La métamorphose de Ghislaine

- Par l'auteur HDS Cassio14 -
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Récit libertin : La métamorphose de Ghislaine Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-11-2025 dans la catégorie A dormir debout
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La métamorphose de Ghislaine
Ce matin de juin, alors que Ghislaine s'apprêtait à quitter l'appartement pour se rendre au travail, la voix de Jacques retentit de la cuisine.

- Hey ! J'ai oublié de te dire ! Je vais poser de la tôle avec La Poire et il vient bouffer c'soir ! Essaye de faire un truc de pas trop dégueulasse pour une fois, et pis, ramène un pack de 24 tant que t'y es, y'a du foot sur la première !

Ghislaine soupira et sortit sans un mot pour Jacques.

Gigi ? C'était une petite bonne femme de 49 ans, un peu potelée, pas vilaine, son visage rond, ses beaux yeux bleus ne la rendait pas désagréable si l'on prenait le temps de s'attarder sur ces détails en faisant abstraction de la fatigue et de la lassitude qui barraient trop souvent son minois.

Il faut dire qu'elle n'avait jamais eu la vie facile la Ghislaine.

Fille de la campagne, elle avait quitté le domicile parental à 20 ans, sans diplôme et le coeur brisé.

Depucelée à 18 ans par le fils du voisin la veile du départ de celui-ci au régiment, il lui avait promis de l'épouser à son retour.
Malheureusement, le saligaud n'en pensait pas un mot...il s'acocquina avec une fille dans ville de garnison...et c'est elle qui l'épousa...

La suite ne valait pas mieux, quelques soudards qui vécurent à son crochet profitant de sa naïveté maladive sans jamais la combler que ce soit au niveau affectif ou sexuelle.

Et avec le Jacky, elle n'avait pas tiré le gros lot...loin de là !
Jacques était surement le pire loustic qu'elle avait déniché.

Grand escogriffe, tout mince, la tronche burinée par la tise, c'était une homme de 55 ans, bourru à souhaits, au langage fleuri, accro aux bistrots, aux courses de canassons et au grand dam de Gigi, un impuissant notoire...
Ancien routier, il avait lâché le volant il y a quelques années pour se contenter de son toucher son RSA qu'il agrémenté de petits jobs au black, le plus souvent avec son fidèle acolyte, Bernard Poirier, le fameux " La Poire".

Ghislaine debaucha à 15h. Après avoir été femme de ménage au début de sa vie de citadine, elle avait trouvé ce travail de caissière au Supermarché du quartier il y a maintenant une vingtaine d'années.

Gigi veillait à être présentable pour tenir sa caisse, elle se faisait coquette pour les clients mais aussi parce que...elle se sentait vivante tout simplement.

Elle traversa la galerie marchande pour se rendre au salon de coiffure de son amie Simone.
La vieille coiffeuse, après l'avoir débarrassé de ses fourches , avait rafraîchit le balayage blond sur sa longue chevelure châtain. Petit bonus, elle lui épila les sourcils en deux fins traits.

Vers 20H, Jacky débarqua avec la Poire comme prévue.

Le grand sec la dévisagea et lui lança:

- Tu ressembles à une pouffe avec cette coupe...et...mais qu'est ce que t'as foutu avec tes sourcils ? Oh ! On dirait ceux de la Josette.

S'adressant à Poirier :

- Tu sais la Josette, la ptite serveuse du gastos sur la N7 où j'avais l'habitude d'écraser un arrêt quand je descendais sur Montélimar...je te l'ai raconté celle-ci hein...Ah la JOSETTEEEEEE...

Gêné, Poirier salua Ghislaine.

Bernard, c'était pas un mauvais bougre, il était même tout le contraire de Jacques.
Petit gros à la dégaine de pompiste des années 70, il était, certes, un peu limité mais très débrouillard. En plus, il en pincé secrètement pour la Ghislaine...

Ils s'installèrent au salon et Gigi servit l'apéro. Et ce fut parti pour l'habituel monologue sans intérêt de Jacky qui pouvait passer des 5 balles qu'il avait gagné au tiercé à la crise politique sans transition.

Gigi vint s'asseoir en face de Poirier...et le Jacky qui ne la bouclait pas, et le Bernard qui matait la Ghislaine et cette dernière qui avait hâte que cette fichue soirée se termine ! Joli tableau...

Gigi finit par se lever pour aller retirer le boeuf bourguignon du feu.
La Poire faillit s'étouffer avec les cacahuètes qu'il avait dans la bouche ! Il ne dû son salut qu'à l'intervention salvatrice de Jacky qui lui bourrina le dos pour le dégager

- Eh ben vieux, t'as avalé de traviole ?

-Ouais...c'est ça...de traviole...

En réalité, ce petit voyeur de Poirier avait obtenu gain de cause.
En se levant, Ghislaine, qui portait une petite robe d'intérieur un peu courte, avait écarté, aussi largement qu'involontairement, les cuisses face a Poirier qui n'en demandé pas tant.
Les grosses lèvres vaginale perdues dans son abondante toison pubienne de son fantasme lui était apparut. Gigi ayant l'habitude de prendre ses aises à la maison, s'abstenant du port de sous-vêtements.

Remis de leurs émotions, ils dînerent, avec comme fond sonore, ce moulin à paroles de Jacquot.

Après le repas, les hommes s'installèrent au salon pour regarder le foot et descendre quelques binouzes. Ghisnaine resta dans la cuisine s'affairant à son rôle de boniche.

A la mi-temps, la Poire apparut à la porte, chargé des canettes tombées au combat. Il les mis à la poubelle et se tourna vers Gigi.

- Tu sais Ghislaine...eh ben moi, je les trouves jolis tes sourcils.

Il ressortit en souriant timidement.

Ghislaine fût touchée par ses paroles...au fond, elle l'aimait bien le Poirier, il était brave.

Gigi ne tarda pas à aller se coucher mais les beuglements de Jacky l'empêcha de s'endormir.

D'ailleurs, elle ne dormait toujours pas quand il finit par la rejoindre, une fois Bernard partit.

- On leur a mis une belle branlée aux Islandois (sic), y'a la demi-finale mercredi !

D'humeur joyeuse grâce à la victoire, il se deshabilla et se coucha nu auprès de Ghislaine qui lui tournait le dos. Il lui passa les mains sous la chemise de nuit.

- Caline-moi ma grosse

- Qu'est-ce qui te prends ?

- Bah, fais moi plaisir, t'es ma gonzesse

- Ca te demangerai d'être un peu doux pour une fois ?

- T'as qu'à être gentille avec moi

Jacky se mit sur le dos et repoussa le drap pour présenter à Gigi sa nouille à demi-molle

Ghislaine comprit qu'elle devait aller au charbon, elle saisit la pine de Jacquot et l'astiqua énergiquement, espérant obtenir une hypothétique érection pendant que Jacques lui léchait son oppulente poitrine.

Pourtant, il n'y arrivait pas...

- J'comprends pas, je suis bien ce soir...suces moi un peu pour voir...

Gigi prit la molle en bouche...tellement inerte qu'elle n'arrivait pas a le décalotter...

Mais ellz persévéra, avec force, détermination...et désespoir...le poivrot, dans un rugissement gutural, repoussa la tête de Ghislaine et se fendit de 2 petits jets de sperme sur la main de sa compagne.

- Putain, c'était bon

- Tu te fous de moi ? On a rien fait !

- Bah si ! J'ai glicé, tu as vu ?

- Non mais...c'est pas comme ça...

Gigi était exaspérée par le gros tas de conneries couché à côté d'elle...

Jacky se leva, la queue pendante entre ses cuisses velues

- J'vais prendre un bière, t'en veux une ?

- La bière ! Tu la cajoles beaucoup mieux que moi !

- Tu voulais quoi ? Une grosse cartouche ?

- Oui ! Exactement ! Mais y'a plus rien dans ton fusil, pauvre nul !

- Oh calmes toi ! C'est dur de bander sur un cajot comme toi...et puis si t'es pas contente, t'as qu'à faire comme ta mère hein ! Elle savait y faire avec les gugusses de ton patelin !

Jacques disparut dans le couloir.

Ghislaine sentit les larmes lui montaient aux yeux. Avait-il besoin de parler de ça ?

Il est vrai que la mère Girard avait la réputation d'être volage, le père etait un homme austère surtout quand il fallait besogner sa femme...

Un jour de fête de la batteuse, elle l'avait surprise dans une grange avec un jeune ouvrier agricole.
Allongée sur une botte de paille, les cuisses grandes ouvertes, la mère recevait les gros coups de butoir de son jeune amant, gemissant comme la truie qu'elle était.
Ghislaine n'avait jamais pu effacer ce souvenir de sa mémoire, ni l'énorme bite bien dure de l'ouvrier sortant de sa génitrice, ni le sourire satisfait de cette dernière, alors que, de son gros vagin poilu, béant de plaisir, s'écoulait la semence blanchâtre.

Bien des années plus tard, elle comprit que le bébé, qui vit le jour 9 mois plus tard, n'était que le petit bâtard, présent illégitime, que les couilles fertiles de ce jeune homme de 19 ans, à peine plus âgé qu'elle, avait offert à maman.

Et si dans le fond, sa mère n'avait pas eu raison ?
Et si, pour connaître l'exctase, elle devrait aller voir si l'herbe n'était pas plus verte ailleurs ?

A suivre...

Les avis des lecteurs

Histoire Libertine
Le fond et la forme sont bien ternes, l'orthographe nulle.

J'aime beaucoup.
J'attends impatiemment la suite.
Je suis très attiré par les femmes comme Ghislaine.



Texte coquin : La métamorphose de Ghislaine
Histoire sexe : Une rose rouge
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