Initiation militaire. 8. Mon quotidien au camp.
Récit érotique écrit par Passud [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-02-2023 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Initiation militaire. 8. Mon quotidien au camp.
Cette histoire est un peu la journée type que je vivais dans le camp militaire.
Elle se déroule dans les premières mois de mon affectation au camp de tir.
Le réveil sonne, mes camarades de chambre se lèvent peu à peu, je traine comme à mon habitude, je sais que je ne bois qu'un café le matin, c'est plus rapide.
Autour de la table, pendant le petit déjeuner, les conversations sont diverses.
On parle de permissions de sortie (je me tais, je suis trop avantagé à ce niveau là), certains sont mal réveillés et irascibles.
Les anciens font la loi et les nouveaux (les bleus !) attendent leur tour pour se servir.
Puis, chacun fait sa toilette et se rase pour ne pas se faire sermonner à l'appel.
On est tous prêts quand on sort pour se mettre en rang au lever de drapeau.
L'adjudant nous passe en revue, il me demande d'ôter ma casquette.
"Soldat ...! Vous vous foutez de ma gueule ? C'est quoi cette touffe de cheveux ? Vous allez au coiffeur directement après l'appel !".
Il est vrai que j'use de mes avantages pour éviter de me raser la tête, et là, il a raison, si j'ai les cheveux courts autour des oreilles, le dessus me couvre les yeux quand j'ôte ma casquette.
Je me rends au camp central pour me faire couper les tifs, pas trop courts, le coiffeur est un copain de classe militaire, du début.
Puis, je rentre à mon atelier, je commence à reprendre une commande pour l'adjudant du camp.
La porte s'ouvre, c'est un sergent, complice de mon amant, choisi pour ses qualités de bon baiseur de jeune cul comme le mien.
"Salut ! Gueule d'ange !".
"Bonjour, Sergent !".
"Tiens ! J'ai ce plan de la part du lieutenant ! C'est un prétexte ! Bien sûr ! Il t'attend cet après-midi !".
Il se tourne et ferme la porte.
"Tu peux t'occuper de moi ?".
"Avec plaisir ! Sergent !".
"C'est ça que j'aime chez toi, tu es toujours partant !".
Il se colle à la porte et baisse son pantalon militaire, je retrouve avec bonheur, sa superbe bite en érection.
Je lèche son gros gland, puis sa hampe et me dirige vers ses testicules rasés que j'adore.
Je gobe une à une, ses délicieuses couilles, puis je remonte doucement jusqu'à sa turgescence.
J'ouvre mes lèvres pour lui offrir la chaleur de ma gorge.
"Ohh, là, là, ce que c'est bon ! Tu suces trop bien, gueule d'ange !".
"Mmmmm ! Merci sergent ! Grllllllp ! Mmmmm".
C'est devenu passionnel pour moi de sucer une belle bite, je prend mon temps, je voudrais que ça ne s'arrête jamais.
Mes rythmes buccaux oscillent entre de tendres aller retours et de vicieux enfoncements profonds qui me font saliver abondamment.
Après plus de 15 minutes, le sergent m'annonce qu'il va m'offrir ce que j'attends avec envie.
Il crache un premier jet puissant de sperme qui s'écrase au fond de ma gorge, sa chaleur m'excite.
Un frisson d'excitation me saisit tout le corps, le second jet rejoint le premier.
"Arhhhhhhhhhh ! C'est bon de te jouir dans la bouche ! Gueule d'ange ! Arhhhhhhhhh !".
Un spasme dans sa queue précède un troisième jet, plus abondant que le précédent.
Je commence à ingurgiter le foutre chaud de mon sergent pervers, en même temps qu'il m'assène de nouvelles éjections.
Qu'est ce que j'aime avoir ce gout dans la gorge ! C'est le gout du plaisir masculin !
Je m'applique à accompagner au mieux sa jouissance en le suçant longuement tout en avalant sa semence.
On reprend nos rôles militaires, et il me laisse à mon activité, après m'avoir remercié.
Puis je vais manger avec les autres, le repas nous est toujours livré dans des cantines en métal, parce que nous sommes éloignés du camp central.
Après le repas, je retourne à l'atelier, puis le chauffeur du lieutenant vient me chercher.
Arrivé dans son bureau, le lieutenant m'attend avec le commandant du camp.
Les rideaux de la fenêtre sont tirés.
Je n'ai plus besoin de faire mon salut militaire, ils sont déjà sur moi et entreprennent de me déshabiller.
Ils s'amusent à me faire passer d'une queue à l'autre, avec ma bouche.
Le lieutenant a déjà sorti son tube de lubrifiant.
Pendant que je suce le commandant comme une salope, il me couvre l'anus de vaseline.
"Robert ! Ca te déranges, si je l'encule en premier ?".
"Pas du tout ! Vas-y ! On a tout notre temps !".
Le lieutenant revient devant ma bouche, les mains du commandant me soulèvent le cul.
Son gland se colle à mon anus.
Sa pression est douce et ferme à la fois, mon œillet s'ouvre aisément, il me pénètre sans difficulté.
Mes sodomies quasi quotidiennes ont habituées mon anus à ces pénétrations.
Il me baise assez fort et rapidement, je commence à jouir analement.
"Il t'encule bien le commandant ? Dis-moi !".
"Arhhhhhhh ! Oui mon lieutenant ! Il sait comment me défoncer ! Arhhhhhh ! Il me fait jouir !".
Je replonge sur la bite du lieutenant pour étouffer mes râles d'orgasmes anal.
Nous n'en sommes plus à nos premiers rapports sexuels et le commandant s'habitue au fait de m'enculer, lui aussi.
Il est beaucoup plus endurant que la première fois, il me défonce très longtemps, provoquant un excès de lubrification anale de mon cul.
Il ajoute son éjaculation à toutes ces sécrétions.
Il recule en cherchant le siège derrière lui pour s'y reposer en matant mon anus éclaté et dégoulinant.
Le lieutenant quitte ma gorge et vient coller son gland contre mon œillet.
Il joue avec le sperme du commandant qui s'écoule un peu hors de mon cul.
Puis il pousse d'un coup pour me pénétrer en utilisant le foutre comme lubrifiant.
"Arhhhhhhhhhhh ! Avec vous aussi, c'est bon ! Mon lieutenant !".
Il se déchaine en moi, excité par la salope qu'il a fait de moi.
Il me défonce comme une pute pendant un temps interminable, puis il sort de mon cul en me demandant de me retourner.
Il explose sur mon visage.
"Arhhhhhhhhh ! J'adore arroser ta petite gueule d'ange !".
Son jus chaud qui me recouvre la face commence à me faire bander, mais je n'ose pas me soulager devant eux.
Le commandant est spectateur de ma perversité, il adore me regarder avec ce foutre sur moi et dans mon cul.
Il prend une serviette en papier et me la tend pour que je m'essuie.
"Merci mon commandant !".
Le lieutenant s'essuie la bite lui aussi.
"Humm, c'était bien bon encore ! Pascal ! Bon, on va voir ce que tu as comme perm !".
Il m'ajoute une journée pour me remercier des baises de la semaine.
"T'as eu la visite du sergent ...?".
"Oui, mon lieutenant !".
"Et alors ?".
"Je l'ai sucé ! Mon lieutenant !".
"C'est bien, continues comme ça, Pascal !".
"Merci, Mon lieutenant ! Grâce à vous, je ne vois pas le temps passer ! Et je prends beaucoup de plaisir !".
"Nous aussi, Pascal ! Nous aussi !".
Le commandant ajoute:
"Ca c'est sûr ! Il ne faut pas que ça passe trop vite ! Tu vas nous manquer ! Ca te dirai pas de t'engager ? J'appuierai ta demande !".
Je réalise qu'il a raison, il y a une échéance à tout ça ! Je dois donc en profiter au mieux !
"Désolé mon commandant ! Mais ce n'est pas dans mes projets de vie !".
"Pas de souci, Pascal, réfléchis-y quand même !".
Je rentre à mon atelier, pensant que ma journée se termine ainsi, mais vers 16 h 30, un légionnaire étranger complice du lieutenant surgit dans la pièce.
Il ferme derrière lui, puis vient vers moi, il ne parle pas bien le français, je pense qu'il vient des pays de l'est.
Il me colle contre lui en me caressant partout et insiste sur mon cul.
Il me penche sur un établi et me baisse mon pantalon.
Il crache sur mon cul et entreprend de me pénétrer.
Sa queue est très longue et de largeur normale, il m'encule donc assez facilement.
Il cogne fort au fond de mon cul, je joui énormément sous ses assauts.
Il déplace l'établi avec ses grands coups dans mon cul, j'ai pris deux gros orgasmes.
Nos rapports se passent toujours comme ça, presque sans un mot, seulement des gémissements et quelques phrases sur le plaisir qu'on prend.
Puis il grogne dans cette langue que je ne comprends pas et me rempli l'anus de son sperme.
Je dois attendre un long moment avant qu'il daigne quitter mon cul.
Il essuie sa bite sur mes fesses, puis se range un peu, il me tape le cul et disparait, me laissant épuisé de plaisir anal.
Je dois attendre un peu pour évacuer ma gêne anale en couvrant les bruits d'éjections avec du papier contre mon anus.
J'ai pris mes dispositions, j'ai caché du papier toilettes dans l'atelier pour couvrir mes actes avec mes multiples amants.
Le lendemain sera plus calme, seul le sergent viendra m'enculer en fin de journée.
Je dois rentrer chez moi, c'était le jour du départ en perm, et je n'ai plus le temps de me vider l'anus.
Je quitte le camp avec le cul rempli de foutre, encore une fois.
Mes parents ne sauront jamais ce que je partageais avec les militaires vicieux du camp.
Mon long Week-End sera beaucoup plus sage et sans sexe, puisque je n'ai plus de copine.
J'aurai un flirt, plus tard avec une amie qui craque sur moi, mais comme elle embrasse très mal, je n'arrive pas à m'attacher à elle, ni à aller plus loin sexuellement.
Mais ces lettres enflammées couvertes de cœurs dessinés, reçues au camp m'offrent une couverture idéale pour ma double vie homosexuelle.
Puis pendant le dernier mois, je suis relancé par mon ex que j'aimais toujours, nous reprenons notre relation et j'aurai mon premier rapport hétéro un mois, après avoir quitté l'armée.
J'ai l'impression de rentrer dans le droit chemin, pendant un temps, mais c'est trop tard ! J'ai pris gout à la bite, au sperme et au plaisir anal !
Elle se déroule dans les premières mois de mon affectation au camp de tir.
Le réveil sonne, mes camarades de chambre se lèvent peu à peu, je traine comme à mon habitude, je sais que je ne bois qu'un café le matin, c'est plus rapide.
Autour de la table, pendant le petit déjeuner, les conversations sont diverses.
On parle de permissions de sortie (je me tais, je suis trop avantagé à ce niveau là), certains sont mal réveillés et irascibles.
Les anciens font la loi et les nouveaux (les bleus !) attendent leur tour pour se servir.
Puis, chacun fait sa toilette et se rase pour ne pas se faire sermonner à l'appel.
On est tous prêts quand on sort pour se mettre en rang au lever de drapeau.
L'adjudant nous passe en revue, il me demande d'ôter ma casquette.
"Soldat ...! Vous vous foutez de ma gueule ? C'est quoi cette touffe de cheveux ? Vous allez au coiffeur directement après l'appel !".
Il est vrai que j'use de mes avantages pour éviter de me raser la tête, et là, il a raison, si j'ai les cheveux courts autour des oreilles, le dessus me couvre les yeux quand j'ôte ma casquette.
Je me rends au camp central pour me faire couper les tifs, pas trop courts, le coiffeur est un copain de classe militaire, du début.
Puis, je rentre à mon atelier, je commence à reprendre une commande pour l'adjudant du camp.
La porte s'ouvre, c'est un sergent, complice de mon amant, choisi pour ses qualités de bon baiseur de jeune cul comme le mien.
"Salut ! Gueule d'ange !".
"Bonjour, Sergent !".
"Tiens ! J'ai ce plan de la part du lieutenant ! C'est un prétexte ! Bien sûr ! Il t'attend cet après-midi !".
Il se tourne et ferme la porte.
"Tu peux t'occuper de moi ?".
"Avec plaisir ! Sergent !".
"C'est ça que j'aime chez toi, tu es toujours partant !".
Il se colle à la porte et baisse son pantalon militaire, je retrouve avec bonheur, sa superbe bite en érection.
Je lèche son gros gland, puis sa hampe et me dirige vers ses testicules rasés que j'adore.
Je gobe une à une, ses délicieuses couilles, puis je remonte doucement jusqu'à sa turgescence.
J'ouvre mes lèvres pour lui offrir la chaleur de ma gorge.
"Ohh, là, là, ce que c'est bon ! Tu suces trop bien, gueule d'ange !".
"Mmmmm ! Merci sergent ! Grllllllp ! Mmmmm".
C'est devenu passionnel pour moi de sucer une belle bite, je prend mon temps, je voudrais que ça ne s'arrête jamais.
Mes rythmes buccaux oscillent entre de tendres aller retours et de vicieux enfoncements profonds qui me font saliver abondamment.
Après plus de 15 minutes, le sergent m'annonce qu'il va m'offrir ce que j'attends avec envie.
Il crache un premier jet puissant de sperme qui s'écrase au fond de ma gorge, sa chaleur m'excite.
Un frisson d'excitation me saisit tout le corps, le second jet rejoint le premier.
"Arhhhhhhhhhh ! C'est bon de te jouir dans la bouche ! Gueule d'ange ! Arhhhhhhhhh !".
Un spasme dans sa queue précède un troisième jet, plus abondant que le précédent.
Je commence à ingurgiter le foutre chaud de mon sergent pervers, en même temps qu'il m'assène de nouvelles éjections.
Qu'est ce que j'aime avoir ce gout dans la gorge ! C'est le gout du plaisir masculin !
Je m'applique à accompagner au mieux sa jouissance en le suçant longuement tout en avalant sa semence.
On reprend nos rôles militaires, et il me laisse à mon activité, après m'avoir remercié.
Puis je vais manger avec les autres, le repas nous est toujours livré dans des cantines en métal, parce que nous sommes éloignés du camp central.
Après le repas, je retourne à l'atelier, puis le chauffeur du lieutenant vient me chercher.
Arrivé dans son bureau, le lieutenant m'attend avec le commandant du camp.
Les rideaux de la fenêtre sont tirés.
Je n'ai plus besoin de faire mon salut militaire, ils sont déjà sur moi et entreprennent de me déshabiller.
Ils s'amusent à me faire passer d'une queue à l'autre, avec ma bouche.
Le lieutenant a déjà sorti son tube de lubrifiant.
Pendant que je suce le commandant comme une salope, il me couvre l'anus de vaseline.
"Robert ! Ca te déranges, si je l'encule en premier ?".
"Pas du tout ! Vas-y ! On a tout notre temps !".
Le lieutenant revient devant ma bouche, les mains du commandant me soulèvent le cul.
Son gland se colle à mon anus.
Sa pression est douce et ferme à la fois, mon œillet s'ouvre aisément, il me pénètre sans difficulté.
Mes sodomies quasi quotidiennes ont habituées mon anus à ces pénétrations.
Il me baise assez fort et rapidement, je commence à jouir analement.
"Il t'encule bien le commandant ? Dis-moi !".
"Arhhhhhhh ! Oui mon lieutenant ! Il sait comment me défoncer ! Arhhhhhh ! Il me fait jouir !".
Je replonge sur la bite du lieutenant pour étouffer mes râles d'orgasmes anal.
Nous n'en sommes plus à nos premiers rapports sexuels et le commandant s'habitue au fait de m'enculer, lui aussi.
Il est beaucoup plus endurant que la première fois, il me défonce très longtemps, provoquant un excès de lubrification anale de mon cul.
Il ajoute son éjaculation à toutes ces sécrétions.
Il recule en cherchant le siège derrière lui pour s'y reposer en matant mon anus éclaté et dégoulinant.
Le lieutenant quitte ma gorge et vient coller son gland contre mon œillet.
Il joue avec le sperme du commandant qui s'écoule un peu hors de mon cul.
Puis il pousse d'un coup pour me pénétrer en utilisant le foutre comme lubrifiant.
"Arhhhhhhhhhhh ! Avec vous aussi, c'est bon ! Mon lieutenant !".
Il se déchaine en moi, excité par la salope qu'il a fait de moi.
Il me défonce comme une pute pendant un temps interminable, puis il sort de mon cul en me demandant de me retourner.
Il explose sur mon visage.
"Arhhhhhhhhh ! J'adore arroser ta petite gueule d'ange !".
Son jus chaud qui me recouvre la face commence à me faire bander, mais je n'ose pas me soulager devant eux.
Le commandant est spectateur de ma perversité, il adore me regarder avec ce foutre sur moi et dans mon cul.
Il prend une serviette en papier et me la tend pour que je m'essuie.
"Merci mon commandant !".
Le lieutenant s'essuie la bite lui aussi.
"Humm, c'était bien bon encore ! Pascal ! Bon, on va voir ce que tu as comme perm !".
Il m'ajoute une journée pour me remercier des baises de la semaine.
"T'as eu la visite du sergent ...?".
"Oui, mon lieutenant !".
"Et alors ?".
"Je l'ai sucé ! Mon lieutenant !".
"C'est bien, continues comme ça, Pascal !".
"Merci, Mon lieutenant ! Grâce à vous, je ne vois pas le temps passer ! Et je prends beaucoup de plaisir !".
"Nous aussi, Pascal ! Nous aussi !".
Le commandant ajoute:
"Ca c'est sûr ! Il ne faut pas que ça passe trop vite ! Tu vas nous manquer ! Ca te dirai pas de t'engager ? J'appuierai ta demande !".
Je réalise qu'il a raison, il y a une échéance à tout ça ! Je dois donc en profiter au mieux !
"Désolé mon commandant ! Mais ce n'est pas dans mes projets de vie !".
"Pas de souci, Pascal, réfléchis-y quand même !".
Je rentre à mon atelier, pensant que ma journée se termine ainsi, mais vers 16 h 30, un légionnaire étranger complice du lieutenant surgit dans la pièce.
Il ferme derrière lui, puis vient vers moi, il ne parle pas bien le français, je pense qu'il vient des pays de l'est.
Il me colle contre lui en me caressant partout et insiste sur mon cul.
Il me penche sur un établi et me baisse mon pantalon.
Il crache sur mon cul et entreprend de me pénétrer.
Sa queue est très longue et de largeur normale, il m'encule donc assez facilement.
Il cogne fort au fond de mon cul, je joui énormément sous ses assauts.
Il déplace l'établi avec ses grands coups dans mon cul, j'ai pris deux gros orgasmes.
Nos rapports se passent toujours comme ça, presque sans un mot, seulement des gémissements et quelques phrases sur le plaisir qu'on prend.
Puis il grogne dans cette langue que je ne comprends pas et me rempli l'anus de son sperme.
Je dois attendre un long moment avant qu'il daigne quitter mon cul.
Il essuie sa bite sur mes fesses, puis se range un peu, il me tape le cul et disparait, me laissant épuisé de plaisir anal.
Je dois attendre un peu pour évacuer ma gêne anale en couvrant les bruits d'éjections avec du papier contre mon anus.
J'ai pris mes dispositions, j'ai caché du papier toilettes dans l'atelier pour couvrir mes actes avec mes multiples amants.
Le lendemain sera plus calme, seul le sergent viendra m'enculer en fin de journée.
Je dois rentrer chez moi, c'était le jour du départ en perm, et je n'ai plus le temps de me vider l'anus.
Je quitte le camp avec le cul rempli de foutre, encore une fois.
Mes parents ne sauront jamais ce que je partageais avec les militaires vicieux du camp.
Mon long Week-End sera beaucoup plus sage et sans sexe, puisque je n'ai plus de copine.
J'aurai un flirt, plus tard avec une amie qui craque sur moi, mais comme elle embrasse très mal, je n'arrive pas à m'attacher à elle, ni à aller plus loin sexuellement.
Mais ces lettres enflammées couvertes de cœurs dessinés, reçues au camp m'offrent une couverture idéale pour ma double vie homosexuelle.
Puis pendant le dernier mois, je suis relancé par mon ex que j'aimais toujours, nous reprenons notre relation et j'aurai mon premier rapport hétéro un mois, après avoir quitté l'armée.
J'ai l'impression de rentrer dans le droit chemin, pendant un temps, mais c'est trop tard ! J'ai pris gout à la bite, au sperme et au plaisir anal !
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