COLLECTION FOLLE DU CUL. J’aurais bien voulu baiser Wafae (1/1) - histoire érotique

• Christian, c’est ta dernière chance, Wafae et moi, nous repartons pour Casablanca demain matin !
Nos vacances françaises prennent fin, il me faut retourner au boulot.
J’espère que ce dernier tirage te sera favorable, j’ai parlé à ma femme avant de venir, elle espérait que tu serais là comme tu l’as été lors de tous les tirages.

Christian, chauffeur et secrétaire de ma belle-mère, celle qui a du fric et contre quelques petits avantages en nature, depuis le lendemain de nos noces avec Véronique m’emploi et nous fait vivre.
Le soir de mes noces avec Huguette sa fille, j’aurais bien voulu baiser ma femme comme ça se fait généralement pour la plupart des couples.
Certaines loupent cette étape ayant abusé des vins et spiritueux.
Dans notre couple, c’est Huguette qui n’était pas en état de faire son devoir conjugal étant ronde comme une queue de pelle.
Elle continuait à cuver lorsque je suis descendu dans la cuisine de la vaste maison où Véronique habitait et où nous aussi devons résider.
J’avais donc la gaule lorsque dans l’escalier me conduisant à la cuisine, j’ai senti l’odeur du café chaud.
Elle était là du haut de ses 39 ans en nuisette me montrant sa chatte brune impeccablement taillée.
Elle se déplaçait sans aucune gêne d’être comme nue devant son gendre.
Sa poitrine plus volumineuse que sa fille demandait que ma main se mette au travail pour les satisfaire.
Je ne m’en suis pas privée, surtout qu’avant que je n’aie le temps de dire quoi que ce soit, c’est dans sa bouche que je rentrais ma bite.
Chaude du cul, c’est sans plus de réflexion que je suis devenu son amant.

• Christian, j’ai vu l’état où s’était mise ma fille, je vois bien que ta verge n’a pas eu ce que toute jeune mariée doit offrir à son époux.
Pour cela, elle ressemble à son père, c’est lui qui lui a appris à boire, comme il le faisait tous les jours.
Il est mort de sa passion pour les vins élaborés en Bourgogne, principalement les rouges et moi je suis souvent restée sur ma faim.
J’attendais son fric, il est venu très vite, ma fille n’étant pas en état de faire son devoir conjugal, si tu le veux, je serais sa remplaçante chaque fois que tu auras des envies.

C’est ainsi que Véronique nous hébergeait et nous nourrissait m’employant comme chauffeur et secrétaire.
C’est ainsi dans cette fonction que nous avons quitté sa maison, moi au volant de sa grosse voiture et elle a l’arrière.

• Christian, trouve à garer la voiture et vient t’occuper de ma chatte…
• Christian pouvez-vous monter, j’ai une lettre à vous dicter pour ma banque…

Christian gare la voiture à l’abri des regards et rejoint l’arrière où cette belle salope a déjà les cuisses écartées sans culotte qui gît à côté d’elle sur le siège et qui va me permettre de l’honorer en lui bouffant la chatte.
Christian rejoint sa chambre, elle est assise nue au pied de son lit, les cuisses écartées me permettant de lui bouffer la chatte, avant de la tringler comme elle le mérite.
Christian était corvéable à merci chaque fois que le besoin de baiser nous taraudait notre entre jambes.

• Christian, vous préparez ma voiture, j’ai prévenue ma fille que vous et moi nous partons vers le sud pendant quelques jours pour régler quelques affaires qui me tiennent à cœur.

Nous quittons, son domaine, Huguette ayant de quoi faire, le livreur a fait venir une caisse de Pommard son vin préféré.
Douze bouteilles, sans problème pour que nous prenions du bon temps sans quelle ne se pose la moindre question.
De toute façon elle ne pose jamais de questions.

• Christian, nous rejoindrons nos amis ce soir comme nous le faisons les fois dernières où nous sommes venus.

Deux saladiers, dans l’un, cinq noms de femmes, dans l’autre huit noms d’hommes, cinq maris et trois invités là afin de tringler nos femmes.
Nul ne sait que Véronique et moi nous sommes belle-mère et gendre, moi seul et elle sommes au courant.
Cinq couples, Véronique, Danielle, une vraie blonde, Lucette, dame patronnesse la chatte rasée, Jane, lesbienne bisexuelle et Wafae marocaine en vacances avec Red son mari.
Les maris et les trois boute-en-train sont dans le deuxième saladier.
Un point du règlement, la première des femmes tirées, si elle le désire a le droit à deux choix dans le saladier des mâles, Red, Sylvain, Lucien, Anabelle épouse de Jane et moi Christian.
Lionel, Louis et Hugo les trois célibataires participant à notre partie de trou du cul.
Je dis « trou du cul car le premier soir, c’est Jane qui sort du salader pour moi, hélas Wafae m’échappe, « trou du cul » car Jane accepte la relation avec nous qu’en se faisant baiser par sodomie.
Véronique ce premier soir, est sorti la première, Anabelle et Red seront ses partenaires.
J’ai appris à connaitre ma belle-mère, la chatte d’Anabelle est loin de la rebuter.
Surtout accompagné par la verge de Red, lorsque nous rentrons au petit matin, je dois presque la porter dans mes bras tellement elle a ramassé.
Lorsque je dis que c’est une folle du cul, elle le prouve car malgré sa grande fatigue elle tient à me pomper jusqu’à éjaculation avant de tomber repue de sexe et de léchage de sa chatte par Anabelle.
Le deuxième soir, Véronique est pour la deuxième fois en pleine forme.
Elle tire Red et moi j’ai le droit à la pignole, la seule chose dont j’ai le droit c’est d’aller matter les couples ayant eu la chance d’être tiré au sort.
De retour, Véronique sait que j’ai les couilles pleines.
Je l’ai vu baisé par Red en levrette, mais elle est encore assez valide pour que je la couvre à notre retour à l’hôtel.
Le troisième soir, j’espère toujours Wafae, je sens quelle aussi ressent l’envie de cocufier Red son mari bien plus vieux qu’elle comme c’est souvent le cas dans ces pays du Maghreb.
Je me pignole de nouveau et je baise Véronique dès notre retour dans notre hôtel affichant cinq étoiles.
Le personnel doit être blasé de voir une femme avec son chauffeur coucher dans la même chambre, mais du moment où elle paye et donne de bons pourboires, ils savent fermer leurs yeux.
Le dernier tirage est arrivé, dernière nuit de débauche pour ces couples échangistes dont Wafae et Red sont de bons exemples.
Premier tirage, Jane, c’est elle qui peut se faire deux mecs alors que le reste du temps elle se contente, du moins c’est ce qu’elle montre de la chatte d’Anabelle.
Mais pour moi c’est un tour de moins, même si c’est Red et Lucien qui vont pouvoir prendre cette jolie dévergondée en double pénétration.
Véronique et Sylvain, je sens ma belle-mère un peu déçue, c’est elle qui aurait voulu se rendre dans une chambre pour se faire défoncer devant et derrière.
Danielle et un boute-en-train, vais-je finir k.o et attendre demain matin pour me contenter des restes de Véronique ?
Wafae et, et…
Pierre l’organisateur de ces partouzes met du temps à donner le résultat de qui va baiser Wafae.
Red est déjà en main, si mon nom sort, je pourrais me vautrer dans la luxure avec cette fille aux grands yeux de biche et tout ce qu’il faut là où il faut.

• Christian, c’est toi qui as la chance d’emmener Wafae dans la chambre bleue.
Je te rappelle que c’est la seule chambre où la porte peu vous permette de vous isoler sans que quiconque puisse venir vous voir baisés.

Enfin, la chance me sourit, Wafae va être à moi et pour de longues heures.
Je serais Véronique ma femme je dirais jusqu’à plus soif, bien que soif, ce soit tout le temps qu’elle en a envie.
La bouche de Wafae, première au tableau d’honneur des suceuses de bites, une vraie gloutonne.
Première pour se faire prendre en levrette, Wafae me fait découvrir des choses nouvelles pour moi étant à bonne école avec Véronique.
Sa chatte est un véritable aspirateur capable de me bloquer par quelques contractions vaginales lorsque je vais exploser.
Impossible de rentrer ou de sortir, jusqu’à ce qu’elle sente ma pression redescendre.
Combien de fois la jolie coquine recommence-t-elle la manœuvre, je suis dans un tel état qu’elle jouit plusieurs fois, l’orgasme déferlant en elle sans que je n’aie le moindre centilitre de sperme sortant de ma verge.
Ça me permet au bout de la nuit, d’exploser dans ma capote, le remplissant à Jet continu un nombre incalculable de fois.
Ce matin, c’est moi qui suis sur le siège arrière, pour la première fois, c’est Véronique qui doit me rentrer à l’hôtel.
De retour à ma vie en contact d’Huguette, j’ai très vite le blues.

• Christian que fais-tu là !
• Je ne peux plus me passer de toi, j’ai pris mon passeport, pris l’avion et après quelques recherches me voilà.

Un sac pour moi, un sac pour elle, c’est moi qui conduis la voiture de Wafae vers les montagnes marocaines où Wafae possède des terres et des moutons par centaines.
Ces têtes de bétail, se vendrent comme des petits pains au moment de l’Aïd.
La fête de l’Aïd al-Adha, également appelée la fête du sacrifice, est l’une des célébrations les plus importantes du calendrier musulman.
Elle marque la fin du pèlerinage annuel à La Mecque (Hajj) et commémore l’acte de foi d’Ibrahim (Abraham).
Il a été prêt à sacrifier son fils en obéissance à Dieu, avant que celui-ci n’intervienne et ne remplace le sacrifice par un mouton.

Avec Wafae, tout est facile, le matin elle se réveille pour sa première de ces cinq prières.
Celle-ci terminée, elle vient se coller à moi jusqu’à ce que je cède et que ma verge la laboure.
C’est un peu comme les saladiers, chaque fois qu’elle finit de remercier son dieu, elle remercie ma verge d’être bien plus jeune que celle qu’elle avait comme pain quotidien.
Je vous laisse, le muezzin, viens d’arrêter d’appeler à la prière du haut du minaret de notre mosquée.
Wafae va avoir besoin de ma queue, comme moi je vais avoir besoin de sa chatte.
Bonne continuation à tous.