FRERE - SOEUR, Jumeau - Jumelle

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : FRERE - SOEUR, Jumeau - Jumelle Histoire érotique Publiée sur HDS le 30-03-2015 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
(9.0 / 10)

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FRERE - SOEUR, Jumeau - Jumelle
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --
Notre histoire commence le jour de notre naissance à quelques minutes d’intervalle lorsque je suis né un quart d’heure avant Noémi.
Mes parents mon prénommé Yanick.
Toute notre jeunesse, nous sommes restés très proches n’ayant aucun tabou avec nos corps.
Souvent les jeunes enfants jouent au docteur entre frère et sœur jusqu’au jour où la nature transformant les corps, ils évoluent et apprennent à vivre habillés.
Noémi et moi n’avons jamais arrêté de parcourir nos corps car lorsque nous avons choisi Kinési comme notre père, les travaux pratiques à la maison se faisaient toujours entre nous.
Lorsque nous étions très jeunes, outre le fait que nous étions un garçon et une fille, elle était aussi blonde que je suis brun.
Brun de cheveux mais aussi de peau, j’ai récupéré les gènes de mon père magnifique homme noir originaire du Sénégal et ma mère blonde comme ma sœur est d’origine danoise par notre grand-mère.
En plus de la couleur de sa peau légèrement plus claire, j’ai récupéré du paternel un membre légèrement hors de la norme.
Un jour en vacances à la campagne Noémi m’a comparé au cheval que nous voyons dans le pré qui bandait en sentant la pouliche du champ d’à côté étant en bonne période pour pouliner mais n’osant franchir la clôture électrique.
Huit, neuf et dix ans se sont passé sans encombre jusqu’au jour où notre grand-mère maternelle est venue nous chercher au collège pour nous annoncer que nos parents étaient passés dans l’autre monde en ayant eus le malheur de prendre une cheminée sur la tête en entrant quelques heures plus tôt sous l’orage qui avait traversé notre ville.
Notre grand-mère pour ne pas nous déboussoler après ce traumatisme est venue s’installer dans la chambre de nos parents au rez-de-chaussée du pavillon que nous avions hérité et dont elle avait été nommée tutrice.
Noémie et moi avions tout l’étage à notre disposition, notre grand-mère s’étant fait mettre une rotule artificielle qui avait mal tourné et ne pouvait plus monter deux marches de suite.
Notre père de son vivant n’acceptait pas que nous fassions chambre commune et venait tous les soirs constater que nous n’enfreignions pas cette règle.
À la fin de la première semaine de leur disparition, mon pyjama est rapidement venu retrouver celui de ma sœur.
Ils se sont retrouvés mais n’ont jamais été mis car nous adorons dormir nue.
Nous faisions très attention chaque semaine lorsque nous les donnions à nettoyer à notre grand-mère, nous les froissions l’obligeant à les laver et à les repasser.
Dormir nue pour nous était une source de plaisir lorsque au matin nos corps sans que nous le voulions se trouvaient emmêlés comme si nous avions passé une nuit torride.
12 ans, premier émoi pour moi. J’adorais me réveiller soit avec ma verge dans la main de Noémi soit en lui ayant envoyé une carte postale dans les draps ou sur son joli petit cul.
13 ans, je découvre les petites culottes tous les 28 jours lorsque Noémi devient une femme féconde.
14 ans arrivés de nos premiers poils pubiens qu’elle adore compter tous les soirs pour voir combien de plus ont poussé dans la journée.
15 et 16, rien à signalé à part sa poitrine qui me fait bander chaque fois que je pose la vue dessus ou que ma main dans la nuit prend un sein sans le faire exprès.
Ce que j’apprécie aussi, c’est la cambrure de ses reins lorsque la fenêtre la nuit est ouverte et que la lune éclaire notre chambre comme en plein jour.
Bien sûr, l’année de nos 16 ans est celle de notre bac que nous passons avec mention très bien nous ouvrant la première année de fac pour devenir kiné. Après nos trois années de cours, nous obtenons notre diplôme à l’âge de 19 ans approchant les 20 ans.
L’année de nos vingt ans est l’année où nous avons le malheur de perdre celle qui avait si bien remplacé nos parents. Pour autant, nos nuits nous laissent dans un état de plus en plus impossible à supporter.
Si l’on interroge Noémi, c’est moi qui ai franchi le mauvais pas entre nous.
Alors que je me souviens du jour de nos vingt ans où je me suis réveillé ma sœur ayant franchi ce pas.
Elle avait mis ma verge au fond de sa grotte.
Bref, l’alcool avait enlevé nos dernières barrières et nous étions devenus des amants.
Amant la nuit, frère et sœur, jumeau, jumelle dans notre salle de kinésithérapeute que nous avions ouverte dans notre ville le jour.
Nous avons vécu ainsi pendant cinq ans alors que personne ne semblait trouver anormale que nous vivions ensemble alors que nous travaillions ensemble.
Noémi et moi étions de merveilleux amants. Elle adorait que je la prenne en levrette et un soir où je l’explorais dans cette position, elle m’a fait sortir la verge pour la placer sur sa petite rosette. Il y avait des semaines que j’espérais sonder sous rectum. Je ne me suis pas fait prier de m’enfoncer en elle et à la perforer rapidement avec de grands coups de sexe qu’elle acceptait en me remerciant de l’avoir prise comme une petite chienne.
N’oublions pas que le diamètre que je lui enfonçais a dû écarter ses chaires pour la distendre. J’espère qu’elle n’en sortira pas estropiée.
Son corps est assez souple pour que, lorsque je mets ma langue pour lui faire une feuille de rose, j’ai du mal à la faire entrer après le premier centimètre.
Du premier jour à ce jour, chaque fois que Noémi a eu ma verge en elle toutes les fois, elle a eu un orgasme. Chaque fois qu’elle a un orgasme, elle me dit que je suis le plus merveilleux amant qu’elle aurait pu espérer avoir et qu’elle me serait fidèle jusqu’à notre mort.
Si elle aime ma queue en elle de chaque côté de son corps, ce que j’aime beaucoup, c’est lorsque sa bouche insatiable vient me relancer pour que je lui donne une nouvelle rasade de mon sperme. Mes belles boules à la hauteur de ma verge en fabriquent autant qu’elle en veut.
Au moins une fois par moi pendant la période de la petite culotte son plaisir est de se faire remplir la bouche un maximum de fois jusqu’au moment où plus une goutte ne sort de mon pieu.
Nous sommes de plus en plus amoureux de nos corps mais aussi de nos cœurs.
L’idée folle de Noémi est que l’un ou l’autre arrive à changer de nom pour que l’on puisse se marier.
C’est un de nos clients ayant une réputation sulfureuse qui lui a fait penser.
Ce qui me décide d’accepter trop comptant de devenir son mari, c’est le jour où elle m’a offert la première petite paire de chaussons taille bébé.
Toutes nos économies y sont passées mais j’ai en main devant moi la panoplie complète des papiers lui donnant une nouvelle identité, notre fournisseur a poussé le vice jusqu’à lui faire une carte de membre du club de jogging de la ville avec la dernière photo que je lui avais donnée sur laquelle elle portait une grosse paire de lunettes et sa perruque de pute.
Le plus beau c’est que c’est moi qui ai choisi, comment elle allait s’appeler gardant son prénom que j’adorais.
Le jour de sa nouvelle identité, elle m’a joué le jeu de la femme trompant son mari. Le temps d’une nuit, j’ai été son amant avec qui elle a eu plaisir à faire tout ce que son mari refuse de faire avec elle.
Je n’ai pas trouvé un iota de changement mais puisque pour elle cela lui plaît, je ne l’ai pas détrompé.
Pendant notre mois de vacances, je suis resté à me morfonde chez nous sous couvert que je ne pouvais pas fermer notre cabinet alors qu’elle partait pour un mois en Espagne avec une copine qui s’est facilement fait berner lorsque Noémi lui a fait croire qu’elle avait eu des rapports avec un bel Andalou.
À son retour dans notre ville la nouvelle s’est répandu comme une trainée de poudre que Noémi que tout le monde croyait peu porté sur le sexe s’était laissé séduire pendant ses vacances.
Quant à moi Noémi ne souhaitait pas que je passe pour un impuissant et deux à trois fois par an, je retrouvais dans un bar louche où je savais pouvoir trouver des clients de notre cabinet pouvant certifier qu’ils m’avaient vu partir après avoir baratiné la jolie noire que chacun avait bavé depuis qu’elle était entrée.
Le plus drôle c’était de badigeonner de la tête aux pieds Noémi avec de la teinture brune et le moment ou elle mettait sa perruque après avoir enfilé ses vêtements de pute que nous avions été achetées à Paris dans un sexe chop.
C’est soir là, c’est dans un sous-bois à côté de vraie professionnelle que je la conduisais pour la prendre sauvagement le long d’un arbre. J’avais le plaisir de la soigner tellement, elle frottait ses seins que j’avais dénudés le long du tronc.
La deuxième fois où nous l’avons fait, à quelques secondes prêtes nous avons évité les policiers venus faire une rafle des filles présentes pour mettre à jour leur fiche de gagneuse.
Un jour nous avons disparu de cette ville où le frère et la sœur étaient très connus.
C’est au Brésil où nous nous sommes installés et où nous avons très bien réussi avec notre centre de kinésithérapie donnant sur la plage de Copacabana.
Deux mois avant la naissance de notre fils, j’épousais Noémi.
Notre fils aîné est noir comme moi et en a une belle paire.
Depuis nous avons vécu une vie enchanteresse sans aucune ombre entre nous avec nos trois enfants, notre aîné a été rejoint par nos jumeau et jumelle.
Ma fille est née la première et à tout pris de son père par la couleur et mon fils couleur de sa mère avec heureusement pour lui le même sexe développé familial.
Rapidement après la naissance des jumeaux, nous nous sommes renseigné pour que dès l’âge de leur premier émoi, chacun soit éduqué dans une institution de haute qualité bien séparée entre les garçons et les filles. Nous avons trouvé. Chacun suivra sa scolarité à chaque bout de la plage de Copacabana et pendant les week-ends et les vacances notre appartement sur deux étages à une chambre pour la fille à côté de nous et les deux garçons à l’étage.
C’est très beau une famille heureuse…

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