Femme BCBG, escorte, non, pute… (94)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 2411 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 4.2 • Cote moyenne attribuée par HDS : 10.6
- • L'ensemble des récits érotiques de CHRIS71 ont reçu un total de 12 039 187 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-08-2016 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
Cette histoire de sexe a été affichée 1 573 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
Femme BCBG, escorte, non, pute… (94)
Adonis a fait croire à Anne qu’il était mal foutu pour venir baiser Lison la maman de Katia sur la maudite table de cuisine où son papa m’a baisé et aussi sodomisé.
Adonis est une bête de sexe mais peu bavard.
Tout juste des grognements lorsque sa tension est à son comble, il la fait repartir, éjacule une nouvelle fois et se retire.
Il l’aide à descendre de la table, lui ramasse son slip de bain qu’il avait dû détacher au début de leur rapport.
• Eh bien, avez-vous pris beaucoup de plaisir ?
La foudre semble tombée sur la tête de celle qui vient de se faire baiser par notre ami black, elle a une réaction assez étonnante.
Elle saute presque dans les bras d’Adonis et se cache derrière lui.
• Tu ne crains rien ma belle, viens avec moi t’asseoir dehors pour récupérer de tes exploits.
Adonis, rends-moi service, va voir là-haut si j’y suis, bien sûr je serais muette quand je verrais Anne.
Nous sortons et je fais asseoir Lison sur la chaise du salon de jardin.
• Où est ton mari ?
• Parti pour Pontaillac.
• Et t’en profite pour te faire baiser.
• C’est une longue histoire !
• J’adore ce genre d’histoire raconte-moi.
Ce qu’elle va me raconter est impossible à inventer si vous croisiez cette femme dans la rue.
La quarantaine, habillée assez classiquement, cheveu court brun, portant des lunettes à monture noire comme celle de Fabienne à verre neutre, elle se donne un look opposé au sien qui nous fait nous retourner sur elle.
Son point fort, sa poitrine que j’ai bien pu voir quand elle frottait sur la table de cuisine de Jacky.
• Quand j’avais une vingtaine d’années j’habitais Saintes.
Jeune fille pétillante, j’avais de nombreuses amies mais j’étais vierge.
Les amours saphiques m’étaient en grande partie inconnue, juste quelques attouchements sur ma poitrine avec une copine pour comparer la grosseur de nos seins.
Certes, ces effleurements avaient bien provoqué des petites réactions le long de ma colonne vertébrale, mais mon amie avait arrêté oubliant de profiter de l’avantage qu’elle venait de déclencher en moi.
Étant assez nul dans mes études, j’ai trouvé un travail dans une boulangerie.
Le couple de mes patrons avait une particularité, la patronne était une magnifique Réunionnaise d’une trentaine année folle amoureuse de son pétrisseur de mari.
Plusieurs fois, j’ai surpris le couple dans le pétrin se prodiguant des caresses furtives.
Un matin je suis allée chercher une grille de croissant, ils étaient au fournil.
Le mari était certainement en train de préparer de la patte pour sa prochaine fournée car ses mains étaient couvertes avec de la farine et de petits morceaux de pattes commençant à se former.
Là où j’étais je pouvais entendre la sonnette de la boutique.
Afin d’éviter qu’ils ne soient interrompus, j’évitais de me montrer et de faire du bruit.
La patronne préparait un panier de pain pour me l’amener en boutique.
Placé derrière elle, il s’est approché et a enserré sa femme, elle a tourné la tête et leurs bouches se sont jointes.
Il a glissé sa main dans le chemisier sur un sein qui semblait attendre que ça.
Elle était toujours sans aucun soutien-gorge, ses rondeurs étant très fermes.
Je le savais, chaque fois qu’elle se penchait pour récupérer des brioches ou des miches de pain, ses miches fortes impressionnantes me sautaient aux yeux.
Ces miches étaient même une source de profits pour le couple, nouveau propriétaire de cette boulangerie, je les ai entendus plaisanter quand ils pensaient être seuls sur l’augmentation de leur chiffre d’affaires constaté au furent et à mesure que la jolie black osait défaire les boutons de son corsage blanc.
Il est vrai que le nombre d’hommes venant seul chercher leur pain avait plus que doublé.
Quand ils m’ont embauché huit jours après leur arrivée, madame m’a demandé d’avoir des chemisiers ou des t-shirts bien échancrés comme les siens, j’ai vite compris que si j’avais eu cette place c’était grâce à mes mamelles généreuses.
• Et tu aimais te montrer aux clients.
• Oui, autant que quand sa deuxième main s’est glissée sous la robe très courte qu’elle portait.
Avait-elle une culotte à ce jour je l’ignore, il l’a caressé pendant tout le temps de leur baiser, elle s’est libérée, le patron a monté ses doigts à son nez ?
• Ta chatte sent toujours aussi bon !
• J’aurais bien voulu manger ce pain, il a dû avoir un léger goût de plaisir.
Immédiatement il est retourné pétrir sa patte.
Quelle chance les clients ont eue quand la fournée est arrivée en boutique !
• Un matin, je suis arrivé une heure trop tôt, j’avais oublié le changement d’heure. Comme tous les jours je suis entré par l’arrière de la boutique, quand je suis passé devant le fournil, ils étaient là et ne pouvaient me voir un casier métallique pour poser les grilles des viennoiseries me cachant.
Le couple était en pleine action, non pas pour la vente dans la boulangerie mais pour leur plaisir personnel.
• Tu as bien fait de descendre un peu plus tôt avant que Lison arrive, j’ai une grosse envie.
Ce que je voyais était sidérant, la patronne était cul et seins nus, sa jupe était au sol et son chemisier ouvert.
Elle était assise sur la table de travail du pain le cul dans la patte et la farine.
Elle avait les jambes ouvertes et il l’avait prise par la chatte.
Il lui donnait de violent coup de queue.
La saillie a été très rapide, monsieur avait une grosse envie. Il a attendu qu’elle prenne son plaisir pour exploser lui-même.
Au moment de décharger, je l’ai vu sortir son sexe et arroser copieusement la patte placée sous les fesses de la jolie salope.
• Tient, les croissants auront meilleur goût ce matin.
Et il a remis sa queue dans son short.
Il s’est écarté et madame toujours dans la même position alors qu’elle se caressait de plaisir en enfonçant ses doigts dans sa vulve que je voyais bien rose comparée à ses grandes lèvres bien noires.
Elle les a essuyés dans la patte.
• Je dépose du rab !
Et ils sont partis d’un grand éclat de rire.
Elle a quitté la table, la marque de ses fesses était nettement marquée dans la pâte.
• Je vais la cuire comme cela sa nous fera un souvenir pour nos vieux jours.
• Oui, je mettrai cette miche en boutique sur la planche du haut afin d’augmenter encore nos gains.
Tous deux ont éclaté de rire, je me suis reculé jusqu’à la porte et fais assez de bruit pour qu’ils sachent que j’étais arrivée.
• C’est dans cette période qu’en suivant mes copines en boîte, j’ai fait la connaissance d’un garçon camerounais qui était en dernière année de droit et qui souhaitait retourner dans son pays dès l’année suivante.
Comme tu la compris la vision de cette chatte noire à l’intérieur rose m’avait subjugué et la carrure de cet homme aurait pu me faire craquer. Pour les femmes de ma génération nous avions encore le culte du mariage pour perdre notre virginité.
Virginité, mariage départ pour le Cameroun, m’a créé un moment de doute.
C’est huit jours plus tard que j’ai rencontré Guy qui travaillait à madame Bricolage au rayon peinture.
Je vivais avec ma maman veuve depuis deux ans.
J’avais décidé de repeindre ma chambre, Guy a très vite compris que j’étais novice dans l’utilisation des pinceaux et autres matériels.
Il m’a proposé de venir me refaire la pièce.
Le dimanche suivant il est arrivé avec la peinture et son pinceau pour attaquer le chantier.
Nous avons travaillé jusqu’à quinze heures environ et je suis incapable de te dire comment je me suis retrouvée avec son pinceau au fond de la chatte.
Il savait si bien le manier que dès notre première baise malgré la légère douleur ressentie j’ai joui.
Aux oubliettes la virginité jusqu’au mariage.
Chaque dimanche les temps passés à avancer les travaux étaient de plus en plus courts.
Il m’a tout appris, la sucette, la sodomie, la branlette entre mains saines, la masturbation de son sexe avec mes pieds.
J’acceptais tout entre nous, tout était bon, tout ce qu’il voulait je le voulais.
J’étais devenue accro de son sexe, non mieux, j’étais une accro du sexe.
Ma mère sage-femme était absente trois dimanches sur quatre.
À la manière dont elle regardait la pièce, elle semblait étonnée sans le dire du peu d’avancement des travaux.
Comme moi n’y connaissant rien tout était bon dans nos explications pour la tromper, l’outil qui manquait revenait souvent et comme madame Bricolage était fermée, nous étions bloqués.
Guy avait beau pratiquer le coït interrompu, mais ses coups de pinceau ont débouché sur mon ventre qui s’est arrondi.
Je reverrai toujours l’engueulade que cet homme bâtit comme un bûcheron s’est pris lorsque nous lui avons appris mon état.
J’ai cru un moment qu’elle allait le frapper.
Quand elle a parlé d’un mariage rapide pour éviter les ragots des voisins, à aucun moment il ne s’est dérobé.
Le pouvait-il d’ailleurs vu la pression que ma mère lui a mise ?
Le temps de publier les bans et c’était fait, je me suis retrouvé avec la bague à mon doigt.
Fini pour moi l’idée de voyage au Cameroun.
Neuf mois plus tard, ma mère m’accouchait de sa petite fille car elle était la sage femme de service à la maternité de l’hôpital lorsque le travail a commencé…
Adonis est une bête de sexe mais peu bavard.
Tout juste des grognements lorsque sa tension est à son comble, il la fait repartir, éjacule une nouvelle fois et se retire.
Il l’aide à descendre de la table, lui ramasse son slip de bain qu’il avait dû détacher au début de leur rapport.
• Eh bien, avez-vous pris beaucoup de plaisir ?
La foudre semble tombée sur la tête de celle qui vient de se faire baiser par notre ami black, elle a une réaction assez étonnante.
Elle saute presque dans les bras d’Adonis et se cache derrière lui.
• Tu ne crains rien ma belle, viens avec moi t’asseoir dehors pour récupérer de tes exploits.
Adonis, rends-moi service, va voir là-haut si j’y suis, bien sûr je serais muette quand je verrais Anne.
Nous sortons et je fais asseoir Lison sur la chaise du salon de jardin.
• Où est ton mari ?
• Parti pour Pontaillac.
• Et t’en profite pour te faire baiser.
• C’est une longue histoire !
• J’adore ce genre d’histoire raconte-moi.
Ce qu’elle va me raconter est impossible à inventer si vous croisiez cette femme dans la rue.
La quarantaine, habillée assez classiquement, cheveu court brun, portant des lunettes à monture noire comme celle de Fabienne à verre neutre, elle se donne un look opposé au sien qui nous fait nous retourner sur elle.
Son point fort, sa poitrine que j’ai bien pu voir quand elle frottait sur la table de cuisine de Jacky.
• Quand j’avais une vingtaine d’années j’habitais Saintes.
Jeune fille pétillante, j’avais de nombreuses amies mais j’étais vierge.
Les amours saphiques m’étaient en grande partie inconnue, juste quelques attouchements sur ma poitrine avec une copine pour comparer la grosseur de nos seins.
Certes, ces effleurements avaient bien provoqué des petites réactions le long de ma colonne vertébrale, mais mon amie avait arrêté oubliant de profiter de l’avantage qu’elle venait de déclencher en moi.
Étant assez nul dans mes études, j’ai trouvé un travail dans une boulangerie.
Le couple de mes patrons avait une particularité, la patronne était une magnifique Réunionnaise d’une trentaine année folle amoureuse de son pétrisseur de mari.
Plusieurs fois, j’ai surpris le couple dans le pétrin se prodiguant des caresses furtives.
Un matin je suis allée chercher une grille de croissant, ils étaient au fournil.
Le mari était certainement en train de préparer de la patte pour sa prochaine fournée car ses mains étaient couvertes avec de la farine et de petits morceaux de pattes commençant à se former.
Là où j’étais je pouvais entendre la sonnette de la boutique.
Afin d’éviter qu’ils ne soient interrompus, j’évitais de me montrer et de faire du bruit.
La patronne préparait un panier de pain pour me l’amener en boutique.
Placé derrière elle, il s’est approché et a enserré sa femme, elle a tourné la tête et leurs bouches se sont jointes.
Il a glissé sa main dans le chemisier sur un sein qui semblait attendre que ça.
Elle était toujours sans aucun soutien-gorge, ses rondeurs étant très fermes.
Je le savais, chaque fois qu’elle se penchait pour récupérer des brioches ou des miches de pain, ses miches fortes impressionnantes me sautaient aux yeux.
Ces miches étaient même une source de profits pour le couple, nouveau propriétaire de cette boulangerie, je les ai entendus plaisanter quand ils pensaient être seuls sur l’augmentation de leur chiffre d’affaires constaté au furent et à mesure que la jolie black osait défaire les boutons de son corsage blanc.
Il est vrai que le nombre d’hommes venant seul chercher leur pain avait plus que doublé.
Quand ils m’ont embauché huit jours après leur arrivée, madame m’a demandé d’avoir des chemisiers ou des t-shirts bien échancrés comme les siens, j’ai vite compris que si j’avais eu cette place c’était grâce à mes mamelles généreuses.
• Et tu aimais te montrer aux clients.
• Oui, autant que quand sa deuxième main s’est glissée sous la robe très courte qu’elle portait.
Avait-elle une culotte à ce jour je l’ignore, il l’a caressé pendant tout le temps de leur baiser, elle s’est libérée, le patron a monté ses doigts à son nez ?
• Ta chatte sent toujours aussi bon !
• J’aurais bien voulu manger ce pain, il a dû avoir un léger goût de plaisir.
Immédiatement il est retourné pétrir sa patte.
Quelle chance les clients ont eue quand la fournée est arrivée en boutique !
• Un matin, je suis arrivé une heure trop tôt, j’avais oublié le changement d’heure. Comme tous les jours je suis entré par l’arrière de la boutique, quand je suis passé devant le fournil, ils étaient là et ne pouvaient me voir un casier métallique pour poser les grilles des viennoiseries me cachant.
Le couple était en pleine action, non pas pour la vente dans la boulangerie mais pour leur plaisir personnel.
• Tu as bien fait de descendre un peu plus tôt avant que Lison arrive, j’ai une grosse envie.
Ce que je voyais était sidérant, la patronne était cul et seins nus, sa jupe était au sol et son chemisier ouvert.
Elle était assise sur la table de travail du pain le cul dans la patte et la farine.
Elle avait les jambes ouvertes et il l’avait prise par la chatte.
Il lui donnait de violent coup de queue.
La saillie a été très rapide, monsieur avait une grosse envie. Il a attendu qu’elle prenne son plaisir pour exploser lui-même.
Au moment de décharger, je l’ai vu sortir son sexe et arroser copieusement la patte placée sous les fesses de la jolie salope.
• Tient, les croissants auront meilleur goût ce matin.
Et il a remis sa queue dans son short.
Il s’est écarté et madame toujours dans la même position alors qu’elle se caressait de plaisir en enfonçant ses doigts dans sa vulve que je voyais bien rose comparée à ses grandes lèvres bien noires.
Elle les a essuyés dans la patte.
• Je dépose du rab !
Et ils sont partis d’un grand éclat de rire.
Elle a quitté la table, la marque de ses fesses était nettement marquée dans la pâte.
• Je vais la cuire comme cela sa nous fera un souvenir pour nos vieux jours.
• Oui, je mettrai cette miche en boutique sur la planche du haut afin d’augmenter encore nos gains.
Tous deux ont éclaté de rire, je me suis reculé jusqu’à la porte et fais assez de bruit pour qu’ils sachent que j’étais arrivée.
• C’est dans cette période qu’en suivant mes copines en boîte, j’ai fait la connaissance d’un garçon camerounais qui était en dernière année de droit et qui souhaitait retourner dans son pays dès l’année suivante.
Comme tu la compris la vision de cette chatte noire à l’intérieur rose m’avait subjugué et la carrure de cet homme aurait pu me faire craquer. Pour les femmes de ma génération nous avions encore le culte du mariage pour perdre notre virginité.
Virginité, mariage départ pour le Cameroun, m’a créé un moment de doute.
C’est huit jours plus tard que j’ai rencontré Guy qui travaillait à madame Bricolage au rayon peinture.
Je vivais avec ma maman veuve depuis deux ans.
J’avais décidé de repeindre ma chambre, Guy a très vite compris que j’étais novice dans l’utilisation des pinceaux et autres matériels.
Il m’a proposé de venir me refaire la pièce.
Le dimanche suivant il est arrivé avec la peinture et son pinceau pour attaquer le chantier.
Nous avons travaillé jusqu’à quinze heures environ et je suis incapable de te dire comment je me suis retrouvée avec son pinceau au fond de la chatte.
Il savait si bien le manier que dès notre première baise malgré la légère douleur ressentie j’ai joui.
Aux oubliettes la virginité jusqu’au mariage.
Chaque dimanche les temps passés à avancer les travaux étaient de plus en plus courts.
Il m’a tout appris, la sucette, la sodomie, la branlette entre mains saines, la masturbation de son sexe avec mes pieds.
J’acceptais tout entre nous, tout était bon, tout ce qu’il voulait je le voulais.
J’étais devenue accro de son sexe, non mieux, j’étais une accro du sexe.
Ma mère sage-femme était absente trois dimanches sur quatre.
À la manière dont elle regardait la pièce, elle semblait étonnée sans le dire du peu d’avancement des travaux.
Comme moi n’y connaissant rien tout était bon dans nos explications pour la tromper, l’outil qui manquait revenait souvent et comme madame Bricolage était fermée, nous étions bloqués.
Guy avait beau pratiquer le coït interrompu, mais ses coups de pinceau ont débouché sur mon ventre qui s’est arrondi.
Je reverrai toujours l’engueulade que cet homme bâtit comme un bûcheron s’est pris lorsque nous lui avons appris mon état.
J’ai cru un moment qu’elle allait le frapper.
Quand elle a parlé d’un mariage rapide pour éviter les ragots des voisins, à aucun moment il ne s’est dérobé.
Le pouvait-il d’ailleurs vu la pression que ma mère lui a mise ?
Le temps de publier les bans et c’était fait, je me suis retrouvé avec la bague à mon doigt.
Fini pour moi l’idée de voyage au Cameroun.
Neuf mois plus tard, ma mère m’accouchait de sa petite fille car elle était la sage femme de service à la maternité de l’hôpital lorsque le travail a commencé…
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par CHRIS71
0 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...