L'hôtel
Récit érotique écrit par Léane [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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L'hôtel
Dans le cadre d’un déplacement professionnel, je dois me rendre 3 jours dans la région Lyonnaise. Ma société organise tout et notamment le logement. Je pars rarement en déplacement et de fait j’y vais volontiers.
1h30 de TGV plus tard, me voici en gare de Lyon Saint Exupéry. Nous sommes en début de soirée et ça caille. Normalement la société dans laquelle je dois intervenir demain envoie une personne me chercher pour me mener dans mon hôtel. C’est donc en me dirigeant vers les portes de sortie que j’aperçois un jeune homme tenant une petite pancarte sur laquelle est noté mon nom et celui de ma société.
Bonjour, je suis Léane.
-Bonjour Madame, je suis Alexandre. Votre voyage s’est bien passé?
-Oui merci, mais mon dieu comme il fait froid chez vous!!!
-Oui, ça fait quelques jours qu’on se gèle.
Nous échangions quelques banalités en rejoignant sa voiture. Il me disais aussi qu’il avait comme consigne de venir me récupérer à l’hôtel demain matin pour m’emmener dans les locaux de leur entreprise. Il me confirmait également qu’une réservation avait déjà été effectuée pour le repas de ce soir à l’hôtel, ainsi que les deux petits déjeuners.
-Trop bien, Merci beaucoup.
-Mais c’est normal, Pour demain soir je n’ai pas réservé. Mais vous pourrez le faire si vous voulez. Mais au moins ça vous laisse plus de liberté si vous voulez manger ailleurs.
-C’est parfait, merci beaucoup Alexandre.
J’intervenais pour la première fois dans cette société, et ne connaissais personne. Cet Alexandre semblait prendre son travail très à coeur. Et dans ma tête je me disais que si il voulait aussi me prendre moi ça serai volontiers.
Il était mignon et devait avoir environ 25 ans. Ayant enlevé son manteau en montant en voiture je pouvais deviner un jeune homme fin, musclé, d’environ 1m80, cheveux châtain et de beaux yeux verts. Dans son attitude générale il semblait sur de lui, posé, poli, bref un très bel homme.
Il nous fallut une vingtaine de minutes pour rejoindre l’hôtel et il me proposa de m’accompagner jusqu’à la réception pour s’assurer que tout était en ordre.
Il prit ma valise dans le coffre et nous entrâmes dans l’hôtel.
Un vaste hall de réception , avec sur la gauche un distributeur de boissons chaudes , puis le comptoir d’accueil. A droite la salle de repas.
Ce n’était pas un grand hôtel mais l’ambiance y semblait agréable.
La réceptionniste me donna quelques consignes sur les heures de repas et me précisa qu’à partir de 23h la porte d’entrée était verrouillée de l’extérieur et que pour entrer, si j’étais sortie, je devais taper le code au dos de ma carte d’accès.
Alexandre pris congés en me laissant sa carte de visite.
-Si vous avez la moindre question n’hésitez pas à me téléphoner. Sinon je serais ici demain matin à 8h30.
-Merci pour tout Alexandre, bonne soirée à vous. A demain.
Je rejoignais ma chambre au deuxième étage par l’ascenseur. Un couloir dont le sol était recouvert de moquette, puis ma chambre à droite.
Chambre classique, un grand lit en 160, avec une grande baie vitrée occultée par un grand rideau.
Je filais tout droit aux toilettes. Oui une femme est une pisseuse!!! Prés de 3 h sans y aller, je n’en pouvais plus.
Le WC était dans la même pièce que la douche. Pas de baignoire mais une grande douche avec un diffuseur fixe. Cela faisait plaisir car souvent je me retrouvais dans des douches exiguës, à me contorsionner pour me savonner.
Je tirais le grand rideau histoire de voir un peu l’extérieur. La fenêtre donnait dans une rue, dont le bâtiment d’en face devait être à une dizaine de mètres. Pas de lumières aux deux fenêtres situées face à ma chambre, mais à l’étage au dessus plusieurs étaient éclairées. Je me disais que j’aurai peut être plus tard la chance de pouvoir apercevoir quelque chose de « cochon »
A moins que ce soit moi qui offre à un chanceux quelques vues sympathiques!!!!
Je me posais un moment sur le lit, après avoir rehausser le thermostat de la chambre. Il me restait environ 45 min avant que je puisse aller manger, et j’en profitais pour revoir un peu les dossiers à traiter le lendemain.
Tout était clair pour moi et je me laissais aller à m’assoupir un peu.
19h45, réveillée par la faim, je rejoignais la salle à manger de l’hôtel.
J’étais la seule, pour le moment. Il y avait un buffet à volonté, froid, chaud… classique.
Au bout de quelques minutes, trois personnes arrivèrent. Deux hommes une femme; puis un couple de vieux les suivirent.
Je me régalais d’une ile flottante pour le dessert. Je ne peux rarement y résister et j’y succombe à chaque fois.
Bon allez, je vous avoue un de mes fantasmes:
M’allonger nue dans une baignoire et des hommes me verseraient de la crème anglaise sur le corps. Je me vautrerai dans cette crème et me caresserai jusqu’à jouir devant ces 2,3 voire 4 hommes.
A chaque fois que je mange une île flottante j’ai cette image… Dois-je consulter?
Un des hommes arrivé il y à peu, étant en train de se servir au buffet, j’en profitais pour y retourner me resservir en île flottante. Mais à peine avais-je rejoint le buffet qu’il me tournait le dos pour retourner s’assoir manger ses frites dont il avait grassement remplit son assiette.
Tans pis pour lui, j’aurais pu lui demander:
-Bonsoir, ça vous dirai de me rejoindre dans ma chambre et de me verser de la crème anglaise sur les seins?
Bien sur, je plaisante. Autant je ne suis pas farouche, je suis capable de me balader nue dehors, de m’exhiber comme vous avez pu le découvrir dans mes précédents récits, mais d’aller aborder un homme de la sorte, j’en suis complètement incapable.
Je finissais donc mon dessert avec une excitation bien présente dans ma culotte, et rejoignais ma chambre.
Aussitôt la porte franchie, je me rendais compte que l’appartement situé juste en face de ma fenêtre était allumé. Je laissais les rideaux ouverts, en me disant que selon les occupants, je pourrais peut être m’exhiber un peu. J’essayais donc de trouver une astuce pour pouvoir être vue sans que la personne croit que je l’ai fais exprès.
Je remarquais que si je laissais la porte de la salle de bain ouverte, mon éventuel voyeur avait une vue directe sur la douche.
J’attendais en m’imaginant me doucher devant un homme, ou une femme, ou les deux…
Et puis au bout d’un moment, une silhouette masculine, en contre jour, se détacha.
Il y avait un homme devant la fenêtre, un verre à la main en train de regarder vers moi.
Pour l’instant habillée, allongée sur mon lit, je faisait semblant de regarder mon téléphone, mais j’essayais surtout de voir à qui j’avais à faire.
Il me semblait qu’il s’agissait d’un homme relativement jeune. Seul son buste m’était visible quand il était prés de la fenêtre. Il avait un tee-shirt clair, des cheveux courts, blond peut être, pas de barbe. Il semblait assez musclé. Il disparu.
Mince, je ne voulais pas qu’il s’en aille. Je me promettais que s’il réapparaissait j’enlèverai mon jean. J’irai juste un peu tirer le rideau tout en laissant une vue sur la salle de bain et une partie du lit.
Il ne fut pas long à se représenter à ma vue.
Toujours allongée sur mon lit je déboutonnais mon pantalon et le faisais glisser sur mes chevilles.
En me forçant à ne pas regarder vers cet homme, pour qu’il croit que je ne l’avais pas remarqué, je m’asseyais sur le bord du lit et enlevais complètement mon pantalon. Je me levais et me dirigeais directement dans la salle de bain. Dos à lui je pouvais voir dans le miroir du lavabo qu’il était toujours la.
Allez, vas y. Fais le!!! Déshabilles toi devant lui. J’en mourrais d’envie!!!
Restant dos à la baie vitrée je faisais passer mon pull par dessus mes épaules, puis mon tee-shirt.
J’étais maintenant en sous vêtements. Je devais retourner à ma valise ,restée près du lit pour y prendre ma trousse de toilette.
Je me forçais toujours à ne pas regarder dans sa direction. Je savais qu’il me voyait; ça me plaisais tellement.
Je m’accroupissais devant ma valise, de profil par rapport à la fenêtre, ouvrais mon bagage et en sortait ma trousse de toilette. Puis ayant laissé mon téléphone sur le lit, je venais me mettre à 4 pattes pour faire semblant de consulter un hypothétique SMS. Toujours de profil par rapport à mon voyeur, je me cambrais pour lui offrir ma plus belle silhouette.
Je me dirigeais enfin dans la salle de bain, et dos à lui, j’enlevais mon soutien gorge. Aussitôt je sentis des fourmillements dans ma culotte.
C’est à ce moment que la lumière de son appartement s’éteignit. Ah mais non, pour de bon? J’étais frustrée mais ma déception ne fût que de courte durée car je pu à nouveau deviner sa silhouette dans la pénombre. Il avait éteint afin de ne pas être vu… le coquin!!!
Je décidais donc de finir de me dévêtir, et ma culotte tomba au sol.
Quand j’ai senti son regard accroché à ma peau, depuis sa fenêtre, quelque chose en moi s’est tendu avec une intensité délicieuse.
Il me croyait inconsciente de sa présence, et cette illusion donnait à l’instant un goût presque interdit, un jeu silencieux dont j’étais soudain la seule maitresse.
Chaque geste que je faisais prenait un relief nouveau, plus affirmé, comme si sa fascination secrète me donnait une assurance inattendue. L’excitation naissait moins de sa présence que de ce pouvoir discret: Le voir me regarder sans savoir que je le savais.
Je réglais donc la température de la douche et me glissais sous l’eau. De sa fenêtre, il devait avoir une vue imprenable sur mon corps ruisselant. Je décidais enfin à lui faire face pour qu’il puisse profiter de mes seins et ma vulve. Je m’attardais à faire mousser le savon sur ma peau.
Je pouvais toujours voir sa silhouette tapie dans l’ombre, à la limite de sa fenêtre à moitié caché par un rideau. Je lui offris 10 bonnes minutes de spectacle, puis attrapa une serviette . Je me séchais en restant dans la douche.
Brossage des dents face au miroir ou je pouvais le regarder sans qu’il ne s’en rende compte. J’adore cette sensation d’exhibition. Je me sens maître du jeu sachant qu’il ne peux rien m’arriver.
L’envie de m’exhiber un peu plus prenant le dessus, et toujours en me brossant les dents, je me dirigeais vers le lit. Attrapant la télécommande de la TV, je restais nue devant la fenêtre en cherchant une chaine à regarder.
Je me rendais compte à ce moment, étant bien prés de la baie vitrée avec une vue sur l’extérieur, que d’autres personnes pourraient aussi me voir. Plusieurs autres appartements étaient éclairés.
Mais pour le moment je ne voyais pas de voyeurs autre que ce premier homme.
Je retournais à la salle de bain pour poser ma brosse à dent et revenais devant ma fenêtre.
Pour la première fois je regardais vers lui. Je ne sais pas dire s’il savait que je l’avais vu mais je tirais le rideau à moitié . Uniquement lui maintenant pourrait me mater.
Mon excitation montait d’un cran et j’avais envie de plus.
Alors je me mettait à nouveau à 4 pattes sur le lit et attrapais mon téléphone, mais cette fois les fesses vers lui. Je me cambrais le plus possible.
Une envie folle de porter mes doigts entre mes cuisses, mais j’attendais un peu.
Je restais un moment à consulter mon téléphone en me délectant de cette sensation que quelqu’un était en train de reluquer mon cul.
Je me retournais alors sur le dos, écartant un peu les cuisses pour que Monsieur puisse admirer ma vulve. Je promenais une main sur mon corps passant de mes seins à ma chatte puis sur mes jambes. Mes doigts se promenaient doucement sur ma peau. Le téléphone devant les yeux, il ne devait surement pas se rendre compte que c’est en réalité lui que je regardais.
Et puis soudainement, dans la faible lueur de son appartement, il me sembla apercevoir un geste répété, un léger mouvement comme si mon voyeur se masturbait en me regardant.
Cette hypothèse eu pour effet de décupler mon excitation. Posant mon téléphone, j’entreprenais de me caresser de manière plus équivoque. Une main sur ma poitrine et l’autre entre mes cuisses je commençais donc à me donner du plaisir. Mon regard était maintenant fixé vers sa fenêtre.
Je vis enfin sa silhouette se décaler et j’eu la confirmation qu’il se tripotait lui aussi.
Je n’avais encore jamais vécu une telle expérience, et j’aimais beaucoup.
C’était sur que dés lors, nous nous masturbions en nous regardant. Quelle divine sensation.
J’empoignais mes seins à deux mains pour lui dévoiler le mieux possible, sans obstacle à sa vue, mon sexe trempé de désir, puis n’y tenant plus je replongeais mes doigts entre mes lèvres.
Toujours le regard dans sa direction, je me laissais porter maintenant sans aucune retenue jusqu’à jouir devant cet inconnu.
Je reprenais doucement mes esprits, quand je le vis me faire un signe de la main.
Un peu troublée je lui rendis son geste et il me dessina un coeur sur la vitre. Il disparu…
Laissant le rideau ouvert pour lui, je mettais mon réveil, regardais un moment la télévision, puis m’endormais nue sur le lit sans me couvrir de la couette.
Au moins aurait t’il la chance de pouvoir me regarder autant qu’il le voudrait.
Réveillée un peu avant le réveil, mon regard se porta immédiatement vers mon voyeur, mais personne n’était là pour me regarder.
Je me préparais et descendais au petit déjeuner.
En buvant mon café, une pensée traversa mon esprit: Et si mon voyeur de hier soir travaillait pour la société ou je devais intervenir!!! Un frisson me traversa le dos.
J’imaginais un homme dans la journée qui me dirai: Bonjour enchanté, merci pour hier soir!!!
Oh putain, la honte…
Alexandre arriva et nous mena au travail. Je vous passe le récit de cette journée complètement inintéressante, ou j’ai quand même imaginé que certains hommes étaient mon voyeur. Mais aucun d’eux ne m’a fait une quelconque allusion.
Travail oblige, Je partais diner avec l’équipe et on ne me ramena à mon hôtel que vers 22h.
La porte d’entrée était toujours ouverte mais le hall lui était désert.Personne à l’accueil, ni dans la salle de restaurant. Je regagnais ma chambre et remarquais que la lumière d’en face était éteinte.
Je regardais par la fenêtre en scrutant les apparts alentours et certains étaient éclairés. Celui de l’étage au dessus notamment.
Laissant mes rideaux entrouverts, je me déshabillais et prenais une douche, frustrée de n’attirer le regard de personne.
Je repensais au distributeur de boissons dans le hall d’entrée et j’eu envie de prendre une boisson chaude, type infusion ou chocolat chaud.
Et forcement l’idée de m’y rendre nue m’effleura l’esprit. Je me voyais déjà avancer dans le couloir, descendre les escaliers et traverser le hall jusqu’à la machine…
Mais ça craignait vraiment, certes il n’y avait personne mais à tout moment je pourrais croiser du monde… Non ça n’était pas une bonne idée.
Je me rhabillais sommairement, sans sous vêtements, mais néanmoins présentable, prenais ma carte d’accès et un peu de monnaie et descendais.
Je m’imaginais nue, arpentant ce couloir feutré, puis descendant les escaliers, et enfin marchant toute nue dans le hall.
Je ne croisais personne. J’aurais pu le faire. A coté du distributeur ou je pris un chocolat chaud, un canapé m’accueillit. Je restais un moment à feuilleter un magazine.
Personne ne vint pendant les quelques 20 minutes passées là.
Quand l’horloge indiqua 23h je pensais que maintenant encore moins de monde pourrait venir.
Je remontais dans ma chambre sans croiser personne. J’étais partie depuis presque 30 min et j’aurais pu y aller toute nue.
Mais chanceuse comme je le suis, il aurait fallu que je sois à poil pour croiser du monde.
Quand j’ouvris la porte de ma chambre, je constatai aussitôt que la lumière de mon voyeur de la veille était allumée.
Encore émoustillée de mon exhibition de hier soir, je n’avais qu’une envie: Recommencer!!!
Rapidement une silhouette apparu et mon voyeur était à son poste.
Cette fois çi il ne se cacha pas et me signe immédiatement.
Il mima avec ses doigts un appel téléphonique et m’indiqua par signe son numéro de téléphone.
Un peu prise au dépourvu je ne savais pas trop quoi faire, mais je décidais d’accepter de l’appeler.
Un à un il me donna tous les chiffres de son numéro et je finissais par appuyer sur le bouton vert de l’appel…
-Allo, bonsoir.
-Bonsoir belle inconnue, je suis ravi que tu m’appelles.
-Je suis un peu gênée de vous parler comme ça de vive voix.
-Ne le sois pas, tu semblais moins gênée hier soir.
J’ai un peu honte quand même!!!
-Honte? Non tu ‘as pas de raison d’avoir honte. Si tu savais comme j’ai adoré ce moment que tu m’as offert. Tu es vraiment très belle, et te voir dans ton intimité… c’était vraiment magique.
Merci, mais à partir de quel moment vous m’avez vu? Je n’ai pas fais attention qu’on pouvait me voir.
Je t’ai vu dés que tu as commencé à te déshabiller
Donc sous la douche aussi?
Et oui, c’était tellement beau!!!
Je savais très bien depuis quand il me regardais, mais je faisais un peu ma naïve.
-Tu recommencerai ce soir? J’adorerai te revoir nue à nouveau
-Pourquoi pas. C’est vrai que quand je me suis aperçue que vous me regardiez, ça m’a excitée.
Et apparement de ce que j’ai pu voir, vous avez bien aimé vous aussi.
-Oui j’avoue je n’ai pas pu résister me masturber en te voyant te caresser devant moi.
-Moi pareil, quand j’ai vu que quelqu’un m’observait ça m’a excitée grave!!!
-Et bien je suis là et je t’observe si tu veux te faire plaisir et me faire plaisir…
Je mettais mon téléphone sur haut parleur, et commençais donc à me déshabiller. Il me parlait, m’encourageais, commentait ce que je lui offrais.
C’était délicieux. Je restais quelques instants en sous-vêtements puis me lançais et me mettais complètement nue. Je déambulais dans ma chambre, passant du lit à la salle de bain.
-Tu es terriblement excitante, j’ai envie de toi… J’ai envie de poser mes mains sur ton corps, je n’en peux plus de te voir et de ne pas pouvoir te toucher.
Sa voix était apaisante et je le sentais également très excité de me voir. Je n’en pouvais plus non plus. Aussi sans trop réfléchir je lui proposais de me rejoindre.
-Tu veux me rejoindre?
-Oh ouiii j’adorerai, ça serai trop génial. Tu es dans quelle chambre?
-La 206, mais tu ne peux pas entrer , l’hôtel est fermé, il faut que je descende t’ouvrir.
-Oui viens m’ouvrir, je t’en supplie.
-Ok fais moi sonner ton tel quand tu es en bas et je descends.
-Merci merci j’arrive.
En raccrochant, je me rendais compte que mon coeur battait très vite. Mélange de stress et d’excitation . Il était quasiment minuit et je m’apprêtais à m’habiller quand une idée folle me traversa l’esprit. Comme je l’avais fantasmé plus tôt, si j’allais lui ouvrir à poil!!!
Déjà qu’à 22 h il n’y avait personne, alors à minuit je risquais encore moins de tomber sur quelqu’un.
Putain j’étais complètement folle, mais l’excitation était telle que je ne pouvais résister.
Descendre toute nue jusqu’au hall réveillait en moi un frisson double: L’envie brulante de m’exposer à ce regard dèjà posé sur moi…Et la peur que quelqu’un d’autre croise mon chemin.
C’était comme marcher sur une ligne tendue entre vertige désir, entre la liberté que j’appelais de toutes mes forces et le risque d’être découverte.
Et pourtant, cette tension me poussait en avant: Un mélange de trouble de défi, d’inquiétude et d’ivresse, qui rendait chaque pas plus irréversible.
Mon téléphone sonna. Il fallait se décider.
J’entrouvris doucement la porte. Une douce lumière tamisée donnait à ce couloir une ambiance feutrée. La porte de l’escalier était à un quinzaines de mètres.
-Allez, vas y sois folle!!!
Ma carte à la main, je m’élançais!!!
La moquette sous mes pieds nus rendait chaque pas plus excitant. Je m’éloignais de ma chambre, concentrée sur le moindre bruit. Tout était silencieux et j’ouvrais la porte d’accès à la cage d’escalier. Je la refermais doucement derrière moi pour ne pas faire de bruit. Le sol froid et carrelé des escaliers me provoqua un doux frisson. Nue sur les marches je ne pu m’empêcher de porter mes doigts à ma vulve et commença à me doigter avec vigueur. Faire monter au maximum mon excitation m’aidait à surmonter le défi à suivre et je descendais les deux étages sans cesse de me masturber.
Je savais qu’en poussant la porte qui était maintenant devant moi, je me retrouverai dans le hall.
Les doigts toujours dans ma chatte à me doigter avec furie, j’appuyais délicatement sur la grande barre libérant le verrou de la porte. Le hall semblait sombre, juste éclairé par quelques luminaires discrets.
Je passais la tête, personne. Personne sauf au loin derrière la grande porte vitrée de l’entrée, la silhouette de mon voyeur. Je reconnaissais ses contours. Je prenais une profonde inspiration et ouvrait complètement mon accès à la réception.
J’avançais tranquillement, le plus normalement possible dans sa direction. En passant devant le comptoir d’accueil je pu enfin croiser son regard.
Ses yeux écarquillés laissaient montrer une surprise totale. Un mélange de sourire et d’étonnement.
Je lui ouvrait enfin la porte tout en posant un doigt sur ma bouche.
-Chuuut, ne fais pas de bruit, suis moi.
Je lui pris la main et l’entraina vers la cage d’escalier.
-Alors toi, tu es complètement folle, j’adore ça.
Il attrapa mes seins à pleine mains et me roula une pelle en me plaquant le dos contre le mur froid.
Libérant un gémissement, je mettais mes mains sur ses joues et nos langues se mêlèrent.
J’avais l’impression qu’il avait au moins 10 mains. Il promenait ses doigts sur tout mon corps, malaxait ma poitrine. Je sentais ses mains dans mon dos, sur mes fesses qu’il écartait. Quand ses doigts se posèrent sur ma vulve dégoulinante, je me cambrais en arrière, me raidissant jusqu’à ce que ma tête vienne se poser contre le mur.
Je ne sais plus combien il y entra de doigts mais il me secoua avec force et je me sentais défaillir.
D’une main je cherchais à attraper son sexe. Il avait eu la bonne idée de ne mettre qu’un survêtement. Ma main y entra aisément et sans y trouver de caleçon je fis vite la connaissance de sa queue. Je sentais le tissus de son survet mouillé. Ses sécrétions ne pouvaient masquer son excitation.
-Tu as du plastique avec toi?
-Oui bien sur.
-Prends moi ici alors, baises moi dans l’escalier.
-Tu es sérieuse?
-Oui j’en peux plus
Il sortit de sa poche plusieurs préservatifs qu’il laissa tomber sur les marches.
Je m’agenouillais devant lui et m’amusais avec sa queue . Une jolie queue assez fine, d’une taille respectable et un gland d’une rougeur incroyable.
Il enfila tant bien que mal ce bout de plastique qui je vous l’avoue, coupe un peu tous les élans.
Je me tournais, et en posant mes mains sur les marches de l’escalier, je lui tendais mon cul.
Il entra dans ma chatte délicatement, fit quelques mouvements au ralenti, puis accéléra ses va et viens.
Cramponé à mes hanches, le salaud me secouait sans ménagement. Sa peau claquait contre mes fesses. Il enfonçait sa queue à fond à chaque coup. J’essayais d’étouffer mes gémissements en plaquant ma bouche contre mon bras et je sentais que j’allais exploser.
Ne voulant pas que ça s’arrête, je me redressais et lui faisais face. Debout sur la première marche, il m’attrapa de nouveau mais face à lui cette fois. Il me tenais une jambe en l’air, tandis que je restais en équilibre sur l’autre, obligé de me serrer contre son corps afin de ne pas tomber.
Lui, était resté habillé, seul son pantalon avait glissé sur ses chevilles et ma nudité dans ce lieu improvisé me procurait un sentiment d’exhibition extreme.
N’importe qui pourrait nous surprendre en ouvrant cette porte, et je serai obligée d’assumer d’être complètement à poil. Lui pourrait se revêtir en moins de 3 secondes mais moi…
Du coin de l’oeil, j’apercevais ma carte d’accès laissée tombée par terre et je me disais qu’il ne fallait pas la perdre car sans elle, j’étais vouée à errer nue toute la nuit dans les couloirs.
Toujours collé à moi il continuais de me sauter debout. Ses mains sur mon cul, je sentais ses doigts glisser lentement entre mes fesses. Il appuya sur mon anus et entra un doigt sans que cela ne me fasse mal. Son doigt avançait et reculait, puis entrait un peu plus à chaque fois.
Je me concentrais sur cette douce pénétration en essayant de me relâcher le plus possible.
Malgré cela par moment ses coups de queues dans mon vagin étaient tels que je resserais mon sphincter par contractions instinctive, mais quand j’arrivais à être totalement relâchée la sensation de ses deux pénétrations simultanées et coordonnées étaient vraiment jouissive.
-Tu aimes ça on dirait hein mon doigt dans ton cul?
-Mon dieu oui, surtout continues, ne changes rien.
-Je t’aurai bien enculer, ça te dis?
-Oh putain, oui, mais doucement promis?
-Oui t’inquiètes pas.
Je le vis à ce moment la appuyer sur la barre d’ouverture de la porte et l’ouvrir. Toujours avec son doigt planté dans mon cul, il me poussa dans le hall d’accueil et la porte se referma derrière nous.
Il m’entraina sur quelques mètres pour s’areter au beau milieu de la réception.
-Mets toi à 4 pattes ici. Tu vas voir on sera mieux sur la moquette.
J’étais partagée entre la peur et l’excitation. Je battais une fois plus des records d’audace.
A chaque nouvelle aventure je poussais un peu plus loin mes barrières. Mais en avais-je!!!
En me mettant par terre je perdis son doigt et me senti étrangement vide. Je m’entendis lui dire comme si ce n’est pas moi qui lui parlais:
-Encules moi, encules moi!!!
Oui, T’es une vrai salope toi, j’aime ça…
Et sa queue entra comme son doigt avec douceur et retenue dans un premier temps.
D’une main il appuya sur mes reins pour que je me cambre.
Je laissais un bras devant moi, je posais ma joue contre la moquette et mon autre main alla entre mes cuisses.
Je pouvais sentir au bout de mes doigts à travers la peau de mon vagin sa bite aller et venir dans mon cul. Heureusement elle n’était pas trop épaisse, la taille idéale pour me faire profiter au mieux de cette sodomie.
Je ne suis pas toujours ouverte à cette pratique. Nous le faisions de temps en temps avec mon ex mari et il est vrai que certaines fois je prenais plus de plaisir à me faire sodomiser qu’a me faire sauter.
Et ce soir je sentais que l’orgasme allait être magnifique. Une fois plus j’étais en train d’atteindre le stade ou plus rien ne pourrait me distraire. Si du monde devait arriver maintenant ça me serait égal et je ne chercherai pas à m’enfuir. J’étais dans cette ivresse étrange qui effaçait toute honte, toute retenue, ne laissant que le plaisir pur.
Je sentis monter de très profond un orgasme, ne sachant pas véritablement s’il était vaginal ou anal. Mais je sentis tout mon corps se raidir au point de ne plus pouvoir tenir la position.
Je me laissais aller à m’allonger à plat ventre sur la moquette, toujours mes doigts dans mon vagin.
Je perdis sa queue dans ce mouvement mais fut parcouru de tremblements et de spasmes terribles. Je sentis en même temps des éclaboussures chaude sur mes fesses et dans mon dos.
Il jouissais sur mon corps. J’aurai presque aimé qu’il me pisse dessus. Le peu de son sperme chaud reçu sur ma peau m’avait donné envie d’en recevoir davantage. Et j’avoue qu’à ce moment précis, me sentir inondée de liquide chaud m’aurai un peu plus transcendée.
Me remettant un doigt au cul et le remuant énergiquement, je sentis son souffle dans mon oreille me chuchoter:
-Merci grosse salope, ce fut un grand plaisir.
Je sentis son doigt aller encore plus profond puis disparaitre.
Toujours allongée , je le vit s’éloigner, franchir la porte d’entrée et disparaitre dans l’obscurité de la nuit.
Je dus rester encore quelques secondes inanimée, nue et souillée, allongée en plein milieu de ce hall de réception . Mais je devais reprendre mes esprits…
-Putain, ou est mon badge, il doit être dans l’escalier, vite il faut que je rentre!!!
Je me levais, retrouvais avec soulagement ma carte et rejoignais ma chambre.
Me jetant sur le lit sans aller me rincer, je retrouvais mes idées. Je m’endormais…
A mon réveil, ma première pensée fut: après être parti comm un voleur, n’aurait il pas en plus jeter sa capote par terre sans que je l’ai vu hier. Et si le personnel était tombé dessus ce matin!!!
C’est la première fois que j’avais « baiser pour baiser » Rien d’autre, que du sexe. Nous n’avions même pas pris le temps de monter dans ma chambre il était parti juste après comme un goujat
C’était surement mieux comme ça.
Ma valise bouclée, un dernier regard vers sa fenêtre vide, et je regagnais la salle à manger pour le petit dej.
Je me remémorais en avançant ce que j’avais vécu dans la nuit. Mais en bas des escaliers je n’osais croire ce qui s’y était passé.
En poussant la porte donnant sur l’accueil je ne pus m’empêcher de me sentir mal à l’aise. Personne derrière le comptoir et pas de capotes par terre!!!
J’étais la seule pour l’heure à déjeuner. C’est alors q’un frisson d’effroi me transperça!!!
Au dessus du comptoir entre le mur et le plafond je vis avec stupeur une caméra de surveillance…
1h30 de TGV plus tard, me voici en gare de Lyon Saint Exupéry. Nous sommes en début de soirée et ça caille. Normalement la société dans laquelle je dois intervenir demain envoie une personne me chercher pour me mener dans mon hôtel. C’est donc en me dirigeant vers les portes de sortie que j’aperçois un jeune homme tenant une petite pancarte sur laquelle est noté mon nom et celui de ma société.
Bonjour, je suis Léane.
-Bonjour Madame, je suis Alexandre. Votre voyage s’est bien passé?
-Oui merci, mais mon dieu comme il fait froid chez vous!!!
-Oui, ça fait quelques jours qu’on se gèle.
Nous échangions quelques banalités en rejoignant sa voiture. Il me disais aussi qu’il avait comme consigne de venir me récupérer à l’hôtel demain matin pour m’emmener dans les locaux de leur entreprise. Il me confirmait également qu’une réservation avait déjà été effectuée pour le repas de ce soir à l’hôtel, ainsi que les deux petits déjeuners.
-Trop bien, Merci beaucoup.
-Mais c’est normal, Pour demain soir je n’ai pas réservé. Mais vous pourrez le faire si vous voulez. Mais au moins ça vous laisse plus de liberté si vous voulez manger ailleurs.
-C’est parfait, merci beaucoup Alexandre.
J’intervenais pour la première fois dans cette société, et ne connaissais personne. Cet Alexandre semblait prendre son travail très à coeur. Et dans ma tête je me disais que si il voulait aussi me prendre moi ça serai volontiers.
Il était mignon et devait avoir environ 25 ans. Ayant enlevé son manteau en montant en voiture je pouvais deviner un jeune homme fin, musclé, d’environ 1m80, cheveux châtain et de beaux yeux verts. Dans son attitude générale il semblait sur de lui, posé, poli, bref un très bel homme.
Il nous fallut une vingtaine de minutes pour rejoindre l’hôtel et il me proposa de m’accompagner jusqu’à la réception pour s’assurer que tout était en ordre.
Il prit ma valise dans le coffre et nous entrâmes dans l’hôtel.
Un vaste hall de réception , avec sur la gauche un distributeur de boissons chaudes , puis le comptoir d’accueil. A droite la salle de repas.
Ce n’était pas un grand hôtel mais l’ambiance y semblait agréable.
La réceptionniste me donna quelques consignes sur les heures de repas et me précisa qu’à partir de 23h la porte d’entrée était verrouillée de l’extérieur et que pour entrer, si j’étais sortie, je devais taper le code au dos de ma carte d’accès.
Alexandre pris congés en me laissant sa carte de visite.
-Si vous avez la moindre question n’hésitez pas à me téléphoner. Sinon je serais ici demain matin à 8h30.
-Merci pour tout Alexandre, bonne soirée à vous. A demain.
Je rejoignais ma chambre au deuxième étage par l’ascenseur. Un couloir dont le sol était recouvert de moquette, puis ma chambre à droite.
Chambre classique, un grand lit en 160, avec une grande baie vitrée occultée par un grand rideau.
Je filais tout droit aux toilettes. Oui une femme est une pisseuse!!! Prés de 3 h sans y aller, je n’en pouvais plus.
Le WC était dans la même pièce que la douche. Pas de baignoire mais une grande douche avec un diffuseur fixe. Cela faisait plaisir car souvent je me retrouvais dans des douches exiguës, à me contorsionner pour me savonner.
Je tirais le grand rideau histoire de voir un peu l’extérieur. La fenêtre donnait dans une rue, dont le bâtiment d’en face devait être à une dizaine de mètres. Pas de lumières aux deux fenêtres situées face à ma chambre, mais à l’étage au dessus plusieurs étaient éclairées. Je me disais que j’aurai peut être plus tard la chance de pouvoir apercevoir quelque chose de « cochon »
A moins que ce soit moi qui offre à un chanceux quelques vues sympathiques!!!!
Je me posais un moment sur le lit, après avoir rehausser le thermostat de la chambre. Il me restait environ 45 min avant que je puisse aller manger, et j’en profitais pour revoir un peu les dossiers à traiter le lendemain.
Tout était clair pour moi et je me laissais aller à m’assoupir un peu.
19h45, réveillée par la faim, je rejoignais la salle à manger de l’hôtel.
J’étais la seule, pour le moment. Il y avait un buffet à volonté, froid, chaud… classique.
Au bout de quelques minutes, trois personnes arrivèrent. Deux hommes une femme; puis un couple de vieux les suivirent.
Je me régalais d’une ile flottante pour le dessert. Je ne peux rarement y résister et j’y succombe à chaque fois.
Bon allez, je vous avoue un de mes fantasmes:
M’allonger nue dans une baignoire et des hommes me verseraient de la crème anglaise sur le corps. Je me vautrerai dans cette crème et me caresserai jusqu’à jouir devant ces 2,3 voire 4 hommes.
A chaque fois que je mange une île flottante j’ai cette image… Dois-je consulter?
Un des hommes arrivé il y à peu, étant en train de se servir au buffet, j’en profitais pour y retourner me resservir en île flottante. Mais à peine avais-je rejoint le buffet qu’il me tournait le dos pour retourner s’assoir manger ses frites dont il avait grassement remplit son assiette.
Tans pis pour lui, j’aurais pu lui demander:
-Bonsoir, ça vous dirai de me rejoindre dans ma chambre et de me verser de la crème anglaise sur les seins?
Bien sur, je plaisante. Autant je ne suis pas farouche, je suis capable de me balader nue dehors, de m’exhiber comme vous avez pu le découvrir dans mes précédents récits, mais d’aller aborder un homme de la sorte, j’en suis complètement incapable.
Je finissais donc mon dessert avec une excitation bien présente dans ma culotte, et rejoignais ma chambre.
Aussitôt la porte franchie, je me rendais compte que l’appartement situé juste en face de ma fenêtre était allumé. Je laissais les rideaux ouverts, en me disant que selon les occupants, je pourrais peut être m’exhiber un peu. J’essayais donc de trouver une astuce pour pouvoir être vue sans que la personne croit que je l’ai fais exprès.
Je remarquais que si je laissais la porte de la salle de bain ouverte, mon éventuel voyeur avait une vue directe sur la douche.
J’attendais en m’imaginant me doucher devant un homme, ou une femme, ou les deux…
Et puis au bout d’un moment, une silhouette masculine, en contre jour, se détacha.
Il y avait un homme devant la fenêtre, un verre à la main en train de regarder vers moi.
Pour l’instant habillée, allongée sur mon lit, je faisait semblant de regarder mon téléphone, mais j’essayais surtout de voir à qui j’avais à faire.
Il me semblait qu’il s’agissait d’un homme relativement jeune. Seul son buste m’était visible quand il était prés de la fenêtre. Il avait un tee-shirt clair, des cheveux courts, blond peut être, pas de barbe. Il semblait assez musclé. Il disparu.
Mince, je ne voulais pas qu’il s’en aille. Je me promettais que s’il réapparaissait j’enlèverai mon jean. J’irai juste un peu tirer le rideau tout en laissant une vue sur la salle de bain et une partie du lit.
Il ne fut pas long à se représenter à ma vue.
Toujours allongée sur mon lit je déboutonnais mon pantalon et le faisais glisser sur mes chevilles.
En me forçant à ne pas regarder vers cet homme, pour qu’il croit que je ne l’avais pas remarqué, je m’asseyais sur le bord du lit et enlevais complètement mon pantalon. Je me levais et me dirigeais directement dans la salle de bain. Dos à lui je pouvais voir dans le miroir du lavabo qu’il était toujours la.
Allez, vas y. Fais le!!! Déshabilles toi devant lui. J’en mourrais d’envie!!!
Restant dos à la baie vitrée je faisais passer mon pull par dessus mes épaules, puis mon tee-shirt.
J’étais maintenant en sous vêtements. Je devais retourner à ma valise ,restée près du lit pour y prendre ma trousse de toilette.
Je me forçais toujours à ne pas regarder dans sa direction. Je savais qu’il me voyait; ça me plaisais tellement.
Je m’accroupissais devant ma valise, de profil par rapport à la fenêtre, ouvrais mon bagage et en sortait ma trousse de toilette. Puis ayant laissé mon téléphone sur le lit, je venais me mettre à 4 pattes pour faire semblant de consulter un hypothétique SMS. Toujours de profil par rapport à mon voyeur, je me cambrais pour lui offrir ma plus belle silhouette.
Je me dirigeais enfin dans la salle de bain, et dos à lui, j’enlevais mon soutien gorge. Aussitôt je sentis des fourmillements dans ma culotte.
C’est à ce moment que la lumière de son appartement s’éteignit. Ah mais non, pour de bon? J’étais frustrée mais ma déception ne fût que de courte durée car je pu à nouveau deviner sa silhouette dans la pénombre. Il avait éteint afin de ne pas être vu… le coquin!!!
Je décidais donc de finir de me dévêtir, et ma culotte tomba au sol.
Quand j’ai senti son regard accroché à ma peau, depuis sa fenêtre, quelque chose en moi s’est tendu avec une intensité délicieuse.
Il me croyait inconsciente de sa présence, et cette illusion donnait à l’instant un goût presque interdit, un jeu silencieux dont j’étais soudain la seule maitresse.
Chaque geste que je faisais prenait un relief nouveau, plus affirmé, comme si sa fascination secrète me donnait une assurance inattendue. L’excitation naissait moins de sa présence que de ce pouvoir discret: Le voir me regarder sans savoir que je le savais.
Je réglais donc la température de la douche et me glissais sous l’eau. De sa fenêtre, il devait avoir une vue imprenable sur mon corps ruisselant. Je décidais enfin à lui faire face pour qu’il puisse profiter de mes seins et ma vulve. Je m’attardais à faire mousser le savon sur ma peau.
Je pouvais toujours voir sa silhouette tapie dans l’ombre, à la limite de sa fenêtre à moitié caché par un rideau. Je lui offris 10 bonnes minutes de spectacle, puis attrapa une serviette . Je me séchais en restant dans la douche.
Brossage des dents face au miroir ou je pouvais le regarder sans qu’il ne s’en rende compte. J’adore cette sensation d’exhibition. Je me sens maître du jeu sachant qu’il ne peux rien m’arriver.
L’envie de m’exhiber un peu plus prenant le dessus, et toujours en me brossant les dents, je me dirigeais vers le lit. Attrapant la télécommande de la TV, je restais nue devant la fenêtre en cherchant une chaine à regarder.
Je me rendais compte à ce moment, étant bien prés de la baie vitrée avec une vue sur l’extérieur, que d’autres personnes pourraient aussi me voir. Plusieurs autres appartements étaient éclairés.
Mais pour le moment je ne voyais pas de voyeurs autre que ce premier homme.
Je retournais à la salle de bain pour poser ma brosse à dent et revenais devant ma fenêtre.
Pour la première fois je regardais vers lui. Je ne sais pas dire s’il savait que je l’avais vu mais je tirais le rideau à moitié . Uniquement lui maintenant pourrait me mater.
Mon excitation montait d’un cran et j’avais envie de plus.
Alors je me mettait à nouveau à 4 pattes sur le lit et attrapais mon téléphone, mais cette fois les fesses vers lui. Je me cambrais le plus possible.
Une envie folle de porter mes doigts entre mes cuisses, mais j’attendais un peu.
Je restais un moment à consulter mon téléphone en me délectant de cette sensation que quelqu’un était en train de reluquer mon cul.
Je me retournais alors sur le dos, écartant un peu les cuisses pour que Monsieur puisse admirer ma vulve. Je promenais une main sur mon corps passant de mes seins à ma chatte puis sur mes jambes. Mes doigts se promenaient doucement sur ma peau. Le téléphone devant les yeux, il ne devait surement pas se rendre compte que c’est en réalité lui que je regardais.
Et puis soudainement, dans la faible lueur de son appartement, il me sembla apercevoir un geste répété, un léger mouvement comme si mon voyeur se masturbait en me regardant.
Cette hypothèse eu pour effet de décupler mon excitation. Posant mon téléphone, j’entreprenais de me caresser de manière plus équivoque. Une main sur ma poitrine et l’autre entre mes cuisses je commençais donc à me donner du plaisir. Mon regard était maintenant fixé vers sa fenêtre.
Je vis enfin sa silhouette se décaler et j’eu la confirmation qu’il se tripotait lui aussi.
Je n’avais encore jamais vécu une telle expérience, et j’aimais beaucoup.
C’était sur que dés lors, nous nous masturbions en nous regardant. Quelle divine sensation.
J’empoignais mes seins à deux mains pour lui dévoiler le mieux possible, sans obstacle à sa vue, mon sexe trempé de désir, puis n’y tenant plus je replongeais mes doigts entre mes lèvres.
Toujours le regard dans sa direction, je me laissais porter maintenant sans aucune retenue jusqu’à jouir devant cet inconnu.
Je reprenais doucement mes esprits, quand je le vis me faire un signe de la main.
Un peu troublée je lui rendis son geste et il me dessina un coeur sur la vitre. Il disparu…
Laissant le rideau ouvert pour lui, je mettais mon réveil, regardais un moment la télévision, puis m’endormais nue sur le lit sans me couvrir de la couette.
Au moins aurait t’il la chance de pouvoir me regarder autant qu’il le voudrait.
Réveillée un peu avant le réveil, mon regard se porta immédiatement vers mon voyeur, mais personne n’était là pour me regarder.
Je me préparais et descendais au petit déjeuner.
En buvant mon café, une pensée traversa mon esprit: Et si mon voyeur de hier soir travaillait pour la société ou je devais intervenir!!! Un frisson me traversa le dos.
J’imaginais un homme dans la journée qui me dirai: Bonjour enchanté, merci pour hier soir!!!
Oh putain, la honte…
Alexandre arriva et nous mena au travail. Je vous passe le récit de cette journée complètement inintéressante, ou j’ai quand même imaginé que certains hommes étaient mon voyeur. Mais aucun d’eux ne m’a fait une quelconque allusion.
Travail oblige, Je partais diner avec l’équipe et on ne me ramena à mon hôtel que vers 22h.
La porte d’entrée était toujours ouverte mais le hall lui était désert.Personne à l’accueil, ni dans la salle de restaurant. Je regagnais ma chambre et remarquais que la lumière d’en face était éteinte.
Je regardais par la fenêtre en scrutant les apparts alentours et certains étaient éclairés. Celui de l’étage au dessus notamment.
Laissant mes rideaux entrouverts, je me déshabillais et prenais une douche, frustrée de n’attirer le regard de personne.
Je repensais au distributeur de boissons dans le hall d’entrée et j’eu envie de prendre une boisson chaude, type infusion ou chocolat chaud.
Et forcement l’idée de m’y rendre nue m’effleura l’esprit. Je me voyais déjà avancer dans le couloir, descendre les escaliers et traverser le hall jusqu’à la machine…
Mais ça craignait vraiment, certes il n’y avait personne mais à tout moment je pourrais croiser du monde… Non ça n’était pas une bonne idée.
Je me rhabillais sommairement, sans sous vêtements, mais néanmoins présentable, prenais ma carte d’accès et un peu de monnaie et descendais.
Je m’imaginais nue, arpentant ce couloir feutré, puis descendant les escaliers, et enfin marchant toute nue dans le hall.
Je ne croisais personne. J’aurais pu le faire. A coté du distributeur ou je pris un chocolat chaud, un canapé m’accueillit. Je restais un moment à feuilleter un magazine.
Personne ne vint pendant les quelques 20 minutes passées là.
Quand l’horloge indiqua 23h je pensais que maintenant encore moins de monde pourrait venir.
Je remontais dans ma chambre sans croiser personne. J’étais partie depuis presque 30 min et j’aurais pu y aller toute nue.
Mais chanceuse comme je le suis, il aurait fallu que je sois à poil pour croiser du monde.
Quand j’ouvris la porte de ma chambre, je constatai aussitôt que la lumière de mon voyeur de la veille était allumée.
Encore émoustillée de mon exhibition de hier soir, je n’avais qu’une envie: Recommencer!!!
Rapidement une silhouette apparu et mon voyeur était à son poste.
Cette fois çi il ne se cacha pas et me signe immédiatement.
Il mima avec ses doigts un appel téléphonique et m’indiqua par signe son numéro de téléphone.
Un peu prise au dépourvu je ne savais pas trop quoi faire, mais je décidais d’accepter de l’appeler.
Un à un il me donna tous les chiffres de son numéro et je finissais par appuyer sur le bouton vert de l’appel…
-Allo, bonsoir.
-Bonsoir belle inconnue, je suis ravi que tu m’appelles.
-Je suis un peu gênée de vous parler comme ça de vive voix.
-Ne le sois pas, tu semblais moins gênée hier soir.
J’ai un peu honte quand même!!!
-Honte? Non tu ‘as pas de raison d’avoir honte. Si tu savais comme j’ai adoré ce moment que tu m’as offert. Tu es vraiment très belle, et te voir dans ton intimité… c’était vraiment magique.
Merci, mais à partir de quel moment vous m’avez vu? Je n’ai pas fais attention qu’on pouvait me voir.
Je t’ai vu dés que tu as commencé à te déshabiller
Donc sous la douche aussi?
Et oui, c’était tellement beau!!!
Je savais très bien depuis quand il me regardais, mais je faisais un peu ma naïve.
-Tu recommencerai ce soir? J’adorerai te revoir nue à nouveau
-Pourquoi pas. C’est vrai que quand je me suis aperçue que vous me regardiez, ça m’a excitée.
Et apparement de ce que j’ai pu voir, vous avez bien aimé vous aussi.
-Oui j’avoue je n’ai pas pu résister me masturber en te voyant te caresser devant moi.
-Moi pareil, quand j’ai vu que quelqu’un m’observait ça m’a excitée grave!!!
-Et bien je suis là et je t’observe si tu veux te faire plaisir et me faire plaisir…
Je mettais mon téléphone sur haut parleur, et commençais donc à me déshabiller. Il me parlait, m’encourageais, commentait ce que je lui offrais.
C’était délicieux. Je restais quelques instants en sous-vêtements puis me lançais et me mettais complètement nue. Je déambulais dans ma chambre, passant du lit à la salle de bain.
-Tu es terriblement excitante, j’ai envie de toi… J’ai envie de poser mes mains sur ton corps, je n’en peux plus de te voir et de ne pas pouvoir te toucher.
Sa voix était apaisante et je le sentais également très excité de me voir. Je n’en pouvais plus non plus. Aussi sans trop réfléchir je lui proposais de me rejoindre.
-Tu veux me rejoindre?
-Oh ouiii j’adorerai, ça serai trop génial. Tu es dans quelle chambre?
-La 206, mais tu ne peux pas entrer , l’hôtel est fermé, il faut que je descende t’ouvrir.
-Oui viens m’ouvrir, je t’en supplie.
-Ok fais moi sonner ton tel quand tu es en bas et je descends.
-Merci merci j’arrive.
En raccrochant, je me rendais compte que mon coeur battait très vite. Mélange de stress et d’excitation . Il était quasiment minuit et je m’apprêtais à m’habiller quand une idée folle me traversa l’esprit. Comme je l’avais fantasmé plus tôt, si j’allais lui ouvrir à poil!!!
Déjà qu’à 22 h il n’y avait personne, alors à minuit je risquais encore moins de tomber sur quelqu’un.
Putain j’étais complètement folle, mais l’excitation était telle que je ne pouvais résister.
Descendre toute nue jusqu’au hall réveillait en moi un frisson double: L’envie brulante de m’exposer à ce regard dèjà posé sur moi…Et la peur que quelqu’un d’autre croise mon chemin.
C’était comme marcher sur une ligne tendue entre vertige désir, entre la liberté que j’appelais de toutes mes forces et le risque d’être découverte.
Et pourtant, cette tension me poussait en avant: Un mélange de trouble de défi, d’inquiétude et d’ivresse, qui rendait chaque pas plus irréversible.
Mon téléphone sonna. Il fallait se décider.
J’entrouvris doucement la porte. Une douce lumière tamisée donnait à ce couloir une ambiance feutrée. La porte de l’escalier était à un quinzaines de mètres.
-Allez, vas y sois folle!!!
Ma carte à la main, je m’élançais!!!
La moquette sous mes pieds nus rendait chaque pas plus excitant. Je m’éloignais de ma chambre, concentrée sur le moindre bruit. Tout était silencieux et j’ouvrais la porte d’accès à la cage d’escalier. Je la refermais doucement derrière moi pour ne pas faire de bruit. Le sol froid et carrelé des escaliers me provoqua un doux frisson. Nue sur les marches je ne pu m’empêcher de porter mes doigts à ma vulve et commença à me doigter avec vigueur. Faire monter au maximum mon excitation m’aidait à surmonter le défi à suivre et je descendais les deux étages sans cesse de me masturber.
Je savais qu’en poussant la porte qui était maintenant devant moi, je me retrouverai dans le hall.
Les doigts toujours dans ma chatte à me doigter avec furie, j’appuyais délicatement sur la grande barre libérant le verrou de la porte. Le hall semblait sombre, juste éclairé par quelques luminaires discrets.
Je passais la tête, personne. Personne sauf au loin derrière la grande porte vitrée de l’entrée, la silhouette de mon voyeur. Je reconnaissais ses contours. Je prenais une profonde inspiration et ouvrait complètement mon accès à la réception.
J’avançais tranquillement, le plus normalement possible dans sa direction. En passant devant le comptoir d’accueil je pu enfin croiser son regard.
Ses yeux écarquillés laissaient montrer une surprise totale. Un mélange de sourire et d’étonnement.
Je lui ouvrait enfin la porte tout en posant un doigt sur ma bouche.
-Chuuut, ne fais pas de bruit, suis moi.
Je lui pris la main et l’entraina vers la cage d’escalier.
-Alors toi, tu es complètement folle, j’adore ça.
Il attrapa mes seins à pleine mains et me roula une pelle en me plaquant le dos contre le mur froid.
Libérant un gémissement, je mettais mes mains sur ses joues et nos langues se mêlèrent.
J’avais l’impression qu’il avait au moins 10 mains. Il promenait ses doigts sur tout mon corps, malaxait ma poitrine. Je sentais ses mains dans mon dos, sur mes fesses qu’il écartait. Quand ses doigts se posèrent sur ma vulve dégoulinante, je me cambrais en arrière, me raidissant jusqu’à ce que ma tête vienne se poser contre le mur.
Je ne sais plus combien il y entra de doigts mais il me secoua avec force et je me sentais défaillir.
D’une main je cherchais à attraper son sexe. Il avait eu la bonne idée de ne mettre qu’un survêtement. Ma main y entra aisément et sans y trouver de caleçon je fis vite la connaissance de sa queue. Je sentais le tissus de son survet mouillé. Ses sécrétions ne pouvaient masquer son excitation.
-Tu as du plastique avec toi?
-Oui bien sur.
-Prends moi ici alors, baises moi dans l’escalier.
-Tu es sérieuse?
-Oui j’en peux plus
Il sortit de sa poche plusieurs préservatifs qu’il laissa tomber sur les marches.
Je m’agenouillais devant lui et m’amusais avec sa queue . Une jolie queue assez fine, d’une taille respectable et un gland d’une rougeur incroyable.
Il enfila tant bien que mal ce bout de plastique qui je vous l’avoue, coupe un peu tous les élans.
Je me tournais, et en posant mes mains sur les marches de l’escalier, je lui tendais mon cul.
Il entra dans ma chatte délicatement, fit quelques mouvements au ralenti, puis accéléra ses va et viens.
Cramponé à mes hanches, le salaud me secouait sans ménagement. Sa peau claquait contre mes fesses. Il enfonçait sa queue à fond à chaque coup. J’essayais d’étouffer mes gémissements en plaquant ma bouche contre mon bras et je sentais que j’allais exploser.
Ne voulant pas que ça s’arrête, je me redressais et lui faisais face. Debout sur la première marche, il m’attrapa de nouveau mais face à lui cette fois. Il me tenais une jambe en l’air, tandis que je restais en équilibre sur l’autre, obligé de me serrer contre son corps afin de ne pas tomber.
Lui, était resté habillé, seul son pantalon avait glissé sur ses chevilles et ma nudité dans ce lieu improvisé me procurait un sentiment d’exhibition extreme.
N’importe qui pourrait nous surprendre en ouvrant cette porte, et je serai obligée d’assumer d’être complètement à poil. Lui pourrait se revêtir en moins de 3 secondes mais moi…
Du coin de l’oeil, j’apercevais ma carte d’accès laissée tombée par terre et je me disais qu’il ne fallait pas la perdre car sans elle, j’étais vouée à errer nue toute la nuit dans les couloirs.
Toujours collé à moi il continuais de me sauter debout. Ses mains sur mon cul, je sentais ses doigts glisser lentement entre mes fesses. Il appuya sur mon anus et entra un doigt sans que cela ne me fasse mal. Son doigt avançait et reculait, puis entrait un peu plus à chaque fois.
Je me concentrais sur cette douce pénétration en essayant de me relâcher le plus possible.
Malgré cela par moment ses coups de queues dans mon vagin étaient tels que je resserais mon sphincter par contractions instinctive, mais quand j’arrivais à être totalement relâchée la sensation de ses deux pénétrations simultanées et coordonnées étaient vraiment jouissive.
-Tu aimes ça on dirait hein mon doigt dans ton cul?
-Mon dieu oui, surtout continues, ne changes rien.
-Je t’aurai bien enculer, ça te dis?
-Oh putain, oui, mais doucement promis?
-Oui t’inquiètes pas.
Je le vis à ce moment la appuyer sur la barre d’ouverture de la porte et l’ouvrir. Toujours avec son doigt planté dans mon cul, il me poussa dans le hall d’accueil et la porte se referma derrière nous.
Il m’entraina sur quelques mètres pour s’areter au beau milieu de la réception.
-Mets toi à 4 pattes ici. Tu vas voir on sera mieux sur la moquette.
J’étais partagée entre la peur et l’excitation. Je battais une fois plus des records d’audace.
A chaque nouvelle aventure je poussais un peu plus loin mes barrières. Mais en avais-je!!!
En me mettant par terre je perdis son doigt et me senti étrangement vide. Je m’entendis lui dire comme si ce n’est pas moi qui lui parlais:
-Encules moi, encules moi!!!
Oui, T’es une vrai salope toi, j’aime ça…
Et sa queue entra comme son doigt avec douceur et retenue dans un premier temps.
D’une main il appuya sur mes reins pour que je me cambre.
Je laissais un bras devant moi, je posais ma joue contre la moquette et mon autre main alla entre mes cuisses.
Je pouvais sentir au bout de mes doigts à travers la peau de mon vagin sa bite aller et venir dans mon cul. Heureusement elle n’était pas trop épaisse, la taille idéale pour me faire profiter au mieux de cette sodomie.
Je ne suis pas toujours ouverte à cette pratique. Nous le faisions de temps en temps avec mon ex mari et il est vrai que certaines fois je prenais plus de plaisir à me faire sodomiser qu’a me faire sauter.
Et ce soir je sentais que l’orgasme allait être magnifique. Une fois plus j’étais en train d’atteindre le stade ou plus rien ne pourrait me distraire. Si du monde devait arriver maintenant ça me serait égal et je ne chercherai pas à m’enfuir. J’étais dans cette ivresse étrange qui effaçait toute honte, toute retenue, ne laissant que le plaisir pur.
Je sentis monter de très profond un orgasme, ne sachant pas véritablement s’il était vaginal ou anal. Mais je sentis tout mon corps se raidir au point de ne plus pouvoir tenir la position.
Je me laissais aller à m’allonger à plat ventre sur la moquette, toujours mes doigts dans mon vagin.
Je perdis sa queue dans ce mouvement mais fut parcouru de tremblements et de spasmes terribles. Je sentis en même temps des éclaboussures chaude sur mes fesses et dans mon dos.
Il jouissais sur mon corps. J’aurai presque aimé qu’il me pisse dessus. Le peu de son sperme chaud reçu sur ma peau m’avait donné envie d’en recevoir davantage. Et j’avoue qu’à ce moment précis, me sentir inondée de liquide chaud m’aurai un peu plus transcendée.
Me remettant un doigt au cul et le remuant énergiquement, je sentis son souffle dans mon oreille me chuchoter:
-Merci grosse salope, ce fut un grand plaisir.
Je sentis son doigt aller encore plus profond puis disparaitre.
Toujours allongée , je le vit s’éloigner, franchir la porte d’entrée et disparaitre dans l’obscurité de la nuit.
Je dus rester encore quelques secondes inanimée, nue et souillée, allongée en plein milieu de ce hall de réception . Mais je devais reprendre mes esprits…
-Putain, ou est mon badge, il doit être dans l’escalier, vite il faut que je rentre!!!
Je me levais, retrouvais avec soulagement ma carte et rejoignais ma chambre.
Me jetant sur le lit sans aller me rincer, je retrouvais mes idées. Je m’endormais…
A mon réveil, ma première pensée fut: après être parti comm un voleur, n’aurait il pas en plus jeter sa capote par terre sans que je l’ai vu hier. Et si le personnel était tombé dessus ce matin!!!
C’est la première fois que j’avais « baiser pour baiser » Rien d’autre, que du sexe. Nous n’avions même pas pris le temps de monter dans ma chambre il était parti juste après comme un goujat
C’était surement mieux comme ça.
Ma valise bouclée, un dernier regard vers sa fenêtre vide, et je regagnais la salle à manger pour le petit dej.
Je me remémorais en avançant ce que j’avais vécu dans la nuit. Mais en bas des escaliers je n’osais croire ce qui s’y était passé.
En poussant la porte donnant sur l’accueil je ne pus m’empêcher de me sentir mal à l’aise. Personne derrière le comptoir et pas de capotes par terre!!!
J’étais la seule pour l’heure à déjeuner. C’est alors q’un frisson d’effroi me transperça!!!
Au dessus du comptoir entre le mur et le plafond je vis avec stupeur une caméra de surveillance…
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Encore une histoire plus qu'érotique, très originale, une description de l'amour libre exceptionnelle !
Un immense BRAVO à toi !
Philippe
Un immense BRAVO à toi !
Philippe
