Fille incorrigible 4 - histoire érotique

Noël s'évertue à visiter la vulve débordante de cyprine de sa fille, sa langue habile fouille chaque recoin. Cloé s'agite, elle est secouée de tremblements incontrôlables. Lorsque la bouche de son papa aspire son clito, elle est comme prise de démence, son corps se contorsionne, elle dit des mots inaudibles.
Justine regarde le couple en passant sa langue sur ses lèvres, sa chatte mouille affreusement, elle serre les cuisses pour tenter de faire cesse le filet continu de cyprine qui s'échappe de sa chatte. Sa culotte est trempée.


Le clito de Cloé et gros comme une cerise tellement son papa le travaille, elle geint, ses longs râles rauques font penser à un animal agonisant. Un cri strident retendit, Cloé jouit en se cabrant fortement. Sa chatte suinte comme un fruit trop mûr, Noël jubile de bonheur en aspirant la boule de chair méconnaissable pour faire gémir encore plus fort sa fille. La maman, voyeuse, pousse de nombreux soupirs, elle est en ébullition. Tout en regardant sa fille jouir, elle retrouse sa jupe et ouvre les jambes, elle ecarte sa culotte trempée et commence à se faire un petit plaisir digital. Ses longs doigts fins excitent son clito encore plus qu'il n'est. Elle enfonce trois doigts dans son temple dégoulinant, et se met à le ramoner comme une sauvage, ses gémissements se mêlent à ceux de sa fille qui halète sous les coups de langue de son papa.


Enfin, Noël passe à l'étape supérieure, il approche de la chatte en effervescence, son mandrin dressé comme un mat. Il frotte un instant son gland contre les fines lèvres et pousse. Les grandes lèvres s'écartent, le casque de chair qui coiffe le mat, s'engage dans le puits débordant. Cloé serre les dents, son papa bien monté sexuellement dilate la gaine qui semble plus étroite qu'il ne le pensait. Sans brusquerie, il continue de pénétrer l'antre brulant qui lui enserre la bite. Cloé s'accroche à son papa en grognant de plaisir. Plus la verge s'enfonce dans son ventre, plus elle se cabre en soufflant comme un dragon. Enfin les couilles velues remplies de sperme viennent en butée contre la chatte frémissante de Cloé. Elle serre terriblement fort son papa en grognant :

-Oh papa, papa, c'est bon, baise-moi fort !


Bien que dilatée, à la limite de la douleur, Cloé commence à agiter son bassin comme une danseuse orientale. La bite de Noël est emprisonnée dans le conduit étroit, la vulve brulante semble aspirée, la verge et la sucée. Jamais Noël n'avait ressenti une sensation pareille. Le bougre pâme de bonheur. Il commence à faire un délicat va-et-vient, sa fille pousse des gémissements qui prouvent que la coquine prend son pied. Justine se fouille rageusement, ses doigts qui font des demi-rotations dans sa chatte, lui arrachent des grognements de bêtes, elle accelere, elle grimace, ses râles deviennent rauques.


Cloé est convaincue que son papa est un amant parfait, sa maman n'avait pas tort. La bite puissante coulisse dans son ventre en prenant de la vitesse. Cloé geint en s'accrochant encore plus fermement à son papa. Les coups de boutoir augmentent en puissances, les aller et retour deviennent féroces. Cloé est au summum du bonheur, elle donne des coups de reins pour être empalée totalement. Le traitement qu'elle subit porte ses fruits, elle se cambre et en poussant un cri presque inhumain et jouit comme jamais, elle ne l'avait fait. Son papa continue de la pilonner, il veut prendre aussi sa part de plaisir. Il ressort entièrement sa bite pour la replonger brutalement au plus profond des entrailles de sa fille, qui pousse un râle en plantant ses ongles dans le dos de son papa. Noël grimace, réitère le mouvement et enfin déverse dans le volcan en éruption son sperme abondant. Cloé s'agite, elle veut encore jouir, elle couine :


-Encore papa, encore !

Le bougre infatigable redouble ses assauts et atteint le but recherché, Cloé jouit encore en grognant de plaisir. Justine est au bord de la syncope, elle se fouille la chatte avec rage, en ne quittant pas des yeux Cloé se faire démonter par son papa. Elle pousse un grognement de fauve et explose. Elle regarde le couple en disant :

-Oh mes chéris, comme c'est bon, Noël, prends-moi mon chéri !

Noël en bon mari retire sa bite de la chatte dilatée de sa fille et bascule sa femme sur le sol et l'embroche avec son glaive large et épais. Il la démonte comme un soudard, le bougre sait être violent quand il le desir. Justine adore être malmenée, elle donne des coups de reins terribles, en grognant férocement. La maman, chauffée à blanc, se cabre et jouit comme une malade. Noël retire sa bite de l'antre en fusion de sa femme, et l'offre aux lèvres de sa fille qui décalotte l'engin avant de le prendre en bouche. La coquine est très douée pour la fellation, d'ailleurs, elle l'a déjà prouvée, Sa bouche fait des merveilles, son papa est dans un état comateux, il souffle comme un animal, se tend comme un arc et décharge son sperme dans la bouche avide de sa fille qui ne gâche pas la marchandise, elle avale tout sans rechigner.