de lui faire payer sa prestation ?
• Chiche !...

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