Initiation militaire. 11 . Après le concours de tir. - histoire érotique

Mon adjudant-chef avait organisé un concours de tir entre les "hommes du rang" dont je faisais partie et les moniteurs de tir.
J'étais assez fier de moi, j'avais battu la plupart des moniteurs, malgré mon manque de pratique.
Mais cela a donné l'idée à mon amant de réitérer avec des sous-officiers et les meilleurs du centre de tir.
J'ai donc été sélectionné, avec les meilleurs moniteurs.

Le concours se passe dans la bonne humeur, je m'en suis assez bien sorti, encore une fois.
Mais la présence de mon amant et de quelques militaires qui me baisent, me trouble.
J'ai été gagné par le désir toute l'après midi.

Puis le lieutenant donne un ordre:
Sergent... vous pouvez rentrer avec S..., R... et B..., Ah ! Vous ramenez le soldat... à son atelier !
Il vient de prononcer mon nom, et le prononce encore.
"Soldat...., vous m'attendrez, il faut que je vous vois !".
"Oui, Mon lieutenant !".

Je suis les militaires, et grimpe dans la jeep.
Je ne suis pas dupe, je sais que je vais encore me faire baiser, ce sont tous des amants réguliers, sauf un militaire de passage, d'une autre base, très grand et imposant, qui m'excite beaucoup.

Comme je le pensais, on bifurque sur un chemin et on s'arrête près d'un gros fourré qui rend possible, ce qu'ils veulent me faire.
Très vite, je suis pénétré dans la gorge par tous leurs sexe, caché derrière l'énorme tas d'arbustes.

Le sergent m'encule en premier, je prend plusieurs orgasmes.
Il éjacule longuement dans mon cul, puis se rapproche de la jeep, pendant qu'un autre militaire prend sa place.

Il s'arrête et propose mon cul au grand militaire, dont la queue me fait très envie.
Il bouge lentement en moi, puis on entend un bruit de véhicule.

Les deux autres rangent leurs sexes, et l'un d'eux rejoint le sergent, près de la jeep.
Le véhicule s'arrête, un gradé demande ce que l'on fait là.
Le grand militaire a laissé sa bite dans mon cul et m'a poussé dans le fourré.
Je suis trop enfoncé pour être vu.
L'autre se cache près de moi.
"Vous faites quoi ? Sergent !".
"Euh, on avait une grosse envie, mon capitaine !".
Il bouge lentement, excité par la situation, en forçant le fond de mon anus avec son gros gland.
J'ai du mal à retenir mon plaisir.
Le temps passe et le gradé met du temps à quitter l'endroit.
"Vous avez pas encore fini ?". Demande le gradé.

Le grand militaire exerce une pression sur mes hanches pour s'enfoncer encore, puis il annonce:
"Ca s'arrête plus mon capitaine ! Mais ça fait du bien !".
Il recule et branle son gros gland contre mon œillet encore pollué du sperme du sergent.
L'autre ajoute à voix basse:
"Putain mec ! Tu lui casses le cul !".
"Ouais, c'est trop bon ! Mais du coup, j'ai envie de pisser !".

Il prend ma main et la pose sur sa bite pour lui tenir pendant qu'il se soulage.
Je sens son flux couler longuement et la chaleur de sa queue sous mes doigts, il m'excite encore davantage.
J'ajoute:
"Putain, qu'il se dépêche de partir ! Je veux jouir !".
"Moi aussi ! Secoues-moi bien, et remets la dans ton petit trou !".
Je me baisse à l'équerre pour me planter sur la bite de ce nouvel amant.
Le bruit du véhicule nous annonce qu'on est enfin tranquille.
L'homme me défonce alors sans retenue, je peux enfin crier mon orgasme.
Le sergent crie:
"Bon, on va ailleurs, c'est pas assez discret ici ! On va le défoncer ailleurs !".
Dans la jeep, je ressens un manque dans mon anus, il faut que je jouisse encore, je suis surexcité !
Les regards vicieux de mes complices, augmentent mon désir de les satisfaire.

On trouve un petit bois tranquille, le grand militaire me tient par l'arrière, sous les épaules, pendant qu'un autre se place face à moi, en me soulevant les cuisses pour les écarter et m'enculer comme une salope pendant dix minutes.
Il éjacule en vociférant des insultes à mon égard.

Puis il permet à l'autre militaire de prendre sa place, dans la même position.
Sa belle bite fait des bruits de flaque en frappant contre mon anus qui rejette le foutre du précédent.
Je vis un énième orgasme anal, tenu en l'air par les deux hommes, défoncé comme une légère et vulgaire poupée gonflable.
Leurs commentaires salaces sur mon trou, plein de sperme coulant sur la terre sèche, me rendent dingue de perversité.
Il ajoute sa semence à celle du précédent.
Puis il me repose au sol, le grand militaire me tourne alors et me porte par le dessous des fesses.
Je m'accroche à ses épaules pendant qu'il s'enfonce en moi, les cuisses autour de sa taille.
"Hummm, j'adore enculer des petites putes comme toi ! T'es léger, ma petite salope !".
"Arhhhhhhhhh ! Tu me défonces salaud !".
"On est là pour ça non ? Tu vois comme ça rentre tout seul ? t'es un vrai trou à bites !".
"Arhhhhhhhh ! Oui, Arhhhhhhhhhh !".
Je vois que le sergent se masturbe à nos cotés, il reprend de la vigueur.
Je me fais éclater l'anus ainsi pendant un long quart d'heure, puis l'homme me pose contre le capot de la jeep et m'encule en levrette pendant que le sergent me baise la bouche.
"Sergent, vous me dites quand vous êtes prêt !".
"Oh, oui, t'inquiètes pas!".
Moins de cinq minutes plus tard, il annonce:
"Maintenant ! Vite !".
Ils se placent tous les deux au dessus de mon visage et m'ouvrent la bouche afin d'y déverser leurs éjaculations simultanément.
Le grand crie:
"ALLEZ ! AVALES SALOOOOOOPE ! ARHHHHHHHHHHH !".
Puis ses gémissements se confondent avec ceux du sergent, pendant que j'ingurgite en nombreux avalements, leurs spermes mélangés.
"Oh, putain, quelle chienne, votre petit copain ! Vous direz merci de ma part au lieutenant !".
Je déglutine plusieurs fois pour retrouver un gout naturel dans ma bouche, en les regardant se remettre en ordre.
Ils prennent plaisir à m'observer pendant que je recouvre mon cul et arrange ma tenue, puis ils me déposent à mon atelier.

En poussant la porte, on voit que mon amant est déjà là.
"Vous en avez mis du temps !".
Le sergent lui réponds:
"On a été dérangé par le capitaine, mon lieutenant ! On a du bouger ! Mais il vous racontera, on vous laisse !".
Ils disparaissent.
"Tu m'expliques ? Ils t'ont bien baisé ?".
"Oui, mon lieutenant ! Merci !".
Il ouvre sa braguette, et arbore sa grosse bite en érection.
"Bon, tu vas me sucer en me racontant ce que vous avez fait, comme d'habitude !".
Je lui fais partager tout le plaisir pervers que j'ai vécu jusqu'à son déversement dans ma gorge, sous ses insultes.
Il me fait savoir que je suis sa petite salope, et que je devrai continuer à satisfaire tous ses amis.
"Tu sais que tu m'appartiens ?".
"Oui, mon lieutenant ! Et j'aime ça !".