IRRÉSISTIBLE
Récit érotique écrit par Tamalou [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 21-08-2019 dans la catégorie Dans la zone rouge
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IRRÉSISTIBLE
Les trois amies, Vanessa, Cindy et Sandra avaient dansé la majeure partie de la nuit.
La sonorisation poussée au maximum, les rythmes afro-cubains, et l'abondance d'alcool liquoreux que les trois filles avaient consommé avaient accentué le niveau élevé d'excitation qu'elles ressentaient en début de soirée.
Ce n'était pas leur club habituel, mais elles avaient décidé d'essayer parce que Sandra avait eu des entrées gratuites.
Une collègue de travail les lui avait offertes en lui recommandant l'endroit et en lui précisant que l'ambiance était cool.
Elles ont découvert au bout de quelques instants que cette boîte était un refuge de lesbiennes.
Au début, Sandra s'était demandé si sa collègue lui envoyait des signaux subliminaux et la convoitait.
Mais après la surprise initiale, les trois copines avaient ri et s'étaient mêlées à l'ambiance festive et s'amusaient comme des folles.
Elles étaient déterminées à profiter de l'expérience et pourquoi pas?
Elles n'auraient jamais été d'elles-même dans une boîte d'homosexuelles, mais la musique était bonne et les boissons pas très chères.
Le club était bien fréquenté, et il n'y avait pas de mâle en rut qui insistait pour les peloter.
Bien sûr, quelques regards affamés de filles en chasse, mais elles aimaient provoquer et s'esquiver en riant.
D'ailleurs, habituellement, elles n'osaient pas être aussi sexy et provocantes, mais ici elles se sentaient en sécurité.
Et quand bien même, pour se faire une idée, il faut bien essayer, non?
Vanessa avait consommé moins d'alcool, ou elle tenait mieux le choc, mais elle avait bien conscience que ses deux copines avaient dépassé leurs propres limites et qu'elles flirtaient avec les confins de la décence.
Elles avaient de plus en plus joué de la provocation au fur et à mesure de l'avancement de la nuit, soucieuses de se faire remarquer de plus en plus de la clientèle habituelle du club.
C'était comme si elles essayaient de relever un défi en se surpassant l'une et l'autre, s'amusant de voir tout ces yeux rivés sur elles, pendant qu'elles se trémoussaient en se frottant sans vergogne.
Dans une sorte de danse du ventre, elles frictionnaient leurs cuisses, l'une contre l'autre, mimant l'acte sexuel au milieu de la foule.
Et c'est sans surprise que d’autres femmes on fait un cercle autour d’elles pour les encourager en tapant dans leurs mains.
Mais deux femmes noires ont pris l’initiative d'écarter les curieuses qui s'échauffaient autour des deux gamines.
Les femmes noires étaient beaucoup plus âgées que la majorité des autres femmes du club, probablement fin de la quarantaine.
Vanessa pensait qu'elles étaient une sorte de service de sécurité chargé de ramener le calme au vu de leur physique d'athlète.
Elles avaient savamment choisi le moment idéal pour isoler Vanessa et la séparer de ses amies ivres.
"Tu bouges très bien ton boule, fillette" l'apostropha nonchalamment la première femme.
Ses yeux parcouraient sans vergogne le corps ravissant de Vanessa, s'attardant à dessein sur ses courbes pour bien montrer à la fille qu'elle la convoitait.
Vanessa n'était pas du tout intimidée. Elle soutint le regard salace et lui rendit la pareille tout aussi hardiment.
Les seins proéminents de la femme étaient contenus difficilement dans sa petite robe noire toute simple.
Et ses hanches callipyges oscillaient de cette façon impertinente que seule une femme noire peut posséder.
Mais avant que Vanessa ne puisse trouver une réponse appropriée, Cindy se faufilait entre elles, devenant le centre de l'attention.
"Nous faisons toutes cela naturellement, chérie!" grommela-t-elle à l'attention de la femme noire.
Dès qu'elle eut attiré l'attention de la femme noire, elle se rapprocha en dansant, oscillant des hanches, relevant sa courte jupe.
"Tu aimes les jolies petites filles blanches, n'est-ce pas?" elle lui a demandé.
Vanessa se bloqua. C'était typique de Cindy. Bourrée, elle était capable de toutes les audaces. Repousser les limites ...
"Putain, ouais, j'aime les petites chattes blanches..." la voix de l'africaine était brusquement devenue rauque.
À présent, elle bloquait complètement sur Cindy, un sourire carnassier fleurissait sur son visage pendant que la poulette brune se trémoussait devant elle. La petite avait toujours su mettre en valeur son corps de liane.
"Une jolie petite demoiselle blanche et mince, comme toi, avec ses petits seins qui pointent et son joli petit cul cambré, ça me fait mouiller la chatte à la pensée de ce que je pourrais lui faire!" déclara-t-elle. "Tu veux m'essayer?" "Et moi aussi?" a demandé Sandra, déterminée à ne pas être laissée pour compte.
Levant ses mains en l'air, tournoyant des hanches, elle balançait son cul sensuellement au rythme du battement syncopé de la musique en se rapprochant de Cindy.
Ses longues jambes musclées compensaient son manque de poitrine et elles se dévoilaient dans une robe trop courte.
Vanessa regrettait d'être évincée de l'action en s'habillant de façon plus classique que les deux autres. Oui, son jeans étroit taille basse serrait son cul en séparant bien les deux hémisphères, et son caraco sans manches moulait étroitement ses seins en pomme.
Mais malgré son décolleté plongeant et ses épaules nues, ses deux amies avaient beaucoup plus de chair découverte.
Et ces deux coquines agissaient de façon beaucoup plus provocante.
"Je m'appelle Olivia" dit la matrone noire, concentrant maintenant toute son attention sur Cindy et Sandra.
La lèvre inférieure de Vanessa tremblait d'émotion. Elle ne s'intéressait ni à l'une ni à l'autre de ces deux femmes, ni à aucune autre femme, mais elle détestait passer pour quantité négligeable et ne pas recevoir l'attention que ses amies recevaient maintenant.
"Cindy" se présenta la brunette avec désinvolture, tortillant ses hanches de manière sensuelle tout près d'Olivia.
Sa danse lascive devenait de plus en plus érotique maintenant qu'elle savait qu'elle intéressait Olivia.
C'était typique de Cindy. Elle adorait allumer l'auditoire.
"Et moi, c'est Sandra", ajouta la blonde, secouant sa crinière en collant son corps à celui de Cindy.
Collée sensuellement contre les courbes de Cindy, oscillant en rythme, les deux filles battaient des cils en échangeant des regards languissants. Elles rivalisaient d'audace pour savoir laquelle serait la plus salope des deux.
Celle qui serait choisie par Olivia gagnerait l'épreuve. Elle serait la chaudasse la plus sexy de la soirée.
Elles organisaient la chorégraphie de leur spectacle devant leurs admiratrices noires.
Vanessa se détourna en grimaçant. À part compléter le trio en jouant les salopes comme ses deux copines, elle n'avait aucune chance de capter l'attention des deux déesses noires. Et elle ne voulait pas se rabaisser en suivant leur exemple.
Cindy et Sandra étaient de telles pétasses, après quelques verres, qu'elle ne voulait pas rentrer dans la compétition.
Généralement, c'était pour les hommes qui les harcelaient qu'elles avaient mis au point leur petit numéro.
Elles les allumaient, les chauffaient à blanc puis, quand ils étaient à point, prenant l'air innocent de deux vierges effarouchées:"Nous? Mais pas du tout, monsieur, vous nous prenez pour qui?"Mais le comportement de ces deux femmes noires laissait à penser qu’elles ne seraient pas si faciles à manipuler.
Les femmes agissaient en maîtresses, poker face, seul la lueur lubrique de leurs yeux plissés trahissait leur concupiscence.
Malgré le fait que les filles aient pris l’initiative, il était clair pour Vanessa que les femmes contrôlaient le jeu.
C'était une situation qu'elles avaient souvent rencontrée auparavant et qu'elles maîtrisaient à la perfection.
"Ravi de faire votre rencontre, mes petites chéries" Olivia souriait.
Elle désigna son amie. "Voici Patricia. Vous êtes nouvelles ici, les filles!" "Bof! On teste!" rit Cindy.
Les deux copines se séparèrent et dansèrent chacune de part et d'autre de la femme.
Les mains dans les cheveux, Sandra se rapprochait de Patricia en ondulant du bassin, mimant l'acte sexuel.
Cindy fit le tour d'Olivia, collant son pubis contre le cul rebondi de la matrone. Vanessa se tapit. Elles devenaient incontrôlables.
Olivia et Patricia échangèrent un regard entendu qui rendit Vanessa nerveuse.
Il y avait quelque chose dans l'évolution de la situation qui leur convenait, c'était certain.
"Allons au bar, j'offre ma tournée!" suggéra-t-elle soudain en tentant de désamorcer la situation.
Mais personne ne l'écoutait.
L’effet euphorisant de l’alcool sur les filles était évident et chacune tentait de surpasser l'autre dans l'érotisme pervers.
Elles se frottaient maintenant contre leurs nouvelles amies, mimant l'acte sexuel contre les formes rebondies des Blacks.
Vanessa secoua la tête avec mépris. Elle s'éloigna en direction des toilettes, espérant sans trop y croire que lorsqu'elle en reviendrait, les filles auront retrouvé leur bon sens, ou que les femmes noires les auront ramenées à la raison.
Mais pour l'heure, elle préférait s'éloigner de ce mimodrame. Et tandis qu'elle commençait à se frayer un chemin parmi la foule des femmes dansantes, Cindy et Sandra ne réalisèrent pas qu'elle s'était éloignée.
Vanessa regardait son reflet dans le miroir. Elle avait pris son temps dans les toilettes, essayant de remettre de l'ordre dans ses idées.
La tête lui tournait et même après s'être rafraîchie, elle sentait toujours les effets de l'alcool qui l'embrouillaient.
Dieu sait dans quel pétrin Cindy et Sandra s'étaient fourrées. Son instinct lui dictait de les sortir de là.
Juste avant de rejoindre la piste de danse, une précaution s'imposait, vider sa vessie. Elle entra dans un cabinet, à l'écart.
Elle n’a même pas eu le temps de verrouiller la porte qu'elle a entendu la porte principale s’ouvrir.
La voix lui était familière: "Par ici, ma fille..." Le petit espace entre la porte et le montant permit à Vanessa de jeter un coup d’œil dans la pièce.
Olivia immobilisait fermement le bras de Cindy et Patricia maîtrisait Sandra. Aucun doute n'était permis. Les deux jeunes filles étaient complètement soûles et elles étaient conduites dans les toilettes comme des récompenses qui venaient d'être gagnées.
Cette vision fit battre le cœur de Vanessa encore plus vite. Plus la peur d'être découverte. Si elles vérifiaient les boxes, elle était perdue. Une troisième femme noire les avait suivies dans les toilettes mais elle ne participait pas directement à l'action.
Elle croisait les bras sous sa poitrine en s'adossant à la porte principale, peut-être pour en interdire l'accès.
Elle semblait un peu plus âgée que les deux premières et elle était nettement plus corpulente.
Elle se contentait de regarder les ébats et un large sourire éclaira son visage lorsqu'elle vit Olivia et Patricia prendre le contrôle de la situation en maîtrisant facilement les deux petites débauchées blanches.
Cindy et Sandra ont été séduites immédiatement lorsque les femmes plus âgées les ont soumises à une session de baisers passionnés. Ce doit être l'effet de l'alcool, pensa Vanessa. À sa connaissance, aucune des deux n'était bisexuelle, et pourtant, elles réagissaient avec passion lorsque Olivia et Patricia les embrassaient.
Olivia avait coincé Cindy contre le mur du fond, et elle triturait sans ménagement ses seins, tout en l'embrassant à pleine bouche.
Cindy n'avait nulle part où aller, bloquée impuissante contre le mur pendant que les mains expertes d'Olivia l'affolaient.
Sandra était appuyée contre le lavabo, ses gémissements résonnaient dans les toilettes pendant que les lèvres de Patricia couraient le long de son cou sensible. La scène était incroyablement torride.
Les femmes étaient assez âgées pour être leurs mères, Cindy et Sandra étaient tombées entre des mains expertes.
Elles avaient voulu jouer avec les deux matures sur la piste de danse, mais Olivia et Patricia les avaient amené là où elles voulaient.
Ces femmes connaissaient leur affaire et elles avaient parfaitement manœuvré pour prendre le contrôle des deux écervelées.
Et maintenant, elles voulaient recueillir leur bénéfice en s'appropriant les petites chattes blanches.
Elles avaient manipulé Cindy et Sandra pour qu'elles deviennent des proies faciles et consentantes. Les deux filles étaient dans un tel état d'ivresse qu'elles ne pouvaient plus résister. Elles étaient devenues des jouets sexuels entre les mains expertes des africaines.
Olivia murmurait quelque chose à l'oreille de Cindy en la retournant pour la plaquer face au mur.
Cindy acquiesça et leva ses bras au-dessus de sa tête pour poser ses paumes sur le mur carrelé.
Aussitôt, la main d'Olivia troussa la courte robe et se glissa dessous.
Les halètements et les gémissements de Cindy confirmèrent qu'elle était arrivé à destination.
Son autre main avait empoigné l'un des seins ronds de la fille, le serrant et le tordant pendant qu'elle frottait dans sa culotte.
Les cuisses de l'adolescente impuissante s'écartèrent encore plus largement sous la caresse des doigts habiles.
Elle a baissé la tête pour tenter de masquer son émotion, mais tourmentée par son émoi grandissant, ses gémissements devenaient de plus en plus aigus tandis que son corps surexcité réclamait les caresses.
Patricia était tout aussi dominante. Elle avait courbé les reins de Sandra en arrière sur le lavabo. La fille n'avait pas d'échappatoire, la matrone avait agrippé sa tignasse et la maintenait totalement à sa merci.
Patricia avait déjà remonté la robe de Sandra autour de sa taille et glissé sa main à l'intérieur du string. Sandra se tordait tellement qu'un sein s'est échappé de son nid de dentelle. Sans la relâcher, l'africaine s'est penchée pour mordiller ce sein nu.
Vanessa n'avait jamais vu de spectacle aussi érotique.
À présent, le niveau d'excitation entre ses cuisses la gênait. Elle observait ses deux meilleures amies être maîtrisées et exploitées par ces matrones noires. Excitée autant par le danger que par la situation, Vanessa avait dégrafé et baissé son jeans pour se masturber.
Elle ne pouvait pas s'en empêcher, elle aurait aimé ressentir le plaisir que les filles semblaient éprouver.
Toutes les femmes ont ce fantasme, à un moment ou à un autre, d'être subjuguée par une autre femme?
Patricia et Olivia avaient planifié cette obsession. Elles étaient venus au club à la recherche de «petites filles blanches mignonnes».
Elles avaient trouvé deux petites salopes, et elles voulaient s'amuser avec. Et elles savaient exactement quoi en faire.
Cindy et Sandra gémissaient en chœur à présent. La grosse femme noire qui gardait la porte d'entrée avait les jambes écartées, la robe troussée et sa main pompait énergiquement dans sa culotte.
Lorsque l'orgasme de Cindy atteignit son point culminant, ses plaintes déclenchèrent l'agonie de Sandra.
Mais aucune des deux femmes noires ne lâcha prise. Elles ont continué à malmener leurs proies, emmenant les filles sans défense d'un orgasme à l'autre, jusqu'à ce que leurs jeunes corps pantelants soient à bout de résistance.
C'était comme si elles essayaient de les épuiser pour les asservir.
C'en était trop pour Vanessa. Ses doigts tremblants travaillaient sur sa chatte depuis longtemps, trop longtemps.
Un long soupir de satisfaction s'échappa de sa bouche tandis qu'elle enfonçait deux doigts profondément dans sa vulve.
Vanessa s'appuya contre la cloison et ferma les yeux pour ce qui lui parut être un bref instant.
Quand elle rouvrit les yeux, la situation avait changée.
Patricia avait échangé sa place avec Sandra. La matrone était assise sur le lavabo, un pied sur le dessus marbré, l'autre jambe pendante, et elle présentait sa chatte à la blonde.
Cindy était accroupie devant Olivia, qui avait remonté sa robe jusqu'à la taille. Aucune des deux africaines ne portait de culotte.
Chaque matrone maintenait fermement sa proie blanche par la tignasse pour la positionner entre ses cuisses.
Vanessa a eu la confirmation de qui contrôlait la situation. Les deux gamines blanches avaient le visage fermement appuyé contre les chattes noires. La vision était incroyablement érotique. Vanessa a reprit sa masturbation.
Peu importe qu'il s'agisse de l'alcool, du jeu de séduction sur la piste de danse, de leurs propres fantasmes ou d'une combinaison de tout cela, mais ni Cindy ni Sandra n'opposaient la moindre résistance!
Vanessa s'en moquait. Elle était trop occupée par ses propres besoins. Sa température charnelle avait atteint son point d'ébullition et elle avait glissé deux doigts dans son vagin à la recherche de son point G.
Olivia et Patricia encourageait maintenant Cindy et Sandra en les complimentant, leur disant à quel point elles étaient bonnes avec leur langue, à quel point elles étaient de bonnes petites salopes blanches.
"Juste là, ma fille, oh putain ouais, enfonce bien ta langue, bonne petite chienne... Vas-y bébé, ouais, putain, quelle salope..." Leurs gémissements devenaient plus rauques, puis se transformèrent en jurons lorsque l'action devint plus hard.
Cindy et Sandra n'étaient plus de mignonnes petites filles blanches, mais des chiennes, des salopes...
Lorsqu'elles resserrèrent toutes les deux leur emprise sur les cheveux des filles et qu'elles commencèrent à frotter leur chatte sur le visages des gamines lascives, Vanessa se sentit défaillir. C'était si humiliant... et pourtant... si incroyablement érotique.
Vanessa se retourna dos à la porte en se calant contre la cloison. Son propre point culminant approchait rapidement.
Elle exulta en se mordant la lèvre inférieure dans une tentative désespérée d'étouffer ses propres gémissements.
Mais Olivia et Patricia n’avaient aucune contrainte de ce type… Leurs cris de joie accompagnèrent leurs orgasmes tonitruants, provoquant une nouvelle montée de plaisir en prolongeant l'orgasme de Vanessa. Elle jouissait si fort qu'elle se laissa glisser au sol en pensant qu'elle allait s'évanouir.
Finalement, quand elle a repris conscience, elle était recroquevillée dans un coin des toilettes, sa respiration redevenait normale, et les toilettes étaient vides.
Cette nuit-là, Vanessa a eu du mal à dormir. Trop d'alcool, mais pas seulement. Son corps brûlait encore du feu du désir.
Tout ce qu'elle avait vu dans les toilettes. Ses pensées revenait sans cesse à ce qu'elle avait vu, à ce que ses amies subissaient.
Elles semblaient si lascives et si dociles...
Elle avait téléphoné à Cindy et à Sandra plusieurs fois sur le chemin du retour. Elle leur avait demandé de l'appeler dès qu'elles auraient reçu son message. Au moment où elle était sortie des toilettes, elle n'avait retrouvé aucune trace de ses amies.
Avaient-elles suivies les femmes noires âgées? De leur plein gré? Vanessa voulait s'assurer qu'elles allaient bien. Que tout allait bien.
Elle n'aimait pas l'idée de quitter ce club sans elles et elle les avait cherché longtemps.
Huit heures du matin. Toujours pas d'appel. Vanessa était sûre de savoir pourquoi. Elles étaient trop gênées, honteuses de leur comportement scandaleusement obscène. Des chiennes en chaleur qui se traînaient aux pieds de leurs maîtresses.
Toutes les trois avaient déjà eu de brèves relations sexuelles lors d'une soirée en discothèque, bien sûr.
Quelle fille, de nos jours, n'avait pas été tentée? Un petit coup rapide avec un mec qui te fait craquer... Un beau gosse...
Un petit coup rapide dans les toilettes, ou dans la voiture sur le parking, ou même dans la ruelle adjacente, baisée debout contre un mur.
Et bien qu’aucune d’entre elles soit bisexuelle, elles avaient toutes les trois eu des relations avec des filles. Plus ou moins...
Mais là, ce n'était pas la même chose. Ce n'était pas fortuit. C'était prévu, organisé, planifié. C'était un piège.
Olivia et Patricia n'étaient pas des filles, mais des femmes mûres qui savaient exactement ce qu'elles voulaient.
Elles étaient là pour ça. Des prédateurs à la recherche de leur proie. Et leurs proies, c'était des adolescentes blanches délurées.
Des petites salopes qui n'avaient pas froid aux yeux et prêtes à tenter l'expérience. Et c'était exactement le cas des trois amies...
Pourquoi Vanessa avait-elle trouvé cette pensée à la fois si répugnante et si excitante? Son ventre bruissait en évoquant les évènements de la nuit et elle avait honte de sa réaction. Mais elle était tellement mouillée...
Elle quitta son lit pour la salle de bain. Une douche fraîche allait sûrement calmer ce feu qui coulait dans ses veines...
Elle laissa l'eau froide s'écouler sur son corps, longtemps. L'eau nettoyait sa peau, mais pas son esprit.
Des images défilaient derrière ses paupières closes. Olivia et Cindy, Patricia et Sandra. Et dans ses rêves, elle s'impliquait...
Sa main glissa sur son petit ventre bombé, jusqu'à la fourche de ses cuisses.
Lorsque ses doigts effleurèrent son clitoris gonflé, la secousse fut forte, la prenant au dépourvu.
Elle s'appuya contre le mur et saisi le pommeau de la douche de son perchoir.
Vanessa a dirigé le jet directement sur son sexe, et elle a joui presque instantanément.
Elle creusa ses reins en écartant les cuisses pour mieux sentir l'intensité de la décharge qui traversait son corps.
Elle se laissa glisser contre le mur carrelé lentement, jusqu'au sol, recroquevillée, attendant le retour au calme.
C'était tellement malsain, si bestial, si monstrueux.
Si elles l'avaient vu faire, elle était sûre que Patricia et Olivia l'auraient approuvée et encouragée.
Oh mon Dieu! Avait-elle vraiment pensé cela?
Elle se traîna hors de la douche. Le contact doux de la serviette moelleuse la fit haleter.
Son désir sexuel était en éveil et n'allait pas disparaître facilement.
Assise au bord de son lit, elle pensait qu'un orgasme ne suffirait pas à la calmer.
Elle ouvrit le tiroir de sa table de chevet et remit des piles neuves dans son vibromasseur rose.
La journée de Vanessa s'écoula, rythmée par les douches froides et les branlettes vibrantes.
Vingt-quatre heures plus tard, Vanessa était allongée sur son lit. Elle ne parvenait pas à trouver le sommeil.
Toujours pas de nouvelles de Cindy ou de Sandra. Elles ne répondaient pas à ses appels, ni à ses messages ou ses textos.
Quelque chose ne tournait pas rond...
Vanessa n'arrivait pas à se décider. Quoi faire? Signaler leur disparition à la police? Contacter leurs familles? Solution extrême.
Et puis elle devra expliquer ce qui s'est passé. Leur comportement à toutes les trois... Si Cindy et Sandra sont en sécurité, elles seront furieuses contre elle. Elle préférait éviter les aveux difficiles, peut-être qu'elle devrait… La sonnerie de son portable interrompit ses pensées. Lorsqu'elle a vérifié l'identité de l'appelant, son cœur a raté un battement.
"Cindy" elle a crié, un mélange de colère et de soulagement. "T'étais où?" "Bonjour, fillette." Cette voix... Ce n'était pas Cindy... Cette voix chaude aux intonations africaines...
Elle remonta le drap jusqu'à son cou, ressentant le besoin irrationnel de couvrir ses seins nus. Ses mamelons étaient déjà tout durs... Simplement d'entendre la voix d'Olivia?
"Où est Cindy?" Elle pantelait d'une voix trop aigüe. "Et Sandra?" "Ne t'inquiète pas, fillette. Tes amies sont entre de bonnes mains..." Olivia émit un petit rire de gorge.
La voix de l'africaine âgée était calme et envoûtante, comme elle l'avait été au club.
Le même ton prédateur, l'éloquence persuasive. Vanessa frissonna.
"Elles s'amusent tellement ici... Qu'elles ont décidé de rester un peu plus longtemps..." Elle laissait traîner sa voix, elle semblait s'amuser du désarroi de Vanessa.
"Beaucoup plus longtemps, en fait... Petites créatures précieuses mais insatiables, n'est-ce pas?" Le ventre de Vanessa devenait douloureux à force de se contracter. Sa respiration s'accélérait. Elle avait envie de se caresser.
"Je leur ai parlé de toi" poursuivit Olivia. "Tu as si brusquement disparu au club. J'espérais te retrouver, t'emmener avec moi..." Elles la cherchaient aussi? Vanessa n'y avait jamais pensé. Machinalement, ses cuisses s’écartaient et ses doigts s'infiltraient...
"Tes deux copines étaient plus favorables, plus ouvertes, évidentes..." continuait la voix chaude.
"Mais je n'ai pas été dupe. J'ai pu voir cette flamme dans tes yeux, ce désir tordre ton ventre..." Elle pouvait la voir? Maintenant? Vanessa arrêta de se masturber, sa lèvre inférieure tremblait d'émotion.
"Tu as pensé à nous, à moi, n'est-ce pas?" Bon sang, comment a-t-elle su? Olivia ne pouvait pas savoir que Vanessa s'était cachée dans les toilettes, écoutant et observant ce qui se passait. Ses doigts ont recommencé à taquiner son clitoris érigé pendant que des images explicites se formaient dans sa tête.
C'était trop sordide pour résister. Elle haletait en frictionnant son clitoris ardent de désir.
"Alors, je pensais..." continua Olivia sans attendre une réponse.
La respiration lourde à l'autre bout de la ligne indiquait à la matrone noire tout ce qu'elle avait besoin de savoir.
"Pourquoi ne viendrais-tu pas ici, voir ce que nous faisons... Participer... Petite fille blanche..." La suggestion percuta Vanessa qui, pour réfléchir calmement, fit une pause dans sa masturbation. Elle ne pouvait pas. Impossible.
Elle n'était pas ce genre de pouffiasse. D'ailleurs, qui sait dans quoi les autres s'étaient fourrées?
Et pourtant… Elle revoyait toujours les mêmes images. La façon dont Olivia jouait avec le corps de son amie.
Comme un musicien virtuose joue de son instrument pour en tirer ses plus belles notes. Impossible de penser à autre chose.
Elle s'était tellement masturbée au souvenir d'Olivia poussant Cindy entre ses cuisses, l'obligeant à la lécher.
Dans ses fantasmes masturbatoires, c'était elle, Vanessa, que Olivia soumettait à ses désirs saphiques.
Son imagination l'a poussée à haleter plus vite. Ses doigts avaient repris leur danse folle sur son clitoris si sensible.
Cela devenait de plus en plus difficile de penser clairement. Une fièvre sexuelle embrouillait ses idées.
"J'ai envoyé un taxi chez toi" lui dit la voix fascinante.
"Il sera là bientôt. Prépare-toi. Je sais que tu voudras porter quelque chose de sexy pour moi, pour me plaire..." En sortant du taxi, le cœur de Vanessa battait si fort qu'elle pensa qu'il pourrait exploser.
Quand Olivia lui a ouvert la porte, elle a failli défaillir. Elle s'était habillée sexy comme l'avait exigé Olivia.
En guise de haut, un simple bandeau noir lui couvrait la poitrine. Son jeans-leggins la moulait comme une seconde peau.
Une large ceinture turquoise donnait une touche de couleur à sa tenue. Des escarpins à talons hauts complétaient l'ensemble.
Le regard perçant de la matrone prit le temps d'examiner le corps jeune et souple, puis elle sourit de contentement.
Elle se retourna silencieusement et se dirigea vers les escaliers, sachant que la fille la suivrait, docile.
Elle était venue jusqu'ici, après tout, n'est-ce pas?
Vanessa n'hésita qu'une fraction de seconde avant de la suivre, se demandant si le balancement sexy de son boule était naturel ou si Olivia en accentuait l'effet. Olivia devait savoir que Vanessa était impuissante à ignorer le balancement de son cul de déesse.
Hypnotisée, elle continua de suivre le tangage de ce cul lascif le long d'un couloir jusqu'à une porte.
Olivia se tenait de côté, lui désignant la poignée de porte, hochant la tête dans sa direction et lui souriant avec confiance.
Vanessa avait l'impression qu'elle lui lançait un défi, comme si elle l'invitait à entrer dans un endroit dont elle ne pourrait plus sortir.
La main tremblotante, elle tourna la poignée et ouvrit la porte. Elle faillit s'évanouir devant le spectacle auquel elle était confrontée.
Même dans ses pires cauchemars, elle n'aurait pas pu imaginer cela. Les deux femmes noires lui étaient inconnues.
Mais il était clair que la fille blanche dont elles s'occupaient était Cindy. Toutes les trois étaient entièrement nues.
Cindy était agenouillée sur le lit, la tête entre les cuisses d'une matrone pulpeuse, lapant sa chatte.
Elle paraissait si lumineuse, si désireuse, mais si différente. Comme si quelque chose avait changé en elle.
L'autre femme était agenouillée derrière Cindy, la baisant tranquillement avec un énorme gode ceinture noir.
Vanessa avait entendu parler de telles pratiques, mais elle n'en avait jamais vu ailleurs que sur des sites pornographiques.
Elle fit un pas involontaire en arrière, mais elle heurta le corps pulpeux d'Olivia qui s'était rapprochée.
"Regarde ta copine, comme elle est heureuse, petite fille blanche" murmura-t-elle.
Son souffle chaud dans le cou de Vanessa la fit frissonner. Vanessa n'avait pas besoin d'encouragement. Ses yeux étaient attirés par le spectacle sur le lit comme un papillon de nuit par la lumière. Vanessa ne pouvait plus détourner son regard.
Les mains de Cindy tenaient les jambes de la femme écartées pendant qu'elle la suçait. Elle était méthodique, léchant de bas en haut tandis que la femme équipée du gode la baisait en levrette. Elle sortait presque entièrement son chibre, puis replongeait au plus profond de son vagin, la martelant avec une aisance rythmique, s'accordant au rythme de la langue de Cindy pour que la langue de la fille s'enfonce profondément dans la chatte de la noire.
Vanessa avait l'impression d'assister au tournage d'un film porno.
Le regard de la matrone noire équipée d'un gode-ceinture effleura Vanessa lorsqu'elle tourna la tête.
Immédiatement, ses yeux se sont élargis, son regard s'est fixé sur la jeune fille, détaillant son corps de liane.
Son regard brûlant observait chaque centimètre du corps svelte de Vanessa, tandis que sa langue rose parcourait ses lèvres charnues.
Vanessa frissonna sous le regard concupiscent de cette prédatrice qui la convoitait.
La femme ralentit légèrement son mouvement, donnant à Vanessa une vision plus nette du phallus noir qui s'enfonçait profondément dans Cindy puis se retirait presque totalement. Ses yeux semblaient braver Vanessa: "Veux-tu jouer avec moi, petite fille?""Cindy est très douée" murmura Olivia tout contre son oreille. "Dans très peu de temps, son entraînement sera terminé!" "Entraînement?" Vanessa a presque réussi à croasser.
Elle aurait voulu regarder Olivia, mais il lui était impossible de détourner ses yeux du spectacle auquel elle était confrontée.
La femme au gode la défiait du regard en baisant Cindy. Ses yeux la narguaient, lui envoyaient un message. Serait-elle la prochaine?
Brusquement, la matrone accéléra son rythme, frappant durement Cindy qui gémit.
"Oui, nous la formons pour son nouveau job" murmura Olivia à l'oreille de Vanessa.
Son ton ferme, sans discussion possible, suggérait qu'elle n'avait pas le choix. C'était sa destinée.
"J'ai une clientèle, des africaines matures qui sont disposées à payer cher pour jouer avec de jolies petites filles blanches. Des hommes aussi, noirs et riches... Que penses-tu de tout cela, ma jolie petite fille?" Elle aurait dû être révoltée. Vanessa savait qu'elle devrait se rebeller. Mais la fièvre qui brûlait dans son ventre rendait difficile la formation d'une pensée cohérente.
Dressée pour servir des femmes noires matures? Était-ce ce que lui proposait Olivia? Non, c'était impossible de nos jours. La traite des blanches. L'esclavage sexuel. Une telle horreur n'était pas possible. Vraiment?
"Allons voir Sandra" murmura soudain Olivia. "Nous devons surveiller ses progrès, à elle aussi..." Sans lui laisser le moindre choix, Olivia enlaça Vanessa et l'entraîna dans le couloir vers une autre pièce.
Cette fois, c’est la matrone qui a ouvert la porte et a ordonné à Vanessa d’entrer en la poussant d'une main sur son petit cul serré.
Vanessa a obtempéré lentement, timidement, à petits pas hésitants.
Il lui était impossible de reconnaître avec certitude Sandra sur le lit. Même si son instinct lui dictait que c'était bien elle.
Elle était étendue sur le dos, ses mains blanches enroulées autour des grosses cuisses noires d'une matrone qui chevauchait son visage en frottant sa chatte d'avant en arrière sur la bouche de la jeune fille.
Le contraste de couleur était troublant.
Une autre femme noire plus âgée était agenouillée entre les cuisses écartées de Sandra, elle léchait lentement la chatte rasée de la fille. La vieille jouait avec un gode vibrant et le corps de Sandra tressaillait sous les caresses savantes.
Vanessa sentit à nouveau le souffle d'Olivia sur sa nuque. Seulement cette fois, les lèvres charnues effleuraient sa peau.
C'était plus possessif et impérieux. Elle se coula contre le corps d'Olivia quand la main posée sur sa taille remonta le long de son flanc pour découvrir son sein à travers le mince tissu.
Son mamelon se tendait dans la paume caressante de la matrone lorsque le contact devint plus pressant.
L'autre main d'Olivia quittait son cul pour glisser sur son ventre nu en retenant Vanessa blottie contre elle.
Elle aurait dû s'opposer. Se défendre. Lui dire d'arrêter. Mais elle ne le pouvait pas.
Elles savaient toutes les deux qu'elle ne pouvait pas résister, qu'elle désirait...
Les doigts enjôleurs défirent le zip de son jeans-leggins puis se glissèrent dans l'ouverture. Ils ont facilement trouvé leur chemin à l'intérieur de son string. Lorsque les doigts écartèrent ses grandes lèvres, le contact persuasif fit frémir Vanessa de plaisir et elle poussa un long gémissement rauque.
"Si mouillée et si affamée" murmura Olivia à son oreille. "Je savais que tu serais..." Quand elle tordit le téton de Vanessa et travailla avec un seul doigt à l'intérieur de son vagin, le gémissement de la fille se transforma en râle. Un long râle rauque qui montait du fond de son ventre. Olivia sourit. Un sourire de fauve qui dépouille sa victime.
C'était le bon moment. Sa proie ne pouvait plus lui échapper, il ne lui restait plus qu'à porter le coup fatal.
"Tu vas t'habituer assez vite" Sa voix était basse et persuasive. "Tu es faite pour ça. Je suis sûre que mes amies et clientes vont adorer ton corps blanc et svelte. Pourquoi ne pas commencer maintenant, toutes les deux? Tu aimeras, je suis sûre que tu vas aimer, oui? Tu en as besoin, bébé. C'est à ton tour de servir la chatte noire... comme tes amies, à présent!" La pièce était semblable aux autres. Impersonnelle, quelques rares meubles en chêne massif étaient éparpillés au hasard, un grand lit contre le mur avec un grand miroir juste au-dessus. Olivia et Vanessa se faisaient face.
Vanessa ne s'est pas reconnue dans le miroir. Ses yeux pétillaient d'avidité. Ses joues étaient encore plus rouges que d'habitude. Ses longs cheveux noirs étaient décoiffés et emmêlés. Mais surtout, c’était cette expression lascive et exaltée qui lui était inconnue.
C'était surréaliste, comme dans un rêve. Elle serait formée. Formée, éduquée, entraînée. Comme ses amies. C'est ce qu'avait dit Olivia, n'est-ce pas? Elle avait une clientèle, de femmes noires plus âgées et d'hommes noirs riches, disposée à payer cher pour pouvoir jouer avec des "petites filles blanches mignonnes".
Sa pensée rebondissait à l'intérieur de son cerveau troublé. Quelque chose n'allait pas. Cela aurait dû carillonner, une alerte...
Mais c'était tout le contraire. L'idée de servir d'esclave sexuelle pour de vieilles personnes noires envoyait des flashes d’excitation à travers son corps ardent et avide et tout ce qu’elle pouvait faire, c’était se trémousser contre Olivia.
Son regard revint à leurs reflets dans le miroir. Elles étaient nues toutes deux. Que s'était-il passé?
Elle ne pouvait pas se souvenir de s'être déshabillée, ni ce que lui avait fait subir la matrone noire.
Les seins d'Olivia étaient fabuleux, lourds et bombés avec des tétons dressés. Ils étaient longs et raides comme la phalange du petit doigt. Quand Olivia se plaqua contre le dos de Vanessa, la fille gémit. Un long son de gorge qui montait de ses entrailles.
Lorsque Olivia a doucement glissé ses doigts entre ses jeunes fesses, palpant et pressant les chairs fermes, le gémissement rauque de Vanessa devint plus aigu, comme si elle réclamait. Les doigts étaient habiles. La fille était affamée. Vanessa eut le souffle coupé quand le doigt d'Olivia explora son intimité.
"Putain, ma fille, ce cul...!" murmura Olivia d'une voix basse dans son oreille."Mon clitoris a tellement envie de baiser ce cul..." Lorsqu'elle sentit le pubis de la femme noire se presser, Vanessa se mordit la lèvre et poussa ses fesses en arrière.
Un des bras d'Olivia passa autour de son corps, couvrant ses seins. Elle serrait Vanessa contre elle en frottant doucement son ventre contre le cul de la fille.
Le gémissement de Vanessa se transforma en une série de petits cris aigus qui rythmaient la cadence. Elle tourna la tête à moitié pour regarder Olivia quand celle-ci recouvrit la bouche entrouverte de Vanessa avec la sienne.
Le baiser était humide, sauvage et profond.
Sans interrompre ce baiser langoureux, la main libre d'Olivia glissa le long de son ventre. Cette fois, elle enfonça deux doigts à l'intérieur de la fille, faisant tressaillir l'adolescente. Son pubis continuait de broyer le cul de la gamine, une main caressant la jeune poitrine, deux doigts dans la chatte, tout se refermait autour d'elle et la chaleur s'intensifiait à l'intérieur du corps émerveillé de Vanessa.
Olivia suçait sa bouche impérieusement. Ses doigts compétents pompaient comme une machine à l'intérieur d'elle.
Son pubis frottait de plus en plus fort et Vanessa pouvait réellement sentir le clitoris saillant de la matrone lui gratter les fesses.
Pourquoi se sentait-elle si bien? Jamais un homme ne lui avait procuré un tel sentiment de satisfaction.
Ce désir de lui appartenir, d'être sa poupée sexuelle, d'où lui venait-il?
Le son de leur respiration lourde et gémissante emplissait la pièce. Quelqu'un geignait à haute voix. C'était peut-être elle.
Elle s'offrait, donnait tout ce qu'elle avait en elle, en se fichant de savoir où cela la mènerait. La sensation était grisante.
Ses yeux mi-clos suivirent leurs reflets dans le miroir. La vue était captivante.
Cette femme la subjuguait, la soumettait à son contrôle, la prenait comme une fille novice. Oh putain... elle allait jouir...
Le bras d'Olivia se resserra autour de ses seins. C'était comme si elle sentait sa reddition imminente. Il n'y avait pas d'échappatoire. Elle devait se soumettre. La chatte noire de la matrone était en train de baiser son petit cul blanc. Elle accéléra le mouvement de ses doigts plongeants et tout à coup Vanessa se sentit partir.
"Jouis, ma fille" gronda la voix chaude dans son oreille. "Laisse-toi aller... donne-toi à Olivia..." Vanessa ne jouit pas simplement. Elle s'est déchaînée, hurlant son bonheur d'être comblée.
Olivia se tenait devant la fille chancelante, avec un épais collier de cuir entre ses doigts.
Elle avait presque une cinquantaine d'années, mais ce corps noir merveilleusement plantureux faisait saliver Vanessa.
Elle ne savait pas depuis quand, mais ce sentiment croissant de soumission et d'abandon était grisant.
Elle ne fit aucune objection lorsque la femme referma le collier autour de son cou, et elle la suivit, comme une chienne en laisse, pour aller jusqu'au lit. Olivia la fit asseoir sur le bord du matelas puis se pencha pour lui donner son mamelon à téter.
Vanessa lécha timidement le mamelon, prenant son temps pour en savourer le goût et la texture. Du bout de sa langue, elle le parcourait pour en apprécier la fermeté. Quand Olivia gémit doucement, elle ferma ses lèvres autour de celui-ci et le suça voracement dans sa bouche affamée.
Olivia la laissa trouver son propre rythme, croisant ses doigts dans les cheveux noirs de Vanessa et lui flattant doucement la tête pour encourager la fille qui lui faisait plaisir. Après un moment, elle a tiré sur son collier pour lui faire lever la tête et l’amener vers son autre sein.
Vanessa a sucé l'autre mamelon avec le même empressement glouton. De temps en temps, Olivia tirait sur la laisse pour lui faire lever la tête et pour pouvoir frotter chaque gros téton sur son visage. Vanessa grognait, bouche ouverte, poursuivant les tétons comme un chien avec un os, la salive coulant de sa bouche sur les mamelons.
"Bonne petite chienne! Tu as un vrai talent pour sucer, fillette" l'encourageait Olivia.
Sa voix était chaude et rauque et elle complimentait Vanessa comme pour une chatte qui a mangé toute sa pitance.
"À présent, nous allons découvrir tes autres talents, petite fille blanche?" Elle resserra sa prise sur la laisse reliée au collier autour du cou de la fille et l'utilisa comme moyen de contrainte pour la retourner sur le lit. Sans qu'elle puisse se défendre, le visage de Vanessa était entre ses cuisses écartées. La chatte juste au bout de son nez.
Ses lèvres épaisses brillaient, suintantes, l'appelaient, réclamant sa bouche. Impossible de détourner son regard de ce sexe juteux.
Les pupilles déjà confuses de Vanessa se dilatèrent un peu plus.
Olivia la maintenait là, pour lui permettre de humer son arôme musqué. Puis, d'une traction ferme sur la laisse, elle plaqua la bouche entrouverte de la fille.
Vanessa fut surprise. L'instant d'avant, elle se grisait en respirant le parfum capiteux de la matrone. Ses yeux s'écarquillèrent.
Elle leva son regard vers le visage souriant d'Olivia. La femme tira encore sur la laisse, réclamant la bouche parfaite.
"La meilleure chose au monde..." murmura-t-elle, ses yeux rivés dans ceux de la fille blanche docile.
Vanessa lécha les lèvres de la chatte juteuse. Elle ne pouvait pas s'en empêcher. Elle les lécha encore, savourant le goût.
C'est ce que Cindy et Sandra avaient fait dans les toilettes du club. C'était juste que ce soit son tour.
Olivia recula ses hanches en gardant sa chatte juste hors de portée de Vanessa. Le message était clair. Viens le chercher.
Vanessa rampa en baissant la tête pour lécher les lèvres humides. Oh mon Dieu. Est-ce qu'elle faisait vraiment ça?
La texture était incroyable sous sa langue. Le goût était délicieux. Elle lapait comme une jeune chienne. De bas en haut, le long de la fente, récoltant les jus sur sa langue. Elle recommença, faisant le tour, une fois, deux fois, de moins en moins hésitante, trois fois, quatre fois, elle devenait bruyante, lapant la soupe, c'était si bon de lécher cette chatte juteuse.
Elle leva son doux regard pour croiser celui de sa maîtresse, guettant son approbation. Olivia hocha la tête d'un air approbateur, lui recommandant de bien s'appliquer. Encouragée, elle a léché la chatte consciencieusement, s'appliquant pour faire plaisir.
Olivia était une source chaude et odorante. Vanessa aimait ça.
La main d'Olivia empoigna ses longs cheveux, les rassemblant en chignon pour la tenir fermement en place tandis que ses hanches commençaient à osciller au rythme de la langue audacieuse de Vanessa.
Elle guidait la bouche de la fille en s'aidant de la laisse et de sa prise dans les cheveux, la faisant pivoter lentement, glissant parfois de haut en bas de façon à laisser une trace humide sur tout le visage de la fille.
"Prends ton temps, petite" murmura-t-elle doucement. "Donne-moi du plaisir..." C'était l'aube. Toute la nuit, Vanessa avait baisée des noires matures. Quelque part, une femme poussait un long cri de plaisir.
Vanessa léchait encore le sexe juteux. Ses yeux soucieux se levèrent pour apprécier l'expression sur le visage de la maîtresse.
Olivia surprit son regard et caressa doucement la joue de sa soumise.
"Tu lèches très bien la chatte, petite fille blanche" sourit-elle.
Sa main se crispa dans les cheveux de Vanessa, enroulant quelques mèches autour de ses doigts et tirant sa tête le long de son sexe tandis qu'elle poussait son visage dans les plis de sa chatte noire. Toutes les femmes noires avec qui elle avait baisé cette nuit avaient fait pareil, comme si elles voulaient lui rappeler qui contrôlait les ébats.
Vanessa aimait ce sentiment de soumission qui commençait à l'envahir. Elle était heureuse de les servir, d'être utile, elle aimait les compliments que les matrones noires faisaient sur son petit cul blanc ou sur sa façon de lécher la chatte.
Tout son corps était pantelant mais elle voulait que cela ne s'arrête jamais.
Elle ne se souvenait plus combien de matrones noires elle avait dû contenter, cette nuit.
Elles étaient insatiables, et quand une matrone la quittait, la suivante arrivait immédiatement.
Toutes l'avaient utilisée pour lécher la chatte. Toutes lui avaient dit que les petites filles blanches aiment sucer les chattes noires.
Que toutes les petites filles blanches avaient besoin de cela. Toutes lui ont dit qu'une fille blanche qui n'avait jamais goûté la chatte noire ne savait pas qu'elle perdait son temps. Qu'elle ne pouvait pas connaître le vrai plaisir avant d'avoir rencontré une femme noire.
Toutes lui avaient dit à quel point elle était bonne pour lécher la chatte, qu'elle devait s'appliquer, bien s'entraîner, parce que ce serait son nouveau job dans l'avenir, et qu'elle devait être la meilleure.
Ensuite, elles l'avaient de nouveau positionnée entre leurs cuisses en lui demandant de s’appliquer, de goûter une chose délicieuse, qu'elle en avait besoin, plus que de toute autre chose.
"Putain, ma petite fille blanche, tu fais ça tellement bien..." La femme noire resserra sa prise fermement dans ses cheveux. Elle était trempée et en sueur. Elle pressa Vanessa contre sa chatte tandis qu'elle commençait à pousser ses hanches vers l'avant.
C’était la partie que Vanessa préférait, quand avec sa langue, elle les avait suffisamment excitées au point de leur faire perdre leur contrôle et de se servir de son visage pour s'envoyer en l'air. La femme noire frotta plus vite, en répandant ses jus sur tout le visage de Vanessa, puis elle jura à voix haute lorsque son orgasme explosa.
"Tu es vraiment la meilleure à ce petit jeu..." La voix était différente. Et ça venait de derrière.
Le regard de Vanessa se tourna brusquement vers la porte d'entrée. Une femme se tenait là, la dévisageant. Elle avait dû observer toute l'action. Vanessa a trouvé l'idée incroyablement érotique. Si seulement elle avait su… Quand la femme fit un pas en avant, pénétrant dans le premier rayon de soleil, elle la reconnue immédiatement.
Un frisson d'excitation couru le long de la colonne vertébrale de Vanessa. C'était la femme avec le gode ceinture, celle qui baisait Cindy quand elle est arrivée, celle qui lui avait proposé de jouer à son jeu. Elle était équipée avec son jouet.
Elle caressait l'énorme phallus noir en traversant la pièce, s'approchant de Vanessa. Mon Dieu, cette chose était si grosse!
"J'aime bien ta façon de sucer la chatte" murmura-t-elle d'une voix enrouée.
"Voyons maintenant si tu es aussi bonne pour sucer la bite. Ensuite, je vais te baiser comme tu n'as jamais été baisée auparavant..."
La sonorisation poussée au maximum, les rythmes afro-cubains, et l'abondance d'alcool liquoreux que les trois filles avaient consommé avaient accentué le niveau élevé d'excitation qu'elles ressentaient en début de soirée.
Ce n'était pas leur club habituel, mais elles avaient décidé d'essayer parce que Sandra avait eu des entrées gratuites.
Une collègue de travail les lui avait offertes en lui recommandant l'endroit et en lui précisant que l'ambiance était cool.
Elles ont découvert au bout de quelques instants que cette boîte était un refuge de lesbiennes.
Au début, Sandra s'était demandé si sa collègue lui envoyait des signaux subliminaux et la convoitait.
Mais après la surprise initiale, les trois copines avaient ri et s'étaient mêlées à l'ambiance festive et s'amusaient comme des folles.
Elles étaient déterminées à profiter de l'expérience et pourquoi pas?
Elles n'auraient jamais été d'elles-même dans une boîte d'homosexuelles, mais la musique était bonne et les boissons pas très chères.
Le club était bien fréquenté, et il n'y avait pas de mâle en rut qui insistait pour les peloter.
Bien sûr, quelques regards affamés de filles en chasse, mais elles aimaient provoquer et s'esquiver en riant.
D'ailleurs, habituellement, elles n'osaient pas être aussi sexy et provocantes, mais ici elles se sentaient en sécurité.
Et quand bien même, pour se faire une idée, il faut bien essayer, non?
Vanessa avait consommé moins d'alcool, ou elle tenait mieux le choc, mais elle avait bien conscience que ses deux copines avaient dépassé leurs propres limites et qu'elles flirtaient avec les confins de la décence.
Elles avaient de plus en plus joué de la provocation au fur et à mesure de l'avancement de la nuit, soucieuses de se faire remarquer de plus en plus de la clientèle habituelle du club.
C'était comme si elles essayaient de relever un défi en se surpassant l'une et l'autre, s'amusant de voir tout ces yeux rivés sur elles, pendant qu'elles se trémoussaient en se frottant sans vergogne.
Dans une sorte de danse du ventre, elles frictionnaient leurs cuisses, l'une contre l'autre, mimant l'acte sexuel au milieu de la foule.
Et c'est sans surprise que d’autres femmes on fait un cercle autour d’elles pour les encourager en tapant dans leurs mains.
Mais deux femmes noires ont pris l’initiative d'écarter les curieuses qui s'échauffaient autour des deux gamines.
Les femmes noires étaient beaucoup plus âgées que la majorité des autres femmes du club, probablement fin de la quarantaine.
Vanessa pensait qu'elles étaient une sorte de service de sécurité chargé de ramener le calme au vu de leur physique d'athlète.
Elles avaient savamment choisi le moment idéal pour isoler Vanessa et la séparer de ses amies ivres.
"Tu bouges très bien ton boule, fillette" l'apostropha nonchalamment la première femme.
Ses yeux parcouraient sans vergogne le corps ravissant de Vanessa, s'attardant à dessein sur ses courbes pour bien montrer à la fille qu'elle la convoitait.
Vanessa n'était pas du tout intimidée. Elle soutint le regard salace et lui rendit la pareille tout aussi hardiment.
Les seins proéminents de la femme étaient contenus difficilement dans sa petite robe noire toute simple.
Et ses hanches callipyges oscillaient de cette façon impertinente que seule une femme noire peut posséder.
Mais avant que Vanessa ne puisse trouver une réponse appropriée, Cindy se faufilait entre elles, devenant le centre de l'attention.
"Nous faisons toutes cela naturellement, chérie!" grommela-t-elle à l'attention de la femme noire.
Dès qu'elle eut attiré l'attention de la femme noire, elle se rapprocha en dansant, oscillant des hanches, relevant sa courte jupe.
"Tu aimes les jolies petites filles blanches, n'est-ce pas?" elle lui a demandé.
Vanessa se bloqua. C'était typique de Cindy. Bourrée, elle était capable de toutes les audaces. Repousser les limites ...
"Putain, ouais, j'aime les petites chattes blanches..." la voix de l'africaine était brusquement devenue rauque.
À présent, elle bloquait complètement sur Cindy, un sourire carnassier fleurissait sur son visage pendant que la poulette brune se trémoussait devant elle. La petite avait toujours su mettre en valeur son corps de liane.
"Une jolie petite demoiselle blanche et mince, comme toi, avec ses petits seins qui pointent et son joli petit cul cambré, ça me fait mouiller la chatte à la pensée de ce que je pourrais lui faire!" déclara-t-elle. "Tu veux m'essayer?" "Et moi aussi?" a demandé Sandra, déterminée à ne pas être laissée pour compte.
Levant ses mains en l'air, tournoyant des hanches, elle balançait son cul sensuellement au rythme du battement syncopé de la musique en se rapprochant de Cindy.
Ses longues jambes musclées compensaient son manque de poitrine et elles se dévoilaient dans une robe trop courte.
Vanessa regrettait d'être évincée de l'action en s'habillant de façon plus classique que les deux autres. Oui, son jeans étroit taille basse serrait son cul en séparant bien les deux hémisphères, et son caraco sans manches moulait étroitement ses seins en pomme.
Mais malgré son décolleté plongeant et ses épaules nues, ses deux amies avaient beaucoup plus de chair découverte.
Et ces deux coquines agissaient de façon beaucoup plus provocante.
"Je m'appelle Olivia" dit la matrone noire, concentrant maintenant toute son attention sur Cindy et Sandra.
La lèvre inférieure de Vanessa tremblait d'émotion. Elle ne s'intéressait ni à l'une ni à l'autre de ces deux femmes, ni à aucune autre femme, mais elle détestait passer pour quantité négligeable et ne pas recevoir l'attention que ses amies recevaient maintenant.
"Cindy" se présenta la brunette avec désinvolture, tortillant ses hanches de manière sensuelle tout près d'Olivia.
Sa danse lascive devenait de plus en plus érotique maintenant qu'elle savait qu'elle intéressait Olivia.
C'était typique de Cindy. Elle adorait allumer l'auditoire.
"Et moi, c'est Sandra", ajouta la blonde, secouant sa crinière en collant son corps à celui de Cindy.
Collée sensuellement contre les courbes de Cindy, oscillant en rythme, les deux filles battaient des cils en échangeant des regards languissants. Elles rivalisaient d'audace pour savoir laquelle serait la plus salope des deux.
Celle qui serait choisie par Olivia gagnerait l'épreuve. Elle serait la chaudasse la plus sexy de la soirée.
Elles organisaient la chorégraphie de leur spectacle devant leurs admiratrices noires.
Vanessa se détourna en grimaçant. À part compléter le trio en jouant les salopes comme ses deux copines, elle n'avait aucune chance de capter l'attention des deux déesses noires. Et elle ne voulait pas se rabaisser en suivant leur exemple.
Cindy et Sandra étaient de telles pétasses, après quelques verres, qu'elle ne voulait pas rentrer dans la compétition.
Généralement, c'était pour les hommes qui les harcelaient qu'elles avaient mis au point leur petit numéro.
Elles les allumaient, les chauffaient à blanc puis, quand ils étaient à point, prenant l'air innocent de deux vierges effarouchées:"Nous? Mais pas du tout, monsieur, vous nous prenez pour qui?"Mais le comportement de ces deux femmes noires laissait à penser qu’elles ne seraient pas si faciles à manipuler.
Les femmes agissaient en maîtresses, poker face, seul la lueur lubrique de leurs yeux plissés trahissait leur concupiscence.
Malgré le fait que les filles aient pris l’initiative, il était clair pour Vanessa que les femmes contrôlaient le jeu.
C'était une situation qu'elles avaient souvent rencontrée auparavant et qu'elles maîtrisaient à la perfection.
"Ravi de faire votre rencontre, mes petites chéries" Olivia souriait.
Elle désigna son amie. "Voici Patricia. Vous êtes nouvelles ici, les filles!" "Bof! On teste!" rit Cindy.
Les deux copines se séparèrent et dansèrent chacune de part et d'autre de la femme.
Les mains dans les cheveux, Sandra se rapprochait de Patricia en ondulant du bassin, mimant l'acte sexuel.
Cindy fit le tour d'Olivia, collant son pubis contre le cul rebondi de la matrone. Vanessa se tapit. Elles devenaient incontrôlables.
Olivia et Patricia échangèrent un regard entendu qui rendit Vanessa nerveuse.
Il y avait quelque chose dans l'évolution de la situation qui leur convenait, c'était certain.
"Allons au bar, j'offre ma tournée!" suggéra-t-elle soudain en tentant de désamorcer la situation.
Mais personne ne l'écoutait.
L’effet euphorisant de l’alcool sur les filles était évident et chacune tentait de surpasser l'autre dans l'érotisme pervers.
Elles se frottaient maintenant contre leurs nouvelles amies, mimant l'acte sexuel contre les formes rebondies des Blacks.
Vanessa secoua la tête avec mépris. Elle s'éloigna en direction des toilettes, espérant sans trop y croire que lorsqu'elle en reviendrait, les filles auront retrouvé leur bon sens, ou que les femmes noires les auront ramenées à la raison.
Mais pour l'heure, elle préférait s'éloigner de ce mimodrame. Et tandis qu'elle commençait à se frayer un chemin parmi la foule des femmes dansantes, Cindy et Sandra ne réalisèrent pas qu'elle s'était éloignée.
Vanessa regardait son reflet dans le miroir. Elle avait pris son temps dans les toilettes, essayant de remettre de l'ordre dans ses idées.
La tête lui tournait et même après s'être rafraîchie, elle sentait toujours les effets de l'alcool qui l'embrouillaient.
Dieu sait dans quel pétrin Cindy et Sandra s'étaient fourrées. Son instinct lui dictait de les sortir de là.
Juste avant de rejoindre la piste de danse, une précaution s'imposait, vider sa vessie. Elle entra dans un cabinet, à l'écart.
Elle n’a même pas eu le temps de verrouiller la porte qu'elle a entendu la porte principale s’ouvrir.
La voix lui était familière: "Par ici, ma fille..." Le petit espace entre la porte et le montant permit à Vanessa de jeter un coup d’œil dans la pièce.
Olivia immobilisait fermement le bras de Cindy et Patricia maîtrisait Sandra. Aucun doute n'était permis. Les deux jeunes filles étaient complètement soûles et elles étaient conduites dans les toilettes comme des récompenses qui venaient d'être gagnées.
Cette vision fit battre le cœur de Vanessa encore plus vite. Plus la peur d'être découverte. Si elles vérifiaient les boxes, elle était perdue. Une troisième femme noire les avait suivies dans les toilettes mais elle ne participait pas directement à l'action.
Elle croisait les bras sous sa poitrine en s'adossant à la porte principale, peut-être pour en interdire l'accès.
Elle semblait un peu plus âgée que les deux premières et elle était nettement plus corpulente.
Elle se contentait de regarder les ébats et un large sourire éclaira son visage lorsqu'elle vit Olivia et Patricia prendre le contrôle de la situation en maîtrisant facilement les deux petites débauchées blanches.
Cindy et Sandra ont été séduites immédiatement lorsque les femmes plus âgées les ont soumises à une session de baisers passionnés. Ce doit être l'effet de l'alcool, pensa Vanessa. À sa connaissance, aucune des deux n'était bisexuelle, et pourtant, elles réagissaient avec passion lorsque Olivia et Patricia les embrassaient.
Olivia avait coincé Cindy contre le mur du fond, et elle triturait sans ménagement ses seins, tout en l'embrassant à pleine bouche.
Cindy n'avait nulle part où aller, bloquée impuissante contre le mur pendant que les mains expertes d'Olivia l'affolaient.
Sandra était appuyée contre le lavabo, ses gémissements résonnaient dans les toilettes pendant que les lèvres de Patricia couraient le long de son cou sensible. La scène était incroyablement torride.
Les femmes étaient assez âgées pour être leurs mères, Cindy et Sandra étaient tombées entre des mains expertes.
Elles avaient voulu jouer avec les deux matures sur la piste de danse, mais Olivia et Patricia les avaient amené là où elles voulaient.
Ces femmes connaissaient leur affaire et elles avaient parfaitement manœuvré pour prendre le contrôle des deux écervelées.
Et maintenant, elles voulaient recueillir leur bénéfice en s'appropriant les petites chattes blanches.
Elles avaient manipulé Cindy et Sandra pour qu'elles deviennent des proies faciles et consentantes. Les deux filles étaient dans un tel état d'ivresse qu'elles ne pouvaient plus résister. Elles étaient devenues des jouets sexuels entre les mains expertes des africaines.
Olivia murmurait quelque chose à l'oreille de Cindy en la retournant pour la plaquer face au mur.
Cindy acquiesça et leva ses bras au-dessus de sa tête pour poser ses paumes sur le mur carrelé.
Aussitôt, la main d'Olivia troussa la courte robe et se glissa dessous.
Les halètements et les gémissements de Cindy confirmèrent qu'elle était arrivé à destination.
Son autre main avait empoigné l'un des seins ronds de la fille, le serrant et le tordant pendant qu'elle frottait dans sa culotte.
Les cuisses de l'adolescente impuissante s'écartèrent encore plus largement sous la caresse des doigts habiles.
Elle a baissé la tête pour tenter de masquer son émotion, mais tourmentée par son émoi grandissant, ses gémissements devenaient de plus en plus aigus tandis que son corps surexcité réclamait les caresses.
Patricia était tout aussi dominante. Elle avait courbé les reins de Sandra en arrière sur le lavabo. La fille n'avait pas d'échappatoire, la matrone avait agrippé sa tignasse et la maintenait totalement à sa merci.
Patricia avait déjà remonté la robe de Sandra autour de sa taille et glissé sa main à l'intérieur du string. Sandra se tordait tellement qu'un sein s'est échappé de son nid de dentelle. Sans la relâcher, l'africaine s'est penchée pour mordiller ce sein nu.
Vanessa n'avait jamais vu de spectacle aussi érotique.
À présent, le niveau d'excitation entre ses cuisses la gênait. Elle observait ses deux meilleures amies être maîtrisées et exploitées par ces matrones noires. Excitée autant par le danger que par la situation, Vanessa avait dégrafé et baissé son jeans pour se masturber.
Elle ne pouvait pas s'en empêcher, elle aurait aimé ressentir le plaisir que les filles semblaient éprouver.
Toutes les femmes ont ce fantasme, à un moment ou à un autre, d'être subjuguée par une autre femme?
Patricia et Olivia avaient planifié cette obsession. Elles étaient venus au club à la recherche de «petites filles blanches mignonnes».
Elles avaient trouvé deux petites salopes, et elles voulaient s'amuser avec. Et elles savaient exactement quoi en faire.
Cindy et Sandra gémissaient en chœur à présent. La grosse femme noire qui gardait la porte d'entrée avait les jambes écartées, la robe troussée et sa main pompait énergiquement dans sa culotte.
Lorsque l'orgasme de Cindy atteignit son point culminant, ses plaintes déclenchèrent l'agonie de Sandra.
Mais aucune des deux femmes noires ne lâcha prise. Elles ont continué à malmener leurs proies, emmenant les filles sans défense d'un orgasme à l'autre, jusqu'à ce que leurs jeunes corps pantelants soient à bout de résistance.
C'était comme si elles essayaient de les épuiser pour les asservir.
C'en était trop pour Vanessa. Ses doigts tremblants travaillaient sur sa chatte depuis longtemps, trop longtemps.
Un long soupir de satisfaction s'échappa de sa bouche tandis qu'elle enfonçait deux doigts profondément dans sa vulve.
Vanessa s'appuya contre la cloison et ferma les yeux pour ce qui lui parut être un bref instant.
Quand elle rouvrit les yeux, la situation avait changée.
Patricia avait échangé sa place avec Sandra. La matrone était assise sur le lavabo, un pied sur le dessus marbré, l'autre jambe pendante, et elle présentait sa chatte à la blonde.
Cindy était accroupie devant Olivia, qui avait remonté sa robe jusqu'à la taille. Aucune des deux africaines ne portait de culotte.
Chaque matrone maintenait fermement sa proie blanche par la tignasse pour la positionner entre ses cuisses.
Vanessa a eu la confirmation de qui contrôlait la situation. Les deux gamines blanches avaient le visage fermement appuyé contre les chattes noires. La vision était incroyablement érotique. Vanessa a reprit sa masturbation.
Peu importe qu'il s'agisse de l'alcool, du jeu de séduction sur la piste de danse, de leurs propres fantasmes ou d'une combinaison de tout cela, mais ni Cindy ni Sandra n'opposaient la moindre résistance!
Vanessa s'en moquait. Elle était trop occupée par ses propres besoins. Sa température charnelle avait atteint son point d'ébullition et elle avait glissé deux doigts dans son vagin à la recherche de son point G.
Olivia et Patricia encourageait maintenant Cindy et Sandra en les complimentant, leur disant à quel point elles étaient bonnes avec leur langue, à quel point elles étaient de bonnes petites salopes blanches.
"Juste là, ma fille, oh putain ouais, enfonce bien ta langue, bonne petite chienne... Vas-y bébé, ouais, putain, quelle salope..." Leurs gémissements devenaient plus rauques, puis se transformèrent en jurons lorsque l'action devint plus hard.
Cindy et Sandra n'étaient plus de mignonnes petites filles blanches, mais des chiennes, des salopes...
Lorsqu'elles resserrèrent toutes les deux leur emprise sur les cheveux des filles et qu'elles commencèrent à frotter leur chatte sur le visages des gamines lascives, Vanessa se sentit défaillir. C'était si humiliant... et pourtant... si incroyablement érotique.
Vanessa se retourna dos à la porte en se calant contre la cloison. Son propre point culminant approchait rapidement.
Elle exulta en se mordant la lèvre inférieure dans une tentative désespérée d'étouffer ses propres gémissements.
Mais Olivia et Patricia n’avaient aucune contrainte de ce type… Leurs cris de joie accompagnèrent leurs orgasmes tonitruants, provoquant une nouvelle montée de plaisir en prolongeant l'orgasme de Vanessa. Elle jouissait si fort qu'elle se laissa glisser au sol en pensant qu'elle allait s'évanouir.
Finalement, quand elle a repris conscience, elle était recroquevillée dans un coin des toilettes, sa respiration redevenait normale, et les toilettes étaient vides.
Cette nuit-là, Vanessa a eu du mal à dormir. Trop d'alcool, mais pas seulement. Son corps brûlait encore du feu du désir.
Tout ce qu'elle avait vu dans les toilettes. Ses pensées revenait sans cesse à ce qu'elle avait vu, à ce que ses amies subissaient.
Elles semblaient si lascives et si dociles...
Elle avait téléphoné à Cindy et à Sandra plusieurs fois sur le chemin du retour. Elle leur avait demandé de l'appeler dès qu'elles auraient reçu son message. Au moment où elle était sortie des toilettes, elle n'avait retrouvé aucune trace de ses amies.
Avaient-elles suivies les femmes noires âgées? De leur plein gré? Vanessa voulait s'assurer qu'elles allaient bien. Que tout allait bien.
Elle n'aimait pas l'idée de quitter ce club sans elles et elle les avait cherché longtemps.
Huit heures du matin. Toujours pas d'appel. Vanessa était sûre de savoir pourquoi. Elles étaient trop gênées, honteuses de leur comportement scandaleusement obscène. Des chiennes en chaleur qui se traînaient aux pieds de leurs maîtresses.
Toutes les trois avaient déjà eu de brèves relations sexuelles lors d'une soirée en discothèque, bien sûr.
Quelle fille, de nos jours, n'avait pas été tentée? Un petit coup rapide avec un mec qui te fait craquer... Un beau gosse...
Un petit coup rapide dans les toilettes, ou dans la voiture sur le parking, ou même dans la ruelle adjacente, baisée debout contre un mur.
Et bien qu’aucune d’entre elles soit bisexuelle, elles avaient toutes les trois eu des relations avec des filles. Plus ou moins...
Mais là, ce n'était pas la même chose. Ce n'était pas fortuit. C'était prévu, organisé, planifié. C'était un piège.
Olivia et Patricia n'étaient pas des filles, mais des femmes mûres qui savaient exactement ce qu'elles voulaient.
Elles étaient là pour ça. Des prédateurs à la recherche de leur proie. Et leurs proies, c'était des adolescentes blanches délurées.
Des petites salopes qui n'avaient pas froid aux yeux et prêtes à tenter l'expérience. Et c'était exactement le cas des trois amies...
Pourquoi Vanessa avait-elle trouvé cette pensée à la fois si répugnante et si excitante? Son ventre bruissait en évoquant les évènements de la nuit et elle avait honte de sa réaction. Mais elle était tellement mouillée...
Elle quitta son lit pour la salle de bain. Une douche fraîche allait sûrement calmer ce feu qui coulait dans ses veines...
Elle laissa l'eau froide s'écouler sur son corps, longtemps. L'eau nettoyait sa peau, mais pas son esprit.
Des images défilaient derrière ses paupières closes. Olivia et Cindy, Patricia et Sandra. Et dans ses rêves, elle s'impliquait...
Sa main glissa sur son petit ventre bombé, jusqu'à la fourche de ses cuisses.
Lorsque ses doigts effleurèrent son clitoris gonflé, la secousse fut forte, la prenant au dépourvu.
Elle s'appuya contre le mur et saisi le pommeau de la douche de son perchoir.
Vanessa a dirigé le jet directement sur son sexe, et elle a joui presque instantanément.
Elle creusa ses reins en écartant les cuisses pour mieux sentir l'intensité de la décharge qui traversait son corps.
Elle se laissa glisser contre le mur carrelé lentement, jusqu'au sol, recroquevillée, attendant le retour au calme.
C'était tellement malsain, si bestial, si monstrueux.
Si elles l'avaient vu faire, elle était sûre que Patricia et Olivia l'auraient approuvée et encouragée.
Oh mon Dieu! Avait-elle vraiment pensé cela?
Elle se traîna hors de la douche. Le contact doux de la serviette moelleuse la fit haleter.
Son désir sexuel était en éveil et n'allait pas disparaître facilement.
Assise au bord de son lit, elle pensait qu'un orgasme ne suffirait pas à la calmer.
Elle ouvrit le tiroir de sa table de chevet et remit des piles neuves dans son vibromasseur rose.
La journée de Vanessa s'écoula, rythmée par les douches froides et les branlettes vibrantes.
Vingt-quatre heures plus tard, Vanessa était allongée sur son lit. Elle ne parvenait pas à trouver le sommeil.
Toujours pas de nouvelles de Cindy ou de Sandra. Elles ne répondaient pas à ses appels, ni à ses messages ou ses textos.
Quelque chose ne tournait pas rond...
Vanessa n'arrivait pas à se décider. Quoi faire? Signaler leur disparition à la police? Contacter leurs familles? Solution extrême.
Et puis elle devra expliquer ce qui s'est passé. Leur comportement à toutes les trois... Si Cindy et Sandra sont en sécurité, elles seront furieuses contre elle. Elle préférait éviter les aveux difficiles, peut-être qu'elle devrait… La sonnerie de son portable interrompit ses pensées. Lorsqu'elle a vérifié l'identité de l'appelant, son cœur a raté un battement.
"Cindy" elle a crié, un mélange de colère et de soulagement. "T'étais où?" "Bonjour, fillette." Cette voix... Ce n'était pas Cindy... Cette voix chaude aux intonations africaines...
Elle remonta le drap jusqu'à son cou, ressentant le besoin irrationnel de couvrir ses seins nus. Ses mamelons étaient déjà tout durs... Simplement d'entendre la voix d'Olivia?
"Où est Cindy?" Elle pantelait d'une voix trop aigüe. "Et Sandra?" "Ne t'inquiète pas, fillette. Tes amies sont entre de bonnes mains..." Olivia émit un petit rire de gorge.
La voix de l'africaine âgée était calme et envoûtante, comme elle l'avait été au club.
Le même ton prédateur, l'éloquence persuasive. Vanessa frissonna.
"Elles s'amusent tellement ici... Qu'elles ont décidé de rester un peu plus longtemps..." Elle laissait traîner sa voix, elle semblait s'amuser du désarroi de Vanessa.
"Beaucoup plus longtemps, en fait... Petites créatures précieuses mais insatiables, n'est-ce pas?" Le ventre de Vanessa devenait douloureux à force de se contracter. Sa respiration s'accélérait. Elle avait envie de se caresser.
"Je leur ai parlé de toi" poursuivit Olivia. "Tu as si brusquement disparu au club. J'espérais te retrouver, t'emmener avec moi..." Elles la cherchaient aussi? Vanessa n'y avait jamais pensé. Machinalement, ses cuisses s’écartaient et ses doigts s'infiltraient...
"Tes deux copines étaient plus favorables, plus ouvertes, évidentes..." continuait la voix chaude.
"Mais je n'ai pas été dupe. J'ai pu voir cette flamme dans tes yeux, ce désir tordre ton ventre..." Elle pouvait la voir? Maintenant? Vanessa arrêta de se masturber, sa lèvre inférieure tremblait d'émotion.
"Tu as pensé à nous, à moi, n'est-ce pas?" Bon sang, comment a-t-elle su? Olivia ne pouvait pas savoir que Vanessa s'était cachée dans les toilettes, écoutant et observant ce qui se passait. Ses doigts ont recommencé à taquiner son clitoris érigé pendant que des images explicites se formaient dans sa tête.
C'était trop sordide pour résister. Elle haletait en frictionnant son clitoris ardent de désir.
"Alors, je pensais..." continua Olivia sans attendre une réponse.
La respiration lourde à l'autre bout de la ligne indiquait à la matrone noire tout ce qu'elle avait besoin de savoir.
"Pourquoi ne viendrais-tu pas ici, voir ce que nous faisons... Participer... Petite fille blanche..." La suggestion percuta Vanessa qui, pour réfléchir calmement, fit une pause dans sa masturbation. Elle ne pouvait pas. Impossible.
Elle n'était pas ce genre de pouffiasse. D'ailleurs, qui sait dans quoi les autres s'étaient fourrées?
Et pourtant… Elle revoyait toujours les mêmes images. La façon dont Olivia jouait avec le corps de son amie.
Comme un musicien virtuose joue de son instrument pour en tirer ses plus belles notes. Impossible de penser à autre chose.
Elle s'était tellement masturbée au souvenir d'Olivia poussant Cindy entre ses cuisses, l'obligeant à la lécher.
Dans ses fantasmes masturbatoires, c'était elle, Vanessa, que Olivia soumettait à ses désirs saphiques.
Son imagination l'a poussée à haleter plus vite. Ses doigts avaient repris leur danse folle sur son clitoris si sensible.
Cela devenait de plus en plus difficile de penser clairement. Une fièvre sexuelle embrouillait ses idées.
"J'ai envoyé un taxi chez toi" lui dit la voix fascinante.
"Il sera là bientôt. Prépare-toi. Je sais que tu voudras porter quelque chose de sexy pour moi, pour me plaire..." En sortant du taxi, le cœur de Vanessa battait si fort qu'elle pensa qu'il pourrait exploser.
Quand Olivia lui a ouvert la porte, elle a failli défaillir. Elle s'était habillée sexy comme l'avait exigé Olivia.
En guise de haut, un simple bandeau noir lui couvrait la poitrine. Son jeans-leggins la moulait comme une seconde peau.
Une large ceinture turquoise donnait une touche de couleur à sa tenue. Des escarpins à talons hauts complétaient l'ensemble.
Le regard perçant de la matrone prit le temps d'examiner le corps jeune et souple, puis elle sourit de contentement.
Elle se retourna silencieusement et se dirigea vers les escaliers, sachant que la fille la suivrait, docile.
Elle était venue jusqu'ici, après tout, n'est-ce pas?
Vanessa n'hésita qu'une fraction de seconde avant de la suivre, se demandant si le balancement sexy de son boule était naturel ou si Olivia en accentuait l'effet. Olivia devait savoir que Vanessa était impuissante à ignorer le balancement de son cul de déesse.
Hypnotisée, elle continua de suivre le tangage de ce cul lascif le long d'un couloir jusqu'à une porte.
Olivia se tenait de côté, lui désignant la poignée de porte, hochant la tête dans sa direction et lui souriant avec confiance.
Vanessa avait l'impression qu'elle lui lançait un défi, comme si elle l'invitait à entrer dans un endroit dont elle ne pourrait plus sortir.
La main tremblotante, elle tourna la poignée et ouvrit la porte. Elle faillit s'évanouir devant le spectacle auquel elle était confrontée.
Même dans ses pires cauchemars, elle n'aurait pas pu imaginer cela. Les deux femmes noires lui étaient inconnues.
Mais il était clair que la fille blanche dont elles s'occupaient était Cindy. Toutes les trois étaient entièrement nues.
Cindy était agenouillée sur le lit, la tête entre les cuisses d'une matrone pulpeuse, lapant sa chatte.
Elle paraissait si lumineuse, si désireuse, mais si différente. Comme si quelque chose avait changé en elle.
L'autre femme était agenouillée derrière Cindy, la baisant tranquillement avec un énorme gode ceinture noir.
Vanessa avait entendu parler de telles pratiques, mais elle n'en avait jamais vu ailleurs que sur des sites pornographiques.
Elle fit un pas involontaire en arrière, mais elle heurta le corps pulpeux d'Olivia qui s'était rapprochée.
"Regarde ta copine, comme elle est heureuse, petite fille blanche" murmura-t-elle.
Son souffle chaud dans le cou de Vanessa la fit frissonner. Vanessa n'avait pas besoin d'encouragement. Ses yeux étaient attirés par le spectacle sur le lit comme un papillon de nuit par la lumière. Vanessa ne pouvait plus détourner son regard.
Les mains de Cindy tenaient les jambes de la femme écartées pendant qu'elle la suçait. Elle était méthodique, léchant de bas en haut tandis que la femme équipée du gode la baisait en levrette. Elle sortait presque entièrement son chibre, puis replongeait au plus profond de son vagin, la martelant avec une aisance rythmique, s'accordant au rythme de la langue de Cindy pour que la langue de la fille s'enfonce profondément dans la chatte de la noire.
Vanessa avait l'impression d'assister au tournage d'un film porno.
Le regard de la matrone noire équipée d'un gode-ceinture effleura Vanessa lorsqu'elle tourna la tête.
Immédiatement, ses yeux se sont élargis, son regard s'est fixé sur la jeune fille, détaillant son corps de liane.
Son regard brûlant observait chaque centimètre du corps svelte de Vanessa, tandis que sa langue rose parcourait ses lèvres charnues.
Vanessa frissonna sous le regard concupiscent de cette prédatrice qui la convoitait.
La femme ralentit légèrement son mouvement, donnant à Vanessa une vision plus nette du phallus noir qui s'enfonçait profondément dans Cindy puis se retirait presque totalement. Ses yeux semblaient braver Vanessa: "Veux-tu jouer avec moi, petite fille?""Cindy est très douée" murmura Olivia tout contre son oreille. "Dans très peu de temps, son entraînement sera terminé!" "Entraînement?" Vanessa a presque réussi à croasser.
Elle aurait voulu regarder Olivia, mais il lui était impossible de détourner ses yeux du spectacle auquel elle était confrontée.
La femme au gode la défiait du regard en baisant Cindy. Ses yeux la narguaient, lui envoyaient un message. Serait-elle la prochaine?
Brusquement, la matrone accéléra son rythme, frappant durement Cindy qui gémit.
"Oui, nous la formons pour son nouveau job" murmura Olivia à l'oreille de Vanessa.
Son ton ferme, sans discussion possible, suggérait qu'elle n'avait pas le choix. C'était sa destinée.
"J'ai une clientèle, des africaines matures qui sont disposées à payer cher pour jouer avec de jolies petites filles blanches. Des hommes aussi, noirs et riches... Que penses-tu de tout cela, ma jolie petite fille?" Elle aurait dû être révoltée. Vanessa savait qu'elle devrait se rebeller. Mais la fièvre qui brûlait dans son ventre rendait difficile la formation d'une pensée cohérente.
Dressée pour servir des femmes noires matures? Était-ce ce que lui proposait Olivia? Non, c'était impossible de nos jours. La traite des blanches. L'esclavage sexuel. Une telle horreur n'était pas possible. Vraiment?
"Allons voir Sandra" murmura soudain Olivia. "Nous devons surveiller ses progrès, à elle aussi..." Sans lui laisser le moindre choix, Olivia enlaça Vanessa et l'entraîna dans le couloir vers une autre pièce.
Cette fois, c’est la matrone qui a ouvert la porte et a ordonné à Vanessa d’entrer en la poussant d'une main sur son petit cul serré.
Vanessa a obtempéré lentement, timidement, à petits pas hésitants.
Il lui était impossible de reconnaître avec certitude Sandra sur le lit. Même si son instinct lui dictait que c'était bien elle.
Elle était étendue sur le dos, ses mains blanches enroulées autour des grosses cuisses noires d'une matrone qui chevauchait son visage en frottant sa chatte d'avant en arrière sur la bouche de la jeune fille.
Le contraste de couleur était troublant.
Une autre femme noire plus âgée était agenouillée entre les cuisses écartées de Sandra, elle léchait lentement la chatte rasée de la fille. La vieille jouait avec un gode vibrant et le corps de Sandra tressaillait sous les caresses savantes.
Vanessa sentit à nouveau le souffle d'Olivia sur sa nuque. Seulement cette fois, les lèvres charnues effleuraient sa peau.
C'était plus possessif et impérieux. Elle se coula contre le corps d'Olivia quand la main posée sur sa taille remonta le long de son flanc pour découvrir son sein à travers le mince tissu.
Son mamelon se tendait dans la paume caressante de la matrone lorsque le contact devint plus pressant.
L'autre main d'Olivia quittait son cul pour glisser sur son ventre nu en retenant Vanessa blottie contre elle.
Elle aurait dû s'opposer. Se défendre. Lui dire d'arrêter. Mais elle ne le pouvait pas.
Elles savaient toutes les deux qu'elle ne pouvait pas résister, qu'elle désirait...
Les doigts enjôleurs défirent le zip de son jeans-leggins puis se glissèrent dans l'ouverture. Ils ont facilement trouvé leur chemin à l'intérieur de son string. Lorsque les doigts écartèrent ses grandes lèvres, le contact persuasif fit frémir Vanessa de plaisir et elle poussa un long gémissement rauque.
"Si mouillée et si affamée" murmura Olivia à son oreille. "Je savais que tu serais..." Quand elle tordit le téton de Vanessa et travailla avec un seul doigt à l'intérieur de son vagin, le gémissement de la fille se transforma en râle. Un long râle rauque qui montait du fond de son ventre. Olivia sourit. Un sourire de fauve qui dépouille sa victime.
C'était le bon moment. Sa proie ne pouvait plus lui échapper, il ne lui restait plus qu'à porter le coup fatal.
"Tu vas t'habituer assez vite" Sa voix était basse et persuasive. "Tu es faite pour ça. Je suis sûre que mes amies et clientes vont adorer ton corps blanc et svelte. Pourquoi ne pas commencer maintenant, toutes les deux? Tu aimeras, je suis sûre que tu vas aimer, oui? Tu en as besoin, bébé. C'est à ton tour de servir la chatte noire... comme tes amies, à présent!" La pièce était semblable aux autres. Impersonnelle, quelques rares meubles en chêne massif étaient éparpillés au hasard, un grand lit contre le mur avec un grand miroir juste au-dessus. Olivia et Vanessa se faisaient face.
Vanessa ne s'est pas reconnue dans le miroir. Ses yeux pétillaient d'avidité. Ses joues étaient encore plus rouges que d'habitude. Ses longs cheveux noirs étaient décoiffés et emmêlés. Mais surtout, c’était cette expression lascive et exaltée qui lui était inconnue.
C'était surréaliste, comme dans un rêve. Elle serait formée. Formée, éduquée, entraînée. Comme ses amies. C'est ce qu'avait dit Olivia, n'est-ce pas? Elle avait une clientèle, de femmes noires plus âgées et d'hommes noirs riches, disposée à payer cher pour pouvoir jouer avec des "petites filles blanches mignonnes".
Sa pensée rebondissait à l'intérieur de son cerveau troublé. Quelque chose n'allait pas. Cela aurait dû carillonner, une alerte...
Mais c'était tout le contraire. L'idée de servir d'esclave sexuelle pour de vieilles personnes noires envoyait des flashes d’excitation à travers son corps ardent et avide et tout ce qu’elle pouvait faire, c’était se trémousser contre Olivia.
Son regard revint à leurs reflets dans le miroir. Elles étaient nues toutes deux. Que s'était-il passé?
Elle ne pouvait pas se souvenir de s'être déshabillée, ni ce que lui avait fait subir la matrone noire.
Les seins d'Olivia étaient fabuleux, lourds et bombés avec des tétons dressés. Ils étaient longs et raides comme la phalange du petit doigt. Quand Olivia se plaqua contre le dos de Vanessa, la fille gémit. Un long son de gorge qui montait de ses entrailles.
Lorsque Olivia a doucement glissé ses doigts entre ses jeunes fesses, palpant et pressant les chairs fermes, le gémissement rauque de Vanessa devint plus aigu, comme si elle réclamait. Les doigts étaient habiles. La fille était affamée. Vanessa eut le souffle coupé quand le doigt d'Olivia explora son intimité.
"Putain, ma fille, ce cul...!" murmura Olivia d'une voix basse dans son oreille."Mon clitoris a tellement envie de baiser ce cul..." Lorsqu'elle sentit le pubis de la femme noire se presser, Vanessa se mordit la lèvre et poussa ses fesses en arrière.
Un des bras d'Olivia passa autour de son corps, couvrant ses seins. Elle serrait Vanessa contre elle en frottant doucement son ventre contre le cul de la fille.
Le gémissement de Vanessa se transforma en une série de petits cris aigus qui rythmaient la cadence. Elle tourna la tête à moitié pour regarder Olivia quand celle-ci recouvrit la bouche entrouverte de Vanessa avec la sienne.
Le baiser était humide, sauvage et profond.
Sans interrompre ce baiser langoureux, la main libre d'Olivia glissa le long de son ventre. Cette fois, elle enfonça deux doigts à l'intérieur de la fille, faisant tressaillir l'adolescente. Son pubis continuait de broyer le cul de la gamine, une main caressant la jeune poitrine, deux doigts dans la chatte, tout se refermait autour d'elle et la chaleur s'intensifiait à l'intérieur du corps émerveillé de Vanessa.
Olivia suçait sa bouche impérieusement. Ses doigts compétents pompaient comme une machine à l'intérieur d'elle.
Son pubis frottait de plus en plus fort et Vanessa pouvait réellement sentir le clitoris saillant de la matrone lui gratter les fesses.
Pourquoi se sentait-elle si bien? Jamais un homme ne lui avait procuré un tel sentiment de satisfaction.
Ce désir de lui appartenir, d'être sa poupée sexuelle, d'où lui venait-il?
Le son de leur respiration lourde et gémissante emplissait la pièce. Quelqu'un geignait à haute voix. C'était peut-être elle.
Elle s'offrait, donnait tout ce qu'elle avait en elle, en se fichant de savoir où cela la mènerait. La sensation était grisante.
Ses yeux mi-clos suivirent leurs reflets dans le miroir. La vue était captivante.
Cette femme la subjuguait, la soumettait à son contrôle, la prenait comme une fille novice. Oh putain... elle allait jouir...
Le bras d'Olivia se resserra autour de ses seins. C'était comme si elle sentait sa reddition imminente. Il n'y avait pas d'échappatoire. Elle devait se soumettre. La chatte noire de la matrone était en train de baiser son petit cul blanc. Elle accéléra le mouvement de ses doigts plongeants et tout à coup Vanessa se sentit partir.
"Jouis, ma fille" gronda la voix chaude dans son oreille. "Laisse-toi aller... donne-toi à Olivia..." Vanessa ne jouit pas simplement. Elle s'est déchaînée, hurlant son bonheur d'être comblée.
Olivia se tenait devant la fille chancelante, avec un épais collier de cuir entre ses doigts.
Elle avait presque une cinquantaine d'années, mais ce corps noir merveilleusement plantureux faisait saliver Vanessa.
Elle ne savait pas depuis quand, mais ce sentiment croissant de soumission et d'abandon était grisant.
Elle ne fit aucune objection lorsque la femme referma le collier autour de son cou, et elle la suivit, comme une chienne en laisse, pour aller jusqu'au lit. Olivia la fit asseoir sur le bord du matelas puis se pencha pour lui donner son mamelon à téter.
Vanessa lécha timidement le mamelon, prenant son temps pour en savourer le goût et la texture. Du bout de sa langue, elle le parcourait pour en apprécier la fermeté. Quand Olivia gémit doucement, elle ferma ses lèvres autour de celui-ci et le suça voracement dans sa bouche affamée.
Olivia la laissa trouver son propre rythme, croisant ses doigts dans les cheveux noirs de Vanessa et lui flattant doucement la tête pour encourager la fille qui lui faisait plaisir. Après un moment, elle a tiré sur son collier pour lui faire lever la tête et l’amener vers son autre sein.
Vanessa a sucé l'autre mamelon avec le même empressement glouton. De temps en temps, Olivia tirait sur la laisse pour lui faire lever la tête et pour pouvoir frotter chaque gros téton sur son visage. Vanessa grognait, bouche ouverte, poursuivant les tétons comme un chien avec un os, la salive coulant de sa bouche sur les mamelons.
"Bonne petite chienne! Tu as un vrai talent pour sucer, fillette" l'encourageait Olivia.
Sa voix était chaude et rauque et elle complimentait Vanessa comme pour une chatte qui a mangé toute sa pitance.
"À présent, nous allons découvrir tes autres talents, petite fille blanche?" Elle resserra sa prise sur la laisse reliée au collier autour du cou de la fille et l'utilisa comme moyen de contrainte pour la retourner sur le lit. Sans qu'elle puisse se défendre, le visage de Vanessa était entre ses cuisses écartées. La chatte juste au bout de son nez.
Ses lèvres épaisses brillaient, suintantes, l'appelaient, réclamant sa bouche. Impossible de détourner son regard de ce sexe juteux.
Les pupilles déjà confuses de Vanessa se dilatèrent un peu plus.
Olivia la maintenait là, pour lui permettre de humer son arôme musqué. Puis, d'une traction ferme sur la laisse, elle plaqua la bouche entrouverte de la fille.
Vanessa fut surprise. L'instant d'avant, elle se grisait en respirant le parfum capiteux de la matrone. Ses yeux s'écarquillèrent.
Elle leva son regard vers le visage souriant d'Olivia. La femme tira encore sur la laisse, réclamant la bouche parfaite.
"La meilleure chose au monde..." murmura-t-elle, ses yeux rivés dans ceux de la fille blanche docile.
Vanessa lécha les lèvres de la chatte juteuse. Elle ne pouvait pas s'en empêcher. Elle les lécha encore, savourant le goût.
C'est ce que Cindy et Sandra avaient fait dans les toilettes du club. C'était juste que ce soit son tour.
Olivia recula ses hanches en gardant sa chatte juste hors de portée de Vanessa. Le message était clair. Viens le chercher.
Vanessa rampa en baissant la tête pour lécher les lèvres humides. Oh mon Dieu. Est-ce qu'elle faisait vraiment ça?
La texture était incroyable sous sa langue. Le goût était délicieux. Elle lapait comme une jeune chienne. De bas en haut, le long de la fente, récoltant les jus sur sa langue. Elle recommença, faisant le tour, une fois, deux fois, de moins en moins hésitante, trois fois, quatre fois, elle devenait bruyante, lapant la soupe, c'était si bon de lécher cette chatte juteuse.
Elle leva son doux regard pour croiser celui de sa maîtresse, guettant son approbation. Olivia hocha la tête d'un air approbateur, lui recommandant de bien s'appliquer. Encouragée, elle a léché la chatte consciencieusement, s'appliquant pour faire plaisir.
Olivia était une source chaude et odorante. Vanessa aimait ça.
La main d'Olivia empoigna ses longs cheveux, les rassemblant en chignon pour la tenir fermement en place tandis que ses hanches commençaient à osciller au rythme de la langue audacieuse de Vanessa.
Elle guidait la bouche de la fille en s'aidant de la laisse et de sa prise dans les cheveux, la faisant pivoter lentement, glissant parfois de haut en bas de façon à laisser une trace humide sur tout le visage de la fille.
"Prends ton temps, petite" murmura-t-elle doucement. "Donne-moi du plaisir..." C'était l'aube. Toute la nuit, Vanessa avait baisée des noires matures. Quelque part, une femme poussait un long cri de plaisir.
Vanessa léchait encore le sexe juteux. Ses yeux soucieux se levèrent pour apprécier l'expression sur le visage de la maîtresse.
Olivia surprit son regard et caressa doucement la joue de sa soumise.
"Tu lèches très bien la chatte, petite fille blanche" sourit-elle.
Sa main se crispa dans les cheveux de Vanessa, enroulant quelques mèches autour de ses doigts et tirant sa tête le long de son sexe tandis qu'elle poussait son visage dans les plis de sa chatte noire. Toutes les femmes noires avec qui elle avait baisé cette nuit avaient fait pareil, comme si elles voulaient lui rappeler qui contrôlait les ébats.
Vanessa aimait ce sentiment de soumission qui commençait à l'envahir. Elle était heureuse de les servir, d'être utile, elle aimait les compliments que les matrones noires faisaient sur son petit cul blanc ou sur sa façon de lécher la chatte.
Tout son corps était pantelant mais elle voulait que cela ne s'arrête jamais.
Elle ne se souvenait plus combien de matrones noires elle avait dû contenter, cette nuit.
Elles étaient insatiables, et quand une matrone la quittait, la suivante arrivait immédiatement.
Toutes l'avaient utilisée pour lécher la chatte. Toutes lui avaient dit que les petites filles blanches aiment sucer les chattes noires.
Que toutes les petites filles blanches avaient besoin de cela. Toutes lui ont dit qu'une fille blanche qui n'avait jamais goûté la chatte noire ne savait pas qu'elle perdait son temps. Qu'elle ne pouvait pas connaître le vrai plaisir avant d'avoir rencontré une femme noire.
Toutes lui avaient dit à quel point elle était bonne pour lécher la chatte, qu'elle devait s'appliquer, bien s'entraîner, parce que ce serait son nouveau job dans l'avenir, et qu'elle devait être la meilleure.
Ensuite, elles l'avaient de nouveau positionnée entre leurs cuisses en lui demandant de s’appliquer, de goûter une chose délicieuse, qu'elle en avait besoin, plus que de toute autre chose.
"Putain, ma petite fille blanche, tu fais ça tellement bien..." La femme noire resserra sa prise fermement dans ses cheveux. Elle était trempée et en sueur. Elle pressa Vanessa contre sa chatte tandis qu'elle commençait à pousser ses hanches vers l'avant.
C’était la partie que Vanessa préférait, quand avec sa langue, elle les avait suffisamment excitées au point de leur faire perdre leur contrôle et de se servir de son visage pour s'envoyer en l'air. La femme noire frotta plus vite, en répandant ses jus sur tout le visage de Vanessa, puis elle jura à voix haute lorsque son orgasme explosa.
"Tu es vraiment la meilleure à ce petit jeu..." La voix était différente. Et ça venait de derrière.
Le regard de Vanessa se tourna brusquement vers la porte d'entrée. Une femme se tenait là, la dévisageant. Elle avait dû observer toute l'action. Vanessa a trouvé l'idée incroyablement érotique. Si seulement elle avait su… Quand la femme fit un pas en avant, pénétrant dans le premier rayon de soleil, elle la reconnue immédiatement.
Un frisson d'excitation couru le long de la colonne vertébrale de Vanessa. C'était la femme avec le gode ceinture, celle qui baisait Cindy quand elle est arrivée, celle qui lui avait proposé de jouer à son jeu. Elle était équipée avec son jouet.
Elle caressait l'énorme phallus noir en traversant la pièce, s'approchant de Vanessa. Mon Dieu, cette chose était si grosse!
"J'aime bien ta façon de sucer la chatte" murmura-t-elle d'une voix enrouée.
"Voyons maintenant si tu es aussi bonne pour sucer la bite. Ensuite, je vais te baiser comme tu n'as jamais été baisée auparavant..."
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