Initiation militaire. 10. Visite surprise au camp militaire.
Récit érotique écrit par Passud [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 06-03-2023 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Initiation militaire. 10. Visite surprise au camp militaire.
Le sexe entre hommes est presque devenu routinier, mais je prend de plus en plus de plaisir anal.
Un camarade de chambre m'a questionné sur le nombre important de visites de militaires que je reçois dans mon atelier.
Par chance, mes vitres sont couvertes de poussières, et parfois je les couvre de couvertures.
Mais ils ont aussi à faire et ils n'osent pas venir espionner ce que l'on fait.
Un jour, un sergent est sorti avec la ceinture encore défaite, et la braguette ouverte, mais comme il est allé uriner ensuite contre le talus, cela n'a pas éveillé de soupçon.
Cette anecdote date des dernières semaines de mon passage au camp.
Il était 9h30 environ.
J'entends frapper à ma porte, j'ouvre et vois deux militaires, dont un légionnaire.
Je crois d'abord à une demande de renseignements, mais le militaire me dit:
"On vient de la part du lieutenant ...".
Comme il parle de mon amant, je suis toujours troublé, c'est pour du sexe ou pour autre chose ?
"Oui, mais, à quel sujet ? Sergent chef !".
"On cherche gueule d'ange !".
Complètement tétanisé, je comprends qu'ils sont là pour baiser.
Je dois donc assumer mon statut de salope.
"Euh, c'est... c'est moi !".
Celui qui parle bien Français me dit alors:
"Ca m'étonne pas ! T'es super mignon ! Alors comme ça, tu ne dis jamais non !".
Je ferme la porte à clefs, puis je me retourne en disant:
"Jamais!".
"Joli petit garçon !". Dit l'autre avec un accent nordique.
C'est lui qui ouvre sa braguette en premier pour arborer une queue superbe avec une déformation à 5 cm de la base de son gland, il est plus large à cet endroit, cela ressemble à un gros kyste.
L'autre me présente lui aussi son sexe, plus conventionnel, mais large et très veiné, ce que j'adore aussi !
Ils m'entrainent au centre de mon atelier pour me placer devant leurs bites en érection.
Ils profitent longuement de ma bouche chaude et humide.
Nos jeux vont de la fellation goulue aux gorges profondes, leurs bites sont recouvertes de salive.
Ce spectacle m'excite énormément malgré le désagréable étouffement que cela provoque quand ils essaient de me pénétrer le fond de la gorge.
Le légionnaire, que je pense Hollandais d'origine me dit:
"Je veux baiser ! Maintenant !".
Je me redresse et baisse mon pantalon qui tombe sur mes pieds.
Il a raison, moi aussi, je veux baiser !
"Beau cul ! Gueule d'ange !". Ajoute t'il.
"C'est vrai !" Dit l'autre et il enchérit:
"Alors comme ça, t'es une vraie salope, et plus c'est gros, plus tu couines !".
"C'est ce qu'on dit ! A vous de voir !".
Il me couche sur mon établi en m'enfonçant sa bite dans la gorge en disant:
"On va tester ça !".
Le légionnaire crache sur mon anus, il s'approche pour appuyer avec son gland en poussant fermement.
Il parle un peu français, et me dit:
"Humm, très beau cul ! J'ai envie de baiser ton cul, profond !".
"Vas-y, te gêne pas, il aime surement ça, cette salope ! Pas vrai, Gueule d'ange ?" Ajoute son copain.
"Mmmm, grllllppp ! Mm..oui, il peut ! Mais il est gros !".
Son gland commence déjà à écarteler mon œillet, il lui faut plusieurs petites poussées qui l'aident à se lubrifier et ainsi, il me pénètre doucement enfin.
Je gémis comme toujours en recevant l'extrémité de sa queue dans mon cul, pendant que son pote me baise la gorge, puis se fait lécher la bite avec vice.
Le légionnaire pousse plus fort et sa protubérance passe, elle aussi dans mon anus.
Sa déformation m'écartèle délicieusement, elle décuple mes sensations anales.
Il entame tout de suite des assauts ravageurs.
"Arhhhhhhhhhhh ! C'est génial ! Elle est bonne sa queue ! Arhhhhhhhhhhhh ! Il m'encule bien !".
Après cinq longues minutes où j'ai déjà connu un orgasme, ils changent de rôles.
Je suce le légionnaire, couvert de mes muqueuse anales en prenant un deuxième orgasme avec le militaire Français.
"Putain ! Tu mérites ta réputation ! J'adore t'enculer salope !".
"Arhhhhhh ! Encore ! Défoncez-moi ! Sergent-Chef !".
"Humm ! Trés bon ! Gueule d'ange !" Dit le Hollandais.
Après le même laps de temps, le Sergent-Chef qui m'encule arrête pour ne pas jouir trop vite en moi.
Il vient jouer avec ma bouche avec son copain.
Le légionnaire retourne derrière moi et me sodomise plus lentement.
Son gonflement me fait jouir plus vite encore une fois, tout en cognant au fond de mon cul avec son gland.
J'ai les testicules couverts de sécrétions anales qui coulent au sol.
Ils changent à nouveau plusieurs fois, ils me baisent pendant près d'une heure.
Dans ces moments là, je me surprend a aimer jouer au petit pédé, j'aime trop le plaisir anal.
Le Sergent-Chef sort de mon cul pour éjaculer fortement entre mes lèvres.
Le légionnaire admire le spectacle de ma bouche remplie de sperme, et apprécie de me voir tout avaler.
"Hummm, très beau !".
Il me pose sur le dos, sur ma caisse, celle ou j'ai connu mon orgie avec le groupe de militaires.
Et il reprend son cassage de cul avec puissance.
Son copain se fait lécher la bite encore un peu, pendant qu'il me détruit l'anus.
Le gonflement de sa queue sollicite ma prostate, je joui analement, plusieurs fois d'affilée.
Puis mon sexe se met à gonfler, instinctivement, je pose ma main dessus pour me caresser pendant qu'il se déchaine en moi.
Je n'ai pas le temps de bander au maximum, que mon sperme s'écoule au rythme de ses assauts.
Je subis deux plaisirs simultanés, anal et pénien, je crie mon double orgasme, il me couvre la bouche et m'encule toujours à fond.
Je dois encaisser ses coups de queues encore très longtemps avant qu'il annonce son plaisir lui aussi.
Il s'approche de ma gorge et s'y déverse lui aussi, comme son copain.
Son foutre est brulant et très fort en goût, j'avale tout en bonne salope excitée que je suis.
Puis il se fait lécher longuement le gland avant de ranger sa queue.
"Merci ! Tu es une bonne salope !".
"Merci !".
"Bon, on doit y aller Hans ! Merci, Gueule d'ange ! On revient dès qu'on peut, ça valait le coup !".
Ils ne savaient surement pas que je vivais mes dernières semaines au camp militaire !
J'ai vu ensuite le lieutenant qui voulait que je le suce en lui racontant leur venue, il aimait m'envoyer des hommes et me faire raconter ensuite ce qu'ils m'avaient fait.
J'y avais pris gout, moi aussi ! J'ai donc eu ma troisième dose de sperme de la journée.
J'ai eu toutes les difficultés du monde à me passer de cette relation par la suite.
Je me souviens que j'ai appelé mon amant 3 mois après ma sortie.
Il m'a demandé si j'avais eu des rapports avec des filles.
"Oui, avec ma fiancée, mais c'est pas comme avec vous, je l'aime, c'est pas du sexe !".
"Et ça ne te manque pas ?".
"Si, ce plaisir me manque ! Vous aussi, vous me manquez ! Mais j'essaie de ne pas y penser ! Peut être que je n'aurai pas du me laisser faire quand vous m'avez enculé la première fois ! C'est devenue une drogue !".
"Ne me dis pas que tu regrettes ! Tu prenais plus de plaisir que nous ! N'oublies pas que tu as commencé en te baisant avec des objets depuis ton enfance ! Tu as développé toi même tes aptitudes au sexe anal !".
"Je sais ! Mais je sais plus ce que je suis !".
"Tu ne penses pas que, même si on ne s'était pas rencontrés, tu aurais fatalement remplacé les objets par de vraies queues ?".
"Oui, je crois que vous avez raison ! C'est logique !".
"Alors, pourquoi ce retour en arrière ?".
"Je l'aime, mais les hommes me manquent, et je ne veux pas la tromper !".
"Tu vas devoir le faire et vivre avec ce secret ! Gueule d'ange ! Tu es fait pour les vicieux comme moi ! Si j'étais près de toi, je suis sûr que tu me demanderais de te baiser encore !".
"Euh... Oui, j'avoue ! Si seulement vous étiez là ! J'aimerai que vous m'enculiez encore !".
"Putain, Pascal, tu me donnes envie de venir te casser le cul ! Va au cinéma porno ou cherches les numéros de mes potes civils, ils vont surement venir te chercher pour te baiser, et puis je sais qu'un jour, on se reverra !".
"Merci mon lieutenant ! Mais vous devez comprendre qu'avec tout ce que j'ai vécu avec vous, et que tout ça s'arrête d'un coup, ça m'a fait un choc ! Je pense toujours à vous ! Je vous aime encore, je crois !".
"Moi aussi ! J'ai du mal à t'oublier ! Contactes mes potes, ça va te faire du bien, mais tu sais que tu me manques aussi ! C'est pas simple de te remplacer ! Mais avec toutes les queues que tu as sucé et pris dans le cul, et avec la gourmandise que tu avais en avalant leurs spermes. Je ne te crois pas quand tu dis que tu regrettes !".
"Oui, vous avez raison, j'ai trop adoré ça, il faut que je m'accepte comme je suis, mais c'est pas simple !".
"Tu vas y arriver, Je t'aime Pascal ! Je te fais confiance pour la suite".
"Moi aussi ! Mon lieutenant ! Merci !".
J'ai écouté ses conseils, un complice de nos orgies a sauté sur l'occasion de me baiser à nouveau et m'a emmené chez lui pour m'enculer toute une soirée. Devant le plaisir retrouvé, j'ai eu la confirmation que je ne pouvais plus me passer de ce vice.
Comme je vivais encore chez mes parents, ce n'était pas simple de vivre cette double vie, mais une fois par mois, on se rencontrait pour baiser.
Il a invité quelques amis lors d'après-midis débridés, plusieurs fois, dont des militaires et j'ai retrouvé le lieutenant à deux reprises.
Ma famille me trouvait toujours bizarre quand je revenais de ces séances de défonces anales et buccales.
Comment leur avouer qu'au lieu de sorties entre jeunes, j'offrais mon corps à des hommes beaucoup plus âgés que moi.
Je me rendais aussi assez souvent au cinéma porno, mais peu d'hommes étaient assez endurants pour calmer mes besoins.
Puis j'ai pris mon appartement et j'ai enfin pu recevoir des hommes que je rencontrais dans des lieux chauds lorsqu'ils voulaient passer plus de temps avec moi.
Je découvrirai le petit bois du bord de mer, beaucoup mieux fréquenté et plus épanouissant, pour moi.
Puis le Sex-Shop XXL ouvre ses portes et comble lui aussi mes désirs pervers.
Mais si j'ai aimé cette période de dépravation, avec tous ces amants éphémères, je n'ai jamais été aussi épanoui qu'à l'armée.
J'ai eu la chance d'entrer dans un milieu fermé, d'une grosse trentaine d'hommes, ou chacun trouvait son intérêt sexuel.
Un camarade de chambre m'a questionné sur le nombre important de visites de militaires que je reçois dans mon atelier.
Par chance, mes vitres sont couvertes de poussières, et parfois je les couvre de couvertures.
Mais ils ont aussi à faire et ils n'osent pas venir espionner ce que l'on fait.
Un jour, un sergent est sorti avec la ceinture encore défaite, et la braguette ouverte, mais comme il est allé uriner ensuite contre le talus, cela n'a pas éveillé de soupçon.
Cette anecdote date des dernières semaines de mon passage au camp.
Il était 9h30 environ.
J'entends frapper à ma porte, j'ouvre et vois deux militaires, dont un légionnaire.
Je crois d'abord à une demande de renseignements, mais le militaire me dit:
"On vient de la part du lieutenant ...".
Comme il parle de mon amant, je suis toujours troublé, c'est pour du sexe ou pour autre chose ?
"Oui, mais, à quel sujet ? Sergent chef !".
"On cherche gueule d'ange !".
Complètement tétanisé, je comprends qu'ils sont là pour baiser.
Je dois donc assumer mon statut de salope.
"Euh, c'est... c'est moi !".
Celui qui parle bien Français me dit alors:
"Ca m'étonne pas ! T'es super mignon ! Alors comme ça, tu ne dis jamais non !".
Je ferme la porte à clefs, puis je me retourne en disant:
"Jamais!".
"Joli petit garçon !". Dit l'autre avec un accent nordique.
C'est lui qui ouvre sa braguette en premier pour arborer une queue superbe avec une déformation à 5 cm de la base de son gland, il est plus large à cet endroit, cela ressemble à un gros kyste.
L'autre me présente lui aussi son sexe, plus conventionnel, mais large et très veiné, ce que j'adore aussi !
Ils m'entrainent au centre de mon atelier pour me placer devant leurs bites en érection.
Ils profitent longuement de ma bouche chaude et humide.
Nos jeux vont de la fellation goulue aux gorges profondes, leurs bites sont recouvertes de salive.
Ce spectacle m'excite énormément malgré le désagréable étouffement que cela provoque quand ils essaient de me pénétrer le fond de la gorge.
Le légionnaire, que je pense Hollandais d'origine me dit:
"Je veux baiser ! Maintenant !".
Je me redresse et baisse mon pantalon qui tombe sur mes pieds.
Il a raison, moi aussi, je veux baiser !
"Beau cul ! Gueule d'ange !". Ajoute t'il.
"C'est vrai !" Dit l'autre et il enchérit:
"Alors comme ça, t'es une vraie salope, et plus c'est gros, plus tu couines !".
"C'est ce qu'on dit ! A vous de voir !".
Il me couche sur mon établi en m'enfonçant sa bite dans la gorge en disant:
"On va tester ça !".
Le légionnaire crache sur mon anus, il s'approche pour appuyer avec son gland en poussant fermement.
Il parle un peu français, et me dit:
"Humm, très beau cul ! J'ai envie de baiser ton cul, profond !".
"Vas-y, te gêne pas, il aime surement ça, cette salope ! Pas vrai, Gueule d'ange ?" Ajoute son copain.
"Mmmm, grllllppp ! Mm..oui, il peut ! Mais il est gros !".
Son gland commence déjà à écarteler mon œillet, il lui faut plusieurs petites poussées qui l'aident à se lubrifier et ainsi, il me pénètre doucement enfin.
Je gémis comme toujours en recevant l'extrémité de sa queue dans mon cul, pendant que son pote me baise la gorge, puis se fait lécher la bite avec vice.
Le légionnaire pousse plus fort et sa protubérance passe, elle aussi dans mon anus.
Sa déformation m'écartèle délicieusement, elle décuple mes sensations anales.
Il entame tout de suite des assauts ravageurs.
"Arhhhhhhhhhhh ! C'est génial ! Elle est bonne sa queue ! Arhhhhhhhhhhhh ! Il m'encule bien !".
Après cinq longues minutes où j'ai déjà connu un orgasme, ils changent de rôles.
Je suce le légionnaire, couvert de mes muqueuse anales en prenant un deuxième orgasme avec le militaire Français.
"Putain ! Tu mérites ta réputation ! J'adore t'enculer salope !".
"Arhhhhhh ! Encore ! Défoncez-moi ! Sergent-Chef !".
"Humm ! Trés bon ! Gueule d'ange !" Dit le Hollandais.
Après le même laps de temps, le Sergent-Chef qui m'encule arrête pour ne pas jouir trop vite en moi.
Il vient jouer avec ma bouche avec son copain.
Le légionnaire retourne derrière moi et me sodomise plus lentement.
Son gonflement me fait jouir plus vite encore une fois, tout en cognant au fond de mon cul avec son gland.
J'ai les testicules couverts de sécrétions anales qui coulent au sol.
Ils changent à nouveau plusieurs fois, ils me baisent pendant près d'une heure.
Dans ces moments là, je me surprend a aimer jouer au petit pédé, j'aime trop le plaisir anal.
Le Sergent-Chef sort de mon cul pour éjaculer fortement entre mes lèvres.
Le légionnaire admire le spectacle de ma bouche remplie de sperme, et apprécie de me voir tout avaler.
"Hummm, très beau !".
Il me pose sur le dos, sur ma caisse, celle ou j'ai connu mon orgie avec le groupe de militaires.
Et il reprend son cassage de cul avec puissance.
Son copain se fait lécher la bite encore un peu, pendant qu'il me détruit l'anus.
Le gonflement de sa queue sollicite ma prostate, je joui analement, plusieurs fois d'affilée.
Puis mon sexe se met à gonfler, instinctivement, je pose ma main dessus pour me caresser pendant qu'il se déchaine en moi.
Je n'ai pas le temps de bander au maximum, que mon sperme s'écoule au rythme de ses assauts.
Je subis deux plaisirs simultanés, anal et pénien, je crie mon double orgasme, il me couvre la bouche et m'encule toujours à fond.
Je dois encaisser ses coups de queues encore très longtemps avant qu'il annonce son plaisir lui aussi.
Il s'approche de ma gorge et s'y déverse lui aussi, comme son copain.
Son foutre est brulant et très fort en goût, j'avale tout en bonne salope excitée que je suis.
Puis il se fait lécher longuement le gland avant de ranger sa queue.
"Merci ! Tu es une bonne salope !".
"Merci !".
"Bon, on doit y aller Hans ! Merci, Gueule d'ange ! On revient dès qu'on peut, ça valait le coup !".
Ils ne savaient surement pas que je vivais mes dernières semaines au camp militaire !
J'ai vu ensuite le lieutenant qui voulait que je le suce en lui racontant leur venue, il aimait m'envoyer des hommes et me faire raconter ensuite ce qu'ils m'avaient fait.
J'y avais pris gout, moi aussi ! J'ai donc eu ma troisième dose de sperme de la journée.
J'ai eu toutes les difficultés du monde à me passer de cette relation par la suite.
Je me souviens que j'ai appelé mon amant 3 mois après ma sortie.
Il m'a demandé si j'avais eu des rapports avec des filles.
"Oui, avec ma fiancée, mais c'est pas comme avec vous, je l'aime, c'est pas du sexe !".
"Et ça ne te manque pas ?".
"Si, ce plaisir me manque ! Vous aussi, vous me manquez ! Mais j'essaie de ne pas y penser ! Peut être que je n'aurai pas du me laisser faire quand vous m'avez enculé la première fois ! C'est devenue une drogue !".
"Ne me dis pas que tu regrettes ! Tu prenais plus de plaisir que nous ! N'oublies pas que tu as commencé en te baisant avec des objets depuis ton enfance ! Tu as développé toi même tes aptitudes au sexe anal !".
"Je sais ! Mais je sais plus ce que je suis !".
"Tu ne penses pas que, même si on ne s'était pas rencontrés, tu aurais fatalement remplacé les objets par de vraies queues ?".
"Oui, je crois que vous avez raison ! C'est logique !".
"Alors, pourquoi ce retour en arrière ?".
"Je l'aime, mais les hommes me manquent, et je ne veux pas la tromper !".
"Tu vas devoir le faire et vivre avec ce secret ! Gueule d'ange ! Tu es fait pour les vicieux comme moi ! Si j'étais près de toi, je suis sûr que tu me demanderais de te baiser encore !".
"Euh... Oui, j'avoue ! Si seulement vous étiez là ! J'aimerai que vous m'enculiez encore !".
"Putain, Pascal, tu me donnes envie de venir te casser le cul ! Va au cinéma porno ou cherches les numéros de mes potes civils, ils vont surement venir te chercher pour te baiser, et puis je sais qu'un jour, on se reverra !".
"Merci mon lieutenant ! Mais vous devez comprendre qu'avec tout ce que j'ai vécu avec vous, et que tout ça s'arrête d'un coup, ça m'a fait un choc ! Je pense toujours à vous ! Je vous aime encore, je crois !".
"Moi aussi ! J'ai du mal à t'oublier ! Contactes mes potes, ça va te faire du bien, mais tu sais que tu me manques aussi ! C'est pas simple de te remplacer ! Mais avec toutes les queues que tu as sucé et pris dans le cul, et avec la gourmandise que tu avais en avalant leurs spermes. Je ne te crois pas quand tu dis que tu regrettes !".
"Oui, vous avez raison, j'ai trop adoré ça, il faut que je m'accepte comme je suis, mais c'est pas simple !".
"Tu vas y arriver, Je t'aime Pascal ! Je te fais confiance pour la suite".
"Moi aussi ! Mon lieutenant ! Merci !".
J'ai écouté ses conseils, un complice de nos orgies a sauté sur l'occasion de me baiser à nouveau et m'a emmené chez lui pour m'enculer toute une soirée. Devant le plaisir retrouvé, j'ai eu la confirmation que je ne pouvais plus me passer de ce vice.
Comme je vivais encore chez mes parents, ce n'était pas simple de vivre cette double vie, mais une fois par mois, on se rencontrait pour baiser.
Il a invité quelques amis lors d'après-midis débridés, plusieurs fois, dont des militaires et j'ai retrouvé le lieutenant à deux reprises.
Ma famille me trouvait toujours bizarre quand je revenais de ces séances de défonces anales et buccales.
Comment leur avouer qu'au lieu de sorties entre jeunes, j'offrais mon corps à des hommes beaucoup plus âgés que moi.
Je me rendais aussi assez souvent au cinéma porno, mais peu d'hommes étaient assez endurants pour calmer mes besoins.
Puis j'ai pris mon appartement et j'ai enfin pu recevoir des hommes que je rencontrais dans des lieux chauds lorsqu'ils voulaient passer plus de temps avec moi.
Je découvrirai le petit bois du bord de mer, beaucoup mieux fréquenté et plus épanouissant, pour moi.
Puis le Sex-Shop XXL ouvre ses portes et comble lui aussi mes désirs pervers.
Mais si j'ai aimé cette période de dépravation, avec tous ces amants éphémères, je n'ai jamais été aussi épanoui qu'à l'armée.
J'ai eu la chance d'entrer dans un milieu fermé, d'une grosse trentaine d'hommes, ou chacun trouvait son intérêt sexuel.
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