Fred, l'amant au physique ingrat.4, la dépravation

- Par l'auteur HDS Passud -
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Récit libertin : Fred, l'amant au physique ingrat.4, la dépravation Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-07-2023 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Fred, l'amant au physique ingrat.4, la dépravation
Décidément, on ne termine pas, une relation comme ça.

Fred n'accepte pas de me perdre, il sait que je ne viendrai plus chez lui.
Il opte donc pour l'autre solution, il appelle chez moi.

Il tombe sur Corinne, qui est d'abord surprise, puis elle se reprend et lui demande:

"Tu veux voir Pascal ? C'est ça ?".
"Oui, pourquoi, il ne vient plus me voir ?".
"Ah bon, tu le vois plus ? Il ne m'a rien dit ! Ben, passes à la maison ! Moi, ça me déranges pas ! Au contraire, j'adore le voir avec un homme !".
"Ah bon ? Il me l'a pas dit, ça non plus ! L'enfoiré ! Donc, ça te dérangerait pas que je l'encule devant toi !".

Elle n'est même pas choquée par ses mots crus.

"Tu peux pas me faire plus plaisir !".
"J'arrive !".

Il se pointe chez moi, et m'attend en buvant des bières et parlant de nos ébats avec Corinne, qui en apprend beaucoup sur notre relation.
Elle est un peu étonnée de savoir à quel point, je suis soumis à Fred.

Je rentre du boulot, vers 16 h 30, sans me douter de ce qui m'attend.
Je passe la porte d'entrée et découvre la présence de Fred !

"Non ! Qu'est-ce que tu fais ici ?".
"Ben, tu viens plus me voir ! Si il y a un problème, il faut me le dire ! Tu te rends compte que je dois venir chez toi pour te voir ?".
"J'ai mes raisons ! Je peux parler seul avec ma femme ?".
"Ok, je vous laisse, les amoureux !".

Il se rend dans la salle de bain et en profite pour se laver la queue, puis se branler discrètement.

Corinne profite de son absence pour me demander à voix basse:

"C'est quoi le souci ? Vous avez l'air de vous éclater ensemble !".
"Euh, au début, oui ! Mais il va trop loin maintenant !".
"Oh, le pauvre ! je suis sur que t'aime ce qu'il te fait ! J'ai envie de voir d'ailleurs !".
"Bon ! Ok ! Tu vas voir ! Mais prépares toi, c'est chaud ! Il me traite comme une chose ! Laisses le faire jusqu'au bout ! Tu verras !".
"Oh ! Quand même ! Tu exagères !".

Le bruit de la poignée nous prévient de son retour.
Il vient vers moi et me dit avec douceur:

"Alors ? Ma petite pute, tu aimes plus ce que je te fais ? C'est pas gentil, tu me manques, tu sais !".

Corinne a l'air attendrie par sa douceur, et me fait une moue de supplication pour que je cède.

Fred ajoute:
"Regardes comme je bande ! Elle te manques pas, ma grosse queue ?".

Il ouvre sa braguette, et attire ma main dessus.

Corinne a un effet de recul en découvrant la circonférence de la bite de Fred, elle en reste figée avec la bouche ouverte.

Elle laisse échapper:

"Putain ! C'est quoi cette queue ? C'est énorme !".
"C'est rien ! Il la prend sans problème ! Hein, ma salope !".

Il me saisit par les cheveux et m'accroupit de force devant lui, puis me remplit la gorge.
Il me déforme l'orifice buccal en me faisant une gorge profonde.

"Ouais, comme ça ! T'as pas été sage ! T'es pas venu te faire casser le cul ! C'est pas bien ! Je vais devoir me rattrapper devant ta femme !".
"Gllllrrrrrrrr ! Gllllrrrrrrrr ! Gllllrrrrrrrr !".

Je couvre sa bite de salive.

"Corinne, aide-moi à le déshabiller ! Si tu veux que je l'encules devant toi !".

Elle l'aide, et je me retrouve nu comme un ver, à ses pieds.
Elle a l'air fascinée par sa domination sur moi.

"T'as vu comme il se laisse faire ! C'est ma pute ! Il te l'as dit ?".
"Non, il m'a rien dit !".
"Tu veux que je te montre, ce que je lui fais, quand il vient chez moi ?".
"Oui, je veux voir !".
"Allez salope ! Va te placer sur la table de salon !".
"Corinne ! Tu as des petites cordes ?".

Elle revient avec des lacets de basket, très longs.
Il m'attache les mains dans le dos, et les pieds pour m'empêcher de marcher comme je veux.

Il ôte ses vêtements et vient derrière moi.
Il crache sur mon anus, trois fois, puis colle son énorme gland contre mon anus.
Il me tient par les hanches pour m'enfoncer sur lui.

J'ai une forte grimace en le sentant pousser sur mon œillet.
Il m'asséne de fortes poussées destructrices. Je lâche de nombreux petits râles.

"Arhhhh ! Arhhhh ! Arhhhh ! Arhhhh ! Arhhhh !".

Il recule et crache à nouveau dans mon anus, puis revient.

"Arhhhh ! Arhhhh ! Arhhhh ! Arhhhh ! Arhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh !".

Il vient de parvenir à me pénétrer, en m'écartelant le cul à l'extrême.

"Tais toi salope ! Je vais te punir maintenant !".

Il se lance dans une destruction anale violente, de mon cul.

Il est encore pire que les autres jours, je gueule de plaisir.

Je m'en veux de jouir comme ça, mais je ne peux pas résister à l'engin de plaisir qu'il possède.

"Tais toi, t'as pas le droit de jouir, ou en silence ! Sale pute ! C'est ta faute, si je suis comme ça !".

Il me claque les fesses, puis me saisit par mes liens, derrière le dos, et m'encule comme une bête.

Mon délicieux supplice dure une éternité, Corinne voit que je couvre abondamment la queue de Fred, avec mon jus d'anus.

"Tiens lui les mains Corinne !".

Elle me cambre sur lui, pendant qu'il s'accroche à ma bouche avec ses doigts.
Il me déforme les lèvres en m'enculant.
Je dégurgite en jouissant du cul.
Je ne compte plus les orgasmes déjà !

Puis, il s'arrête et va s'assoir sur le canapé.

"Bon, je vais un peu me reposer ! T'as bien encaissé ! Ma petite pute ! C'est un bon début !".

Corinne commence à me détacher.

"Non ! Surtout pas, j'ai pas fini ! Laisses ma salope comme ça !".

Puis, il ajoute:

"Tu veux t'amuser avec son cul ?".
"Euh, je sais pas ! Comment ?".
"Tu as des gants, assez fins ?".
"Euh, j'ai des gants médicaux en latex !".
"C'est super ! Prends du gel, si tu as !".

Je devine ce que je vais subir.

"Corinne ! Non ! S'il te plait !".
"Toi ! T'as pas le droit à la parole !".

Il va dans la cuisine pour prendre un torchon de vaisselle et me bâillonne avec, pendant que Corinne revient affublée du gant.

Il m'enduit l'anus abondamment, mais je pense que ma lubrification anale aurait fait l'affaire.
Il écarte mes fesses et demande à Corinne:

"Vas y ! Encules le avec ta main !".

Elle me saisit par le lacet et pousse avec sa main dans mon cul.
Il ne lui faut pas de beaucoup de poussées pour s'enfoncer en moi.
Je hurle dans mon bâillon.

"Voilà, c'est bien, vas y doucement au début ! Et tu t'enfonces, de plus en plus loin !".

Elle s'excite de me faire hurler de plaisir anal extrême.
Puis, elle ne tient plus et demande à Fred de me tenir pendant qu'elle ôte sa culotte d'une main, pour se masturber, pendant qu'elle joue avec mon anus.

Elle cherche a s'enfoncer le plus loin possible.
Fred me cambre sur sa main, qui est complètement dans mon cul.

Le poignet rejoint sa main, puis elle s'enfonce encore en se branlant de plus en plus vite.
Je subis un plaisir énorme.

Progressivement, elle atteint mon passage, dilaté par de nombreuses sodomies profondes, dont celle de Daniel, cet amant que je regrette tant.

Elle sent le passage et parvient à le passer, je pousse un hurlement de plaisir intense.
Elle a son bras enfoncé en moi, sur presque 30 cm.

Elle se heurte à mon écartement anal maximum, à chaque nouvel enfoncement.

Je ne me contrôle plus, et je me repends entre mes jambes et sur la table de salon.

Tout s'enchaine, d'abord l'explosion de sperme, puis peu après, l'écoulement de liquide doré.

"Tu vois comme il a un vrai cul de salope, ton homme ! C'est pas une bonne pute, ça ! Allez ! Pisses salope !".

Elle arrête de bouger pour se concentrer sur sa masturbation, et se fait jouir puissamment devant mon bourreau.

"Arhhhhhhhhhhhhhhh ! Ca me rend folle ! Arhhhhhhhhhhhhhhh !".

Fred en profite pour me baiser la gorge avec vice, sauvagerie, et insultes extrêmes.
Corinne à l'air fascinée par son bras qui coulisse en moi, pendant que Fred me possède la bouche.
Mon corps ne m'appartient plus, même ma femme l'utilise à sa guise !

"Bon, maintenant, j'ai encore envie de son cul ! Laisses le moi !".

Elle recule doucement, je pousse un long cri, quand c'est à sa main de sortir de mon anus.

Fred m'encule aussitôt avec fougue, il propose à Corinne:

"Fais comme moi, utilise sa bouche !".

Elle repense à notre trio avec Daniel, et vient coller mon visage contre sa chatte.

"Donnes lui des ordres ! N'oublies pas que c'est une pute !".
"Je sais ! Allez, bouffes moi la chatte ! Salope !".

Le coté dominateur de ma belle que je savais sous jacent, se révèle devant moi.
Elle m'écrase les lèvres contre son clitoris que je lape comme je peux.
Puis elle me dit en s'éloignant:

"Ne bouges pas, restes comme ça !".
"Mieux que ça Corinne ! Tu dois mieux lui parler !".
"Ne bouges pas, restes comme ça ! Sale petite pute !".
"Voilà, là, il comprend !".

Elle se frotte l'intérieur de la chatte énergiquement.
Après quelques minutes ou je jouis, encore et encore, du cul, sous les assauts énormes de Fred, Corinne m'insulte à nouveau:

"Ouvres la bouche, sale pute !".

Fred m'écarte les lèvres avec ses doigts, en m'enculant toujours.
Corinne est prise de convulsions, puis je reçois de nombreux jets de cyprine dans la gorge.
Fred m'ordonne:

"Allez avales salope !".

Même si cela m'est difficile de l'empêcher, je suis obligé de boire à la source du vagin de Corinne.
Mon visage est couvert de son jus, mon corps aussi.

Fred en profite pour se lâcher et me remplit le cul de sperme.
Je joui encore, en ressentant leurs orgasmes comme une délivrance.

Corinne va s'écrouler sur notre canapé, vidée de plaisir.

Fred se régale de regarder vicieusement son foutre qui dégouline de mon cul, il se vide la queue entre mes fesses, avec ses doigts.
Il s'amuse a glisser sa bite en moi sans arrêt.

"Oh, la bière fait son effet !".

Il se place devant moi et se vide de toute son urine brulante.

Corinne ne s'y attendait pas, elle regarde le jet puissant de Fred m'inonder le corps et le visage, puis elle est surprise de le voir enfoncer sa bite dans ma gorge, en me tenant fermement par la nuque.

Elle me voit avaler de force, son jus fortement salé, en m'étouffant sur sa bite.

Une fois vidé, il se pose sur un fauteuil, derrière lui, et me regarde, écroulé au sol, attaché et gisant dans toutes ces effluves corporelles.

Corinne se lève en disant:

"Bon, je vais nettoyer tout ça !".
"Non ! Surtout pas ! je vais encore le baiser, tout à l'heure ! Tu le laisses comme ça ! Tu peux nous faire un café, avant ça ?".

Elle a compris que je n'y ai pas droit, et sirote sa boisson avec lui en me regardant au sol avec l'anus éclaté comme jamais, dégoulinant de sperme.

Je me suis endormi, dans cet état, elle écoute ma consigne de le laisser faire jusqu'au bout, mais ça lui est difficile maintenant qu'elle a joui.

Elle se lève pour aller laver les tasses, il la suit et va discuter avec elle pendant un long moment.

Je me réveille, l'urine a séché sur moi, mais le contact dans la tache sur le sol, est très froid.
Je sais que je ne dois pas bouger, sinon, je vais subir ses désirs, les plus pervers.
Je me sens poisseux au niveau de l'anus.

Après de longues minutes, j'entends à haute voix:

"Bon, je baiserai bien une salope ! Moi !".

Il entre dans le salon et me soulève en me tenant par les liens.

"Oh, regardes moi ça, il est tout trempé ! Corinne ! Amènes de l'essuie-tout !".

Il m'éponge le corps, aidé de ma femme, puis il me pose en bout de canapé, avec les fesses offertes.

"Putain, regardes moi ce cul plein de foutre séché ! Ca mérites une nouvelle dose !".

Il tient son énorme bite à la base et me dépose du gel avant de pousser fortement dans mon cul.

Mon anus est encore plus sensible, à cause des sodomies extrêmes récentes.
Je suis pris d'un orgasme direct, rien qu'en le sentant coulisser en moi.

"Mmmmmmmmmmmmmm !".

Il m'ôte le baillon.

"Qu'est ce qu'y a ?".
"Arhhhhhhhhhhhhhhh ! Je joui ! Arhhhhhhhhhhhhhhh !".
"Tu jouis en silence, je t'ai dis !".

Il m'enfonce le visage dans le canapé et m'encule comme une bête sauvage.

Je m'y attendais, il le fait, désormais, à chaque fois, il en a besoin pour se faire jouir plus efficacement.

Mais c'est quand même un délicieux et insoutenable moment a passer.
Corinne me voit hurler mes orgasmes successifs dans le coussin du canapé, le crâne enfoncé par Fred qui se défoule dans mon cul.

Elle se demande quand, tout cela va s'arrêter.
Elle a hâte que Fred éjacule et quitte notre appartement.

Elle me voit encaisser les gifles sur le cul, les assauts destructeurs, les insultes extrêmes, les griffures sur mon corps.

Elle découvre mon amant pervers et sadique, loin de ce qu'il était, au début de notre relation.

Elle me voit presque pleurer de plaisir en encaissant ses violents coups de queue profonds.

Puis enfin, il pousse un long râle et cri énorme, signe de son puissant orgasme.
Il a l'air de perdre tout contrôle en éjaculant, pris de spasmes intenses dans la verge.

Il me fait mal en s'accrochant à mes fesses, ses doigts s'enfoncent dans ma peau.

Il crie son plaisir.
Malgré tout ce que j'ai subi, en voyant la puissance de son orgasme, elle comprend pourquoi, il aime autant m'enculer !

Il s'affale sur moi, et termine de se déverser en moi, longuement.

"Oh, putain, Qu'est-ce que c'était bon ! T'es génial, ma petite salope !".

Enfin un compliment !
Il se redresse et écarte mes lobes fessiers.

"Viens voir Corinne ! Ca c'est beau ! Qu'est-ce que t'en penses ?".

Elle admire son sperme, entrain de couler de mon cul, avec abondance encore.

"Ca ! Fred ! C'est mon péché mignon ! Ca m'excite trop !".
"Ah, toi aussi ! C'est génial ! Pas vrai ?".
"Oui !".

"Bon, j'aurai pas du boire autant de bières !".

Il me déplace pour me poser au sol et m'urine dessus encore, par chance, son besoin était beaucoup moins intense.

"Bon, j'ai bien joui ! Je vous laisse ! Et Merci Corinne ! Tu prends soin de ma pute ! Et dis lui de passer chez moi ! Vlad a envie de le baiser aussi !".

Elle répond étonnée:

"Vlad ?".
"Ah, il t'en a pas parlé encore ! Il t'expliquera ! Bisous ma belle ! Je passerai le bonjour à ma sœur, de ta part !".

Dès qu'il a passé la porte, elle me défait les liens et m'aide à me relever.

"Fais couler l'eau de la douche, s'il te plait !".

Elle me voit m'assoir au fond du bac et laisser l'eau couler sur moi.
Le ruissellement me fait du bien, je ferme les yeux en essayant d'oublier tout ce que j'ai subi.

Corinne me dit alors:

"Je pensais pas qu'il était comme ça ! C'est trop !".
"Il était pas comme ça ! Au début ! Il était pervers, mais ça restait excitant. Et ensuite, il s'est lâché, de plus en plus ! Maintenant, je peux plus ! Ca va trop loin !".
"Je te comprends !".

"Par contre ! Le truc avec la main, tu oublies ! Je veux plus, non plus !".
"D'accord ! Mon amour !".

Je me redresse et me sèche le corps, puis je mange avec ma belle et vais m'allonger dans ma chambre.
Je ne me réveillerai que le lendemain.

Deux jours plus tard, il rappelle:

"Salut Corinne ! Tu m'envoies ma pute ! On l'attend avec Vlad !".
"Il n'est pas là et il ne viendra plus, Fred ! Tu vas trop loin, il n'y prend plus de plaisir ! Il faut le laisser maintenant !".
"Comment ça, il prend plus de plaisir ! Il arrête pas de gueuler comme une chienne !".
"Oui, mais, c'est tout le reste ! Les marques sur son corps, le fait de lui pisser dessus, les doigts dans la bouche, même mon bras dans le cul, j'aurais pas dû t'écouter, d'ailleurs ! C'est presque du sadisme pour lui !".
"Ah, je pensais qu'il s'éclatait avec moi ! On était sur ma même longueur d'ondes, tous les deux !".
"Au début, oui ! Mais plus maintenant ! Tu va trop loin !".
"Bon, je suis désolé, mais, je sais pas comment je vais me passer de lui, du coup ! Dis lui que, si, il change d'avis, je me contrôlerai ! Bisous ma belle !".
"Bisous ! Bonne chance !".

Bien sur, mon vice m'a renvoyé vers lui plusieurs fois, mais sa perversité était toujours là, prête à surgir à mes dépends.

J'ai à nouveau subi quelques outrages, moindres, mais qui m'ont effrayés, pour la suite.

Vlad a encore profité de moi, lui aussi, me laissant des traces corporelles, de nouveau.

J'ai décidé que c'était sans espoir et cessé de voir Fred, ainsi que Vlad par la même occasion !

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