Initiation militaire. 9. Orgie entre soldats.
Récit érotique écrit par Passud [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-02-2023 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Initiation militaire. 9. Orgie entre soldats.
La semaine précédant cette histoire, j'avais encore baisé avec mon amant, le lieutenant.
Il est assis sur son fauteuil, pendant que je suis enfoncé sur sa bite, il vient d'éjaculer dans mon anus.
On prend le temps d'apprécier ce moment magique, après le plaisir.
Je suis lové contre lui, en me laissant caresser le dos et les fesses, il m'embrasse de plus en plus souvent, et tendrement.
Il quitte ma bouche et me demande:
"Ca va avec l'adjudant ...? Il te laisses tranquille ? Je sais que l'adjudant-chef est en vacances".
"Ca peut aller, mon lieutenant ! Mais c'est vrai qu'il ne m'aime pas beaucoup, j'ai l'impression !".
"Ca ne m'étonnes pas ! C'est un con qui est prêt à tout pour de l'avancement !".
"La semaine dernière, Il s'est passé un truc qui m'a gêné ! Je me sens pas trop bien depuis !".
"Qu'est-ce qui s'est passé ?".
"C'est pas grave, mon lieutenant !".
"Racontes !".
Je lui raconte alors cette anecdote:
Nous sommes à l'appel et l'adjudant me donne l'ordre de ranger mon atelier, en choisissant quelques camarades de chambre.
"Vous diriger les opérations, vous serez aidé du sergent ...!".
Comme il y des choses assez lourdes à déplacer, au bout de deux heures à s'épuiser, un camarade se plaint que je reste inactif à donner des consignes.
"Et ... (il prononce mon nom)! Il nous regarde sans rien faire ? Sergent ?".
"Vous exécutez les ordres ! Même moi, je ne peux rien contre lui, il est protégé par les gradés ! Il est intouchable ! C'est comme ça !".
Cette réponse m'a fait l'effet d'une bombe, un gros choc, je ne pensais pas que j'avais autant de pouvoir.
J'ai donc participé aux efforts, c'était contre ma nature de profiter de cet avantage.
Mais j'ai senti que même mes meilleurs camarades m'en voulaient.
Le lieutenant me dit alors:
"C'est ça qui te gêne ? Profites ! Tu le mérites, même si je ne te baisais pas, j'utiliserai ton métier, comme l'adjudant chef, pour mon compte personnel ! C'est ce que je fais aussi, non ?".
"Oui, c'est vrai ! Mon lieutenant !".
"Donc, tu serais quand même protégé ! Et l'adjudant Chef ? Ca va ?".
"Oui, lui, je l'aime, bien, il est super ! Mon lieutenant ! S'il n'était pas hétéro, j'aurai aimé qu'il me baise ! Et j'adore sa femme !".
"Sa femme ? Tu la connais ?".
"Ah, vous ne savez pas ! L'adjudant me demande de l'aider à faire les courses, je m'occupe aussi de leur fille de 5 ans qui m'apprécie beaucoup, pendant qu'elle choisit les produits au supermarché. On parle beaucoup avec sa femme, elle est adorable !"
"J'y crois pas ! Tu fais les courses avec la femme de l'adjudant-chef !".
"Plus maintenant, l'adjudant-chef m'a annoncé qu'il préférai ne plus le demander, parce que sa femme m'aime trop, d'après lui ! Je lui ai dit qu'il pouvait me faire confiance, mais il m'a répondu que c'est en sa femme qu'il n'a pas confiance !".
"Ah, ah, ah ! Tu vois que tu plais aux filles ! Ne t'inquiètes pas ! Tu ne vas pas tarder à baiser avec une gonzesse !".
"J'espère mon lieutenant ! C'est étrange que les deux personnes que j'aime le plus dans le camp, je dois les appeler de la même manière !".
"C'est à dire !".
"Ben, on doit appeler l'adjudant-chef, mon lieutenant !".
"Ah c'est vrai ! C'est une bizarrerie de l'armée !".
"Par contre, avec l'adjudant ! J'ai déconné, il y a un mois, il a voulu me mettre au trou !".
"Je suis au courant de l'histoire, avec l'adjudant chef, on a bloqué sa demande, tu ne crains rien ! Tu as reçu le gros rouleau de papier essuie tout ?".
"Oui, c'est plus pratique ! Quand je reçois les visites de vos amis ! Merci ! Mon lieutenant !".
Je me redresse devinant que sa queue ramollit dans mon cul.
Je m'essuie l'anus et remonte mon pantalon. Le lieutenant m'embrasse longuement avant de répondre à la sonnerie du téléphone.
"Lieutenant T..., que voulez vous ? Ah... comment ça va ? Pascal est avec moi, justement ! On vient de terminer, je lui demande !".
Je suis étonné qu'il parle de nos ébats avec un autre homme, puis il me demande:
"Ca te dit qu'on organise un truc sympa, avec des copains, la semaine prochaine ? J'ai envie de changer de lieu, on verra ça plus tard, alors ?".
"Vous savez que j'adore vous faire plaisir ! Mon lieutenant ! Je vous laisse carte blanche !".
"Bon, c'est super ! Il est d'accord ! Ce qui ne m'étonnes pas !".
Les jours passent et un long Week End aussi.
L'adjudant chef est toujours en vacances, c'est donc l'adjudant qui le remplace et contrôle le centre de tir, dont je fais partie.
J'évite de le contrarier, mais ce n'est pas toujours facile.
Ce jour-là, nous sommes un mardi, le sexe commence à me manquer. Personne n'est venu me baiser la veille.
Alors que je suis en pleine activité, j'entend des bruits de véhicules militaires qui freinent devant mon atelier.
Des portes claquent, puis des soldats, qu'il me semble connaitre pour la plupart, entrent dans la pièce.
Mais l'adjudant surgit lui aussi, suivi du lieutenant qui me baise, je pense donc à une visite plus formelle.
"Bonjour soldat ...".
Je suis au garde à vous, je dois respecter les usages.
"Repos ! Alors montrez moi ce que vous faites en ce moment !".
Je lui montre, il reconnait un lit que je dois finir pour la fille de l'adjudant chef, puis une autre commande pour lui.
Et enfin un projet pour l'adjudant présent.
"Et ça ?".
"C'est pour moi ! Mon lieutenant !". Lui répond l'adjudant.
"Vous êtes gonflé ! Vous vous servez de lui et vous voulez le mettre au trou ?".
"Mon lieutenant ! C'est que...".
"Fermez-la et laissez nous ! J'attends le commandant ! Si vous ne voulez pas être saqué ! Vous disparaissez !".
L'adjudant quitte l'atelier, les militaires présents s'éclatent de rire, dès qu'ils savent qu'il est assez éloigné.
"Quel faux cul celui-là ! J'ai horreur de ce genre de mec !". Ajoute le lieutenant, provoquant de nouvelles moqueries.
"Bon ! On va passer à autre chose ! Sergent... Vous bloquez l'accès devant la porte, on vous relèvera dès que l'un de nous aura eu son compte ! Et faites entrer le commandant, dès qu'il arrive !".
"Oui, mon lieutenant !".
"Pascal, tu es prêt pour nous recevoir ?".
"Ici ? Mon lieutenant ?".
"Pourquoi pas, On va bien s'amuser, je pense ! C'est pas la première fois que tu te fais enculer dans l'atelier !".
"Non ! Bien sûr ! Mon lieutenant ! Mais vous êtes nombreux ! Je crois que je vais bien dormir ce soir !".
"Alors, c'est parti ! Foutez le à poil !".
On me déshabille entièrement, pendant qu'on prépare un endroit ou je pourrai m'appuyer pour assouvir leurs désirs
Me retrouver nu devant ces militaires en tenues, m'excite énormément.
Je suis entouré et caressé par une multitude de mains fouilleuses.
On me force à m'agenouiller devant des queues en érection.
Je retrouve certains sexes que je reconnais, mais d'autres sont inconnus, notamment 3 légionnaires d'origines différentes, latine, pays de l'est et arabe.
Je me demande comment le lieutenant faisait pour trouver tous ces hommes.
Tous les hommes passent dans ma bouche, parfois par deux, et j'arrive par moment à lécher 4 glands gonflés à la fois.
Mais si avaler deux sexes est possible, pendant quelques secondes, il est plus agréable pour mes amants de me baiser la gorge, seuls, tour à tour.
Le lieutenant me fait poser sur une caisse à hauteur de queue, sur le dos, puis demande au légionnaire latino de me lever les jambes.
Ma tête est lâchée en arrière, pénétrée par plusieurs militaires à tour de rôles, la position leur permet de me pratiquer des gorges profondes, plus aisément.
Avec perversité, je masturbe les bites qui sont entre mes doigts, le lieutenant m'enduit l'anus de lubrifiant, puis annonce au légionnaire.
"Allez commences, Mario !".
Son gland pousse fermement entre mes fesses, il écarte les cotés de mon œillet, puis lentement, sa bite me pénètre.
J'ai un énorme râle étouffé par les queues qui jouent avec ma gorge, pendant qu'il glisse jusqu'au fond de mon cul.
L'homme s'accroche à mes jambes relevées pendant ses premiers assauts.
Puis comme deux militaires l'aident en me tenant les cuisses écartées, Il pose une main sur mon ventre et l'autre à mon épaule pour m'enculer plus profondément encore.
Il me procure un premier orgasme énorme, sa vigueur est puissante et très généreuse en plaisir anal.
Mais le lieutenant ne veut pas qu'il éjacule dans mon anus et il l'arrête pour qu'un autre le remplace !
Je suis aussitôt rempli par une autre bite, qui me baise magnifiquement bien, puis chaque militaire m'encule jusqu'à me procurer un orgasme, sur la demande de mon lieutenant adoré.
Chaque militaire doit me faire jouir en m'enculant.
Je n'ai même pas remarqué que le Commandant est arrivé. C'est quand il m'encule, que je le reconnais.
"Vous pouvez aller jusqu'au bout, commandant, il a déjà bien joui !" lui dit le lieutenant.
"Merci, c'est gentil, mais je veux en profiter longtemps moi aussi, faites venir le sergent !".
Puis, c'est donc le militaire qui faisait le guet qui le remplace, il se déchaine et contre toute attente, c'est lui qui se déverse en premier dans mon cul.
Il recule lentement, en faisant remonter dans son canal urinaire, le reste de son sperme, il tient à tout me laisser dans l'anus, comme souvent.
J'ai toujours les cuisses ouvertes, ceux qui sont proches de mon cul admirent le résultat de toutes ses sodomies.
Mon œillet est écartelé, luisant et dégoulinant du sperme du sergent.
"Qui veut mettre sa dose ?". Demande le commandant.
Mario se manifeste et reprend sa défonce anale ou il l'avait arrêté.
Il pollue sa queue avec le sperme encore dans mon anus, mais il a l'air d'aimer ça !
Je ne sais plus à combien d'orgasmes, j'en suis.
Le lieutenant propose de me changer de position et je suis placé en chienne soumise sur le ventre avec mon cul à leur disposition !
Mario revient dans mon anus et termine de m'enculer jusqu'à l'explosion de son foutre en moi.
"Mon lieutenant ! C'est excitant, je peux éjaculer dans sa bouche ?". Demande un autre devant moi.
"Bien sur, je comprends, ne te gêne pas, il adore ça, tu le sais !".
Bien sur qu'il sait, ce n'est pas la première fois qu'il me remplit la gorge de son sperme délicieux.
On se connait bien tous les deux. Comme plus de la moitié des participants de notre orgie militaire.
Le sergent ayant vidé ses couilles, il retourne faire le guet, pour permettre à l'autre soldat de me baiser encore.
Un de mes camarades, va pour sortir de son baraquement pour me rendre visite, mais la vue des véhicules et du sergent devant ma porte le dissuade.
Cela me vaudra quelques questions gênantes.
A partir de ce moment, chacun fait ce qu'il désire avec moi, on m'encule, me défonce la gorge, me claque le cul pendant les assauts.
On me macule le visage de foutre, plusieurs fois, d'autres se déversent dans ma gorge, et surtout mon cul.
Les trois plus musclés me sodomisent debout comme une poupée gonflable, m'obligeant à m'accrocher à leur cou.
Même le moins membré m'apporte beaucoup de plaisir, il a une éjaculation puissante et étonnamment abondante.
Certains me nettoient l'anus avant de m'enculer à nouveau, les serviettes en papier s'accumulent au sol.
Ils me baisent sauvagement, d'autres prennent leur temps, le commandant me casse le cul jusqu'à la montée de son éjaculation, qu'il m'oblige à avaler pour mon plus grand bonheur.
Mon lieutenant adoré me termine en beauté en m'enculant lui aussi, puis m'arrose le visage et le torse à genoux devant lui.
Je mets du temps à sortir d'un état second, je reprend mes esprits et je compte les militaires présents.
Ils sont quatorze ! Plus le sergent et le commandant ! C'est ma plus grosse pluralité depuis nos jeux avec le lieutenant, et nous irons plus loin par la suite !
L'atelier est rempli d'odeurs sexuelles.
Le commandant remballe sa queue et me passe la main dans les cheveux.
"Merci, Pascal ! A la prochaine ! C'était excitant ! Ne changes rien !".
Il sort de l'atelier, certains militaires caressent encore leurs queues pendantes et humides au bout du gland.
Ils font des commentaires sur le plaisir qu'ils ont pris, l'un d'eux dit:
"Cette année, c'est le top ! On s'éclate bien avec gueule d'ange !".
Mais d'autres ont retrouvé de la vigueur, à force de regarder les autres qui me démontaient.
Je suis donc sollicité pour les satisfaire à nouveau, mais l'ambiance est plus détendue.
Un militaire se place devant ma bouche pour que je le suce, il est rejoint très rapidement par d'autres.
L'un d'eux s'allonge au sol et je m'empale sur lui pendant que je prodigue plusieurs fellations.
La tension sexuelle regagne en intensité, les mots crus sont lâchés sans arrêt.
Le premier qui éjacule va encore remplacer le sergent.
"Vas-y, moi, je me suis vidé les couilles deux fois !".
Je fais patienter certains en les masturbant entre mes doigts pendant qu'on m'encule et éjacule dans ma bouche.
Quand celui qui est sous moi se vide enfin, un autre me garde avec les fesses relevées pour se déchainer dans mon cul.
C'est la queue la plus épaisse, un légionnaire arabe. Il me fait crier un peu jusqu'à ce qu'on me couvre la bouche pour étouffer mon plaisir.
J'avale encore du sperme, plus liquide bien sûr, mais toujours aussi bon !
Finalement, les deux tiers reprennent une part du gâteau pervers, moi en l'occurrence.
Le moins membré éjacule trois fois, il me surprend encore par sa quantité de foutre.
Quand tout le monde est vidé, et moi bien rempli, je demande au lieutenant d'attendre, que je reprenne des forces, avant de laisser partir tout le monde.
On m'aide a m'essuyer le mieux possible, puis je me rhabille et je m'affale sur une chaise.
"Sergent! Ouvrez la fenêtre ! Ca pue le sperme et la sodomie !". Dit le lieutenant !
Deux soldats ramassent les serviettes de papier au sol pour en faire un tas.
"Bon, Pascal ! Bravo ! T'as assuré ! T'es le meilleur ! Ou plutôt "la meilleure salope" du camp !".
"Merci! Mon lieutenant ! Je suis épuisé, je vais pas demander mon reste ce soir !".
Ils me quittent enfin, j'efface lentement les traces de notre orgie avec le peu d'énergie qu'il me reste.
Mon copain entre 45 mn plus tard et me demande:
"Ils sont venus pourquoi ?".
Je garde une certaine distance pour qu'il ne remarque pas le sperme séché sur mon visage, et qui sait ? Peut être une odeur dans ma bouche, puis je lui réponds:
"Pour un travail pour le commandant et le lieutenant ! C'est compliqué ! Et pour les soucis que j'ai, avec l'adjudant !".
"Ah oui ! Je l'ai vu sortir au début, il avait pas l'air content ! Qu'il aille se faire enculer celui-là ! Mais t'as l'air fatigué !".
"Euh oui, je me sens pas bien ! J'ai du attraper quelque chose ! Vivement ce soir !".
Il ressort en reniflant plusieurs fois, pourvu qu'il ne reconnaisse pas l'odeur du sexe et du sperme !
S'il savait que celui qu'on a enculé, c'est moi ! Mais au vrai sens du terme !
Puis je réalise que le tas énorme de serviettes en papier que les militaires ont utilisé pour s'essuyer est toujours là !
Il suffirait qu'il les porte à son nez pour savoir que c'est du foutre et du jus d'anus qu'elles contiennent.
Puis mon anus m'incommode par des spasmes, je dois me contenir pour éviter qu'il devine ma gêne.
Enfin, il s'éloigne.
Je ferme derrière lui pour baisser mon pantalon précipitamment en m'accroupissant et me soulager du sperme accompagné de mes excès de sécrétions qui s'écoulent naturellement de mon anus.
Cela forme une tache au sol que j'essuie ensuite, je devrai recommencer plusieurs fois, en attendant la fin de ma journée, mais avec les serviettes jetables, cette fois.
Par précaution, j'ai fait un tas des serviettes en papier usagées et j'ai brulé le tout dans un bidon métallique.
Ce soir-là, je me suis couché bien avant tout le monde !
Après cela, l'adjudant m'a laissé tranquille.
Si les militaires qui m'enculaient me traitaient comme une salope quand ils me baisaient, ils me respectaient beaucoup en dehors de nos jeux, et j'adorai ça ! Même s'il m'appelaient "Gueule d'ange, la jolie salope du lieutenant !".
Dans l'ensemble, tout le monde a su garder le secret, la petite trentaine d'hommes qui participait (sur des milliers dans le camp), tenait trop à ces rencontres perverses.
J'ai questionné le lieutenant sur sa complicité avec le commandant.
"Comment vous avez su qu'il aimait les jeunes garçons comme moi ? Mon lieutenant !".
"C'est un pur hasard, j'ai du prendre le commandement du camp quand il a pris des vacances, et un jour, j'ai fouillé dans son bureau, je suis tombé sur des livres porno gay, bien cachés.
Comme on avait un rapport amical très fort, je lui ai avoué que moi aussi, j'aimais les jeunes hommes, il faut dire qu'on est tenté sans arrêt ici ! Surtout pendant les classes ! On vous voit tous à poil, c'est excitant !".
"Et pour les rencontres ?".
"Ca m'arrivait de baiser des jeunes militaires dans les toilettes du camp, à Marseille aussi, et sur une aire d'autoroute qui est pas loin.
J'ai commencé par en faire venir, quand je savais qu'ils étaient du camp.
Puis le commandant en a profité lui aussi, et petit à petit, les autres se sont ajoutés pour former ce groupe que tu connais ! Maintenant l'info circule entre amateurs de jeunes mecs".
"Je comprends maintenant pourquoi, il y a souvent des nouveaux !".
"C'est un camp d'entrainement, les militaires viennent de toute la France pour s'entrainer ! C'est normal !".
"Tant mieux ! C'est pas pour me déplaire ! Mon lieutenant !".
"Salope !".
"C'est grâce à vous ! Mon lieutenant !".
Il est assis sur son fauteuil, pendant que je suis enfoncé sur sa bite, il vient d'éjaculer dans mon anus.
On prend le temps d'apprécier ce moment magique, après le plaisir.
Je suis lové contre lui, en me laissant caresser le dos et les fesses, il m'embrasse de plus en plus souvent, et tendrement.
Il quitte ma bouche et me demande:
"Ca va avec l'adjudant ...? Il te laisses tranquille ? Je sais que l'adjudant-chef est en vacances".
"Ca peut aller, mon lieutenant ! Mais c'est vrai qu'il ne m'aime pas beaucoup, j'ai l'impression !".
"Ca ne m'étonnes pas ! C'est un con qui est prêt à tout pour de l'avancement !".
"La semaine dernière, Il s'est passé un truc qui m'a gêné ! Je me sens pas trop bien depuis !".
"Qu'est-ce qui s'est passé ?".
"C'est pas grave, mon lieutenant !".
"Racontes !".
Je lui raconte alors cette anecdote:
Nous sommes à l'appel et l'adjudant me donne l'ordre de ranger mon atelier, en choisissant quelques camarades de chambre.
"Vous diriger les opérations, vous serez aidé du sergent ...!".
Comme il y des choses assez lourdes à déplacer, au bout de deux heures à s'épuiser, un camarade se plaint que je reste inactif à donner des consignes.
"Et ... (il prononce mon nom)! Il nous regarde sans rien faire ? Sergent ?".
"Vous exécutez les ordres ! Même moi, je ne peux rien contre lui, il est protégé par les gradés ! Il est intouchable ! C'est comme ça !".
Cette réponse m'a fait l'effet d'une bombe, un gros choc, je ne pensais pas que j'avais autant de pouvoir.
J'ai donc participé aux efforts, c'était contre ma nature de profiter de cet avantage.
Mais j'ai senti que même mes meilleurs camarades m'en voulaient.
Le lieutenant me dit alors:
"C'est ça qui te gêne ? Profites ! Tu le mérites, même si je ne te baisais pas, j'utiliserai ton métier, comme l'adjudant chef, pour mon compte personnel ! C'est ce que je fais aussi, non ?".
"Oui, c'est vrai ! Mon lieutenant !".
"Donc, tu serais quand même protégé ! Et l'adjudant Chef ? Ca va ?".
"Oui, lui, je l'aime, bien, il est super ! Mon lieutenant ! S'il n'était pas hétéro, j'aurai aimé qu'il me baise ! Et j'adore sa femme !".
"Sa femme ? Tu la connais ?".
"Ah, vous ne savez pas ! L'adjudant me demande de l'aider à faire les courses, je m'occupe aussi de leur fille de 5 ans qui m'apprécie beaucoup, pendant qu'elle choisit les produits au supermarché. On parle beaucoup avec sa femme, elle est adorable !"
"J'y crois pas ! Tu fais les courses avec la femme de l'adjudant-chef !".
"Plus maintenant, l'adjudant-chef m'a annoncé qu'il préférai ne plus le demander, parce que sa femme m'aime trop, d'après lui ! Je lui ai dit qu'il pouvait me faire confiance, mais il m'a répondu que c'est en sa femme qu'il n'a pas confiance !".
"Ah, ah, ah ! Tu vois que tu plais aux filles ! Ne t'inquiètes pas ! Tu ne vas pas tarder à baiser avec une gonzesse !".
"J'espère mon lieutenant ! C'est étrange que les deux personnes que j'aime le plus dans le camp, je dois les appeler de la même manière !".
"C'est à dire !".
"Ben, on doit appeler l'adjudant-chef, mon lieutenant !".
"Ah c'est vrai ! C'est une bizarrerie de l'armée !".
"Par contre, avec l'adjudant ! J'ai déconné, il y a un mois, il a voulu me mettre au trou !".
"Je suis au courant de l'histoire, avec l'adjudant chef, on a bloqué sa demande, tu ne crains rien ! Tu as reçu le gros rouleau de papier essuie tout ?".
"Oui, c'est plus pratique ! Quand je reçois les visites de vos amis ! Merci ! Mon lieutenant !".
Je me redresse devinant que sa queue ramollit dans mon cul.
Je m'essuie l'anus et remonte mon pantalon. Le lieutenant m'embrasse longuement avant de répondre à la sonnerie du téléphone.
"Lieutenant T..., que voulez vous ? Ah... comment ça va ? Pascal est avec moi, justement ! On vient de terminer, je lui demande !".
Je suis étonné qu'il parle de nos ébats avec un autre homme, puis il me demande:
"Ca te dit qu'on organise un truc sympa, avec des copains, la semaine prochaine ? J'ai envie de changer de lieu, on verra ça plus tard, alors ?".
"Vous savez que j'adore vous faire plaisir ! Mon lieutenant ! Je vous laisse carte blanche !".
"Bon, c'est super ! Il est d'accord ! Ce qui ne m'étonnes pas !".
Les jours passent et un long Week End aussi.
L'adjudant chef est toujours en vacances, c'est donc l'adjudant qui le remplace et contrôle le centre de tir, dont je fais partie.
J'évite de le contrarier, mais ce n'est pas toujours facile.
Ce jour-là, nous sommes un mardi, le sexe commence à me manquer. Personne n'est venu me baiser la veille.
Alors que je suis en pleine activité, j'entend des bruits de véhicules militaires qui freinent devant mon atelier.
Des portes claquent, puis des soldats, qu'il me semble connaitre pour la plupart, entrent dans la pièce.
Mais l'adjudant surgit lui aussi, suivi du lieutenant qui me baise, je pense donc à une visite plus formelle.
"Bonjour soldat ...".
Je suis au garde à vous, je dois respecter les usages.
"Repos ! Alors montrez moi ce que vous faites en ce moment !".
Je lui montre, il reconnait un lit que je dois finir pour la fille de l'adjudant chef, puis une autre commande pour lui.
Et enfin un projet pour l'adjudant présent.
"Et ça ?".
"C'est pour moi ! Mon lieutenant !". Lui répond l'adjudant.
"Vous êtes gonflé ! Vous vous servez de lui et vous voulez le mettre au trou ?".
"Mon lieutenant ! C'est que...".
"Fermez-la et laissez nous ! J'attends le commandant ! Si vous ne voulez pas être saqué ! Vous disparaissez !".
L'adjudant quitte l'atelier, les militaires présents s'éclatent de rire, dès qu'ils savent qu'il est assez éloigné.
"Quel faux cul celui-là ! J'ai horreur de ce genre de mec !". Ajoute le lieutenant, provoquant de nouvelles moqueries.
"Bon ! On va passer à autre chose ! Sergent... Vous bloquez l'accès devant la porte, on vous relèvera dès que l'un de nous aura eu son compte ! Et faites entrer le commandant, dès qu'il arrive !".
"Oui, mon lieutenant !".
"Pascal, tu es prêt pour nous recevoir ?".
"Ici ? Mon lieutenant ?".
"Pourquoi pas, On va bien s'amuser, je pense ! C'est pas la première fois que tu te fais enculer dans l'atelier !".
"Non ! Bien sûr ! Mon lieutenant ! Mais vous êtes nombreux ! Je crois que je vais bien dormir ce soir !".
"Alors, c'est parti ! Foutez le à poil !".
On me déshabille entièrement, pendant qu'on prépare un endroit ou je pourrai m'appuyer pour assouvir leurs désirs
Me retrouver nu devant ces militaires en tenues, m'excite énormément.
Je suis entouré et caressé par une multitude de mains fouilleuses.
On me force à m'agenouiller devant des queues en érection.
Je retrouve certains sexes que je reconnais, mais d'autres sont inconnus, notamment 3 légionnaires d'origines différentes, latine, pays de l'est et arabe.
Je me demande comment le lieutenant faisait pour trouver tous ces hommes.
Tous les hommes passent dans ma bouche, parfois par deux, et j'arrive par moment à lécher 4 glands gonflés à la fois.
Mais si avaler deux sexes est possible, pendant quelques secondes, il est plus agréable pour mes amants de me baiser la gorge, seuls, tour à tour.
Le lieutenant me fait poser sur une caisse à hauteur de queue, sur le dos, puis demande au légionnaire latino de me lever les jambes.
Ma tête est lâchée en arrière, pénétrée par plusieurs militaires à tour de rôles, la position leur permet de me pratiquer des gorges profondes, plus aisément.
Avec perversité, je masturbe les bites qui sont entre mes doigts, le lieutenant m'enduit l'anus de lubrifiant, puis annonce au légionnaire.
"Allez commences, Mario !".
Son gland pousse fermement entre mes fesses, il écarte les cotés de mon œillet, puis lentement, sa bite me pénètre.
J'ai un énorme râle étouffé par les queues qui jouent avec ma gorge, pendant qu'il glisse jusqu'au fond de mon cul.
L'homme s'accroche à mes jambes relevées pendant ses premiers assauts.
Puis comme deux militaires l'aident en me tenant les cuisses écartées, Il pose une main sur mon ventre et l'autre à mon épaule pour m'enculer plus profondément encore.
Il me procure un premier orgasme énorme, sa vigueur est puissante et très généreuse en plaisir anal.
Mais le lieutenant ne veut pas qu'il éjacule dans mon anus et il l'arrête pour qu'un autre le remplace !
Je suis aussitôt rempli par une autre bite, qui me baise magnifiquement bien, puis chaque militaire m'encule jusqu'à me procurer un orgasme, sur la demande de mon lieutenant adoré.
Chaque militaire doit me faire jouir en m'enculant.
Je n'ai même pas remarqué que le Commandant est arrivé. C'est quand il m'encule, que je le reconnais.
"Vous pouvez aller jusqu'au bout, commandant, il a déjà bien joui !" lui dit le lieutenant.
"Merci, c'est gentil, mais je veux en profiter longtemps moi aussi, faites venir le sergent !".
Puis, c'est donc le militaire qui faisait le guet qui le remplace, il se déchaine et contre toute attente, c'est lui qui se déverse en premier dans mon cul.
Il recule lentement, en faisant remonter dans son canal urinaire, le reste de son sperme, il tient à tout me laisser dans l'anus, comme souvent.
J'ai toujours les cuisses ouvertes, ceux qui sont proches de mon cul admirent le résultat de toutes ses sodomies.
Mon œillet est écartelé, luisant et dégoulinant du sperme du sergent.
"Qui veut mettre sa dose ?". Demande le commandant.
Mario se manifeste et reprend sa défonce anale ou il l'avait arrêté.
Il pollue sa queue avec le sperme encore dans mon anus, mais il a l'air d'aimer ça !
Je ne sais plus à combien d'orgasmes, j'en suis.
Le lieutenant propose de me changer de position et je suis placé en chienne soumise sur le ventre avec mon cul à leur disposition !
Mario revient dans mon anus et termine de m'enculer jusqu'à l'explosion de son foutre en moi.
"Mon lieutenant ! C'est excitant, je peux éjaculer dans sa bouche ?". Demande un autre devant moi.
"Bien sur, je comprends, ne te gêne pas, il adore ça, tu le sais !".
Bien sur qu'il sait, ce n'est pas la première fois qu'il me remplit la gorge de son sperme délicieux.
On se connait bien tous les deux. Comme plus de la moitié des participants de notre orgie militaire.
Le sergent ayant vidé ses couilles, il retourne faire le guet, pour permettre à l'autre soldat de me baiser encore.
Un de mes camarades, va pour sortir de son baraquement pour me rendre visite, mais la vue des véhicules et du sergent devant ma porte le dissuade.
Cela me vaudra quelques questions gênantes.
A partir de ce moment, chacun fait ce qu'il désire avec moi, on m'encule, me défonce la gorge, me claque le cul pendant les assauts.
On me macule le visage de foutre, plusieurs fois, d'autres se déversent dans ma gorge, et surtout mon cul.
Les trois plus musclés me sodomisent debout comme une poupée gonflable, m'obligeant à m'accrocher à leur cou.
Même le moins membré m'apporte beaucoup de plaisir, il a une éjaculation puissante et étonnamment abondante.
Certains me nettoient l'anus avant de m'enculer à nouveau, les serviettes en papier s'accumulent au sol.
Ils me baisent sauvagement, d'autres prennent leur temps, le commandant me casse le cul jusqu'à la montée de son éjaculation, qu'il m'oblige à avaler pour mon plus grand bonheur.
Mon lieutenant adoré me termine en beauté en m'enculant lui aussi, puis m'arrose le visage et le torse à genoux devant lui.
Je mets du temps à sortir d'un état second, je reprend mes esprits et je compte les militaires présents.
Ils sont quatorze ! Plus le sergent et le commandant ! C'est ma plus grosse pluralité depuis nos jeux avec le lieutenant, et nous irons plus loin par la suite !
L'atelier est rempli d'odeurs sexuelles.
Le commandant remballe sa queue et me passe la main dans les cheveux.
"Merci, Pascal ! A la prochaine ! C'était excitant ! Ne changes rien !".
Il sort de l'atelier, certains militaires caressent encore leurs queues pendantes et humides au bout du gland.
Ils font des commentaires sur le plaisir qu'ils ont pris, l'un d'eux dit:
"Cette année, c'est le top ! On s'éclate bien avec gueule d'ange !".
Mais d'autres ont retrouvé de la vigueur, à force de regarder les autres qui me démontaient.
Je suis donc sollicité pour les satisfaire à nouveau, mais l'ambiance est plus détendue.
Un militaire se place devant ma bouche pour que je le suce, il est rejoint très rapidement par d'autres.
L'un d'eux s'allonge au sol et je m'empale sur lui pendant que je prodigue plusieurs fellations.
La tension sexuelle regagne en intensité, les mots crus sont lâchés sans arrêt.
Le premier qui éjacule va encore remplacer le sergent.
"Vas-y, moi, je me suis vidé les couilles deux fois !".
Je fais patienter certains en les masturbant entre mes doigts pendant qu'on m'encule et éjacule dans ma bouche.
Quand celui qui est sous moi se vide enfin, un autre me garde avec les fesses relevées pour se déchainer dans mon cul.
C'est la queue la plus épaisse, un légionnaire arabe. Il me fait crier un peu jusqu'à ce qu'on me couvre la bouche pour étouffer mon plaisir.
J'avale encore du sperme, plus liquide bien sûr, mais toujours aussi bon !
Finalement, les deux tiers reprennent une part du gâteau pervers, moi en l'occurrence.
Le moins membré éjacule trois fois, il me surprend encore par sa quantité de foutre.
Quand tout le monde est vidé, et moi bien rempli, je demande au lieutenant d'attendre, que je reprenne des forces, avant de laisser partir tout le monde.
On m'aide a m'essuyer le mieux possible, puis je me rhabille et je m'affale sur une chaise.
"Sergent! Ouvrez la fenêtre ! Ca pue le sperme et la sodomie !". Dit le lieutenant !
Deux soldats ramassent les serviettes de papier au sol pour en faire un tas.
"Bon, Pascal ! Bravo ! T'as assuré ! T'es le meilleur ! Ou plutôt "la meilleure salope" du camp !".
"Merci! Mon lieutenant ! Je suis épuisé, je vais pas demander mon reste ce soir !".
Ils me quittent enfin, j'efface lentement les traces de notre orgie avec le peu d'énergie qu'il me reste.
Mon copain entre 45 mn plus tard et me demande:
"Ils sont venus pourquoi ?".
Je garde une certaine distance pour qu'il ne remarque pas le sperme séché sur mon visage, et qui sait ? Peut être une odeur dans ma bouche, puis je lui réponds:
"Pour un travail pour le commandant et le lieutenant ! C'est compliqué ! Et pour les soucis que j'ai, avec l'adjudant !".
"Ah oui ! Je l'ai vu sortir au début, il avait pas l'air content ! Qu'il aille se faire enculer celui-là ! Mais t'as l'air fatigué !".
"Euh oui, je me sens pas bien ! J'ai du attraper quelque chose ! Vivement ce soir !".
Il ressort en reniflant plusieurs fois, pourvu qu'il ne reconnaisse pas l'odeur du sexe et du sperme !
S'il savait que celui qu'on a enculé, c'est moi ! Mais au vrai sens du terme !
Puis je réalise que le tas énorme de serviettes en papier que les militaires ont utilisé pour s'essuyer est toujours là !
Il suffirait qu'il les porte à son nez pour savoir que c'est du foutre et du jus d'anus qu'elles contiennent.
Puis mon anus m'incommode par des spasmes, je dois me contenir pour éviter qu'il devine ma gêne.
Enfin, il s'éloigne.
Je ferme derrière lui pour baisser mon pantalon précipitamment en m'accroupissant et me soulager du sperme accompagné de mes excès de sécrétions qui s'écoulent naturellement de mon anus.
Cela forme une tache au sol que j'essuie ensuite, je devrai recommencer plusieurs fois, en attendant la fin de ma journée, mais avec les serviettes jetables, cette fois.
Par précaution, j'ai fait un tas des serviettes en papier usagées et j'ai brulé le tout dans un bidon métallique.
Ce soir-là, je me suis couché bien avant tout le monde !
Après cela, l'adjudant m'a laissé tranquille.
Si les militaires qui m'enculaient me traitaient comme une salope quand ils me baisaient, ils me respectaient beaucoup en dehors de nos jeux, et j'adorai ça ! Même s'il m'appelaient "Gueule d'ange, la jolie salope du lieutenant !".
Dans l'ensemble, tout le monde a su garder le secret, la petite trentaine d'hommes qui participait (sur des milliers dans le camp), tenait trop à ces rencontres perverses.
J'ai questionné le lieutenant sur sa complicité avec le commandant.
"Comment vous avez su qu'il aimait les jeunes garçons comme moi ? Mon lieutenant !".
"C'est un pur hasard, j'ai du prendre le commandement du camp quand il a pris des vacances, et un jour, j'ai fouillé dans son bureau, je suis tombé sur des livres porno gay, bien cachés.
Comme on avait un rapport amical très fort, je lui ai avoué que moi aussi, j'aimais les jeunes hommes, il faut dire qu'on est tenté sans arrêt ici ! Surtout pendant les classes ! On vous voit tous à poil, c'est excitant !".
"Et pour les rencontres ?".
"Ca m'arrivait de baiser des jeunes militaires dans les toilettes du camp, à Marseille aussi, et sur une aire d'autoroute qui est pas loin.
J'ai commencé par en faire venir, quand je savais qu'ils étaient du camp.
Puis le commandant en a profité lui aussi, et petit à petit, les autres se sont ajoutés pour former ce groupe que tu connais ! Maintenant l'info circule entre amateurs de jeunes mecs".
"Je comprends maintenant pourquoi, il y a souvent des nouveaux !".
"C'est un camp d'entrainement, les militaires viennent de toute la France pour s'entrainer ! C'est normal !".
"Tant mieux ! C'est pas pour me déplaire ! Mon lieutenant !".
"Salope !".
"C'est grâce à vous ! Mon lieutenant !".
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