Femme BCBG, escorte, non, pute… (55)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Récit libertin : Femme BCBG, escorte, non, pute… (55) Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-02-2016 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Couleur du fond :
Femme BCBG, escorte, non, pute… (55)
Dans le restaurant, une table le long des baies vitrées est dressée.
Je remercie la gérante qui a pris soin de nous.
Quatorze couverts d’un coup ça mérite bien quelques efforts !
Nous passons la commande et quelques minutes de préparations, nous dégustons ces magnifiques produits que les gens d’ici savent si bien préparer. Pour commencer de très belles fines-de-claire ayant séjourné dans les bassins qui leur ont donné cette magnifique couleur vert-bleu.
Vers quinze heures l’estomac plein, nous retrouvons les voitures.

Au retour, nous longeons la côte et je fais arrêter la troupe en face du zoo de la Palmyre.
Nous sommes tout près de l’entrée et nous pouvons admirer un groupe de flamants roses au pied de la cascade.

• Il est un peu tard pour le visiter à cause de notre rendez-vous avec Madeleine à Royan.
• Suivez-moi, nous irons au zoo avec Sindy, la semaine prochaine.

Je leur fais prendre un chemin de sable face au zoo. Nous parcourons deux cents mètres et nous arrivons sur une plage de sable fin qui fait plusieurs kilomètres de long.
Des personnes sont allongées sur leurs serviettes, d’autres jouent au frisbee.
Ils sont tout nus. Nous sommes sur la plage de la grande côte, principalement naturiste.

• Comment connais-tu cette plage, toi qui était une petite-fille sage ?

La question posée par Odile me fait sourire.

• Nous sommes venues quelques mois après mon mariage avec mes parents en juin lorsque Pierre a eu des jours de repos.
Nous sommes arrivées à midi pour profiter du parc l’après-midi.
En juin, nous avons découvert que le parc ouvre à quatorze heures. Afin d’éviter de repartir, j’ai proposé de suivre le chemin que nous venons de prendre et de rejoindre la mer dont nous entendions le ressac pas très loin.
Lorsque nous sommes arrivées, nous avons découvert comme vous venez de le faire que cette plage était naturiste.
Penser aux yeux de mes parents et de mon ex, ils étaient exorbités.
Ma mère qui avait du mal à accepter les premiers seins nus dévoilés sur la plage de Saint-Palais au pied de notre terrasse a mis ses mains devant ses yeux.
Pire a dix mètres de nous, un homme nu lui aussi était assis sur la branche d’un sapin certainement amené lors d’une tempête, il regardait, un groupe de femmes qui jouaient au volley sans filet et se tapait tranquillement une pignole. Il était légèrement de côté en rapport à nous, son geste était explicite de ce qu’il faisait, même si son membre m’était caché, il devait être à l’apogée de sa forme.
• C’est dommage pour toi, tu aurais pu comparer avec celle de ton mari et t’apercevoir beaucoup plus tôt que tu étais volé sur la marchandise.
• Oui, c’est tout ce que j’ai vu, Pierre m’a pris le bras. Mon père a fait de même avec ma mère et nous nous sommes retrouvés à la voiture plus vite que je ne l’aurais voulu.
Ce jour-là, je n’ai eu le droit de voir les flamants roses que de l’autre côté de la rue près de la cascade, nous sommes entrés directement à la villa.
Assez parlé, tous à poil.
• Cela tombe bien, j’ai oublié le mien.

C’est Alain qui vient de faire cette remarque, mais il est suivi par d’autres, Jacky, Odile.

• Moi aussi je dois le reconnaître.
Stop, j’ai compris, vous êtes des perverses qui se promènent les culs à l’air !

En deux temps trois mouvements, nous avons revêtu la tenue d’Eve. Sans oublier Adam, sans sa feuille de vigne.
Nous allons jusqu’au bord de l’eau ou les rouleaux sont gigantesques.
Adrien veut s’élancer.

• Arrête. La plage est sans surveillance et les baignades sont très dangereuses.
Les rouleaux entraînent des lames de fond qui peuvent noyer les nageurs les plus aguerris.

Nos amis prévenus Adrien sauvé nous profitons du soleil et de faire trempette au bord de l’eau les fesses assises les vagues venant nous lécher les chattes.
Adrien sans perdre de temps est déjà en train de jouer au frisbee avec les demoiselles repérées à notre arrivée.
Alain et Odile partent se promener le long de la plage suivie par Jacky à quelques mètres. Au bout d’un moment je vois le couple se diriger vers la forêt de sapins qui longe la plage, toujours suivie par Jacky. Je sens la partie fine qui se prépare.
Je suis un chemin plus court que celui du couple. Arrivée sous les arbres à dix mètres de moi, Jacky est à l’affût. Il semble apprécier le spectacle qu’il contemple.
Je m’approche.

• Tu mates.

Il sursaute et se retourne.

• Regarde comme ils sont beaux.

Odile est appuyée à un arbre les jambes écartées et est pilonnée par son mari qui la fourre de bon cœur.
Alors que je regarde, Jacky qui bande déjà, il me place dans la même position que notre amie à cinq mètres de nous, m’écartent les jambes et me poignardent de son vit.
Nos cris d’amour démarrent en même temps, nos mâles déchargent en même temps. Comblé, nous rejoignons la plage ou lorsqu’ils nous aperçoivent nuls, semble ignorer ce que nous venons de faire.
L’après-midi coule lentement. Il faut renter, Virginie et Madeleine vont se préparer.

Vers vingt heures, nos deux amies partent dans la C4 cactus.
Madeleine a mis un débardeur qui met en valeur la plus belle poitrine de tout le groupe de fille. Une mini et des simples mocassins lui donnent un petit air de fille sage, mais les obus qu’elle déplace fièrement devant elle lui donnent une allure de femme fatale.
Nous les quittons sur la terrasse pour éviter de nous rhabiller.
Anne est chez Katia pour coucher sa fille.
Nous finissons notre repas léger après le bon repas du midi.
Une idée me vient.

• Mesdames, allez-vous préparer, mettez des vêtements élégants.
Messieurs, vous aussi tenus sélects.
Interdiction d’apporter de l’argent juste vos papiers d’identité, je vous expliquerai tout à l’heure.

Lorsque tout le monde est prêt, nous nous partageons dans les voitures.
Toujours à côté de Jacky, nous invitons les autres à nous accompagner.
Nous roulons en direction de Royan, mais dès que nous atteignons Pontaillac. Je fais arrêter les voitures devant le casino.

• Aimeriez-vous faire une soirée casino ?
• Sympathique, ton idée, comment va-t-on jouer, tu as demandé que nous venions sans argent ?

Je sors de mon petit sac bandoulière une liasse de billets de cent euros.
Douze billets, un pour chacun.
Une habitude lorsque l’on va au casino, c’est de prendre une somme raisonnable que l’on peut perdre.

• Comprenez, jamais la carte de crédit avec soi.
Je vous parle en connaissance de cause, mon oncle frère de mon père a perdu son entreprise de transports et son appartement dans ce casino. Après qu’il eut mi-fin à ses jours, ma tante a constaté qu’un week-end, il avait perdu cent mille euros. Ma tante pour vivre a été obligée de prendre le premier travail qu’elle trouvait. Elle est tombée malade, il y a trois ans qu'elle nous a quittés.
Donc, je vous offre cent euros à chacun amusez-vous bien.

Après le contrôle, nous entrons dans la salle des bandits manchots. Nous passons à la caisse pour récupérer des pièces.
Cinquante de deux euros.
Jacky m’entraîne vers un type de machine.

• Le jeu le plus facile c’est le poker.

Anne et Aline nous suivent pour comprendre comment jouer.
Les combinaisons possibles sont affichées sur la machine. Il place une pièce et manœuvre le levier. Les tambours tournent deux trois, deux dix, une dame de pique. Il a deux paires. Il appuie sur le bouton de la dame de pique et appui sur le levier.
Un dix, dans la liste, je vois brelan.
Il appuie sur un bouton marqué « récupération des gains » et le doux bruit des pièces qui tombent se fait entendre.
Je joue sur la machine à côté de la sienne. Anne et Aline jouent ensemble, elles ont mis leurs pièces dans la même boite.
Je gagne, je perds, je regagne et je repère. Après une heure de jeu, je compte mes pièces.
Cinquante et une, deux euros gagnés pour une heure de travail.
Heureusement que grâce à Virginie pour faire la pute, je gagne bien mieux ma vie en une heure.
À côté de moi, les petites remplissent leur boîte petit à petit.
Jacky met deux à trois pièces chaque fois. Ses réserves semblent être divisées par deux.
Anne d’un coup, manœuvre le levier. Appuis sur gain.
Digne, digne, digne.
Quatorze mille pièces tombent dans la gouttière à deux euros, vingt-huit mille euros de bénef. Une fortune pour les filles.
Un employé vient les aider à récupérer les pièces et les conduit à la caisse. Elles reçoivent leur argent entouré de tous nos amis qui les congratulent.
Elles nous emmènent au bar pour fêter la chance qu’elles ont eux.
Deux bouteilles de champagne suffiront, au moment où les petites servent chacune d’entre nous j’ai une impression bizarre, où est Fabienne ?
Christian boit son verre avec Adrien et Alain. Jacky jouait avec moi. Je me dirige vers les toilettes, personnes.
Je vais voir à l’extérieur. Je vais aux voitures.
L’une d’elles est garée sous des arbres, loin des regards où le passage, j’aperçois mon amie. Elle est empalée sur la bite d’un homme de couleur sur le siège passager.
Elle l’emballe en même temps. Je prends un meilleur point de repère, son chemisier est ouvert et ses seins sont sortis.
L’homme en prend, un dans sa bouche tout en continuant à manœuvrer son sexe dans la chatte qui le chevauche.
Je la vois ouvrir la bouche pour chercher de l’air, elle doit jouir.
Je la vois glisser sur le siège conducteur.
Elle disparaît à ma vue, seul l’homme appuyé sur le dossier de son siège me fait penser qu’elle le suce, vu l’expression de son visage qu’il me montre.
Je sens son râle de plaisir à la manière dont il se redresse en arrière.
La tête de Fabienne réapparaît, je la vois même se lécher les lèvres. Elle réajuste son chemisier et sort de l’auto et place quelque chose dans son soutien-gorge.
Lorsque elle m’aperçoit, elle vient vers moi.

Tu veux en profiter, je t’assure que c’est un bon coup...

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