IRRÉCUPÉRABLE
Récit érotique écrit par Tamalou [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 06-09-2020 dans la catégorie Dans la zone rouge
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IRRÉCUPÉRABLE
Ma femme et à moi, nous aimons pimenter nos ébats par des jeux de rôle. Généralement, dans l'intimité de notre foyer, nous trouvons stimulant ce passe-temps. C'est inoffensif et c'est notre façon d’agrémenter nos rapports sexuels. De temps en temps, lorsque nous nous sentons audacieux, nous allons dans un bar où personne ne nous connaît pour jouer de nos fantasmes. Nous avons même laissé un étranger ou deux participer fortuitement, de manière très limitée.
Je demande seulement à Anne de flirter un peu avec le gars, peut-être même une danse ou deux. Une fois, un jeune homme qui semblait plaire à Anne l’a embrassée dans le cou, mais c'était très inhabituel.
Bien que passionnant, mais nous avons trop peur des conséquences, en particulier des maladies.
C’était une soirée pas très différente des autres. Nous avions choisi ce bar pour son éloignement. Il y avait ce jeune homme qui montrait un intérêt évident pour Anne. Sa jeunesse, probablement à peine majeur, son look trop typé racaille, m’ont induit en erreur. Je l’ai jugé inoffensif et inexpérimenté. D’autant plus qu’il ne plaisait vraiment pas à ma femme.
Il n'arrêtait pas de venir à notre table pour lui demander une danse. Je ressentais un niveau d'excitation élevé et j’incitais Anne à être plus entreprenante en flirtant un peu avec lui. Elle obéissait, mais son regard courroucé m’informait de ses réticences à jouer avec ce jeune gars prénommé Mourad.
Après un certain temps, je pouvais facilement deviner que Mourad était plus qu'un peu amoureux d’Anne. Ma femme, par contre, montrait quelques signes d’embarras, et souhaitait écourter la soirée. Je suis devenu impitoyablement tyrannique, et j'ai invité Mourad à venir s'asseoir à notre table.
Il s'est assis sur la banquette à côté d'Anne, très près d’elle. J'ai exigé d’Anne qu’elle ait un comportement plus qu’amical avec lui. En quelques minutes, j'ai été récompensé en regardant Mourad enlacer tendrement Anne, juste en face moi.
Bien que je ne puisse pas voir précisément sa main, je pouvais deviner qu'il massait son flanc, juste sous le sein. Nous n’avions jamais toléré autant de familiarité auparavant. J’étais déjà très excité par le spectacle.
Quand Mourad s'est levé pour nous ravitailler en boisson, j'ai insisté auprès d’Anne pour qu’elle continue encore un peu à jouer avec ce gars, car cela devenait très excitant. Elle a protesté en disant qu’il était trop familier, un peu sans-gêne, et même peut-être trop excité pour elle. Elle m’a averti en me disant que tout était sous ma responsabilité.
J’ai réussi à vaincre ses hésitations, elle a consenti, en me disant que je devrais maîtriser la situation, si elle n’était plus capable de contenir le jeune homme. Elle a bien insisté, elle me faisait confiance, j’étais responsable.
Quand Mourad est revenu, j'ai suggéré que nous sortions pour faire un tour. Mourad a accepté volontiers. Mon intention était d’installer Anne entre nous deux, sur la banquette arrière de l’auto, laissant son chevalier servant lui faire une cour passionnée, pendant que je les regardais. Cette pensée rendait mon sexe rigide.
Mourad a galamment aidé Anne à se lever, puis il l'a enlacée de manière possessive pour la guider vers le parking.
Quand j’ai déverrouillé la voiture, nous nous sommes installés, Anne coincée entre nous deux. En plaisantant, Mourad a enlacé Anne en l’embrassant dans le cou. Percevant l’absence de réticences, il l’a embrassée passionnément sur la bouche. Une vague de désir a parcouru mes reins.
J'ai demandé en ricanant si je pouvais avoir une part, et Mourad s'est retiré pour me laisser embrasser Anne. En l'embrassant, je n'ai pas pu résister à l'envie de caresser ses seins libres de toute entrave. Nous n'étions jamais allés aussi loin auparavant, mais la convoitise anesthésiait notre discernement. Étonnamment, en repensant à cette situation, je n'ai jamais senti venir le danger.
Nous sommes restés à l'arrière pendant un moment, avec Anne entre nous deux. Mourad a immédiatement repris ses travaux de conquête, embrassant ma femme à pleine bouche, et la pelotant sans vergogne, pendant que je me rencognais pour le regarder s’approprier ma femme, totalement fasciné par son impertinence.
Anne était happée par les attentions fiévreuses de Mourad. J'ai glissé ma main entre ses jambes et elle les a écartées. Cela m'a un peu surpris, car elle ne percevait probablement pas à qui appartenait la main. Du coin de l’œil, Mourad a intercepté mon geste, et sa main a rejoint la mienne sous la jupe d’Anne.
Nous avons commencé à caresser l’intérieur de ses cuisses, mais la main de Mourad a précédé la mienne sur la chatte de ma femme. Sentant que j'étais sur le point de jouir, je me suis de nouveau reculé en essayant de me calmer.
Pendant ce temps, la fragile protection de la culotte en dentelle d’Anne a cédé, et les doigts de Mourad ont pénétré à l’intérieur de ma femme, pendant qu’il l’embrassait voracement. J'ai été frappé par l'idée que, pour la première fois, un autre homme que moi explorait la chatte d'Anne.
C’est en entendant gémir Anne que j’ai dû réunir tout ce que j'avais pour m'empêcher de jouir sur-le-champ. C'est à ce moment-là que j'ai commencé à m'inquiéter de l’endroit où nous étions, sur ce parking bien éclairé, au vu et au su de tous, et que ce n'était pas le bon endroit pour faire ce que nous faisions.
Je me suis littéralement arraché à ma contemplation, et j'ai dit d'une voix rauque que j'allais nous emmener dans un endroit plus propice. Mon intention à ce moment-là était de trouver un endroit tranquille où Mourad, Anne et moi, pourrions continuer notre petit jeu sans être dérangés.
J'ai quitté la banquette arrière pour m’installer derrière le volant. Mon érection ne facilitait pas mes déplacements. Je devais avoir l'air bizarre en me déplaçant courbé en deux. Mourad a profité de l'espace supplémentaire pour allonger Anne sur la banquette.
Assis sur le siège avant, j'ai regardé fasciné, Mourad déboutonner son corsage. J'ai assisté à la mise à nu de ses seins, l’ouverture des portes ayant déclenché l’éclairage du véhicule. Ses mamelons durs et dressés apparurent à ma vue pendant une seconde avant que la bouche de Mourad ne les engloutisse.
J'ai été enfiévré par le son de ses lèvres tétant ses mamelons. Le corps tout entier d'Anne vibrait sous les caresses de Mourad. La bouche tétant et mordillant ses seins, la chatte envahie par les doigts agiles, elle s’offrait, impudique et soumise, à l’emprise de son amant.
La voiture oscillait à cause de la joute amoureuse qui s’y déroulait. Plusieurs personnes commençaient à s’approcher de notre voiture. Je savais que nous devions partir de là en vitesse, mais j’étais effaré par la rapidité avec laquelle Anne avait cédé devant l’audace du gars. Je le croyais inexpérimenté, mais ses caresses avaient fait tomber toutes les barrières, et elle se trouvait maintenant à sa merci.
Je me suis retourné sur le siège avant et j'ai mis ma ceinture de sécurité en place. Choqué, mes mains ont commencé à trembler, mes pensées prises en otage entre deux impératifs. Fuir cet endroit trop exposé, et assister au déroulement des évènements sur la banquette arrière de la voiture.
La pensée m'est soudainement venue que je n'avais pas envisagé cette alternative. Aussi naïf que je puisse être, je n'avais pas envisagé un instant qu’Anne pouvait céder aux caresses de Mourad.
J'ai ajusté frénétiquement mon rétroviseur. Mourad luttait avec la ceinture de son pantalon. Maintenant, je savais avec certitude que je devais sortir rapidement de ce parking.
Délaissant à contrecœur le rétroviseur, je mettais le contact et démarrais le moteur. J’ai jeté un nouveau coup d'œil, juste à temps pour voir Mourad repousser son pantalon et son boxer sous ses genoux. Anne a doucement prononcé mon prénom à plusieurs reprises, comme un ultime appel à l’aide.
Les hommes entouraient maintenant la voiture, cherchant à voir ce qui se passait à l’intérieur. Sans réfléchir, sans réajuster le rétroviseur pour voir la route, j’ai démarré pour échapper aux voyeurs. En sortant du parking, un coup d’œil rapide au rétro, j’ai vu comme un éclair, sa queue brillait dans la semi-pénombre, bondissant de haut en bas à cause des cahots, s’agitant dangereusement près de la chatte offerte de ma femme.
Notre petit jeu de rôle bien innocent avait définitivement pris une tournure très différente de celle prévue. Je conduisais machinalement, plus attentif au déroulement des péripéties sur la banquette arrière, qu’à la route. Je me suis engagé sur une grande avenue, violemment éclairée. Je ne connaissais pas le quartier, je ne savais pas où trouver l’endroit adéquat. Le temps pressait, je devais arrêter Mourad dans son entreprise de baiser ma femme.
Mon cerveau refusant de fonctionner, mes pensées occupées par mon vœu de trouver un endroit tranquille, j’ai assisté impuissant à la déchéance de ma femme. J’ai vu Mourad soulever les jambes d’Anne et les positionner, une sur le dossier de la banquette arrière, l’autre par-dessus le dossier de mon siège, sur mon épaule.
Dans le même mouvement, Mourad s’est allongé entre les cuisses ouvertes d’Anne, et son cul a disparu de ma vue.
Tentant de réajuster maladroitement le rétroviseur, j'entendis le glapissement aigu suivit d’une longue expiration d'Anne.
J’ai eu le souffle coupé, car j’ai compris instinctivement que la bite dressée de Mourad venait de glisser dans la chatte d'Anne. J'étais à peine capable de conduire la voiture en pensant que je devais m'arrêter et me précipiter à l'arrière.
J'ai essayé de trouver un endroit pour m'arrêter en toute sécurité. Mais nous étions en centre ville, éclairés comme en plein jour. L’instant d’après, c'était trop tard. Mourad s’arc-boutait contre la carrosserie, et son cul musclé poussait avec force sa bite dans les profondeurs de ma femme. Rapidement, il a pris son rythme pour baiser ma femme.
Je n'oublierais jamais l’instant suivant. Anne prononça quelques paroles inintelligibles et, rapidement, sa respiration devint haletante. Elle avait succombé à la tentation, et aux ardeurs du gars. Je ne pouvais pas la blâmer, surtout avec cette jeune bite qui la allait et venait en elle avec force, et ce jeune homme survolté qui l’embrassait passionnément.
J'ai tenté de regarder par instant, mais la conduite de la voiture m’accaparait. J’ai essayé d’écouter, malgré le bruit de la voiture, les sons qui me parvenaient de l’arrière. J’entendais surtout les grognements de Mourad et les gémissements d’Anne. Par instant, je percevais les sons produits par la bite de Mourad forant la chatte très réceptive d’Anne. J’étais sûr, par les sons produits, que la chatte d’Anne était bien mouillée, et que son amant la baisait énergiquement.
Le pied gauche d'Anne était resté sur mon épaule à côté de ma tête, tremblant frénétiquement pendant que Mourad martelait vigoureusement son vagin étroit. Les odeurs de sexe envahissaient l'intérieur de la voiture.
Ma bite avait mollie pendant la pénétration, mais maintenant j'étais redevenu raide, avec une étrange combinaison de fascination, de cynisme et de jalousie. À ce moment-là, Mourad a annoncé haut et fort qu'il allait jouir. Puis il a demandé à ma femme si elle voulait qu’il se retire. Elle a presque crié « non, reste ! ». Et plus bas : « baise-moi, baise-moi fort ! »
Nous n'étions pas sortis ce soir-là avec l'intention de prolonger notre petit jeu de rôle jusque là. Nous n’avions pas envisagé une seule seconde que cela puisse se produire. Mais nous ne regrettions pas la tournure des évènements.
Moi, j'étais bien trop excité pour empêcher quoi que ce soit, et Anne avait perdu le contrôle depuis un bon moment.
J’ai enfin réussi à trouver un parking désert et relativement sombre. Je me suis garé en plein milieu. En coupant le moteur, je me suis aperçu que j’avais roulé jusque là tous feux éteints. Juste à ce moment-là, les gémissements et les soupirs d’Anne se sont transformés en cris d’extase. Mourad s’est mis à grogner et à renifler comme un sanglier.
Je me suis retourné rapidement, ne voulant pas rater une miette du spectacle. La seule façon pour moi de participer, c’était d'attraper le pied d'Anne qui se crispait en tremblant, pendant que les fesses de Mourad se contractaient, et que son sexe crachait sa semence chaude au fond du vagin d’Anne. Le plus impressionnant, c’était les hanches d’Anne qui se soulevaient de la banquette, à la rencontre de son amant, pour l’accueillir au plus profond de sa féminité.
Je regardais de près, fasciné par le spectacle de ce couple en plein coït. Puis, de manière incontrôlable, sans me toucher, je suis venu furtivement à l'intérieur de mon pantalon.
Il nous a fallu un certain temps pour nous calmer et reprendre le contact avec la réalité.
Anne a fini par se calmer et retirer ses mains crispées sur le dos de Mourad. Ses doigts et surtout ses ongles ont laissé des marques très visibles sur sa peau. En panique, elle a chuchoté à Mourad de ne pas se retirer « s’il te plaît, ma chatte est trop sensible, reste en moi ! » Ils sont restés allongés comme ça, s’embrassant langoureusement, se câlinant, respirant profondément à cause des efforts fournis.
Après un moment, Anne a dit : « Oh, waouh ! » Puis, un autre moment s'est écoulé, et elle a répété : « Oh, waouh ! »Mourad a recommencé à bouger son cul lentement, de haut en bas. Il m’a fallut un moment pour réaliser que les exclamations d'Anne concernaient la bite de Mourad, qu’elle sentait se dilater en elle.
Anne a supplié « non, s'il te plaît, pas encore, je suis morte ! » mais Mourad a continué à pomper lentement son sexe dans et hors d'elle, en lui murmurant que tout irait bien. Quelques instant plus tard, Anne respirait fort, les yeux fermés, et elle ne se plaignait plus de sa chatte trop sensible.
Mourad a accéléré progressivement son rythme, maltraitant furieusement la chatte d’Anne. De plus en plus fort, encore plus fort qu'avant, comme pour la dégrader. Anne, gémissante et haletante, subissait l’assaut de son amant, soumise à son caprice. Leur coït a duré longtemps avant que Mourad se libère dans le vagin d’Anne.
Tous deux sont restés longtemps enlacés, échangeant de doux baisers.
Quand Mourad a finalement retiré sa bite en détumescence d'Anne, cela a été accompagné d'un son de succion très humide. Sa chatte était si sensible qu'elle a sursauté. Un torrent de sperme s’est écoulé sur le siège de la voiture.
Mourad s’est redressé, et s’est assis entre les jambes écartées d'Anne. Avec ses pouces, il massait doucement la chatte d’Anne pour en faire sortir les jus qui s’y trouvaient. Anne restait dolente et alanguie, bien baisée et épuisée par le jeune homme. Elle le dévisageait entre ses paupières mi-closes, et j’ai pensé à ce moment-là qu’elle était amoureuse de lui.
Elle s’était soumise à son mâle désir, acceptant de lui un coït qu’elle m’aurait probablement refusé. Cela m'a frappé à ce moment-là, la jalousie reprenant le dessus, mais il a vraiment baisé ma femme sans protection, comme une pétasse.
Il l’avait marquée, laissant une trace indélébile dans son cœur et dans son esprit, et j’ai compris à cet instant que rien ne serait plus comme avant. J'ai roulé lentement jusqu'au parking du bar, pour leur laisser le temps de se chuchoter des confidences.
Nous avons laissé Mourad à l’entrée du parking. Il nous a dit qu'il attendrait avec impatience notre prochaine rencontre. Il s’est penché pour embrasser Anne profondément et langoureusement. Elle lui a rendu son baiser avec passion.
Il est parti et j’ai redémarré. Anne s'est appuyée contre moi et elle a posé sa tête contre mon épaule. Elle m'a regardé avec étonnement et m’a dit qu'elle ne pouvait pas croire que je l’avais laissée « faire ça » avec un inconnu. J'ai répondu méchamment qu’elle s’était offerte tellement vite que je n’avais pas eu le temps d’intervenir. On s’est engueulé un petit peu, puis ça s’est calmé.
J'ai demandé : « tu as vraiment aimé, n'est-ce pas ? » Elle a rougi, m’a regardé d'un air penaud et m’a dit : « oui, c’était un amant merveilleux ! »Je lui ai confié honnêtement que je n'avais jamais été aussi excité, et que j'avais éjaculé sans me toucher. Elle a mis la main pour vérifier et, d’une toute petite voix, m’a demandé : « on pourra le revoir ? »
Je demande seulement à Anne de flirter un peu avec le gars, peut-être même une danse ou deux. Une fois, un jeune homme qui semblait plaire à Anne l’a embrassée dans le cou, mais c'était très inhabituel.
Bien que passionnant, mais nous avons trop peur des conséquences, en particulier des maladies.
C’était une soirée pas très différente des autres. Nous avions choisi ce bar pour son éloignement. Il y avait ce jeune homme qui montrait un intérêt évident pour Anne. Sa jeunesse, probablement à peine majeur, son look trop typé racaille, m’ont induit en erreur. Je l’ai jugé inoffensif et inexpérimenté. D’autant plus qu’il ne plaisait vraiment pas à ma femme.
Il n'arrêtait pas de venir à notre table pour lui demander une danse. Je ressentais un niveau d'excitation élevé et j’incitais Anne à être plus entreprenante en flirtant un peu avec lui. Elle obéissait, mais son regard courroucé m’informait de ses réticences à jouer avec ce jeune gars prénommé Mourad.
Après un certain temps, je pouvais facilement deviner que Mourad était plus qu'un peu amoureux d’Anne. Ma femme, par contre, montrait quelques signes d’embarras, et souhaitait écourter la soirée. Je suis devenu impitoyablement tyrannique, et j'ai invité Mourad à venir s'asseoir à notre table.
Il s'est assis sur la banquette à côté d'Anne, très près d’elle. J'ai exigé d’Anne qu’elle ait un comportement plus qu’amical avec lui. En quelques minutes, j'ai été récompensé en regardant Mourad enlacer tendrement Anne, juste en face moi.
Bien que je ne puisse pas voir précisément sa main, je pouvais deviner qu'il massait son flanc, juste sous le sein. Nous n’avions jamais toléré autant de familiarité auparavant. J’étais déjà très excité par le spectacle.
Quand Mourad s'est levé pour nous ravitailler en boisson, j'ai insisté auprès d’Anne pour qu’elle continue encore un peu à jouer avec ce gars, car cela devenait très excitant. Elle a protesté en disant qu’il était trop familier, un peu sans-gêne, et même peut-être trop excité pour elle. Elle m’a averti en me disant que tout était sous ma responsabilité.
J’ai réussi à vaincre ses hésitations, elle a consenti, en me disant que je devrais maîtriser la situation, si elle n’était plus capable de contenir le jeune homme. Elle a bien insisté, elle me faisait confiance, j’étais responsable.
Quand Mourad est revenu, j'ai suggéré que nous sortions pour faire un tour. Mourad a accepté volontiers. Mon intention était d’installer Anne entre nous deux, sur la banquette arrière de l’auto, laissant son chevalier servant lui faire une cour passionnée, pendant que je les regardais. Cette pensée rendait mon sexe rigide.
Mourad a galamment aidé Anne à se lever, puis il l'a enlacée de manière possessive pour la guider vers le parking.
Quand j’ai déverrouillé la voiture, nous nous sommes installés, Anne coincée entre nous deux. En plaisantant, Mourad a enlacé Anne en l’embrassant dans le cou. Percevant l’absence de réticences, il l’a embrassée passionnément sur la bouche. Une vague de désir a parcouru mes reins.
J'ai demandé en ricanant si je pouvais avoir une part, et Mourad s'est retiré pour me laisser embrasser Anne. En l'embrassant, je n'ai pas pu résister à l'envie de caresser ses seins libres de toute entrave. Nous n'étions jamais allés aussi loin auparavant, mais la convoitise anesthésiait notre discernement. Étonnamment, en repensant à cette situation, je n'ai jamais senti venir le danger.
Nous sommes restés à l'arrière pendant un moment, avec Anne entre nous deux. Mourad a immédiatement repris ses travaux de conquête, embrassant ma femme à pleine bouche, et la pelotant sans vergogne, pendant que je me rencognais pour le regarder s’approprier ma femme, totalement fasciné par son impertinence.
Anne était happée par les attentions fiévreuses de Mourad. J'ai glissé ma main entre ses jambes et elle les a écartées. Cela m'a un peu surpris, car elle ne percevait probablement pas à qui appartenait la main. Du coin de l’œil, Mourad a intercepté mon geste, et sa main a rejoint la mienne sous la jupe d’Anne.
Nous avons commencé à caresser l’intérieur de ses cuisses, mais la main de Mourad a précédé la mienne sur la chatte de ma femme. Sentant que j'étais sur le point de jouir, je me suis de nouveau reculé en essayant de me calmer.
Pendant ce temps, la fragile protection de la culotte en dentelle d’Anne a cédé, et les doigts de Mourad ont pénétré à l’intérieur de ma femme, pendant qu’il l’embrassait voracement. J'ai été frappé par l'idée que, pour la première fois, un autre homme que moi explorait la chatte d'Anne.
C’est en entendant gémir Anne que j’ai dû réunir tout ce que j'avais pour m'empêcher de jouir sur-le-champ. C'est à ce moment-là que j'ai commencé à m'inquiéter de l’endroit où nous étions, sur ce parking bien éclairé, au vu et au su de tous, et que ce n'était pas le bon endroit pour faire ce que nous faisions.
Je me suis littéralement arraché à ma contemplation, et j'ai dit d'une voix rauque que j'allais nous emmener dans un endroit plus propice. Mon intention à ce moment-là était de trouver un endroit tranquille où Mourad, Anne et moi, pourrions continuer notre petit jeu sans être dérangés.
J'ai quitté la banquette arrière pour m’installer derrière le volant. Mon érection ne facilitait pas mes déplacements. Je devais avoir l'air bizarre en me déplaçant courbé en deux. Mourad a profité de l'espace supplémentaire pour allonger Anne sur la banquette.
Assis sur le siège avant, j'ai regardé fasciné, Mourad déboutonner son corsage. J'ai assisté à la mise à nu de ses seins, l’ouverture des portes ayant déclenché l’éclairage du véhicule. Ses mamelons durs et dressés apparurent à ma vue pendant une seconde avant que la bouche de Mourad ne les engloutisse.
J'ai été enfiévré par le son de ses lèvres tétant ses mamelons. Le corps tout entier d'Anne vibrait sous les caresses de Mourad. La bouche tétant et mordillant ses seins, la chatte envahie par les doigts agiles, elle s’offrait, impudique et soumise, à l’emprise de son amant.
La voiture oscillait à cause de la joute amoureuse qui s’y déroulait. Plusieurs personnes commençaient à s’approcher de notre voiture. Je savais que nous devions partir de là en vitesse, mais j’étais effaré par la rapidité avec laquelle Anne avait cédé devant l’audace du gars. Je le croyais inexpérimenté, mais ses caresses avaient fait tomber toutes les barrières, et elle se trouvait maintenant à sa merci.
Je me suis retourné sur le siège avant et j'ai mis ma ceinture de sécurité en place. Choqué, mes mains ont commencé à trembler, mes pensées prises en otage entre deux impératifs. Fuir cet endroit trop exposé, et assister au déroulement des évènements sur la banquette arrière de la voiture.
La pensée m'est soudainement venue que je n'avais pas envisagé cette alternative. Aussi naïf que je puisse être, je n'avais pas envisagé un instant qu’Anne pouvait céder aux caresses de Mourad.
J'ai ajusté frénétiquement mon rétroviseur. Mourad luttait avec la ceinture de son pantalon. Maintenant, je savais avec certitude que je devais sortir rapidement de ce parking.
Délaissant à contrecœur le rétroviseur, je mettais le contact et démarrais le moteur. J’ai jeté un nouveau coup d'œil, juste à temps pour voir Mourad repousser son pantalon et son boxer sous ses genoux. Anne a doucement prononcé mon prénom à plusieurs reprises, comme un ultime appel à l’aide.
Les hommes entouraient maintenant la voiture, cherchant à voir ce qui se passait à l’intérieur. Sans réfléchir, sans réajuster le rétroviseur pour voir la route, j’ai démarré pour échapper aux voyeurs. En sortant du parking, un coup d’œil rapide au rétro, j’ai vu comme un éclair, sa queue brillait dans la semi-pénombre, bondissant de haut en bas à cause des cahots, s’agitant dangereusement près de la chatte offerte de ma femme.
Notre petit jeu de rôle bien innocent avait définitivement pris une tournure très différente de celle prévue. Je conduisais machinalement, plus attentif au déroulement des péripéties sur la banquette arrière, qu’à la route. Je me suis engagé sur une grande avenue, violemment éclairée. Je ne connaissais pas le quartier, je ne savais pas où trouver l’endroit adéquat. Le temps pressait, je devais arrêter Mourad dans son entreprise de baiser ma femme.
Mon cerveau refusant de fonctionner, mes pensées occupées par mon vœu de trouver un endroit tranquille, j’ai assisté impuissant à la déchéance de ma femme. J’ai vu Mourad soulever les jambes d’Anne et les positionner, une sur le dossier de la banquette arrière, l’autre par-dessus le dossier de mon siège, sur mon épaule.
Dans le même mouvement, Mourad s’est allongé entre les cuisses ouvertes d’Anne, et son cul a disparu de ma vue.
Tentant de réajuster maladroitement le rétroviseur, j'entendis le glapissement aigu suivit d’une longue expiration d'Anne.
J’ai eu le souffle coupé, car j’ai compris instinctivement que la bite dressée de Mourad venait de glisser dans la chatte d'Anne. J'étais à peine capable de conduire la voiture en pensant que je devais m'arrêter et me précipiter à l'arrière.
J'ai essayé de trouver un endroit pour m'arrêter en toute sécurité. Mais nous étions en centre ville, éclairés comme en plein jour. L’instant d’après, c'était trop tard. Mourad s’arc-boutait contre la carrosserie, et son cul musclé poussait avec force sa bite dans les profondeurs de ma femme. Rapidement, il a pris son rythme pour baiser ma femme.
Je n'oublierais jamais l’instant suivant. Anne prononça quelques paroles inintelligibles et, rapidement, sa respiration devint haletante. Elle avait succombé à la tentation, et aux ardeurs du gars. Je ne pouvais pas la blâmer, surtout avec cette jeune bite qui la allait et venait en elle avec force, et ce jeune homme survolté qui l’embrassait passionnément.
J'ai tenté de regarder par instant, mais la conduite de la voiture m’accaparait. J’ai essayé d’écouter, malgré le bruit de la voiture, les sons qui me parvenaient de l’arrière. J’entendais surtout les grognements de Mourad et les gémissements d’Anne. Par instant, je percevais les sons produits par la bite de Mourad forant la chatte très réceptive d’Anne. J’étais sûr, par les sons produits, que la chatte d’Anne était bien mouillée, et que son amant la baisait énergiquement.
Le pied gauche d'Anne était resté sur mon épaule à côté de ma tête, tremblant frénétiquement pendant que Mourad martelait vigoureusement son vagin étroit. Les odeurs de sexe envahissaient l'intérieur de la voiture.
Ma bite avait mollie pendant la pénétration, mais maintenant j'étais redevenu raide, avec une étrange combinaison de fascination, de cynisme et de jalousie. À ce moment-là, Mourad a annoncé haut et fort qu'il allait jouir. Puis il a demandé à ma femme si elle voulait qu’il se retire. Elle a presque crié « non, reste ! ». Et plus bas : « baise-moi, baise-moi fort ! »
Nous n'étions pas sortis ce soir-là avec l'intention de prolonger notre petit jeu de rôle jusque là. Nous n’avions pas envisagé une seule seconde que cela puisse se produire. Mais nous ne regrettions pas la tournure des évènements.
Moi, j'étais bien trop excité pour empêcher quoi que ce soit, et Anne avait perdu le contrôle depuis un bon moment.
J’ai enfin réussi à trouver un parking désert et relativement sombre. Je me suis garé en plein milieu. En coupant le moteur, je me suis aperçu que j’avais roulé jusque là tous feux éteints. Juste à ce moment-là, les gémissements et les soupirs d’Anne se sont transformés en cris d’extase. Mourad s’est mis à grogner et à renifler comme un sanglier.
Je me suis retourné rapidement, ne voulant pas rater une miette du spectacle. La seule façon pour moi de participer, c’était d'attraper le pied d'Anne qui se crispait en tremblant, pendant que les fesses de Mourad se contractaient, et que son sexe crachait sa semence chaude au fond du vagin d’Anne. Le plus impressionnant, c’était les hanches d’Anne qui se soulevaient de la banquette, à la rencontre de son amant, pour l’accueillir au plus profond de sa féminité.
Je regardais de près, fasciné par le spectacle de ce couple en plein coït. Puis, de manière incontrôlable, sans me toucher, je suis venu furtivement à l'intérieur de mon pantalon.
Il nous a fallu un certain temps pour nous calmer et reprendre le contact avec la réalité.
Anne a fini par se calmer et retirer ses mains crispées sur le dos de Mourad. Ses doigts et surtout ses ongles ont laissé des marques très visibles sur sa peau. En panique, elle a chuchoté à Mourad de ne pas se retirer « s’il te plaît, ma chatte est trop sensible, reste en moi ! » Ils sont restés allongés comme ça, s’embrassant langoureusement, se câlinant, respirant profondément à cause des efforts fournis.
Après un moment, Anne a dit : « Oh, waouh ! » Puis, un autre moment s'est écoulé, et elle a répété : « Oh, waouh ! »Mourad a recommencé à bouger son cul lentement, de haut en bas. Il m’a fallut un moment pour réaliser que les exclamations d'Anne concernaient la bite de Mourad, qu’elle sentait se dilater en elle.
Anne a supplié « non, s'il te plaît, pas encore, je suis morte ! » mais Mourad a continué à pomper lentement son sexe dans et hors d'elle, en lui murmurant que tout irait bien. Quelques instant plus tard, Anne respirait fort, les yeux fermés, et elle ne se plaignait plus de sa chatte trop sensible.
Mourad a accéléré progressivement son rythme, maltraitant furieusement la chatte d’Anne. De plus en plus fort, encore plus fort qu'avant, comme pour la dégrader. Anne, gémissante et haletante, subissait l’assaut de son amant, soumise à son caprice. Leur coït a duré longtemps avant que Mourad se libère dans le vagin d’Anne.
Tous deux sont restés longtemps enlacés, échangeant de doux baisers.
Quand Mourad a finalement retiré sa bite en détumescence d'Anne, cela a été accompagné d'un son de succion très humide. Sa chatte était si sensible qu'elle a sursauté. Un torrent de sperme s’est écoulé sur le siège de la voiture.
Mourad s’est redressé, et s’est assis entre les jambes écartées d'Anne. Avec ses pouces, il massait doucement la chatte d’Anne pour en faire sortir les jus qui s’y trouvaient. Anne restait dolente et alanguie, bien baisée et épuisée par le jeune homme. Elle le dévisageait entre ses paupières mi-closes, et j’ai pensé à ce moment-là qu’elle était amoureuse de lui.
Elle s’était soumise à son mâle désir, acceptant de lui un coït qu’elle m’aurait probablement refusé. Cela m'a frappé à ce moment-là, la jalousie reprenant le dessus, mais il a vraiment baisé ma femme sans protection, comme une pétasse.
Il l’avait marquée, laissant une trace indélébile dans son cœur et dans son esprit, et j’ai compris à cet instant que rien ne serait plus comme avant. J'ai roulé lentement jusqu'au parking du bar, pour leur laisser le temps de se chuchoter des confidences.
Nous avons laissé Mourad à l’entrée du parking. Il nous a dit qu'il attendrait avec impatience notre prochaine rencontre. Il s’est penché pour embrasser Anne profondément et langoureusement. Elle lui a rendu son baiser avec passion.
Il est parti et j’ai redémarré. Anne s'est appuyée contre moi et elle a posé sa tête contre mon épaule. Elle m'a regardé avec étonnement et m’a dit qu'elle ne pouvait pas croire que je l’avais laissée « faire ça » avec un inconnu. J'ai répondu méchamment qu’elle s’était offerte tellement vite que je n’avais pas eu le temps d’intervenir. On s’est engueulé un petit peu, puis ça s’est calmé.
J'ai demandé : « tu as vraiment aimé, n'est-ce pas ? » Elle a rougi, m’a regardé d'un air penaud et m’a dit : « oui, c’était un amant merveilleux ! »Je lui ai confié honnêtement que je n'avais jamais été aussi excité, et que j'avais éjaculé sans me toucher. Elle a mis la main pour vérifier et, d’une toute petite voix, m’a demandé : « on pourra le revoir ? »
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Pourquoi certains auteurs provoquent l adultère de leur femme dans leur histoires avec des gens peu fréquentables comme des arabes ou des noirs de banlieue pour que ça fasse plus dégueulasse m
Plus vulgaire surtout plus con à mon avis. Ce genre de récits stupides finissent par nous ennuyer nous lecteurs ça peut plaire à quelques excite's du bocal minoritaires heureusement qui ont leur place dans un asile.
Plus vulgaire surtout plus con à mon avis. Ce genre de récits stupides finissent par nous ennuyer nous lecteurs ça peut plaire à quelques excite's du bocal minoritaires heureusement qui ont leur place dans un asile.