Vivre nue ( partie 2)
Récit érotique écrit par Léane [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Vivre nue ( partie 2)
Je réalise que le groupe prévu pour l’animation de ce soir est en train de se mettre en place.
Je rejoins les sanitaires et me douche. La sensation de l’eau tiède sur ma peau est agréable.
L’eau s’écoulant sur ma tête a tendance à couvrir les bruits autour de moi et je me retrouve, en fermant les yeux, un peu comme dans un mini cocon.
Je revois les images de cette folle randonnée avec Pierre, mes exhibitions devant lui et devant ce couple, Ses caresses, ses mains sur mon corps et dans mon sexe. Je me revois aussi à 4 pattes dans l’herbe en train de me faire lécher l’anus. Difficile de reproduire avec des mots ce que j’ai pu ressentir à ce moment là…
Je n’aurais jamais pensé qu’en un an je devienne autant exhibitionniste. Ces nouvelles sensations me transcendent.
Pour l’heure je suis dans ce camping naturiste, ou les gens vivent nus. Chacun vit sa nudité comme il le ressens, juste l’envie de se sentir bien, sans faire attention aux autres.
Sans jugements, sans aprioris, sans moquerie juste un recentrage sur soi-même.
Etant une femme seule, je pense que si il y avait eu des connotations sexuelles de la part des gens autour de moi, je m’en serais rendu compte. Mais pour l’instant personne n’est venu vers moi dans cet esprit.
Si j’ai envie que quelqu’un s’intéresse à moi, je devrais faire le premier pas… ou alors comme je l’ai fais aujourd’hui je devrai aller me balader toute nue à l’extérieur du domaine. Mais attention de ne pas faire n’importe quoi non plus. Je suis consciente du risque.
Mais ce soir, je me demande à quoi va ressembler cette soirée autour de ce groupe.
Je quitte les sanitaires, repasse par ma tente pour y laisser mes affaires de toilettes et me dirige vers la terrasse du snack ou semble s’être installé ce petit orchestre.
Pas de musique pour le moment. Pas mal de monde à table.
Je ne m’installe pas, et remonte manger tranquillement à ma tente, sur mon petit fauteuil acheté l’an passé…. Souvenez vous.
Enfin la soirée semble commencer, une femme commence à chanter quelques reprises de chansons françaises.
Je m’approche, nue.
Sur la terrasse tout le monde est attablé. Personne sur la piste de danse mais je peux voir pas mal de monde habillé et d’autres nus aussi.
Porte monnaie à la main ( et oui, pas de poches!!!) je décide d’aller au bar et commande un cocktail sans alcool.
Je pense qu’il est encore trop tôt pour que l’ambiance monte, si toutefois elle vient à monter.
Je quitte les lieux, repose mon porte monnaie à ma tente, et pars me balader vers l’entrée du camping.
J’aime y aller, avec l’impression de braver les interdits, me retrouvant nue à la limite de la zone naturiste.
C’est alors que quelques dizaines de mètres devant moi je vois ce monsieur seul que j’avais remarqué à la terrasse et surtout sous la douche. Mes fesses avaient effleurer son corps.
Il marche comme moi en direction de l’entrée du camping.
Ou va t’il? Aux poubelles, il n’en porte pas. Je le suis à bonne distance.
Je le vois dépasser la barrière de l’entrée et se diriger sur ce chemin que j’avais emprunté l’an passé. Je continue à le suivre. Ne s’étant pas retourné, je ne pense pas qu’il m’ai vu.
Comme moi il est nu juste muni d’une paire de chaussures.
Je le vois disparaitre entre les arbres en direction du petit cours d’eau en contrebas.
Je m’approche et au moment de descendre comme lui vers le lit de la riviere, il me fais face.
-Bonsoir, me lance t’il.
-Bonsoir
-Vous aussi vous promenez à cette heure çi, quand il fait moins chaud?
Il doit être plus de 21h. La pénombre annonce la nuit d’ici une petite demi heure. On commence à sentir la fraicheur du soir.
-Oui c’est très agréable de marcher maintenant, par contre je ne sais pas du tout ou mène ce chemin.
-Ca ne va pas trop loin, si vous continuez vous remontez vers le camping.Par contre en bas si vous traversez le ruisseau il y a un tout petit sentier qui rejoint la route. Et de l’autre coté le sentier continue loin dans la forêt et je crois que ça monte jusqu’au sommet de la colline.
-Vous y êtes déjà allé?
-Oui mais il faut traverser la route et on ne peux pas rester nu.
-Oui je me doute, c’est pas raisonnable.
Au fond de moi je me disais qu’il fallait que je tente cette nouvelle aventure. Un nouveau sentier à explorer…
Puis il me proposa de me montrer le sentier jusqu’à la route.
Décidément, quand on se balade à poil, tout le monde veux nous montrer les chemins à prendre.
-je peux vous montrer le sentier jusqu’à la route si vous voulez?
-Oui volontiers, je vous suis.
Je marchais donc derrière ce monsieur aux joli cul. Je m’étais fais un copain naturiste. A moins qu’il veuille me violer et m’assassiner dans les bois!!!
On cheminait quelques instants sur un sentier vraiment peu emprunté. Mais je me gardais bien de lui dire que je connaissais ce lieu. C’était exactement l’endroit ou je m’étais masturbée l’an passé à quelques mètres de la route. D’ailleurs on entendait les voitures passer au dessus de nous.
Voilà, la route est juste là au dessus mais d’ici on ne voit pas le sentier qui monte dans la colline.
-On peux traverser pour aller voir?
-Maintenant? Heu je sais pas trop…
Je le sentais hésitant, Mais pas complètement fermé à la proposition. Je serai bien partie me balader avec lui. Et une fois encore je sentais l’excitation monter en moi.
-Non je plaisante, en plus il va faire nuit. Je vais juste m’approcher un peu pour regarder.
Je passais donc devant lui et escaladais le talus nous séparant de la route.
Je me postais à 4 pattes face à la chaussée. Le sentant juste derrière moi je lui offrais une vue magnifique sur mes fesses, me cambrant un peu pour lui dévoiler mon intimité.
Je l’entendis me rejoindre et il se plaça juste derrière moi pour rester invisible des voitures et il posa une main sur mon dos.
Je restais dans cette position, surprise, sans savoir trop quoi lui dire.
Il s’accroupit à mes cotés me montrant du doigt le chemin de l’autre coté .
-C’est juste la, en face…
-Oui je le vois, allez on traverse c’est rigolo?
-Allez soyons fous…, Si tu y vas je te rejoins.
-Ok marché conclu.
Attendant quand mème, que le calme revienne sur la route, je profitais d’un moment sans voitures en approche, et tranquillement, sans courir, traversais et allais me poster à l’abri des arbres de l’autre coté.
Puis il fit de même, et nous nous tapèrent dans la main comme pour nous manifester notre curieux courage.
La nuit n’allait pas tarder à nous envelopper. Je m’apprêtais à retraverser mais au moment de m’élancer, des phares me firent reculer d’un pas. Je me retrouvais contre lui et il posa ses mains sur mes épaules.
Je restais sans bouger, et son corps se serrait un peu plus contre le mien. Je sentis son sexe durcir contre mes fesses.
Je soupirais en appuyant un peu plus mon cul contre sa peau, pour lui manifester mon envie qu’il ne s’éloigne surtout pas de moi.
Ses mains passèrent de mes épaules à mon dos puis glissèrent de chaque coté pour venir se perdent sur mes seins.
Tortillant toujours mon cul contre son sexe, je posais mes mains sur les siennes l’incitant à me peloter plus intensément ma poitrine.
-Mmmmm, caresses moi, touches moi, c’est si bon.
Ouiii, laisses moi découvrir ton corps, j’adore toucher tes seins, ils sont si beaux.
Je passais une main entre nos deux corps et attrapais sa queue. Je le masturbais doucement et il fît de mème.
-Tu es trempée, ça me coule sur les doigts.
-Ca te gènes?
-Non pas le moins du monde. J’adore!!!
Je sentais ses doigts entre mes lèvres, venir tripoter mon clitoris.
C’est fou dans la mème journée je me serai faites tripoter par deux hommes inconnus.
Après avoir passée des années à faire l’amour avec le mème homme, je n’étais plus la femme modèle que mon entourage connaissait. J’étais devenue une coquine, naturiste, exhibitionniste.
-Je n’ai pas de préservatifs avec moi, tu t’imagines bien. Je ne m’attendais pas à rencontrer une femme open à baiser ce soir.
-Continues juste à me toucher, c’est déjà trop bon.
Il continua à explorer mon corps et je lui rendais tous ses attouchements. Il s’accroupit alors devant moi et commença à lécher ma chatte avec frénésie. Je relevais une jambe, posant mon pied sur une aspérité d’un tronc d’arbres. Mes cuisses maintenant bien ouvertes, il pouvait glisser sa langue bien plus profond, une main sur ma cuisse, l’autre tenant ma fesse par dessous .
Je me tenais à sa tête, et ce cunni était magnifiquement agréable.
Les voitures continuaient de passer à quelques mètres de nous sans nous voir.
Il se redressa au moment ou ses caresses allaient m’emporter vers l’orgasme. J’avais une envie folle de me faire sauter ici, maintenant. Je reprenais sa queue dans ma main et le masturbais contre mon ventre. Lui, malaxait mes seins. J’avais la chatte en feu!!!
-Prends moi, prends moi, J’ai envie que tu me sautes…
-Tu es sure, j’ai trop envie aussi.
-Ouiiiii vas y
Je me tournais dos à lui en me penchant un peu en avant. J’écartais mes fesses avec mes mains et sa queue entra d’un coup en allant jusqu’au fond. Un jolie queue épaisse qui me fît pousser un gémissement d’extase.
Il commença ses vas et viens et à chaque coup j’étais déséquilibrée en avant. Obligée de faire un pas en avant de temps en temps pour rester debout, j’avais l’impression que nous allions finir sur la route. Un camion passa si prés que je sentis le vent de son déplacement sur mon visage.
Seule la nuit nous cachait un peu car en plein jour nous aurions étés visibles de tous. Mais je me demande si la lueur des phares ne nous dévoilait pas un peu malgré tout.
Je me faisais sauter copieusement sur le bord de la route et c’était divinement bon. Au bout d’un moment il se retira doucement. Il faisait quasiment nuit.
Je me retournais, m’accroupissais devant lui et commençais à le sucer. Je retrouvais sur sa verge le gout de mon sexe mêlé au sien. Je faisais tourner ma langue autour de son gland, puis enfonçais sa queue dans ma bouche, la ressortais pour n’aspirer que son gland avant de l’avaler à nouveau. Lui, caressait mes cheveux avec ses doigts délicats. Par moment il tenait ma tête plus fermement accompagnant mes allers retours en remuant son bassin.
A chaque voiture qui passait je voyais, dans la lueur des phares cette queue inconnue devant mon visage. On était si prés de la chaussée qu’on devait nous voir, c’est sur. Heureusement, la circulation n’était pas très dense, mais malgré tout quelques voitures passaient.
Je le sentais venir et me mis à le masturber dans ma bouche. De mon autre main je me masturbais en même temps.
Je sentis son sperme envahir ma bouche et avalais sa semence en plusieurs fois. Le gout chaud et salé ne me plaisant pas plus que ça , je faisais en sorte de ne pas en garder trop sur ma langue.
C’est en me remettant debout que je pris conscience de notre proximité avec le bitume. Un mètre tout au plus, mais la végétation nous avait préservés de l’outrage.
-Il faut rentrer, avec la nuit ça va être la misère de rejoindre le ruisseau.
Sans même faire attention à un éventuel véhicule, nous traversions la route. Personne.
Dès la descente du talus je glissais dans les ronces. Il passait devant pour me guider. Mais l’exiguïté de notre passage nous obligeait à nous mettre à 4 pattes. Ca devenait une habitude!!!
Enfin le ruisseau et l’entrée du camping.
La musique de l’orchestre arrivait maintenant à nos oreilles.
J’ai adoré notre rencontre. Je m’appelle Fred.
Moi aussi, moi c’est Léane. Je découvre le naturisme depuis peu et je ne regrette pas.
Moi je viens ici depuis longtemps mais c’est la première fois que je fais une telle rencontre.
J’ai remarqué que les gens ici ne sont pas du tout tournés vers le sexe.
Oui ici c’est vraiment familial. Pas tous sont comme celui ci, enfin je pense, je ne viens qu’ici. J’adore cet endroit.
Tu vas à la soirée après?
Je n’avais pas l’intention, ce n’est pas trop mon truc mais si tu veux y aller et que tu en as envie je veux bien t’accompagner.
Volontiers, on peux aller voir un moment et on verra ensuite.
Ok ça marche.
Nous remontions donc jusqu’à la petite fête. Et l’ambiance s’était un peu relâchée. Du monde dansait nus ou habillés. Les jolies tables avec fauteuils étaient forcément toutes prises alors on opta pour des tables de pic-nic avec des bancs en bois un peu à l’écart.
Réalisant que nous n’avions ni linge pour nous assoir ni monnaie pour boire un verre, nous primes le chemin de nos emplacements respectifs afin de nous équiper du matériel minimum.
-On se retrouve ici dans 5 minutes?
-Ok Fred à tout de suite.
De retour, sur la terrasse une table se libéra à notre arrivée et nous pûmes nous installer plus confortablement.
Fred commanda tour à tour tous les cocktails sans alcool de la carte tandis que je le suivais avec quelques demi ainsi qu’un très bon cocktail dont j’ai oublié la composition.
Nous faisions connaissance d’une drôle de manière. D’abord on s’était vus nus, puis avions baisés près de la route et enfin on discutait pour nous raconter nos vies….
Le monde à l’envers, mais j’aimais bien l’idée.
Au grés de musiques plus inspirantes que d’autres nous allions danser, puis revenions à nos places.
La soirée bien avancée, il ne devait rester que 15 personnes environ je me suis rendu compte à un moment que sur les 7 ou 8 personnes qui dansaient autour de moi, j’étais la seule toute nue.
Quand je me suis retrouvée la seule à danser nue au milieu de ces gens désormais rhabillés, quelque chose en moi s’est ouvert avec une clarté presque brûlante.
Je sentais chaque mouvement, chaque note, comme une affirmation tranquille de ma liberté, et les regards autour n’étaient plus une menace mais une énergie que j’embrassais pleinement.
Etre la seule ainsi exposée me donnait un sentiment d’exhibition délicieusement troublant, presque irréel.
J’avais l’impression de flotter, portée par une audace que je ne connaissais pas quelques instants plus tôt. Je goutais à un frisson que je n’aurais jamais imaginé oser provoquer.
J’avais cette fois çi le sentiments que les gens autour de moi m’observaient vraiment pour la première fois. Je ne me sentais plus naturiste mais exhibitionniste.
Fred resté assis, ne me quittait pas des yeux, Il semblait fasciné par cette scène. Dommage que personne n’ai filmé ce moment. J’y repense souvent.
Mais la musique cesse, les lumières se tamisent et « ma transe » disparait.
Je rejoins mon compagnon du soir.
-Je t’aurai regardé danser toute la nuit tu sais; Mon dieu ce que tu étais belle,
-Merci Fred, j’ai adoré danser nue, moi qui n’aime pas forcément danser, je me sentais tellement bien.
-Depuis mon fauteuil, j’ai assisté à une vision de rêve. C’était tellement excitant. Whaou!!!
Nous restons encore un bon moment à discuter tous les deux pendant que les musiciens plient leur matériel.
« Ca va être tout noir!!!, Ca va être tout noir!!!! (Tout le monde a la ref?)
Le barman avertit les derniers récalcitrants à quitter les lieux avant de tout éteindre et effectivement, soudainement tout est noir.
-Je n’ai pas envie de te laisser partir dormir toute seule Léane…
-Tu me montres ou tu es installé?
-Volontiers me dit il en m’embrassant sur les lèvres.
Me prenant par la main il m’emmène dans l’obscurité. Nous rejoignons son emplacement.
-Tu as un van aménagé? Cool j’adore.
-C’est trop génial, tu vas voir
Dos à moi, il ouvre la porte coulissante de son camion; Je pose mes mains sur ses fesses et le force délicatement à se retourner vers moi. J’approche mon visage du sien puis au moment ou il tend sa bouche vers la mienne, je commence a descendre pour m’agenouiller devant lui.
Sans me servir de mes mains, j’attrape son sexe avec ma bouche et l’engloutis entièrement.
Il ne bande pas encore, je le regarde dans les yeux, sans remuer.
Petit à petit je sens son sexe gonfler dans ma bouche jusqu’à la remplir entièrement. Je suis obligée de respirer par le nez. Je commence alors de lents vas et viens, toujours en tenant ses fesses dans mes mains. Puis je sors ce sexe brulant de ma bouche et enroule ma langue autour de son gland. Je n’ai jamais sucé une aussi grosse queue, et franchement… je me régale.
Par moments je la frotte sur mon visage avant de la remettre dans ma bouche. Je promène ma langue le long de cette colonne de chair. Je m’amuse avec ce nouveau jouet.
Fred me propose d’entrer dans son petit cocon. Il est vrai que malgré l’heure tardive nous étions surement visible.
-Il faut d’abord que j’aille faire pipi. Toutes ces bières, je n’en peux plus…
-Bien sur pas de soucis. Mais attends avant d’y aller, je dois te dire une chose.
-Oui , je t’écoute…
-Je dois quitter le camping demain car je reprends le boulot. Nous ne nous reverrons sans doute plus jamais, et j’aimerais que tu fasses quelque chose pour moi.
-Dis moi.
-C’est pas facile à dire ni à assumer!!!
-Laches toi, tu étais moins timide au bord de la route tout à l’heure et je ne te jugerai pas…
Il Approcha son visage du mien et me murmura à l’oreille.
-J’aimerai que tu fasses pipi sur moi!!!
-Whaou!!!
Je restais quelques secondes sans voix, mais les quelques fois ou je m’étais amusée avec ma propre urine j’avais trouvé tellement ça excitant que je comprenais qu’il est envie d’une telle chose.
-Tu accepterai?
-Je ne l’ai jamais fait, mais pourquoi pas… Tu veux faire ça ici?
-Viens on va derrière le van, personne ne nous verra ni ne nous entendra.
-Ok
Il me prit par la main et nous firent le tour de son van.
-Tu veux faire comment?
-Je m’allonge dans l’herbe, tu t’accroupis sur moi comme si tu faisais pipi par terre.
Joignant le geste à sa parole il s’allongea sur le sol. Seule la lune nous éclairait.
Je pouvais distinguer son corps fin et sa queue tendue vers son ventre.
-Tu veux que je me mette ou?
-Au dessus de ma bite, façe à moi.
Je m’accroupissais donc au dessus de lui.
-Comme ça? Ça te vas
-Oui parfait, merci, si tu savais comme j’adore ça. ça me rends vraiment dingue.
Si tu veux tu commence sur mon corps et tu peux finir sur mon visage.
Il me fallut quelques secondes de concentration et je sentis mon urine arriver .
A peine mon urine toucha son sexe qu’il gémit de plaisir. Il commença à se masturber énergiquement. Son autre main étalant mon urine sur son ventre.
La lueur de la lune faisait briller son corps dans des teintes bleutées. Mon envie de faire pipi ne s’estompait pas à cause des nombreuses bières. Mon cochon était littéralement inondé.
-Viens sur ma bouche…
Je me décalais en dandinant mes cuisses une à une, et venait presque m’assoir sur son visage.
Quand je sentis sa langue venir fouiller l’intérieur de mon vagin alors que je pissais toujours, je ne pu retenir un petit cri de surprise et surtout je découvrais une nouvelle sensation.
Une sensation vraiment au dessus de celles que je connaissais d’habitude.
Je ne tenais plus en équilibre . Je tombais en avant et venais poser mes mains au sol. J’étais désormais à 4 pattes, en train de me faire faire un cunni alors que je faisais pipi.
DEMONIAQUE!!!!
Le jet s’estompa et Fred continuais de me nettoyer avec sa langue.
Dans la même journée je m’étais faite nettoyer l’anus et la chatte par deux hommes différents et de surcroit que je ne connaissais pas…
DEMONIAQUE… Je le redis.
Je me redressais afin de libérer mon compagnon d’aventures extraordinaires.
-Merci, merci, c’était si bon. Ca m’arrive tellement rarement. C’est une chose qui me rend vraiment fou. Merci encore. Il faut que j’aille prendre une douche maintenant.
Je pouvais apercevoir son sexe tendu à l’extreme. Je le prenais dans ma main et le masturbais doucement. Mon urine collait à sa peau et j’étais moi aussi dans une excitation folle.
-Je t’accompagne à la douche si tu veux. Tu y vas dans cet état?
-Je me cacherai avec une serviette si on croise du monde.
Nous partirent en direction d’un autre bloc sanitaire que celui que je fréquentais habituellement.
Une fois à l’intérieur, nous étions seuls et je me remis à le masturber.
-Si tu as envie toi aussi de faire pipi, je veux bien essayer!!!
-Tu aimes ça toi aussi? Me demanda t’il les yeux illuminés.
-Je ne l’ai jamais fais, mais tu m’as donné envie .
-Je ne l’ai jamais fais non plus. En général ce sont les femmes qui le font sur moi. Tu veux te mettre comment? Comme moi tout à l’heure?
-J’ai peur que quelqu’un arrive.
Ne t’allonges pas alors, mets toi à genoux, tu pourras te relever plus vite si on entend du bruit.
-OK Mais juste sur mon corps, pas sur la figure.
Je m’agenouillais donc devant lui. Comme moi il eu besoin d’un peu de temps pour se laisser aller.
Il visa mes seins et aussitôt son liquide chaud éclaboussa tout mon corps. Je le sentais couler sur mon ventre et entre mes cuisses.
La sensation était vraiment agréable. J’avais déjà ressentis ça mais avec ma propre urine, en marchant notamment l’an dernier dans les allées du camping encore endormi. Mais cette fois çi c’est un homme qui se répandait sur moi. Finissant d’uriner il se mit à se masturber devant moi.
Je lui enlevais sa main de son sexe pour l’emmener au mien, et nous nous masturbèrent réciproquement.
Heureusement que personne fit irruption dans les douches car nous ne faisions plus du tout attention à une éventuelle visite.
Il éjacula enfin sur moi, et rapidement, en étalant sa semence sur mon ventre je jouissais à mon tour.
Nous restions quelques secondes, nos mains sur le sexe de l’autre, secoués de spasmes.
Tandis que nous nous rincions sous la douche, fred ma proposa de dormir avec lui dans son van.
Je refusais son invitation en lui promettant néanmoins de venir partager le petit déjeuner avec lui…
Bientôt je vous raconterai la suite de mon séjour… promis.
Je rejoins les sanitaires et me douche. La sensation de l’eau tiède sur ma peau est agréable.
L’eau s’écoulant sur ma tête a tendance à couvrir les bruits autour de moi et je me retrouve, en fermant les yeux, un peu comme dans un mini cocon.
Je revois les images de cette folle randonnée avec Pierre, mes exhibitions devant lui et devant ce couple, Ses caresses, ses mains sur mon corps et dans mon sexe. Je me revois aussi à 4 pattes dans l’herbe en train de me faire lécher l’anus. Difficile de reproduire avec des mots ce que j’ai pu ressentir à ce moment là…
Je n’aurais jamais pensé qu’en un an je devienne autant exhibitionniste. Ces nouvelles sensations me transcendent.
Pour l’heure je suis dans ce camping naturiste, ou les gens vivent nus. Chacun vit sa nudité comme il le ressens, juste l’envie de se sentir bien, sans faire attention aux autres.
Sans jugements, sans aprioris, sans moquerie juste un recentrage sur soi-même.
Etant une femme seule, je pense que si il y avait eu des connotations sexuelles de la part des gens autour de moi, je m’en serais rendu compte. Mais pour l’instant personne n’est venu vers moi dans cet esprit.
Si j’ai envie que quelqu’un s’intéresse à moi, je devrais faire le premier pas… ou alors comme je l’ai fais aujourd’hui je devrai aller me balader toute nue à l’extérieur du domaine. Mais attention de ne pas faire n’importe quoi non plus. Je suis consciente du risque.
Mais ce soir, je me demande à quoi va ressembler cette soirée autour de ce groupe.
Je quitte les sanitaires, repasse par ma tente pour y laisser mes affaires de toilettes et me dirige vers la terrasse du snack ou semble s’être installé ce petit orchestre.
Pas de musique pour le moment. Pas mal de monde à table.
Je ne m’installe pas, et remonte manger tranquillement à ma tente, sur mon petit fauteuil acheté l’an passé…. Souvenez vous.
Enfin la soirée semble commencer, une femme commence à chanter quelques reprises de chansons françaises.
Je m’approche, nue.
Sur la terrasse tout le monde est attablé. Personne sur la piste de danse mais je peux voir pas mal de monde habillé et d’autres nus aussi.
Porte monnaie à la main ( et oui, pas de poches!!!) je décide d’aller au bar et commande un cocktail sans alcool.
Je pense qu’il est encore trop tôt pour que l’ambiance monte, si toutefois elle vient à monter.
Je quitte les lieux, repose mon porte monnaie à ma tente, et pars me balader vers l’entrée du camping.
J’aime y aller, avec l’impression de braver les interdits, me retrouvant nue à la limite de la zone naturiste.
C’est alors que quelques dizaines de mètres devant moi je vois ce monsieur seul que j’avais remarqué à la terrasse et surtout sous la douche. Mes fesses avaient effleurer son corps.
Il marche comme moi en direction de l’entrée du camping.
Ou va t’il? Aux poubelles, il n’en porte pas. Je le suis à bonne distance.
Je le vois dépasser la barrière de l’entrée et se diriger sur ce chemin que j’avais emprunté l’an passé. Je continue à le suivre. Ne s’étant pas retourné, je ne pense pas qu’il m’ai vu.
Comme moi il est nu juste muni d’une paire de chaussures.
Je le vois disparaitre entre les arbres en direction du petit cours d’eau en contrebas.
Je m’approche et au moment de descendre comme lui vers le lit de la riviere, il me fais face.
-Bonsoir, me lance t’il.
-Bonsoir
-Vous aussi vous promenez à cette heure çi, quand il fait moins chaud?
Il doit être plus de 21h. La pénombre annonce la nuit d’ici une petite demi heure. On commence à sentir la fraicheur du soir.
-Oui c’est très agréable de marcher maintenant, par contre je ne sais pas du tout ou mène ce chemin.
-Ca ne va pas trop loin, si vous continuez vous remontez vers le camping.Par contre en bas si vous traversez le ruisseau il y a un tout petit sentier qui rejoint la route. Et de l’autre coté le sentier continue loin dans la forêt et je crois que ça monte jusqu’au sommet de la colline.
-Vous y êtes déjà allé?
-Oui mais il faut traverser la route et on ne peux pas rester nu.
-Oui je me doute, c’est pas raisonnable.
Au fond de moi je me disais qu’il fallait que je tente cette nouvelle aventure. Un nouveau sentier à explorer…
Puis il me proposa de me montrer le sentier jusqu’à la route.
Décidément, quand on se balade à poil, tout le monde veux nous montrer les chemins à prendre.
-je peux vous montrer le sentier jusqu’à la route si vous voulez?
-Oui volontiers, je vous suis.
Je marchais donc derrière ce monsieur aux joli cul. Je m’étais fais un copain naturiste. A moins qu’il veuille me violer et m’assassiner dans les bois!!!
On cheminait quelques instants sur un sentier vraiment peu emprunté. Mais je me gardais bien de lui dire que je connaissais ce lieu. C’était exactement l’endroit ou je m’étais masturbée l’an passé à quelques mètres de la route. D’ailleurs on entendait les voitures passer au dessus de nous.
Voilà, la route est juste là au dessus mais d’ici on ne voit pas le sentier qui monte dans la colline.
-On peux traverser pour aller voir?
-Maintenant? Heu je sais pas trop…
Je le sentais hésitant, Mais pas complètement fermé à la proposition. Je serai bien partie me balader avec lui. Et une fois encore je sentais l’excitation monter en moi.
-Non je plaisante, en plus il va faire nuit. Je vais juste m’approcher un peu pour regarder.
Je passais donc devant lui et escaladais le talus nous séparant de la route.
Je me postais à 4 pattes face à la chaussée. Le sentant juste derrière moi je lui offrais une vue magnifique sur mes fesses, me cambrant un peu pour lui dévoiler mon intimité.
Je l’entendis me rejoindre et il se plaça juste derrière moi pour rester invisible des voitures et il posa une main sur mon dos.
Je restais dans cette position, surprise, sans savoir trop quoi lui dire.
Il s’accroupit à mes cotés me montrant du doigt le chemin de l’autre coté .
-C’est juste la, en face…
-Oui je le vois, allez on traverse c’est rigolo?
-Allez soyons fous…, Si tu y vas je te rejoins.
-Ok marché conclu.
Attendant quand mème, que le calme revienne sur la route, je profitais d’un moment sans voitures en approche, et tranquillement, sans courir, traversais et allais me poster à l’abri des arbres de l’autre coté.
Puis il fit de même, et nous nous tapèrent dans la main comme pour nous manifester notre curieux courage.
La nuit n’allait pas tarder à nous envelopper. Je m’apprêtais à retraverser mais au moment de m’élancer, des phares me firent reculer d’un pas. Je me retrouvais contre lui et il posa ses mains sur mes épaules.
Je restais sans bouger, et son corps se serrait un peu plus contre le mien. Je sentis son sexe durcir contre mes fesses.
Je soupirais en appuyant un peu plus mon cul contre sa peau, pour lui manifester mon envie qu’il ne s’éloigne surtout pas de moi.
Ses mains passèrent de mes épaules à mon dos puis glissèrent de chaque coté pour venir se perdent sur mes seins.
Tortillant toujours mon cul contre son sexe, je posais mes mains sur les siennes l’incitant à me peloter plus intensément ma poitrine.
-Mmmmm, caresses moi, touches moi, c’est si bon.
Ouiii, laisses moi découvrir ton corps, j’adore toucher tes seins, ils sont si beaux.
Je passais une main entre nos deux corps et attrapais sa queue. Je le masturbais doucement et il fît de mème.
-Tu es trempée, ça me coule sur les doigts.
-Ca te gènes?
-Non pas le moins du monde. J’adore!!!
Je sentais ses doigts entre mes lèvres, venir tripoter mon clitoris.
C’est fou dans la mème journée je me serai faites tripoter par deux hommes inconnus.
Après avoir passée des années à faire l’amour avec le mème homme, je n’étais plus la femme modèle que mon entourage connaissait. J’étais devenue une coquine, naturiste, exhibitionniste.
-Je n’ai pas de préservatifs avec moi, tu t’imagines bien. Je ne m’attendais pas à rencontrer une femme open à baiser ce soir.
-Continues juste à me toucher, c’est déjà trop bon.
Il continua à explorer mon corps et je lui rendais tous ses attouchements. Il s’accroupit alors devant moi et commença à lécher ma chatte avec frénésie. Je relevais une jambe, posant mon pied sur une aspérité d’un tronc d’arbres. Mes cuisses maintenant bien ouvertes, il pouvait glisser sa langue bien plus profond, une main sur ma cuisse, l’autre tenant ma fesse par dessous .
Je me tenais à sa tête, et ce cunni était magnifiquement agréable.
Les voitures continuaient de passer à quelques mètres de nous sans nous voir.
Il se redressa au moment ou ses caresses allaient m’emporter vers l’orgasme. J’avais une envie folle de me faire sauter ici, maintenant. Je reprenais sa queue dans ma main et le masturbais contre mon ventre. Lui, malaxait mes seins. J’avais la chatte en feu!!!
-Prends moi, prends moi, J’ai envie que tu me sautes…
-Tu es sure, j’ai trop envie aussi.
-Ouiiiii vas y
Je me tournais dos à lui en me penchant un peu en avant. J’écartais mes fesses avec mes mains et sa queue entra d’un coup en allant jusqu’au fond. Un jolie queue épaisse qui me fît pousser un gémissement d’extase.
Il commença ses vas et viens et à chaque coup j’étais déséquilibrée en avant. Obligée de faire un pas en avant de temps en temps pour rester debout, j’avais l’impression que nous allions finir sur la route. Un camion passa si prés que je sentis le vent de son déplacement sur mon visage.
Seule la nuit nous cachait un peu car en plein jour nous aurions étés visibles de tous. Mais je me demande si la lueur des phares ne nous dévoilait pas un peu malgré tout.
Je me faisais sauter copieusement sur le bord de la route et c’était divinement bon. Au bout d’un moment il se retira doucement. Il faisait quasiment nuit.
Je me retournais, m’accroupissais devant lui et commençais à le sucer. Je retrouvais sur sa verge le gout de mon sexe mêlé au sien. Je faisais tourner ma langue autour de son gland, puis enfonçais sa queue dans ma bouche, la ressortais pour n’aspirer que son gland avant de l’avaler à nouveau. Lui, caressait mes cheveux avec ses doigts délicats. Par moment il tenait ma tête plus fermement accompagnant mes allers retours en remuant son bassin.
A chaque voiture qui passait je voyais, dans la lueur des phares cette queue inconnue devant mon visage. On était si prés de la chaussée qu’on devait nous voir, c’est sur. Heureusement, la circulation n’était pas très dense, mais malgré tout quelques voitures passaient.
Je le sentais venir et me mis à le masturber dans ma bouche. De mon autre main je me masturbais en même temps.
Je sentis son sperme envahir ma bouche et avalais sa semence en plusieurs fois. Le gout chaud et salé ne me plaisant pas plus que ça , je faisais en sorte de ne pas en garder trop sur ma langue.
C’est en me remettant debout que je pris conscience de notre proximité avec le bitume. Un mètre tout au plus, mais la végétation nous avait préservés de l’outrage.
-Il faut rentrer, avec la nuit ça va être la misère de rejoindre le ruisseau.
Sans même faire attention à un éventuel véhicule, nous traversions la route. Personne.
Dès la descente du talus je glissais dans les ronces. Il passait devant pour me guider. Mais l’exiguïté de notre passage nous obligeait à nous mettre à 4 pattes. Ca devenait une habitude!!!
Enfin le ruisseau et l’entrée du camping.
La musique de l’orchestre arrivait maintenant à nos oreilles.
J’ai adoré notre rencontre. Je m’appelle Fred.
Moi aussi, moi c’est Léane. Je découvre le naturisme depuis peu et je ne regrette pas.
Moi je viens ici depuis longtemps mais c’est la première fois que je fais une telle rencontre.
J’ai remarqué que les gens ici ne sont pas du tout tournés vers le sexe.
Oui ici c’est vraiment familial. Pas tous sont comme celui ci, enfin je pense, je ne viens qu’ici. J’adore cet endroit.
Tu vas à la soirée après?
Je n’avais pas l’intention, ce n’est pas trop mon truc mais si tu veux y aller et que tu en as envie je veux bien t’accompagner.
Volontiers, on peux aller voir un moment et on verra ensuite.
Ok ça marche.
Nous remontions donc jusqu’à la petite fête. Et l’ambiance s’était un peu relâchée. Du monde dansait nus ou habillés. Les jolies tables avec fauteuils étaient forcément toutes prises alors on opta pour des tables de pic-nic avec des bancs en bois un peu à l’écart.
Réalisant que nous n’avions ni linge pour nous assoir ni monnaie pour boire un verre, nous primes le chemin de nos emplacements respectifs afin de nous équiper du matériel minimum.
-On se retrouve ici dans 5 minutes?
-Ok Fred à tout de suite.
De retour, sur la terrasse une table se libéra à notre arrivée et nous pûmes nous installer plus confortablement.
Fred commanda tour à tour tous les cocktails sans alcool de la carte tandis que je le suivais avec quelques demi ainsi qu’un très bon cocktail dont j’ai oublié la composition.
Nous faisions connaissance d’une drôle de manière. D’abord on s’était vus nus, puis avions baisés près de la route et enfin on discutait pour nous raconter nos vies….
Le monde à l’envers, mais j’aimais bien l’idée.
Au grés de musiques plus inspirantes que d’autres nous allions danser, puis revenions à nos places.
La soirée bien avancée, il ne devait rester que 15 personnes environ je me suis rendu compte à un moment que sur les 7 ou 8 personnes qui dansaient autour de moi, j’étais la seule toute nue.
Quand je me suis retrouvée la seule à danser nue au milieu de ces gens désormais rhabillés, quelque chose en moi s’est ouvert avec une clarté presque brûlante.
Je sentais chaque mouvement, chaque note, comme une affirmation tranquille de ma liberté, et les regards autour n’étaient plus une menace mais une énergie que j’embrassais pleinement.
Etre la seule ainsi exposée me donnait un sentiment d’exhibition délicieusement troublant, presque irréel.
J’avais l’impression de flotter, portée par une audace que je ne connaissais pas quelques instants plus tôt. Je goutais à un frisson que je n’aurais jamais imaginé oser provoquer.
J’avais cette fois çi le sentiments que les gens autour de moi m’observaient vraiment pour la première fois. Je ne me sentais plus naturiste mais exhibitionniste.
Fred resté assis, ne me quittait pas des yeux, Il semblait fasciné par cette scène. Dommage que personne n’ai filmé ce moment. J’y repense souvent.
Mais la musique cesse, les lumières se tamisent et « ma transe » disparait.
Je rejoins mon compagnon du soir.
-Je t’aurai regardé danser toute la nuit tu sais; Mon dieu ce que tu étais belle,
-Merci Fred, j’ai adoré danser nue, moi qui n’aime pas forcément danser, je me sentais tellement bien.
-Depuis mon fauteuil, j’ai assisté à une vision de rêve. C’était tellement excitant. Whaou!!!
Nous restons encore un bon moment à discuter tous les deux pendant que les musiciens plient leur matériel.
« Ca va être tout noir!!!, Ca va être tout noir!!!! (Tout le monde a la ref?)
Le barman avertit les derniers récalcitrants à quitter les lieux avant de tout éteindre et effectivement, soudainement tout est noir.
-Je n’ai pas envie de te laisser partir dormir toute seule Léane…
-Tu me montres ou tu es installé?
-Volontiers me dit il en m’embrassant sur les lèvres.
Me prenant par la main il m’emmène dans l’obscurité. Nous rejoignons son emplacement.
-Tu as un van aménagé? Cool j’adore.
-C’est trop génial, tu vas voir
Dos à moi, il ouvre la porte coulissante de son camion; Je pose mes mains sur ses fesses et le force délicatement à se retourner vers moi. J’approche mon visage du sien puis au moment ou il tend sa bouche vers la mienne, je commence a descendre pour m’agenouiller devant lui.
Sans me servir de mes mains, j’attrape son sexe avec ma bouche et l’engloutis entièrement.
Il ne bande pas encore, je le regarde dans les yeux, sans remuer.
Petit à petit je sens son sexe gonfler dans ma bouche jusqu’à la remplir entièrement. Je suis obligée de respirer par le nez. Je commence alors de lents vas et viens, toujours en tenant ses fesses dans mes mains. Puis je sors ce sexe brulant de ma bouche et enroule ma langue autour de son gland. Je n’ai jamais sucé une aussi grosse queue, et franchement… je me régale.
Par moments je la frotte sur mon visage avant de la remettre dans ma bouche. Je promène ma langue le long de cette colonne de chair. Je m’amuse avec ce nouveau jouet.
Fred me propose d’entrer dans son petit cocon. Il est vrai que malgré l’heure tardive nous étions surement visible.
-Il faut d’abord que j’aille faire pipi. Toutes ces bières, je n’en peux plus…
-Bien sur pas de soucis. Mais attends avant d’y aller, je dois te dire une chose.
-Oui , je t’écoute…
-Je dois quitter le camping demain car je reprends le boulot. Nous ne nous reverrons sans doute plus jamais, et j’aimerais que tu fasses quelque chose pour moi.
-Dis moi.
-C’est pas facile à dire ni à assumer!!!
-Laches toi, tu étais moins timide au bord de la route tout à l’heure et je ne te jugerai pas…
Il Approcha son visage du mien et me murmura à l’oreille.
-J’aimerai que tu fasses pipi sur moi!!!
-Whaou!!!
Je restais quelques secondes sans voix, mais les quelques fois ou je m’étais amusée avec ma propre urine j’avais trouvé tellement ça excitant que je comprenais qu’il est envie d’une telle chose.
-Tu accepterai?
-Je ne l’ai jamais fait, mais pourquoi pas… Tu veux faire ça ici?
-Viens on va derrière le van, personne ne nous verra ni ne nous entendra.
-Ok
Il me prit par la main et nous firent le tour de son van.
-Tu veux faire comment?
-Je m’allonge dans l’herbe, tu t’accroupis sur moi comme si tu faisais pipi par terre.
Joignant le geste à sa parole il s’allongea sur le sol. Seule la lune nous éclairait.
Je pouvais distinguer son corps fin et sa queue tendue vers son ventre.
-Tu veux que je me mette ou?
-Au dessus de ma bite, façe à moi.
Je m’accroupissais donc au dessus de lui.
-Comme ça? Ça te vas
-Oui parfait, merci, si tu savais comme j’adore ça. ça me rends vraiment dingue.
Si tu veux tu commence sur mon corps et tu peux finir sur mon visage.
Il me fallut quelques secondes de concentration et je sentis mon urine arriver .
A peine mon urine toucha son sexe qu’il gémit de plaisir. Il commença à se masturber énergiquement. Son autre main étalant mon urine sur son ventre.
La lueur de la lune faisait briller son corps dans des teintes bleutées. Mon envie de faire pipi ne s’estompait pas à cause des nombreuses bières. Mon cochon était littéralement inondé.
-Viens sur ma bouche…
Je me décalais en dandinant mes cuisses une à une, et venait presque m’assoir sur son visage.
Quand je sentis sa langue venir fouiller l’intérieur de mon vagin alors que je pissais toujours, je ne pu retenir un petit cri de surprise et surtout je découvrais une nouvelle sensation.
Une sensation vraiment au dessus de celles que je connaissais d’habitude.
Je ne tenais plus en équilibre . Je tombais en avant et venais poser mes mains au sol. J’étais désormais à 4 pattes, en train de me faire faire un cunni alors que je faisais pipi.
DEMONIAQUE!!!!
Le jet s’estompa et Fred continuais de me nettoyer avec sa langue.
Dans la même journée je m’étais faite nettoyer l’anus et la chatte par deux hommes différents et de surcroit que je ne connaissais pas…
DEMONIAQUE… Je le redis.
Je me redressais afin de libérer mon compagnon d’aventures extraordinaires.
-Merci, merci, c’était si bon. Ca m’arrive tellement rarement. C’est une chose qui me rend vraiment fou. Merci encore. Il faut que j’aille prendre une douche maintenant.
Je pouvais apercevoir son sexe tendu à l’extreme. Je le prenais dans ma main et le masturbais doucement. Mon urine collait à sa peau et j’étais moi aussi dans une excitation folle.
-Je t’accompagne à la douche si tu veux. Tu y vas dans cet état?
-Je me cacherai avec une serviette si on croise du monde.
Nous partirent en direction d’un autre bloc sanitaire que celui que je fréquentais habituellement.
Une fois à l’intérieur, nous étions seuls et je me remis à le masturber.
-Si tu as envie toi aussi de faire pipi, je veux bien essayer!!!
-Tu aimes ça toi aussi? Me demanda t’il les yeux illuminés.
-Je ne l’ai jamais fais, mais tu m’as donné envie .
-Je ne l’ai jamais fais non plus. En général ce sont les femmes qui le font sur moi. Tu veux te mettre comment? Comme moi tout à l’heure?
-J’ai peur que quelqu’un arrive.
Ne t’allonges pas alors, mets toi à genoux, tu pourras te relever plus vite si on entend du bruit.
-OK Mais juste sur mon corps, pas sur la figure.
Je m’agenouillais donc devant lui. Comme moi il eu besoin d’un peu de temps pour se laisser aller.
Il visa mes seins et aussitôt son liquide chaud éclaboussa tout mon corps. Je le sentais couler sur mon ventre et entre mes cuisses.
La sensation était vraiment agréable. J’avais déjà ressentis ça mais avec ma propre urine, en marchant notamment l’an dernier dans les allées du camping encore endormi. Mais cette fois çi c’est un homme qui se répandait sur moi. Finissant d’uriner il se mit à se masturber devant moi.
Je lui enlevais sa main de son sexe pour l’emmener au mien, et nous nous masturbèrent réciproquement.
Heureusement que personne fit irruption dans les douches car nous ne faisions plus du tout attention à une éventuelle visite.
Il éjacula enfin sur moi, et rapidement, en étalant sa semence sur mon ventre je jouissais à mon tour.
Nous restions quelques secondes, nos mains sur le sexe de l’autre, secoués de spasmes.
Tandis que nous nous rincions sous la douche, fred ma proposa de dormir avec lui dans son van.
Je refusais son invitation en lui promettant néanmoins de venir partager le petit déjeuner avec lui…
Bientôt je vous raconterai la suite de mon séjour… promis.
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