J'ai decouvert les portes de l'enfer -4
Récit érotique écrit par Cassio14 [→ Accès à sa fiche auteur]
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J'ai decouvert les portes de l'enfer -4
Cette vision me figea, je leva mon regard vers Evelyne qui semblait se demander pourquoi je stoppais mon assaut.
Cette femme était en réalité une diablesse venue tout droit du Pandémonium et son sexe devait en être l'une des entrées.
Ses deux grandes lèvres épilées étaient d'un rouge intense, comme si elles etaient restées trop longtemps sous un soleil de plomb, sa vulve n'etait pas en reste, il devait faire 10000 degrés là-dedans.
Au dessus, Vénus n'avait jamais dû obtenir son droit d'asile sur son mont, c'est bien Belzebuth qui avait pris ses aises, transformant sa toison pubienne en brasier.
Ne voulant pas contrarier Lucifer, je repris mes esprits pour satisfaire l'une de ses filles.
Ma main se posa sur la fente incandescente, histoire de mesurer le risque de brûlure. Une fois rassuré, j'approcha mon visage, son odeur était envoûtante, au delà de mes espérances. Je plongea ma langue dans son antre, j'en nettoyais le moindre recoin, ma langue excita frénétiquement son petit bouton. La succion de son four fit gémir Evelyne, sa jambe gauche passa derrière ma nuque, comme pour enfoncer mon visage encore plus profondément en elle.
J'étais prisonnier de sa chatte, condamné a poursuivre mon oeuvre.
Je reussis tout de même à me dégager de son piège pour aller partager avec elle le fruit de mon exploration. Après une session de galochage, elle glissa à l'oreille son envie "de me sucer".
Je me releva, me déshabilla alors qu'Evelyne s'assit au bord du lit.
Non Non Non Diablesse ! Tu ne mèneras pas cette danse ! Je lui pris les mains et la fit mettre à genoux devant moi...c'est comme ça que tu vas me sucer !
Evelyne saisit mon sexe, droit comme une épée, le prit en bouche et débuta un va-et-vient absolument délicieux. Elle me suça tout en masturbant mon chiffre, sa langue tournoyant sur mon gland. Ce pompage fit monter la mousse mais je n'étais pas encore enclin à utiliser mon extincteur. Je la redressa face a moi, sa main s'attardant sur mes couilles, je pus sentir le métal de son alliance.
Je l'effeuilla, sa poitrine magnifique apparut, deux belles masses laiteuses aux auréoles roses, les tétons durcit par l'excitation.
Je les saisis ensemble et les porta à ma ma bouche, je voulais les lui manger, les mordre mais je me contenta de les sucer en les malaxant avec force. Elle me caressa la nuque, je sentais son souffle, toujours aussi court.
Il fallait bien y aller maintenant, partir au feu. Nous regagnames le lit, ma belle s'allongea sur le dos, les cuisses ouvertes. Je me plaça dans l'espace offert, pris ma bite en main, et la plongea dans la fournaise.
La sensation fut extraordinaire, si c'est ça l'enfer, c'est là où je veux aller ! Et pour le coup, j'y étais déjà ! Je culbuta ma rouquine avec entrain, ses mains sur mon cul, accompagnaient le mouvement. Je tapais le plus fort possible pour aller au plus profond d'elle...mais elle en voulait plus. Elle saisit ma queue pour stopper la pénétration.
Evelyne me retira d'elle, se retourna pour me présenter son arrière-train. La coquine voulait que je lui donne de la levrette ! Que cela ne tienne, je repris le chemin de sa chatte avec la même vigueur, lui aggripant les hanches, je besogna ma vieille maîtresse, son cul claquait sous mes coups de butoir, la rousse jouissait de plaisir, je ne retenais pas mes coups comme je ne pus retenir ma jouissance...j'explosa littéralement. Un, deux, trois, quatre jets de foutre directement en elle. Elle me vida de ma semence.
Je resta encore quelques instants dans son volcan puis je me retira, assistant au résultat de mon méfait...mon liquide dégoulinant légèrement de sa fente...la coquine voulait en garder pour elle...
Evelyne se retourna vers moi...m'embrassa langoureusement...elle partit se nettoyer dans la salle de bains.
Je m'allongea, nu sur le lit, tentant de reprendre mon souffle et surtout mes esprits. J'étais heureux de m'en être sorti indemne.
Ma diablotine d'amour revint.
E:" Pousse toi de là Jeune voyou"
Elle ouvrit le lit, se glissa sous les draps et m'invita à en faire de même.
Ma rouquine se blottit contre moi avec affection, m'embrassa.
Nous avons passé la nuit ensemble dans cette position.
Ce fut ma seule et unique aventure avec Evelyne. Nous n'avons jamais remis ça mais nous sommes restés très complices jusqu'à mon départ de l'entreprise quelques années plus tard, gardant pour nous le secret de cette merveilleuse soirée où elle me fit découvrir un monde que je n'ai plus jamais revu depuis.
FIN
Cette femme était en réalité une diablesse venue tout droit du Pandémonium et son sexe devait en être l'une des entrées.
Ses deux grandes lèvres épilées étaient d'un rouge intense, comme si elles etaient restées trop longtemps sous un soleil de plomb, sa vulve n'etait pas en reste, il devait faire 10000 degrés là-dedans.
Au dessus, Vénus n'avait jamais dû obtenir son droit d'asile sur son mont, c'est bien Belzebuth qui avait pris ses aises, transformant sa toison pubienne en brasier.
Ne voulant pas contrarier Lucifer, je repris mes esprits pour satisfaire l'une de ses filles.
Ma main se posa sur la fente incandescente, histoire de mesurer le risque de brûlure. Une fois rassuré, j'approcha mon visage, son odeur était envoûtante, au delà de mes espérances. Je plongea ma langue dans son antre, j'en nettoyais le moindre recoin, ma langue excita frénétiquement son petit bouton. La succion de son four fit gémir Evelyne, sa jambe gauche passa derrière ma nuque, comme pour enfoncer mon visage encore plus profondément en elle.
J'étais prisonnier de sa chatte, condamné a poursuivre mon oeuvre.
Je reussis tout de même à me dégager de son piège pour aller partager avec elle le fruit de mon exploration. Après une session de galochage, elle glissa à l'oreille son envie "de me sucer".
Je me releva, me déshabilla alors qu'Evelyne s'assit au bord du lit.
Non Non Non Diablesse ! Tu ne mèneras pas cette danse ! Je lui pris les mains et la fit mettre à genoux devant moi...c'est comme ça que tu vas me sucer !
Evelyne saisit mon sexe, droit comme une épée, le prit en bouche et débuta un va-et-vient absolument délicieux. Elle me suça tout en masturbant mon chiffre, sa langue tournoyant sur mon gland. Ce pompage fit monter la mousse mais je n'étais pas encore enclin à utiliser mon extincteur. Je la redressa face a moi, sa main s'attardant sur mes couilles, je pus sentir le métal de son alliance.
Je l'effeuilla, sa poitrine magnifique apparut, deux belles masses laiteuses aux auréoles roses, les tétons durcit par l'excitation.
Je les saisis ensemble et les porta à ma ma bouche, je voulais les lui manger, les mordre mais je me contenta de les sucer en les malaxant avec force. Elle me caressa la nuque, je sentais son souffle, toujours aussi court.
Il fallait bien y aller maintenant, partir au feu. Nous regagnames le lit, ma belle s'allongea sur le dos, les cuisses ouvertes. Je me plaça dans l'espace offert, pris ma bite en main, et la plongea dans la fournaise.
La sensation fut extraordinaire, si c'est ça l'enfer, c'est là où je veux aller ! Et pour le coup, j'y étais déjà ! Je culbuta ma rouquine avec entrain, ses mains sur mon cul, accompagnaient le mouvement. Je tapais le plus fort possible pour aller au plus profond d'elle...mais elle en voulait plus. Elle saisit ma queue pour stopper la pénétration.
Evelyne me retira d'elle, se retourna pour me présenter son arrière-train. La coquine voulait que je lui donne de la levrette ! Que cela ne tienne, je repris le chemin de sa chatte avec la même vigueur, lui aggripant les hanches, je besogna ma vieille maîtresse, son cul claquait sous mes coups de butoir, la rousse jouissait de plaisir, je ne retenais pas mes coups comme je ne pus retenir ma jouissance...j'explosa littéralement. Un, deux, trois, quatre jets de foutre directement en elle. Elle me vida de ma semence.
Je resta encore quelques instants dans son volcan puis je me retira, assistant au résultat de mon méfait...mon liquide dégoulinant légèrement de sa fente...la coquine voulait en garder pour elle...
Evelyne se retourna vers moi...m'embrassa langoureusement...elle partit se nettoyer dans la salle de bains.
Je m'allongea, nu sur le lit, tentant de reprendre mon souffle et surtout mes esprits. J'étais heureux de m'en être sorti indemne.
Ma diablotine d'amour revint.
E:" Pousse toi de là Jeune voyou"
Elle ouvrit le lit, se glissa sous les draps et m'invita à en faire de même.
Ma rouquine se blottit contre moi avec affection, m'embrassa.
Nous avons passé la nuit ensemble dans cette position.
Ce fut ma seule et unique aventure avec Evelyne. Nous n'avons jamais remis ça mais nous sommes restés très complices jusqu'à mon départ de l'entreprise quelques années plus tard, gardant pour nous le secret de cette merveilleuse soirée où elle me fit découvrir un monde que je n'ai plus jamais revu depuis.
FIN
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