COLLECTION HISTOIRE COURTE. Tel est pris qui croyait prendre ! (1/1) - histoire érotique

• Madame la maire, je vous présente mes meilleurs vœux de succès dans l’élection qui va nous opposer demain pour l’attribution du poste de maire.
• Robert, je vous trouve gonflé de venir lors de ma dernière réunion publique, alors que nous allons nous affronter par urne interposée.
• Oui, mais vos administrés doivent savoir qui ils vont réélire à la mairie demain, s’ils revotent pour vous !
C’est de mon devoir, de les informer !
• Que pourriez-vous apporter de nouveau à leur connaissance pour qu’ils inversent les soudages qui me donnent gagnant à 72 % des votes exprimés ?
Je vous accorde 5 % de risque d’erreur, ce qui me donne une avance de 67 % de ces mêmes votants.
• J’ai vérifié, dans cette salle, tous sont majeurs, pas de risque d’avoir un procès après les images que je vais projeter sur le grand écran de notre salle communale où nous nous trouvons.
Je fais descendre l’écran.
Le système à télécommande à distance que vous avez fait installer par votre mari à grands frais pour les habitants de notre commune, se trouve être fort utile aujourd’hui.

L’écran descend, je vois Georgette, la mairesse de notre village changer de couleur.
On dirait, qu’elle a compris ce que je vais montrer aux habitants de notre commune, venus à l’invitation de la candidate que je vais massacrer.

• Georgette, connais-tu Lola l’actrice qui joue dans ce porno.
A-t-on regard et les rougeurs à tes joues, Lola, tu sais que c’est toi à 22 ans.
Lola est l’une des deux actrices principales d’un film X qui a fait presque 400 000 entrées dans les salles spécialisées et presque un million de CD et cassettes vidéo vendues, il y a vingt ans.
Rassure-moi, je ne me trompe pas, la jeune femme qui sur les premières images, suce la chatte de cette petite blonde, c’est bien toi.
Mesdames, messieurs, notre mairesse arrive à sucer John, un célèbre acteur porno des années 80 en gorges profondes.
Regardez les images, elles sont explicites, vous êtes une pute.
Votre mari sait-il que dans votre jeunesse, vous étiez une salope de première ?
Regarder, John et Jonathan, vous saute en double pénétration, pendant que la blonde, suce et en fait de même avec deux autres acteurs.
Ils échangent même vos trous, John prend votre chatte et Jonathan, vient vous enculer.
Magnifique gros plan, sur votre anus !
Votre trou du cul est-il toujours aussi défoncé, comme on le voit sur l’écran en gros plan.
J’arrête là, je suis sûr que certaines ménagères de notre village en ont assez vu, sûre la salope que vous êtes.
Vous avez tourné cinq films.
« Pute en chaleur ».
« La reine du porno ».
« À dix, c’est mieux ».
J’aurais pu choisir celui-là, vous faites un gang bang avec douze acteurs, aidé par la petite blonde, vue au début du premier film, assez marqué sexe sur sa pochette !
Mesdames, messieurs, je n’en dirais ou n’en montrerai pas plus, vous avez la vraie vie de votre mairesse, elle qui se prend pour une grande dame.

Le lendemain, dès huit heures, on vote.
Je suis dans le seul bureau ouvert dans notre commune.
C’est long d’attendre 18 heures, alors qu’à midi après la messe très suivie dans notre commune, ils sont tous venus voter.
Sauf une, Constance, la châtelaine, mère de notre mairesse qui est, elle aussi, en opposition, car elle est royaliste et ne reconnaît pas, ces élections républicaines.
Dépouillement.
Inscrits 206, exprimés 205, ont obtenu 194 voix, Georgette.
A obtenu onze voix Robert.
Inutile de revenir la semaine prochaine, Georgette est reconduite dans ses fonctions à la majorité absolue.
Robert, tu remarqueras que même ton épouse a voté pour moi, puisque tu n’as eu que onze voix.
Les onze de ta liste, je te remercie de m’avoir aidé à me faire réélire avec un score digne d’un dictateur russe ou chinois ou encore d’Amérique latine

• Jeanine, peux-tu me dire pourquoi tu as voté pour cette salope qui a vendu son cul dans sa jeunesse.
• Pauvre con, t’es-tu posée la question, qui est la jeune fille blonde qui se fait appeler Claudine dans ces films ?
• Non, je regarde bien, on pourrait croire que c’est toi, mais tu es brune avec un gros tablier de sapeur, alors que Claudine est blonde avec une petite touffe, fort mignonne, je te le conçois.
• Ces films lorsqu’ils ont été réalisés, dans leurs scénarios avaient besoin d’une brune et d’une blonde.
Sur les tournages, il y a des coiffeuses et des maquilleuses qui savent transformer une brune en blonde et une fille avec une énorme pilosité en petite touffe.
Tu vas rire, deux brunes, une pièce de monnaie et l’une des brunes est devenue une blonde.
Tu vas encore rire, j’ai perdu, pour la blondeur, ce qui ne m’a pas posé un problème outre mesure.
Le rôle de la blonde, c’est avéré plus salace que celui de la brune.
Si tu as pu te procurer les cinq films que nous avons tournés, tu as dû voir puisque tu l’as cité dans la salle hier au soir.
« À dix, c’est mieux. »
Dix blacks bien membrés, Lola s’en farcissait trois, moi les cinq autres.
D’ailleurs, c’est ce film qui m’a fait hésiter à continuer de me faire défoncer.
Tu aurais dû voir mon trou du cul, j’y avais pris de telles grosses bites, que j’étais à la limite de la prothèse anale.
Des braquemarts de dix-huit de diamètre, quelquefois, je m’en prenais deux en double anale, sans compter Lola, elle me fistait avec ses deux mains.
Sais-tu, ce que fister veut dire ?
À ton air étonné, je vois ton inculture sur cette façon de se faire défoncer !
Elle me rentrait ses mains dans l’anus et où dans la chatte, voire les deux, entièrement jusqu’à son poignet.
Je devenais complètement folle, d’un tel traitement.
Contrairement à maintenant, me faire filmer et me faire défoncer, je prenais un pied incommensurable.
Il me fallait trouver un con qui pourrait m’entretenir, c’est toi que j’ai choisi, tu es tombée pile au bon moment avec ton soi-disant amour.
Souviens-toi, une fois, tu as essayé de m’enculer, après ce que j’avais fait avec mes blacks, je me suis marrée de te refuser ce plaisir.
Je ne dis pas que je le regrette, mais ta petite bite serait passée sans toucher les bords, bien qu’avec le temps mon anus ait retrouvé sa fermeté originelle.
• Chérie, tu me dis ces mots, car tu es malheureuse que j’ai perdu l’élection et que tu ne te feras jamais appeler « madame le maire. »
• Tu n’as rien compris, tu n’arrives pas aux talons de Georgette, je vais te le prouver.
J’ai quarante ans, ça fait plusieurs fois que le studio dans lequel nous tournions, me sollicite pour revenir tourner avec eux.
Les cougars, la quarantaine, c’est tendance.
Je me croyais ranger, mais ta connerie, de te servir des images de Lydia et surtout Claudine, m’a donné l’envie d’y retourner.
Je viens de téléphoner, Claudine reprend du service.
Tu veux voir le scénario, ils me l’ont transféré par le net.
Une journaliste prisonnière en Guyane, par une bande d’orpailleurs.
Vingt gars sans femmes pendant six mois, je vais leur servir de vides couilles.
Au vu des images de ma jeunesse, je me sens très doué pour ça.
Une dernière chose, il fallait un chevalier blanc.
La comtesse, ta mère, va venir avec moi.
C’est elle qui dirigera les orpailleurs, j’ai toujours eu le béguin pour elle.
Je crois que nous allons faire un chef-d’œuvre de lubricité ta chère maman et moi.
Tu as vu comment j’étais doué pour faire jouir Lydia, je vais en faire de même avec ta gentille maman.
J’ai toujours eu en horreur, les gens qui rapportent dans la vie, espérant en tirer un avantage.
Et si tu venais avec moi jouer un orpailleur, je rigole avec ton petit escargot.
Ta jolie maman et les mecs présents sur le tournage, vont largement satisfaire la pute qui sommeillait en moi.