Initiation militaire. 5
Récit érotique écrit par Passud [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-01-2023 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Initiation militaire. 5
Le lieutenant, mon premier amant adoré, complotait quelque chose dans mon dos.
Malgré toutes mes barrières d'hétéro, je me laissais de plus en plus aller à me sentir femelle dans ses bras, et sous ses nombreuses saillies anales.
Je n'avais plus besoin de me masturber l'anus en rentrant chez moi, c'était devenu décevant et moins jouissif qu'une vraie sodomie avec mon amant ou ses amis de sexe.
Comme je l'ai déjà écrit, cet amour du sexe entre hommes qui s'imposait à moi, me faisait craindre que je choisisse cette sexualité au détriment de mon attirance pour les filles.
Aujourd'hui, je comprends que j'étais jeune et plein de questionnements inutiles, on peut très bien vivre deux sexualités.
Il suffit de se débarrasser de tous nos scrupules d'éducation catho, surtout que je suis athée et ce que je fais avec ma queue ou mon cul ne regarde personne.
Je pense être quelqu'un de gentil et sympa, ce n'est pas la religion qui fait l'homme, c'est son impact sur les gens qu'il côtoie.
J'ai essayé d'être le meilleur possible, parce que j'aime être aimé, tout simplement.
Si vous êtes un connard, ne vous plaignez pas qu'on vous fuient !
Mais revenons à notre histoire.
Après un rapport anal particulièrement intense dans notre orgasme commun, mon amant me surprend en m'annonçant:
"Si je te donne une très longue permission, tu es obligé de rentrer chez toi ?".
"Euh, je comprends pas votre question, mon lieutenant ! J'irai ou sinon ?".
"Chez moi ! Je vais être en vacances dans deux semaines, j'ai envie de passer plus de temps avec toi !".
A ce moment, je ne sais pas, s'il se rend compte que cette proposition me touche profondément, et me trouble en même temps.
C'est la première fois que je suis envahi de sentiments contradictoires, je comprends que malgré mes efforts, je suis tombé amoureux d'un homme, mes yeux qui s'humidifient me le prouvent.
Non, je ne peux pas ! Je veux aimer une fille ! Mais je chasse mes contradictions intérieures en me jetant dans ses bras pour lui cacher mes larmes.
Il me blottit lui aussi, ses mains deviennent caressantes et sensuelles, j'aime me laisser aller à ma féminité évidente dans son étreinte.
Il relève mon visage et m'embrasse tendrement.
"Je devrai pas te le dire, mais avec toi, c'est différent des autres garçons que j'ai connu ! C'est plus fort !".
"Merci, mon lieutenant ! Je sais plus ou j'en suis à cause de vous ! J'aime trop notre relation, mais elle me fait peur aussi !".
"Arrêtes avec tes questions, vis au jour le jour, c'est que du bonheur et du plaisir !".
"Vous avez raison, mais c'est dur de chasser toutes les valeurs qu'on nous inculque !".
"Je sais, mais si tu y arrive, tu seras beaucoup plus heureux et ta vie sera plus riche ! Donc si j'ai bien compris, tu viens à la maison !".
"Oui, mon lieutenant, je dirai à mes parents que je suis coincé, je ne peux pas être en perm tous les Week-ends ! Mais ça ne vous gêne pas de me nourrir pendant ce temps !".
"Ca vaut bien tout le plaisir que tu vas me donner ! Sans compter celui que j'ai déjà pris ! Ohh, mon petit Pascal, je suis trop content !".
Nos bouches se retrouvent encore, sa main glisse lentement en caressant mon dos, puis s'insinue entre mes deux fesses.
Ses doigts bénéficient du reste de vaseline et de mes sécrétions anales pour me fouiller l'anus.
Il me fait gémir de plaisir anal dans sa bouche, ses doigts se couvrent de sperme en me masturbant le cul.
Il me fait jouir puissamment, puis alors que je suis encore en train de râler mon plaisir, il me donne ses doigts à lécher.
C'est à la fois tendre et pervers, et j'adore vivre ce moment, le gout de son sperme sur sa main me rend dingue.
J'en veux encore, et je me jette sur sa queue pour en avoir plus, je lui vide son méat avec avidité.
"Arhhhh ! Pascal ! Qu'est-ce que tu me rend fou, t'es trop gourmand ! Je t'adore ! Arhhhhhhhh !".
Bien sur, je ne m'attend pas à une nouvelle érection, mais c'est tellement agréable, malgré tout !
La tension sexuelle retombe doucement, puis on se résout à se quitter.
On se retrouve plusieurs fois, avant ce fameux Week-end.
C'est tout un scénario, pour éviter que l'on voit le lieutenant me prendre en voiture, je prends d'abord le bus pour aller à la gare.
Je laisse les autres prendre leur train, puis je sors discrètement, en marchant sur le trottoir.
Mon amant arrive, je monte très vite et nous disparaissons ensemble.
La route est déserte, le lieutenant se met sur le bas côté et baisse son pantalon en exhibant sa grosse queue bandée à l'extrême.
"Viens ! J'ai toujours eu envie que tu me suces pendant que je conduis !".
Il reprend la route pendant que j'aime délicieusement sa grosse bite avec ma bouche.
Par moment, il me dit des mots comme:
"Oh ! c'est trop bon, oufff, tu vas me faire aller dans le décor ! Arhhhhhhh !".
"Gllllrpp ! Mmmmm ! J'arrête mon lieutenant ?".
"Non, surtout pas, continues !".
La voiture stoppe enfin sa route, je me redresse et reconnais sa maison, j'y ai connu tant d'orgasmes avec ses amis et lui.
Je sors en même temps que lui, qui ne range pas sa bite en érection.
En entrant, je suis surpris par la présence du sergent qui lui dit:
"Vous avez déjà commencé ?".
"Oui, j'ai toujours voulu me faire sucer en conduisant ! il le fait très bien !".
Le lieutenant ferme sa braguette enfin et nous offre de quoi nous abreuver avec des amuses gueules.
Il m'attire contre lui en posant sa main sur mon cul, j'ai l'impression de lui appartenir à ce moment-là.
Le sergent entraine la discussion sur le sexe et révèle quelques rencontres avec moi au lieutenant, dans mon atelier.
Il décrit très bien le vice qu'il a eu et le plaisir qu'il a éprouvé, en me demandant souvent si j'avais aimé moi aussi.
Il demande au lieutenant:
"Tu m'en veux pas Robert ?".
"Pas du tout ! Je l'aime trop pour l'empêcher de prendre du plaisir !".
Sa phrase crée un silence de réflexion entre le sergent et moi. C'est pas grand chose, mais aujourd'hui en temps qu'adepte du candaulisme, je comprends son sentiment envers moi.
Il ajoute en brisant cette gêne:
"C'est ma petite gueule d'ange à moi !".
"Je bande ! je peux profiter de ses talents ! Robert ?".
"Allez-y ! Moi je l'ai rien que pour moi pendant une longue semaine !".
Le sergent me fait mettre à genoux devant lui, puis baisse ses vêtements pour être plus à l'aise lors de ma future fellation.
Le lieutenant disparait, alors que le membre du sergent coulisse interminablement dans ma gorge humide et chaude.
Un clic nous prévient que mon amant immortalise le moment avec un appareil photo, les caméscopes arriveront bien plus tard, sinon, je pense qu'il m'aurait filmé à de nombreuses reprises.
Cela ne me gêne plus, je lui fait entièrement confiance, le numérique n'existe pas encore et il faut connaitre un photographe qui vous développe tout ça sous le manteau comme on dit ! Je sais que mes exploits pervers vont exciter sa bande d'amis, donc dans un milieu fermé.
Les clics se suivent, puis le lieutenant se déshabille et se joint à nous.
Il prend d'autres photos de ma bouche sur leurs deux queues bandées et lubrifiées par ma salive.
Ils prennent un moment pour me mettre entièrement nu.
Le sergent vient derrière mon cul pour me lécher l'anus longuement, les clics immortalisent la scène.
L'instant que je sentais venir arrive enfin, la queue du sergent se colle à mon cul.
"Clic"
Le lieutenant m'embrasse, il aime ressentir le plaisir que je connais en me faisant pénétrer le cul par une belle queue.
Je gémis dans sa bouche, sans cesse, le sergent s'agrippe à mes fesses en m'enculant profondément.
Mes râles sont étouffés par mon amant, je devine son excitation de partager mon plaisir anal avec sa bouche.
Ma main le masturbe en même temps que je me fais défoncer le cul.
Il quitte ma bouche, me permettant de crier mon plaisir.
"Arhhhhhhhhhhhh ! je joui ! Arhhhhhhhhhhhhhh !".
"Clic, Clic, Clic".
La prise va surement révéler mon visage remplit d'orgasme anal et la vue du gros sexe du sergent qui me pénètre l'anus.
"Tu es beau ! Pascal ! Ton corps est fait pour le plaisir ! Je t'adore ! J'aime te voir jouir ! Prends le, ce plaisir, je te l'offre !".
"Arhhhhhhhhhhh ! Mon lieutenant ! C'est trop bon, merci ! Je vous...".
"Je sais Pascal, je sais, moi aussi ! On a pas besoin de le dire ! Joui ! C'est tout !".
"Arhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh !".
Je me cambre, et me colle le visage au sol, repus de plaisir anal, le sergent calme ses assauts, il me laisse apprécier mon orgasme anal jusqu'au bout.
"Clic"
Le lieutenant va s'assoir sur son canapé, en tapant sur le côté pour me faire comprendre qu'il me veut avec lui.
Je m'étends sur son côté, avec le visage sur ses cuisses.
Il me caresse les cheveux, pendant que le sergent me caresse le cul.
"Tu es beau, Gueule d'ange ! Tu le sais ?". Dit le sergent.
"Je sais pas, je suis plutôt complexé ! Mais je commence à le croire à force qu'on me le répète ! Par contre, ça me fait drôle d'entendre ces compliments de la part d'autres hommes !".
"Il a raison, tu es très beau, j'ai de la chance de t'avoir ! Et en plus, tu es un super amant" Ajoute le lieutenant.
"J'ai du mal avec ce mot !".
"Amant ? Pourtant, on est amants, tu ne peux pas le nier !".
"Oui ! Il faut que je m'habitue, je crois ! Mais j'adore notre relation !".
"En tout cas, il y en a pas mal qui envient le lieutenant ! Ils aimeraient bien te garder pour eux !".
"C'est gentil, mais c'est grâce à lui que je suis là ! Sinon, je n'aurai jamais osé baiser avec un homme, pas avant des années c'est sur ! je suis trop bien avec lui !".
Je vois que ma déclaration le remplit de bonheur.
Il se baisse, je me redresse pour coller ma bouche à la sienne, puis ses mains guident mon corps pour me placer au dessus de son gros sexe.
Il entre en moi sans difficulté, mais me provoque un long râle de plaisir.
Le sergent est monté sur le canapé et étouffe mes gémissements en me pénétrant la gorge.
La lente pénétration du lieutenant, fait monter doucement mon orgasme anal.
Le sergent se calle à notre rythme, en glissant entre mes lèvres humides, jusqu'à ma glotte.
Mes gémissements étouffés trahissent mon état, puis après de longues minutes, je suis pris d'un long râle qui me force à quitter la bite dans ma bouche.
"Arhhhhhhhhhhhhhhhh ! Mon lieutenant ! Je joui encore ! Arhhhhhhhhhhhhhhhhhhh!".
Le sergent est trop excité par mon orgasme et se branle frénétiquement à côté de mon visage.
"Regarde Pascal ! Tu vois comme tu nous excites ! Tu sais ce que tu dois faire ?".
"Oui, mon lieutenant ! Je vais tout avaler ! Donnez moi tout ! Sergent !".
Il enfonce sa bite dans ma bouche et se déverse abondamment comme à chacun de nos rapports buccaux.
"Arhhhhhhhhhhh ! Gueule d'ange ! C'est toujours aussi bon avec toi ! Arhhhhhhhhhhhhh !".
"Mmmmmm ! Grllllppppppp ! Mmmmmm ! Grllllllppp ! Mmmmmm ! Grllllllppp !....".
"C'est bien ! Mon petit pascal ! J'adore te voir te régaler comme ça, tu aimes ça pas vrai ?".
"Mmmmmm ! Grllllllppp ! Oh, oui mon lieutenant ! Je suis vicieux, mais j'aime trop ça ! Tant pis pour ce qu'on dira de moi, si on l'apprend !Mmmmmm ! Grllllllppp ! J'aime sucer un homme, son sperme, sa queue ! Mmmmmm ! Grllllllppp !".
"Ohhhhh , Gueule d'ange ! Pascal ! Tu me vides la queue ! Arhhhhhhhhhhh ! Putain Robert ! C'est trop bon ! Quelle chance tu as !".
"Je sais ! Je vais avoir du mal à me passer de lui, quand il partira !".
Les derniers sursauts très vifs du sergent révèlent qu'il se détend enfin après son énorme plaisir.
Son sexe encore bandé, quitte ma gorge.
Le lieutenant m'attire vers lui pour m'embrasser, j'avale rapidement le sperme encore dans ma bouche, et colle mes lèvres aux siennes.
Nos corps recommencent à bouger l'un dans l'autre.
Le sergent se rhabille doucement, pendant que le lieutenant me procure encore un orgasme anal.
"Allez, je vous laisse ! Merci Robert ! Et toi aussi Gueule d'ange !".
"A la prochaine ! Tu sais qu'il est là, pendant une semaine ! Viens nous voir, si tu en as envie !".
"Au revoir sergent ! Merci à vous aussi !".
Dès qu'il est sorti, je dis:
"Hummm ! J'adore avaler son sperme ! Mon lieutenant !".
"J'ai vu ! Ma petite salope ! tu l'aimes bien lui aussi !".
"Pas comme vous mon lieutenant ! Mais j'aime recevoir ses visites à l'atelier ! C'est toujours excitant !".
"Alors profites-en ! Bon ! On va boire un coup !".
"Vous voulez pas jouir mon lieutenant ?".
"On a tout notre temps ! Je te prendrais encore, plus tard !".
Il s'assoie au bord de sa table de salon, puis me dit:
"Allez viens, près de moi ! Mon petit ange !".
Je le rejoins, puis après un petit instant de caresses, je lui murmure:
"Je suis bien avec vous, j'ai peur de ça ! Je...".
"Chhht ! Moi aussi, je suis bien avec toi ! On ne doit pas en parler d'accord ?".
"D'accord ! Mon lieutenant ! Je vous fais confiance ! Vous aussi, vous aller me manquer, quand j'aurai fini mon année ici ! Je ne regrette pas d'avoir eu la chance d'être affecté dans la camp !".
"J'y suis pour quelque chose, j'allais pas te laisser partir !".
"Merci, Grâce à vous, je vis un service militaire incroyable ! A part les 3 premières semaines de classes, c'est chaque semaine un enchainement de plaisirs, du coup, je suis en manque quand je rentre chez moi !".
"Tant mieux mon am... ! Euh Pascal !".
Je le regarde, j'ai capté son lapsus, je lui tends mes lèvres, on échange un long baiser tendre. On a pas besoin de se dire ce qu'on ressent, et ça m'arrange bien, même si je ressens la même chose pour mon ex petite amie et reconnais ce sentiment.
La suite de la journée est agrémentée d'une très longue enculade sur sa table de cuisine.
Il m'honore enfin, de son éjaculation dans mon cul et sur mes fesses, comme il adore souvent le faire.
Puis il me pousse à oser m'afficher avec lui, au restaurant, ce moment, gênant au départ sera très agréable, une fois que j'aurai compris que notre relation ne se voit pas sur nos visages.
Nous sommes rentrés et j'ai alors connu ma première nuit avec un homme, pleine de sexe et de tendresse, j'ai adoré m'endormir dans ses bras comme une femelle comblée par les assauts de son amant.
On a réservé une journée entière pour un gang bang entre hommes, j'aimais le regard du lieutenant, qui brillait d'amour en me voyant jouir avec d'autres grâce à lui.
Du coup, il a eu envie de recommencer, un autre jour.
Le reste de la semaine fut idyllique, remplie de baises et de venues d'autres hommes que je connaissais déjà.
Un jour, il m'a initié à un nouveau plaisir, il m'a emmené dans un cinéma porno de Marseille, ou je lui ai prouvé que j'étais a la hauteur de ces désirs pervers.
Je comprends son plaisir aujourd'hui, il est la première personne à m'avoir témoigné autant d'amour ! Sans jalousie ! J'aurai pu lui appartenir vraiment, mais il a préféré me laisser m'épanouir à ses côtés sans m'enfermer dans un amour possessif.
Cette relation m'a beaucoup aidé avec Corinne par la suite, elle a changé ma vision du couple.
Malgré toutes mes barrières d'hétéro, je me laissais de plus en plus aller à me sentir femelle dans ses bras, et sous ses nombreuses saillies anales.
Je n'avais plus besoin de me masturber l'anus en rentrant chez moi, c'était devenu décevant et moins jouissif qu'une vraie sodomie avec mon amant ou ses amis de sexe.
Comme je l'ai déjà écrit, cet amour du sexe entre hommes qui s'imposait à moi, me faisait craindre que je choisisse cette sexualité au détriment de mon attirance pour les filles.
Aujourd'hui, je comprends que j'étais jeune et plein de questionnements inutiles, on peut très bien vivre deux sexualités.
Il suffit de se débarrasser de tous nos scrupules d'éducation catho, surtout que je suis athée et ce que je fais avec ma queue ou mon cul ne regarde personne.
Je pense être quelqu'un de gentil et sympa, ce n'est pas la religion qui fait l'homme, c'est son impact sur les gens qu'il côtoie.
J'ai essayé d'être le meilleur possible, parce que j'aime être aimé, tout simplement.
Si vous êtes un connard, ne vous plaignez pas qu'on vous fuient !
Mais revenons à notre histoire.
Après un rapport anal particulièrement intense dans notre orgasme commun, mon amant me surprend en m'annonçant:
"Si je te donne une très longue permission, tu es obligé de rentrer chez toi ?".
"Euh, je comprends pas votre question, mon lieutenant ! J'irai ou sinon ?".
"Chez moi ! Je vais être en vacances dans deux semaines, j'ai envie de passer plus de temps avec toi !".
A ce moment, je ne sais pas, s'il se rend compte que cette proposition me touche profondément, et me trouble en même temps.
C'est la première fois que je suis envahi de sentiments contradictoires, je comprends que malgré mes efforts, je suis tombé amoureux d'un homme, mes yeux qui s'humidifient me le prouvent.
Non, je ne peux pas ! Je veux aimer une fille ! Mais je chasse mes contradictions intérieures en me jetant dans ses bras pour lui cacher mes larmes.
Il me blottit lui aussi, ses mains deviennent caressantes et sensuelles, j'aime me laisser aller à ma féminité évidente dans son étreinte.
Il relève mon visage et m'embrasse tendrement.
"Je devrai pas te le dire, mais avec toi, c'est différent des autres garçons que j'ai connu ! C'est plus fort !".
"Merci, mon lieutenant ! Je sais plus ou j'en suis à cause de vous ! J'aime trop notre relation, mais elle me fait peur aussi !".
"Arrêtes avec tes questions, vis au jour le jour, c'est que du bonheur et du plaisir !".
"Vous avez raison, mais c'est dur de chasser toutes les valeurs qu'on nous inculque !".
"Je sais, mais si tu y arrive, tu seras beaucoup plus heureux et ta vie sera plus riche ! Donc si j'ai bien compris, tu viens à la maison !".
"Oui, mon lieutenant, je dirai à mes parents que je suis coincé, je ne peux pas être en perm tous les Week-ends ! Mais ça ne vous gêne pas de me nourrir pendant ce temps !".
"Ca vaut bien tout le plaisir que tu vas me donner ! Sans compter celui que j'ai déjà pris ! Ohh, mon petit Pascal, je suis trop content !".
Nos bouches se retrouvent encore, sa main glisse lentement en caressant mon dos, puis s'insinue entre mes deux fesses.
Ses doigts bénéficient du reste de vaseline et de mes sécrétions anales pour me fouiller l'anus.
Il me fait gémir de plaisir anal dans sa bouche, ses doigts se couvrent de sperme en me masturbant le cul.
Il me fait jouir puissamment, puis alors que je suis encore en train de râler mon plaisir, il me donne ses doigts à lécher.
C'est à la fois tendre et pervers, et j'adore vivre ce moment, le gout de son sperme sur sa main me rend dingue.
J'en veux encore, et je me jette sur sa queue pour en avoir plus, je lui vide son méat avec avidité.
"Arhhhh ! Pascal ! Qu'est-ce que tu me rend fou, t'es trop gourmand ! Je t'adore ! Arhhhhhhhh !".
Bien sur, je ne m'attend pas à une nouvelle érection, mais c'est tellement agréable, malgré tout !
La tension sexuelle retombe doucement, puis on se résout à se quitter.
On se retrouve plusieurs fois, avant ce fameux Week-end.
C'est tout un scénario, pour éviter que l'on voit le lieutenant me prendre en voiture, je prends d'abord le bus pour aller à la gare.
Je laisse les autres prendre leur train, puis je sors discrètement, en marchant sur le trottoir.
Mon amant arrive, je monte très vite et nous disparaissons ensemble.
La route est déserte, le lieutenant se met sur le bas côté et baisse son pantalon en exhibant sa grosse queue bandée à l'extrême.
"Viens ! J'ai toujours eu envie que tu me suces pendant que je conduis !".
Il reprend la route pendant que j'aime délicieusement sa grosse bite avec ma bouche.
Par moment, il me dit des mots comme:
"Oh ! c'est trop bon, oufff, tu vas me faire aller dans le décor ! Arhhhhhhh !".
"Gllllrpp ! Mmmmm ! J'arrête mon lieutenant ?".
"Non, surtout pas, continues !".
La voiture stoppe enfin sa route, je me redresse et reconnais sa maison, j'y ai connu tant d'orgasmes avec ses amis et lui.
Je sors en même temps que lui, qui ne range pas sa bite en érection.
En entrant, je suis surpris par la présence du sergent qui lui dit:
"Vous avez déjà commencé ?".
"Oui, j'ai toujours voulu me faire sucer en conduisant ! il le fait très bien !".
Le lieutenant ferme sa braguette enfin et nous offre de quoi nous abreuver avec des amuses gueules.
Il m'attire contre lui en posant sa main sur mon cul, j'ai l'impression de lui appartenir à ce moment-là.
Le sergent entraine la discussion sur le sexe et révèle quelques rencontres avec moi au lieutenant, dans mon atelier.
Il décrit très bien le vice qu'il a eu et le plaisir qu'il a éprouvé, en me demandant souvent si j'avais aimé moi aussi.
Il demande au lieutenant:
"Tu m'en veux pas Robert ?".
"Pas du tout ! Je l'aime trop pour l'empêcher de prendre du plaisir !".
Sa phrase crée un silence de réflexion entre le sergent et moi. C'est pas grand chose, mais aujourd'hui en temps qu'adepte du candaulisme, je comprends son sentiment envers moi.
Il ajoute en brisant cette gêne:
"C'est ma petite gueule d'ange à moi !".
"Je bande ! je peux profiter de ses talents ! Robert ?".
"Allez-y ! Moi je l'ai rien que pour moi pendant une longue semaine !".
Le sergent me fait mettre à genoux devant lui, puis baisse ses vêtements pour être plus à l'aise lors de ma future fellation.
Le lieutenant disparait, alors que le membre du sergent coulisse interminablement dans ma gorge humide et chaude.
Un clic nous prévient que mon amant immortalise le moment avec un appareil photo, les caméscopes arriveront bien plus tard, sinon, je pense qu'il m'aurait filmé à de nombreuses reprises.
Cela ne me gêne plus, je lui fait entièrement confiance, le numérique n'existe pas encore et il faut connaitre un photographe qui vous développe tout ça sous le manteau comme on dit ! Je sais que mes exploits pervers vont exciter sa bande d'amis, donc dans un milieu fermé.
Les clics se suivent, puis le lieutenant se déshabille et se joint à nous.
Il prend d'autres photos de ma bouche sur leurs deux queues bandées et lubrifiées par ma salive.
Ils prennent un moment pour me mettre entièrement nu.
Le sergent vient derrière mon cul pour me lécher l'anus longuement, les clics immortalisent la scène.
L'instant que je sentais venir arrive enfin, la queue du sergent se colle à mon cul.
"Clic"
Le lieutenant m'embrasse, il aime ressentir le plaisir que je connais en me faisant pénétrer le cul par une belle queue.
Je gémis dans sa bouche, sans cesse, le sergent s'agrippe à mes fesses en m'enculant profondément.
Mes râles sont étouffés par mon amant, je devine son excitation de partager mon plaisir anal avec sa bouche.
Ma main le masturbe en même temps que je me fais défoncer le cul.
Il quitte ma bouche, me permettant de crier mon plaisir.
"Arhhhhhhhhhhhh ! je joui ! Arhhhhhhhhhhhhhh !".
"Clic, Clic, Clic".
La prise va surement révéler mon visage remplit d'orgasme anal et la vue du gros sexe du sergent qui me pénètre l'anus.
"Tu es beau ! Pascal ! Ton corps est fait pour le plaisir ! Je t'adore ! J'aime te voir jouir ! Prends le, ce plaisir, je te l'offre !".
"Arhhhhhhhhhhh ! Mon lieutenant ! C'est trop bon, merci ! Je vous...".
"Je sais Pascal, je sais, moi aussi ! On a pas besoin de le dire ! Joui ! C'est tout !".
"Arhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh !".
Je me cambre, et me colle le visage au sol, repus de plaisir anal, le sergent calme ses assauts, il me laisse apprécier mon orgasme anal jusqu'au bout.
"Clic"
Le lieutenant va s'assoir sur son canapé, en tapant sur le côté pour me faire comprendre qu'il me veut avec lui.
Je m'étends sur son côté, avec le visage sur ses cuisses.
Il me caresse les cheveux, pendant que le sergent me caresse le cul.
"Tu es beau, Gueule d'ange ! Tu le sais ?". Dit le sergent.
"Je sais pas, je suis plutôt complexé ! Mais je commence à le croire à force qu'on me le répète ! Par contre, ça me fait drôle d'entendre ces compliments de la part d'autres hommes !".
"Il a raison, tu es très beau, j'ai de la chance de t'avoir ! Et en plus, tu es un super amant" Ajoute le lieutenant.
"J'ai du mal avec ce mot !".
"Amant ? Pourtant, on est amants, tu ne peux pas le nier !".
"Oui ! Il faut que je m'habitue, je crois ! Mais j'adore notre relation !".
"En tout cas, il y en a pas mal qui envient le lieutenant ! Ils aimeraient bien te garder pour eux !".
"C'est gentil, mais c'est grâce à lui que je suis là ! Sinon, je n'aurai jamais osé baiser avec un homme, pas avant des années c'est sur ! je suis trop bien avec lui !".
Je vois que ma déclaration le remplit de bonheur.
Il se baisse, je me redresse pour coller ma bouche à la sienne, puis ses mains guident mon corps pour me placer au dessus de son gros sexe.
Il entre en moi sans difficulté, mais me provoque un long râle de plaisir.
Le sergent est monté sur le canapé et étouffe mes gémissements en me pénétrant la gorge.
La lente pénétration du lieutenant, fait monter doucement mon orgasme anal.
Le sergent se calle à notre rythme, en glissant entre mes lèvres humides, jusqu'à ma glotte.
Mes gémissements étouffés trahissent mon état, puis après de longues minutes, je suis pris d'un long râle qui me force à quitter la bite dans ma bouche.
"Arhhhhhhhhhhhhhhhh ! Mon lieutenant ! Je joui encore ! Arhhhhhhhhhhhhhhhhhhh!".
Le sergent est trop excité par mon orgasme et se branle frénétiquement à côté de mon visage.
"Regarde Pascal ! Tu vois comme tu nous excites ! Tu sais ce que tu dois faire ?".
"Oui, mon lieutenant ! Je vais tout avaler ! Donnez moi tout ! Sergent !".
Il enfonce sa bite dans ma bouche et se déverse abondamment comme à chacun de nos rapports buccaux.
"Arhhhhhhhhhhh ! Gueule d'ange ! C'est toujours aussi bon avec toi ! Arhhhhhhhhhhhhh !".
"Mmmmmm ! Grllllppppppp ! Mmmmmm ! Grllllllppp ! Mmmmmm ! Grllllllppp !....".
"C'est bien ! Mon petit pascal ! J'adore te voir te régaler comme ça, tu aimes ça pas vrai ?".
"Mmmmmm ! Grllllllppp ! Oh, oui mon lieutenant ! Je suis vicieux, mais j'aime trop ça ! Tant pis pour ce qu'on dira de moi, si on l'apprend !Mmmmmm ! Grllllllppp ! J'aime sucer un homme, son sperme, sa queue ! Mmmmmm ! Grllllllppp !".
"Ohhhhh , Gueule d'ange ! Pascal ! Tu me vides la queue ! Arhhhhhhhhhhh ! Putain Robert ! C'est trop bon ! Quelle chance tu as !".
"Je sais ! Je vais avoir du mal à me passer de lui, quand il partira !".
Les derniers sursauts très vifs du sergent révèlent qu'il se détend enfin après son énorme plaisir.
Son sexe encore bandé, quitte ma gorge.
Le lieutenant m'attire vers lui pour m'embrasser, j'avale rapidement le sperme encore dans ma bouche, et colle mes lèvres aux siennes.
Nos corps recommencent à bouger l'un dans l'autre.
Le sergent se rhabille doucement, pendant que le lieutenant me procure encore un orgasme anal.
"Allez, je vous laisse ! Merci Robert ! Et toi aussi Gueule d'ange !".
"A la prochaine ! Tu sais qu'il est là, pendant une semaine ! Viens nous voir, si tu en as envie !".
"Au revoir sergent ! Merci à vous aussi !".
Dès qu'il est sorti, je dis:
"Hummm ! J'adore avaler son sperme ! Mon lieutenant !".
"J'ai vu ! Ma petite salope ! tu l'aimes bien lui aussi !".
"Pas comme vous mon lieutenant ! Mais j'aime recevoir ses visites à l'atelier ! C'est toujours excitant !".
"Alors profites-en ! Bon ! On va boire un coup !".
"Vous voulez pas jouir mon lieutenant ?".
"On a tout notre temps ! Je te prendrais encore, plus tard !".
Il s'assoie au bord de sa table de salon, puis me dit:
"Allez viens, près de moi ! Mon petit ange !".
Je le rejoins, puis après un petit instant de caresses, je lui murmure:
"Je suis bien avec vous, j'ai peur de ça ! Je...".
"Chhht ! Moi aussi, je suis bien avec toi ! On ne doit pas en parler d'accord ?".
"D'accord ! Mon lieutenant ! Je vous fais confiance ! Vous aussi, vous aller me manquer, quand j'aurai fini mon année ici ! Je ne regrette pas d'avoir eu la chance d'être affecté dans la camp !".
"J'y suis pour quelque chose, j'allais pas te laisser partir !".
"Merci, Grâce à vous, je vis un service militaire incroyable ! A part les 3 premières semaines de classes, c'est chaque semaine un enchainement de plaisirs, du coup, je suis en manque quand je rentre chez moi !".
"Tant mieux mon am... ! Euh Pascal !".
Je le regarde, j'ai capté son lapsus, je lui tends mes lèvres, on échange un long baiser tendre. On a pas besoin de se dire ce qu'on ressent, et ça m'arrange bien, même si je ressens la même chose pour mon ex petite amie et reconnais ce sentiment.
La suite de la journée est agrémentée d'une très longue enculade sur sa table de cuisine.
Il m'honore enfin, de son éjaculation dans mon cul et sur mes fesses, comme il adore souvent le faire.
Puis il me pousse à oser m'afficher avec lui, au restaurant, ce moment, gênant au départ sera très agréable, une fois que j'aurai compris que notre relation ne se voit pas sur nos visages.
Nous sommes rentrés et j'ai alors connu ma première nuit avec un homme, pleine de sexe et de tendresse, j'ai adoré m'endormir dans ses bras comme une femelle comblée par les assauts de son amant.
On a réservé une journée entière pour un gang bang entre hommes, j'aimais le regard du lieutenant, qui brillait d'amour en me voyant jouir avec d'autres grâce à lui.
Du coup, il a eu envie de recommencer, un autre jour.
Le reste de la semaine fut idyllique, remplie de baises et de venues d'autres hommes que je connaissais déjà.
Un jour, il m'a initié à un nouveau plaisir, il m'a emmené dans un cinéma porno de Marseille, ou je lui ai prouvé que j'étais a la hauteur de ces désirs pervers.
Je comprends son plaisir aujourd'hui, il est la première personne à m'avoir témoigné autant d'amour ! Sans jalousie ! J'aurai pu lui appartenir vraiment, mais il a préféré me laisser m'épanouir à ses côtés sans m'enfermer dans un amour possessif.
Cette relation m'a beaucoup aidé avec Corinne par la suite, elle a changé ma vision du couple.
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