COLLECTION FANTASME. Allo, êtes-vous plombier ? (2/2) - histoire érotique

• Allo, êtes-vous plombier ?

C’est ainsi que pour la première fois, j’entends la voix de Marie femme légèrement plus de la cinquantaine, veuve habitant un pavillon de la banlieue ou je réside, prendre son plaisir grâce à mon furet.
Plombier, je le suis, c’est marqué « Alain S. plomberie » sur ma camionnette où je range mon matériel, dont un furet de dix mètres et un autre d’à peine deux mètres.
Hélas, bien inutile pour lui déboucher ses tuyauteries qui ont dû se colmater à force d’être inutilisé.
Marie devait avoir ce fantasme de se remettre à baiser avec un plombier.
Moi aussi j’ai des fantasmes surtout celui de sauter une cliente dans sa cuisine contrairement à ma femme qui m’oblige à faire ça dans notre lit.
Bien sûr, en vingt ans de métier, j’attendais toujours de voir le coup venir.
Mes douze centimètres de bites sont largement suffisants pour la faire jouir et même la mener à l’orgasme.
J’ai trompé Aglaé, qui a tendance à se relâcher, mais j’y prends goût et dans les cinq jours qui suivent, je viens tous les midis goûter à des spécialités auvergnates entretenant par là même ses tuyauteries.
Le week-end arrivant, je vais pouvoir me reposer de mes turpitudes, mais surtout bien content d’avoir satisfait mon fantasme ainsi que les siens, l’enculant dans son salon à chaque visite.
Le carrelage de la cuisine s’était bandant la première fois, mais on a besoin de ses aises avec l’âge, surtout lorsque mon furet lui ramone son trou du cul.

• Marie, c’est la dernière fois avant deux semaines que je vais pouvoir te rendre visite !
• Lundi tu vas sur un autre chantier trop éloigné de mon pavillon, t’empêchant de venir me voir !
• Non, j’ai plusieurs chantiers dans le coin, mais la semaine prochaine je travaille avec mon fils Ludo, il est en apprentissage alterné, une semaine à l’école, une semaine en entreprise.
Ma femme Aglaé, voulait qu’il fasse des études, il a eu son bac et nous devions payer une grosse somme pour la fac.
Ludo est comme moi, plus manuel qu’intello, il compte reprendre notre affaire lorsque je prendrais ma retraite au grand dam de ma femme.
• Il a préféré se servir de furets que de se servir de ses méninges !
• Oui, c’est un peu ça, mais après réflexion, tu pourrais me rendre service et à lui par la même occasion.
Tu as aimé que je te donne de nombreux coups avec mon furet.
Tu sais entre hommes, il nous arrive de nous arrêter dans la campagne pour pisser un coup.
J’ai pu voir que le sien était légèrement plus imposant que le mien, plus long et surtout plus gros !

Voilà, comment je quitte Marie, avec son accord pour que nous venions lundi midi manger de la truffade avec des patates et du fromage à la tomme fraiche du Cantal.
Avant de la quitter, je prépare le chantier pour le lundi.
Week-end égale à lui-même, le samedi soir Ludo sort avec des copains et le dimanche vient avec moi pour aller au PMU.
À sa trogne, je vois très bien qu’il a fait chou blanc avec les gonzesses dont Sylvina qu’il espère sauter, mais par timidité, il est incapable de conclure.
À oui, le samedi, j’ai droit à la chemise de nuit relevée, j’ai même l’impression qu’au temps que je prends, ou sont mes vingt ans, elle dort avant que je décharge.

• Ludo, la cliente que j’ai dépannée le midi la semaine dernière m’a donné 100 € de gratte.
Je te les donne, pour que tu joues, moi ce sera le 5, gagnant dans la dernière course.
• Moi le 2, il a une première chance !

Chapeau le fiston côte à 20 contre 1, il va pouvoir s’acheter une petite voiture, ça lui facilitera ses chances avec les filles.

• Ludo, je te présente Marie, notre cliente, elle a une fuite sous cet évier à toi de trouver le problème et de réparer, moi je vais au sous-sol finir le travail commencé en bas.
• Je vais rester avec lui pour lui passer ses outils.
• Merci Marie, je remonte dans une heure, j’aurais terminé.

Tout le week-end, Marie a dû vider la bassine que nous avions placée sous la légère fuite que j’ai créée sur l’arrivée d’eau.
C’est con car il va lui suffire de resserrer la bride que j’ai un peu desserrée.
Une heure c’est long, mais au bout de 45 minutes je remonte discrètement.
Ludo a la même combinaison que moi, elle est à ses pieds et son furet est dans la bouche de ma maitresse.
Il bande, j’avais bien vu, il est monté comme un âne au point de me rendre jaloux.
Ludo est-il vraiment mon fils ou alors, suis-je cocu depuis sa naissance.
C’est la première fois que je joue les voyeurs, surtout avec mon fils.

• Merde, c’est parti tout seul.
• C’est normal la première fois, ça tombe bien, j’aime le sperme, arrange-toi avec ton père pour revenir demain, je serais patiente.

Je redescends, Ludo et Marie de nouveau présentable viennent me rejoindre.

• Papa, j’ai trouvé la bride qui fuyait, j’ai arrêté l’eau, j’ai démonté et changer le joint avant de remonter l’ensemble, maintenant tout va bien, tu factureras une heure de travail.
Le joint, tu en feras cadeau à madame Marie, elle m’a aidé avec mes outils.

Bravo mon fils, vingt sur vingt, même si sans qu’il le sache Marie l’a payée en nature.
Il a démonté, changé le joint faisant tourner la pendule et alourdissant l’addition comme sait le faire un bon plombier professionnel.

• J’ai vu avec la cliente, le flexible est en mauvais état, il faut le changer.
Je suis allé dans la camionnette, on a oublié d’en prendre à l’atelier.
Si tu le veux demain pendant que je viendrais le changer, tu pourras aller manger à la cafétaria !

Bien vu mon fiston, je me répète, tu feras un bon plombier.
J’ai hâte d’être à demain, même si pour cette phase du travail, les flexibles, je les avais ôtés de la camionnette créant le manque et l’obligation de revenir.
Bien sûr lorsque je le récupère ayant mangé un kébab au Turque du coin, pas un mot sur ce qu’il a fait à Marie pendant les deux heures où il est parti changer un simple flexible.
Dans l’après-midi, je profite d’un coup de fil que je coupe pour lui faire croire que c’est un client qui m’appelle pour m’isoler.
Il est en train de brancher le chauffe-eau dans la maison en rénovation où je me trouvais quand la première fois Marie avait appelé.

• Alain, c’est toi, c’est fait, je t’ai rendu ce service, j’ai réussi à ce que ton fils soit un homme.
Au début, comparé à toi, il était gauche avec son furet, mais j’ai réussi à le calmer et tu avais raison, il est si bien pourvu qu’il a été légèrement plus loin en moi que toi.
Et que dire du diamètre qu’il m’a proposé, j’ai failli avoir peur.
• Évite les détails, il va sans dire que le flexible et le temps de travail sont à ma charge.
• Tu viendras me revoir, tu sais, j’aime ta façon de me nettoyer les conduits.
Il serait bête de les laisser se reboucher en attendant trop de temps avant de faire le nécessaire.
• Compte sur moi, à une condition !
• Acceptée d’avance.
• Surtout que c’est facile pour toi, tu es si bonne cuisinière, tu me referas des tripoux de ta région.
• Oui, tu as raison, tripoux contre nettoyage de mes canalisations, c’est un très bon deal !
• Mon fils sera à son centre de formation lundi, je pourrais passer !

C’est ainsi que je retourne près de Ludo, je brûle de savoir comment ça c’est passé, mais en l’interrogeant, je risquerais de lui faire comprendre que c’était un coup monté avec Marie.
Le principal c’est que je sache qu’il a perdu son pucelage.

C’est le samedi dans la nuit que je sais que notre complot a fonctionné.
Aglaé venait de se lever pour aller pisser un coup, elle y va toutes les nuits.
Je somnolais quand j’ai entendu la porte de l’entrée grincée, depuis le temps qu’en bon professionnel, je dis que je vais lui mettre un coup de graisse.
C’était Ludo qui revenait de sa soirée.
Les « chutes », « évitent de faire du bruit », étaient sans équivoque, le fait d’avoir baisé avec Marie l’avait désinhibé et il ramenait une fille chez nous, surtout dans sa chambre.
Aglaé avait peur que son fils ne l’entende lorsque nous faisons l’amour, sans être présent j’entends très nettement ce qu’il se passe à côté, c’est Sylvina qui veut découvrir le furet de mon fils.
Je passe sous silence, les « vas-y, continu », les « encore plus fort », « tu me baises comme une reine », jusqu’à l’exposition en feux d’artifice lorsqu’il éjacule dans sa capote.
Du moins je l’espère, inutile de dire qu’avec Marie, je suis sorti couvert, c’est elle qui avait prévu les capotes dans la poche de son peignoir.

Au matin, tous bascule, j’ai tellement écouté Ludo et sa copine, pour voir si tout se passait bien que pour une fois je me réveille le dernier, ma femme étant déjà levée.
J’arrive dans la cuisine, Ludo et Aglaé ont une conversation mère-fils, pourquoi je me sens obligé d’écouter sans qu’ils ne me voient ?

• Mon chéri, ta copine est très jolie, mais je dois te mettre en garde de tomber amoureux de la première fille que tu as mise dans ton lit.
C’est un peu ce qui nous est arrivé avec papa et maintenant avec le temps, je regrette de n’en avoir eu qu’un.
Dit-moi, j’ai des soupçons que ton père me trompe !
Il est différent depuis quelque temps, toi qui passes du temps avec lui, crois-tu qu’il a une liaison avec une autre femme ?

Le vent du boulet passe dans mon dos, j’analyse la semaine que nous venons de passer.
Il a baisé avec Marie sans que pour autant je lui aie dévoilé que le premier qui lui avait fait les tuyaux après notre fantasme du plombier, c’était moi.

• Maman avec tout le respect que je te dois et la différence d’âge qui nous sépare.
Même si je peux t’assurer que papa respect votre contrat de mariage, quand je vois la façon dont tu es devant moi en ce moment, il y a longtemps que j’aurais enfilé une cliente dans sa cuisine.
On dirait une vieille de presque cent ans alors que tu as la quarantaine.
Nos chambres sont contiguës et pas une fois, tu ne t’es pas lâché, les peux de fois ou vous faite l’amour.
Merci de ton conseil pour les filles.
Soit sans crainte, je révais de faire l’amour avec Sylvana, lorsqu’elle m’a suivi elle comme moi, savais que ce serait la seule fois, j’ai déjà d’autres filles en vue.
Avec papa, lâche-toi, même si je couche à côté, surtout si une fille est avec moi, ça nous stimulera.
Achète des fringues affriolantes, les garçons ça nous fait bander.
Pardon maman, d’avoir employé « bander » ce mot devant toi.
Bon que fait papa, à cette heure nous devrions être au PMU, je sens que j’ai une chance de cocu, cette semaine.

Le cocu, s’est elle, mais par chance lorsque je fais celui qui vient de notre chambre, tout paraît naturelle dans mon comportement.
Le petit déjeuner terminé, je vais rapidement me préparer et direction le café et les quelques billets à dépenser.
Sylvana a-t-elle déjà trouvé un autre prétendant, Ludo gagne le Quarté dans l’ordre.
Lorsque nous rentrons, manger des spécialités normandes, Aglaé est originaire de cette région, elle semble s’être pomponnée.
Le lundi, je pars et je dépose Ludo à son bahut avec son sac que sa mère lui a réparé.
J’appelle Marie pour lui dire qu’une urgence m’imposait d’être à l’autre bout de la ville et que ses tripoux refroidiraient.
Le soir en rentrant, je trouve ma femme dans une tenue que j’ignore d’où elle l’a sortie.
Elle est plus que bandante avec un petit repas plus que bien sympathique.
Je suis allée me changer et je suis sous la douche lorsqu’elle me rejoint, nue elle aussi.
Pour la première fois ma femme s’agenouille et me suce la bite avant que je lui fasse sa tuyauterie principale avec mon furet si cher à Marie.
Lorsqu’un orgasme la traverse, elle hurle tout le plaisir qu’elle a à se faire ringarder avec ma petite bite.
Nous mangeons nus, mais froid, mais le repas est tout de même succulant surtout qu’après les profiteroles que j’aime plus que la tarte normande, elle vient sur mes genoux et ma queue se retrouve de nouveau en elle.

Dans les mois suivants, fini le fantasme du plombier.
Pourquoi j’irais chercher ailleurs ce que j’ai tous les soirs dans mon lit ou tout autre endroit lorsque mon fils nous laisse seuls ?
Il va de soi que mon furet dans nos moments de folie sexuelle aime se retrouver dans son anus.
Il me faut bien entretenir l’autre côté des tuyauteries de ma femme.

• Ludivine, évite de faire du bruit, mes parents dorment non loin de nous, inutile de risquer de les réveiller !

Mon fils a tenu parole, Sylvana était la première d’une longue série et cela grâce à Marie à qui nos furets ont débouché ses canalisations.