Footing (suite et fin)
Récit érotique écrit par Léane [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Footing (suite et fin)
Cela fait maintenant pas mal de temps que mes pulsions sexuelles ont évoluées, depuis ce week-end déclencheur dans un domaine naturiste. Je vous invite à lire mes premiers récits.
J’ai découvert à quel point j’aimais me retrouver nue dehors. Sentir le soleil et le vent sur ma peau, sans entrave de quelque vêtement que se soit.
Quand les températures le permettent, je vais au bord de la mer, dans une zone naturiste. Je m’y sens bien. Je me baigne nue et la sensation est délicieuse. Ayant la chance d’avoir du temps libre en semaine, j’aime beaucoup aller me promener dans la nature. Loin de la foule des week-end, il m’arrive de me déshabiller au milieu d’une forêt, ou sur un sentier isolé.
Au début, le simple fait de me retrouver toute nue m’excitait terriblement. Chaque souffle du vent, chaque frôlement de feuille éveillait en moi une chaleur profonde, une émotion difficile à nommer.
La possibilité d’être surprise ajoutait un éclat nouveau à ce moment, une vibration intime qui ressemblait moins à de l’audace qu’à une joie intense, presque tremblante.
Et petit à petit j’eu envie de plus. Déjà lors de mes premières promenades dans les alentours du camping naturiste, je m’étais approchée dangereusement de la route, ou d’habitations. Je conduisais nue et je sentais que l’envie d’être vue toute nue prenait le dessus.
Progressivement j’élaborais des scénarios, trouvais des lieux propices pour pouvoir m’exhiber. J’ai toujours fais attention à ne pas me retrouver dans des situations dangereuses.
Dans la première partie de cette histoire je vous avais raconté comment je m’y étais prise pour me retrouver à m’exhiber devant un petit vieux.
J’ai du mal à trouver les mots pour vous décrire ce que je ressens quand je suis nue devant un inconnu.
Certains auraient peur ou honte. Moi mon excitation monte à son comble. Sentir le regard sur moi et mon intimité me procure des sensations inimaginables.
Daniel, me dévoila son prénom alors que je lui avais déjà dévoilé tout mon corps. Après avoir passé un moment complètement hors du temps avec lui dans les collines, il m’avait proposé de venir un jour chez lui pour un repas. Il voulait me remercier de ce que je lui avais offert.
Au début je n’étais pas très motivée pour y aller. J’aime beaucoup m’exhiber devant des vieux car je risque moins d’être mal-menée et j’ai une impression de supériorité, de maîtrise ou de domination que je n’aurais peut être pas sur un homme plus jeune. Mais le lendemain soir alors que je me masturbais dans mon lit en me remémorant ce moment avec lui, je changeais d’avis.
L’idée d’aller chez lui et surement pouvoir lui montrer mon corps une nouvelle fois me plaisait énormément.
Je lui envoyais donc un message et le rendez vous était pris pour demain soir.
Je vous passe les détails de tout ce qui passa dans ma tête . Tous les films que je me suis fait avant de me retrouver devant son portail éclairé par les phares de ma voiture.
J’avais mis des sous vêtements blancs string et soutien- gorge et un robe sérrée en laine grise arrivant juste au dessus des genoux. Une ceinture épaisse noire et j’avais plusieurs colliers longs descendant presque entre mes seins. J’avais gardé mes cheveux long défaits.
Je roulais au pas en entrant dans sa propriété. Il faisait nuit et j’avais du mal à distinguer le décor autour de moi, mais je pouvais apercevoir une maison en crépi blanc, avec de grands pins autour.
Une lumière s’éclaira et je vis sa silhouette avancer vers moi. Mon coeur battait fort et je respirais profondément.
-Bonsoir Léane, ça me fait tellement plaisir que tu es accepté de venir
-Bonsoir Daniel, le plaisir est partagé.
-Suis moi, rentrons, il ne fait plus bien chaud dehors .
Je le suivais et entrais dans une vaste pièce au fond de laquelle trônait une grande cheminée. Un feu y était éclairé et ça sentait bon la fumée. De grosses poutres courraient sous le plafond. Le mur derrière la cheminée était en pierre et un grand canapé installé face à l’âtre scindait la pièce en deux. Un haut comptoir délimitait une cuisine ouverte sur la droite et un escalier montait vers l’étage.
Je me sentis tout de suite bien dans ce lieu. Daniel me dit alors comme l’on été éduqués nos anciens:
-J’allais te proposer de te débarrasser, mais je vois que tu n’as pas de manteau. Je ne vais pas te demander d’enlever ta robe tout de suite!!!
-Vous voyez, Je suis aussi habillée… parfois.
-Et tu es ravissante, autant habillée que toute nue.
- Merci beaucoup vous êtes un gentleman. Je vois que vous avez fait un feu dans la cheminée, vous voulez que je meure de chaud et que je sois obligée de me déshabiller en fait.
J’y ai pensé je te l’avoue. Mais je ne t’oblige en rien et je ne veux pas être désagréable, pressant ou malveillant à ton égard. C’est tellement merveilleux pour moi de t’avoir croisé dans la colline, tu m’as offert un cadeau magnifique et inespéré. Je suis extrêmement heureux que tu aies accepté mon invitation.
Si vous saviez à quel point ça m’a plu de me retrouver nue devant vous, je découvre cette facette de moi depuis pas très longtemps. Je ne faisais pas du tout ça avant. C’est vraiment nouveau pour moi. J’ai l’impression de devenir une nouvelle femme. Je n’aurai jamais imaginé faire ça un jour.
Et bien je suis ravi si je peux t’aider à te sentir bien. Je te laisse t’installer comme tu le souhaites, n’aies aucune gêne devant moi. Et en attendant je peux te proposer quoi à boire?
Je me laisserai bien tentée par un verre de vin !!!
C’était vraiment nouveau pour moi cette situation. J’étais à la fois très anxieuse et excitée en même temps. Je me sentais gênée de me foutre à poil comme ça de but en blanc. J’en avais aussi envie. Surement qu’un peu de vin m’aiderai à me détendre… Ma vie sexuelle antérieure était si banale, si terne. C’est un peu comme si une seconde vie s’offrait à moi.
Nous bavardions un moment de nos vies.
Daniel nous avait préparé un gratin dauphinois accompagné d’un rosbeef. Une petite salade verte avec ça. Nous mangions sur cette grande table en bois massif qui avait du accueillir tant de fois des repas de famille et de fêtes. Ce soir nous étions seuls, tous les deux et je pouvais voir dans ces yeux comme de la reconnaissance. Je lui faisais oublier un peu sa routine triste d’un homme âgé dont les enfants vivent leur vie loin de leurs parents.
Le repas se passait à merveille, nous discutions comme si nous nous connaissions de longue date. Bon il est vrai qu’il connaissais déjà très bien presque tous les recoins de mon corps.
Je voyais le niveau de la bouteille de vin baisser considérablement. L’alcool aidant surement je sentais quelques chatouillements dans mon bas ventre.
Il se levait pour débarrasser et lui proposais de l’aider. Je le suivais vers la cuisine avec un plat.
-Je le pose ou?
-pose le là, mais ne t’embêtes pas je peux débarrasser.
-C’est la moindre des choses
Vas plutôt te mettre à l’aise sur le canapé devant la cheminée.
Il fait déjà très chaud ici, alors devant la cheminée je vais être obligée de me découvrir!!!
Mais je t’en prie, si tu en as envie ce n’est pas moi qui vais t’en empêcher.
Je le regardais en pinçant mes lèvres.
C’était maintenant, J’en avais envie et mon coeur, comme à chaque fois, battait à vive allure.
Je me dirigeais vers ce canapé faisant façe à la cheminée à environ 2 mètres. Etant dos à la cuisine, une fois assise le dossier me cachait de Daniel.
Grande respiration, j’ôtais mes chaussures. Dissimulée par ce grand divan je faisais glisser ma robe par dessus mes épaules, après avoir défais ma ceinture . J’hésitais à poursuivre.
Je remarquais un plaid posé sur une extrémité du canapé. Je décidais de me mettre totalement nue, en gardant mes quelques colliers, m’allongeais et me couvrais du plaid.
La chaleur de la cheminée ainsi que mes deux ou trois verres de vin aidant, je sentais ma vulve brulante. Dissimulée sous ce doux plaid en polaire, mes mains parcouraient mon corps pour me persuader que j’étais bien toute nue.
Tu veux un dessert tout de suite? Ou dans un moment?
OH, on peux attendre un peu, mais c’est comme vous voulez.
Tu peux me tutoyer tu sais!!! Me lança t’il en s’approchant de la cheminée. Il y rajouta un peu de bois.
Beh écoutez ça me plait beaucoup de vous dire vous. Je ne sais pas trop expliquer, mais comme vous le voyez j’aime me montrer nue devant vous et le fait de vous vouvoyer me procure encore plus de plaisir. Mais vous , continuez à me tutoyer…
C’est comme tu voudras ma belle. Tu me fais une petite place?
Repliant mes jambes, je lui laissais donc une place a l’extrémité du canapé. Une fois assis, je venais poser mes pieds sur ses cuisses. Il glissa aussitôt une main sous le plaid et commença à caresser mes pieds, montant jusque à mes cuisses.
Je soupirais, fermais les yeux et posais ma tête sur l’accoudoir du canapé. Sa main chaude montait et descendait puis remontais de plus en plus haut sur mes cuisses. Parfois je sentais ses doigts venir effleurer mon sexe. Daniel ne s’y attardait pas. Ses doigts venaient un court instant me titiller les lèvres puis s’éloignaient.
-Il faut que j’aille faire pipi.
tu montes l’escalier et c’est la première porte à gauche.
D’accord merci, à tout de suite.
Je me levais en laissant glisser le plaid qui me couvrait jusqu’alors. Complètement nue, je me dirigeais vers cet escalier. Daniel ne me lâchait pas du regard. Quelle sensation excitante.
Je montais les marches, trouvais les wc et y entrais. Assise sur la cuvette, sans aucun vêtement à ma disposition je prenais toute la mesure de la situation.
Retranchée dans la pénombre de cette petite pièce, ma nudité ne me semblait plus une faiblesse mais une décision pleinement revendiquée. Je m’étais mise dans cette situation car elle éveillait quelque chose de profondément vrai en moi, une curiosité vibrante que je n’avais plus envie de cacher.
L’appréhension était toujours là, oui, mais elle ne me paralysait plus. J’entrais dans un territoire nouveau, choisi, presque attendu. En me regardant dans le petit miroir au dessus du lavabo, j’ai senti monter une assurance tranquille, comme si je comprenais enfin que la peur et le désir n’étaient que deux battements du même coeur.
Je redescendais. Daniel était accroupi devant la cheminée. Il se redressa et me regarda avancer vers lui. J’avais envie qu’il pose ses mains sur moi. Comme lors de notre rencontre dans la nature, je le sentais un peu dépassé par les événements . Je le guidais alors vers ce que j’avais envie.
-Asseyez vous dans votre canapé Daniel, mettez vous au centre.
-oui Léane si tu veux
Je m’allongeais alors sur le ventre, mes hanches posées sur ses cuisses. Mes fesses devant ses yeux étendue sur toute la longueur de ce divan.
Ses mains vinrent se poser sur mon cul et ses doigts glissèrent, montant dans mon dos et descendant sur mes cuisses. A chaque passage de ses mains sur mes fesses, je soupirais et me cambrais pour lui offrir le plus belle vue sur mon cul.
Ses mains se faisaient de plus en plus entreprenantes, Il passait de caresses à du pelotage, du pétrissage. La tête enfouie dans un coussin, je me cambrai pour lui signifier que l’intimité du fond de ma raie était à lui. Ses doigts allaient toujours plus loin mais il gardait néanmoins cette retenue qui me procurai cette douce frustration. Vous savez quand l’excitation met à l’épreuve la patiente.
Je ne sais pas si il le faisait exprès mais c’était divinement bon.
Avec une main ses doigts se promenaient à l’orée de mon vagin, venaient effleurer mon clitoris tandis que l’autre s’affairait à écarter mes fesses. Il devait avoir une vue imprenable sur mon anus.
Je me sentais défaillir. Par moment ses doigts mouillés venaient caresser doucement mon anus. Quelle sensation indescriptible. Je me sentais scrutée, regardée, examinée.
Alors que ses doigts inspectaient l’entrée de ma vulve, je relevais mon cul vers lui dans le but qu’ils y entrent.
Mission réussie: je senti un doigt entrer enfin plus profondément. Je faisais des mouvements de va et viens.
-Daniel!!! Vous me rendez folle, continuez , ne vous arrêtez surtout pas. Ouiiiii Ouiiiiii C’est tellement bon.
Je me laissais totalement aller, mon petit papi n’avait surement plus la fougue de ses vingt ans mais il compensait ça par l’expérience. Lui aussi perdait de sa retenue du début et semblait se laisser aller également.
Sentant l’orgasme arriver, je fis un gros effort pour ne pas exploser et changeais de position.
Je voulais m’occuper de lui et m’agenouillais .
-Laissez moi faire « Monsieur » lui disais -je en déboutonnant son pantalon.
J’arrivais tant bien que mal à sortir sa queue. Il bandait bien et j’entreprenais de lents va et viens. Puis je l’engloutissais dans ma bouche.
A mon grand soulagement elle n’avait pas mauvais gout.
Le bougre avait du se doucher avant que j’arrive. L’autre matin dans la colline je n’avais pas eu cette impression de propreté. En même temps il ne pensait pas un seul instant tomber sur une folle à poil qui le suce au détour d’un sentier. Mais ce soir il l’espérait surement.
Je m’appliquais à lui faire du bien. J’alternais entre des va et viens puis enroulais ma langue autour de son gland. Je me régalais à faire une pipe à ce vieux monsieur et il ne fut pas long à venir. Je ne suis pas très friande de sperme, je préfère en recevoir sur le corps et le sentant venir je le laissais éjaculer sur ma poitrine souillant mes seins et mes colliers. Il emétais des râles et était secoué de quelques spasmes.
-Mon dieu, ma chérie, ça faisait tellement longtemps que je n’avais pas eu un tel cadeau!!!
-Si vous saviez comme ça me plait de faire ça. De pouvoir m’exhiber devant vous. De sentir vos mains sur moi, de vous voir me regarder.
Je sentais son sperme couler lentement sur mes seins, et n’avais aucune envie de l’essuyer.
Je me rallongeais sur son canapé, sur le dos, la tête sur ses cuisses, les jambes légèrement écartées. Lui, passait sa main dans mes cheveux.
-Une chose que j’adore ,c’est ton sexe sans aucun poil. De mon temps aucune femme ne se rasait comme ça et c’est tellement beau.Tu peux revenir ici autant de fois que tu le souhaite. Je ne te dirais jamais non tu sais.
merci, je crois que je reviendrai, je vous le promet. Mais à une condition…
Je t’écoutes
A chaque fois que je viendrai vous voir, je me mettrai toute nue, et vous serez obligé de me caresser les fesses comme vous l’avez fait tout à l’heure.
Marché conclus.
Vous me faites visiter?
Oui bien sur..
Je me redressais, et avançais vers la cheminée. La chaleur du feu finit de sécher le sperme resté collé entre mes seins. Je le suivais dans la cuisine au fond de laquelle une porte donnait sur un garage. On y entra. Un amoncellement de vieillerie poussiéreuses, des outils de jardin et autre bric à brac. Il y faisait bien plus froid que dans la maison et j’eu un frisson.
-Tu as froid!!! Rentrons.
Il me mena à l’étage et nous fîmes le tour des deux chambres et de la salle de bain dans laquelle il y avait une baignoire. Je m’imaginais déjà prendre un bain devant lui.
chez moi je n’ai qu’une douche, j’adorerai venir prendre un bain chez vous Daniel!!!
Tu sera la bienvenue. Et si tu veux je pourrais même te laver moi même.
OOOhhh oui j’adorerai.
Revenu en bas je lui disais
-Et dehors? Vous avez un grand jardin?
Ca fait presque 2500 m carré, Mais c’est beaucoup de travail d’entretenir tout ça. Tailler les arbres, les mauvaises herbes et tout et tout.
-Ca me ferai plaisir de vous aider à jardiner. J’avais un jardin avant et ça me manque.
-Je ne refuserai pas une main d’oeuvre aussi ravissante. Surtout si tu jardines à poil.
-C’est vos voisins qui vont être content.
-Il n’y a pas de vis à vis. D’un coté la rue mais il ne reste que 2 maisons et avec la haie on ne voit rien. En bas la forêt, et la maison avant, un ami mais on ne voit rien. Donc tu pourra te balader librement!!!
Trop bien, On va voir?
-Maintenant? Il fait froid et nuit.
-Pas grave.
Je sortais dehors et rapidement les premières pierres me rappelèrent que j’étais pied nus!!!
-Regarde, mets ça , c’est grand mais pour 5 min ça ira bien.
Il me proposa une paire de croc .
Je déambulais dans ce jardin qui était en fait un coin de colline avec des arbres et des buissons. Puis en passant de l’autre coté de la maison, je découvrais une piscine.
-Whaou vous avez une piscine!!! c’est génial
-Oui mais je ne m’en occupe plus trop.
-Et bien si vous voulez, je pourrais m’en occuper, mais en échange il faudra être gentil avec moi!!!
Mais bien sur, je serai aux petits soins avec toi. Tu sais, je ne reçois plus beaucoup de visites, et ma maison te sera ouverte quand tu voudras. Et si en plus je pourrais te voir toute nue tu me combleras de bonheur.
-Je n’ai pas l’intention de venir vous voir en restant habillée. Ca m’excite tellement d’être à poil devant vous. D’ailleurs je trouve que ce soir vous ne m’avez presque pas touché les seins, ça me fait de la peine!!!
Il s’approcha alors de moi, en se mettant derrière et m’enveloppant dans ses bras, attrapa ma poitrine à pleine mains.
Je tendais mon cul en arrière pour me coller à lui. Me sentir nue contre lui tout habillé me procurait un sentiment d’excitation ou chaque caresse, chaque frôlement de son corps ou de ses vêtements semblait décuplé. Mes sens étaient à fleur de peau.
-Prenez moi, debout ici. J’ai envie de vous sentir en moi. Jouez avec mon corps, faites moi tout ce que vous voulez
Je me tournais vers lui et baissai son pantalon et son slip. Il bandait et le tenant par la queue je l’entrainais vers une table de jardin à quelques mètres de nous.
Toujours debout je m’y appuyais et guidais sa queue entre mes fesses.
Je sentis son membre me pénétrer aussitôt.
-Mmmmmm, ouiiiii Daniel allez y ,allez y…
Il me tenait par les hanches et enfin me baisait avec fougue. Souvent il remontait ses mains pour tenir mes seins. Je remuais pour accorder mes va et viens aux siens.
Il respirait fort et je me tenait fermement à cette table de jardin qui elle ne tenait plus en place.
Elle avançait à chaque coup que je recevais de Daniel jusqu’au moment ou un pied se brisa . La table bascula et nous faillires tomber avec.
-Viens on rentre on sera mieux .
oui ok
En entrant je me retrouvais devant cette grande table sur laquelle nous avions mangé.
-Et sur cette table ça vous dis? Je ne voudrais pas en casser une deuxième.
-Celle est en chene massif tu ne crains rien!!!
Je m’asseyais sur la toile cirée et m’allongeais sur le dos, les jambes pendantes. Puis je les relevais, les écartais et prenais mes seins dans mes mains. L’invitation était sans aucune équivoque. Il se présenta devant moi en se masturbant lentement, et entra une nouvelle fois dans mon corps.
Sa queue n’était pas grosse mais cette situation suffisait largement pour que je prenne mon pied.
Je promenais mes mains sur mon corps, je gémissais sans aucune retenue.
Je comprenais qu’il ne réussirai pas à jouir une seconde fois, et oui à 70 ans on a plus la mème endurance qu’à 20 et le sentais bien moins raide . Il se retira doucement en s’excusant.
-Daniel, vous n’avez aucune excuse à me faire. Bien au contraire, si vous saviez le plaisir que j’ai à m’exhiber devant vous. Je suis si bien. C’est tellement unique pour moi .
Il attrapa ma main et la mena jusqu’a ma vulve .
Je veux te voir te caresser, fais ça pour moi. Mon dieu ce que tu es belle!!!
Mmmmm D’accord
Je commençais donc à me donner du plaisir en gardant mes yeux dans les siens.
D’abord en caressant mes lèvres et mon clitoris. Puis en me tortillant je reculais pour pouvoir poser mes jambes sur la table. Allongée entièrement , je me masturbais sans aucune pudeur;
Je mettais un doigt puis deux dans mon vagin, tout en touchant mes seins.
-Touchez moi vous aussi en même temps. Venez mettre votre queue dans ma bouche.
Il venait sur le coté de la table et je me remettais à le sucer frénétiquement tout en me doigtant avec furie.
Je m’abandonnais complètement à me faire jouir, sans aucune forme de pudeur ni de retenue.
J’aurais été seule chez moi que je me serai comportée de la mème façon.
Quel extase… Je sentais un orgasme arriver.
-Daniel, Daniel masturbez vous dans ma bouche.
Il ne se fit pas prier. Je sentais sa queue enfin redevenue dure . Dans un râle profond il éjacula dans ma bouche. Je jouis aussi à ce moment là laissant échapper un cri que les voisins, mème éloignés, durent entendre. J’étais secouée de frissons et de spasmes.
Sa queue se promenait toujours délicatement sur mon visage. J’avalais le peu de sperme qui m’avait offert, et gardant les yeux clos je continuais à me caresser doucement.
-Tu es un sacré bout de femme toi tu sais.
-Graçe à vous, je découvre des plaisirs nouveaux, et vous me donnez envie de continuer à en découvrir d’autres.
-Si je peux t’aider à te faire plaisir je suis là pour toi.Et comme c’est bon de te regarder te balader nue devant moi. Et cette chatte, sans poil, mon dieu comme tu me plais.
-Je m’exhiberai autant que vous voulez Daniel C’est trop bon de faire ça. Demandez moi tout ce que vous voulez, tout ce qui vous passe par la tête et je le ferai.
je veux regarder entre tes cuisses, laisse moi voir comme tu es belle.
Il avait une réelle fascination pour ma chatte toute épilée. Toujours allongée sur la table j’écartais mes cuisses. Approchant son visage, il promenais ses doigts sur mes lèvres, les écartaient doucement, glissait un doigt à l’intérieur . Il scrutait l’interieur de mon vagin comme même un gineco ne le fait pas.
J’étais aux anges, dans le comble de l’exhibition.
-Vous savez , vous pouvez me lécher si vous voulez
Et comme si il attendait mon autorisation, il enfouit son visage entre mes cuisses. J’eu droit alors au plus long cunni de toute ma vie. Les yeux fermés, je promenais mes mains sur tout mon corps.
Lui, se délectait des saveurs de mes sécrétions.
Depuis quelques minutes, une envie de faire pipi montait peu à peu et me sortait de ma douce léthargie.
Ouvrant les yeux, je me rendais compte que Monsieur, s’était assis sur une chaise pour être plus à l’aise. J’étais en quelque sorte son dessert, que nous n’avions pas pris d’ailleurs!!!
J’hésitais à lui dire que j’avais besoin d’aller aux toilettes. Je le voyais tellement prendre du plaisir à me « manger la vulve » Je m’imaginais un instant à me laisser aller à pisser pendant qu’il me lécher. Comment le prendrait il? Et je ne l’ai jamais fait. Peut être aurais je l’occasion de tenter cette nouvelle expérience bientôt. Je me décidais donc de lui dire:
-Daniel, il faut que j’aille faire pipi!!!
Il dégagea doucement son visage de mon sexe
-Je te laisse y aller ma chérie, tu connais le chemin.
Presque frustrée qu’il ne m’ai pas dit:
« Mais je t’en prie, fais pipi, ne te gênes pas. Moi je continue. » je me levais et me dirigeais vers l’escalier. Je tentais alors:
-Vous pouvez venir si vous voulez me regarder.
-Mais si tu veux, whaou!!!
Je n’y croyais pas, j’aller pisser devant un homme, même mon ex-mari ne m’avait jamais accompagné aux toilettes.
Assise sur les wc, Daniel restait dans le couloir devant la porte.
-Daniel? Si vous avez envie de regarder, il faut approcher, soyez pas timide. Il avança et s’agenouilla devant la cuvette.
J’avais besoin de me concentrer pour réussir à uriner . C’était la première fois que quelqu’un me regardait . Je ma penchais un peu en arrière et mon dos se posa contre les montants froid. J’écartais un peu plus les cuisses, et je me mis à pisser . Daniel, le visage à environ 50 cm de mon sexe regardait l’urine s’échapper de mon corps.
A ma grande surprise il avança sa main droite et ses doigts vinrent se glisser entre mes lèvres;
J’eu comme une décharge électrique.
-Ouiiiii encoooore Daniel!!! Touchez moi , laissez vos doigts dedans. Je vais jouir je vais jouir!!!!
Et un nouvel orgasme me transperça. Je plaquais sa main sur ma chatte pour ne pas qu’il l’enlève. Il frottait ses doigts sur ma vulve en entrant et sortant ses doigts.
Encore encooooore touchez moi. Je me tortillais en touchant mes seins à pleines mains.
Le calme revint il se recula et je me levais. Daniel me serra dans ses bras avec beaucoup de tendresse , mais en baladant un peu ses mains sur mon cul.
Nous nous ré-installerent dans le canapé, lui assis moi allongée sur le dos, mes jambes posées sur ses cuisses. Ils baladait ses mains sur mon corps et je lui racontais un peu ma vie et lui la sienne. Je lui confiais que mes pulsions d’exhibitions étaient récentes, et que je prenais énormément de plaisir à me lâcher comme je venais de le faire devant lui.
Je lui demandais si il était d’accord pour que je puisse revenir assouvir toutes mes envies, mes fantasmes et que si il en avait aussi je serai prête à les honorer.
-Comment refuser ce que tu me demandes ma chérie, évidement que je suis d’accord.
Je me levais, rajoutais une buche dans la cheminée. Puis à 4 pattes les fesses vers lui, je soufflais sur les braises pour raviver le feu. Cambrée au maximum afin de lui montrer le fond de mon cul.
1h du matin !!!
Il va falloir que je vous quitte, demain je travaille tôt.
-Tu peux dormir ici tu sais!!!
-Merci mais je vais rentrer Daniel, mais promis, on se revoit bientôt.
Il se mit à me re-peloter une dernière fois. Pas un centimètre de ma peau ne fut oubliée.
Je me mettais à genoux sur le canapé, façe au dossier, me cambrais le plus possible:
Daniel, Touchez moi un dernier coup les fesses.
Oh oui ma princesse…
Et il balada ses mains sur mon cul. Me penchant en avant contre le dossier, j’empoignais mes fesses à 2 mains, les écartais pour l’inviter a voir et à toucher mon anus.
Il y glissa ses doigts et entra doucement une phalange dans mon petit trou du cul. Il remuait son doigt et je faillis jouir une nouvelle fois.
Daniel?
-Oui
-Vous voulez bien me rhabiller?
-Tu dois vraiment partir…
Oui il faut .
Il me remis lui même mes vêtements.
Je me sentais tellement moins bien.
Nous nous séparèrent après nous être remercier mutuellement du plaisir que chacun avait offert à l’autre.
Je vous raconterai dans une prochaine histoire les moments passés à nouveau avec mon petit vieux préféré…. Si vous en avez envie .
J’ai découvert à quel point j’aimais me retrouver nue dehors. Sentir le soleil et le vent sur ma peau, sans entrave de quelque vêtement que se soit.
Quand les températures le permettent, je vais au bord de la mer, dans une zone naturiste. Je m’y sens bien. Je me baigne nue et la sensation est délicieuse. Ayant la chance d’avoir du temps libre en semaine, j’aime beaucoup aller me promener dans la nature. Loin de la foule des week-end, il m’arrive de me déshabiller au milieu d’une forêt, ou sur un sentier isolé.
Au début, le simple fait de me retrouver toute nue m’excitait terriblement. Chaque souffle du vent, chaque frôlement de feuille éveillait en moi une chaleur profonde, une émotion difficile à nommer.
La possibilité d’être surprise ajoutait un éclat nouveau à ce moment, une vibration intime qui ressemblait moins à de l’audace qu’à une joie intense, presque tremblante.
Et petit à petit j’eu envie de plus. Déjà lors de mes premières promenades dans les alentours du camping naturiste, je m’étais approchée dangereusement de la route, ou d’habitations. Je conduisais nue et je sentais que l’envie d’être vue toute nue prenait le dessus.
Progressivement j’élaborais des scénarios, trouvais des lieux propices pour pouvoir m’exhiber. J’ai toujours fais attention à ne pas me retrouver dans des situations dangereuses.
Dans la première partie de cette histoire je vous avais raconté comment je m’y étais prise pour me retrouver à m’exhiber devant un petit vieux.
J’ai du mal à trouver les mots pour vous décrire ce que je ressens quand je suis nue devant un inconnu.
Certains auraient peur ou honte. Moi mon excitation monte à son comble. Sentir le regard sur moi et mon intimité me procure des sensations inimaginables.
Daniel, me dévoila son prénom alors que je lui avais déjà dévoilé tout mon corps. Après avoir passé un moment complètement hors du temps avec lui dans les collines, il m’avait proposé de venir un jour chez lui pour un repas. Il voulait me remercier de ce que je lui avais offert.
Au début je n’étais pas très motivée pour y aller. J’aime beaucoup m’exhiber devant des vieux car je risque moins d’être mal-menée et j’ai une impression de supériorité, de maîtrise ou de domination que je n’aurais peut être pas sur un homme plus jeune. Mais le lendemain soir alors que je me masturbais dans mon lit en me remémorant ce moment avec lui, je changeais d’avis.
L’idée d’aller chez lui et surement pouvoir lui montrer mon corps une nouvelle fois me plaisait énormément.
Je lui envoyais donc un message et le rendez vous était pris pour demain soir.
Je vous passe les détails de tout ce qui passa dans ma tête . Tous les films que je me suis fait avant de me retrouver devant son portail éclairé par les phares de ma voiture.
J’avais mis des sous vêtements blancs string et soutien- gorge et un robe sérrée en laine grise arrivant juste au dessus des genoux. Une ceinture épaisse noire et j’avais plusieurs colliers longs descendant presque entre mes seins. J’avais gardé mes cheveux long défaits.
Je roulais au pas en entrant dans sa propriété. Il faisait nuit et j’avais du mal à distinguer le décor autour de moi, mais je pouvais apercevoir une maison en crépi blanc, avec de grands pins autour.
Une lumière s’éclaira et je vis sa silhouette avancer vers moi. Mon coeur battait fort et je respirais profondément.
-Bonsoir Léane, ça me fait tellement plaisir que tu es accepté de venir
-Bonsoir Daniel, le plaisir est partagé.
-Suis moi, rentrons, il ne fait plus bien chaud dehors .
Je le suivais et entrais dans une vaste pièce au fond de laquelle trônait une grande cheminée. Un feu y était éclairé et ça sentait bon la fumée. De grosses poutres courraient sous le plafond. Le mur derrière la cheminée était en pierre et un grand canapé installé face à l’âtre scindait la pièce en deux. Un haut comptoir délimitait une cuisine ouverte sur la droite et un escalier montait vers l’étage.
Je me sentis tout de suite bien dans ce lieu. Daniel me dit alors comme l’on été éduqués nos anciens:
-J’allais te proposer de te débarrasser, mais je vois que tu n’as pas de manteau. Je ne vais pas te demander d’enlever ta robe tout de suite!!!
-Vous voyez, Je suis aussi habillée… parfois.
-Et tu es ravissante, autant habillée que toute nue.
- Merci beaucoup vous êtes un gentleman. Je vois que vous avez fait un feu dans la cheminée, vous voulez que je meure de chaud et que je sois obligée de me déshabiller en fait.
J’y ai pensé je te l’avoue. Mais je ne t’oblige en rien et je ne veux pas être désagréable, pressant ou malveillant à ton égard. C’est tellement merveilleux pour moi de t’avoir croisé dans la colline, tu m’as offert un cadeau magnifique et inespéré. Je suis extrêmement heureux que tu aies accepté mon invitation.
Si vous saviez à quel point ça m’a plu de me retrouver nue devant vous, je découvre cette facette de moi depuis pas très longtemps. Je ne faisais pas du tout ça avant. C’est vraiment nouveau pour moi. J’ai l’impression de devenir une nouvelle femme. Je n’aurai jamais imaginé faire ça un jour.
Et bien je suis ravi si je peux t’aider à te sentir bien. Je te laisse t’installer comme tu le souhaites, n’aies aucune gêne devant moi. Et en attendant je peux te proposer quoi à boire?
Je me laisserai bien tentée par un verre de vin !!!
C’était vraiment nouveau pour moi cette situation. J’étais à la fois très anxieuse et excitée en même temps. Je me sentais gênée de me foutre à poil comme ça de but en blanc. J’en avais aussi envie. Surement qu’un peu de vin m’aiderai à me détendre… Ma vie sexuelle antérieure était si banale, si terne. C’est un peu comme si une seconde vie s’offrait à moi.
Nous bavardions un moment de nos vies.
Daniel nous avait préparé un gratin dauphinois accompagné d’un rosbeef. Une petite salade verte avec ça. Nous mangions sur cette grande table en bois massif qui avait du accueillir tant de fois des repas de famille et de fêtes. Ce soir nous étions seuls, tous les deux et je pouvais voir dans ces yeux comme de la reconnaissance. Je lui faisais oublier un peu sa routine triste d’un homme âgé dont les enfants vivent leur vie loin de leurs parents.
Le repas se passait à merveille, nous discutions comme si nous nous connaissions de longue date. Bon il est vrai qu’il connaissais déjà très bien presque tous les recoins de mon corps.
Je voyais le niveau de la bouteille de vin baisser considérablement. L’alcool aidant surement je sentais quelques chatouillements dans mon bas ventre.
Il se levait pour débarrasser et lui proposais de l’aider. Je le suivais vers la cuisine avec un plat.
-Je le pose ou?
-pose le là, mais ne t’embêtes pas je peux débarrasser.
-C’est la moindre des choses
Vas plutôt te mettre à l’aise sur le canapé devant la cheminée.
Il fait déjà très chaud ici, alors devant la cheminée je vais être obligée de me découvrir!!!
Mais je t’en prie, si tu en as envie ce n’est pas moi qui vais t’en empêcher.
Je le regardais en pinçant mes lèvres.
C’était maintenant, J’en avais envie et mon coeur, comme à chaque fois, battait à vive allure.
Je me dirigeais vers ce canapé faisant façe à la cheminée à environ 2 mètres. Etant dos à la cuisine, une fois assise le dossier me cachait de Daniel.
Grande respiration, j’ôtais mes chaussures. Dissimulée par ce grand divan je faisais glisser ma robe par dessus mes épaules, après avoir défais ma ceinture . J’hésitais à poursuivre.
Je remarquais un plaid posé sur une extrémité du canapé. Je décidais de me mettre totalement nue, en gardant mes quelques colliers, m’allongeais et me couvrais du plaid.
La chaleur de la cheminée ainsi que mes deux ou trois verres de vin aidant, je sentais ma vulve brulante. Dissimulée sous ce doux plaid en polaire, mes mains parcouraient mon corps pour me persuader que j’étais bien toute nue.
Tu veux un dessert tout de suite? Ou dans un moment?
OH, on peux attendre un peu, mais c’est comme vous voulez.
Tu peux me tutoyer tu sais!!! Me lança t’il en s’approchant de la cheminée. Il y rajouta un peu de bois.
Beh écoutez ça me plait beaucoup de vous dire vous. Je ne sais pas trop expliquer, mais comme vous le voyez j’aime me montrer nue devant vous et le fait de vous vouvoyer me procure encore plus de plaisir. Mais vous , continuez à me tutoyer…
C’est comme tu voudras ma belle. Tu me fais une petite place?
Repliant mes jambes, je lui laissais donc une place a l’extrémité du canapé. Une fois assis, je venais poser mes pieds sur ses cuisses. Il glissa aussitôt une main sous le plaid et commença à caresser mes pieds, montant jusque à mes cuisses.
Je soupirais, fermais les yeux et posais ma tête sur l’accoudoir du canapé. Sa main chaude montait et descendait puis remontais de plus en plus haut sur mes cuisses. Parfois je sentais ses doigts venir effleurer mon sexe. Daniel ne s’y attardait pas. Ses doigts venaient un court instant me titiller les lèvres puis s’éloignaient.
-Il faut que j’aille faire pipi.
tu montes l’escalier et c’est la première porte à gauche.
D’accord merci, à tout de suite.
Je me levais en laissant glisser le plaid qui me couvrait jusqu’alors. Complètement nue, je me dirigeais vers cet escalier. Daniel ne me lâchait pas du regard. Quelle sensation excitante.
Je montais les marches, trouvais les wc et y entrais. Assise sur la cuvette, sans aucun vêtement à ma disposition je prenais toute la mesure de la situation.
Retranchée dans la pénombre de cette petite pièce, ma nudité ne me semblait plus une faiblesse mais une décision pleinement revendiquée. Je m’étais mise dans cette situation car elle éveillait quelque chose de profondément vrai en moi, une curiosité vibrante que je n’avais plus envie de cacher.
L’appréhension était toujours là, oui, mais elle ne me paralysait plus. J’entrais dans un territoire nouveau, choisi, presque attendu. En me regardant dans le petit miroir au dessus du lavabo, j’ai senti monter une assurance tranquille, comme si je comprenais enfin que la peur et le désir n’étaient que deux battements du même coeur.
Je redescendais. Daniel était accroupi devant la cheminée. Il se redressa et me regarda avancer vers lui. J’avais envie qu’il pose ses mains sur moi. Comme lors de notre rencontre dans la nature, je le sentais un peu dépassé par les événements . Je le guidais alors vers ce que j’avais envie.
-Asseyez vous dans votre canapé Daniel, mettez vous au centre.
-oui Léane si tu veux
Je m’allongeais alors sur le ventre, mes hanches posées sur ses cuisses. Mes fesses devant ses yeux étendue sur toute la longueur de ce divan.
Ses mains vinrent se poser sur mon cul et ses doigts glissèrent, montant dans mon dos et descendant sur mes cuisses. A chaque passage de ses mains sur mes fesses, je soupirais et me cambrais pour lui offrir le plus belle vue sur mon cul.
Ses mains se faisaient de plus en plus entreprenantes, Il passait de caresses à du pelotage, du pétrissage. La tête enfouie dans un coussin, je me cambrai pour lui signifier que l’intimité du fond de ma raie était à lui. Ses doigts allaient toujours plus loin mais il gardait néanmoins cette retenue qui me procurai cette douce frustration. Vous savez quand l’excitation met à l’épreuve la patiente.
Je ne sais pas si il le faisait exprès mais c’était divinement bon.
Avec une main ses doigts se promenaient à l’orée de mon vagin, venaient effleurer mon clitoris tandis que l’autre s’affairait à écarter mes fesses. Il devait avoir une vue imprenable sur mon anus.
Je me sentais défaillir. Par moment ses doigts mouillés venaient caresser doucement mon anus. Quelle sensation indescriptible. Je me sentais scrutée, regardée, examinée.
Alors que ses doigts inspectaient l’entrée de ma vulve, je relevais mon cul vers lui dans le but qu’ils y entrent.
Mission réussie: je senti un doigt entrer enfin plus profondément. Je faisais des mouvements de va et viens.
-Daniel!!! Vous me rendez folle, continuez , ne vous arrêtez surtout pas. Ouiiiii Ouiiiiii C’est tellement bon.
Je me laissais totalement aller, mon petit papi n’avait surement plus la fougue de ses vingt ans mais il compensait ça par l’expérience. Lui aussi perdait de sa retenue du début et semblait se laisser aller également.
Sentant l’orgasme arriver, je fis un gros effort pour ne pas exploser et changeais de position.
Je voulais m’occuper de lui et m’agenouillais .
-Laissez moi faire « Monsieur » lui disais -je en déboutonnant son pantalon.
J’arrivais tant bien que mal à sortir sa queue. Il bandait bien et j’entreprenais de lents va et viens. Puis je l’engloutissais dans ma bouche.
A mon grand soulagement elle n’avait pas mauvais gout.
Le bougre avait du se doucher avant que j’arrive. L’autre matin dans la colline je n’avais pas eu cette impression de propreté. En même temps il ne pensait pas un seul instant tomber sur une folle à poil qui le suce au détour d’un sentier. Mais ce soir il l’espérait surement.
Je m’appliquais à lui faire du bien. J’alternais entre des va et viens puis enroulais ma langue autour de son gland. Je me régalais à faire une pipe à ce vieux monsieur et il ne fut pas long à venir. Je ne suis pas très friande de sperme, je préfère en recevoir sur le corps et le sentant venir je le laissais éjaculer sur ma poitrine souillant mes seins et mes colliers. Il emétais des râles et était secoué de quelques spasmes.
-Mon dieu, ma chérie, ça faisait tellement longtemps que je n’avais pas eu un tel cadeau!!!
-Si vous saviez comme ça me plait de faire ça. De pouvoir m’exhiber devant vous. De sentir vos mains sur moi, de vous voir me regarder.
Je sentais son sperme couler lentement sur mes seins, et n’avais aucune envie de l’essuyer.
Je me rallongeais sur son canapé, sur le dos, la tête sur ses cuisses, les jambes légèrement écartées. Lui, passait sa main dans mes cheveux.
-Une chose que j’adore ,c’est ton sexe sans aucun poil. De mon temps aucune femme ne se rasait comme ça et c’est tellement beau.Tu peux revenir ici autant de fois que tu le souhaite. Je ne te dirais jamais non tu sais.
merci, je crois que je reviendrai, je vous le promet. Mais à une condition…
Je t’écoutes
A chaque fois que je viendrai vous voir, je me mettrai toute nue, et vous serez obligé de me caresser les fesses comme vous l’avez fait tout à l’heure.
Marché conclus.
Vous me faites visiter?
Oui bien sur..
Je me redressais, et avançais vers la cheminée. La chaleur du feu finit de sécher le sperme resté collé entre mes seins. Je le suivais dans la cuisine au fond de laquelle une porte donnait sur un garage. On y entra. Un amoncellement de vieillerie poussiéreuses, des outils de jardin et autre bric à brac. Il y faisait bien plus froid que dans la maison et j’eu un frisson.
-Tu as froid!!! Rentrons.
Il me mena à l’étage et nous fîmes le tour des deux chambres et de la salle de bain dans laquelle il y avait une baignoire. Je m’imaginais déjà prendre un bain devant lui.
chez moi je n’ai qu’une douche, j’adorerai venir prendre un bain chez vous Daniel!!!
Tu sera la bienvenue. Et si tu veux je pourrais même te laver moi même.
OOOhhh oui j’adorerai.
Revenu en bas je lui disais
-Et dehors? Vous avez un grand jardin?
Ca fait presque 2500 m carré, Mais c’est beaucoup de travail d’entretenir tout ça. Tailler les arbres, les mauvaises herbes et tout et tout.
-Ca me ferai plaisir de vous aider à jardiner. J’avais un jardin avant et ça me manque.
-Je ne refuserai pas une main d’oeuvre aussi ravissante. Surtout si tu jardines à poil.
-C’est vos voisins qui vont être content.
-Il n’y a pas de vis à vis. D’un coté la rue mais il ne reste que 2 maisons et avec la haie on ne voit rien. En bas la forêt, et la maison avant, un ami mais on ne voit rien. Donc tu pourra te balader librement!!!
Trop bien, On va voir?
-Maintenant? Il fait froid et nuit.
-Pas grave.
Je sortais dehors et rapidement les premières pierres me rappelèrent que j’étais pied nus!!!
-Regarde, mets ça , c’est grand mais pour 5 min ça ira bien.
Il me proposa une paire de croc .
Je déambulais dans ce jardin qui était en fait un coin de colline avec des arbres et des buissons. Puis en passant de l’autre coté de la maison, je découvrais une piscine.
-Whaou vous avez une piscine!!! c’est génial
-Oui mais je ne m’en occupe plus trop.
-Et bien si vous voulez, je pourrais m’en occuper, mais en échange il faudra être gentil avec moi!!!
Mais bien sur, je serai aux petits soins avec toi. Tu sais, je ne reçois plus beaucoup de visites, et ma maison te sera ouverte quand tu voudras. Et si en plus je pourrais te voir toute nue tu me combleras de bonheur.
-Je n’ai pas l’intention de venir vous voir en restant habillée. Ca m’excite tellement d’être à poil devant vous. D’ailleurs je trouve que ce soir vous ne m’avez presque pas touché les seins, ça me fait de la peine!!!
Il s’approcha alors de moi, en se mettant derrière et m’enveloppant dans ses bras, attrapa ma poitrine à pleine mains.
Je tendais mon cul en arrière pour me coller à lui. Me sentir nue contre lui tout habillé me procurait un sentiment d’excitation ou chaque caresse, chaque frôlement de son corps ou de ses vêtements semblait décuplé. Mes sens étaient à fleur de peau.
-Prenez moi, debout ici. J’ai envie de vous sentir en moi. Jouez avec mon corps, faites moi tout ce que vous voulez
Je me tournais vers lui et baissai son pantalon et son slip. Il bandait et le tenant par la queue je l’entrainais vers une table de jardin à quelques mètres de nous.
Toujours debout je m’y appuyais et guidais sa queue entre mes fesses.
Je sentis son membre me pénétrer aussitôt.
-Mmmmmm, ouiiiii Daniel allez y ,allez y…
Il me tenait par les hanches et enfin me baisait avec fougue. Souvent il remontait ses mains pour tenir mes seins. Je remuais pour accorder mes va et viens aux siens.
Il respirait fort et je me tenait fermement à cette table de jardin qui elle ne tenait plus en place.
Elle avançait à chaque coup que je recevais de Daniel jusqu’au moment ou un pied se brisa . La table bascula et nous faillires tomber avec.
-Viens on rentre on sera mieux .
oui ok
En entrant je me retrouvais devant cette grande table sur laquelle nous avions mangé.
-Et sur cette table ça vous dis? Je ne voudrais pas en casser une deuxième.
-Celle est en chene massif tu ne crains rien!!!
Je m’asseyais sur la toile cirée et m’allongeais sur le dos, les jambes pendantes. Puis je les relevais, les écartais et prenais mes seins dans mes mains. L’invitation était sans aucune équivoque. Il se présenta devant moi en se masturbant lentement, et entra une nouvelle fois dans mon corps.
Sa queue n’était pas grosse mais cette situation suffisait largement pour que je prenne mon pied.
Je promenais mes mains sur mon corps, je gémissais sans aucune retenue.
Je comprenais qu’il ne réussirai pas à jouir une seconde fois, et oui à 70 ans on a plus la mème endurance qu’à 20 et le sentais bien moins raide . Il se retira doucement en s’excusant.
-Daniel, vous n’avez aucune excuse à me faire. Bien au contraire, si vous saviez le plaisir que j’ai à m’exhiber devant vous. Je suis si bien. C’est tellement unique pour moi .
Il attrapa ma main et la mena jusqu’a ma vulve .
Je veux te voir te caresser, fais ça pour moi. Mon dieu ce que tu es belle!!!
Mmmmm D’accord
Je commençais donc à me donner du plaisir en gardant mes yeux dans les siens.
D’abord en caressant mes lèvres et mon clitoris. Puis en me tortillant je reculais pour pouvoir poser mes jambes sur la table. Allongée entièrement , je me masturbais sans aucune pudeur;
Je mettais un doigt puis deux dans mon vagin, tout en touchant mes seins.
-Touchez moi vous aussi en même temps. Venez mettre votre queue dans ma bouche.
Il venait sur le coté de la table et je me remettais à le sucer frénétiquement tout en me doigtant avec furie.
Je m’abandonnais complètement à me faire jouir, sans aucune forme de pudeur ni de retenue.
J’aurais été seule chez moi que je me serai comportée de la mème façon.
Quel extase… Je sentais un orgasme arriver.
-Daniel, Daniel masturbez vous dans ma bouche.
Il ne se fit pas prier. Je sentais sa queue enfin redevenue dure . Dans un râle profond il éjacula dans ma bouche. Je jouis aussi à ce moment là laissant échapper un cri que les voisins, mème éloignés, durent entendre. J’étais secouée de frissons et de spasmes.
Sa queue se promenait toujours délicatement sur mon visage. J’avalais le peu de sperme qui m’avait offert, et gardant les yeux clos je continuais à me caresser doucement.
-Tu es un sacré bout de femme toi tu sais.
-Graçe à vous, je découvre des plaisirs nouveaux, et vous me donnez envie de continuer à en découvrir d’autres.
-Si je peux t’aider à te faire plaisir je suis là pour toi.Et comme c’est bon de te regarder te balader nue devant moi. Et cette chatte, sans poil, mon dieu comme tu me plais.
-Je m’exhiberai autant que vous voulez Daniel C’est trop bon de faire ça. Demandez moi tout ce que vous voulez, tout ce qui vous passe par la tête et je le ferai.
je veux regarder entre tes cuisses, laisse moi voir comme tu es belle.
Il avait une réelle fascination pour ma chatte toute épilée. Toujours allongée sur la table j’écartais mes cuisses. Approchant son visage, il promenais ses doigts sur mes lèvres, les écartaient doucement, glissait un doigt à l’intérieur . Il scrutait l’interieur de mon vagin comme même un gineco ne le fait pas.
J’étais aux anges, dans le comble de l’exhibition.
-Vous savez , vous pouvez me lécher si vous voulez
Et comme si il attendait mon autorisation, il enfouit son visage entre mes cuisses. J’eu droit alors au plus long cunni de toute ma vie. Les yeux fermés, je promenais mes mains sur tout mon corps.
Lui, se délectait des saveurs de mes sécrétions.
Depuis quelques minutes, une envie de faire pipi montait peu à peu et me sortait de ma douce léthargie.
Ouvrant les yeux, je me rendais compte que Monsieur, s’était assis sur une chaise pour être plus à l’aise. J’étais en quelque sorte son dessert, que nous n’avions pas pris d’ailleurs!!!
J’hésitais à lui dire que j’avais besoin d’aller aux toilettes. Je le voyais tellement prendre du plaisir à me « manger la vulve » Je m’imaginais un instant à me laisser aller à pisser pendant qu’il me lécher. Comment le prendrait il? Et je ne l’ai jamais fait. Peut être aurais je l’occasion de tenter cette nouvelle expérience bientôt. Je me décidais donc de lui dire:
-Daniel, il faut que j’aille faire pipi!!!
Il dégagea doucement son visage de mon sexe
-Je te laisse y aller ma chérie, tu connais le chemin.
Presque frustrée qu’il ne m’ai pas dit:
« Mais je t’en prie, fais pipi, ne te gênes pas. Moi je continue. » je me levais et me dirigeais vers l’escalier. Je tentais alors:
-Vous pouvez venir si vous voulez me regarder.
-Mais si tu veux, whaou!!!
Je n’y croyais pas, j’aller pisser devant un homme, même mon ex-mari ne m’avait jamais accompagné aux toilettes.
Assise sur les wc, Daniel restait dans le couloir devant la porte.
-Daniel? Si vous avez envie de regarder, il faut approcher, soyez pas timide. Il avança et s’agenouilla devant la cuvette.
J’avais besoin de me concentrer pour réussir à uriner . C’était la première fois que quelqu’un me regardait . Je ma penchais un peu en arrière et mon dos se posa contre les montants froid. J’écartais un peu plus les cuisses, et je me mis à pisser . Daniel, le visage à environ 50 cm de mon sexe regardait l’urine s’échapper de mon corps.
A ma grande surprise il avança sa main droite et ses doigts vinrent se glisser entre mes lèvres;
J’eu comme une décharge électrique.
-Ouiiiii encoooore Daniel!!! Touchez moi , laissez vos doigts dedans. Je vais jouir je vais jouir!!!!
Et un nouvel orgasme me transperça. Je plaquais sa main sur ma chatte pour ne pas qu’il l’enlève. Il frottait ses doigts sur ma vulve en entrant et sortant ses doigts.
Encore encooooore touchez moi. Je me tortillais en touchant mes seins à pleines mains.
Le calme revint il se recula et je me levais. Daniel me serra dans ses bras avec beaucoup de tendresse , mais en baladant un peu ses mains sur mon cul.
Nous nous ré-installerent dans le canapé, lui assis moi allongée sur le dos, mes jambes posées sur ses cuisses. Ils baladait ses mains sur mon corps et je lui racontais un peu ma vie et lui la sienne. Je lui confiais que mes pulsions d’exhibitions étaient récentes, et que je prenais énormément de plaisir à me lâcher comme je venais de le faire devant lui.
Je lui demandais si il était d’accord pour que je puisse revenir assouvir toutes mes envies, mes fantasmes et que si il en avait aussi je serai prête à les honorer.
-Comment refuser ce que tu me demandes ma chérie, évidement que je suis d’accord.
Je me levais, rajoutais une buche dans la cheminée. Puis à 4 pattes les fesses vers lui, je soufflais sur les braises pour raviver le feu. Cambrée au maximum afin de lui montrer le fond de mon cul.
1h du matin !!!
Il va falloir que je vous quitte, demain je travaille tôt.
-Tu peux dormir ici tu sais!!!
-Merci mais je vais rentrer Daniel, mais promis, on se revoit bientôt.
Il se mit à me re-peloter une dernière fois. Pas un centimètre de ma peau ne fut oubliée.
Je me mettais à genoux sur le canapé, façe au dossier, me cambrais le plus possible:
Daniel, Touchez moi un dernier coup les fesses.
Oh oui ma princesse…
Et il balada ses mains sur mon cul. Me penchant en avant contre le dossier, j’empoignais mes fesses à 2 mains, les écartais pour l’inviter a voir et à toucher mon anus.
Il y glissa ses doigts et entra doucement une phalange dans mon petit trou du cul. Il remuait son doigt et je faillis jouir une nouvelle fois.
Daniel?
-Oui
-Vous voulez bien me rhabiller?
-Tu dois vraiment partir…
Oui il faut .
Il me remis lui même mes vêtements.
Je me sentais tellement moins bien.
Nous nous séparèrent après nous être remercier mutuellement du plaisir que chacun avait offert à l’autre.
Je vous raconterai dans une prochaine histoire les moments passés à nouveau avec mon petit vieux préféré…. Si vous en avez envie .
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