J'ai decouvert les portes de l'enfer -3
Récit érotique écrit par Cassio14 [→ Accès à sa fiche auteur]
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J'ai decouvert les portes de l'enfer -3
Mon coeur se mit à battre la chamade au fur et à mesure que je m'approchais. Elle semblait profiter d'une solitude, rare ces trois derniers jours, dans cette douce soirée de printemps.
Je m'assis près d'elle un brin gêné d'interrompre son moment de détente, gêne vite estompée lorsqu'elle me sourit.
Je sortis une cigarette et l'alluma.
E : " Tu ne devrais pas fumer, ce n'est pas et en plus ça fait vieillir plus vite, regarde moi, je suis une vieille femme"
J:" Non pas du tout" osai-je
E :" Eh bien, merci de prendre autant de pincettes avec moi, mon mari, lui, ne m'épargne pas"
Elle engagea la discussion, nous parlames de tout et de rien pendant un moment.
Elle finit par écraser sa clope dans le cendrier, puis dans un délicieux mouvement qui ne m"echappa evidemment pas, ell3 croisa et decroisa les jambes. Attrapant le haut de sa cheville gauche comme pour la masser, Evelyne m'attaqua en frontale.
E : " Tu as une petite chérie ?"
J : "Euh...non " bredouillais-je
Evelyne semblait étonnée de ma reponse et insista.
E - " Un jeune homme comme toi ? Tu devrais." Puis d'un ton complice :
" A moins que tu préfères profiter de ta jeunesse ? Si c'est le cas, tu as bien raison...Je me suis marié à 23 ans, 28 de mariage, ça fait un bail hein ? Quand je te disais que j'etais une vieille" elle etouffa un rire.
Je ne trouva rien d'autre à répondre qu'un hochement de tête et un sourire gêné
E:" Je te mets mal à l'aise avec mes questions...mais quoi qu'il en soit, tu as raison d'en profiter, je t'envie tu sais"
Oulaaaa ! Où veut-elle en venir ? J'interprète çà comme un appel du pieds...non je dois dérailler...elle est mariée...
Nous continuames à discuter une vingtaine de minutes, surtout à mon sujet mais sur des choses plus soft.
Elle finit par se lever, se réajusta comme à son habitude, et me dis qu'elle souhaitait rentrer, qu'elle avait un peu froid maintenant.
Nous nous dirigeames donc vers notre habitation. Une fois à l'intérieur, elle ouvrit sa porte de chambre, je fis de même avec celle d'à côté.
La rouquine se tourna vers et me foudroya.
E :" Veux-tu rentrer cinq minutes, je vais faire une infusion avant de dormir, si ca te dis"
Elle vint de mettre une pièce dans ma machine à fantasmes...et si ?
Plus le temps de réfléchir, ça passe ou ça casse ! Je fonce tête la première, peu importe les conséquences !
J'accepta
Je lui emboîta le pas en fermant la porte derrière moi.
Evelyne enleva le gilet qu'elle avait sur les épaules, remplit la bouilloire et la mis en route...le son rauque de l'appareil monta dans l'air.
Elle m'invita à m'assoir sur le bord du lit puis en fit de même, presque collé à moi. Elle se remit à m'innonder de banalités sans intérêt...mon intérêt etait ailleurs et je ne m'en cachais pas vraiment. J'admirai son petit minois de rouquine avec ses yeux rieurs, ses seins bombés dans son chemisier dont les boutons ne demandaient qu'à sauter...mes pensées devenaient salaces, j'etais comme un livre ouvert, elle ne pouvait qu'avoir remarqué mon envie d'elle...J'en eu la quasi certitude lorsqu'elle commença à tortiller légèrement du bassin, les cuisses serrées comme réfréner quelque de chose...mais cocotte, ce fut le contraire, je vois bien que ton entre-jambes te chatouille, ouvre toi et laisse moi faire...
Soudain, Evelyne se leva, d'un bond, et me demanda de l'excuser deux minutes. Elle se dirigea vers les toilettes et s'y enferma.
Mon imagination partit dans une vrille incontrôlable...je l'imaginais dans ce réduit, la culotte sur les chevilles, son liquide dorée s'écoulant de son petit minou de femme mûre en manque d'action ou peut-être se preparait-elle à me recevoir ?
Cette fois, j'etais ALL-IN, dés la dame sort de là, je prends les choses en main, dos à la mer, je ne peux plus reculer. Je pris une grande respiration, fit une dizaine de pompes ( non je déconne) et attendit son retour de pied ferme.
Elle finit par réapparaître, je me dirigea vers elle.
E -" tu pars déjà ? L'eau est bientôt chaude, je..."
C'est moi qui suis trop chaud, je ne la laisse pas finir sa phrase, je lui attrape le cou et posa mes lèvres sur les siennes.
E:" Euh, que fais tu ? Je..."
Deuxième sommation, je remis le couvert, mes mains s'aventurant son cul. Je dessera l'etreinte.
E :" Je ne sais pas si je dois...tu sais bien que..."
Trop tard, l'assaut est donné, je rentre ma langue dans sa bouche, mes mains passant sous sa jupe, j'alternais le contact avec sa peau et le doux tissu de ses dessous.
Evelyne s'abandonna, ses mains commencèrent à se ballader sur moi.
Nous nous devorames ainsi pendant un moment, sa poitrine écrasée contre mon torse et mon sexe en érection sur son entre-jambes.
Elle me demanda de continuer, surtout de ne pas m'arrêter.
Message reçu.. ma petite chérie !
Je la deposa sur le lit et enleva ma chemise, elle posa ses mains sur mon torse en souriant. Je l'allongea et me mit sur elle. Nous réprimes notre echanges de fluides et les caresses sur nos corps. Ses seins me semblaient énormes, je les engageai avec vigueur, j'engageai même tout son corps, tout ? Non pas le centre de ma convoitise...surtout pas tout de suite...je voulais decouvrir son bouton d'amour avec yeux, pouvoir humer son odeur de femme...avant de la pénétrer avec mes doigts, ma langue...mon membre gonflé...
Mon amante gemissait entre deux courtes respirations. Elle n'avait pas l'air d'être habitué à de telles préliminaires ?
Au bord de l'explosion, je decida de passer aux choses sérieuses. Je descendis le long de corps, remonta sa jupe, sa petite culotte en satin blanc, légèrement dentellée sur les côtés, brillait a la lumière du plafonnier.
Je la saisi et la fis glisser le long de ses cuisses, de ses jambes et lui retira avec autorité, ce qui lui fit lâcher un râle de surprise. Mes yeux s'étaientfixés sur sa lingerie et sur le mouvement pour la lui enlever omettant volontairement de regarder son minou...je voulais la surprise...et je n'ai pas été déçu...
Lorsque je l'entrepris de nouveau, ma rouquine, qui avait, elle aussi, décidé de me cacher son intimidé pour le plaisir.
Ses jambes s'étaient enlacées l'une sur l'autre, serrant les cuisses.. son sourire coquin aux lèvres...
Je décida de conserver mon attitude de maître du jeu. Je remonta la long de son corps, lui embrassant les pieds les jambes, ses cuisses...puis d'un mouvement que je voulu brusque, je lui ecarta les cuisses
Je ne m"attendais pas a ça...j'en ai déjà vu quelques une mais pas comme ça ! Je perdis mes moyens...Mon dieu, qu'avais donc bien pu commettre comme pêché pour mériter ça ? Est mon jugement dernier ?
Je n'en savais rien..la seule chose que je compris, est que je venais de découvrir les portes de l'enfer...
A suivre..
Je m'assis près d'elle un brin gêné d'interrompre son moment de détente, gêne vite estompée lorsqu'elle me sourit.
Je sortis une cigarette et l'alluma.
E : " Tu ne devrais pas fumer, ce n'est pas et en plus ça fait vieillir plus vite, regarde moi, je suis une vieille femme"
J:" Non pas du tout" osai-je
E :" Eh bien, merci de prendre autant de pincettes avec moi, mon mari, lui, ne m'épargne pas"
Elle engagea la discussion, nous parlames de tout et de rien pendant un moment.
Elle finit par écraser sa clope dans le cendrier, puis dans un délicieux mouvement qui ne m"echappa evidemment pas, ell3 croisa et decroisa les jambes. Attrapant le haut de sa cheville gauche comme pour la masser, Evelyne m'attaqua en frontale.
E : " Tu as une petite chérie ?"
J : "Euh...non " bredouillais-je
Evelyne semblait étonnée de ma reponse et insista.
E - " Un jeune homme comme toi ? Tu devrais." Puis d'un ton complice :
" A moins que tu préfères profiter de ta jeunesse ? Si c'est le cas, tu as bien raison...Je me suis marié à 23 ans, 28 de mariage, ça fait un bail hein ? Quand je te disais que j'etais une vieille" elle etouffa un rire.
Je ne trouva rien d'autre à répondre qu'un hochement de tête et un sourire gêné
E:" Je te mets mal à l'aise avec mes questions...mais quoi qu'il en soit, tu as raison d'en profiter, je t'envie tu sais"
Oulaaaa ! Où veut-elle en venir ? J'interprète çà comme un appel du pieds...non je dois dérailler...elle est mariée...
Nous continuames à discuter une vingtaine de minutes, surtout à mon sujet mais sur des choses plus soft.
Elle finit par se lever, se réajusta comme à son habitude, et me dis qu'elle souhaitait rentrer, qu'elle avait un peu froid maintenant.
Nous nous dirigeames donc vers notre habitation. Une fois à l'intérieur, elle ouvrit sa porte de chambre, je fis de même avec celle d'à côté.
La rouquine se tourna vers et me foudroya.
E :" Veux-tu rentrer cinq minutes, je vais faire une infusion avant de dormir, si ca te dis"
Elle vint de mettre une pièce dans ma machine à fantasmes...et si ?
Plus le temps de réfléchir, ça passe ou ça casse ! Je fonce tête la première, peu importe les conséquences !
J'accepta
Je lui emboîta le pas en fermant la porte derrière moi.
Evelyne enleva le gilet qu'elle avait sur les épaules, remplit la bouilloire et la mis en route...le son rauque de l'appareil monta dans l'air.
Elle m'invita à m'assoir sur le bord du lit puis en fit de même, presque collé à moi. Elle se remit à m'innonder de banalités sans intérêt...mon intérêt etait ailleurs et je ne m'en cachais pas vraiment. J'admirai son petit minois de rouquine avec ses yeux rieurs, ses seins bombés dans son chemisier dont les boutons ne demandaient qu'à sauter...mes pensées devenaient salaces, j'etais comme un livre ouvert, elle ne pouvait qu'avoir remarqué mon envie d'elle...J'en eu la quasi certitude lorsqu'elle commença à tortiller légèrement du bassin, les cuisses serrées comme réfréner quelque de chose...mais cocotte, ce fut le contraire, je vois bien que ton entre-jambes te chatouille, ouvre toi et laisse moi faire...
Soudain, Evelyne se leva, d'un bond, et me demanda de l'excuser deux minutes. Elle se dirigea vers les toilettes et s'y enferma.
Mon imagination partit dans une vrille incontrôlable...je l'imaginais dans ce réduit, la culotte sur les chevilles, son liquide dorée s'écoulant de son petit minou de femme mûre en manque d'action ou peut-être se preparait-elle à me recevoir ?
Cette fois, j'etais ALL-IN, dés la dame sort de là, je prends les choses en main, dos à la mer, je ne peux plus reculer. Je pris une grande respiration, fit une dizaine de pompes ( non je déconne) et attendit son retour de pied ferme.
Elle finit par réapparaître, je me dirigea vers elle.
E -" tu pars déjà ? L'eau est bientôt chaude, je..."
C'est moi qui suis trop chaud, je ne la laisse pas finir sa phrase, je lui attrape le cou et posa mes lèvres sur les siennes.
E:" Euh, que fais tu ? Je..."
Deuxième sommation, je remis le couvert, mes mains s'aventurant son cul. Je dessera l'etreinte.
E :" Je ne sais pas si je dois...tu sais bien que..."
Trop tard, l'assaut est donné, je rentre ma langue dans sa bouche, mes mains passant sous sa jupe, j'alternais le contact avec sa peau et le doux tissu de ses dessous.
Evelyne s'abandonna, ses mains commencèrent à se ballader sur moi.
Nous nous devorames ainsi pendant un moment, sa poitrine écrasée contre mon torse et mon sexe en érection sur son entre-jambes.
Elle me demanda de continuer, surtout de ne pas m'arrêter.
Message reçu.. ma petite chérie !
Je la deposa sur le lit et enleva ma chemise, elle posa ses mains sur mon torse en souriant. Je l'allongea et me mit sur elle. Nous réprimes notre echanges de fluides et les caresses sur nos corps. Ses seins me semblaient énormes, je les engageai avec vigueur, j'engageai même tout son corps, tout ? Non pas le centre de ma convoitise...surtout pas tout de suite...je voulais decouvrir son bouton d'amour avec yeux, pouvoir humer son odeur de femme...avant de la pénétrer avec mes doigts, ma langue...mon membre gonflé...
Mon amante gemissait entre deux courtes respirations. Elle n'avait pas l'air d'être habitué à de telles préliminaires ?
Au bord de l'explosion, je decida de passer aux choses sérieuses. Je descendis le long de corps, remonta sa jupe, sa petite culotte en satin blanc, légèrement dentellée sur les côtés, brillait a la lumière du plafonnier.
Je la saisi et la fis glisser le long de ses cuisses, de ses jambes et lui retira avec autorité, ce qui lui fit lâcher un râle de surprise. Mes yeux s'étaientfixés sur sa lingerie et sur le mouvement pour la lui enlever omettant volontairement de regarder son minou...je voulais la surprise...et je n'ai pas été déçu...
Lorsque je l'entrepris de nouveau, ma rouquine, qui avait, elle aussi, décidé de me cacher son intimidé pour le plaisir.
Ses jambes s'étaient enlacées l'une sur l'autre, serrant les cuisses.. son sourire coquin aux lèvres...
Je décida de conserver mon attitude de maître du jeu. Je remonta la long de son corps, lui embrassant les pieds les jambes, ses cuisses...puis d'un mouvement que je voulu brusque, je lui ecarta les cuisses
Je ne m"attendais pas a ça...j'en ai déjà vu quelques une mais pas comme ça ! Je perdis mes moyens...Mon dieu, qu'avais donc bien pu commettre comme pêché pour mériter ça ? Est mon jugement dernier ?
Je n'en savais rien..la seule chose que je compris, est que je venais de découvrir les portes de l'enfer...
A suivre..
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Il y a par-ci par-là des mots qui manquent, mais on le devine ... , ce qui est bien, c'est de terminer par une énigme ... c'est quoi cet enfer que vous voulez nous faire découvrir, est-il agréable donc le contraire de l'enfer, ou vraiment un enfer ? Vous avez l'art du suspense, jusqu'ici !
merci, S.
merci, S.
