Vivre nue ( première partie)

- Par l'auteur HDS Léane -
Récit érotique écrit par Léane [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
  • • 6 récits publiés.
  • • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 0.0 • Cote moyenne attribuée par HDS : 0.0
  • • L'ensemble des récits érotiques de Léane ont reçu un total de 17 577 visites.
Récit libertin : Vivre nue ( première partie) Histoire érotique Publiée sur HDS le 06-12-2025 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
Cette histoire de sexe a été affichée 1 115 fois depuis sa publication.

Couleur du fond :
Vivre nue ( première partie)
C’est la deuxième fois que je reviens seule dans ce domaine naturiste. En quittant la route principale pour m’engager sur la petite route menant au camping, mon coeur accélère. Cette fois nous sommes mi-juillet. Il y aura surement beaucoup plus de monde que la dernière fois. Je sais que Camille, la jeune fille que j’avais rencontrée l’an passé n’est pas la. Il faudra que je vous raconte un de ces jours les liens qui nous unissent désormais toutes les deux.
Voila un an que je n’étais pas revenue ici, hiver oblige, mais depuis l’an dernier j’ai vécu pas mal d’aventures que je vous raconterai bientot.
Je m’engage donc, dans le chemin qui mène à la réception et je commence à croiser les premières personnes nues. J’ai hâte de l’être aussi.
Je me gare sur le parking et finit a pied les 100m qui me séparent de la réception. Je m’étais promis de me déshabiller pour y aller mais je n’ose pas.
Arrivée dans la pièce fraiche de l’accueil je reconnais la dame de la dernière fois elle discute depuis son comptoir avec un couple d’étrangers qui semblent être sur le départ.
Tous sont habillés. Je suis partagée dans mon sentiment… je me sens plus à l’aise de l’être aussi, mais je suis à la fois frustrée de ne pas être nue. Je me jure de trouver des occasions pour me retrouvée nue au milieu d’autres personnes toutes habillées.
C’est mon tour, je vous passe les détails de mon inscription.
Je reprends donc ma voiture vers l’emplacement qui m’ a été attribué. Il est 10h30 et il y a du soleil qui je pense sera caché par ce gros arbre d’ici quelques heures. Ma tentera donc a l’ombre en fin d’après midi. La piscine est en contrebas et j’ai une vue sur les sanitaires situés à environ 100 mètres. Les emplacements voisins sont pris par une caravane et l’autre par une grosse tente . Mais ses occupants ne sont pas la pour le moment.
Je sors ma tente et toutes mes affaires, puis décide , enfin de me mettre toute nue. Nous sommes en période de très forte chaleur, et immédiatement je me sens bien.
Je commence mon installation.La chaleur se fait sentir, et je finit par être en sueur pour gonfler mon matelas.
J’ai prévu de rester 3 nuits et c’est amusant car je n’ai emporté aucun vêtement de rechange. Juste des chaussures pour marcher.
Mon installation terminée je décide d’aller prendre une douche. Je pars donc avec uniquement ma serviette et mon gel douche à la main. En entrant dans les sanitaire je tombe sur un petit papy qui est en train de se sécher. Les douches sont communes ainsi que les lavabos.
Seuls les WC sont « privés «  avec une porte.
Une dame d’une soixantaine d’année est installée à un lavabo. Comme chaque fois on se dit bonjour sans vraiment faire attention à l’autre.
Je m’installe à une douche, l’eau fraiche me fait du bien. Au fond de moi j’aimerai bien que d’autres personnes arrivent. Je prends gout de plus en plus à être nue au milieu d’inconnus.
Pour l’heure je suis la seule. Je me sèche et retourne vers ma tente.sur le chemin je croise une dame avec sa fille. Des hollandais je pense. La fille doit avoir 6 ans sa mère est de toute beauté.
Dans les 1m 75, blonde cheveux courts, des seins magnifiques, pas un poil sur son sexe.
Je me sens bien , je ne tiens pas en place, et j’ai envie de retrouver tous ces endroits que j’avais découvert lors de mon précédent séjour.
Je pars donc faire le tour de mon petit coin de paradis.
D’abord en direction de la piscine: Du monde sans être la cohue non plus. Puis je passe devant la terrasse en bois ombragée. Le petit snack n’ouvre qu’a midi. J’ai déjà croisé pas mal de monde, chacun fait sa vie. On ne se sent pas regardée, ni épiée.
J’aime me promener nue dans ce camping mais j’ai surtout envie de retourner sur ce sentier que j’ai découvert dans la foret lors de mon dernier séjour. Voir jusqu’ou il mène. Aurais je l’audace de le suivre plus longtemps cette fois ci!!!
Quand je repasse devant la terrasse je constate que le snack a ouvert. Je décide d’y manger.
Retour à la tente pour y prendre mon porte monnaie et un paréo. Car on ne s’assoie jamais nue a même une chaise . Par mesure d’hygiène on mets toujours un linge entre soi et la chaise.
Je reviens donc m’installer. Je trouve une table au bout de la terrasse.Une fois assise j’enlève mes sandales . Déja toute nue c’est agréable mais sentir le bois sous mes pieds me procure une sensation encore plus incroyable.Je me lève donc et marche pied nus jusqu’au comptoir pour commander ma salade. La sensation de nudité est vraiment décuplée à la limite de l’excitation.
Le Barman est lui habillé, et d’être nue devant lui me procure un sentiment d’excitation incroyable. D’autres personnes arrivent et s’installent autour de moi. Familles, couples mais pas de personnes seules.
Le jeune homme m’apporte enfin ma salade et je commence à manger. Drôle de sensation d’être nue au restaurant.
C’est décidé cet après midi je retourne sur ce sentier dans la foret pour voir jusqu’ou il me mènera.
J’allais partir quand un homme seul arrive pour s’installer à son tour. La cinquantaine , grand assez mince sans être trop musclé. Un joli sexe , les poils très courts. Est il ici seul?

Je retourne payer mon repas toujours nue et pied nus et commande un café. Je le bois au comptoir. Quelle drôle de sensation… j’adore !!!
Comment ai-je pu passer à coté de ces sensations pendant tant d’années.
Je remarque sur un affiche collée au dessus du bar que demain soir il y a un orchestre qui vient jouer ici. Soirée dansante donc. Mes pensées vont dans tous les sens. Les gens seront ils nus ou pas? Quelle sera l’ambiance? Oserai-je y aller nue ?

Mais pour l’heure une pensée m’obsède… ou va ce sentier?
Retour à ma tente.
Je dois m’équiper pour cette « randonnée »
Il faut que je mettes mes chaussures et de la crème solaire.j’ai de l’écran total ou une autre plutôt « huile solaire » je choisis celle ci qui laisse ma peau huileuse .
Ah oui je dois m’habiller aussi… je prends donc ma casquette, cela suffira amplement!!!
J’hésite à prendre mon paréo et décide finalement de partir sans lui.
Le sentier partant du camping naturiste je me dis que ce n’est pas la peine.

Me voila partie: je suis le chemin au milieu des emplacements, il y a un premier virage ou ça monte beaucoup. Je suis déjà essoufflée ( ça promet) puis un second. Le chemin se rétrécit puis s’enfonce dans la forêt . Une jolie foret de chênes. ça monte moins. Je reconnait l’endroit ou un second sentier part à gauche. C’est celui que j’avais emprunté la dernière fois. Je le suis donc.
Il serpente au milieu des arbres. Au bout de 5 minutes une clairière dégagée d’ou on peut apercevoir au loin la route et quelques maisons isolées.
Je continue. Le sentier descend et une trace à la peinture indique la limite du camping.

Une grande inspiration et c’est parti!!! J’avance vers l’inconnu, nue.
Tous mes sens sont en éveil, je marche en regardant autour de moi, en regardant loin devant au cas ou il y aurait quelque chose ou quelqu’un.
Uniquement la foret.
Je dois marcher depuis au moins 15 minutes maintenant. C’est la première fois que je suis aussi loin de mes vêtements.Je me sens à la fois merveilleusement bien et à la fois vulnérable.
Et si quelqu’un arrivait!!!
Je n’ai rien pour me couvrir. J’avance toujours, le sentier est souvent dans les sous bois ce qui est très agréable vue la chaleur. Il fait vraiment chaud, dans les 35 degrés je pense .
Ma transpiration mêlée à l’huile solaire font que je suis toute mouillée.
Je passe souvent mes mains sur mon ventre, ma poitrine, je descends sur mes cuisses et remonte sur mes fesses. Mon corps brille au soleil. Je sens de l’excitation montée en moi.

A un moment je vois à nouveau la route en contre-bas du sentier. Elle est encore très loin mais je me demande si le sentier ne la rejoint pas. J’ai à la fois peur de ce que je fais mais une envie irrésistible me pousse à continuer. J’avance prudemment. Plusieurs fois mes doigts sont allés jusqu’à mon entre-jambes. En touchant mes lèvres je me suis rendu compte que j’étais trempée et ni la sueur ni l’huile solaire n’y étaient pour quelque chose!!!
Il me suffit d’une pression toute douce à mes doigts pour entrer effleurer mon clitoris et électriser mes sens.
Encore un virage et je m’arrête soudainement. Il y a un cairn et sur une pierre une marque de peinture jaune que je ne connais trop bien.
Mon sentier vient de déboucher sur un GR ( un sentier de grandes randonnées).
A droite ça descend en direction de la route et à gauche ça part dans la foret.
Je reste là quelques instants a me demander quoi faire. A l’écoute du moindre bruit. Seuls le bruissement des feuilles dans le peu de vent. Je réalise ou je suis . Mes mains se baladent sur mon corps. J’ai envie de me caresser . J’empoigne mes seins à deux mains et descends sur mon ventre, puis remonte . Du bout des doigts j’effleures mes tétons, ma main gauche descends en glissant dans l’huile et la sueur jusqu’à mon clitoris. J’entre deux doigts en moi et commence a me doigter énergiquement.
Mon dieu que c’est bon.
Mais la raison reprend le dessus, je me ressaisis et me dis que si j’avais pris mon paréo j’aurais osé continuer . Mais dans ces conditions il est plus raisonnable de rebrousser chemin. Je regarderai sur la carte de mon téléphone si je trouve ce sentier et ou il mène.
Pour l’heure je commence le retour.
Régulièrement je m’arrête pour me caresser, en m’arrêtant à chaque fois avant d’atteindre l’orgasme.
Cela fait maintenant un bon moment que je me rapproche du camping et le stress est retombé. Je viens presque à oublier que je suis nue. La chaleur est accablante, je suis en nage, mais cette sensation est tellement agréable. Mes pensées vagabondent lorsque tout à coup je vois arriver deux personnes face à moi. Elles sont nues également. Un couple d’environ 60 ans. Ils arrivent forcément du camping. On se dit bonjour naturellement. Ils sont français. Je pense que pour ce couple la situation est complètement normale mais pour moi c’est tout nouveau. Je sens des fourmillements dans mon bas ventre. Je leur demande donc si ils savent ou mène ce sentier. Je leur dis avoir marché jusqu’a un GR sans avoir osé continuer.
« - jusqu’au GR? Vous êtes aller loin. Vous n’êtes plus du tout dans la zone du camping. Mais avec cette canicule personne ne va randonner, vous n’avez du croiser personne.
-Non effectivement , j’ai hésité a continuer mais je n’ai pas osé.
-C’est plus prudent oui, surtout seule. nous y allons de temps à autres. Le chemin continue très longtemps dans la foret, Il y a un champs de lavandes, puis le chemin arrive sur le plateau ou vous basculez vers le village.
-Vous y allez nus?
-Non, on se rhabille en arrivant sur le GR, car lorsque nous y allons c’est parce que nous allons faire le marché a ..( Je ne dirais pas le nom du village dans cette histoire). Mais nous n’avons quasiment jamais rencontrés de promeneurs. »
Nous échangeons encore quelques banalités puis reprenons chacun notre route.
Ces informations m’ont confortées dans mon idée de poursuivre l’exploration.
J’y retournerais donc mais avec de quoi me couvrir.
Je commence à apercevoir les derniers emplacements du camping. Je ne rêve que d’une seule chose: BOIRE.
Je me rends directement aux sanitaires et me jette sur le premier robinet.
Après avoir bu, je m’éclabousse le visage avec l’eau fraiche. Comme c’est agréable. J’ai envie de me mouiller tout le corps.
J’ôtes mes chaussures et mes chaussettes et me jette sous la douche. A cette heure ci je suis seule et l’envie de me caresser est bien présente. Mes mains et mes doigts se promènent sur ma peau. Mais je n’ose pas aller plus loin. Surtout que je viens de réaliser que je n’ai rien pour me sécher.
Je me rechausse et quitte les sanitaires. Nouvelle sensation:être nue au soleil me plaisait énormément mais me sentir trempée décuple en moi cette excitation. Je suis à quelques mètres de ma tente mais décide de continuer vers la piscine. Je sens l’eau couler depuis mes cheveux sur mon corps et je pense que si je pose mes doigts sur ma chatte j’explose aussitôt.
En arrivant devant la piscine je croise un homme au niveau du petit portail d’accès.
La proximité avec cet homme qui me laisse passer dans le pédiluve avant lui est telle que je sens monter en moi un orgasme. Je veux lui dire merci mais je lance plutôt un « MMMéésss » Je pince mes lèvres pour étouffer un gémissement. Je manque de jouir debout devant lui.
Je ne m’attarde pas, j’avance vers le bassin et y saute aussitôt.
L’eau fraiche me calme rapidement, je reste le dos contre le rebord. Je me rends compte alors qu’il y a beaucoup de monde. Tous les transats sont pris. Des enfants jouent seuls ou avec leurs parents. Si tous ces gens n’étaient pas nus on pourrait croire une scène normale dans une piscine municipale. Je suis bien dans l’eau. Je nage un peu en évitant les gens.
N’ayant aucune affaires pour m’installer, je décide de retourner à ma tente et de marcher une nouvelle fois toute mouillée.
Nue sous le soleil brûlant, encore perlée d’eau, j’ai l’impression que chaque rayon du soleil s’accroche à ma peau; La chaleur rencontrant l’humidité me traverse d’un frisson puissant, presque étourdissant.
Comme tout a l’heure je sens l’excitation revenir. Ces nouvelles sensations me transportent… Quel kiff
Je rejoins ma tente, m’affale sur le matelas, et je peux enfin me masturber.
Je pense que je bats mon record de vitesse pour jouir et je me laisse aller à une sieste bien méritée.
A mon réveil je me jette sur mon téléphone pour essayer de retrouver sur la carte ce fameux sentier… et La!!! grosse frustration: pas de réseau!!!
Mais non… comment c’est possible. Je revois alors la dame de l’accueil me demander si j’avais besoin de wifi. Et moi comme une idiote je lui avais dis non.
La voila l’occasion d’aller toute nue à la réception.
Sandale et zou…
Comme j’aime marcher toute nue, je ne m’en lasse pas.
J’arrive devant la porte, personne. Je retire mes sandales et entre dans la piece. Le sol frais sous mes pieds nus me procure un sentiment de nudité incroyable. Je suis seule. Rapidement, une personne arrive, c’est un monsieur, habillé. Le gérant je pense.
Mon coeur accélère même si je sais qu’il ne prête pas d’intérêt à ma nudité car ici c’est la norme.
Pour moi, je suis loin de cette norme. Je lui explique la raison de ma venue, et il me donne le code wifi. Nous bavardons quelques instants. C’est amusant comme rapidement je me sens à l’aise .
Le naturisme a cette vertu d’apaiser les gens, personne ne se juge, ne se regarde et on vit rapidement très naturellement.
En retournant à ma tente je constate que les occupants de la caravane située a coté de mon emplacement sont arrivés; Des belges, une Dame de mon âge et son mari avec un sexe d’une grosseur que je n’ai rarement vu!!!
Je ne suis pas encore au stade ou je ne fais plus attention aux gens, et j’avoue regarder discrètement mais scrupuleusement chaque personne que je croise.
Clé wifi et bim… ça marche.
Zoome, dézoome, rezoome , cherche et trouve…
Camping, sentier que j’arrive tant bien que mal à suivre, et je repère enfin le carrefour du GR.
Il serpente dans la foret jusqu’a une zone dégagée. Les fameux champs de lavandes. Au dela une piste forestière rejoint la route.j’estime à 500m la distance entre le champs et la route .
De l’autre coté le chemin continue dans la foret jusqu’à un autre croisement ou plusieurs sentiers se regroupent. Aucune habitation ni route .
J’ai trop envie d’y retourner, mais la chaleur du début d’après midi m’a vraiment fatiguée.
Demain matin? Vais je tenir jusque la?
Il est 18h je ne tiens pas en place dans ma tente. Je retourne prendre une douche avec cette fois serviette et trousse de toilette. Cette fois ci je ne suis pas seule. J’entre et vois un homme assez jeune se doucher. Sur les 3 douches, deux sont libres. Aux lavabos une maman avec son fils de 6 ou 7 ans et je reconnais aussi la magnifique hollandaise de ce matin.
Je m’installe à la douche à l’opposé du monsieur. Drôle de sensation. Il termine rapidement et je me retrouve seule sous la douche. Un couple arrive et le monsieur d’environ 45 ans vient à coté de moi. Je suis pleine de shampoing, je me rince les cheveux et remets une dose de shampoing sur ma tête. Je fais mousser et ferme mes yeux pour rincer.
Du bruit, des voix étrangères, Toujours les yeux fermés je sens la douche à coté de moi se mettre à couler .il y a maintenant deux hommes . Un de chaque coté. C’est la première fois de ma vie que je prend une douche avec deux inconnus. Je suis bien . Je suis propre depuis un moment mais j’ai envie de faire durer le plaisir.
Je me relave tout le corps, Et je me penche en avant pour frotter mes pieds. Les fesses tendus vers un des 2 hommes. D’un coin de regard je vois qu’il se lave le visage et a les yeux fermés.
Et je ne sais pas trop ce qui me prends a ce moment la ,mais toujours penchée sur mes pieds je feinds un déséquilibre et recule vers lui. Je sens mes fesses toujours son corps . Je me redresse en m’excusant. Il me sourit gentiment.
« -C’est pas grave, Ne vous inquiétez pas. »
Je le reconnais, c’est le monsieur qui était seul en terrasse à midi.
Je ne sais pas trop quoi lui dire. Et il y a trop de monde pour que j’ose lui parler.
Ce qui est sur c’est que ce contact physique aussi furtif qui soit m’a une nouvelle fois émoustillée.
Il faut que je sache si il est seul et ou il est installé.
De retour à ma tente, je me fais des films sur d’éventuels rapport entre nous!!!
Je vous passe tous les détails de cette première soirée qui n’ont rien eus de vraiment très affriolants. Je n’ai qu’une hâte : Braver l’interdit et explorer ce sentier dans la foret.

Au petit matin, je suis réveillée par l’envie de faire pipi.
J’hésite à me couvrir vu la fraicheur du matin ( il est 5h50) mais je finis par sortir nue de ma tente et me dirige vers les sanitaires.
Me promener nue au milieu des emplacements ou tout le monde est encore endormie, me procure une sensation délicieuse. Etant seule, on pourrais penser que je suis dans un camping normal, et que je n’ai rien a faire à poil dans les allées. J’aurais presque envie que quelqu’un me surprenne.
Les WC donnent sur l’allée et j’ose m’assoir pour faire pipi sans fermer la porte. Je la laisse entrouverte. Serai-je en train de devenir exhibitionniste!!!
En tous cas je prend énormément de plaisir à « vivre toute nue ».
Et si je partais découvrir ce sentier maintenant? Après tout je risque moins de croiser des gens à 6 h du matin qu’à 10h.
Allez go , c’est parti.
Je bois de l’eau, avales deux barres de céréales, chaussures et mon paréo à la main.
Il fais frais mais le chemin montant au début, j’ai rapidement chaud. J’ai mon paréo en boule dans la main, et j’avance sous les arbres.
Je retrouve la marque de limite du camping, je connais la suite et n’ai donc aucune anxiété à continuer. Sans montre j’estime que je marche depuis environ 30 minutes et je sens que je ne suis pas loin du GR et effectivement, le cairn apparait enfin.
Un moment d’arrêt, mes sens en éveil: pas de bruit, pas de vent.
J’hésite à mettre mon paréo sur moi mais je décide de le garder à la main.
Je m’engage sur ce nouveau sentier, rapidement ça monte… ça monte mème sévèrement, et je sens mon coeur taper dans ma poitrine. J’avance encore et le sentier devient moins abrupt, la pente s’adoucit et il me semble apercevoir une clairière entre les arbres.
Surement le champs aperçus sur sur la carte et mentionnés par le couple d’hier. Et je vois maintenant les premières lavandes.
Elles semblent abandonnées, ou peu entretenues.
J’avance pas à pas, à l’affut du moindre bruit ou de la moindre chose suspecte.
Mon coeur bat vite, je me force à respirer calmement.
Le sentier passe entre 2 grands champs de lavandes avant de repartir dans la foret.
Si je décide de continuer je serai vraiment à découvert sur au moins 300 mètres.
On pourrait me voir de loin.
Je me lance et traverse le champs.
Je prends conscience de ce que je fais… et ça m’excite terriblement.
Arrivée de l’autre coté, le chemin est plus large qu’avant .il s’agit plus d’une piste mais elle n’est pas carrossable au vu de son état.
Ca recommence à monter et j’hésite à continuer. Je suis vraiment loin, et j’ai déjà soif.
Je me souviens alors qu’il existe une piste qui depuis ici rejoint la route. Pourquoi ne pas tenter l’exploration vers la-bas!!!
Je ne tarde pas à la trouver. Une envie irrésistible me pousse à avancer. Le paréo toujours en boule dans ma main.
La piste descend doucement.c’est surement par la que se fait l’accès aux champs.
Je ne reviens pas de ce que je suis en train de faire.
Le soleil vient de pointer le bout de son nez. J’ai du mal à estimer le temps depuis lequel je suis partie. Peut être bientôt une heure que je ma balade à poil dans la nature… Quel bonheur.
Un bruit me fait sortir de ma torpeur. En contrebas de moi une voiture approche sur la route qui pour l’instant est invisible.
Un instant d’hésitation, je continue prudemment. Une seconde voiture, le bruit semble encore loin, je continue. Devant moi à une cinquantaine de mètres une barrière barre la piste.
La route n’est surement pas loin; J’avance comme en marchant sur des oeufs.
La barriere est tordue, fermée et toute rouillée. ça me rassure , elle n’est pas souvent utilisée, voire plus du tout.
La route n’est toujours pas visible je ne peux me résigner m’arrêter la. A nouveau une voiture et je l’aperçois à travers les arbres. La route est à environ 30 mètres en dessous de la piste. Mon coeur bat à 3000 mais je marche toujours. Devant moi un virage à gauche et voila la fameuse route.
Je reste là sans bouger à attendre. Pas de bruit, pas de voiture…
La route est à environ 30 mètres , si j’avance et qu’une voiture arrive je serai visible.
Il n’y a pas beaucoup de circulation, Il doit être 7 h.
J’entends au loin une nouvelle voiture arriver. Le bruit se rapproche et je la vois passer. La route est presque parallèle à la piste. Les voitures venant de droite ne me voient surement pas sauf à regarder derrière, par contre celles venant de gauche ont une jolie vue sur la piste.
La situation m’excite énormément et pour la première fois de ma vie j’ai envie d’être vue.
Un force incroyable me pousse à m’exhiber.
J’imagine les occupants de la voiture voyant une femme toute nue prés de la route.
Toujours trés peu de passage, je n’arrive plus à résister et décide d’avancer encore un peu.
20 mètres, 15 mètres… aucune voiture ne se fait entendre. Encore 5 mètres?
Si une voiture arrive de gauche je n’aurais pas le temps de me cacher.
Allez, vas y , fais le!!!
Concentrée sur le moindre bruit, j’avance enfin d’un pas rapide. 5 mètres puis 2 puis ça y’est je suis sur le bitume. Aussitôt demi tour et je retourne en retrait.
Putain !!! Je l’ai fais, je me suis mise à poil sur la route!!!
Une voiture se fait entendre de la droite, je la regarde passer, accroupie sous les arbres.
J’ai envie de recommencer.
Cette fois ci je laisse mon paréo par terre et avance à nouveau vers cette route silencieuse.
Je ne traine pas et foule une seconde fois le bitume, jusqu’a la ligne pointillé du milieu de la chaussée.
J’entends alors une nouvelle voiture arriver mais cette fois de la gauche. MERDE!!!
Je quitte précipitamment la route, sachant que je n’aurais pas le temps de me cacher.
J’ai pu avancer de 5 mètres sur la piste quand la voiture passe sans ralentir.
M’as t’elle vu? Oui c’est obligé. Je n’ai pas osée me retourner pour voir mais c’est sur que j’étais visible.
Qui avait il a bord? Un homme, une femme , plusieurs hommes, Je ne le saurais jamais.
J’ai repris mon paréo et m’éloigne de la route.
Je prends conscience du chemin qui me reste à faire pour rentrer. Je pense que j’en ai pour une heure.Heureusement que j’ai mon paréo bien qu’il ne m’habille pas trop non plus. Malgré mon paréo je pense qu’on verrai que je n’ai rien dessous.
Je n’ai toujours pas envie de le mettre et je suis toujours divinement bien toute nue, d’autant plus que le soleil me réchauffe maintenant.
Je retrouve le champs de lavandes et le sentier du début qui va me ramener à bon port.
Je devrais bientôt retrouver le croisement ou je quitte le GR pour remonter vers le camping. Une étape décisive car j’estime qu’une fois ce croisement franchit, je suis presque dans la zone du camping et je suis a l’abri.
Par moment je me rends compte que je suis moins sur mes gardes. Je marche en me concentrant uniquement sur mes sensations.

C’est alors que mon sang se fige.
Entre les arbres et venant vers moi, j’aperçois une silhouette. Il fallait bien que ça arrive . Elle est la devant moi, et pas le temps d’enfiler mon paréo.
C’est un homme d’environ 65 ans. Je le scanne en une seconde:Il a des lunettes de vue, cheveux courts, environ 1m 70.
Un short arrivant au dessus des genoux, un chemise bleu clair ouverte à moitié. Un sac a dos et un bâton de marche.
Il s’est arrêté et il fait une moue qui me laisse sembler qu’il est autant gêné que moi.
Je me confond en excuses:
« -Bonjour, pardonnez moi, je ne pensais vraiment pas croiser du monde si tôt le matin. Je viens du camping naturiste et je pensais être seule dans la foret. Je suis vraiment désolée.

-Ce n’est pas grave, J’habite en bas et j’ai déjà vu des gens se balader comme vous dans le coin. Mais plus vers le camping, pas ici. Vous êtes vraiment loin. »

Son attitude me met a l’aise. Il ne semble pas bien méchant. Je continues mes excuses en lui faisant croire que je me suis un peu égarée. Je me rends compte aussi que je n’ai pas pris la peine de ma cacher avec mon paréo et que je suis toujours nue devant lui.
« -J’avoue que je suis allez un peu trop loin, mais j’avais peur de m’être un peu perdue. Le sentier qui remonte vers le camping est loin?
-Non il est juste à 50 mètres, vous n’ètes pas loin.
-Ah ça me rassure, en tout cas merci à vous de ne pas le prendre mal. Vous venez souvent balader par ici j’imagine en vivant a coté?
-Oui, je viens le matin tôt avant qu’il fasse trop chaud. Je me rappellerai longtemps de ce matin!!!
-Et du coup vous devez connaitre tous les chemins dans le secteur? Vous croisez souvent du monde?
-Oui je connais très bien le coin, il y a rarement des gens ici.
-Je me suis arrêtée au champs de lavandes, je n’ai pas osée continuer. Le chemin va ou après?
-Ah oui vous êtes allée toute nue jusqu’aux champs? Vous n’avez pas peur vous. En mème temps il n’y a pas souvent du monde ici. Ca monte jusqu’au plateau puis vous aves un carrefour avec des panneaux de rando.
Il y a pleins de sentiers dans le foret, c’est difficile de vous expliquer comme ça, il y a même une « borie » que très peu de gens connaissent.
-Je pourrais retourner me balader alors et essayer de la trouver cette « borie »

Je me sentais à l’aise, C’est comme quand je discutais avec des gens dans le camping naturiste sauf que cette fois ci je n’y étais pas. La situation était vraiment hallucinante et je n’avais pas envie de le laisser partir. Je voulais encore rester nue devant lui pour qu’il continue à me regarder.

Vous me montreriez ou se trouve cette « borie »? Je ne voudrais pas abuser bien sur, mais en fin de journée ou demain si vous êtes dispo, parce que je pense que, seule, je ne la trouverais jamais.
Pourquoi pas , en fin d’après midi si ça vous dit je vous emmène.
Oh oui ce serait trop génial, dites moi ou et quand ?
Et bien ici à 16h30
Oh merci infiniment, vous êtes un amour.
Merci à vous, c’est un plaisir de vous avoir rencontré.
Ah oui, au fait, il faudra que je m’habille?
Heuuu, comme vous voulez, on ne croisera surement personne mais on n’est jamais à l’abri d’une rencontre, comme maintenant. Mais ca serait un grand moment de bonheur de vous revoir, habillée ou pas.
Ok, merci encore et à tout à l’heure, je serais la , promis.

Je repris ma marche, dans un état d’hallucination total. Je venais d’être surprise par un promeneur alors que je me baladais à poil. Nous avions bavardé un moment ensemble et il allait me mener visiter les collines avec lui.
Je n’en revenais pas. Je ne me reconnaissais pas, mais putain comme j’aimais ça.
Je retrouvais enfin le camping sans ne croiser plus personne.Tout mon esprit était déjà a m’imaginer avec cet homme. Et surtout une question revenait sans cesse:
Comment y aller? Habillée ou nue…
J’ouvre ma tente et regarde l’heure: 8 h 45!!! Je suis partie à 6h, je viens de me balader toute nue pendant près de 3 h dans la nature. Quel record insolite!!!
Douche, Petit déjeuner, je suis affamée. Je regroupe quelques affaires pour aller me poser à la piscine; serviette, crème solaire, livre, mes écouteurs, téléphone et bouteille d’eau.
Je suis la première et m’installe sur un transat. Je me glisse aussitôt dans l’eau. Quel plaisir de nager nue.
Puis je commence à lire mon livre: Mais la concentration n’y ai pas. Je repenses à toutes mes émotions du matin: la suave sensation de marcher nue dans la foret, l’adrénaline à l’approche de la route, l’excitation de ma première exhibe devant une voiture, puis cette rencontre avec ce monsieur. Je me mets à sa place un moment, voir surgir au détour d’un sentier une femme complètement à poil !!!
Je branche mes écouteurs et me laisse porter par la musique, peu à peu les gens arrivent et s’installent autour de moi. Il fait déjà très chaud et je ne regrette pas d’avoir choisis un transat à l’ombre. Je me demande ou se trouve cette borie ( pour les non connaisseurs ,il s’agit de petites huttes en pierres sèches typique du sud de la France). Me voila donc sur map afin de la trouver.
C’est amusant de retrouver l’ensemble de mon parcours. Je visualise bien les champs de lavandes et remarque qu’il n’y a vraiment rien autour a part de la foret. Je retrouve aisément la piste menant à la route. Aucun sentier au delà de la route, ça aurait été amusant de la traverser pour continuer plus loin.
Le chemin qui continue de monter au delà des champs s’enfonce dans les bois et je pense retrouver le carrefour dont m’a parlé le monsieur, Plusieurs chemins continue et mon attention est attirée par un sentier qui mène au village. Mais la distance est longue avant d’y arriver. Par contre, je ne trouve pas de borie… nous verrons bien.
J’ai malgré tout une légère inquiétude: et si ce monsieur me voulait du mal. Il aurait pu abuser de moi ce matin, mais je ne l’ai pas senti méchant. C’est moi après tout qui lui ai proposé de m’accompagner .
Toute la journée je cogite à ce qu’il pourrait se passer. Les heures avancent et il va falloir que je me décide.
Il est 16h et je dois partir maintenant ou renoncer. Suivant dans mes décisions et mes choix de vies depuis longtemps cet adage: »il vaut mieux vivre avec des remords qu’avec des regrets »
Je décide donc de me rendre à ce rendez vous des plus insolites.
Chaussures, crèmes solaire à profusion sur le corps, bouteille d’eau à la main et … paréo posé sur les épaules je reprends donc la direction de toutes mes folies. Je marche depuis 5 minutes quand je croise deux dames. L’une entièrement nue, l’autre avec un tout petit paréo autour de la taille, les seins nus.
Nous sommes encore proche du camping, mais leur présence me rassure. Je me dis que le lieu est vraiment propice au bien être. Qu’il n’y a pas de personnes malaisantes et que finalement la personne la plus perverse, c’est moi!!!
Je ne suis plus bien loin du lieu on nous devons nous retrouver. Je vois enfin le cairn du GR. Personne. Je reste un moment assise à l’ombre d’un chêne en attendant de voir si il arrive.Puis des bruits de pas dans les pierres, Je remets mon paréo et attends. Je le vois enfin, c’est lui, il est seul et il s’arrête prés du cairn.Grande respiration et j’avance vers lui.
A ma vue son regard s’illumine, je vois dans ses yeux de la gentillesse et me sens tout de suite apaisée.
Il me lance:
« - J’ai faillis ne pas te reconnaitre!!! Tu n’es pas habillée comme ce matin!!! »
Je peux y remédier luis dis-je en riant.
Ce n’est pas moi qui t’en dissuaderai, mais je ne te garantis pas de rencontrer personne.
Je vais rester comme ça pour le moment, on y vas? Je vous suis?
Allez en route, il faut environ 40 minutes pour y aller.
Ok pas de soucis pour moi. »
Je marche derrière lui et nous commençons a bavarder.
« - au fait, je m’appelle Léane et vous?
-moi c’est Pierre
Enchanté Pierre, c’est un plaisir de faire connaissance
Tout le plaisir est pour moi Léane
Au fond de moi je me dis: tu m’étonnes , tu te retrouves à te balader avec une femme complètement à poil
Nous arrivons aux champs de lavandes et nous parlons toujours de choses et d’autres.
Il me demande si je me balade souvent nue et je lui explique que c’est assez nouveau pour moi. Que je découvre des sensations nouvelles et que j’adore ça.
J’ai toujours mon paréo mais je meurs d’envie de l’enlever.
Etant derrière lui il ne vois pas que je le relève souvent dévoilant mon corps presque entièrement.
J’ai fais un noeud pour le fermer, juste au dessus de mes seins. Le noeud étant sur le coté, tout mon corps est caché mais discrètement je fais tourner le paréo de manière à positionner le noeud entre mes seins mais toujours au dessus. De cette manière il y a un espace entre les deux pans du paréo et on peux aisément voir mon ventre et surtout ma chatte.
Nous nous arrêtons régulièrement. Il me décris les collines et les alentours.nous nous apprètons à traverser les deux champs , là ou j’avais hésité ce matin. En se tournant vers moi il remarque mon sexe et ne peux s’empêcher de garder son regard dessus.
Cela m’excite beaucoup.
Il me dit :
« - ce matin tu étais seule, ça pouvait être dangereux se te balader à poil mais l’avantage de maintenant, vu qu’on est deux, c’est que si on croise du monde il ne pourras rien t’arriver.
Il a complètement raison et je pense que c’est la phrase que j’attendais.
-vous avez mille fois raison, et il fait tellement chaud…
Je dénouais mon paréo et me retrouvais à nouveau entièrement nue devant cet homme.
-Je te reconnais enfin, tu es vraiment incroyable et magnifiquement belle.
-Merci et surtout merci d’être bienveillant avec moi.
-C’est tellement magique de te voir toute nue devant moi, dans la nature que je veux profiter de toi le plus longtemps possible.
-Alors profitez du paysage autant que vous voulez!!!
Et je me remettais en route mais devant lui cette fois ci.
Je marchais en l’imaginant mater mon cul.
La piste sur laquelle nous étions était vraiment raide. Nous montions depuis un moment, nous parlions de pleins de chose et par moment j’oubliais presque que j’étais complètement à poil en train de m’exhiber devant cet inconnu. Nous nous arrêtions pour boire. Ma bouteille me gênait à la main et je lui demandais si il pouvait la prendre dans son sac.
Il accepta et me proposa de prendre aussi mon paréo.
-Oui si vous me promettez de ne pas vous enfuir et m’abandonner comme ça au milieu de la foret.
-Non ne t’inquiètes pas et je pense que tu cours plus vite que moi!!!
On se remis en route et je réalisais à quel point j’étais nue.
Si quelqu’un arrivais je n’aurais rien à me mettre et serai obligée de rester nue. La confrontation serait inévitable!!!
Je n’en revenais pas de ce que j’étais en train de faire. Je n’avais pas de peur ni de stress et j’acceptais le fait de m’exhiber.
La piste tourna à gauche et je vis les fameux panneaux en bois et ce carrefour.
Une piste plus carrossable à gauche et deux autres sentiers plus étroits dans les autres directions.
-ça va? Tout va bien? Me lança t’il
oui très bien, on est loin de la borie?
Environ 10min par là , on continue?
Oui maintenant qu’on est venus jusque là . ça serait dommage de ne pas la voir.
C’est sur .
Puis il fit claquer doucement sa main sur ma fesse en me disant:
-allez zou!!!
Je ne m’attendais pas du tout à ça et cette tape amicale provoqua en moi une montée d’excitation énorme. Il aurait pu être beaucoup plus entreprenant en posant ses mains sur moi, sur mes fesses ou sur ma chatte . Il aurait pu quand il marchait derrière moi venir empoigner mes seins. mais je pris ce geste la comme un signe de gentillesse.
Je n’aurais rien à craindre de lui, j’en suis sur.
Je me sentais merveilleusement bien, malgré la chaleur, et on aurait pu croiser n’importe qui que ça ne m’aurait absolument pas gênée.
La borie était là devant nous au milieu des chênes, dans une grande clairière .L’endroit était vraiment magnifique. En entrant à l’intérieur le changement de température fut saisissant. Il y faisait au moins 15 degrés de moins. Je fut saisie d’un long frisson. Pierre qui me suivait de prés le remarqua surement et me serra contre lui. Il était derrière moi et enroula ses bras autour de mon corps.
Je posais mes mains sur ses avants bras et le serrais contre moi. Je basculais ma tète en arrière et mes cheveux vinrent se poser contre sa joue. En saisissant son poignet je tirais son bras doucement en arrière et sa main attrapa mon sein gauche. Puis de son autre main il empoigna mon second sein et avec délicatesse mais fermeté il se mit à les malaxer. Je sentais que mon entrejambes était trempée à un point rarement atteint jusque là. Je sentais couler sur mes cuisses la cyprine . Le sol était poussiéreux et j’aperçus des grosses gouttes de liquide se répandre.
Sa main droite descendit doucement le long de mon ventre. Je me disais qu’au moment ou il effleurerais mes lèvres je ne pourrais pas me retenir . L’orgasme arrivait à vitesse grand V .
Mais à quelques centimètres sa main prit une autre direction et alla me caresser les fesses.
Sa deuxième main lâcha également mon sein pour rejoindre l’autre sur mes fesses. Ses doigts vers le bas et les paumes en haut il caressais mon cul comme mes seins. Délicatesse et fermeté.
Devant moi il y avait une grosse pierre faisant office de table. Je perdis légèrement l’équilibre sous ses caresses et me rattrapa à ce gros cailloux.
J’étais donc penchée en avant, le cul offert à cet homme. Il devait voir l’intérieur de mon intimité. Je n’osais changer de position tellement j’étais bien. Je sentais ses doigts promener sur mes fesses, puis entre mes fesses.un doigt effleura mon anus et continua jusqu’à mes lèvres.
Je n’en pouvais plus, je respirais fort en gémissant doucement.
Ses doigts s’attardèrent sur mes lèvres puis d’une légère pressions il entra deux doigts dans mon corps.
Je ne pu retenir un cri d’extase et il se mit a faire des va et viens de plus en plus rapide.
J’étais au bord de l’explosion quand soudainement une respiration haletante suivi d’une ombre surgit à l’entrée de notre borie.
Un chien entra et et ressortit presque aussitôt.
Nous eûmes tous les deux un instant de panique puis nous étouffâmes un rire.
Pierre ayant laissé son sac à l’extérieur je n’avais rien pour m’habiller. Il sortit pour le chercher, mais je vis une dame devant la porte. Impossible de me cacher alors je pris sur moi de sortir.
Après tout, je pense qu’au fond de moi je n’attendais que ça : m’exhiber!!!
Je sortais donc et me retrouvais devant celle dame d’une cinquantaine d’année. Sa surprise était grande et elle eu du mal à me rendre mon bonjour.
Je rejoignais pierre qui ne savait plus si il fallait me tendre mon paréo ou pas.
C’est alors que je vis le mari de la dame à quelques mètres de là. Il était planté debout au milieu du sentier et ne réalisait pas la scène.
J’étais là, complètement à poil au milieu de plusieurs personnes. Tout le monde me regardait. Je ne me rendrais pas vraiment compte de la scène.
Je me dirigeais vers ce monsieur qui était au milieu du passage en lui lançant un « Bonjour » tout sourire. Pierre me suivit et nous nous éloignèrent de ce couple.
Nous ne nous sommes pas parlés pendant quelques instants, puis il me lança:
« -je suis désolé, mais c’était un risque à prendre.
-Je ne vous en veux pas, au contraire, ça m’a terriblement excitée d’être dans cette situation.
Pas vous?
-Jusqu’a qu’on soit surpris j’ai adoré. Mais j’ai été terriblement gêné pour toi.
-Pour moi? Non!! Je ne pensais pas que ça m’exciterais autant être vue. Je découvre que j’aime ça. J’adore.Merci merci merci.
-Tu es vraiment folle, j’ai jamais rencontré une femme comme toi, c’est moi qui te remercie de me faire vivre de tels moments.
Nous marchions depuis 5 minutes environ sur le sentier du retour. La chaleur était accablante. Je n’imaginais pas un seul instant devoir me rhabiller. Je veux dire , juste mettre mon paréo!!!
J’étais toujours très excitée, il marchait juste derrière moi et je me retournais brusquement pour attraper sa main et la porter à ma chatte brulante. Aussitôt ses doigts entrèrent dans mon corps et recommencèrent leurs va et viens.
Complètement nue au milieu du sentier je me faisais doigter par cet homme que je connaissais à peine. Je portais pour la première fois ma main vers son sexe. Je sentais immédiatement une bosse bien dure à travers son bermuda. Je dessérais sa ceinture et glissais ma main sous le tissus.
« - vous n’avez pas de caleçon? Vous êtes un coquin dites moi.
Je savais qu’avec toi ça allait me gêner et me serrer. Je ne suis pas déçu!!!
Son short glissa au sol et je pouvais le masturber plus facilement. Ces doigts fouillaient toujours ma chatte. Sa queue n’était pas très grosse, mais cela ne m’importait peu. La situation était si unique, si improbable, et tellement excitante. Nos masturbations accéléraient, je sentais l’orgasme monter. Toujours une main autour de sa queue, je m’agrippais à ses épaules, je posais ma tête dans son cou et un orgasme gigantesque me secoua. Il n’en finissait pas, des spasmes me secouaient, mes jambes tremblaient et j’essayais tant bien que mal d’étouffer mes gémissements. Entre deux spasmes je sentis sur mon ventre une douce chaleur. Mon « guide » éjaculait sur moi et son sperme se répandait sur mon ventre. Toujours dans ma main je frottais son sexe gluant sur ma peau.
L’euphorie s’estompa peu à peu. J’avais besoin de m’assoir, mes jambes vacillaient . Je me posais par terre au milieu du sentier le dos contre un arbre. J’étais hagarde. Je fermais doucement les yeux mes mains posées sur mes cuisses légèrement entrouvertes.
Pierre qui avait réajusté son bermuda, était en train de boire et me tendit ma bouteille d’eau.
Je bu volontiers et me versa un peu d’eau entre les seins et sur le ventre afin de nettoyer un peu sa semence.
Nous nous remirent en chemin, et j’étais soulagée que le chemin descende. Je me sentais lessivée. Sur la piste entre le carrefour et les champs de lavandes Pierre me prit la main. Nous marchions comme un couple normal à un détail prés: j’étais toujours à poil.
Nous n’avons plus croisé personne. Mais j’étais dans un état second et je ne suis pas sure que si nous avions croisés du monde j’aurais réagis.

Nous avions atteint le cairn ou nos chemins se séparaient.
« - Votre maison est loin d’ici?
non à 5 min, tu descends le GR , tu arrive sur un petit pont et tu prends a droite sur le chemin herbeux. Tu arrives à ma maison au bout du chemin. Je t’aurais bien proposé de venir mais ma femme est là.
Whaou, vous êtes marié!!!
Et oui madame. Tu restes longtemps au camping?
Je reste encore 2 nuits.
J’adorerais te revoir, il faut qu’on trouve une solution.
On peux refaire une balade demain, si vous voulez?
Oui très volontiers
Votre femme ne vient jamais marcher avec vous?
Si bien sur, ca arrive souvent.
Si elle décide de vous accompagner demain et que je vous attends toute nue ça craint!!!
C’est clair.
-Je vous donne mon numéro de téléphone et on s’écrit . Ca peut être mieux.
-Bonne idée
Je lui laissais donc mon numéro, avant de me quitter il me demanda:
-Je peux te demander une dernière chose?
-Oui dites moi…
Et là il me sorti une phrase d’un autre monde:
-Je peux te lécher le cul?
Je ne m’attendais pas à ça. Au point ou j’en étais j’acceptais. Je me tournais en me penchant en avant. Je sentis ses mains écarter mes fesses. Il n’y alla pas par 4 chemins et sa langue alla directement droit au but. Penchée en avant, les mains sur les genoux , sa langue me faisait un nettoyage en règle. Quel sensation divine. Puis je me mis à 4 pattes dans l’herbe et il repris ses caresses. J’écartais mes jambes et me cambrais au maximum pour lui offrir la plus belle vue possible. Lui, écartais mes fesses avec ses mains et je pense qu’il devais voir l’intérieur de mon anus. Je sentais sa langue aller et venir dans mon cul. J’avais un sentiment d’exhibition extreme.
J’aurais aimé que cela ne cesse jamais.
Il s’arrêta néanmoins au bout d’un moment. Il m’aida à me relever, et me serra dans ses bras.
Il me promis de m’envoyer un message pour que nous puissions nous revoir.
Nos chemins se séparèrent et je regagnais le camping.
Je marchais comme un somnambule mon paréo à la main.
Mon cerveau lui tournait à cent à l’heure repensant tout ce que je venais de vivre.
Je retrouvais ma tente sans avoir la force d’aller me doucher, et m’endormais avec le doux souvenir de cette langue entre mes fesses.
De la musique me réveilla, il était environ 20heures, J’avais totalement oublié le groupe de musique qui devait jouer ce soir au camping…

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Encore une très belle histoire , j’adore vous lire.
La description de la montée du désir d’exhibition est très bien décrite. Et le final avec le promeneur est très excitante ; je rêve d’une aussi belle rencontre lors de mes excursions

Histoire Erotique
waouw belle histoire :)



Texte coquin : Vivre nue ( première partie)
Histoire sexe : Une rose rouge
Vous êtes :
Indiquez votre adresse mail si vous souhaitez la communiquer à l'auteur de l'histoire.

Dernières histoires érotiques publiées par Léane

Vivre nue ( première partie) - Récit érotique publié le 06-12-2025
Footing (suite et fin) - Récit érotique publié le 26-11-2025
Le footing (première partie) - Récit érotique publié le 21-11-2025
Premiers émois naturistes ( fin) - Récit érotique publié le 13-11-2025
premiers émois naturiste( 2eme partie) - Récit érotique publié le 08-11-2025
Premiers émois naturiste ( partie 1) - Récit érotique publié le 04-11-2025