COLLECTION HOMME FEMME. Le pompon. Tome II (17/18)

Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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COLLECTION HOMME FEMME. Le pompon. Tome II (17/18)
• 10, 9, 8, 7, 6, 5, 4, 3, 2, 1 !
Bonne année 1968 !
C’est dans la salle de repos des infirmières que Patou, Christine et moi trinquons avec Maggy, Sonia et l’élève infirmière Léontine.
Je sais, nous sommes dans un hôpital où des personnes sont malades et pires en fin de vie.
J’ai espéré que Patou sortirait dans la journée et que nous fêterions la nouvelle année en tête à tête comme les amoureux que nous sommes, surtout depuis que j’ai passé sa bague au doigt de Patou.
Hélas, nous avons appris que le docteur Lebrun, la retenait comme une prisonnière après sa visite et où tout c’est bousculé.
Champagne que j’ai trouvé dans la cave de Patou, bien achalandé, on a vu que Christine aime le bon vin, mais aussi le champagne, boisson des fêtes.
Ai-je dit, ou se trouve cette cave dans l’atelier de ma chérie ?
Je parierais, ce que je m’interdis sur les paris.
Je suis allé à Vincennes au champ de courses, j’ai vu que certains y laissaient leur chemise.
Lorsque je dis parie, c’est avec certitude que je vais garder.
Christine plus que personne sauf elle a su y faire en cave.
Levez le pont de la Rolls-Royce, vous y trouverez la fosse pour les vidanges.
Vers l’avant de la voiture enlever les planches, on y trouve des marches pour descendre, quatre très exactement.
Une fois là, sont creusées de chaque côté des alcôves, ou nous pouvons dans chacune de l’une d’elles y mettre une bouteille à température constante.
Une hygro impeccable sans compter l’absence de lumière dès que l’ensemble est refermé.
Bref un système simple de conservation du vin avant consommation.
Un dernier point, les crus rangés par région et par cépages.
Les vins de Champagne, très consommé par Christine à chaque fête ne manquent jamais.
Depuis que je suis avec Patou, moi qui en bois très peu, j’ai déjà rangé deux cartons de 12 bouteilles, l’un des Champagnes bruts et l’autre des rosés bien plus doux.
De plus, ce breuvage rémois est celui que préfère Patou et moi le brut.
Il y en a toujours deux bouteilles de chaque dans le bas du frigo.
J’ai même lu un livre sur cette boisson, voici ce que j’en ai retenu.
Les champagnes rémois, véritable patrimoine de cette région, se distinguent par leur finesse et leur élégance.
Ces trésors effervescents sont produits avec un soin méticuleux, chaque bouteille incarnant un art séculaire transmis de génération en génération.
Que ce soit le brut aux notes vives et florales, ou le rosé aux nuances délicates et fruitées, le champagne rémois offre une expérience gustative inégalée.
Il accompagne les célébrations, sublime les repas et reste, pour beaucoup, l’expression ultime du raffinement.
Je me distingue depuis le premier tome de mes aventures par le manque de culture en bien des choses, sauf pour le sexe que j’ai su développer depuis la perte de mon pucelage avec Chantal.
Mais j’essaye de rectifier le tir pour me mettre à niveau avec celle qui va devenir mon épouse.
Je sais, sur l’étagère près de l’entrée, j’y ai posé le Goncourt d’Edmonde Charles-Roux, mais je repousse de jour en jour, la lecture du premier chapitre.
Le vin, c’est plus simple et je fais honneur à la marraine de ma future en lui montrant que je m’intéresse à ce qui la passionne.
Dans une conversation, si l’on vous interroge sur le Goncourt, vous pouvez toujours rétorquer que vous vous intéressez à Balzac ou Edmond Rostand, peu de gens les ont lus.
Mais le Goncourt dans le milieu où Pat évolue, à chaque sortie c’est le principal sujet de conversation.
• À la nouvelle année, qu’elle soit joyeuse après les nouvelles que tu as eu Pat !
• Je sais que tu es sincère, Christophe, mais ce qui s’est passé à la salle de Fabien le kiné, même si c’est encourageant, tout peut redevenir comme avant.
D’ailleurs, pour venir dans cette salle pour trinquer avec mes infirmières, tu as encore dû me prendre dans tes bras et me porter jusqu’ici pour me déposer dans ce fauteuil de repos.
Revenons un peu en arrière, le docteur Lebrun est passé, justement avec Fabien à ses côtés.
Ils ont fait se lever Patou, le kiné et Maggy la soutenant de chaque côté.
J’avais obtenu de rester pour voir si ce que nous espérions était bien réel, les jambes de mon amour avaient réagi lorsque le médecin avait pris son stylo et l’avait passé sous la plante de ses pieds.
J’ai nettement vu les muscles de ses cuisses un instant se contracter.
Sa plante de pied réagissait.
Depuis, le médecin l’a fait descendre dans la salle de kiné en fauteuil et Fabien la place entre les barres parallèle étant à sa disposition.
Centimètre par centimètre Patou tout en se soutenant aux barres, a réussi à avancer de quelques centimètres.
Elle a failli tomber, Fabien connaissant son métier l’a soutenu car il était derrière elle.
Je commence à connaitre Pat, si les progrès continus, je pense qu’elle va continuer à faire semblant de tomber pour se retrouver dans ses bras.
Je devrais être jaloux, mais comment refuser à celle qui est restée si longtemps invalide de se donner quelques petits plaisirs avec ce beau gosse.
Le champagne, c’est pour l’année nouvelle, mais aussi pour ces quelques centimètres qu’elle a réussi à faire faire à ses jambes et à son cerveau.
Je vais vous épater, le docteur Lebrun nous a dit, que les yeux, les jambes et le cervelet étaient interconnectés et que lorsque l’une de ces parties de notre corps dysfonctionnait, c’était l’ensemble qui foirait.
L’accident de voiture avait déréglé sa mécanique, moi qui ai failli être mécano dans la marine, j’ai joué les mécaniciens avec ce coup sur sa tête, bien involontaire.
On se souvient de la masse que j’avais trouvé dna la remise avec laquelle je voulais détruire la piscine.
Si j’avais su, j’en aurais mis un coup sur la tête de mon amour dès le premier jour ou je suis venu dans son atelier, aujourd’hui, elle courrait comme un lapin, pardon une lapine.
• Christine, peux-tu me donner le cadeau que je t’ai demandé de préparer.
Christophe peux-tu te rendre à l’accueil pour donner une coupe de champagne et ce cadeau à Ingrid de service pour cette nuit de la Saint-Sylvestre.
• Reste ici Christophe avec ta fiancée, Léontine, rend toi à l’accueil et dit lui de monter, nos amis ont un cadeau pour elle.
Tu la remplaceras à l’accueil jusqu’à son retour, tu m’appèlera à notre numéro si un souci survient.
Aussitôt dit aussitôt fait, du moins le temps de faire le chemin, de l’étage à l’accueil et le retour vers nous.
• Maggy, je risque ma place, si le médecin de garde fait sa ronde, certes après sa tournée, il s’est retiré dans son bureau, la nuit étant tranquille.
Les poivrots, ils vont nous les amener d’ici une heure environ, c’est toujours vers 2 ou 3 heures que les urgences arrivent dans ces nuits de fête.
• Ingrid, c’est Maggy qui a demandé de te faire venir.
Voici un petit cadeau pour toi, certes c’est un petit modèle, mais je pense que si tu es patiente, dans quelques années en le revendant tu pourras passer une retraite paisible.
Pat passe le cadeau à Ingrid, qui défait le papier l’emballant.
• Vous êtes folle Patricia et il est signé Patou, mais ça vaut une fortune, signé par vous !
L’ai-je dit, je crois bien que non, les tableaux à l’atelier sont considérés comme terminé lorsque mon cœur les signes de ces cinq lettres, Patou.
On dit même sur la place de Paris dans le monde des arts qu’avoir un « Patou, » malgré son jeune âge, ça n’a pas de prix.
Et dire que dans l’atelier des tableaux signé par l’artiste, j’en ai au moins à ma portée une bonne dizaine, mais si j’ai du mal à respecter la femme, la trompant plus que de raison.
Vanille en étant le plus bel exemple ces jours derniers.
• Par « toi », Ingrid et non pas « vous » !
Nous sommes environ du même âge, tutoyons-nous, ce sera plus simple.
• Ingrid, tu te trompes, si ici quelqu’un commence en cette nuit de la nouvelle année à avoir les pieds sur terre, c’est Patou ma chérie.
Le fou ici, c’est moi et je peux te le prouver dès maintenant.
Un médecin de l’armée me l’a notifié dans la lettre qu’il m’a envoyée pour me dire que j’étais réformé, P4.
Réformé P4, en règle générale j’ai bien assimilé que taré indescriptible, bien que pour une fois « Petit Robert » m’ait été fort utile.
« La mention de « P4 » dans un contexte militaire fait référence à une classification utilisée pour désigner l'inaptitude médicale ou psychologique d'un individu à servir dans les forces armées.
En règle générale, ce type de notation indique que la personne a été jugée inapte à poursuivre ses fonctions militaires, souvent en raison de problèmes de santé mentale ou physique.
La classification P4 est considérée comme un statut définitif, impliquant une réforme complète et « permanente. » »
C’est là que j’ai fait voir mon intelligence, « réforme complète et permanente !
Permanente, le mot est lâché.
« Dans le texte présenté, l'auteur semble jouer avec cette notion de P4, l'associant à un état de "folie" ou d'instabilité mentale.
L'expression "complètement zinzin" qu'il utilise ensuite traduit cette idée de manière familière et teintée d'ironie. »
Même Petit Robert me donne raison, j’aime jouer.
Je suis toujours sur une corde raide, à quelques mètres du sol et même avec les femmes j’arrive à retomber sur mes pieds, bien aidé en cela par Patou avec son cœur débordant d’amour pour moi.
« De plus, la mention du « Petit Robert, » ici, référence au célèbre dictionnaire en langue française, ajoute une dimension humoristique et littéraire. »
Humour, le mot est lâché que serait-ce notre vie sans humour ?
Dans le fauteuil où Patou se croyait attaché à vie, un espoir renaît, d’une vie autre que celle qu’elle a vécu depuis sa plus tendre enfance.
Cette vie a fait d’elle une paria, malgré son talent, par les jeunes hommes ne voyant que le problème que son attachement à son fauteuil leur créait.
Moi, j’ai vu la beauté du cœur de Pat et je compte bien en profiter toute ma vie…
Bonne année 1968 !
C’est dans la salle de repos des infirmières que Patou, Christine et moi trinquons avec Maggy, Sonia et l’élève infirmière Léontine.
Je sais, nous sommes dans un hôpital où des personnes sont malades et pires en fin de vie.
J’ai espéré que Patou sortirait dans la journée et que nous fêterions la nouvelle année en tête à tête comme les amoureux que nous sommes, surtout depuis que j’ai passé sa bague au doigt de Patou.
Hélas, nous avons appris que le docteur Lebrun, la retenait comme une prisonnière après sa visite et où tout c’est bousculé.
Champagne que j’ai trouvé dans la cave de Patou, bien achalandé, on a vu que Christine aime le bon vin, mais aussi le champagne, boisson des fêtes.
Ai-je dit, ou se trouve cette cave dans l’atelier de ma chérie ?
Je parierais, ce que je m’interdis sur les paris.
Je suis allé à Vincennes au champ de courses, j’ai vu que certains y laissaient leur chemise.
Lorsque je dis parie, c’est avec certitude que je vais garder.
Christine plus que personne sauf elle a su y faire en cave.
Levez le pont de la Rolls-Royce, vous y trouverez la fosse pour les vidanges.
Vers l’avant de la voiture enlever les planches, on y trouve des marches pour descendre, quatre très exactement.
Une fois là, sont creusées de chaque côté des alcôves, ou nous pouvons dans chacune de l’une d’elles y mettre une bouteille à température constante.
Une hygro impeccable sans compter l’absence de lumière dès que l’ensemble est refermé.
Bref un système simple de conservation du vin avant consommation.
Un dernier point, les crus rangés par région et par cépages.
Les vins de Champagne, très consommé par Christine à chaque fête ne manquent jamais.
Depuis que je suis avec Patou, moi qui en bois très peu, j’ai déjà rangé deux cartons de 12 bouteilles, l’un des Champagnes bruts et l’autre des rosés bien plus doux.
De plus, ce breuvage rémois est celui que préfère Patou et moi le brut.
Il y en a toujours deux bouteilles de chaque dans le bas du frigo.
J’ai même lu un livre sur cette boisson, voici ce que j’en ai retenu.
Les champagnes rémois, véritable patrimoine de cette région, se distinguent par leur finesse et leur élégance.
Ces trésors effervescents sont produits avec un soin méticuleux, chaque bouteille incarnant un art séculaire transmis de génération en génération.
Que ce soit le brut aux notes vives et florales, ou le rosé aux nuances délicates et fruitées, le champagne rémois offre une expérience gustative inégalée.
Il accompagne les célébrations, sublime les repas et reste, pour beaucoup, l’expression ultime du raffinement.
Je me distingue depuis le premier tome de mes aventures par le manque de culture en bien des choses, sauf pour le sexe que j’ai su développer depuis la perte de mon pucelage avec Chantal.
Mais j’essaye de rectifier le tir pour me mettre à niveau avec celle qui va devenir mon épouse.
Je sais, sur l’étagère près de l’entrée, j’y ai posé le Goncourt d’Edmonde Charles-Roux, mais je repousse de jour en jour, la lecture du premier chapitre.
Le vin, c’est plus simple et je fais honneur à la marraine de ma future en lui montrant que je m’intéresse à ce qui la passionne.
Dans une conversation, si l’on vous interroge sur le Goncourt, vous pouvez toujours rétorquer que vous vous intéressez à Balzac ou Edmond Rostand, peu de gens les ont lus.
Mais le Goncourt dans le milieu où Pat évolue, à chaque sortie c’est le principal sujet de conversation.
• À la nouvelle année, qu’elle soit joyeuse après les nouvelles que tu as eu Pat !
• Je sais que tu es sincère, Christophe, mais ce qui s’est passé à la salle de Fabien le kiné, même si c’est encourageant, tout peut redevenir comme avant.
D’ailleurs, pour venir dans cette salle pour trinquer avec mes infirmières, tu as encore dû me prendre dans tes bras et me porter jusqu’ici pour me déposer dans ce fauteuil de repos.
Revenons un peu en arrière, le docteur Lebrun est passé, justement avec Fabien à ses côtés.
Ils ont fait se lever Patou, le kiné et Maggy la soutenant de chaque côté.
J’avais obtenu de rester pour voir si ce que nous espérions était bien réel, les jambes de mon amour avaient réagi lorsque le médecin avait pris son stylo et l’avait passé sous la plante de ses pieds.
J’ai nettement vu les muscles de ses cuisses un instant se contracter.
Sa plante de pied réagissait.
Depuis, le médecin l’a fait descendre dans la salle de kiné en fauteuil et Fabien la place entre les barres parallèle étant à sa disposition.
Centimètre par centimètre Patou tout en se soutenant aux barres, a réussi à avancer de quelques centimètres.
Elle a failli tomber, Fabien connaissant son métier l’a soutenu car il était derrière elle.
Je commence à connaitre Pat, si les progrès continus, je pense qu’elle va continuer à faire semblant de tomber pour se retrouver dans ses bras.
Je devrais être jaloux, mais comment refuser à celle qui est restée si longtemps invalide de se donner quelques petits plaisirs avec ce beau gosse.
Le champagne, c’est pour l’année nouvelle, mais aussi pour ces quelques centimètres qu’elle a réussi à faire faire à ses jambes et à son cerveau.
Je vais vous épater, le docteur Lebrun nous a dit, que les yeux, les jambes et le cervelet étaient interconnectés et que lorsque l’une de ces parties de notre corps dysfonctionnait, c’était l’ensemble qui foirait.
L’accident de voiture avait déréglé sa mécanique, moi qui ai failli être mécano dans la marine, j’ai joué les mécaniciens avec ce coup sur sa tête, bien involontaire.
On se souvient de la masse que j’avais trouvé dna la remise avec laquelle je voulais détruire la piscine.
Si j’avais su, j’en aurais mis un coup sur la tête de mon amour dès le premier jour ou je suis venu dans son atelier, aujourd’hui, elle courrait comme un lapin, pardon une lapine.
• Christine, peux-tu me donner le cadeau que je t’ai demandé de préparer.
Christophe peux-tu te rendre à l’accueil pour donner une coupe de champagne et ce cadeau à Ingrid de service pour cette nuit de la Saint-Sylvestre.
• Reste ici Christophe avec ta fiancée, Léontine, rend toi à l’accueil et dit lui de monter, nos amis ont un cadeau pour elle.
Tu la remplaceras à l’accueil jusqu’à son retour, tu m’appèlera à notre numéro si un souci survient.
Aussitôt dit aussitôt fait, du moins le temps de faire le chemin, de l’étage à l’accueil et le retour vers nous.
• Maggy, je risque ma place, si le médecin de garde fait sa ronde, certes après sa tournée, il s’est retiré dans son bureau, la nuit étant tranquille.
Les poivrots, ils vont nous les amener d’ici une heure environ, c’est toujours vers 2 ou 3 heures que les urgences arrivent dans ces nuits de fête.
• Ingrid, c’est Maggy qui a demandé de te faire venir.
Voici un petit cadeau pour toi, certes c’est un petit modèle, mais je pense que si tu es patiente, dans quelques années en le revendant tu pourras passer une retraite paisible.
Pat passe le cadeau à Ingrid, qui défait le papier l’emballant.
• Vous êtes folle Patricia et il est signé Patou, mais ça vaut une fortune, signé par vous !
L’ai-je dit, je crois bien que non, les tableaux à l’atelier sont considérés comme terminé lorsque mon cœur les signes de ces cinq lettres, Patou.
On dit même sur la place de Paris dans le monde des arts qu’avoir un « Patou, » malgré son jeune âge, ça n’a pas de prix.
Et dire que dans l’atelier des tableaux signé par l’artiste, j’en ai au moins à ma portée une bonne dizaine, mais si j’ai du mal à respecter la femme, la trompant plus que de raison.
Vanille en étant le plus bel exemple ces jours derniers.
• Par « toi », Ingrid et non pas « vous » !
Nous sommes environ du même âge, tutoyons-nous, ce sera plus simple.
• Ingrid, tu te trompes, si ici quelqu’un commence en cette nuit de la nouvelle année à avoir les pieds sur terre, c’est Patou ma chérie.
Le fou ici, c’est moi et je peux te le prouver dès maintenant.
Un médecin de l’armée me l’a notifié dans la lettre qu’il m’a envoyée pour me dire que j’étais réformé, P4.
Réformé P4, en règle générale j’ai bien assimilé que taré indescriptible, bien que pour une fois « Petit Robert » m’ait été fort utile.
« La mention de « P4 » dans un contexte militaire fait référence à une classification utilisée pour désigner l'inaptitude médicale ou psychologique d'un individu à servir dans les forces armées.
En règle générale, ce type de notation indique que la personne a été jugée inapte à poursuivre ses fonctions militaires, souvent en raison de problèmes de santé mentale ou physique.
La classification P4 est considérée comme un statut définitif, impliquant une réforme complète et « permanente. » »
C’est là que j’ai fait voir mon intelligence, « réforme complète et permanente !
Permanente, le mot est lâché.
« Dans le texte présenté, l'auteur semble jouer avec cette notion de P4, l'associant à un état de "folie" ou d'instabilité mentale.
L'expression "complètement zinzin" qu'il utilise ensuite traduit cette idée de manière familière et teintée d'ironie. »
Même Petit Robert me donne raison, j’aime jouer.
Je suis toujours sur une corde raide, à quelques mètres du sol et même avec les femmes j’arrive à retomber sur mes pieds, bien aidé en cela par Patou avec son cœur débordant d’amour pour moi.
« De plus, la mention du « Petit Robert, » ici, référence au célèbre dictionnaire en langue française, ajoute une dimension humoristique et littéraire. »
Humour, le mot est lâché que serait-ce notre vie sans humour ?
Dans le fauteuil où Patou se croyait attaché à vie, un espoir renaît, d’une vie autre que celle qu’elle a vécu depuis sa plus tendre enfance.
Cette vie a fait d’elle une paria, malgré son talent, par les jeunes hommes ne voyant que le problème que son attachement à son fauteuil leur créait.
Moi, j’ai vu la beauté du cœur de Pat et je compte bien en profiter toute ma vie…
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